Le texte a été signé par Carla Vizzoti, ministre de la Santé, la même qui a mis en place le plan d’injection de masse, optant souvent pour les mêmes formes coercitives que celles actuellement en cours en Europe : exclusion des salariés non vaccinés, stigmatisation sociale, vaccination de centaines de milliers de personnes non informées des possibles effets secondaires, spécialement dans les « villas miserias », ces favelas argentines, dans lesquelles s’entassent des millions de personnes sans existence administrative. C’est donc le premier pays au monde où le responsable politique d’une atteinte à la santé humaine, instaure un mécanisme de réparation et admet officiellement l’existence des effets indésirables. Les produits en cause sont ceux des laboratoires Moderna, AstraZeneca, Pfizer-BioNTech, Johnson & Johnson et Sputnik V, qui ont été administrés indifféremment dans le pays austral.