Ils auraient agi dans le cadre du Bataillon Azov et de la 92° brigade des forces armées ukrainiennes.
La Commission d’enquête établira toutes les circonstances des incidents pour traduire en justice les personnes impliquées dans la commission des crimes.
Il y aurait 8 000 mercenaires étrangers sur le front ukrainien, principalement Polonais, États-uniens, Canadiens, Roumains et Britanniques.
Selon le Haut Commissaire des Nations unies pour les Droits de l’homme (OHCH), l’Autrichien Volker Turk, l’Ukraine n’engage aucune poursuite contre ses soldats ayant commis des crimes de guerre documentés.
Il ne nous semble guère faire de doute que Rupert Murdoch, le propriétaire de la chaîne, a fini par céder aux instances de ses amis, tous membres respectés de l’establishmentSystème ; par exemple, – que ce soit Mitch McConnell, chef de la minorité républicaine au Sénat et archétype du RINO (‘Republican In Name Only’), que ce soit le sénateur démocrate Schumer, chef de la majorité démocrate dans la même assemblée.
Les deux hommes, qui dirigent les deux ailes du “parti unique” au Sénat, ont récemment fait des interventions publiques après des émissions de Carlson, chacun demandant à sa façon, – son départ pour des propos provocateurs évoquant quelques vérités qui ne sont pas bonnes à mettre entre toutes les oreilles ... Ils sont exaucés, mais pas vraiment rassurés pour autant.
Les explications de FoxNews pour décrire et justifier une décision prise vendredi et annoncée lundi matin à Carlson, de la façon la plus brutale du monde, sans qu’il lui soit donné l’occasion d’annoncer lui-même son départ de la chaîne comme c’est la coutume, ne présentent guère d’intérêt. Elles sont à la fois pathétiques et typiques de l’hypocrisie du Système, et donc de FoxNews qui a perdu lundi plus d’un $milliards du fait de la chute de ses actions à Wall Street suivant l’annonce du départ de Carlson. D’autres réseaux ont vu leur côté monter, comme Rumble, selon les rumeurs affirmant que Carlson passerait chez eux.
La notoriété, l’influence, l’abattage et le courage de ce journaliste profondément antiSystème à partir du cœur du Système, – un journaliste qui rappelle les ‘antiwar’ des premières années 2000, comme Justin Raimondo, – sont absolument immenses. Ce caractère exceptionnel de Carlson a été largement mis en évidence par son discours du 22 avril au 50ème anniversaire d’Heritage Foundation. Il a exposé la « spiritualité » du combat qu’il mène contre ce qu’il estime être les « forces diaboliques » agissant contre lui, exactement au moment où la direction de FoxNews décidait de se séparer de lui, – exactement comme si ceci expliquait cela, sans consultation préalable.
Parmi les réactions, on notera celles-ci, – dont certaines qui peuvent avoir une signification politique.
De pour ou contre l’islamisme de Recep Tayyip Erdoğan, il devient pour ou contre l’alliance avec les États-Unis. Le président sortant est en train de regagner des points dans les sondages qui le pronostiquaient perdants. D’islamiste, il est devenu nationaliste. On ignore pour le moment si cela sera suffisant pour lui permettre de l’emporter, mais on doit s’attendre, s’il gagne, à ce qu’il retire la Türkiye de l’Otan.
Les sondages donnent le président Recep Tayyip Erdoğan perdant face au leader de l’opposition unie, Kemal Kılıçdaroğlu, lors de l’élection présidentielle turque du 14 mai 2023. Ce possible revirement intérieur conduit le président sortant à radicaliser sa position en matière internationale. Jusqu’à présent, il apparaissait comme se situant à mi-chemin entre les États-Unis d’un côté et la Russie et la Chine de l’autre. Désormais, son parti politique le présente comme le sauveur de l’indépendance turque face aux sombres agissements de Washington. Par contraste, il présente son concurrent comme un suppôt des Yankees, ce qu’il n’est probablement pas à ce point.
Les États-Unis payent ainsi le prix des tentatives d’assassinat du président turc, et particulièrement celle qui conduisit au coup d’État raté du 15 juillet 2016, après qu’Ankara ait décidé de construire un gazoduc avec Moscou et lui ait même acheté des armes. En outre, il est reproché à Washington, à tort ou à raison, nul ne sait, d’avoir provoqué le récent séisme qui a coûté la vie à des dizaines de milliers de Turcs. L’opinion publique partage donc un fort sentiment anti-américain dans un pays qui a beaucoup donné aux États-Unis depuis la guerre de Corée (l’armée turque y a gagné et livré une bataille décisive, sauvant les États-Unis du désastre) et beaucoup subit d’eux avec le drame kurde (la CIA a pris le contrôle du PKK et encouragé ses actions terroristes, tenant ainsi « un pistolet sur la tempe » d’Ankara).
L’ambassadeur des États-Unis, Jeffrey Flake, s’est permis de rendre ostensiblement visite au candidat Kemal Kılıçdaroğlu. Flake est un républicain de la vieille école, un ami de John McCain, issu comme lui d’Arizona dont ils étaient l’un des deux sénateurs. Il a hurlé contre l’entrisme de Donald Trump et a quitté le parti pour se rapprocher de Joe Biden qui l’a nommé ambassadeur. En se montrant avec Kılıçdaroğlu, il a cru bien faire et faire le Bien. Erreur : il a donné du grain à moudre à Erdoğan qui s’est empressé de déclarer : « L’ambassadeur de Joe Biden visite Kemal. Honte à vous, pensez avec votre tête. Vous êtes un ambassadeur. Votre interlocuteur est le président. Comment vous tiendrez-vous après cela et demanderez un rendez-vous avec le président ? Nos portes sont fermés pour lui, il ne peut plus entrer. Pourquoi ? Il a besoin de connaître sa place ».
Sur le même registre, le ministre de l’Intérieur et vice-président du parti présidentiel, Süleyman Soylu, a publiquement condamné l’ambassadeur des États-Unis, lors du tremblement de terre, lui disant de retirer ses « mains sales de la Turquie ». Tous les Turcs ont remarqué que les Occidentaux avaient retirés leurs ambassadeurs du pays dans les deux jours précédant la catastrophe, comme s’ils en avaient connaissance avant qu’elle n’advienne, et qu’ils ont tardé à envoyer des secours. Soylu a ajouté : « Chaque ambassadeur US se demande comment il peut nuire à la Turquie. Ce fut l’un des plus grands malheurs de la Turquie depuis des années. Ils rassemblent d’autres ambassadeurs et essaient de leur donner des conseils. Ils font de même en Europe de sorte que les ambassades US gouvernent l’Europe ».
Les Turcs, qui sont très nationalistes, approuvent. Mais le ministre n’en est pas moins toujours un mafieux et un islamiste, dénoncé publiquement par un autre parrain, Sedat Peker, aujourd’hui en fuite. Celui-ci a révélé dans une série de vidéos diffusées sur Internet que Süleyman Soylu et le fils du Premier ministre Binali Yıldırım ont eu recours à des soldats d’Al-Qaëda pour renverser les putschistes de 2016. Il leur a livré des armes via une compagnie militaire privée, la SADAT. Ce sont eux qui ont vaincu les soldats insurgés sur le pont du Bosphore.
Chute de la valeur de Fox News après le départ de Tucker Carlson, poussé à la sortie par Dominion Voting Systems Inc.
La chaîne FOX News Media et Tucker Carlson ont annoncé leur séparation lundi dernier, selon un communiqué officiel de FOX News. Un porte-parole de la chaîne a exprimé sa gratitude pour le travail de Carlson en tant qu’animateur et contributeur. En attendant qu’un remplaçant permanent soit nommé, un programme intérimaire intitulé « Fox News Tonight » sera diffusé à 20h00, animé par une rotation de différentes personnalités de Fox News.
Clap de fin pour Carlson
Le célèbre animateur, déjà très populaire, a récemment vu sa notoriété augmenter dans le monde entier en raison de ses prises de position contre l’obligation vaccinale, les restrictions imposées par les gouvernements, la guerre en Ukraine et le président Zelensky, ainsi que la promotion du mouvement woke et de la propagande sur les questions de genre. Lors de sa dernière apparition sur la chaîne, Carlson a reçu une pizza livrée par un héros livreur qui avait auparavant arrêté un voleur de voiture. Pour le célèbre podcasteur Graham Allen, « Il n’y a pas de meilleure façon de clôturer la plus grande émission d’information de l’histoire ! »
Et dans ce cadre, il apparaît normal qu’un contre-pouvoir puisse contrôler que ce fondement suprême soit bien respecté. Pour autant, notre Cinquième République est conçue d’une telle manière que la réalité est très loin de cet idéal.
On parle bien peu d’eux, mais la réforme des retraites initiée par Emmanuel Macron les a remis sur le devant de la scène. Et une nouvelle fois, les « Sages », comme on les appelle bien curieusement, n’ont fait que défendre le gouvernement en place.
Une composition qui pose question
Bien sûr, on pourrait largement s’attarder sur le fait que notre actuelle Constitution n’a pas été écrite par le peuple et qu’elle a été validée par un corps électoral dont la plupart des composants sont aujourd’hui décédés. Par là, on pourrait sans doute déjà remettre en cause sa légitimité.
Mais on peut également s’offusquer sur la manière dont a été construit l’organe censé veiller au respect du fondement de notre Cinquième République : Le Conseil constitutionnel. Il faut d’abord savoir que ses neuf membres sont nommés par les présidents de la République, de l’Assemblée nationale, et du Sénat pour une durée de neuf ans. Tous les trois ans, un tiers du Conseil est renouvelé. Nicolas Sarkozy et François Hollande, en tant qu’anciens chefs de l’État, auraient de même le droit d’y siéger, mais ne le font pas.
Or, ceux qui choisissent les « sages » sont aussi ceux qui fabriquent la loi.
Il apparaît pourtant absurde que des individus en capacité de créer des règles anticonstitutionnelles soient également ceux qui nomment les personnes chargées de vérifier la validité de leurs propositions. C’est un peu comme si une équipe sportive désignait elle-même l’arbitre d’un match.
Cependant, certaines des mesures proposées suscitent des préoccupations chez les particuliers. À partir de 2027, les ménages devront s’acquitter d’une taxe sur le carburant et le chauffage pouvant atteindre 45 euros par tonne… en sachant que un Français émet en moyenne 10 tonnes de CO2 par an, soit une enveloppe de 30 milliards. Cette mesure intervient à un moment difficile pour les citoyens, en cette période d’inflation sur fond de guerre en Ukraine.
Malgré ces préoccupations, le Parlement a approuvé le paquet législatif dans son ensemble. Le plan comprend une réforme du marché européen du carbone, avec une réduction des quotas d’émissions pour les grands industriels et une extension du marché carbone au secteur maritime. De plus, un mécanisme d’ajustement carbone aux frontières sera créé.
Bien que le paquet législatif comprend la création d’un nouveau mécanisme d’ajustement carbone aux frontières et d’un Fonds social pour le climat. Le risque de délocalisation des entreprises est lié à la possibilité que les entreprises choisissent de déplacer leur production vers des pays ayant des politiques environnementales moins contraignantes pour éviter les coûts associés aux réglementations environnementales. Cela peut entraîner une perte d’emplois et une réduction de la production dans les pays ayant des politiques environnementales plus strictes.
Protégé vos enfants, c’est une obligation et votre devoir, ils veulent les traumatiser à vie et les emmener en enfer, ils n’ont plus rien à perdre et tente le tout pour le tout pour pervertir et effondrer l’humanité.
En effet, au travers du “LGBêtise” premièrement, ce sont les réseaux pédophiles qui sont aux commandes, en second, c’est la diminution de la population au même titre que les vaccins, les guerres, les maladies, pour l’extinction de l’humanité comment ? Tout simplement en empêchant la reproduction naturelle de l’humain et troisièmement, le transhumaniste pour leur récolte d’argent avec l’industrialisation et le commerce de leurs usines à bébé grâce aux enlèvements ou autres viols que nous connaissons tous dans les tunnels, aider aussi aux travers par des associations (comme l’ASE pour la France et tellement d’autres dans le monde inventé par le plus grand pédophile anglais). Le tout en excuses pour “commercer de l’humain” pour leur plaisir divers.
La suite est de procéder aux “transhumanistes par ventes et contrôle, seulement pour eux et leurs comptes en banque”, ce cocktail est leur plan pour “la continuité du dépeuplement du monde“, (dites vous que les premiers organisateurs de ce système sont ceux qui sont toujours proches des enfants, pensé à Macron enfant). Vous comprenez maintenant ?
Ils vous culpabilisent aux travers de leurs progrès social comme excuse, mais c’est une machine de guerre qu’ils ont mis en place, un lavage de cerveau mondial écrit par les premiers plus grand pédophile du monde. La sexualité, c’est comme la religion, elle doit se découvrir sans orientation ou obligation et elle se doit d’être personnelle et doit rester personnelle et sans exposition, “une découverte personnelle”. À lire : “Pédophilie : histoire de la fabrication d’une évidence contemporaine”. Et aussi du club médiapart : “L’élite et l’oligarchie mondiales pédophiles”
J’ai déjà parlé à maintes reprises de l’incompréhension absolue de la plupart des gens en ce qui concerne Wagner et son rôle dans le conflit.
Certains l’ont apparemment considéré comme une sorte de singleton autonome, avec Prigozhin comme commandant en chef et stratège militaire. En réalité, Prigozhin n’est bien sûr pas le véritable « commandant » des forces. Il n’a aucune expérience militaire à proprement parler et ne sait probablement presque rien des tactiques/stratégies militaires. Il n’est que le visage public du groupe, le porte-parole.
Le véritable commandant de Wagner serait un nom de code Lotus, ou Lotos en russe.
Lotus, né Anton Yelizarov à Rostov, en Russie, était un officier de réserve russe et diplômé de plusieurs prestigieuses académies militaires russes dans les années 90, dont l’école de parachutistes d’élite Suvorov Military Guards Ulyanovsk et l’école aéroportée Ryazan. Il a ensuite servi dans le district militaire du Sud en tant que commandant de peloton et de compagnie dans la 7e division de montagne d’assaut aéroportée d’élite. Il aurait ensuite été promu à la 10e brigade des forces spéciales séparées du GRU.
Il a ensuite été transféré à Wagner et aurait servi en Syrie où il a été blessé, ainsi qu’instructeur en République centrafricaine, puis commandant en Libye.
En bref : ce type a une sacrée carrière et une expérience de conflit actif sans pareille.
Nous vivons dans un monde entre-tissé de voix, qui dégagent du sens par-delà l’invisible de la nuit ou du lointain, et révèlent la part merveilleuse du monde. Ces voix nous portent et nous parlent, sans même que nous y prêtions attention. Même les productions sonores abiotiques – tonnerre, murmures de pluie ou roulement des vagues – demeurent porteuses de sens et sont interprétables. Les plantes, sait-on depuis peu, sont sensibles aussi aux vibrations sonores. Tout comme les arbres, d’une certaine manière, écoutent. Mais le bruit contemporain, cet immondice de nos sociétés industrieuses, brouille l’accès à ces réalités sensibles du vivant. L’Anthropocène se double de Thorivocène (du grec thóryvos, bruit), ère du vacarme et de l’irrelationnel.
Les zones indemnes de pollution sonore ont chuté de 50 à 90 % depuis le début de l’essor industriel, au XIXe siècle, et les villes sont elles-mêmes devenues invivables. Dans le seul cœur de l’Île-de-France, le bruit causé par les transports entraîne, pour chaque habitant, une perte de onze mois de vie, soit une perte globale de 108 000 années de vie en bonne santé. Plus de 70 % des Parisiens sont incommodés par le bruit, fenêtres à double vitrage pourtant fermées. Et dans les environnements lycéens, l’écoute au casque de musiques amplifiées conduit aujourd’hui un élève de terminale sur sept à devoir s’accommoder d’une oreille vieillie de trente ans. Le bruit se glisse partout. Et, partout, il altère l’écoute.
Mais nous ne sommes pas seuls à en souffrir. Agissant tel un interrupteur relationnel, le bruit fait barrage à l’écoulement du vivant. Il obstrue la libre circulation des voix, multiplie les accrocs dans le tissu serré des relations entre êtres vivants. L’anthropophonie a désormais envahi les espaces marins en y multipliant les ronflements assourdissants des navires, les percussions répétées des prospections minières et autres problématiques sonars militaires. Elle est l’une des sources des emblématiques échouages de cétacés.
Dans le présent article, je résume son parcours que les Occidentaux n’ont pas compris, et j’invite à penser ce qui pourra advenir lorsqu’il aura disparu.
L’URSS s’est effondrée sur elle-même, non pas à partir de la guerre d’Afghanistan (1979-89), mais à partir de la catastrophe de Tchernobyl (26 avril 1986). Les Soviétiques se sont soudainement rendus compte que l’État ne maîtrisait plus rien. Les membres du Pacte de Varsovie, dont Léonid Brejnev avait fait des vassaux, se révoltèrent. Les Églises, les Jeunesses Communistes et les Gays d’Allemagne de l’Est firent tomber le Mur de Berlin [1]. Non seulement l’URSS ne réagit pas, mais elle abandonna ses alliés hors d’Europe, notamment Cuba. Le Premier secrétaire du parti, Mikhaïl Gorbatchev, se transforma de réformateur en liquidateur. L’URSS éclata, créant quantité de nouveaux États indépendants. Puis ce fut la descente aux enfers. Quelques « Nouveaux Russes » s’approprièrent les biens collectifs et se livrèrent une guerre à la mitraillette dans les rues de Moscou et de Saint-Petersbourg. La production s’effondra. Il devint difficile de trouver à manger dans de nombreuses régions russes. L’espérance de vie chuta brutalement d’une quinzaine d’années. La chute fut si brutale que personne n’aurait alors pensé que le pays se relèverait rapidement.
Simultanément, les États-Unis imaginent ce qu’ils pourraient faire sans rival. Le président George H. Bush Sr., s’exprimant devant le Congrès réuni au grand complet le 11 septembre 1990, lance l’idée d’un « Nouvel Ordre Mondial ». Il vient de mettre en scène une guerre dans le Golfe à laquelle presque tous les États du monde se joignent. Avant même la dissolution de l’URSS, les États-Unis sont devenus l’hyperpuissance que nul ne conteste [2]. Le straussien Paul Wolfowitz élabore une doctrine visant à prévenir l’émergence d’un nouveau compétiteur, qui prendrait la place de l’Union soviétique. Il désigne sans hésiter le projet politique de François Mitterrand et d’Helmut Köhl, l’Union européenne, comme l’ennemi à abattre. Celle-ci est viciée dès le départ avec l’obligation d’y faire adhérer tous les États du Pacte de Varsovie et de l’ex-URSS jusqu’à ce que ses institutions deviennent impraticables et l’inscription dans le Traité de Maastricht de la défense de l’UE par Washington.
Le Pentagone est si sûr de ne plus avoir d’adversaire à sa hauteur qu’il démobilise 1 millions d’hommes une fois l’Iraq écrasé. Les unités de recherche-développement des armées sont dissoutes. Le président Bush père croit que cette guerre est la dernière et qu’une ère de prospérité débute.