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Plus de 1 600 scientifiques signent la déclaration « Pas d’urgence climatique »

Égalité et RéconciliationPlus de 1 600 scientifiques signent la déclaration "Pas d’urgence climatique"

Égalité et Réconciliation - 03 sep 2023

Des scientifiques internationaux ont signé conjointement une déclaration rejetant l’existence d’une crise climatique et insistant sur le fait que le dioxyde de carbone est bénéfique pour la Terre, contrairement à ce que prétendent les alarmistes.

   

Au total, 1 609 scientifiques et professionnels du monde entier ont signé la déclaration, dont 321 des États-Unis.

La coalition souligne que le climat de la Terre varie depuis qu’elle existe, la planète ayant connu plusieurs phases froides et chaudes. Le petit âge glaciaire ne s’est achevé qu’en 1850.

« Il n’est donc pas surprenant que nous connaissions aujourd’hui une période de réchauffement », indique la déclaration.

Le réchauffement se produit « beaucoup plus lentement » que ne le prévoit le groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat.

« Les modèles climatiques présentent de nombreuses lacunes et ne sont pas du tout plausibles en tant qu’outils politiques », a déclaré la coalition, ajoutant que ces modèles « exagèrent l’effet des gaz à effet de serre » et « ignorent le fait que l’enrichissement de l’atmosphère en CO2 est bénéfique ». Par exemple, même si les alarmistes climatiques qualifient le CO2 de nuisible pour l’environnement, la coalition souligne que ce gaz n’est pas un polluant.

Le dioxyde de carbone est « essentiel » à toute vie sur terre et « favorable » à la nature. L’augmentation du CO2 entraîne une croissance de la biomasse végétale mondiale tout en augmentant les rendements des cultures dans le monde entier.

CLINTEL a également rejeté l’idée selon laquelle le réchauffement climatique serait lié à une augmentation des catastrophes naturelles telles que les ouragans, les inondations et les sécheresses, en soulignant qu’il n’existe « aucune preuve statistique » à l’appui de ces affirmations.

« La science du climat devrait être moins politique, tandis que les politiques climatiques devraient être plus scientifiques. Les scientifiques devraient aborder ouvertement les incertitudes et les exagérations dans leurs prévisions du réchauffement climatique, tandis que les politiciens devraient compter sans émotion les coûts réels aussi bien que les avantages hypothétiques de leurs mesures politiques »

Global Climate Intelligence Group (CLINTEL)

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