Lancée le 2 juin, l'appli peine à convaincre. Seulement 68 personnes ont informé la plateforme qu’elles avaient été infectées et seuls 14 utilisateurs ont été avertis qu’ils étaient désormais en danger. En Norvège, les objections émises à l’égard d’un organisme de surveillance de la confidentialité des données, conjuguées à de faibles niveaux d’utilisation, ont conduit à l’abandon du projet. La Grande-Bretagne a abandonné son propre plan d’application de recherche de contacts il y a quelques mois, lorsque des failles majeures sont apparues dans les tests, provoquant un tollé général.