La mort, la destruction et le chaos sont les conséquences de l’échec des politiques progressistes dans de nombreuses villes dirigées par les démocrates, comme Detroit, Baltimore City, San Francisco, Portland, Chicago, Minneapolis, la Nouvelle-Orléans, Chicago et Philadelphie. Les démocrates sont à la tête des grandes villes depuis suffisamment longtemps pour assumer la responsabilité de la chute de ces zones métropolitaines, mais ils ont rejeté la faute sur tout le monde, sauf sur eux-mêmes.
La gravité du jeu des reproches est si alarmante qu’au Nouveau-Mexique, le gouverneur démocrate tyrannique vient de suspendre les droits constitutionnels sur les armes à feu pour les citoyens respectueux de la loi d’Albuquerque, rejetant la responsabilité de la montée en flèche des crimes violents sur les armes à feu plutôt que sur les politiques désastreuses et l’ouverture des frontières dans le sud.
Si nous concentrons notre attention sur Philadelphie, juste au nord de la ville de Baltimore en pleine implosion et juste au sud de la ville de New York infestée de migrants, la « ville de l’amour fraternel » a des rues qui semblent tout droit sorties de la série télévisée sur l’apocalypse zombie « The Walking Dead ».