Une décision pour le moins incompréhensible lorsque l’on sait que les forêts permettent de stocker du CO2 en plus de préserver la biodiversité. Mais à y regarder de plus près, derrière l’hypocrisie de la “croissance verte” se cache l’appât du gain d’une multinationale soutenue par l’État.
« Avant, il y avait de la tourbe[2] ici, maintenant c’est un chemin avec un mètre de pierres […] Des couloirs à batraciens ont été détruits au bulldozer sur des centaines de mètres ».