Les banques commerciales et les banques centrales se livrent un combat sans merci dans les coulisses.
Catherine Austin Fitts (CAF) : « Vous avez fait gonfler la bulle de toute une économie, et maintenant vous mettez sur le marché quelque chose (la CBDC) qui pourrait rétrécir la bulle de façon spectaculaire, et qui pourrait mettre beaucoup de banques hors jeu et hors du marché… ».
« Si les banques centrales entrent en concurrence directe pour les comptes de détail, cela va réduire les frais et les activités de nombreuses banques. Il s’agit de réduire leurs revenus ou de les mettre en faillite. La CBDC est donc très controversée. L’une des raisons est que les gens commencent à se réveiller et à réaliser qu’ils ne sont plus des initiés. La CBDC va faire de moi un esclave et elle va pouvoir s’emparer de tous mes biens. Vous pensez qu’ils pourraient vous enfermer pendant la pandémie ? La CBDC est l’outil de confinement ultime, et elle peut enfermer n’importe qui quand elle en a envie. »
La plus grande crainte de la Fed est de perdre le contrôle du système financier. C’est ce qu’affirme CAF,
« La Fed est effrayée par le modèle de croissance de la dette mondiale, et elle a maintenu ce modèle en augmentant la dette de plus en plus. Aujourd’hui, les taux d’intérêt s’accélèrent d’une manière qui réduit la productivité. Ainsi, le gâteau qui supporte la dette se réduit….
Il s’agit d’un modèle de coup d’État, comme en Ukraine. Vous poussez tous les gens dehors ou vous les tuez. Vous créez des conditions de guerre pour pouvoir tout racheter à bas prix. Vous pouvez faire cela avec l’argent du gouvernement pour « aider » l’Ukraine. Non, c’est l’argent du gouvernement qui aide les initiés à acheter l’Ukraine, à contrôler l’Ukraine, à posséder l’Ukraine ».
Michel Dogna : infolettre
J’ai déjà largement parlé de ce précieux acide aminé concernant la production de glutathion tellement indispensable pour détruire l’oxyde de graphène vaccinal puisqu’ elle en est le précurseur donc le fabricant. Vu qu’elle pénètre facilement au sein des cellules, elle y est omniprésente et doit normalement se maintenir à un taux suffisant pour pouvoir affronter toutes pathogénies toxiques, bactériennes, virales, ou de peroxydation.
L’on pourrait s’étonner que le complexe médico pharmaceutique mondial ne parle guère voire pas du tout de ce couple NAC / L Glutathion en dépit de sa discrète efficacité contre la plupart des agressions extérieures en tant qu’antioxydant majeur …sauf si l’on réalise que le L glutathion est l’ennemi n° 1 du plan actuel de graphénisation généralisée des populations. Je ne vais pas revenir ici sur les désastres vasculaires entre autres dus au graphène et que vous pouvez retrouver en détail sur mon site dans ARCHIVES.
De plus, en augmentant les niveaux de L Glutathion, la NAC, permet la chasse aux radicaux libres pathogènes responsables de nombreuses maladies infectieuses chroniques.
Les premières explorations de la Russie dans la région arctique ont commencé dès le siècle dernier, il y a plus de cent ans. À cette époque, le ministère des Affaires étrangères de l’Empire russe a envoyé une note aux gouvernements des pays alliés indiquant que la Russie était propriétaire des terres et des îles situées au nord de la côte asiatique de l’empire. Des expéditions ont alors été menées avec les brise-glace Vaigach et Taimyr. En conséquence, les îles Bennett, Herald, Jeanette, Henrietta et Solitude ont été incluses dans l’empire.
Toutes les terres et les îles découvertes depuis 1916 ont ensuite été transférées sous l’administration de la RSFSR en 1924, et deux ans plus tard, le décret du Présidium de la CCE de l’URSS a défini que « le territoire de l’Union de la RSS est constitué de toutes les terres et îles, à la fois découvertes et celles qui pourraient l’être ultérieurement, situées dans l’océan Arctique au nord de la côte de la RSS jusqu’au pôle Nord entre le méridien 320 degrés 4′ 35” à l’est de Greenwich, longeant le côté est de la baie de Vaida jusqu’au repère de triangulation du cap Kekurskoe, et le méridien de 168 deg. 49′ 30′ à l’ouest de Greenwich, passant par le milieu du détroit séparant les îles de Ratmanov et le groupe Kruzenshtern (Krusenstern) des îles Diomid dans le détroit de Béring »2. Les dispositions de ce décret sont restées pratiquement inchangées jusqu’en 1985, lorsque l’expédition du brise-glace Kapitan Dranitsyn, dirigée par R.R. Gaidovsky, a découvert un nouveau détroit séparant l’île de Northbrook. En conséquence, le détroit a été nommé d’après le chef-découvreur de l’expédition, et les îles sont devenues connues sous le nom de West et East Northbrook.
Avant de procéder à un prélèvement d’organes, les équipes médicales ont l’obligation de consulter le registre national des refus de dons d’organes.
Aujourd’hui, la plupart des CHU refuse des greffes d’organes aux non vaccinés Covid-19, ce qui est totalement inadmissible.
Lors du Live de BonSens, a été évoqué par Maitre Diane Protat le cas d’une femme [Madame X] retirée des listes d’attente de greffes de reins par le CHU de Dijon faute d’être vaccinée contre la COVID-19. Elle a saisit le Tribunal Administratif de Dijon, mais quelques jours avant l’audience, le CHU de DIJON a pris la décision de « changer ses pratiques » et l’a ré-intégrée (ainsi que d’autres patients dans la même situation) sur la liste d’attente des greffes en lui faisant signer un document indiquant qu’elle reconnaissait les dangers de ne pas être vaccinée lorsque l’on est en attente de greffe.
01:14 Questions économiques : pétrole russe au plus haut.
04:40 Tournée terroriste de Blinken en Asie centrale.
06:40 Washington vs Pékin.
08:45 Fin de la souveraineté nucléaire militaire française.
11:25 La conférence de paix selon Marine Le Pen.
12:30 Quels avions pour l'Ukraine ?
17:25 Gamelin Servent vs Manstein.
20:07 Le cas Prigogine.
24:45 Céline Marange : mensonge et analyse militaro-psycul.
29:27 Carte des opérations militaires.
Le patron du groupe paramilitaire russe Wagner, Evgueni Prigojine, dont les hommes sont en première ligne dans l’est de l’Ukraine, s’est de nouveau plaint d’un manque de munitions, attribuant les retards de livraison à une possible « trahison ».
Le mois dernier, Evgueni Prigojine avait multiplié les critiques virulentes à l’adresse du ministre russe de la Défense, Sergueï Choïgou, et du chef d’état-major, Valeri Guerassimov, les accusant de commettre une « trahison » en refusant de fournir des munitions à Wagner.
[…]
Ces tensions récurrentes sont-elles le signe d’une véritable rivalité au sein des forces militaires russes sur le front ? « On fait beaucoup attention au jeu personnel de Prigojine car on aimerait voir des dissensions politiques », tempère le général 2S et chercheur à la FRS Olivier Kempf. « Et si à l’évidence, il y a des luttes d’influence au Kremlin, et que Prigojine en est un acteur, poursuit-il, il a choisi, contrairement aux autres, une stratégie de communication qui consiste à faire du bruit mais il est difficile de savoir ce que cela traduit réellement. »
Difficile de croire par exemple, fait observer le chercheur, que Wagner rencontre de vraies difficultés d’approvisionnement alors que le rapport de feu est clairement à l’avantage des Russes. […]
C’est la deuxième fois que le joueur serbe est victime de cette discrimination arbitraire et injuste ! Le sénateur Rick Scott de Floride et son collègue Marco Rubio ont tenté de sauver la situation en demandant à l’administration Biden de faire preuve de bon sens et d’humanité en accordant une exception à Djokovic. Ils ont rappelé les propos hypocrites de Biden sur la fin de la pandémie et une lettre du Dr Anthony Fauci qui reconnaît l’efficacité limitée des vaccins. Mais leur requête a été ignorée !
Les États-Unis se comportent comme un pays autoritaire en interdisant les voyageurs étrangers non vaccinés jusqu’au 11 mai.
Djokovic a déjà raté six événements majeurs en 2022 à cause de son courageux refus de se faire vacciner. Cette situation révolte les fans de tennis et relance le débat sur la vaccination obligatoire des athlètes pour les événements sportifs internationaux. Est-ce cela le respect du sport et des valeurs olympiques ?
Amol Rajan - journaliste : « Êtes-vous prêt à renoncer à la chance d’être le plus grand joueur […] parce que vous êtes fermement opposé à ce vaccin ? »
Novak Djokovic : « Oui ! »
« Désormais, c’est certain, on ne pourra pas remplir le lac avant l’été. » Perché sur le barrage de Montbel, soumis aux vents particulièrement soutenus dans la région, Xavier Rouja sait de quoi il parle. Responsable d’exploitation pour le Syndicat mixte départemental de l’eau et de l’assainissement de l’Ariège (SMDEA), il travaille ici depuis plus de vingt ans. En haut de cette infrastructure, construite en même temps que le lac dans les années 80, le constat est frappant tant le niveau de l’eau est au plus bas. « Cette année est exceptionnelle, c’est le troisième hiver le plus sec jamais enregistré », explique-t-il.
Chaque année, ce lac artificiel se vide et se remplit. Cette réserve d’eau de 60 millions de mètres cubes est exclusivement alimentée par une dérivation de l’Hers-Vif, la rivière qui contourne le lac. Le réservoir de Montbel permet ainsi de stocker l’eau et de la relâcher pour répondre à différents besoins, principalement celui de soutenir les prélèvements des agriculteurs pour l’irrigation. C’est en effet une réserve d’eau pour plus de 500 irrigants et 13 000 hectares de cultures.
Malgré leur pouvoir informationnel jamais égalé, les réseaux sociaux restent pourtant amplement façonnés par les intérêts financiers de sociétés monopolistiques. Dans son ouvrage Algocratie, vivre libre à l’heure des algorithmes publié aux éditions Actes Sud, Arthur Grimonpont dresse avec rigueur et pédagogie le tableau dantesque de l’impact des réseaux sociaux sur l’ensemble de la société du XXIème siècle. Afin d’associer intelligence artificielle et enjeux actuels, Arthur Grimonpont plaide pour une véritable révolution de l’attention.
Vous êtes-vous déjà demandé à quoi ressemblerait notre vie sans les réseaux sociaux ? Que se passerait-il si, le premier réflexe d’une majorité d’individus au saut du lit n’était pas de consulter leur smartphone ? S’ils ne pouvaient pas se contenter d’admirer les dernières photos de vacances de leurs proches pour considérer « avoir pris de leurs nouvelles » ? Si la moitié de notre garde-robe ne leur avait pas été directement recommandée par les publicités ciblées de Facebook ou leur influenceur préféré ? Si leur source d’information principale ne se déclinait pas sous forme de feed, de post et de short ?
Selon un rapport de l’agence de presse française The Connexion, la CNIL affirme que la reconnaissance faciale rendra l’application de la carte de santé plus “sûre”. Cependant, la reconnaissance faciale sur l’application Carte Vitale ne sera utilisée que jusqu’à ce que la future carte nationale d’identité numérique du pays, France Identité, soit disponible.
France Identité remplacera ou complétera les cartes d’identité physiques traditionnelles.
La carte Vitale vise à remplacer les cartes de santé physiques. L’automne dernier, l’application a été testée dans plusieurs régions. Au cours de cet essai, les utilisateurs ont vérifié leur identité à l’aide de selfies.
Pour accéder aux services de santé, ils ont scanné leur carte de santé numérique à l’aide d’un QR code ou de la technologie NFC (communication en champ proche).
En plus d’approuver l’utilisation de la reconnaissance faciale dans la carte Vitale, la CNIL a également approuvé son déploiement à grande échelle. Le gouvernement prévoit de mettre l’application de santé à la disposition de tous les assurés sociaux vivant en France d’ici à la fin de 2025.