La vidéo qui fait le buzz sur les réseaux sociaux en ce moment montre l’ancien président français François Hollande piégé dans un canular par des Russes se faisant passer pour l’ancien président ukrainien Petro Porochenko. François Hollande avoue sans détour que les accords de Minsk étaient une ruse de l’OTAN pour militariser l’Ukraine, que les nations occidentales ont renversé le gouvernement ukrainien démocratiquement élu en 2014 et qu’il y a une participation à part entière de l’UE et de la France au conflit en Ukraine.
Des propos d’une extrême gravité venant d’un ancien président de la République ne pouvaient pas passer inaperçus. L’une des vidéos partagées sur Twitter par kanekoa.substack.com a atteint les 2 millions de vues en moins de 11 heures.
L’interview-canular de François Hollande est tellement explosif que le patron de SpaceX et Twitter, Elon Musk, n’en revient pas et demande sous la vidéo “Is this real?” (en français “C’est réel ?”). Le compte kanekoa.substack.com répond au milliardaire en lui renvoyant un lien vers Sud Radio.
01:28 Holodomor et reconnaissance du génocide vendéen par la Douma
05:57 Nouvelles économiques
- Poulet aux hormones ukrainiens
- Vins russes
- Arctic LNG
- Vladimir Poutine à Toula
09:58 Ukrobolchévisme vs Orthodoxie
11:37 Ukroterrorisme
13:13 Dourakovlev, Gamelin terroriste
18:28 Démographie ukrainienne, phase terminale
20:10 Le moment Schmittien
23:02 Neutralité chinoise sur les Kouriles
25:01 Rapprochement indo-pakistanais, annexion de la Finlande par l'OTAN
28:00 Echec hypersonique US
29:57 Test du BTR/BMP Boomerang
32:10 Nouvelle aide US à l'Ukraine
35:40 Etat de l'armée ukrainienne
38:09 Carte des opérations militaires
« Le smartphone, ça me rend accro et c’est intrusif ! » Depuis belle lurette, Louise [*] lui préfère un bon vieux Nokia 108 pour simplement téléphoner et envoyer des SMS. Et, la plupart du temps, ça lui suffit. « Tout le monde dans mon entourage me connaît pour avoir un “petit bigo” », raconte-t-elle. Mais fin 2022, l’étudiante ne capte plus le réseau 2G de son opérateur, Free mobile. Pas plus de succès avec un autre Nokia 108, trouvé sur Leboncoin et qui marche pourtant parfaitement avec Orange. Sa carte SIM est-elle en cause ? Non, lui assurent les conseillers du service client de Free. Un premier évoque « l’arrêt du réseau pour les vieux modèles de téléphone ». Une seconde lui explique que « la 2G n’est plus présente sur certains territoires ». Adieu le bigophone.
Free mobile aurait-il débranché son réseau 2G ? L’opérateur est catégorique : « Nous n’avons coupé ni la 3G, ni la 2G en itinérance. » Free ne possédant pas son propre réseau 2G, ses clients basculent depuis toujours sur celui d’Orange via un accord d’itinérance qui porte aussi sur la 3G. Ce contrat a d’ailleurs été prolongé récemment jusque fin 2025. Pourtant, la bascule vers le réseau d’Orange n’est plus systématique ces derniers mois.
Louise n’est pas un cas isolé. À Brest, par exemple, d’autres « freenautes » ont remarqué une perte du réseau 2G depuis l’été 2022. Certains ont retrouvé leur connexion depuis, d’autres non… Sur le site de Darty, des consommateurs racontent la même mésaventure. Parmi eux, Laurent écrit le 11 janvier à propos d’un téléphone Gigaset GL390 uniquement compatible 2G : « J’ai acheté ce téléphone mobile pour ma mère de 83 ans, car simple d’utilisation. Cependant, il n’est pas compatible avec son opérateur Free. »
Après avoir rappelé sa position dans le monde, ce document décrit la fin de la domination occidentale et les efforts des États-Unis et de leurs alliés pour maintenir l’hégémonie de Washington. Il énumère les intérêts et les buts de Moscou. Il souligne la primauté du Droit international contemporain (une création du tsar Nicolas II) et se conclut par une description du monde en mutation.
Le président Vladimir Poutine a réuni son Conseil de Sécurité en visioconférence, le 31 mars 2023. À l’issue de cette réunion, il a promulgué une mise à jour du « Concept de politique étrangère de la Fédération de Russie ».
Dans ce document, la Russie expose sa vision de son rôle dans la construction du monde multipolaire.
En premier lieu, la Russie rappelle ses ressources importantes dans toutes les sphères de la vie, son statut de membre permanent du Conseil de sécurité de l’Onu, sa participation à des organisations et associations internationales majeures, sa puissances nucléaire et sa qualité de successeur en droits de l’URSS. Surtout, vu son apport décisif à la victoire dans la seconde Guerre Mondiale et sa participation active à la liquidation du système mondial du colonialisme, elle s’affirme comme un des centres souverains du développement mondial et considère comme sa mission historique le maintien de l’équilibre global des puissances et la construction d’un système international multipolaire.
Et comme il n’y a pas de raison qu’on soit moins cons que les autres, l’Union européenne vient d’annoncer qu’elle se lançait elle aussi dans la course.
« On a réussi à faire partager ce sentiment d’urgence. » Le 14 février 2023, le commissaire européen Thierry Breton est aux anges. Fait rare, il esquisse même un sourire. Moins d’un an après avoir présenté son projet Iris2 , le Parlement européen vient de l’approuver à la quasi-unanimité : 603 voix pour, 39 abstentions, et seulement 6 voix contre. C’est un plébiscite.
Iris2 serait-il un programme de réduction drastique des émissions de gaz à effet de serre ? Rien à voir. Il s’agit du projet de constellation de satellites, destiné à « permettre à chacun des citoyens européens d’être connecté à internet, qu’il se trouve dans des vallées isolées, qu’il se trouve dans des îles éloignées », se félicite le rapporteur du texte, l’eurodéputé français Christophe Grudler (Renaissance). Ou même en pleine mer ou en avion, pourrait-il ajouter. S’ils fonctionnent comme prévu, ces satellites doivent en effet permettre de rester connecté partout, tout le temps. Et apparemment, il s’agit non seulement d’un impératif, mais aussi d’une urgence absolue.
« Désormais, la connectivité, (…) ça veut dire beaucoup d’autres choses qu’une simple communication téléphonique », a justifié Thierry Breton. Mais quoi donc, au juste ? Le commissaire européen a essentiellement mis en avant deux domaines : celui de l’internet des objets – un scénario publié en mars par l’Ademe et l’Arcep prévoit jusqu’à 11 milliards d’objets connectés en 2050 pour la seule France – et celui de la défense, dans lequel les télécommunications ont pris une place centrale. En février, un caprice d’Elon Musk est d’ailleurs venu rappeler l’importance de ces connexions dans les zones en guerre : le patron de SpaceX a subitement décidé que l’armée ukrainienne ne pourrait plus se servir de son réseau Starlink, jusque-là utilisé pour faire voler des drones et transmettre des informations. Ou quand un crétin milliardaire peut influer sur un conflit international.
Car le crétin en question a, justement, une longueur d’avance sur ses petits camarades en matière d’internet satellitaire : quelque 3.200 de ses satellites sillonnent déjà l’orbite terrestre basse. Mais ce n’est qu’un début. Les autorités états-uniennes ont en effet répondu favorablement à sa demande d’en positionner, à terme, 42.000. C’est beaucoup ? C’est énorme ! Pour avoir un élément de comparaison, Galileo (le GPS européen), n’en utilise « que » 27.
Je voulais vous parler d’un signal faible matérialisant notre effondrement. Un signal faible, qui aujourd’hui passe encore sous les radars, mais d’ici 5 ans, cela fera la « une » des journaux, et l’on se demandera doctement comment nous avons fait pour en arriver-là.
La recette de l’échec est toujours la même. Faiblesse, lâcheté, démagogie, manque de travail, paresse et volonté de gratifications immédiates. Entendez par là que beaucoup préfèrent tout sacrifier aux plaisirs du moment, plutôt que de faire les efforts aujourd’hui pour de meilleurs lendemains sans jamais de garantie de succès.
Je sais ce qui nous attend. Je sais ce qu’il va se passer.
Je suis d’une génération qui en a vu des Etats faibles tomber sous les coups de butoirs des narcotrafiquants.
Le Mexique, la Colombie bien évidemment et ses barons de la drogue, mais aussi l’Afghanistan et tellement d’autres.
J’ai vu aussi les liens secrets, inavouables et bien tardivement avoués entre les trafiquants de tous poils et la CIA.
J’ai vu ce fléau s’abattre insidieusement sur notre pays.
D’abord la douceur de ces drogues si aimables, le cannabis, qu’il faudrait légaliser pour un usage récréatif si sympathique. Ensuite j’ai vu le crack et les drogues nettement plus sales et plus dures s’enraciner dans notre jeunesse. Mais nous ne nous sommes pas arrêtés là. Un jour la cocaïne a vu ses prix s’effondrer notamment aux Etats-Unis en raison de la crise dite des opiacés et l’Europe devenir le débouché de substitution.
A ce titre l’affaire Palmade ne doit rien au hasard et illustre parfaitement l’expansion du fléau de la cocaïne dans tous les milieux.
J’ai vu aussi les liens commencer à se tisser entre ceux qui doivent lutter contre les trafics et les trafiquants eux-mêmes tant le pouvoir de corruption de l’argent et des milliards de la drogue sont puissants. Vous trouverez ci-dessous une petite capture d’écran de titres d’articles de presse qu’il vous suffit de taper par vous-même pour commencer à tirer une pelote si inquiétante, si effrayante pour l’avenir de notre pays.
Caradisiac, qui vient de mettre la main dessus, a donc décidé de le rendre public en exclusivité, en partenariat avec Marianne.
Sur France Info, il y a une semaine, Bruno Le Maire a promis de le publier.
Mais le ministre de l’Économie et des Finances, attendu pour en discuter à l’Assemblée nationale ce 22 mars, avec son collègue des Transports, Clément Beaune, s’est bien gardé de préciser un délai.
Et, pour l’heure, le rapport consacré au modèle économique des sociétés concessionnaires d’autoroutes (SCA), qui lui a été remis il y a maintenant plus de deux ans, reste confidentiel.
Il le demeure même pour une partie des parlementaires sur le point de l’interroger, puisqu’il n’a été communiqué qu’aux seuls présidents des commissions des finances des deux chambres.
Les informations qu’il contient sont pourtant d’intérêt général, et ne devraient pas avoir vocation à rester secrètes, selon Caradisiac.
C’est pourquoi, en association avec l’hebdomadaire Marianne, nous avons décidé de le rendre public.
Une copie a fini en effet par nous tomber entre les mains, et voici ce rapport étouffé sur les autoroutes proposé en téléchargement libre.
Exclusif
Découvrez le rapport secret sur les sociétés d’autoroute qui confirme leur surrentabilité
Le rapport
On lui a juste retiré les pages consacrées à la taxe d’aménagement du territoire (TAT) dont la hausse depuis 2020 a rapporté 1 milliard d’euros supplémentaire à L’État, ce qui a poussé les SCA à ouvrir un contentieux.
À en croire Bruno Le Maire, cette partie du rapport constituerait « le mémoire en défense » du gouvernement qu’il ne faudrait pas dévoiler aux sociétés concessionnaires…
Gagnant du prix du public du meilleur documentaire au festival Dances With Films, le film partage le parcours de la famille Tickell avec le pouvoir de guérison de la mise à la terre, alias la mise à la terre, et les personnes avec lesquelles ils ont rencontré et appris en cours de route; mettant en vedette le pionnier de la mise à la terre Clint Ober, l'auteur Deepak Chopra M.D., l'actrice / activiste Amy Smart, l'auteur / activiste Mariel Hemingway, le cardiologue Dr Stephen Sinatra, le guérisseur renommé Dr Joseph Mercola, l'ingénieur et physicien Gaetan Chevalier, PhD. et plein d'autres.
Plus de 20 études évaluées par des pairs ont montré que la mise à la terre (mise à la terre) réduit l'inflammation ... l'un des processus biologiques internes les plus dommageables qui conduit à une maladie chronique. Alors sortez et mettez les pieds sur terre, et / ou augmentez votre temps de mise à la terre à l'intérieur avec des produits de mise à la terre. Votre corps et votre esprit vous remercieront! Renseignez-vous sur toutes les études et recherches sur https://earthinginstitute.net
En l’espace d’une semaine, comme beaucoup, j’ai vécu des heures inquiètes à faire le pied de grue devant un palais de justice en espérant des sorties de garde à vue, l’effroi devant la violence des forces de l’ordre, les témoignages glaçants de Sainte-Soline, les mensonges du gouvernement, les tentatives de diversion par menaces de dissolution et les vaguelettes d’un Plan eau ballottant à la surface, ignorant des profondeurs, flottant sans grâce aucune.
Quand tous les recours ont été épuisés, quand les scientifiques ne sont pas écoutés, quand nos jeunes se font arrêter, quand les camarades se font mutiler, quand la loi n’est plus respectée par les représentants de l’État, quand on ordonne aux services d’urgence de trier entre les blessés, il serait criminel de rester les bras croisés. Mais nous nous épuisons. Je vois mes amies, mes proches, toutes et tous abasourdis, épuisés, moroses, inquiets, même les plus aguerris. Il me semble qu’un cap a encore été franchi. Moi-même je reste sidérée devant les images de mutilés, ne sachant plus comment contrer la mauvaise foi, les manipulations et les mensonges éhontés, ayant le sentiment d’avoir répété les mêmes choses mille fois, vidée de toute énergie.
Une illustration flagrante en a magnifié le processus ces trois années de covidémie. Afin de donner l’illusion de maîtriser la situation, le système politico-médiatique a divisé la population entre corona-positifs, corona-« vaccinés » et corona-sceptiques. L’art médical a été annihilé et la notion si connue de « le microbe n’est rien, le terrain est tout » (A. Béchamp) a été niée. Les finances ont été investies massivement dans un produit brandi comme une panacée, fragmentant ainsi la richesse des nations et la santé des populations.
Un auteur décrit très clairement « La fragmentation dans la science et la société » à la page 173 :
« Si la science et la technologie sont entachées de défauts et ont des répercussions préjudiciables à la société, c’est qu’elles reflètent une grave imperfection de la société même : la fragmentation. Aucune activité humaine, aucun élément de l’univers n’est – pas plus que l’homme lui-même – comparable à une île ; et pourtant nous traitons tous ces « fragments » comme s’il s’agissait d’entités distinctes sans considérer comment ils s’articulent en « touts ». La fragmentation est profondément ancrée dans la pensée et le langage humains. (…)
Une solution : Il faudrait donc maintenant, estime-t-on, que la société reprenne en main la science dans son ensemble pour faire en sorte qu’elle serve effectivement l’intérêt de l’humanité et pour chercher à réduire l’écart qui la sépare des autres aspects de la vie. »
La fragmentation obéit aussi à des critères politiques qui se dissocient des différents secteurs de la société tout en s’appuyant sur certains qui sont de connivence. Nous apprenons que « La HAS donne son feu vert à la levée de l’obligation vaccinale pour les soignants » :
« La Haute autorité de santé (HAS) recommande de « lever l’obligation de vaccination » contre le Covid-19 en vigueur depuis 18 mois pour les soignants et les autres professionnels concernés. »
Comment une autorité de santé peut-elle aussi longtemps restreindre à ce point les besoins sanitaires d’une population et étouffer la conscience de tant de professionnels de la santé ?
La recherche médicale est aussi terriblement segmentée, autant par l’origine des financements que par l’objectif recherché. Un exemple nous en est donné par une étude lancée au sujet du covid long avec un objectif très délimité.
« Un essai clinique, coordonné par les HUG, est en cours afin de tester un médicament susceptible de traiter le Covid Long. Ou plus exactement, une certaine catégorie de personnes atteintes par ce nouveau mal. Le recrutement a commencé pour inclure les 200 patients répondant à tous les critères de participation (qui sont forcément bien délimités et peu représentatifs de l’entièreté des malades). Mais d’autres critères sont aussi pris en compte, comme la présence d’une certaine protéine dans l’organisme. Elle s’appelle « HER-W ENV ». La protéine qui se cache derrière ce nom quelque peu barbare est suspectée d’être responsable de nombreux cas de Covid Long ; on la retrouve chez plus d’un patient sur quatre affecté par la maladie. »
D’autres établissements hospitaliers participent à cette étude qui est destinée à tester une molécule s’attaquant à ladite protéine, afin de la neutraliser. Quelle réduction, quelle fragmentation de la complexité de l’organisme humain !
Un être humain est un micro-univers qui se révèle dans un corps connecté à une âme et à un esprit. La technicité actuelle cherche à le réduire en une Intelligence Artificielle (IA).
Dans la ligne droite du 1.4.2023, Radio Courtoisie expose très pertinemment : « Votre QI n’est pas votre liberté de pensées, de raisonner. Mettre une puce pour augmenter le QI à 250 consiste à prendre le contrôle de votre intellect. Votre cerveau humain sera soumis à ce QI. On peut être ainsi contrôlé et hacké. La puce électronique vous enlève le libre arbitre. »
C’est un exemple fort que le transhumaniste ne fait qu’augmenter l’homme de façon fragmentée.
Comment peut-on appeler cela ? “Monopole directif sous lois abusives”, voici en substance leur projet, black rock va acheter le parc immobilier et vous allez devenir locataire, ensuite votre retraite, etc. Voilà le vrai visage de l’Europe, une dictature pour les pays piégé à l’intérieur, il faut les arrêter, car leur seul et unique objectif est qu’ils veulent vous ruiner pour vous réduire à l’esclavage avec le revenu universel en ligne de mire pour tous. Regardez comment il recommence de vous faire peur avec l’eau aujourd’hui… afin de mieux rentrer dans le moule.
Comment peut-on appeler cela ? “Monopole directif sous lois abusives”, voici en substance leur projet, black rock va acheter le parc immobilier et vous allez devenir locataire, ensuite votre retraite, etc. Voilà le vrai visage de l’Europe, une dictature pour les pays piégé à l’intérieur, il faut les arrêter, car leur seul et unique objectif est qu’ils veulent vous ruiner pour vous réduire à l’esclavage avec le revenu universel en ligne de mire pour tous. Regardez comment il recommence de vous faire peur avec l’eau aujourd’hui… afin de mieux rentrer dans le moule.
De plus, leur vrai problème complémentaire est que dans quelques années, ce ne sera même pas de vendre leur maison, mais comment s’y rendre eux-mêmes sans essence et sans argent en raison d’une économie ruinée par l’alignement sur les États-Unis et le pillage de la mafia d’État par le WEF, et son Gourou qui organise le pillage en règle pour des financiers (BR) ayant comme traitre les gouvernants en place. La sélection via le DPE et autre obligation sous couvert du “climat” par le WEF est une manière de valider le projet du great reset. Que les gens ne s’en rendent pas compte est à … pleurer et à hurler.
« C’est un texte ahurissant ! C’est du pré-totalitarisme ! »