La forte contamination en glyphosate des rivières européennes provient-elle, en partie, de nos lessives ? C’est l’hypothèse surprenante avancée par des chercheurs allemands de l’université de Tübingen, dans une étude publiée fin juillet par la revue Water Research. Ce sont plus précisément les aminophosphonates qui sont suspectés : cette substance, utilisée dans les détergents des lessives et produits de nettoyage, ainsi que dans certains traitements des eaux industrielles, pourrait se dégrader en glyphosate. Relâché avec les eaux usées de nos villes, celui-ci polluerait alors massivement nos cours d’eau.
Pour étayer leur hypothèse, les scientifiques avancent d’abord une série d’arguments qui prouvent, selon eux, que l’usage agricole du célèbre herbicide ne peut pas être la seule source de pollution de nos rivières. D’abord, parce qu’on mesure du glyphosate en concentration aussi forte dans les eaux européennes que dans les eaux étasuniennes. Alors même que les États-Unis en épandent beaucoup plus dans leurs champs : 138 kg/km² contre 26 kg/km² en Europe.
Les pics de pollution non corrélés aux périodes d’épandage
Autre anomalie : les pics de pollution ne correspondent pas en Europe aux moments où l’herbicide est utilisé. Normalement, les concentrations en glyphosate devraient augmenter aux saisons où il est utilisé dans les champs et après les fortes pluies qui entraînent son ruissellement dans les cours d’eau. C’est bien le cas aux États-Unis, mais pas en Europe, où les pics ne correspondent ni aux périodes pluvieuses ni aux périodes d’épandage du printemps et de la fin de l’été.
Pour mener cette comparaison, les chercheurs ont rassemblé un large jeu de données d’échantillons d’eau prélevée sur une centaine de sites au total, aux États-Unis et en Europe, entre 1997 et 2023. En plus des teneurs en glyphosate, ils se sont aussi intéressés à la présence d’autres molécules : plusieurs pesticides, comme le metazachlore, et des polluants issus des eaux usées urbaines, comme la carbamazépine, utilisé comme médicament.
Et là encore, leurs données semblent conforter leur hypothèse : les hausses de concentration de glyphosate ne surviennent pas en même temps que celles des autres pesticides. Ce qu’elles devraient faire si elles avaient une source commune. Elles suivent en revanche les mêmes évolutions que les concentrations de médicaments, suggérant une provenance identique : les eaux usées des villes. C’est également dans les échantillons prélevés juste à l’aval des rejets de stations d’épuration que les concentrations en glyphosate sont les plus fortes.
Le glyphosate : un dérivé de substances utilisées dans les détergents ?
Les chercheurs n’ont pas ciblé les eaux usées par hasard. On sait depuis déjà de nombreuses années que celles-ci rejettent massivement de l’acide aminométhylphosphonique (Ampa) — une molécule connue pour être un produit de dégradation (ou métabolite) du glyphosate. Les deux substances ont d’ailleurs été observées avec des comportements identiques par les scientifiques de l’université de Tübingen.
Mais pourquoi retrouve-t-on Ampa et glyphosate, normalement associés aux usages agricoles, dans les eaux des villes ? Le suspect était en réalité déjà identifié pour l’Ampa : on sait qu’il peut être un dérivé de ces fameux aminophosphonates, utilisés dans les détergents.
L’hypothèse des chercheurs va un cran plus loin : et si le glyphosate pouvait lui aussi être produit par ces aminophosphonates ? Ils en sont d’autant plus persuadés que les phosphonates susceptibles de générer du glyphosate sont présents dans les lessives européennes mais très peu dans les lessives étasuniennes, d’après les données — quoi qu’anciennes et parcellaires — qu’ils ont collectées. Ce qui expliquerait les anomalies observées entre les deux continents.
« Tous les résultats étranges de notre méta-analyse s’expliquent si l’on considère que le glyphosate se forme à partir d’aminophosphonates. Je ne vois pas d’autre source possible », dit Carolin Huhn, professeure à l’Institut de chimie physique et théorique et autrice principale de l’étude.
Plusieurs chercheurs sollicités par Reporterre et n’ayant pas pris part à cette étude confirment l’intérêt et le sérieux de sa méthodologie. « Ce n’est pas vraiment une méta-analyse contrairement à ce qui est affirmé, mais cela n’enlève rien à la qualité du travail, l’analyse des données me semble pertinente. L’hypothèse sur l’origine urbaine du glyphosate est posée mais sans apporter de réponse », note toutefois Julien Tournebize, chercheur à l’Inrae, qui dirige l’équipe Artemhys, spécialisée dans les pollutions diffuses d’origine agricole et dans la contamination des eaux notamment.
C’est en effet le point crucial qui reste à éclaircir : si l’étude allemande démontre que le glyphosate ne peut pas provenir uniquement de l’agriculture, et que les sources urbaines pourraient même être majoritaires, la transformation des détergents de lessives en glyphosate n’est, à ce stade, qu’une hypothèse. Une seule étude, datant de 1998, observait expérimentalement que l’aminophosphonate pouvait produire du glyphosate et de l’Ampa.
« Je travaille depuis 2022 avec mon équipe sur cette hypothèse. Nous avons conduit un travail intense de laboratoire sur la transformation des phosphonates. Nous sommes en ce moment même en train de finaliser des travaux pour publication, sur la formation de glyphosate à partir de DTPMP [un type de phosphonate présent dans les lessives européennes et quasiment absent des produits étasuniens], qui corroborent nos découvertes, dans nos expériences de laboratoire mais aussi dans les eaux usées », assure Carolin Huhn.
La piste des détergents doit être prise au sérieux
En attendant la publication de ces résultats, et celle d’autres travaux corroborant potentiellement l’analyse des chercheurs allemands, la prudence reste de mise tant les caractéristiques hydrologiques et de débits varient d’un cours d’eau à l’autre, rendant les comparaisons très complexes. « L’afflux de glyphosate agricole depuis le champ vers un cours d’eau peut varier énormément, de moins de 0,1 % lorsqu’il arrive par drainage, à 2 ou 4 % lors de ruissellements en grande culture, voire encore plus par infiltration dans les nappes. Utiliser un coefficient moyen est forcément imparfait », souligne par exemple Julien Tournebize.
Certaines données pour les États-Unis sont également trop peu nombreuses et diffèrent des européennes dans la manière de quantifier le glyphosate et l’Ampa, relève également Christelle Margoum, ingénieure de recherche en chimie environnementale à l’Inrae. « En me basant sur ces seules données disponibles, je serais donc potentiellement plus réservée que les auteurs sur l’interprétation des résultats et la comparaison entre USA et Union européenne pour ces deux substances », dit-elle.
D’autant que d’autres travaux entrent totalement en contradiction avec ces nouvelles observations. Une méta-analyse publiée en 2019 par des chercheurs français de l’Université Clermont Auvergne concluait : « Les variations saisonnières observées du glyphosate et de l’Ampa dans les eaux de surface françaises coïncident avec les observations faites dans les cours d’eau canadiens (Struger et al., 2015) : les concentrations augmentent du début du printemps à l’été et diminuent de la fin de l’automne à l’hiver, correspondant parfaitement aux calendriers d’application des pesticides pour les cultures. »
Des effets catastrophiques sur les sols et leurs habitants
La variété des arguments apportés par l’équipe allemande, validés par leurs pairs, plaide tout de même pour un approfondissement des recherches et la prise très au sérieux des effets potentiellement délétères de ces aminophosphonates omniprésents dans les détergents européens.
Tout en veillant à ce qu’un danger n’en efface pas un autre. « Dire que le glyphosate dans nos rivières ne proviendrait que des eaux urbaines et qu’il peut être utilisé sans problème dans les champs serait un raccourci terrible », avertit Céline Pelosi, directrice de recherche à l’Inrae, écologue et écotoxicologue des sols. Spécialiste des vers de terre, elle rappelle les effets catastrophiques pour les sols et leurs habitats de l’herbicide : « Même s’il n’allait pas dans l’eau, le glyphosate resterait un problème. » Dans les lessives ou dans les champs, l’urgence reste la même : réduire la pollution au glyphosate.
Pour aller droit au but : que s’est-il réellement passé à Koursk ? Le ministère russe de la Défense a-t-il été pris au dépourvu ? Ou bien l’a-t-il vu venir et a-t-il profité de l’occasion pour tendre un piège mortel à Kiev ?
Des acteurs bien informés, disposés à partager quelques éléments sous couvert d’anonymat, soulignent tous l’extrême sensibilité de l’affaire. Un pro du renseignement a toutefois offert ce qui peut être interprété comme un indice précieux : «Il est plutôt surprenant de voir qu’une telle concentration de forces n’ait pas été remarquée par la surveillance par satellite et par drone à Koursk, mais je n’en exagérerais pas l’importance».
Un autre pro du renseignement préfère souligner que «la section des renseignements étrangers est faible car elle a été très mal gérée». Il s’agit d’une référence directe à l’état des choses après que l’ancien superviseur de la sécurité Nikolaï «Yoda» Patrouchev, lors du remaniement post-inauguration de Poutine, a été transféré de son poste de secrétaire du Conseil de sécurité à celui d’assistant spécial du président.
Les sources, prudentes, semblent converger vers une possibilité très sérieuse : «Il semble qu’il y ait eu une défaillance dans les renseignements ; ils ne semblent pas avoir remarqué l’accumulation de troupes à la frontière de Koursk».
Un autre analyste a toutefois proposé un scénario beaucoup plus précis, selon lequel une faction militaire faucon, répartie au sein du ministère de la Défense et de l’appareil de renseignement – et en désaccord avec le nouveau ministre de la Défense Beloussov, un économiste – a laissé l’invasion ukrainienne se dérouler avec deux objectifs en tête : tendre un piège aux principaux commandants et troupes ennemies de Kiev, qui ont été détournés du front du Donbass – qui s’effondre – et exercer une pression supplémentaire sur Poutine pour qu’il s’attaque enfin à la tête du serpent et achève la guerre.
Cette faction faucon considère d’ailleurs le chef d’état-major général Guerassimov comme «totalement incompétent», selon les termes d’un pro du renseignement. Il n’y a pas de preuve irréfutable, mais Guerassimov aurait ignoré plusieurs avertissements concernant un renforcement ukrainien près de la frontière de Koursk.
Un spécialiste des renseignements à la retraite est encore plus critique. Il se plaint que les «traîtres de la Russie» ont en fait «dépouillé trois régions de leurs troupes pour les livrer aux Ukrainiens». Désormais, ces «traîtres de la Russie» pourront ««échanger» la ville de Souha contre le départ du faux pays qu’est l’Ukraine et présenter cette solution comme inévitable».
Par ailleurs, ce jeudi, Beloussov a commencé à présider une série de réunions visant à améliorer la sécurité dans les «trois régions» – Koursk, Belgorod et Briansk.
Les faucons de l’appareil silovikine cachent pas que Guerassimov devrait être renvoyé et remplacé par le légendaire général Sergueï «Armageddon» Sourovikine. Ils soutiennent également avec enthousiasme Alexander Bortnikov du FSB – qui a de facto résolu l’affaire extrêmement trouble de Prigojine – comme l’homme qui supervise actuellement la situation à Koursk.
Eh bien, c’est compliqué.
La réaction du président Poutine à l’invasion du Koursk était visible dans son langage corporel. Il était furieux : pour l’échec militaire/renseignement, pour la perte évidente de face, et pour le fait que cela enterre toute possibilité de dialogue rationnel sur la fin de la guerre.
Pourtant, il est parvenu à renverser la situation en un rien de temps, en désignant Koursk comme une opération antiterroriste (CTO), supervisée par Bortnikov, du FSB, et avec une logique intégrée de «ne pas faire de prisonniers». Chaque Ukrainien présent à Koursk et ne souhaitant pas se rendre est une cible potentielle, destinée à être éliminée. Maintenant ou plus tard, peu importe le temps que cela prendra.
Bortnikov est le spécialiste des actions concrètes. Il y a ensuite le superviseur de l’ensemble de la réponse militaire/civile : Alexey Dyumin, le nouveau secrétaire du Conseil d’État, qui a notamment occupé le poste de chef adjoint de la division des opérations spéciales du GRU (renseignements militaires). Dyumin ne répond pas directement au ministère de la Défense ni au FSB : il rend compte directement au président.
Traduction : Guerassimov semble désormais être au mieux un prête-nom dans tout le drame de Koursk. Les responsables sont Bortnikov et Dyumin.
La stratégie de la RP de Koursk est vouée à un échec retentissant. Pour l’essentiel, les forces ukrainiennes s’éloignent de leurs lignes de communication et de ravitaillement et pénètrent en territoire russe. On peut établir un parallèle avec ce qui est arrivé au maréchal von Paulus à Stalingrad lorsque l’armée allemande a été débordée.
Les Russes sont déjà en train de couper les Ukrainiens de Koursk, rompant ainsi leurs lignes de ravitaillement. Ce qu’il reste des soldats d’élite lancés à Koursk devra faire demi-tour, face aux Russes qui se trouvent à la fois devant et derrière eux. Le désastre se profile à l’horizon.
L’irrépressible commandant des forces spéciales Akhmat, le général de division Apti Alaudinov, confirme sur Rossiya-1 TV qu’au moins 12 000 membres des forces armées ukrainiennes (FAU) sont entrés dans Koursk, notamment de nombreux étrangers (Britanniques, Français, Polonais). Il s’agira d’une opération «pas de prisonniers» à grande échelle.
Toute personne ayant un QI supérieur à la température ambiante sait que Koursk est une opération de l’OTAN – conçue avec un haut degré de probabilité par un combo anglo-américain supervisant la chair à canon ukronazie.
Tout ce que fait Kiev dépend des systèmes ISR (intelligence, surveillance, reconnaissance) américains et des systèmes d’armes de l’OTAN, bien entendu utilisés par du personnel de l’OTAN.
Mikhaïl Podolyak, conseiller de l’acteur transpirant en T-shirt vert à Kiev, a admis que Kiev avait «discuté» de l’attaque «avec des partenaires occidentaux». Les «partenaires occidentaux» – Washington, Londres, Berlin – en habits de lâcheté, le nient.
Bortnikov n’est pas dupe. Il a succinctement affirmé, sur procès-verbal, qu’il s’agissait d’une attaque terroriste de Kiev soutenue par l’Occident.
Nous entrons à présent dans la phase de combat de positionnement dur destiné à détruire des villages et des villes. Ce sera affreux. Les analystes militaires russes font remarquer que si une zone tampon avait été préservée en mars 2022, les activités d’artillerie à moyenne portée auraient été limitées au territoire ukrainien. Encore une décision controversée de l’état-major russe.
La Russie finira par résoudre le drame de Koursk en éliminant les petits groupes ukrainiens de manière méthodique et meurtrière. Cependant, les questions très sensibles concernant la manière dont cela s’est produit – et qui l’a laissé se produire – ne disparaîtront tout simplement pas. Des têtes devront – au sens figuré – tomber. Car ce n’est que le début. La prochaine incursion aura lieu à Belgorod. Préparez-vous à ce qu’il y ait encore du sang sur la piste.
La décroissance «choisie» comme modèle de vie !
Ou la décroissance «subie-choisie» comme thérapie !
Ou la décroissance «totalement subie» comme conséquence de l’effondrement !
«La décroissance c’est la vie ! Ce mot débute par le préfixe «dé» : il sonne comme une chaîne que l’on brise. C’est la fin d’un mode de production primaire et mortifère basé sur le pillage des ressources naturelles, la puissance des machines, la consommation forcenée des énergies fossiles, le culte du profit et l’aggravation générale de l’inégalité entre les hommes. Je me délecte à l’idée de venir, un jour, humer le parfum des fleurettes qui crèveront l’asphalte des autoroutes abandonnées ou le béton des parkings déserts». – Yves Paccalet
Disons-le franchement la plupart des gens ne sont pas à l’aise avec ce mot «décroissance», se taisent, fuient, sans que jamais personne ne se risque à l’expliquer honnêtement, sauf à la présenter comme un épouvantable retour en arrière et traiter ses partisans de complotistes et pessimistes – bref, ce sujet est quasiment inaudible dans le camp occidental – voici, sans aucune prétention, pour faire court, mon interprétation et tant mieux pour ceux auxquels ça déplaira :
1. La seule décroissance heureuse, efficace et quasiment indolore, positive, donc aisément supportable et fortement souhaitable c’est quand on n’a pas besoin de décroissance, c’est la «décroissance choisie dès le départ et soutenue comme modèle de société» ;
Cela correspond au fonctionnement normal des écosystèmes depuis toujours qui ont pour ainsi dire été réglés comme cela depuis le big-bang ; c’est la norme, le respect des équilibres fondamentaux, originels ; Ce serait donc davantage une «stagnation», une «modération», ou éventuellement une «décélération» comprise comme une correction de trajectoire qui n’aurait que très légèrement dévié, dans un écosystème sain !
Ce qui, pour être efficace et supportable, devrait être appliquée très tôt «dès le début et tout le long du cycle de vie» depuis l’apparition des espèces, dès que l’on s’éloigne d’un fonctionne normal, de base, qui est celui d’un refus quasi-total de toute croissance devant se traduire par une flèche de développement imperceptible, quasiment confondue avec l’horizontale ! Une a-croissance ! C’est de cela dont nous n’aurions jamais dû nous éloigner ! C’est comme cela que nous avons vécu pendant quatre ou cinq millions d’années !
Tant qu’un lac reste oligotrophe (sain et pauvre) sa durée de vie est illimitée, mais dès que commence l’eutrophisation (enrichissement), si elle se poursuit, c’est le début de la fin qui se terminera par la dystrophie (pollution), l’effondrement, la mort de tout ou partie des espèces, voire la disparition du lac !
Dans tous les autres cas (2-3), c’est lorsque l’on constate avec un certain vertige, que l’on est tout en haut de l’échelle du progrès, qu’on se retourne, et que l’on se rend-compte – avec effroi – que les échelons inférieurs de l’échelle ont disparu – pour redescendre il n’y a plus qu’à sauter ! c’est à dire «lorsque c’est le paradis des maîtres», «lorsque les fous sont devenus les maîtres de l’asile», «lorsque la connerie économique prend le pouvoir» et que la croissance qui est à son asymptote a explosé tous les compteurs pendant si longtemps – de manière exponentielle – anarchique (démographie galopante – épuisement des ressources – pollutions – déchets – casse climatique – massacre de la biodiversité – pandémie – cancers – artificialisation des sols – pénuries d’eau – canicules – sécheresses – obsolescence programmée – hors sol – hyper complexifiée – inégalités monstrueuses – guerres…) nous sommes alors en présence d’écosystèmes malades, agonisants, séniles, trop éloignés de leur point d’équilibre pour être rattrapables, ce sera une véritable sanction, extrêmement douloureuse, un effondrement au sens littéral du terme ! Et nous n’avons plus le choix, nous sommes désormais dans ce cas de figure !
Dans la journée de l’humanité il suffit à homo sapiens, de moins d’une minute pour tout bousiller !
Il ne nous reste donc que de choisir entre la peste et le choléra !
2. La peste ce sera la «décroissance subie-choisie», repartir sur de bonnes bases, changer totalement de direction et de concept, en agissant simultanément sur tous les paramètres de causalité (sinon ça ne sert à rien) en espérant en réduire les conséquences, ce qui provoquera un effondrement de la société actuelle afin d’anticiper et éviter le Big-Crunch inéluctable (le choléra) ; C’est-à-dire l’enterrement du capitalisme économique néolibéral mondialisé !
Car nous sommes allés beaucoup trop loin dans les erreurs avec le capitalisme économique néolibéral mondialisé, et qu’il n’est plus possible ni de s’adapter, ni de modifier, ni de durer, ni que ce soit indolore (ça va saigner), ce sera comme je l’ai précédemment indiqué un pré-effondrement, mais qui pourrait sauver la vie sur Terre. Ce serait un peu comme provoquer artificiellement un contre feu dans un incendie qui a déjà quasiment tout dévoré sur la planète à cause de la casse climatique ! Mais je vous vois venir, attention à ne pas accuser la décroissance dans ce cas-là ; le responsable et coupable, c’est bien le capitalisme économique néolibéral mondialisé qui nous a conduit dans cette situation inextricable !
Il faut bien comprendre que la «décroissance subie-choisie», parce qu’elle ne peut plus être une «décroissance douce», un mode de gestion, c’est déjà un constat d’échec, une horreur pour un monde qui sacralise la croissance, c’est celle cependant qui nous permettrait peut-être d’éviter le Big-Crunch – ça veut dire que malgré toute leur propagande il n’y a pas de plan B, que de toute manière il faudra expier nos pêchés, payer pour ce capitalisme économique néolibéral mondialisé le plus sauvage de tous les temps, ce sera d’autant plus douloureux que nous sommes allés beaucoup trop loin dans les aberrations, et qu’il n’y a plus de solution indolore, plus de correction possible que le chaos, pas d’autre Terre où migrer, après l’adrénaline et l’hémoglobine des trente glorieuses et au-delà, voici venu le temps de payer la note qui risque de durer beaucoup plus longtemps – ce sera la fin de la religion capitaliste néolibérale (le scientisme), la fin du progrès–marché-croissance–mondialisation–main invisible-ruissellement ! Le retour à un certain primitivisme, comme en décroissance totalement subie mais peut-être un peu moins, qui nous pend au nez, que ça nous plaise ou non ! Parce que c’est comme cela que ça fonctionne et pas autrement !
3. Le choléra : ce sera le stade ultime : «la décroissance totalement subie», par effondrement total de notre écosystème, donc de notre modèle de société (le capitalisme économique néolibéral mondialisé), rendu au bout du bout, devenu complètement sénile, que nous aurons poussé jusqu’à l’extrême, jusqu’à l’absurde, jusqu’au suicide collectif ! Ce sera terrible, probablement que peu d’entre nous survivront, ce sera le chaos, l’apocalypse pour l’ensemble du vivant mais insignifiant pour la Terre et le fonctionnement de l’univers qui est en perpétuelle expansion ! Mais attention dans ce cas de figure également ne nous trompons pas sur les causes (le déterminisme), c’est le capitalisme économique néolibéral mondialisé et son effondrement qui sont responsables et coupables et non pas la décroissance qui en résulte !
En effet, dans sa conception naturelle, environnementale, l’effondrement qui se traduit par la décroissance subie ou forte, frappe, sanctionne les sociétés qui n’ont pas su, pas voulu limiter leur développement, qui n’ont pas compris ou pas voulu admettre que la seule façon de durer c’est de consommer peu, de posséder peu, de ne croitre que très faiblement, juste ce qui est nécessaire à la perpétuation de l’espèce de telle sorte que le «climax» ne soit jamais atteint (tout le contraire de la société actuelle qui a déjà basculé du côté obscur en dépassant la capacité de charge de la Terre) !
Il est donc d’un contre sens absolu de présenter notre façon de vivre, notre modèle de société comme «la norme» «le progrès», en prônant comme remède à nos problèmes «la croissance et le retour à la normale», car rien n’est plus anormal que cette façon de faire, contraire à tout ce que j’appellerai les constantes universelles des écosystèmes !
Ce fonctionnement en dents de scie (naissance – développement – mort) est inéluctable et si notre espèce et la planète Terre ont traversé quelques millions d’années pour les uns et quelques milliards d’années pour l’autre ce n’est pas du tout en vivant comme nous le faisons aujourd’hui, c’est exactement l’inverse ! Il faut des-américaniser le monde et décroitre de toute urgence !
La preuve que personne n’a rien compris : ils ont tous la tête dans la télé, regardent le conflit Russo-Ukrainien (États-Unis-OTAN/Russie) comme si c’était un match de foot ou un jeu vidéo, excités et aliénés par la propagande Américano-Occidentale qui leur annonce les prochaines rencontres (la guerre des États-Unis et de l’OTAN contre la Chine, l’Iran, la RPDC et tous ceux qui refusent de signer la feuille de route américano-occidentale comme en Afrique par exemple) !
«Aujourd’hui, la propagande a pris des proportions inédites, car elle doit enterrer dans la conscience collective la confiscation du pouvoir mondial par une caste de prédateurs qui rançonnent les pays et les peuples grâce aux subterfuges du simulacre démocratique» ! La guerre éternelle !
Rendez-vous à la fin, puisque c’est à ce moment-là qu’on fait les comptes !
Tout le reste n’est que littérature.
Découvrez cette première entrevue d’une série inédite avec Pierre Lassalle, auteur du livre « Marie, Apôtre du Christ » (éditions Terre de Lumière, 2024)
Le slogan "All eyes on Rafah" est employé par les manifestants dénonçant les massacres qui se répètent à Gaza depuis dix mois. Il prend aujourd’hui un autre sens : celui de la surveillance militaire absolue des Palestiniens avec les moyens de Google, Microsoft et Amazon, désormais au service d’une "usine d’assassinats de masse".
Le "panoptique" de Jeremy Bentham, rendu célèbre par Michel Foucault, est l’un des "passages obligés" dès que l’on s’intéresse aux questions de la surveillance ou du numérique, qui sont désormais peu ou prou la même chose. On parle de "société de surveillance", de "capitalisme de surveillance", et l’on cite donc Surveiller et Punir.
De là, l'effet majeur du Panoptique : induire chez le détenu un état conscient et permanent de visibilité qui assure le fonctionnement automatique du pouvoir. Faire que la surveillance soit permanente dans ses effets, même si elle est discontinue dans son action ; que la perfection du pouvoir tende à rendre inutile l'actualité de son exercice ; que cet appareil architectural soit une machine à créer et à soutenir un rapport de pouvoir indépendant de celui qui l'exerce ; bref que les détenus soient pris dans une situation de pouvoir dont ils sont eux-mêmes les porteurs. Pour cela, c'est à la fois trop et trop peu que le prisonnier soit sans cesse observé par un surveillant : trop peu, car l'essentiel c'est qu'il se sache surveillé ; trop, parce qu'il n'a pas besoin de l'être effectivement. [1]
Gaza correspond aujourd’hui, assez littéralement, à une prison sous surveillance pan-optique : avec des yeux qui voient tout, partout, tout le temps. Avec un élément supplémentaire : cette surveillance qui emploie les outils des plus grandes entreprises américaines du numérique, sert à pointer les cibles qui sont ensuite bombardées. Si vous lisez l’actualité, vous savez que l’armée israélienne (Tsahal) a bombardé des camps de réfugiés [2], des hôpitaux [3], des écoles [4], des zones dites "sûres" [5], des journalistes [6] et des travailleurs humanitaires [7].
La guerre "propre"
Il faut d’abord que je vous parle rapidement de Yuval Abraham, que l’on connaît surtout en France pour une polémique lors du festival de cinéma de Berlin de 2024. Co-réalisateur avec Basel Adra du documentaire "No other land", il avait déclaré, au moment de recevoir le prix du meilleur documentaire : "Basel et moi avons le même âge. Je suis Israélien, il est Palestinien. Dans deux jours, nous retournerons sur une terre où nous ne sommes pas égaux : je vis sous une loi civile, Basel est soumis à une loi militaire. Nous habitons à trente minutes l’un de l’autre, mais j’ai le droit de vote, Basel ne l’a pas. Je peux me déplacer librement sur cette terre. Basel, comme des millions de Palestiniens, est bloqué dans la Cisjordanie occupée. Cette situation d’apartheid entre nous, cette inégalité, doit cesser". [8]
Pour ce discours, Yuval Abraham a été menacé de mort en Israël, mais également critiqué par la classe politique allemande, dont le maire de Berlin : "L'antisémitisme n'a pas de place à Berlin, et cela vaut aussi pour les artistes", a dénoncé le maire de la capitale allemande, Kai Wegner, sur son compte X (ex-Twitter). "Ce qui s'est déroulé (dimanche) à la Berlinale a constitué une relativisation insupportable", a-t-il ajouté. [9]
Pourtant, Abraham sait de quoi il parle. C’est à lui que l’on doit un premier article dans la revue +972, en novembre 2023, qui révèle pour la première fois l’existence d’un logiciel d’IA employé par Tsahal à Gaza : "Un ancien officier du renseignement explique que le système Habsora permet à l’armée de mettre en place une « usine d’assassinats de masse » dans laquelle on met l’accent sur la quantité et non la qualité. Un humain « jettera un œil » aux cibles avant chaque attaque, mais il n’a pas besoin d’y consacrer énormément de temps. Puisqu’Israël estime qu’il y a environ 30 000 membres du Hamas à Gaza, et qu’ils sont tous marqués pour être tués, le nombre de cibles potentielles est énorme." [10]
Car les dispositifs techniques déployés par l’armée israélienne sont pléthore. C’est que la sophistication des moyens de tuer sert d’abord à justifier la guerre que l’on fait, prétextant que les uns tuent comme des barbares, les autres comme des êtres civilisés, moraux, respectueux de leurs victimes.
Dont acte : en France, les plateaux-télé ont fourmillé de commentateurs expliquant que les morts israéliens du 7 octobre, et ceux, palestiniens, qui s’en sont suivis, ça n’était pas pareil. Raphaël Enthoven dit sur BFMTV le 10 octobre 2023 : "Il y a une différence à faire entre des gens qui sont des civils, qui sont assassinés dans la rue par des commandos islamistes et les victimes collatérales de bombardements consécutifs à cette attaque. Il faut marquer cette différence, c'est même très important de la faire." [11]
Caroline Fourest reprend en écho le 29 octobre: "On ne peut pas comparer le fait d'avoir tué des enfants délibérément comme le Hamas, et le fait de les tuer involontairement comme Israël" [12] . Elle insiste encore le lendemain : "Je maintiens, malgré la meute, qu’il existe une différence d’intention fondamentale entre cibler des enfants pour les décapiter et perdre la tête au point de bombarder le Hamas au milieu d’enfants." [13]
François Hollande, désormais député PS, bafouillait en répondant aux questions qui lui étaient posée sur France Info le 7 février 2024 : "Puisqu’on a parlé de l’hommage rendu aux victimes françaises en Israël lors de l’attaque du 7 octobre, est-ce qu’il faudra rendre un même hommage aux victimes à Gaza ?
Bien entendu, cette proposition, ça ne peut pas être le même hommage. Une vie est une vie, et une vie est équivalente à une autre vie. Mais il y a les victimes du terrorisme et il y a les victimes de guerre. […] Les victimes collatérales, vous êtes dans une guerre, vous êtes une victime collatérale, il y en a en Ukraine. [14]
Enfin, Céline Pina, le 6 novembre 2023 sur Cnews est celle qui l’exprime le plus clairement : "Une bombe qui explose et qui va détruire et qui va faire des dégâts collatéraux tuera sans doute des enfants. Mais ces enfants ne mourront pas en ayant l’impression que l’humanité a trahi tout ce qu’ils étaient en droit d’attendre. Là ce qui est horrible, c’est d’imaginer ces enfants qui avaient 8, 9, 10 ans, ces femmes qui sont parties en emportant comme dernière image, une image d’inhumanité, d’atrocité et de mépris de ce qu’ils sont. C’est là où se niche le crime contre l’humanité, la négation absolue. Je pense qu’on aurait intérêt à l’expliquer beaucoup plus parce que sinon le règne de l’émotion met des signes "égal" entre toutes les victimes. Or c’est vrai, un mort Palestinien, un mort Israélien, ça reste deux morts, mais la manière dont ils ont été tués, elle, elle parle de notre inhumanité ou de notre humanité. [15]
Ces déclarations sont à comparer aux témoignages du personnel soignant revenu de Gaza. Citons par exemple le chirurgien Feroze Sidhwa, qui était à l’hôpital de Khan Younis entre le 25 mars et le 8 avril :
A quel point-est-ce difficile pour les enfants qui sont là-bas ?
"Il y a plusieurs aspects à cela. Mais l’un d’eux est la manière dont ces enfants sont morts. La plupart ont été tués dans des explosions où beaucoup d’entre eux se sont probablement retrouvés piégés dans les décombres. Certains vont mourir immédiatement d’un bloc de béton qui leur tombe sur la tête, ou quelque chose de ce genre. Mais beaucoup d’entre eux se retrouvent la jambe coincée dans les gravats, et comme il n’y a pas de machinerie lourde, il n’y a aucun moyen d’aller les chercher ; ils meurent lentement de septicémie alors qu’ils sont enterrés dans ces tombes obscures, seules, gelés pendant la nuit, brûlant pendant la journée. Et ça doit prendre des jours pour chacun d’eux. Trois, quatre, cinq jours pour qu’ils meurent de cette façon. C’est horrible de penser à l’ampleur de leur souffrance." [16]
La rhétorique de la "guerre propre" a déjà été mise en évidence par Grégoire Chamayou dans son livre Théorie du Drone, dans lequel il raconte ce phénomène de distanciation et ses effets sur la doctrine militaire.
"Le drone chasseur-tueur, prétendent ses partisans, représente un « progrès majeur dans la technologie humanitaire ». Par là, ils ne veulent pas dire que cet engin pourrait par exemple servir à acheminer des vivres ou des médicaments dans des zones dévastées. Ils veulent dire tout autre chose : que le drone est humanitaire en tant qu’arme, en tant que moyen de tuer." […]
"Les armées modernes utilisant déjà des logiciels d’aide à la décision censés assurer leur meilleure adéquation aux exigences du droit de la guerre – et, par là, les rendre plus « éthiques » –, on peut se faire une petite idée de la façon dont peuvent, en pratique, se fixer les valeurs pertinentes : aux premiers jours de l’invasion en Irak, ils ont fait tourner des logiciels. Ils ont appelé ça le programme « moucheron écrasé » [bugsplat]. Ce programme informatique estimait le nombre de civils qui seraient tués dans un raid aérien donné. Les résultats présentés au général Tommy Franks indiquaient que vingt-deux des bombardements aériens prévus allaient entraîner ce qu’ils avaient défini comme étant un fort taux de moucherons écrasés – soit plus de trente civils tués par attaque. Franks dit : « allez-y, les gars, on les fait tous les vingt-deux »." [17]
La "guerre propre" est une rhétorique de déculpabilisation et de déresponsabilisation, car on "minimise le nombre de victimes collatérales". C’est tout l’inverse en réalité : les systèmes de surveillance et de ciblage de masse sont utilisés de manière totalement indiscriminée. Au lieu de tuer "moins et mieux", ces dispositifs techniques produisent l'effet inverse.
Surveiller, cibler, bombarder
C’est ce que montre un deuxième article de Yuval Abraham, en avril 2024, révélant l’existence de deux autres systèmes d’IA, "Lavender" et "Where’s Daddy" : "Lavender a joué un rôle central dans les bombardements inédits des Palestiniens, en particulier au début de la guerre. D’après nos sources, son influence sur les opérations militaires était telle que les résultats de la machine d’IA étaient traités « comme si c’était une décision humaine »." […]
"Selon deux de ces sources, l’armée a également fait le choix inédit pendant les premières semaines de la guerre d’autoriser à tuer, pour tout agent subalterne du Hamas marqué par Lavender, jusqu’à 15 ou 20 civils ; par le passé, l’armée n’autorisait aucun "dégât collatéral" pour les assassinats de militants en bas de la hiérarchie. Les sources précisent que, dans l’éventualité où la cible serait un haut-gradé du Hamas, un commandant de bataillon ou de brigade, l’armée a autorisé à plusieurs reprises l’assassinat de plus de 100 civils pour l’assassinat d’un seul commandant." […]
"Afin d’assassiner Ayman Nofal, le commandant de la Brigade Central de Gaza du Hamas, une source affirme que l’armée a autorisé le meurtre d’environ 300 civils, détruisant plusieurs bâtiments dans le camp de réfugiés d’Al-Bureij le 17 octobre, en se basant sur une géolocalisation peu précise de Nofal. Les images satellitaires et les vidéos sur place montrent que plusieurs grands immeubles résidentiels à plusieurs étages ont été détruits." [18]
Cette doctrine de bombardement, non pas aveugle, mais au contraire quasi omnisciente est donc à l’origine de "la mort de 15 000 Palestiniens — presque la moitié du décompte jusqu’à présent [en Avril] — dans les six premières semaines de la guerre". Ces méthodes sont rendues possibles par deux choses : la première, une surveillance de masse de tous les instants. La seconde, qui est son corollaire, la collecte et l’emploi de masses de données sans précédent.
Le journaliste Antony Loewenstein (que j’ai interviewé en novembre ici) l’a expliqué en détail dans son livre, The Palestine laboratory, publié en 2023. La totalité du livre pourrait servir d’exemple. Je n’en citerai qu’un extrait : "L’ IDF [Israeli Defense Forces] utilise la reconnaissance faciale à grande échelle avec un nombre croissant de caméras et de téléphones portables afin de ficher chaque Palestinien en Cisjordanie. À partir de 2019, les soldats israéliens se servent de l’application Blue Wolf pour prendre les visages des Palestiniens en photo, qui étaient ensuite comparés à une base de données gigantesque, surnommée « le Facebook des Palestiniens ». Les soldats étaient mis en compétition pour prendre le plus grand nombre de photos de Palestiniens et les plus prolifiques gagnaient des prix."
"Le système est particulièrement extrême dans la ville d’Hebron, où la reconnaisance faciale et de nombreuses caméras sont employées pour surveiller les Palestiniens, parfois même dans leurs foyers, contrairement aux colons juifs qui habitent là et lancent des menaces génocidaires envers les Palestiniens avec régularité. L’IDF affirme que ce programme était conçu pour « améliorer la qualité de vie » de la population palestinienne."
Ce que corrobore le témoignage d’un ancien soldat de Tsahal en poste à Hébron, rapporté par l’ONG Breaking the Silence en 2020 : "On sort avec Blue Wolf (un système de détection biométrique et de fichage) avec pour objectif : collecter dix visages, collecter dix correspondances avec Blue Wolf."
[...]
Alors que je suis assise ici, réfléchissant au chaos qui semble engloutir chaque aspect de notre existence, il est difficile d'ignorer les parallèles entre cette sagesse ancienne et la folie moderne qui sévit de manière incontrôlable à travers le monde.
Une première version de l'expression apparaît dans les vers 620-623 de la pièce Antigone de Sophocle : τὸ κακὸν δοκεῖν ποτ᾽ ἐσθλὸν τῷδ᾽ ἔμμεν' ὅτῳ φρένας θεὸς ἄγει πρὸς ἄταν ; traduit par « Le mal apparaît comme un bien dans l'esprit de ceux que Dieu conduit à la destruction ». Et puis, dans La République, Platon (380a) cite un fragment attribué à Eschyle : θεὸς μὲν αἰτίαν φύει βροτοῖς, / ὅταν κακῶσαι δῶμα παμπήδην θέλῃ ; traduit par « Dieu implante le crime chez les humains / Quand il veut ruiner complètement leur maison ».
Au cours de mes recherches approfondies, qui s'étendent sur plusieurs décennies et portent sur de multiples sujets et ouvrages, je me suis souvent penché sur l'idée que l'orgueil démesuré et la folie collective de l'humanité pourraient bien être les précurseurs de sa destruction. Dans The Apocalypse: Comets, Asteroids and Cyclical Catastrophes [L'Apocalypse : Comètes, astéroïdes et catastrophes cycliques - NdT], j'ai exploré la notion selon laquelle les forces cosmiques, qui échappent à notre contrôle, ont toujours joué un rôle important dans le destin de notre planète et de ses habitants. Mais ce ne sont pas seulement les corps célestes que nous devons craindre ; ce qui pourrait finalement nous mener à notre perte, c'est notre folie intérieure, car un aspect « stimulus-réponse » semble être à l'œuvre dans ce processus de destruction cosmique.
INTENTIONS CÉLESTES
En parcourant les piles de livres sur l'archéologie, l'Histoire (supposée et raisonnablement reconstituée à partir des données), et surtout les apports qu'offrent les sciences telles que l'astronomie, la géologie et la génétique, lesquelles devraient correspondre précisément à l'archéologie et à l'Histoire - mais ne le font généralement pas pour de nombreuses raisons -, afin de rassembler le matériel pour mes différents livres, la seule chose qui est devenue de plus en plus évidente est que, encore et toujours, cette planète a été bombardée par divers types d'impacts, le plus commun étant l'explosion aérienne de fragments de comète de type Toungouska. Ces catastrophes ont à plusieurs reprises mis à genoux des cultures, des nations, voire des civilisations. Des âges sombres en résultent inévitablement et, lorsque la société humaine commence à se reconstruire, des mythes sont créés, des religions naissent ou renaissent avec des torsions et des distorsions et, invariablement, les faits qui se sont produits lors de la précédente ère de destruction sont dissimulés sous des voiles de métaphores et d'allégories.
Pourquoi ? À quel genre de déraison avons-nous à faire ?
C'est en fait très simple. Historiquement, lorsqu'un peuple commence à percevoir des perturbations atmosphériques, géologiques et climatiques, et tous les maux que cela entraînent pour une société, y compris, à terme, famines, fléaux et épidémies, il se tourne individuellement et collectivement vers ses dirigeants pour qu'ils remédient à la situation. C'est de là qu'est né le concept de Roi divin : au nom de son peuple, le roi était censé pouvoir intercéder auprès des dieux. Si l'intercession du roi n'aboutissait pas, il fallait trouver une solution. On procédait à des sacrifices, on accomplissait des rituels et, bien sûr, si le résultat n'était pas au rendez-vous, si les dieux restaient en colère, le roi devait mourir. Si les dieux sont en colère, il faut trouver un bouc émissaire. Évidemment, lorsque rien ne va plus, les boucs émissaires les plus probables sont ceux qui sont au pouvoir, c'est-à-dire le « roi » et l'élite. En outre, ces derniers savent instinctivement qu'ils sont vulnérables à cette réaction. En postulant que cette corruption (et sa propagation dans la société) constitue le mécanisme par lequel une civilisation attire une catastrophe cosmique (un peu comme une charge électrique), une bonne solution est de blâmer et destituer l'élite, ce qu'elle ne veut évidemment pas.
En fin de compte, le peuple et l'élite recherchent tous deux un paradigme qui minimise les catastrophes cycliques, mais chacun le fait pour des raisons différentes. Le peuple veut soulager l'énorme angoisse d'une catastrophe majeure, certaine mais imprévisible, tandis que l'élite veut rester au pouvoir. Le compromis qui sert les deux objectifs est l'illusion d'une élite capable de protéger le peuple de tout désastre. Cette illusion peut prendre diverses formes : procéder à des rituels pour apaiser les dieux, réviser l'Histoire pour qu'elle présente une évolution uniformisée et sans bouleversement de l'humanité, et une abondante propagande.
[...]
Avec la hausse du mercure, les menaces pleuvent et les balles sifflent. Une étude menée par le Dr Vivian Lyons, de l’université de Washington aux États-Unis, révèle qu’entre 2015 et 2020, environ 8 000 fusillades auraient pu être évitées dans 100 grandes villes américaines si les températures n’avaient pas été anormalement élevées. Ce constat n’est pas isolé : une vaste littérature scientifique établit un lien entre les chaleurs extrêmes, dopées par le changement climatique, et les comportements violents.
En 2013, déjà, une analyse de chercheurs des universités de Berkeley et Princeton (États-Unis) montrait qu’à travers le monde, une simple hausse de 1 °C par rapport à la normale saisonnière suffisait pour que le nombre de violences — telles que les violences conjugales, meurtres, viols — augmente de 4 %.
Ces conclusions ont été, depuis, corroborées par des recherches récentes conduites à Los Angeles et Séoul (Corée du Sud), où chaque degré supplémentaire voit les crimes s’intensifier. Une analyse en Espagne a également mis en lumière une corrélation entre températures élevées et l’augmentation des appels à des services d’urgence pour violences domestiques.
L’agressivité augmentée par la chaleur
Deux grandes hypothèses peuvent expliquer cette corrélation. D’un point de vue physiologique, l’exposition à des chaleurs croissantes entraîne une accélération de notre rythme cardiaque, une augmentation de notre pression artérielle et une hausse des niveaux de cortisol — l’hormone du stress.
Ces effets sont susceptibles de rendre les individus plus irritables, altérer le contrôle de soi et les processus décisionnels, et diminuer la tolérance à la frustration. Les difficultés à trouver le sommeil, exacerbées par la chaleur, contribuent également à une détérioration de la santé mentale et une augmentation de l’agressivité.
Sur le plan social, les violences corrélées à la hausse du mercure mettent en évidence l’impréparation de certaines zones aux effets du changement climatique. La plupart des études montrent que le fardeau de la criminalité est encore plus critique dans les quartiers défavorisés. Dans ces zones, la promiscuité dans les logements, souvent dépourvus de climatisation, et le manque d’espaces verts pour respirer, exacerbent les tensions et les frustrations.
À Los Angeles, par exemple, les scientifiques ont observé une augmentation de 2,54 à 4,45 % de la criminalité dans les quartiers où la population vit sous du seuil de pauvreté, lors des fortes chaleurs, contre seulement 0,29 à 1,03 % dans les zones plus aisées.
Ces données soulignent que si la chaleur est un facteur de risque, elle n’est pas le seul déterminant de l’augmentation des violences. Les effets délétères du changement climatique sur les comportements humains sont exacerbés par les inégalités sociales. Ces conséquences, de mieux en mieux documentées, pourraient être largement atténuées avec des politiques de répartition des richesses, l’amélioration de l’isolation des logements et la création d’espaces verts dans les zones urbaines défavorisées.
Pourtant, la France a un incroyable vivier de talents, on le voit partout avec l’émergence, dans de mauvaises conditions, de champions hors normes. Mais ces talents se font tout seuls et sont généralement mal exploités. La faute à une politique sportive lamentable à l’école, qui est pourtant le lieu numéro un de la détection : tout le monde n’est pas bon en maths, il y en a qui sont meilleurs en basket, et ne nous faites pas dire ce qu’on n’a pas dit, genre les Noirs au ballon, les Blancs à l’équation.
Ceux qui pratiquent assidument un ou plusieurs sports savent la vétusté et la pauvreté des infrastructures nationales. Or, la jeunesse a besoin de se dépenser, de développer son corps, de se sentir bien dedans, et le sport contribue à cela mentalement et physiquement, pas besoin d’un dessin ou d’une démonstration. Malgré cette déficience structurelle, des talents naturels traversent le plafond et émergent médiatiquement.
Le cas des frères Lebrun est exemplaire : c’est le père, pongiste lui-même, qui les a formés, eux et leurs sœurs, sur le modèle des filles Polgar. Si c’est possible à l’échelon familial, ça le serait d’autant plus à l’échelon scolaire.
Oui mais voilà, les tables sont rares en ville ou à la campagne, à moins de s’en acheter une et d’avoir la place. Même topo pour les nageurs : hors scolaire, c’est cher, et minable. Les pistoches de 25 mètres sont prises d’assaut par des assoces dont les membres payent cher à l’année. Là encore, si vous avez une piscine individuelle ou un lac à côté... Combien de talents sont perdus à cause du manque d’installations ? Idem pour le foot, malgré la poussée post-1998 qui a vu les inscriptions d’enfants exploser.
Et c’est pas avec la Macronie, qui ne rime pas avec service public et grands travaux, que ça va changer. La France est condamnée à des one shot, des stars d’un jour ou d’une saison, qui auront du mal à tenir face à des pays ultra organisés comme l’Australie ou les USA. L’idéal, ce serait 5 heures de cours le matin, 2 heures de sport l’après-midi, et pas 2 heures par semaine.
Allez, on arrête de chialer sur la situation, et on en arrive au paradoxe et à la politique : la France, ce pays – volontairement – fracturé par ses dirigeants politiques, qui a tant de mal avec les sports individuels (personne n’a repris la barre de Lavillenie, par exemple), cartonne en sports collectifs. On suit le foot, le volley, le basket, le hand et le rugby depuis des années, et on est franchement dans une Trente Glorieuses. Si l’équipe masculine de hand a loupé les demies pour un point et une couille à la fin, elle mérite le dernier carré ou la finale. Le rugby à 7, c’est l’or, les handballeuses, l’argent ; le foot, l’argent pour les hommes de Titi Henry ; et le volley, c’est double médaille d’or après Tokyo 2021. Pourtant, il y a encore 10 ou 15 ans, le volley français était écrasé par les Brésiliens, les Polonais, les Russes et autres Américains. La génération dorée saura-t-elle faire des petits ?
Vera Sharav est née en 1937 en Roumanie. En 1941, avec 145.000 juifs roumains et hongrois, dont sa famille, elle a été déportée en Transnistrie, le long de la frontière ukrainienne.
Le 6 mars 2022, elle a présenté des preuves du programme eugéniste lancé en 1915 aux USA, entreprise commune de John D. Rockefeller, Andrew Carnegie, Alexandre Graham Bell et d’autres, dont l’objectif déclaré était de réduire la population des USA de 10%, soit 15 millions d’hommes et de femmes.
Dans son livre écrit en 1957, “The poisoned Needle, Suppressed facts about vaccination”, le Dr Eleana McBean, médecin, a été le témoin oculaire de l’épidémie de 1918. Elle écrit « Seuls les vaccinés ont péris. ».
La grippe de 1918 n’était pas une grippe
Dans le rapport qu’il a publié en 1918, il note que le vaccin a été administré en 3 doses aléatoires, ce qui n’est pas exact.
En 1915, une entreprise commune d’eugénisme a été organisée par John D. Rockefeller, fondateur de la Standart oil, Andrew Carnegie détenant l’industrie américaine de l’acier et Alexander Graham Bell, inventeur du téléphone.
Ils avaient déjà consolidé leur monopole dans le pétrole, les chemins de fer, l’acier et les industries bancaires. Ils ont donc cherché à préserver leurs vastes richesses et à faire progresser leurs intérêts en investissant dans des méthodes de contrôle et de réduction des populations.
L’objectif de l’eugénisme était et reste d’éliminer les personnes que l’élite jugeait inférieures sur le plan génétique. Ils ont financé une campagne de lobbying massive pour la promulgation de lois visant à stériliser ceux qu’ils jugeaient inaptes. Les lois sur la stérilisation ont d’abord été promues seulement dans 28 états des USA. Leur objectif était de stériliser 10% de la population américaine soit 15 millions de personnes.
Cet objectif devait être atteint sous prétexte d’améliorer la santé publique et la race humaine. Ces lois sur la stérilisation ont servi de modèles aux nazis sur l’hygiène sociale. Pendant plus d’un siècle, les Rockefeller ont continué à être les plus grands bailleurs de fonds et les moteurs de l’eugénisme et du programme de dépopulation. Voilà donc surtout de quoi je veux surtout parler :
La grippe espagnole de 1918
On estime qu’elle a tué entre 50 et 100 millions de personnes dans le monde. « Cette pandémie catastrophique a été entourée d’un faux récit pendant plus d’un siècle ».
Un examen des faits révèle une pléthore de similitudes entre ce faux récit de pandémie de 1918 et celle du coronavirus de 2020 !
« La pandémie de 1918 n’a pas émané d’Espagne ! . Ce n’était pas une grippe. Elle n’a pas été causé par un virus. En l’identifiant à tord comme une grippe venant d’Espagne, on a contribué à en dissimuler la véritable nature et l’origine ».
En 1918, alors que les USA entraient dans la première guerre mondiale, les effectifs militaires ont été portés à 6 millions d’hommes dont 2 millions ont été envoyés sur les champs de bataille en Europe. Les scientifiques de l’institut Rockefeller ont saisi l’occasion de « tester » un vaccin expérimental sur ce nouveau groupe de cobayes humains désormais disponibles. Peu de gens réalisent que la maladie a tué bien plus de soldats de tous les camps que les mitrailleuses et le gaz moutarde ou tout autre élément associé à la première guerre mondiale.
En janvier 1918, un vaccin expérimental contre « la méningite », fabriqué à partir de chevaux, a été testé sur des soldats. C’est Frédérick. T. Gates (1853-1929), (aussi théologien !) président du conseil d’administration de l’institut Rockefeller et administrateur de la fondation Rockefeller qui a lancé l’expérience au Kansas en janvier 1918.
4792 hommes ont reçu la première dose.
4257 hommes ont reçu la seconde dose
3702 hommes ont reçu les trois doses.
Le Dr Gates ne dit pas ce qui est arrivé aux 1090 hommes qui ne se sont pas présentés à la troisième dose. Gates écrit que peu de temps après avoir été injectés, les soldats présentaient certains des symptômes semblables à ceux de la grippe, notamment de la toux, des vomissements et de la diarrhée. Ses réactions simulaient selon lui le début d’une « méningite épidémique » mais le Dr Gates a balayé cela d’un revers de main et a déclaré qu’il ne s’agissait pas d’une véritable méningite.
On peut se demander sur quelle science il s’est appuyé.
Des épidémies de grippe ont été enregistrées dans 14 des plus grands camps d’entrainement des forces armées. Les troupes récupérées ont porté et transmis l’infection à des soldats sains sur les champs de bataille d’Europe. Un rapport de 2008 a étudié les taux de mortalité et d’invalidité dans le monde entier pendant la pandémie. Ils ont décrit comment « les bactéries » se propageaient rapidement des personnes infectées à d’autres en particulier dans des environnements surpeuplés, tels que les services hospitaliers, les casernes des camps militaires, les navires de transport de troupes.
Quelques 9000 personnes dans le monde ont été autopsiées pour trouver que « la grippe de 1918 n’était pas une grippe » D’après les cultures longues des autopsies, la « bactérie pneumonia » a tué au moins 92,7% d’entre eux.
Lorsque la première guerre mondiale s’est terminée le 11 novembre 1918, les soldats sont rentrés chez eux, propageant la « pneumonia bactérienne meurtrière » dans le monde entier.
L’un des témoins oculaires les plus importants était le Dr Eleana Mac Bean. Elle fut témoin du carnage humain à l’âge de 13 ans. Elle et sa famille afro-américaine ne se sont pas faits vacciner. Ils sont restés en bonne santé tout le long de la pandémie. Elle est devenue médecin et a écrit plusieurs livres dont :
- « L’aiguille empoisonnée », en 1957.
- « Vaccination : le tueur silencieux », en 1977.
- « Exposé sur la grippe porcine », en 1977.
Elle a fourni des descriptions très vivantes et je vais en lire un extrait :
« Lorsque la grippe était à son apogée, tous les magasins étaient fermés ainsi que les écoles, les entreprises, l’hôpital, car les médecins et les infirmiers avaient été vaccinés et étaient atteints de « la grippe… ». Il n’y avait personne dans la rue. C’était comme une ville fantôme. Il semblait que la seule famille qui n’avait pas attrapé cette « grippe… » était ma famille. Mes parents sont donc allés de maison en maison faisant ce qu’ils pouvaient pour soigner les malades car il était impossible de trouver un médecin.
S’il était possible que les germes des bactéries et des virus ou des bacilles provoquaient des maladies, ils avaient tout loisir d’attaquer mes parents alors qu’ils passaient tant d’heures par jour dans les chambres des malades ! Mais ils n’ont pas eu la grippe. Ils n’ont pas ramené le germe à la maison pour nous contaminer, nous leurs enfants. Aucun membre de notre famille n’a eu la grippe… ni un rhume. C’était en hiver avec de la neige épaisse au sol. »
Un document a identifié le vaccin expérimental contre la « méningite bactérienne » comme principal coupable. Il y est écrit que « seuls ceux qui ont été vaccinés ont péri ».
Cela vous semble familier ?!
Une telle catastrophe générée par un vaccin peut-elle se reproduire ?
Je pense vraiment que cet exemple est extrêmement important, mais ensuite les acteurs.
En 2018, la Radio diffusion publique a diffusé un documentaire. La première vague qui compte certaines lacunes que le Dr Gates n’a pas dites. Nous avons appris que le 11 mars, le chirurgien du camp militaire de Fort Sill était confronté à la première vague d’une épidémie. 100 hommes par jour entraient à l’infirmerie avec la même maladie. Quelques 2 millions de soldats américains ont reçu le vaccin expérimental de Rockefeller. C’était « pour affaiblir leur système immunitaire » avant qu’ils ne soient envoyés en Europe. Et lorsque la guerre a pris fin, l’institut Rockefeller a envoyé la « concoction mortelle » de la méningite pour qu’elle soit utilisée chez les civils en Angleterre, en France, en Belgique, en Italie, et dans d’autres pays d’Europe occidentale, propageant ainsi l’épidémie dans le monde entier.
La décision d’expédier le vaccin mortel à l’étranger était prise alors qu’ils savaient déjà ce qu’ils faisaient.
Etait-ce simplement pour aider les autres ou cela faisait-il partie d’un plan de génocide eugénique ?!
Ces annonces interviennent en plein été, une période où la vigilance citoyenne tend à se relâcher, notamment à cause des JO. Explications de Florian Philippot.
L’OMS a mis en garde contre une augmentation des cas de COVID-19, encore lui, soulignant que la situation « ne devrait pas s’améliorer dans un avenir proche ». La directrice de la préparation et de la prévention des épidémies et pandémies à l’OMS, Maria von Kerkhove, a alerté sur le risque de nouveaux variants plus sévères. Elle a insisté sur l’importance de la « vaccination » pour réduire le risque d’infection et de maladie grave…
Parallèlement, l’OMS a convoqué une réunion d’urgence face à la flambée de la variole du singe. Tremblez : une nouvelle souche, identifiée en République démocratique du Congo, serait plus mortelle et plus transmissible que les précédentes. L’agence de santé de l’Union africaine a déclaré une urgence de santé publique, et l’OMS a actualisé sa liste des agents pathogènes les plus dangereux, triplant le nombre de pathogènes surveillés.
Ces alertes interviennent dans un contexte où l’OMS tente de relancer le traité mondial sur les pandémies, qui a été retardé, et de promouvoir un pass sanitaire mondial.
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