Des « traumatisés » qui souffrent de blessures physiques mais aussi psychologiques.
En apparence, c’est un tableur Excel tout ce qu’il y a de plus banal. 150 cases, fond blanc, police d’écriture noire. Entre les lignes de ce « recensement » – non exhaustif, précisent ses auteurs – des blessures constatées par des soignants sur les manifestants de Sainte-Soline, publié le 31 mars par Les Soulèvements de la Terre, se dessine un effroyable tableau, empli de douleurs vives aux conséquences durables. Deux urgences vitales, deux nez « délabrés », un œil meurtri par des morceaux de verre, une plaie aux testicules, des dizaines d’éclats de grenades, une pelletée de blessures « profondes », parfois nécrosées, pouvant atteindre la « taille d’un œuf »… Ainsi que de l’anxiété, de la panique, des sensations de « dissociation ». Autant de troubles qui continuent, deux semaines après les faits, d’affecter un grand nombre de militants.
Sur le plan physique, d’abord. Nombreux sont ceux à porter les stigmates de la répression policière. Le pronostic vital de Serge, un manifestant touché à la tête par une grenade, est encore aujourd’hui engagé. Victime d’un tir de LBD à la gorge, Mickaël, la trentaine, a quant à lui dû être plongé dans le coma pendant plus d’une semaine, et subir une importante opération du cerveau. Il s’est depuis réveillé.
À ces deux cas très médiatisés s’ajoutent des dizaines d’autres. Médecin généraliste venue manifester à Sainte-Soline, Perle raconte avoir eu l’impression de se trouver « dans une zone de guerre ». Après avoir pris en charge Mickaël, la jeune femme s’est retrouvée sur un chemin où se trouvaient de nombreux blessés. « Tout le monde hurlait. Il y avait plusieurs personnes avec le visage en sang, des gens à terre, sous des couvertures de survie, qui pleuraient, à moitié conscients... » Les organes de certains ont été, selon ses observations, durablement endommagés. « Quand on ouvrait l’œil d’un d’entre eux, on voyait juste un globe [oculaire] rouge. Dans ce type de cas, le pronostic fonctionnel est engagé. »
Intéressant, ce mot : « intoxication ». Il nous vient du grec « toxicon », qui signifie le venin, mais un venin inoculé par des flèches. En effet, « toxon » veut dire « arc ». L’intoxication, en son sens premier, désigne donc un acte d’agression volontaire, calculé, et non pas naturel. Un acte destiné à tuer.
Le venin, ici identifié, est le mensonge. Dans la tradition biblique, le mensonge ne se rapporte pas premièrement au discours mais à une action. Il exprime une trahison de la confiance, spécialement contre Dieu qui est fidèle. Le mensonge est ainsi le propre d’une action diabolique tendant à détruire la création divine et à ensevelir avec elle l’humanité elle-même.
M. Breton évoque également une distinction entre le mensonge qu’utiliseraient des politiciens pour protéger leurs citoyens et le mensonge-venin dont il parle. Platon, déjà, distinguait le mensonge « utilitaire » du gouvernant, qu’il identifiait d’ailleurs à un « mensonge en paroles », et qu’il excusait par son utilité protectrice des citoyens ; et le « mensonge véritable », qui consiste à plonger volontairement l’âme d’autrui dans l’erreur, et qui est toujours détestable.5
Tous ces éléments se trouvent ici conjugués. Le mensonge moderne est bien une arme, volontairement maniée par des puissants contre les citoyens de toutes les sociétés occidentales, dont ils trahissent la confiance, afin d’asseoir sur eux leur emprise en empoisonnant leurs esprits. Leurs « flèches » sont tous les vecteurs de propagande, politiques, culturels ou médiatiques qui, par la manipulation, la novlangue ou la persécution directe, fichent dans les esprits et les mœurs le « venin » de la subversion et du mensonge.
Aujourd’hui, la situation de notre cher pays se résume en un mot : DESASTREUSE
Nous avions le meilleur système de santé du monde, le meilleur modèle d’énergie, la meilleure école, une armée admirée à l’international, une industrie compétitive et une agriculture performante… Mais tout ce qui touchait à l’excellence n’est plus que décombre. Notre pays s’est transformé en une zone mondialisée qui s’appauvrit chaque jour davantage. Alors, la question se pose : comment a-t-on pu tomber aussi bas aussi vite ? Qui est responsable et pourquoi rien n’a été entrepris pour redresser ce pays et protéger sa population ? Seule réponse : l’État.
Françaises, Français, il est temps de demander des comptes aux gouvernants qui depuis plus de trente ans, n’ont pas respecté leurs mandats. Ils n’ont endigué ni l’insécurité, ni l’immigration incontrôlée, et ont aggravé la précarité des plus démunis. MM Sarkozy, Hollande et surtout Macron sont les exemples de Présidents ayant déprécié la fonction politique suprême :
Nicolas Sarkozy bafoue la victoire du NON au référendum sur la constitution européenne de 2005 en faisant adopter le traité de Lisbonne grâce à la tenue du congrès du Parlement.
François Hollande restreint notre énergie nucléaire pour complaire aux lubies écologistes posant les bases des problèmes énergétiques actuels.
Emmanuel Macron sans hésiter fait tirer à balles de défense sur les « gilets jaunes » venus manifester pour le maintien de leur niveau de vie et l’élaboration d’initiatives citoyennes. Au Qatar et en Afrique il a un comportement indigne de la fonction présidentielle. Enfin en s’acharnant à faire passer un projet de loi inique, contre le monde du travail, il prend le risque de susciter un climat de violences sociales incontrôlées.
En conséquence de tous ces échecs, de ces trahisons et de ces mensonges, la France n’est plus considérée comme une grande Nation. Notre pays, subordonné aux institutions européennes s’efface devant l’impérialisme américain, l‘irrédentisme russe et la puissance économique allemande. Il peut, demain avec le conflit Ukrainien courir vers la guerre sans l’accord de notre peuple.
Nous, anciens militaires, ne pouvons cautionner, comme la majorité de nos compatriotes, une telle dérive contraire à notre éthique.
NON, la France des clochers et des cités séculaires n’a pas dit son dernier mot ! Rien n’est inéluctable, tout n’est pas perdu.
La vidéo qui fait le buzz sur les réseaux sociaux en ce moment montre l’ancien président français François Hollande piégé dans un canular par des Russes se faisant passer pour l’ancien président ukrainien Petro Porochenko. François Hollande avoue sans détour que les accords de Minsk étaient une ruse de l’OTAN pour militariser l’Ukraine, que les nations occidentales ont renversé le gouvernement ukrainien démocratiquement élu en 2014 et qu’il y a une participation à part entière de l’UE et de la France au conflit en Ukraine.
Des propos d’une extrême gravité venant d’un ancien président de la République ne pouvaient pas passer inaperçus. L’une des vidéos partagées sur Twitter par kanekoa.substack.com a atteint les 2 millions de vues en moins de 11 heures.
L’interview-canular de François Hollande est tellement explosif que le patron de SpaceX et Twitter, Elon Musk, n’en revient pas et demande sous la vidéo “Is this real?” (en français “C’est réel ?”). Le compte kanekoa.substack.com répond au milliardaire en lui renvoyant un lien vers Sud Radio.
01:28 Holodomor et reconnaissance du génocide vendéen par la Douma
05:57 Nouvelles économiques
- Poulet aux hormones ukrainiens
- Vins russes
- Arctic LNG
- Vladimir Poutine à Toula
09:58 Ukrobolchévisme vs Orthodoxie
11:37 Ukroterrorisme
13:13 Dourakovlev, Gamelin terroriste
18:28 Démographie ukrainienne, phase terminale
20:10 Le moment Schmittien
23:02 Neutralité chinoise sur les Kouriles
25:01 Rapprochement indo-pakistanais, annexion de la Finlande par l'OTAN
28:00 Echec hypersonique US
29:57 Test du BTR/BMP Boomerang
32:10 Nouvelle aide US à l'Ukraine
35:40 Etat de l'armée ukrainienne
38:09 Carte des opérations militaires
« Le smartphone, ça me rend accro et c’est intrusif ! » Depuis belle lurette, Louise [*] lui préfère un bon vieux Nokia 108 pour simplement téléphoner et envoyer des SMS. Et, la plupart du temps, ça lui suffit. « Tout le monde dans mon entourage me connaît pour avoir un “petit bigo” », raconte-t-elle. Mais fin 2022, l’étudiante ne capte plus le réseau 2G de son opérateur, Free mobile. Pas plus de succès avec un autre Nokia 108, trouvé sur Leboncoin et qui marche pourtant parfaitement avec Orange. Sa carte SIM est-elle en cause ? Non, lui assurent les conseillers du service client de Free. Un premier évoque « l’arrêt du réseau pour les vieux modèles de téléphone ». Une seconde lui explique que « la 2G n’est plus présente sur certains territoires ». Adieu le bigophone.
Free mobile aurait-il débranché son réseau 2G ? L’opérateur est catégorique : « Nous n’avons coupé ni la 3G, ni la 2G en itinérance. » Free ne possédant pas son propre réseau 2G, ses clients basculent depuis toujours sur celui d’Orange via un accord d’itinérance qui porte aussi sur la 3G. Ce contrat a d’ailleurs été prolongé récemment jusque fin 2025. Pourtant, la bascule vers le réseau d’Orange n’est plus systématique ces derniers mois.
Louise n’est pas un cas isolé. À Brest, par exemple, d’autres « freenautes » ont remarqué une perte du réseau 2G depuis l’été 2022. Certains ont retrouvé leur connexion depuis, d’autres non… Sur le site de Darty, des consommateurs racontent la même mésaventure. Parmi eux, Laurent écrit le 11 janvier à propos d’un téléphone Gigaset GL390 uniquement compatible 2G : « J’ai acheté ce téléphone mobile pour ma mère de 83 ans, car simple d’utilisation. Cependant, il n’est pas compatible avec son opérateur Free. »
Après avoir rappelé sa position dans le monde, ce document décrit la fin de la domination occidentale et les efforts des États-Unis et de leurs alliés pour maintenir l’hégémonie de Washington. Il énumère les intérêts et les buts de Moscou. Il souligne la primauté du Droit international contemporain (une création du tsar Nicolas II) et se conclut par une description du monde en mutation.
Le président Vladimir Poutine a réuni son Conseil de Sécurité en visioconférence, le 31 mars 2023. À l’issue de cette réunion, il a promulgué une mise à jour du « Concept de politique étrangère de la Fédération de Russie ».
Dans ce document, la Russie expose sa vision de son rôle dans la construction du monde multipolaire.
En premier lieu, la Russie rappelle ses ressources importantes dans toutes les sphères de la vie, son statut de membre permanent du Conseil de sécurité de l’Onu, sa participation à des organisations et associations internationales majeures, sa puissances nucléaire et sa qualité de successeur en droits de l’URSS. Surtout, vu son apport décisif à la victoire dans la seconde Guerre Mondiale et sa participation active à la liquidation du système mondial du colonialisme, elle s’affirme comme un des centres souverains du développement mondial et considère comme sa mission historique le maintien de l’équilibre global des puissances et la construction d’un système international multipolaire.
Et comme il n’y a pas de raison qu’on soit moins cons que les autres, l’Union européenne vient d’annoncer qu’elle se lançait elle aussi dans la course.
« On a réussi à faire partager ce sentiment d’urgence. » Le 14 février 2023, le commissaire européen Thierry Breton est aux anges. Fait rare, il esquisse même un sourire. Moins d’un an après avoir présenté son projet Iris2 , le Parlement européen vient de l’approuver à la quasi-unanimité : 603 voix pour, 39 abstentions, et seulement 6 voix contre. C’est un plébiscite.
Iris2 serait-il un programme de réduction drastique des émissions de gaz à effet de serre ? Rien à voir. Il s’agit du projet de constellation de satellites, destiné à « permettre à chacun des citoyens européens d’être connecté à internet, qu’il se trouve dans des vallées isolées, qu’il se trouve dans des îles éloignées », se félicite le rapporteur du texte, l’eurodéputé français Christophe Grudler (Renaissance). Ou même en pleine mer ou en avion, pourrait-il ajouter. S’ils fonctionnent comme prévu, ces satellites doivent en effet permettre de rester connecté partout, tout le temps. Et apparemment, il s’agit non seulement d’un impératif, mais aussi d’une urgence absolue.
« Désormais, la connectivité, (…) ça veut dire beaucoup d’autres choses qu’une simple communication téléphonique », a justifié Thierry Breton. Mais quoi donc, au juste ? Le commissaire européen a essentiellement mis en avant deux domaines : celui de l’internet des objets – un scénario publié en mars par l’Ademe et l’Arcep prévoit jusqu’à 11 milliards d’objets connectés en 2050 pour la seule France – et celui de la défense, dans lequel les télécommunications ont pris une place centrale. En février, un caprice d’Elon Musk est d’ailleurs venu rappeler l’importance de ces connexions dans les zones en guerre : le patron de SpaceX a subitement décidé que l’armée ukrainienne ne pourrait plus se servir de son réseau Starlink, jusque-là utilisé pour faire voler des drones et transmettre des informations. Ou quand un crétin milliardaire peut influer sur un conflit international.
Car le crétin en question a, justement, une longueur d’avance sur ses petits camarades en matière d’internet satellitaire : quelque 3.200 de ses satellites sillonnent déjà l’orbite terrestre basse. Mais ce n’est qu’un début. Les autorités états-uniennes ont en effet répondu favorablement à sa demande d’en positionner, à terme, 42.000. C’est beaucoup ? C’est énorme ! Pour avoir un élément de comparaison, Galileo (le GPS européen), n’en utilise « que » 27.
Je voulais vous parler d’un signal faible matérialisant notre effondrement. Un signal faible, qui aujourd’hui passe encore sous les radars, mais d’ici 5 ans, cela fera la « une » des journaux, et l’on se demandera doctement comment nous avons fait pour en arriver-là.
La recette de l’échec est toujours la même. Faiblesse, lâcheté, démagogie, manque de travail, paresse et volonté de gratifications immédiates. Entendez par là que beaucoup préfèrent tout sacrifier aux plaisirs du moment, plutôt que de faire les efforts aujourd’hui pour de meilleurs lendemains sans jamais de garantie de succès.
Je sais ce qui nous attend. Je sais ce qu’il va se passer.
Je suis d’une génération qui en a vu des Etats faibles tomber sous les coups de butoirs des narcotrafiquants.
Le Mexique, la Colombie bien évidemment et ses barons de la drogue, mais aussi l’Afghanistan et tellement d’autres.
J’ai vu aussi les liens secrets, inavouables et bien tardivement avoués entre les trafiquants de tous poils et la CIA.
J’ai vu ce fléau s’abattre insidieusement sur notre pays.
D’abord la douceur de ces drogues si aimables, le cannabis, qu’il faudrait légaliser pour un usage récréatif si sympathique. Ensuite j’ai vu le crack et les drogues nettement plus sales et plus dures s’enraciner dans notre jeunesse. Mais nous ne nous sommes pas arrêtés là. Un jour la cocaïne a vu ses prix s’effondrer notamment aux Etats-Unis en raison de la crise dite des opiacés et l’Europe devenir le débouché de substitution.
A ce titre l’affaire Palmade ne doit rien au hasard et illustre parfaitement l’expansion du fléau de la cocaïne dans tous les milieux.
J’ai vu aussi les liens commencer à se tisser entre ceux qui doivent lutter contre les trafics et les trafiquants eux-mêmes tant le pouvoir de corruption de l’argent et des milliards de la drogue sont puissants. Vous trouverez ci-dessous une petite capture d’écran de titres d’articles de presse qu’il vous suffit de taper par vous-même pour commencer à tirer une pelote si inquiétante, si effrayante pour l’avenir de notre pays.
Caradisiac, qui vient de mettre la main dessus, a donc décidé de le rendre public en exclusivité, en partenariat avec Marianne.
Sur France Info, il y a une semaine, Bruno Le Maire a promis de le publier.
Mais le ministre de l’Économie et des Finances, attendu pour en discuter à l’Assemblée nationale ce 22 mars, avec son collègue des Transports, Clément Beaune, s’est bien gardé de préciser un délai.
Et, pour l’heure, le rapport consacré au modèle économique des sociétés concessionnaires d’autoroutes (SCA), qui lui a été remis il y a maintenant plus de deux ans, reste confidentiel.
Il le demeure même pour une partie des parlementaires sur le point de l’interroger, puisqu’il n’a été communiqué qu’aux seuls présidents des commissions des finances des deux chambres.
Les informations qu’il contient sont pourtant d’intérêt général, et ne devraient pas avoir vocation à rester secrètes, selon Caradisiac.
C’est pourquoi, en association avec l’hebdomadaire Marianne, nous avons décidé de le rendre public.
Une copie a fini en effet par nous tomber entre les mains, et voici ce rapport étouffé sur les autoroutes proposé en téléchargement libre.
Exclusif
Découvrez le rapport secret sur les sociétés d’autoroute qui confirme leur surrentabilité
Le rapport
On lui a juste retiré les pages consacrées à la taxe d’aménagement du territoire (TAT) dont la hausse depuis 2020 a rapporté 1 milliard d’euros supplémentaire à L’État, ce qui a poussé les SCA à ouvrir un contentieux.
À en croire Bruno Le Maire, cette partie du rapport constituerait « le mémoire en défense » du gouvernement qu’il ne faudrait pas dévoiler aux sociétés concessionnaires…
Gagnant du prix du public du meilleur documentaire au festival Dances With Films, le film partage le parcours de la famille Tickell avec le pouvoir de guérison de la mise à la terre, alias la mise à la terre, et les personnes avec lesquelles ils ont rencontré et appris en cours de route; mettant en vedette le pionnier de la mise à la terre Clint Ober, l'auteur Deepak Chopra M.D., l'actrice / activiste Amy Smart, l'auteur / activiste Mariel Hemingway, le cardiologue Dr Stephen Sinatra, le guérisseur renommé Dr Joseph Mercola, l'ingénieur et physicien Gaetan Chevalier, PhD. et plein d'autres.
Plus de 20 études évaluées par des pairs ont montré que la mise à la terre (mise à la terre) réduit l'inflammation ... l'un des processus biologiques internes les plus dommageables qui conduit à une maladie chronique. Alors sortez et mettez les pieds sur terre, et / ou augmentez votre temps de mise à la terre à l'intérieur avec des produits de mise à la terre. Votre corps et votre esprit vous remercieront! Renseignez-vous sur toutes les études et recherches sur https://earthinginstitute.net