Cette vague de burnout est due aux baisses d'effectifs, passés de 650 en 2013 à moins de 300 en 2021 selon le syndicat à franceinfo, et à la multiplication notamment des manifestations.
« On demande aux collègues de faire toujours autant, voire plus de manifestations dans le contexte actuel, en étant beaucoup moins nombreux. On tire sur la corde, qui finit par casser »