En l’espace d’une semaine, comme beaucoup, j’ai vécu des heures inquiètes à faire le pied de grue devant un palais de justice en espérant des sorties de garde à vue, l’effroi devant la violence des forces de l’ordre, les témoignages glaçants de Sainte-Soline, les mensonges du gouvernement, les tentatives de diversion par menaces de dissolution et les vaguelettes d’un Plan eau ballottant à la surface, ignorant des profondeurs, flottant sans grâce aucune.
Quand tous les recours ont été épuisés, quand les scientifiques ne sont pas écoutés, quand nos jeunes se font arrêter, quand les camarades se font mutiler, quand la loi n’est plus respectée par les représentants de l’État, quand on ordonne aux services d’urgence de trier entre les blessés, il serait criminel de rester les bras croisés. Mais nous nous épuisons. Je vois mes amies, mes proches, toutes et tous abasourdis, épuisés, moroses, inquiets, même les plus aguerris. Il me semble qu’un cap a encore été franchi. Moi-même je reste sidérée devant les images de mutilés, ne sachant plus comment contrer la mauvaise foi, les manipulations et les mensonges éhontés, ayant le sentiment d’avoir répété les mêmes choses mille fois, vidée de toute énergie.
Une illustration flagrante en a magnifié le processus ces trois années de covidémie. Afin de donner l’illusion de maîtriser la situation, le système politico-médiatique a divisé la population entre corona-positifs, corona-« vaccinés » et corona-sceptiques. L’art médical a été annihilé et la notion si connue de « le microbe n’est rien, le terrain est tout » (A. Béchamp) a été niée. Les finances ont été investies massivement dans un produit brandi comme une panacée, fragmentant ainsi la richesse des nations et la santé des populations.
Un auteur décrit très clairement « La fragmentation dans la science et la société » à la page 173 :
« Si la science et la technologie sont entachées de défauts et ont des répercussions préjudiciables à la société, c’est qu’elles reflètent une grave imperfection de la société même : la fragmentation. Aucune activité humaine, aucun élément de l’univers n’est – pas plus que l’homme lui-même – comparable à une île ; et pourtant nous traitons tous ces « fragments » comme s’il s’agissait d’entités distinctes sans considérer comment ils s’articulent en « touts ». La fragmentation est profondément ancrée dans la pensée et le langage humains. (…)
Une solution : Il faudrait donc maintenant, estime-t-on, que la société reprenne en main la science dans son ensemble pour faire en sorte qu’elle serve effectivement l’intérêt de l’humanité et pour chercher à réduire l’écart qui la sépare des autres aspects de la vie. »
La fragmentation obéit aussi à des critères politiques qui se dissocient des différents secteurs de la société tout en s’appuyant sur certains qui sont de connivence. Nous apprenons que « La HAS donne son feu vert à la levée de l’obligation vaccinale pour les soignants » :
« La Haute autorité de santé (HAS) recommande de « lever l’obligation de vaccination » contre le Covid-19 en vigueur depuis 18 mois pour les soignants et les autres professionnels concernés. »
Comment une autorité de santé peut-elle aussi longtemps restreindre à ce point les besoins sanitaires d’une population et étouffer la conscience de tant de professionnels de la santé ?
La recherche médicale est aussi terriblement segmentée, autant par l’origine des financements que par l’objectif recherché. Un exemple nous en est donné par une étude lancée au sujet du covid long avec un objectif très délimité.
« Un essai clinique, coordonné par les HUG, est en cours afin de tester un médicament susceptible de traiter le Covid Long. Ou plus exactement, une certaine catégorie de personnes atteintes par ce nouveau mal. Le recrutement a commencé pour inclure les 200 patients répondant à tous les critères de participation (qui sont forcément bien délimités et peu représentatifs de l’entièreté des malades). Mais d’autres critères sont aussi pris en compte, comme la présence d’une certaine protéine dans l’organisme. Elle s’appelle « HER-W ENV ». La protéine qui se cache derrière ce nom quelque peu barbare est suspectée d’être responsable de nombreux cas de Covid Long ; on la retrouve chez plus d’un patient sur quatre affecté par la maladie. »
D’autres établissements hospitaliers participent à cette étude qui est destinée à tester une molécule s’attaquant à ladite protéine, afin de la neutraliser. Quelle réduction, quelle fragmentation de la complexité de l’organisme humain !
Un être humain est un micro-univers qui se révèle dans un corps connecté à une âme et à un esprit. La technicité actuelle cherche à le réduire en une Intelligence Artificielle (IA).
Dans la ligne droite du 1.4.2023, Radio Courtoisie expose très pertinemment : « Votre QI n’est pas votre liberté de pensées, de raisonner. Mettre une puce pour augmenter le QI à 250 consiste à prendre le contrôle de votre intellect. Votre cerveau humain sera soumis à ce QI. On peut être ainsi contrôlé et hacké. La puce électronique vous enlève le libre arbitre. »
C’est un exemple fort que le transhumaniste ne fait qu’augmenter l’homme de façon fragmentée.
Comment peut-on appeler cela ? “Monopole directif sous lois abusives”, voici en substance leur projet, black rock va acheter le parc immobilier et vous allez devenir locataire, ensuite votre retraite, etc. Voilà le vrai visage de l’Europe, une dictature pour les pays piégé à l’intérieur, il faut les arrêter, car leur seul et unique objectif est qu’ils veulent vous ruiner pour vous réduire à l’esclavage avec le revenu universel en ligne de mire pour tous. Regardez comment il recommence de vous faire peur avec l’eau aujourd’hui… afin de mieux rentrer dans le moule.
Comment peut-on appeler cela ? “Monopole directif sous lois abusives”, voici en substance leur projet, black rock va acheter le parc immobilier et vous allez devenir locataire, ensuite votre retraite, etc. Voilà le vrai visage de l’Europe, une dictature pour les pays piégé à l’intérieur, il faut les arrêter, car leur seul et unique objectif est qu’ils veulent vous ruiner pour vous réduire à l’esclavage avec le revenu universel en ligne de mire pour tous. Regardez comment il recommence de vous faire peur avec l’eau aujourd’hui… afin de mieux rentrer dans le moule.
De plus, leur vrai problème complémentaire est que dans quelques années, ce ne sera même pas de vendre leur maison, mais comment s’y rendre eux-mêmes sans essence et sans argent en raison d’une économie ruinée par l’alignement sur les États-Unis et le pillage de la mafia d’État par le WEF, et son Gourou qui organise le pillage en règle pour des financiers (BR) ayant comme traitre les gouvernants en place. La sélection via le DPE et autre obligation sous couvert du “climat” par le WEF est une manière de valider le projet du great reset. Que les gens ne s’en rendent pas compte est à … pleurer et à hurler.
« C’est un texte ahurissant ! C’est du pré-totalitarisme ! »
Itzel Marie Diaz a reçu Agnès Naudin, capitaine de police, porte-parole du syndicat FSU intérieur, co-auteur de « Police: la loi de l’omerta ». Une lanceuse d’alerte actuellement dans le viseur de la justice qui l’accuse de violation du secret professionnel.
«Nous ne sommes plus une police républicaine, mais un bras armé du gouvernement»
Suite à la mise en examen de Thierry Casasnovas, celui-ci se retrouve interdit d’exercer toutes activités en lien avec la santé, la naturopathie et même le bien-être, jusqu’à ce que son procès puisse avoir lieu (et cela peut prendre plusieurs années). Accusé d’abus de bien social et de détournement de millions d’euros, Thierry clame son innocence et a apporté toutes les preuves et explications sur le volet fiscal.
Si vous souhaitez soutenir Thierry Casasnovas et l’aider à prouver son innocence, vous pouvez cliquer sur le lien suivant pour en savoir plus : https://crowdbunker.com/fund/thierry
À la fin de la première guerre du Golfe, Saddam Hussein a été dénoncé comme un méchant féroce pour avoir ordonné à ses troupes en retraite de détruire les champs pétrolifères koweïtiens, coagulant l'air de nuages toxiques de fumée noire et saturant le sol de marécages de brut. Cela a été appelé à juste titre un crime de guerre environnemental.
Mais des mois de bombardements de l'Irak par des avions et des missiles de croisière américains et britanniques ont laissé derrière eux un héritage encore plus meurtrier et insidieux: des tonnes de douilles, de balles et de fragments de bombes mélangés à de l'uranium appauvri. Au total, les États-Unis ont frappé des cibles irakiennes avec plus de 970 bombes et missiles radioactifs.
Il a fallu moins d'une décennie pour que les conséquences sanitaires de cette campagne de bombardements radioactifs commencent à se faire jour.
Et ils sont terribles, en effet. Les médecins irakiens l'appellent «la mort blanche» - la leucémie. Depuis 1990, le taux de malades de la leucémie en Irak a augmenté de plus de 600%. La situation est aggravée par l’isolement forcé de l'Irak et le régime sadique des sanctions, récemment décrit par le secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan, comme «une crise humanitaire», qui rend la détection et le traitement des cancers d'autant plus difficiles.
«Nous avons la preuve de traces d'uranium appauvri dans des échantillons prélevés pour analyse et ça contredit carrément ceux qui affirment que les cas de cancer ont augmenté pour d'autres raisons», a déclaré le docteur Umid Mubarak, ministre irakien de la Santé.
Le docteur Mubarak soutient que la crainte des États-Unis de faire face aux conséquences sanitaires et environnementales de leur campagne de bombardements à l'uranium appauvri est en partie à l'origine de leur échec à respecter leurs engagements dans le cadre d'un accord autorisant l'Irak à vendre certaines de ses vastes réserves de pétrole en échange de nourriture et de fournitures médicales.
«La poussière du désert transporte la mort», a déclaré le docteur Jawad Al-Ali, oncologue et membre de la Royal Society of Physicians d'Angleterre. «Nos études indiquent que plus de quarante pour cent de la population autour de Bassorah aura un cancer. Nous sommes en train d’assister à un autre Hiroshima.»
La plupart des victimes de leucémie et de cancer ne sont pas des soldats. Ce sont des civils. Et beaucoup d'entre eux sont des enfants. Le Comité des sanctions irakiennes, dominé par les États-Unis, à New York, a rejeté les demandes répétées de l'Irak pour du matériel de traitement du cancer et des médicaments, même des analgésiques comme la morphine. En conséquence, les hôpitaux débordés dans des villes comme Bassorah sont obligés de traiter les cancéreux avec de l'aspirine.
Cela fait partie d'une plus grande horreur infligée à l'Irak qui voit jusqu'à 180 enfants mourir chaque jour, selon les chiffres de mortalité compilés par l'UNICEF, à partir d'un catalogue de maladies du 19ème siècle: choléra, dysenterie, tuberculose, e. coli, oreillons, rougeole, grippe.
Elle admettait néanmoins que l’épidémie de covid était à un niveau très faible. De plus, selon elle, 86 % des personnels soignants ont fait leur première dose de rappel (soit 2 doses sur 4 en tout) dans les Ehpad et 89 % chez les médecins libéraux. La réintégration souhaitée ne concernerait que 1 000 infirmiers sur 4 000 soignants non vaccinés. Le gouvernement, par la bouche du ministre François Braun, a indiqué qu’il suivra cette préconisation.
Dès le lendemain, le syndicat national des professionnels infirmiers réagissait avec virulence. Voici un extrait du communiqué du SNPI, qui s’oppose à la préconisation de la HAS de réintégrer les personnels non vax des hôpitaux et des Ehpad.
Alors que Hersh a révélé que la CIA était chargée « de donner une impulsion au système dans le but de rejeter l’affirmation selon laquelle Biden avait ordonné la destruction des pipelines », ils ont mis en action les capacités d’intelligence artificielle des agences d’espionnage américaines “Project SABLE SPEAR” (Projet LANCE EN SABLE), et pour comprendre le véritable pouvoir et la menace de TikTok, une bonne première étape est de lire le document “Why TikTok made its user so obsessive? The AI Algorithm that got you hooked” (Pourquoi TikTok a rendu son utilisateur si obsessionnel ? L’algorithme d’IA qui vous a rendu accro).
L’un des leaders mondiaux de la recherche sur l’intelligence artificielle est le laboratoire OpenAI, le créateur du générateur avancé de langage d’intelligence artificielle ChatGBT ChatBot. Lors d’une récente interview, le PDG de ces laboratoires d’intelligence artificielle, Sam Altman, a déclaré avec crainte : « Je pense que les gens devraient être heureux que nous soyons un peu effrayé par cela… Je suis particulièrement inquiet que ces modèles puissent être utilisés pour une désinformation à grande échelle… La chose que j’essaie le plus de mettre en garde les gens est ce que nous appelons le “problème des hallucinations”… Le modèle énoncera avec confiance les choses comme s’il s’agissait de faits, mais elles sont entièrement inventées ». Et le co-fondateur de ce laboratoire d’intelligence artificielle, Elon Musk, a carrément averti lors d’un discours au symposium du centenaire du département d’aéronautique et d’astronautique du MIT le 24 octobre 2014 : « Avec l’intelligence artificielle, nous invoquons le démon. Dans toutes ces histoires où il y a le gars avec le pentagramme et l’eau bénite, c’est comme ouais il est sûr qu’il peut contrôler le démon… ça n’a pas marché ».
Au cours des dernières 48 heures, le “démon” de l’intelligence artificielle et son “problème d’hallucinations” ont été mis en évidence après que le président Donald Trump a publié une vidéo dévoilant son plan de démantèlement de l’État profond, qui a été visionnée 1,7 million de fois — une vidéo immédiatement contrées par l’intelligence artificielle, des images créées montrant le président Trump se battant furieusement avec les policiers de New York qui l’arrêtent, ont été visionnées plus de 4 millions de fois et constituent une démonstration terrifiante prouvant le pouvoir de l’intelligence artificielle sur la vérité.
« Avec l’IA, nous invoquons le démon »
Israël, premier exportateur de services en matière de campagnes de diffamation, fausses nouvelles et trucage d’élections, engrange des bénéfices juteux, mais la responsabilité juridique de ces crimes contre la démocratie risque de lui être imputée à plus long terme.
En février 2023, les journalistes d’investigation de l’association Forbidden Stories ont publié un nouveau chapitre de leur projet « Story Killers »1, révélant un réseau d’entreprises israéliennes qui fournissent des services de désinformation aux plus offrants. Ces services, qui portent la cyberguerre à un autre niveau, comprennent des campagnes de diffamation, la diffusion de fausses nouvelles et le trucage d’élections et de référendums.
La prise de conscience de la manière dont les médias sociaux, la surveillance et l’exploration de données peuvent influencer les élections s’est faite après que le scandale de Cambridge Analytica a été rendu public en 20182. Cambridge Analytica a influencé plus de 200 élections dans le monde, et l’un de ses principaux fournisseurs de technologie était Archimedes Group, une société israélienne. Lorsque l’une de ses cadres dirigeantes Brittany Kaiser s’est présentée devant le Parlement britannique pour dénoncer ces crimes, elle a affirmé qu’elle ne se souvenait pas des noms des employés israéliens d’Archimedes Group avec lesquels elle avait travaillé.
La cyberguerre en général et la désinformation en particulier sont des armes très dangereuses. Elles sapent le processus démocratique lorsqu’elles sont utilisées pour influencer les élections en diffusant des rumeurs et de fausses informations, et elles peuvent également devenir mortelles. Ainsi, la journaliste indienne Gauri Lankesh a été assassinée en septembre 2017, quelques jours avant de publier un article sur la désinformation et ses dangers. Elle était elle-même la cible d’une campagne de calomnie. Après son assassinat, on a découvert que les personnes qui l’avaient attaquée sur les réseaux sociaux n’avaient jamais existé. Leurs comptes ont ensuite été supprimés, masquant ainsi les traces de ceux qui avaient orchestré la campagne.
Mais il y en a tant d’autres, qui débordent des titres de la presse. Colère des infirmières, des profs, des postiers, des cheminots, des habitant·es des quartiers populaires, des féministes, des parents d’élèves… pour n’en citer que quelques-unes. Il y a les colères installées, passées sous les radars des grands médias mais toujours présentes, comme celle suscitée par le pass sanitaire et la suspension des personnels non vaccinés. Les colères de fond, contre les injustices sociales et notre parodie de démocratie. Et enfin les colères manipulées, orientées contre des boucs émissaires – « immigrés », musulmans, chômeurs, fonctionnaires… Ces colères-là jouent sur les peurs. « La peur mène à la colère, la colère à la haine… » Il disait pas que des conneries, Yoda.
Mais son propos est quand même restrictif. Le calme olympien des jedi, qui par leurs émotions jamais ne doivent se laisser envahir, renvoie aux philosophes grecs qui prônaient la maîtrise de soi : pour eux, la colère était signe d’impuissance. Si les Romains ont valorisé l’indignation, il s’agissait d’une valeur aristocratique – « une vertu consistant à avoir honte des fautes commises par soi-même ou par autrui envers les exigences de son rang », explique le philosophe Pierre Zaoui (1). Dans le christianisme, la colère est l’un des sept péchés capitaux. Il s’agit là de visions essentiellement individualistes.
Qu’en est-il des colères collectives ? Nous entraînent-elles forcément du « côté obscur », comme le craignent Yoda et tous ceux qui, dans le courroux populaire actuel, voient déjà se profiler un beau score de l’extrême-droite à la présidentielle de 2027 ? Une chose est sûre : le soir du 20 mars, quand la motion de censure présentée pour dissoudre le gouvernement a échoué à neuf voix près, il faisait bon être dans la rue, avec d’autres gens en colère, plutôt que seul chez soi.
« La peur est le chemin vers le côté obscur : la peur mène à la colère, la colère mène à la haine, la haine mène à la souffrance. »
Cela peut vous choquer. Mais ce n’est le cas que si vous ne comprenez pas l’histoire de l’Ukraine et ce qui s’y passe depuis 1991, lorsque l’Union soviétique a éclaté et que toutes ses républiques ont déclaré leur indépendance.
L’indépendance est importante pour les Ukrainiens depuis au moins les années 1920, lorsque l’Organisation des nationalistes ukrainiens (OUN) a été fondée. J’ai déjà écrit sur les atrocités commises par l’OUN et ses dirigeants, notamment Stepan Bandera, un nazi qui a servi aux côtés de la Wehrmacht pendant l’opération Barbarossa.
Il est incontestable que l’OUN, dirigée par Bandera, a assassiné plus de cent mille personnes. Des corps de victimes sont d’ailleurs encore exhumés aujourd’hui.
Restes exhumés de victimes de l’OUN, Pologne, années 1990. Crédit photo : kresky.pl
La liste des atrocités commises par l’OUN est longue et bien documentée, malgré l' »amnésie » qui semble avoir gagné une grande partie de l’Europe. Voici les plus célèbres d’entre elles :
Et ce n’est qu’une liste partielle.
N’hésitez pas à consulter tous les liens que j’ai inclus dans la liste ci-dessus. Même le Smithsonian institue n’hésite pas à reconnaître les mérites des collaborateurs ukrainiens des nazis.
00:30 Faux canaux STRATPOL
01:30 Comment immigrer en Russie
03:30 Nouvelles économiques : dédollarisation
07:52 Prise de risques pour la BITD française
09:40 Mariani vs gaucho-bellicisme parlementaire
11:28 Poloneries
13:33 Otano-mensonge : les enfants ukrainiens
14:55 Elites gauchistes vs enfants et femmes ukrainiennes
16:34 Déstanilisation
19:24 "En même temps diplomatique"
20:40 Supériorité du SU-35
22:00 Presse US : mobilisation en Ukraine, offensive ukrainienne
24:13 Stratégie russe selon Progojine
26:00 Carte des opérations militaires