Totalement absente des médias français, éclipsée par l'actualité d'une métropole en ébullition face aux coups de matraques d'un pouvoir contre son peuple, reléguée derrière une propagande d'une échelle inédite jusqu'alors visant à maintenir l'illusion d'une victoire à venir de l'Ukraine et de l'OTAN, la révolution diplomatique conduite par la Chine au Moyen-Orient marque l'aurore d'une nouvelle ère qui verra probablement le refoulement de l'influence nuisible de Washington hors d'une région et loin des peuples dont le martyre infligé par l'occident colonial depuis trois-quarts de siècle a suffisamment duré.
Si ce terme renvoie à la Pax Romana et à la Pax Americana, toute ressemblance s’arrête là, ces deux derniers termes impliquant des contextes radicalement différents de la situation chinoise : des empires étendus bien au-delà de leurs frontières directes et l’imposition de la paix par la soldatesque. Dans l’histoire de la Chine, les dynasties Han, Tang et Ming sont des empires qui sont globalement limités à l’intérieur des frontières actuelles du territoire chinois. Elles représentent des ères historiques et des aires géographiques de développement humain sans précédent, que ce soit en terme de progrès techniques, d’échanges commerciaux et culturels et d’explorations maritimes.
En 1949, au sortir de la guerre et de l’occupation japonaise, d’un siècle et demie de conflits internes, de pillages coloniaux et de déclin politique qui l’auront maintenu hors de portée de la révolution industrielle, la Chine est parmi les pays les plus pauvres du monde. En soixante-quinze ans, elle se hissera pourtant au rang des trois premières puissances mondiales tout en demeurant jusque là, aussi insolite que ce soit pour des observateurs habitués à une arrogance toute occidentale, dans une relative discrétion sur le plan diplomatique, peut-être par l’entremise d’un cocktail d’humilité et de patience. De cette patience nécessaire face à un fauve mourant, toujours capable de coups mortels dans son agonie.
C’est le 7 septembre 2013 que pour la première fois, Xi Jinping fait mention de ce projet, baptisé 一带一路 (yī dài yī lù, une ceinture, une route en français), renommé plus tard Belt And Road Initiative (BRI) ou la Nouvelle Route de la Soie, en référence à l’ancienne route commerciale sous la dynastie Han. Lors de ce discours prononcé à l’université Nazarbaïev d’Astana au Kazakhstan, Xi en trace les contours et surtout énumère ses principes : « partager la paix et le développement tant qu’ils persistent dans l’unité et la confiance mutuelle, l’égalité et les avantages mutuels, la tolérance et l’apprentissage les uns des autres, ainsi que la coopération et les résultats gagnant-gagnant », « faire avancer le développement et la prospérité communs, et travailler pour le bonheur et le bien-être des peuples des pays de la région ». La BRI vise à mettre toute l’Eurasie, mais aussi l’Afrique, le Moyen-Orient et le sud-est asiatique à portée de la Chine et vice-versa, par voie ferrée et maritime. Près de mille milliards de dollars ont été investis par la Chine le long des Nouvelles routes de la soie à des fins de modernisation des infrastructures dans le cadre de la stratégie gagnant-gagnant qui a fait la marque de fabrique d’une diplomatie chinoise du progrès et du développement, notamment sur le continent africain. Non seulement, on ne compte plus la myriade de projets coopératifs entre la Chine et ses partenaires mis en place depuis le démarrage de ce chantier pharaonique, mais il a également favorisé la coopération entre nations voisines, faisant ainsi pendant à la conflictualité, à l’accaparement et à l’esprit de division propre à l’impérialisme américano-occidental dominant le monde depuis l’après-guerre.
UE et EU : les deux faces d’une même pièce
S’excluant de facto de ce projet, les États-Unis le perçoivent comme une volonté hégémonique chinoise (l’hôpital et la charité) et chez leurs alliés ouest-européens, on le considère soit avec indifférence soit avec une circonspection teintée de la crainte de déplaire à la Maison Blanche, à l’instar de la France ou plus récemment de l’Italie qui s’est fait taper sur les doigts après avoir montré un enthousiasme trop poussé pour la BRI et qui depuis l’élection de Meloni envisage son retrait, malgré des accords signés.
Dissimulant mal les caprices infantiles d’une institution plus zélée à se soumettre aux desiderata de Washington qu’à agir dans l’intérêt de ses peuples, l’UE crée un contre-projet et l’illusion qu’elle maîtrise encore quelque chose. En réalité, elle a un mal fou à ne pas sombrer : la déstabilisation de l’Europe centrale et la rupture de ses liens commerciaux avec la Russie orchestrés outre-Atlantique sont autant de manoeuvres qui cherchent à l’affaiblir tout en mettant des obstacles le long de la BRI.
Des obstacles que la Chine, patiemment, écarte du passage.
La Russie et la Chine disposent d’armements bien supérieurs à ceux des Occidentaux. La première a gagné la guerre en Syrie et s’apprête à vaincre en Ukraine. Malgré tous ses efforts, l’Otan, qui a déjà échoué au Moyen-Orient par jihadistes interposés, ne parvient pas à renverser la réalité sur le champ de bataille.
La manière de penser des anciennes puissances coloniales les poussent à imaginer que la Russie et la Chine vont utiliser leur supériorité militaire pour imposer leur mode de vie au reste du monde. Or, ce n’est pas du tout leur intention et ce n’est pas ce qu’elles font.
Moscou et Beijing ne cessent de réclamer l’application du Droit international. Rien de plus. Les Russes aspirent à être tranquilles chez eux, tandis que les Chinois espèrent pouvoir commercer partout.
Les évènements en Ukraine nous ont fait oublier les demandes maintes fois réitérées depuis 2007 de la Russie : elle exige des garanties de sécurité qui lui sont propres, notamment l’absence d’arsenaux appartenant à des pays tiers stockés chez ses voisins. La Russie n’a pas les moyens de défendre ses frontières, les plus grandes du monde. Elle ne peut donc assurer sa sécurité si des armées ennemies se massent sur plusieurs fronts à ses frontières, sauf à pratiquer la « stratégie de la terre brulée » du maréchal Fédor Rostopchine. C’est le sens de toutes les négociations pour la réunification de l’Allemagne. L’URSS y était opposée, sauf à ce que la Nouvelle Allemagne s’engage à ne pas entreposer d’armes de l’Otan à l’Est. C’est le sens de toutes les négociations avec les anciens États du Pacte de Varsovie. Et ce fut encore le sens des négociations avec tous les États de l’ex-URSS. Jamais Moscou ne s’est opposé à ce qu’un État choisisse ses alliés et, éventuellement, adhère à l’Otan. Toujours, il s’y est opposé si l’adhésion à l’Otan impliquait l’installation de stocks d’armement de l’Otan sur son territoire.
Moscou ne s’est montré satisfait qu’en 1999, lorsque 30 États membres de l’OSCE ont signé la Déclaration d’Istanbul, dite « Charte de la Sécurité en Europe », qui pose deux principes majeurs :
le droit de chaque État de choisir les alliés de son choix et
le devoir de chaque État de ne pas menacer la sécurité des autres en assurant la sienne.
C’est la violation de ces principes, et elle seule, qui a conduit au conflit ukrainien. C’était le sens du discours du président Vladimir Poutine à la Conférence sur la sécurité de Munich, en 2007 : il y a dénoncé le non-respect des engagements de l’OSCE et l’établissement d’une gouvernance « monopolaire » du monde.
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Tu ne m’as pas laissé ton numéro et je ne t’ai pas trouvé sur les réseaux sociaux. En même temps, comment aurais-je pu espérer te rencontrer vraiment de cette manière ? Mes illusions sont tombées après quelques tentatives… Ces réseaux superficiels entretiennent un sentiment de vide et de faux-semblant, ils n’ont jamais pu répondre à ce que toi et moi nous aspirons : des relations vraies, sincères et profondes, capables d’entraide et de résilience face aux épreuves de la vie.
J’ai seulement une quinzaine d’années de plus toi, tu aurais pu être mon frère ou ma sœur… Pourtant, j’ai souvent l’impression que la distance qui nous sépare est plus importante que celle existant entre plusieurs générations. Peux-tu m’aider à réduire cet écart ? J’ai cherché à te retrouver à travers différents chemins, sans réussir à t’atteindre pour le moment… Mais je ne baisse pas les bras !
J’espérais te rencontrer dans la lutte pour la liberté qui s’est déroulée ces dernières années, derrière l’apparence de la crise sanitaire. Alors que des milliers de gens se sont positionnés pour dénoncer les mensonges et les manipulations de la propagande vaccinale, la jeunesse est restée silencieuse, soumise. Serait-ce la première fois dans l’histoire que les jeunes ne se rebellent pas à face à la tyrannie, à l’injustice ou à l’oppression ? Je pensais que tu serais le premier à te lever pour défendre la liberté qui est si chère à ton cœur. Je suis toujours stupéfaite de ton absence, si perceptible. Est-ce du désintérêt envers l’humanité ? Ou une perte dramatique de motivation et de force intérieure, caché derrière ton écran ? J’ai la certitude pourtant que tout n’est pas perdu. Et je me sens en partie responsable de cette situation. J’ai participé en quelque sorte au succès de cette société de consommation et d’endormis, qui a coupé la jeunesse de ses idéaux.
Alors je t’ai attendu à la sortie des cours, devant l’université… Je suis même retournée en classe en passant de l’autre côté, celui des « adultes » pour tenter de questionner tes aspirations et réveiller ta flamme. Mais… comment dire ? J’ai rapidement compris mon erreur !
Comment qui que ce soit pourrait survivre dans ce tombeau qu’est devenue l’éducation ? Lorsque j’étais adolescente, l’air de l’école était déjà tellement irrespirable que j’avais l’impression de mourir à chaque rentrée scolaire. Mais désormais, la situation est bien pire ! Si tu continues d’aller en cours aujourd’hui, sauve-toi en courant ! Les réponses existentielles que tu cherches ne se trouvent plus dans aucune université. Si tu cherches ta voie, le but de ta vie ou simplement une formation de qualité… l’école conventionnelle ne t’apportera pas de solution. Un diplôme dans le monde actuel ne t’apportera aucune vraie sécurité. Il ne pourra t’offrir qu’un formatage de la pensée et un emploi-sarcophage qui enterrera tes aspirations au profit de la conformité.
Son émission « Tucker Carlson Tonight », était diffusée en prime time (20h-21h) tous les soirs de semaine. Il avait réussi à fidéliser une énorme audience (3,5 millions en moyenne plus évidemment les innombrables rediffusions) dont le créneau très convoité des 25-54 ans, et l’annonce laconique de son renvoi, le lundi 24 avril 2023, a pris tout le monde par surprise, y compris lui-même.
Le premier qui dit la vérité…
Si les grands médias se sont empressés d’enterrer le sujet et Tucker Carlson avec, les sites d’informations alternatifs et les réseaux sociaux étasuniens s’en sont au contraire emparés, soit pour s’en réjouir parfois grossièrement, côté Establishment (féministes, Pentagone, progressistes et journalistes de cour), soit pour s’en désoler ou s’en indigner côté anti-establishment (nationalistes traditionnalistes, chrétiens ou pas). Mais tous parlent de lui au passé, ce que je ne compte pas faire, car je suis sure qu’il va réapparaître, à moins bien sûr qu’on ne l’assassine comme l’a chanté Guy Béart : « Le premier qui dit la vérité, il doit être exécuté. »
C’est que Tucker Carlson est un phénomène. Il était le seul journaliste de grand média à s’opposer sans honte et sans peur à l’implication étasunienne dans la guerre en Ukraine et à l’agenda woke du Forum économique mondial appliqué par l’administration Biden. Vous savez, « vous n’aurez rien et vous serez heureux », un miracle laïque opéré à coup de censure, de guerres et de spoliations qui nous étonne à peine tant notre propagande est efficace.
Il était le seul et sans doute le dernier puisque son renvoi est, selon beaucoup d’observateurs et Tucker Carlson lui-même, le signe que Fox News s’est rallié à l’agenda woke. C’est la preuve qu’il n’y a plus aux États-Unis qu’un parti unique, a-t-il expliqué dans la courte intervention qu’il a postée sur Twitter le mercredi suivant, à l’heure précise où il aurait dû commencer son émission, et qui a fait 79,5 millions de vues aux dernières nouvelles.
Sinon, on s’attire de gros problèmes : la Liberté et les Droits de l’Homme, c’est très bien tout ça, mais faut pas pousser.
C’est ainsi qu’apostropher le Chef de l’État en lui reprochant plus ou moins vertement sa politique et la façon dont son gouvernement gère les affaires courantes, ce n’est pas très bien vu et cela peut même vous mener au tribunal. Rien ne crie plus fort “Démocratie !” qu’embastiller ceux qui ne vous montrent pas de respect, n’est-ce pas.
Eh oui : alors que la liberté d’expression fut jadis un pilier des démocraties, il apparaît que la France – qui n’a jamais fait vraiment l’effort d’en être une particulièrement appliquée – est maintenant en pointe pour bien faire comprendre à tous ses citoyens que la question va se poser dans des termes très différents à mesure que les mois vont passer.
C’est ainsi qu’on apprend de source de moins en moins officieuse qu’au prétexte de lutter contre la haine en ligne, le gouvernement envisage de plus en plus sérieusement des mesures coercitives pour éliminer certains internautes des réseaux sociaux.
Bien évidemment et comme d’habitude pour faire passer ce qui apparaît de plus en plus comme une atteinte constitutionnelle grave au droit d’expression fondamental, il s’agira d’enrober la mesure dans une bonne couche de sécurité : afin de conserver les réseaux sociaux propres sur eux, on va en bannir les harceleurs et autres cybercriminels. Il suffira de s’appuyer sur la nouvelle bordée de directives et de règlements en cours d’application dans l’espace européen empaquetées dans le nom de “Digital Service Act”, vaste fourre-tout sécuritaire où tout pourra être prétexte à restreindre et limiter les allers et venues des internautes européens.
Texte : Egalité et Réconciliation
Ce qui est intéressant, c’est de constater la profondeur de l’enracinement de la colère et la forme d’organisation qui se met en place. Celle-ci est non pas élaborée et pensée de manière pyramidale ou imposée par un système, mais bien plutôt de manière anarchiste au sens premier – sans autorité et sans règles formelles. Des « collectifs » locaux, comme d’insaisissables entités qui sourdent de la terre, agissant telle une hydre à plusieurs tête dans des actions à faibles prévisibilités. Tout ce que détestent à la fois un gouvernement autoritaire et son bras policier.
Nous sommes un peu passés des Gilets jaunes première génération qui furent à l’époque comme un cri primal et donc rudimentaire, à des Gilets jaunes protéiformes desquels les organisations syndicales sont encore tenues à distance (en vérité ce sont elles qui constatent qu’elles n’ont plus la main et ne peuvent plus trahir en organisant leur éternel arrangement avec le pouvoir) et qui semblent s’être enracinés de façon durable, comme un lichen providentiel qui recouvrirait chaque jour davantage notre pays.
Nous pensions que cela n’existait que sous des dictatures et dans des temps troublés. Or, pour notre plus grande honte, c’est très exactement ce que sont en train de faire les gouvernements ukrainiens et occidentaux en général.
es guerres s’embrasent du Soudan à l’Ukraine. La dépense militaire mondiale croit en conséquence. L’Europe a dépensé en 2022 en armes et opérations militaires 13 % de plus par rapport à 2021, enregistrant la plus forte augmentation depuis 30 ans. La dépense annuelle de l’Italie est montée à plus de 30 milliards d’euros, c’est-à-dire à une moyenne de plus de 80 millions d’euros par jour.
On continue en même temps à cacher ou à mystifier les véritables causes des guerres. Le président Biden déclare que « la tragique violence au Soudan est inconcevable et doit finir ». Il efface de cette façon le fait que, quand il était vice-président de l’Administration Obama, il a été un des principaux artisans de la stratégie états-unienne qui a alimenté la guerre au Soudan pour briser le pays en deux parties. Ainsi naissait en 2011 l’état artificiel du Soudan du Sud, en possession de 75 % des réserves pétrolifères soudanaises. Ceci a provoqué l’ultérieure extension des conflits internes et des ingérences externes pour le contrôle de la région soudanaise, importante à la fois parce qu’elle est riche en pétrole, gaz naturel, or et autres matière premières et parce qu’elle a une position géostratégique clé dans le continent africain.
En Ukraine, les États-Unis, l’Otan et l’Union européenne continuent à alimenter la guerre contre la Russie, en fournissant au régime de Kiev de croissantes quantités d’armes et une assistance militaire en tout genre. En même temps, ils font en sorte que le régime de Kiev efface tout ce qui est russe de l’Ukraine et de son histoire. Après que Kiev a décrété d’envoyer au bûcher 100 millions de livres russes depuis les classiques de la littérature —pratique analogue à celle du nazisme hitlérien—, le président Zelensky a signé une loi qui interdit les noms russes des lieux et autres symboles de la fondamentale composante russe de l’histoire ukrainienne.
On parle en revanche assez peu des préfets qui détiennent pourtant une autorité immense et qui n’ont, de plus, aucune légitimité populaire.
De nombreux manifestants ont pu constater la grande capacité de nuisance des préfets pour bloquer des mouvements de protestations à l’échelle locale. Mais ce fut aussi le cas lors de la crise sanitaire où des décisions parfois ubuesques étaient prises par les préfectures sans aucune concertation avec les populations.
À l’origine, les préfets sont mis en place par Napoléon Bonaparte en 1800. À l’époque, il s’agit de rompre avec la République révolutionnaire, qui ne reconnaissait que le peuple comme souverain, et renouer avec la politique centralisée de la monarchie. En maillant le territoire de fonctionnaires aux ordres, l’empereur peut ainsi plus facilement lever les impôts et mater les révoltes au niveau local.
Le système est même bien plus avantageux que sous l’ancien régime, puisque le chef de l’État n’est plus encombré par les multitudes de nobles et de bourgeois qui empiétaient sur le pouvoir du roi, mais il a en plus la main sur l’intégralité du pays grâce aux fidèles préfets.
Le système arrange tellement les régimes successifs qu’il ne sera pas remis en cause avant près de deux cents ans. Le XIXe siècle connaîtra pourtant bon nombre de bouleversement politique : restauration, révolution, empire, république… Aucun ne supprimera la fonction de préfet. Et même s’ils perdent un peu de leur pouvoir avec la chute de Napoléon III, il faudra attendre le quinquennat de François Mitterrand et 1982 pour voir une véritable décentralisation.
Conférence de Matt Walsh organisée par la Young America’s Foundation.
Le mouvement trans est le plus grand mal auquel notre pays est confronté. Elle sape la vérité et la moralité fondamentales, elle déchire les familles et, pire que tout, elle nuit physiquement et psychologiquement à des enfants innocents. Depuis l’université d’État du Nouveau-Mexique, Matt Walsh est le fer de lance de la charge contre l’idéologie radicale du genre.
Matt Walsh est un écrivain populaire, un conférencier et l’une des voix les plus influentes du mouvement conservateur. Il est l’hôte de The Matt Walsh Show du Daily Wire et l’auteur du livre pour enfants à succès Johnny the Walrus. Son documentaire Qu’est-ce qu’une femme ? est devenu un phénomène culturel et l’un des documentaires dont on a le plus parlé en 2022.
Allons-nous vers une époque où les progrès extraordinaires qui ont été réalisés dans les domaines de la nanotechnologie, de la neurologie, la psychologie, l'informatique, les télécommunications et l'intelligence artificielle seront utilisés par les autorités gouvernementales pour contrôler la population ?
Déjà, les gouvernements du monde entier se servent de la "lutte au terrorisme" comme prétexte pour nous observer, pour nous pister, pour numériser l'ensemble de nos communications électroniques, pour nous faire subir des "mesures de sécurité", qui sont si extrêmes que même George Orwell (auteur du livre "1984") ne les a pas imaginées !
Qu'arrivera-t-il le jour où des individus poseront une arme de destruction massive dans une grande ville ?
La tentation d'utiliser ces nouvelles technologies pour contrôler le public devient presque irrésistible et à ce point, on peut même envisager un "contrôle de l'esprit" (mind control). Même si ce mot évoque une fiction, il ne s'agirait que de deux autres événements de type 11 septembre 2001 pour que la population réclame des mesures de sécurité jugées extrêmes pour l'instant, mais devenues souhaitables et impératives dans un tel contexte.
Quand la société connaîtra un effondrement complet et total dans les années à venir, les gouvernements du monde entier seront tentés de prendre des mesures extrêmes, y compris le contrôle à distance des individus, pour rétablir l'ordre. C'est pourquoi quelques unes des avancées les plus récentes dans le domaine des nanotechnologies font froid dans le dos...
Une équipe de chercheurs de l'Université de Buffalo a fait une découverte alarmante. Ce qui suit est un extrait de leur communiqué :
"Des nanoparticules magnétiques visant les membranes cellulaires peuvent contrôler à distance les canaux ioniques, les neurones et même le comportement des animaux", selon un document publié par des physiciens de l'Université de Buffalo dans la revue scientifique "Nature Nanotechnology".