Cependant, certaines des mesures proposées suscitent des préoccupations chez les particuliers. À partir de 2027, les ménages devront s’acquitter d’une taxe sur le carburant et le chauffage pouvant atteindre 45 euros par tonne… en sachant que un Français émet en moyenne 10 tonnes de CO2 par an, soit une enveloppe de 30 milliards. Cette mesure intervient à un moment difficile pour les citoyens, en cette période d’inflation sur fond de guerre en Ukraine.
Malgré ces préoccupations, le Parlement a approuvé le paquet législatif dans son ensemble. Le plan comprend une réforme du marché européen du carbone, avec une réduction des quotas d’émissions pour les grands industriels et une extension du marché carbone au secteur maritime. De plus, un mécanisme d’ajustement carbone aux frontières sera créé.
Bien que le paquet législatif comprend la création d’un nouveau mécanisme d’ajustement carbone aux frontières et d’un Fonds social pour le climat. Le risque de délocalisation des entreprises est lié à la possibilité que les entreprises choisissent de déplacer leur production vers des pays ayant des politiques environnementales moins contraignantes pour éviter les coûts associés aux réglementations environnementales. Cela peut entraîner une perte d’emplois et une réduction de la production dans les pays ayant des politiques environnementales plus strictes.
Protégé vos enfants, c’est une obligation et votre devoir, ils veulent les traumatiser à vie et les emmener en enfer, ils n’ont plus rien à perdre et tente le tout pour le tout pour pervertir et effondrer l’humanité.
En effet, au travers du “LGBêtise” premièrement, ce sont les réseaux pédophiles qui sont aux commandes, en second, c’est la diminution de la population au même titre que les vaccins, les guerres, les maladies, pour l’extinction de l’humanité comment ? Tout simplement en empêchant la reproduction naturelle de l’humain et troisièmement, le transhumaniste pour leur récolte d’argent avec l’industrialisation et le commerce de leurs usines à bébé grâce aux enlèvements ou autres viols que nous connaissons tous dans les tunnels, aider aussi aux travers par des associations (comme l’ASE pour la France et tellement d’autres dans le monde inventé par le plus grand pédophile anglais). Le tout en excuses pour “commercer de l’humain” pour leur plaisir divers.
La suite est de procéder aux “transhumanistes par ventes et contrôle, seulement pour eux et leurs comptes en banque”, ce cocktail est leur plan pour “la continuité du dépeuplement du monde“, (dites vous que les premiers organisateurs de ce système sont ceux qui sont toujours proches des enfants, pensé à Macron enfant). Vous comprenez maintenant ?
Ils vous culpabilisent aux travers de leurs progrès social comme excuse, mais c’est une machine de guerre qu’ils ont mis en place, un lavage de cerveau mondial écrit par les premiers plus grand pédophile du monde. La sexualité, c’est comme la religion, elle doit se découvrir sans orientation ou obligation et elle se doit d’être personnelle et doit rester personnelle et sans exposition, “une découverte personnelle”. À lire : “Pédophilie : histoire de la fabrication d’une évidence contemporaine”. Et aussi du club médiapart : “L’élite et l’oligarchie mondiales pédophiles”
J’ai déjà parlé à maintes reprises de l’incompréhension absolue de la plupart des gens en ce qui concerne Wagner et son rôle dans le conflit.
Certains l’ont apparemment considéré comme une sorte de singleton autonome, avec Prigozhin comme commandant en chef et stratège militaire. En réalité, Prigozhin n’est bien sûr pas le véritable « commandant » des forces. Il n’a aucune expérience militaire à proprement parler et ne sait probablement presque rien des tactiques/stratégies militaires. Il n’est que le visage public du groupe, le porte-parole.
Le véritable commandant de Wagner serait un nom de code Lotus, ou Lotos en russe.
Lotus, né Anton Yelizarov à Rostov, en Russie, était un officier de réserve russe et diplômé de plusieurs prestigieuses académies militaires russes dans les années 90, dont l’école de parachutistes d’élite Suvorov Military Guards Ulyanovsk et l’école aéroportée Ryazan. Il a ensuite servi dans le district militaire du Sud en tant que commandant de peloton et de compagnie dans la 7e division de montagne d’assaut aéroportée d’élite. Il aurait ensuite été promu à la 10e brigade des forces spéciales séparées du GRU.
Il a ensuite été transféré à Wagner et aurait servi en Syrie où il a été blessé, ainsi qu’instructeur en République centrafricaine, puis commandant en Libye.
En bref : ce type a une sacrée carrière et une expérience de conflit actif sans pareille.
Nous vivons dans un monde entre-tissé de voix, qui dégagent du sens par-delà l’invisible de la nuit ou du lointain, et révèlent la part merveilleuse du monde. Ces voix nous portent et nous parlent, sans même que nous y prêtions attention. Même les productions sonores abiotiques – tonnerre, murmures de pluie ou roulement des vagues – demeurent porteuses de sens et sont interprétables. Les plantes, sait-on depuis peu, sont sensibles aussi aux vibrations sonores. Tout comme les arbres, d’une certaine manière, écoutent. Mais le bruit contemporain, cet immondice de nos sociétés industrieuses, brouille l’accès à ces réalités sensibles du vivant. L’Anthropocène se double de Thorivocène (du grec thóryvos, bruit), ère du vacarme et de l’irrelationnel.
Les zones indemnes de pollution sonore ont chuté de 50 à 90 % depuis le début de l’essor industriel, au XIXe siècle, et les villes sont elles-mêmes devenues invivables. Dans le seul cœur de l’Île-de-France, le bruit causé par les transports entraîne, pour chaque habitant, une perte de onze mois de vie, soit une perte globale de 108 000 années de vie en bonne santé. Plus de 70 % des Parisiens sont incommodés par le bruit, fenêtres à double vitrage pourtant fermées. Et dans les environnements lycéens, l’écoute au casque de musiques amplifiées conduit aujourd’hui un élève de terminale sur sept à devoir s’accommoder d’une oreille vieillie de trente ans. Le bruit se glisse partout. Et, partout, il altère l’écoute.
Mais nous ne sommes pas seuls à en souffrir. Agissant tel un interrupteur relationnel, le bruit fait barrage à l’écoulement du vivant. Il obstrue la libre circulation des voix, multiplie les accrocs dans le tissu serré des relations entre êtres vivants. L’anthropophonie a désormais envahi les espaces marins en y multipliant les ronflements assourdissants des navires, les percussions répétées des prospections minières et autres problématiques sonars militaires. Elle est l’une des sources des emblématiques échouages de cétacés.
Dans le présent article, je résume son parcours que les Occidentaux n’ont pas compris, et j’invite à penser ce qui pourra advenir lorsqu’il aura disparu.
L’URSS s’est effondrée sur elle-même, non pas à partir de la guerre d’Afghanistan (1979-89), mais à partir de la catastrophe de Tchernobyl (26 avril 1986). Les Soviétiques se sont soudainement rendus compte que l’État ne maîtrisait plus rien. Les membres du Pacte de Varsovie, dont Léonid Brejnev avait fait des vassaux, se révoltèrent. Les Églises, les Jeunesses Communistes et les Gays d’Allemagne de l’Est firent tomber le Mur de Berlin [1]. Non seulement l’URSS ne réagit pas, mais elle abandonna ses alliés hors d’Europe, notamment Cuba. Le Premier secrétaire du parti, Mikhaïl Gorbatchev, se transforma de réformateur en liquidateur. L’URSS éclata, créant quantité de nouveaux États indépendants. Puis ce fut la descente aux enfers. Quelques « Nouveaux Russes » s’approprièrent les biens collectifs et se livrèrent une guerre à la mitraillette dans les rues de Moscou et de Saint-Petersbourg. La production s’effondra. Il devint difficile de trouver à manger dans de nombreuses régions russes. L’espérance de vie chuta brutalement d’une quinzaine d’années. La chute fut si brutale que personne n’aurait alors pensé que le pays se relèverait rapidement.
Simultanément, les États-Unis imaginent ce qu’ils pourraient faire sans rival. Le président George H. Bush Sr., s’exprimant devant le Congrès réuni au grand complet le 11 septembre 1990, lance l’idée d’un « Nouvel Ordre Mondial ». Il vient de mettre en scène une guerre dans le Golfe à laquelle presque tous les États du monde se joignent. Avant même la dissolution de l’URSS, les États-Unis sont devenus l’hyperpuissance que nul ne conteste [2]. Le straussien Paul Wolfowitz élabore une doctrine visant à prévenir l’émergence d’un nouveau compétiteur, qui prendrait la place de l’Union soviétique. Il désigne sans hésiter le projet politique de François Mitterrand et d’Helmut Köhl, l’Union européenne, comme l’ennemi à abattre. Celle-ci est viciée dès le départ avec l’obligation d’y faire adhérer tous les États du Pacte de Varsovie et de l’ex-URSS jusqu’à ce que ses institutions deviennent impraticables et l’inscription dans le Traité de Maastricht de la défense de l’UE par Washington.
Le Pentagone est si sûr de ne plus avoir d’adversaire à sa hauteur qu’il démobilise 1 millions d’hommes une fois l’Iraq écrasé. Les unités de recherche-développement des armées sont dissoutes. Le président Bush père croit que cette guerre est la dernière et qu’une ère de prospérité débute.
La question qui vient immédiatement à l’esprit c’est pourquoi et où ces enfants sont-ils emmenés ?
La petite Milania, 11 ans, témoigne lors de ce reportage de ce qu’elle a vu et de ce qu’elle a vécu à Bakhmout (Artiomovsk), lorsque le quartier où elle se trouvait avec ses grand-parents était encore sous contrôle ukrainien.
Elle raconte ainsi comment des soldats ukrainiens d’une unité appelée « Anges blancs » (qui rappelle méchamment le nom de l’organisation terroriste pseudo-humanitaire des « Casques blancs » en Syrie) ont emmené de force une enfant de quatre ans, sous les yeux de ses parents qui n’ont rien pu faire face aux armes pointées sur eux.
Ces mêmes soldats ukrainiens ont tenté d’enlever Milania à ses grand-parents à plusieurs reprises, allant même jusqu’à prétendre que la mère de la petite avait été tuée par la Russie, alors qu’elle était bien vivante dans une autre ville du Donbass ! Mais comprenant qu’il s’agissait d’un mensonge, les grand-parents et les habitants du quartier ont caché Milania afin de lui éviter de subir le même sort que l’enfant enlevé devant les yeux de ses parents.
Voir le reportage filmé par RIA FAN, sous-titré en français :
Fait troublant, lors d’une de ces tentative d’enlèvement, les soldats ukrainiens ont prétendu qu’ils devaient emmener Milania en Allemagne. Pourquoi en Allemagne ? Pourquoi pas dans une autre région d’Ukraine ?
Et ce témoignage n’est pas le seul. Le 3 avril, Natalia Tkatchenko, une habitante de Bakhmout (Artiomovsk), a raconté à RIA Novosti, comment non seulement les soldats ukrainiens de l’unité « Anges blancs » mais aussi ceux de l’unité « Phénix », emmenaient les enfants de force afin d’obliger les parents à partir pour le territoire ukrainien. S’ils refusaient de partir de Bakhmout (Artiomovsk) avec leurs enfants, les soldats ukrainiens enlevaient ces derniers purement et simplement.
Elle explique qu’après que le régime de Kiev a annoncé l’évacuation de Bakhmout (Artiomovsk), les habitants ont été invités à partir en Ukraine avec leurs familles et, peu après, les enfants ont été envoyés en masse dans des camps et des sanatoriums.
« Les enfants partaient en vacances et n’en revenaient pas, et les parents étaient obligés d’aller en Ukraine, même s’ils ne le voulaient pas. Puis, au bout d’un certain temps, l’évacuation forcée des enfants par les unités « Anges blancs » et « Phénix » a commencé. Il s’agissait de militaires en uniforme qui se rendaient dans les maisons, dans les sous-sols, à la recherche d’enfants et qui les emmenaient sous la contrainte, par la force. Si les parents étaient d’accord, ils pouvaient les accompagner. Si les parents étaient contre, ils emmenaient les enfants. Il y a donc eu une période où nous avons simplement caché nos enfants », a déclaré Natalia Tkatchenko.
Le danger de la 5G ne peut être surestimé.
La 5G (5e génération) est actuellement activement déployée dans de nombreuses villes du monde. Simultanément, alors que la prise de conscience de ses horribles impacts sur la santé et la vie privée augmente, de nombreux endroits décrètent des moratoires ou l’interdisent, comme toute la nation belge, la ville de Vaud (Suisse) et San Francisco (États-Unis). Le rayonnement radiofréquence (RF ou RFR) et les champs électromagnétiques (EMF) sont de plus en plus reconnus comme de nouveaux types de pollution — la pollution de l’environnement.
Voici 13 raisons exposant le danger de la 5G, qui pourrait se transformer en une catastrophe absolue pour la santé et la vie privée si suffisamment de personnes ne se lèvent pas pour l’arrêter.
[...]
Après la chute de Bakhmout, les forces russes avanceront vers le fleuve Dniepr, reprenant la majeure partie de l’est de l’actuelle Ukraine, et peut-être même une plus grande partie au sud. Avec plus d’un demi-million de soldats russes inutilisés aux frontières de l’ancienne Ukraine, la force d’occupation russe en attente est assez importante. À ce stade, les marionnettes installées par les États-Unis à Kiev tomberont comme les gouvernements fantoches de Saigon et de Kaboul avant eux. Des hélicoptères évacueront les agents de la CIA et de l’OTAN qui n’ont pas encore été tués du toit de l’ambassade américaine à Kiev, ainsi que les hauts responsables de la redoutable police secrète, la SBU. Zelensky sera emmené à Miami. Les mercenaires polonais s’enfuiront vers la frontière polonaise.
Trois gagnants : Local, continental et mondial
A. L’Ukraine
Après la guerre, il y aura trois gagnants. Le premier sera l’Ukraine nouvellement libérée, qui retrouvera ses frontières naturelles après que la Crimée, l’est et peut-être le sud auront été rendus à la Russie. Une Ukraine libre et indépendante, peut-être dirigée par un président ukrainien comme Oleg Tsaryov, sera établie. L’Ukraine, dont les infrastructures ont été ignorées pendant trente ans, alors que les oligarques-voleurs en voie d’exil expatriaient l’argent ukrainien à Tel-Aviv, Londres et New York, sera rénovée. La prospérité viendra de l’achèvement de la nouvelle route de la soie reliant l’Eurasie. L’Ukraine a un grand avenir en tant que plaque tournante des transports et de l’énergie. Progressivement, au cours des cinq prochaines années, les 3 millions de réfugiés ukrainiens en Russie et certains des 8 millions en Europe occidentale, une fois qu’ils auront été soigneusement contrôlés ou dénazifiés par les services de sécurité russes, pourront rentrer chez eux. Le fait est qu’il y a peu de véritables réfugiés ukrainiens en dehors de la Russie. Ceux qui sont partis en Europe occidentale au cours des treize derniers mois sont simplement ceux qui seraient partis si l’Ukraine avait été autorisée à adhérer à l’UE. Sans l’attrait de l’UE (voir ci-dessous), beaucoup rentreront chez eux en temps voulu.
B. La Fédération de Russie
Le deuxième gagnant sera la Fédération de Russie. Alliée au Belarus et à la nouvelle Ukraine, elle sera de loin la plus importante d’une solide troïka de pays, dont la population combinée avoisinera les 200 millions d’habitants. Le Belarus, aliéné par la tentative américaine de révolution colorée en 2021, est désormais un allié loyal de la Russie et a renoncé à flirter avec l’Occident perfide. Quant à la nouvelle Ukraine, après la trahison occidentale de l’ancienne Ukraine, elle ne se fera certainement plus d’illusions sur les promesses vides et absurdes de l’Occident, avec son OTAN et son UE redondantes, qui n’ont apporté que destruction, appauvrissement et asservissement à toute l’Europe de l’Est. Les trois frères de la Slavonie orientale seront réunis comme jamais auparavant, en raison de l’ingérence des États-Unis qui ont tenté de détruire leur unité après la chute de l’URSS. En outre, le prestige international de la Russie sera grand. Sa position diplomatique dans le Sud, en Afrique, en Amérique latine et en Asie, en particulier en Iran et en Syrie, n’aura jamais été aussi élevée.
C. Le Sud global
Par conséquent, le troisième gagnant sera les BRICS +, dont le moteur économique est la République populaire de Chine et le moteur idéologique la Fédération de Russie. BRICS + signifie non seulement BRICS, Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud, mais aussi les nouveaux membres que sont la Turquie, l’Iran, l’Arabie Saoudite, l’Égypte, l’Algérie, le Mexique et l’Argentine. Il s’agira d’une organisation des « Douze », avec un équilibre entre six pays d’Eurasie, trois pays d’Afrique et trois pays d’Amérique latine. Elle devrait recevoir un nouveau nom – nous suggérons depuis longtemps quelque chose comme AS, « L’Alliance souveraine ». Ce n’est qu’une idée. Elle regrouperait environ la moitié de la population mondiale et plus de la moitié de sa production. Un géant. Et qui les suivra ? Évidemment, la Biélorussie et l’Ukraine. Puis peut-être le Nigeria, le Venezuela, le Pakistan – la liste pourrait bien commencer à ressembler à la composition de l’ONU, l’Organisation des Nations unies, une marionnette américaine d’après 1945, désespérément démodée et bientôt défunte. Les BRICS + regrouperont pour l’instant tout le monde à l’exception de l’Occident « exceptionnel », c’est-à-dire l’Amérique du Nord (les États-Unis et le Canada), la péninsule d’Europe occidentale (nous entendons par là l’Europe jusqu’à la Biélorussie et l’Ukraine), l’Océanie et pour l’instant (mais plus pour très longtemps) les quelques vassaux offshore ou côtiers des États-Unis en Asie – le Japon, Taïwan, la Corée du Sud et Israël.
L’avenir de l’Europe occidentale
[...]
Xavier Moreau, spécialiste des relations internationales, éclaire les événements récents liés à la crise ukrainienne et aux enjeux géopolitiques mondiaux dans son dernier bulletin.
Au programme de ce numéro 130 :
01:18 Pâques orthodoxe
01:36 Nouvelles économiques
– Risque d’inflation
– Blocage agricole contre l’Ukraine
– Russie, 5e économie mondiale
06:05 Binance vs fisc US
07:26 Zone économique libre en Nouvelle Russie
07:55 Donald Trump Jr : Natio-conservateur vs néocons
09:24 Polono-néo-conservatisme
11:49 Fouquier-Tanguy vs ingérences russes
14:27 Armée US vs armée russe
16:08 Visite du ministre de la défense chinois à Moscou
17:49 Quelle offensive pour l’Ukraine ?
– Vladimir Poutine sur le front
– Anna Malyar : l’offensive a déjà commencé
– Faire durer la guerre à tout prix
23:11 Suprématie aérienne russe
26:38 Carte des opérations militaires
Désormais baptisé "Mon Espace Santé", le carnet de santé numérique des Français semble enfin prendre son envol, après deux décennies de tâtonnements.
En un peu plus d'un an, 8,4 millions de personnes, soit 13% de la population, ont demandé les clefs (le mot de passe) de ce coffre-fort numérique, qui conserve leurs résultats d'analyse biologique et d'imagerie médicale, leurs comptes-rendus d'hospitalisation ou de consultation, ordonnances et autres documents de santé.
Mais plus que ce nombre d'utilisateurs, somme toute encore modeste (l'objectif est de couvrir toute la population), le ministère de la Santé se félicite de la forte croissance du nombre de documents stockés dans les Espaces de santé des Français.
Aujourd'hui, près de 10 millions de documents sont déposés chaque mois par hôpitaux, laboratoires et praticiens. C'est à peu près la moitié de l'objectif fixé à terme pour Mon Espace Santé (soit 250 millions de documents stockés par an), souligne le ministère.
Et c'est déjà autant, en un mois, que ce qu'avait rassemblé dans toute son existence le Dossier médical partagé (DMP), prédécesseur de Mon Espace de Santé, lui-même énième avatar d'un projet lancé en 2004 et refondu à plusieurs reprise.
Ce qui différencie Mon Espace Santé des tentatives précédentes? Il a été créé automatiquement pour chaque assuré social, sauf opposition écrite de celui-ci. Et il est approvisionné en documents, là encore automatiquement, grâce à l'effort de mise à jour de l'armada de logiciels médicaux utilisés par les soignants.
Pour l'instant, les établissements hospitaliers et les laboratoires d'analyse médicale sont les principaux pourvoyeurs, avec respectivement 34 et 33% des documents expédiés sur les Espaces des Français. L'enjeu est désormais de convaincre les praticiens libéraux d'approvisionner plus largement l'Espace santé de leur patients.
Nouvelles fonctionnalités
Mon Espace Santé est "un progrès majeur en France", selon Arthur Dauphin, chargé de mission à France Assos Santé, qui fédère les associations d'usagers du système de santé.
"Chaque usager peut bénéficier" de ce regroupement au même endroit de tous ses documents médicaux, et ce, même s'il les garde pour lui-même, en refusant de le partager avec ses soignants, indique-t-il. Pour apaiser les craintes d'un "Big Brother" sanitaire, les usagers ont en effet la possibilité s'ils le veulent d'occulter certains, voire tous les documents versés dans leur coffre-fort numérique.
Des associations de défense des libertés ont mis en garde contre Mon Espace Santé, dont La Quadrature du net, qui avait appelé les Français à refuser expressément la création d'un compte. "Tout fichier centralisé, toute base de données, présente le défaut de centraliser des données dont la dispersion peut paradoxalement être un avantage", estimait-elle lors du lancement public de Mon Espace Santé. La Quadrature critiquait notamment la manière dont ce coffre-fort numérique gère les consentements des utilisateurs, qui n'est selon elle ni "respectueuse", ni "fiable", ni "réaliste".
L'appel au boycott semble avoir été peu entendu, puisque seuls 2% des Français ont expressément refusé la création d'un compte, selon les chiffres du ministère.
Les spéculations vont également bon train sur le fait que les injections de Covid-19 pourraient contenir des traces d’oxyde de graphène, une substance hautement toxique et conductrice.
Les régulateurs des médicaments, avec le soutien des médias grand public, ont nié à plusieurs reprises ces allégations.
Mais ils vous mentaient.
Parce que des preuves récentes ont émergé qui confirment la présence d’oxyde de graphène, une substance hautement toxique et conductrice, dans le vaccin de Pfizer. Et il est venu de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis qui a été contrainte de publier les documents confidentiels de Pfizer sur ordre de la Cour fédérale des États-Unis.
La FDA avait initialement tenté de retarder la publication des données de sécurité du vaccin Covid-19 de Pfizer pendant 75 ans, malgré l’approbation de l’injection après seulement 108 jours d’examen de sécurité le 11 décembre 2020.
Cependant, un groupe de scientifiques et de chercheurs médicaux a poursuivi la FDA en vertu de la FOIA pour forcer la publication de centaines de milliers de documents liés à l’homologation du vaccin Pfizer-BioNTech Covid-19.
Début janvier 2022, le juge fédéral Mark Pittman a ordonné à la FDA de publier 55 000 pages par mois et, depuis lors, PHMPT a publié tous les documents sur son site Web au fur et à mesure de leur publication.
L’un des documents les plus récents publiés par la FDA, enregistré sous le numéro 125742_S1_M4_4.2.1 vr vtr 10741.pdf, confirme l’utilisation de l’oxyde de graphène dans le processus de fabrication du vaccin Pfizer Covid-19.