Les vaccins anti Covid peuvent déclencher des tumeurs à croissance rapide et des maladies auto-immunes – telle est la mise en garde d’une pathologiste spécialisée depuis 25 ans dans le diagnostic du cancer du sein, le Dr Ute Krüger. Tout au long de sa carrière, elle a toujours rencontré une marge de fluctuation normale en ce qui concerne la taille et le degré des tumeurs. Cette marge a toutefois été brutalement interrompue par l’introduction sur le marché des vaccins Covid (2021), réputés sûrs. Les cas de tumeurs cancéreuses à croissance rapide et de types multiples se sont accumulés…
Parce que son récit ne colle pas aux narratifs atlantistes, seuls autorisés et encouragés dans l’espace médiatique otanien, cette journaliste a rapidement fait l’objet d’une ostracisation et d’une campagne de dénigrement clairement orchestrée par les cercles et les médias français et otaniens sous influence néoconservatrice et mondialiste. Elle a perdu une partie de ses emplois et de ses revenus. C’est la méthode employée par la mafia atlantiste pour dissuader et faire taire
En témoigne la censure par YouTube du reportage après un trop fort succès initial. You tube apparaît donc de plus en plus comme un outil contrôlé par les néocons …
La dette américaine est irremboursable, sauf si une hyperinflation se met en place. Avec cette dernière, la valeur de la dette peut être divisée tout simplement par deux, et c'est EXACTEMENT ce que veulent les États-Unis, détourner l'attention de leur dette.
Et si vous regardez bien cette carte, on voit clairement quels sont les pays qui soutiennent la guerre contre la Russie (dont l'endettement n'est que de 30% vs 130% des US).
Idriss Aberkane : « Julian Assange l’a affirmé clairement: la guerre d’Afghanistan est le plus grand braquage d’argent public de toute l’histoire de l’Humanité, en sus de toutes les victimes innocents qu’elle a faite également, y compris dans les rangs de l’armée française. Edward Snowden l’a également confirmé: avoir dépensé vingt années de guerre et deux mille milliards de dollars juste pour remplacer les talibans par les talibans, sans parler de l’explosion du commerce de l’héroïne durant cette période, c’est un crime d’une ampleur absolument indescriptible, et n’eût été l’attention mondiale sur le Covid-19, il aurait mené à des décennies d’enquête et de condamnation. Au lieu de cela, circulez, il n’y a rien à voir… Eh bien pas si vite, nous publions cette vidéo pour rappeler quelle escroquerie mâtinée d’abomination aura été cette guerre en Asie centrale. »
En calculant les coûts annuels moyens (en prix de 2022) des guerres précédentes dans lesquelles les États-Unis ont été impliqués, on peut voir la véritable ampleur des dépenses d’aide à l’Ukraine du pays.
Comme le montre Martin Armstrong de Statista dans l’infographie ci-dessous, les paiements à l’Ukraine ont déjà dépassé les dépenses militaires annuelles des États-Unis dans la guerre en Afghanistan de 2001 à 2010. Les coûts militaires américains dans la guerre du Vietnam, la guerre d’Irak et la guerre de Corée étaient nettement plus élevés – selon les calculs de l’Institut Kiel pour l’économie mondiale dans le cadre de son Ukraine Support Tracker.
L'un de leurs systèmes les plus connus est Face++, qui est utilisé par la police pour retrouver des criminels. Cependant, cette technologie peut également être utilisée de manière beaucoup plus intrusive, à des fins de surveillance de masse, de violation de la vie privée et de discrimination. De plus, les systèmes de reconnaissance faciale ne sont pas infaillibles et peuvent parfois donner des résultats erronés, ce qui peut entraîner des conséquences graves pour les individus concernés.
Le projet Skynet est un système de surveillance et de sécurité national de la Chine qui utilise des technologies avancées telles que la reconnaissance faciale, l’analyse des comportements et des données de masse pour surveiller la population du pays. Le système comprend un vaste réseau de caméras de sécurité, des bases de données de surveillance, des centres de surveillance et de contrôle et des logiciels d’analyse avancés. Sous couvert d’être utilisé pour lutter contre le crime, il a été critiqué pour ses violations de la vie privée et pour le potentiel de surveillance et de contrôle de masse qu’il représente.
Il y est stipulé que « les mesures sanitaires ne sont autorisées que dans le respect des droits de l’homme en vigueur, de la dignité et des libertés fondamentales des personnes ». Or, on s’efforce aujourd’hui de supprimer cette formulation.
« L’OMS et la Suisse – quelle suite ? » C’est sous ce titre qu’une manifestation organisée par Urs Hans de « Public Eye on Science » a eu lieu le 13 janvier 2023 à Turbenthal dans le canton de Zurich. Dans la première conférence, Astrid Stuckelberger, ancienne collaboratrice de l’OMS, a présenté les principales questions fondamentales relatives à la pandémie dite de « Covid ». Ensuite, l’avocat zurichois Philipp Kruse a résumé les événements depuis 2020. Il a remis en question les mesures relevées depuis le début de leur déclaration, par exemple : sur quelles bases la pandémie s’appuie-t-elle ? Quels ont été les effets des mesures prises ?
Kruse se penche ensuite sur l’OMS, une organisation privée dont le siège est à Genève. Celle-ci publie ce qu’on appelle le « Règlement sanitaire international », auquel la plupart des États se sont conformés. Dans sa version actuelle, les mesures ne sont par exemple autorisées que dans le respect des droits de l’homme en vigueur, de la dignité et des libertés fondamentales des personnes. Or il est aujourd’hui envisagé de supprimer, entre autres, cette formulation. Qu’est-ce qui se cache derrière ces propositions d’amendement ?
Quelles en seraient les conséquences ?
Elle est utilisée en médecine vétérinaire depuis des années contre des virus comme celui de la pseudo rage porcine ou l’encéphalite équine vénézuélienne, tous deux virus à ARN comme le Sars-Cov-2. Son action sur les importines, empêchant les virus de pénétrer dans les cellules, est connue et reconnue depuis 1972, tout comme son action contre le choc cytokinique responsable des décès du Sars-Cov-2, comme le montre nombre d’études et comme l’écrit aussi le Vidal.
Alors que l’ivermectine a démontré en 2020 son efficacité dans de nombreux témoignages et dans toutes les études publiées dans l’année, début 2021 a eu lieu la plus grande manipulation sanitaire de l’histoire. La France semble y avoir joué un rôle non négligeable pour rayer l’ivermectine de la pharmacopée, bien qu’ayant démontré ses possibilités tout en étant un des médicaments les plus sûrs qui soit.
La montée en puissance de l’ivermectine au second semestre 2020, faisait qu’elle représentait un grave danger pour l’industrie pharmaceutique qui avait investi des milliards dans la recherche contre le covid. Il fallait donc mettre un terme à cette thérapeutique croissante, sans concurrence, sinon l’hydroxychloroquine que les politico-financiers aidés de « médecins » avaient déjà réussi à faire taire.
Il y a près d’un demi-siècle, le Congrès américain a tenté pour la dernière fois de se pencher sur les activités des services de sécurité en pleine expansion du pays.
En 1975, la commission Church a réussi à prendre un instantané fugace, mais loin d’être complet, du monde souterrain dans lequel opèrent des agences telles que la Central Intelligence Agency (CIA), le Federal Bureau of Investigations (FBI) et la National Security Agency (NSA).
À la suite du scandale du Watergate, la commission du Congrès et d’autres enquêtes connexes ont révélé que les services de renseignement du pays disposaient de pouvoirs de surveillance étendus et étaient impliqués dans toute une série d’actes illégaux ou anticonstitutionnels.
Ils subvertissaient et assassinaient secrètement des dirigeants étrangers. Ils ont coopté des centaines de journalistes et de nombreux médias à travers le monde pour promouvoir des informations fabriquées de toutes pièces. Ils ont espionné et infiltré des groupes politiques et de défense des droits civils. Et ils ont manipulé le discours public pour protéger et étendre leurs pouvoirs.