Si personne ne conteste que certaines parties du monde se réchauffent, il n’y a pas pour le moment d’explication alternative à ce phénomène. Mais des scientifiques de renom en présenteront une autre à la COP-28 de Dubaï. Il se trouve que ce sont des membres de l’Académie des Sciences de Russie.
La théorie selon laquelle le réchauffement climatique serait observable sur l’ensemble de la planète et qu’elle serait provoquée par l’activité humaine a été popularisée par le Groupe intergouvernemental d’étude sur l’évolution du climat (GIEC) ; une commission des Nations unies.
Je n’ai aucune compétence en matière climatique et je ne me permets pas de juger si cette théorie est vraie ou fausse, mais je suis un expert en politique internationale et je peux évaluer le travail de cette commission des Nations unies.
Il y a une dizaine d’années, j’avais écrit que, comme son nom l’indique, le GIEC n’est absolument pas une académie savante, mais un groupe intergouvernemental. Ses conclusions ne sont donc pas le fruit d’une démarche scientifique, mais d’un débat politique.
Le GIEC a été créé à l’initiative du Premier ministre britannique, Margareth Thatcher, afin de soutenir son combat contre les syndicats de mineurs. Sans surprise, il a conclu que l’usage du charbon est mauvais pour l’environnement, tandis que le nucléaire est souhaitable. Ce n’est pas un théorème scientifique, mais une prise de position politique.
En outre, j’ai fait remarquer que la création des droits d’émission de gaz à effet de serre n’est pas une initiative intergouvernementale, mais une idée de la Joyce Foundation, mise en œuvre par la Climate Exchange Ldt. Chaque État rédige sa propre législation en la matière. Il reçoit une certaine quantité de droits d’émission qu’il répartit comme il l’entend à des entreprises. Celles qui ne les utilisent que partiellement peuvent revendre les droits non utilisés sur une Bourse spécialisée à Chicago.
Les statuts de cette Bourse ont été rédigés par un juriste de Joyce Foundation alors inconnu, un certain Barack Obama (futur président des États-Unis). L’appel aux investisseurs pour le lancement de cette Bourse a été organisé par Al Gore (futur vice-président des États-Unis), et par David Blood (ancien directeur de la banque Goldman Sachs). On peut considérer ces gens comme des militants écologistes de bonne foi ou comme des escrocs de haut vol, c’est une affaire de point de vue.
Avec le temps, ce dispositif politique s’est paré d’un vernis scientifique et de bonnes intentions de sorte qu’il est devenu difficile de le questionner. Il existe pourtant une théorie scientifique alternative pour expliquer le réchauffement climatique. Elle a été énoncée par le géophysicien croate Milutin Milanković durant l’entre-deux-guerres.
L’orbite de la Terre varie selon trois cycles naturels : son excentricité, son obliquité et la précession des équinoxes. Chacune de ces variations suit un cycle, entre 20 000 et 100 000 ans, parfaitement calculable. Ces trois variations combinées influent sur l’insolation de la Terre et donc sur son climat. Cette théorie a été confirmée, en 1976, par l’étude des carottes glaciaires lors du forage de Vostok (Antarctique). Mais elle n’explique pas tout.
L'on parle déjà d'un partenariat "historique" entre l'OMS et la Commission européenne, signé lundi 5 juin à Genève. Une "initiative historique pour renforcer la sécurité sanitaire mondiale", d'après leur propre communiqué.
Le directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, déclarait lors de la cérémonie de signature : "La pandémie de Covid-19 a montré l'importance des solutions de santé numérique pour faciliter l'accès aux services de santé". Ainsi, il veut faire du pass européen un "bien public mondial".
Ce futur système de certification numérique mondiale devrait, comme le rapporte l'AFP, "contribuer à faciliter la mobilité et à protéger les citoyens du monde entier contre les menaces actuelles et futures pour la santé, y compris pandémies". Or, il ne s'agirait que d'un premier élément.
À plus long terme, le projet n'est ni plus ni moins qu'un réseau mondial de certification sanitaire numérique de l'OMS, qui doit mettre au point "un large éventail de produits numériques pour améliorer la santé de tous". Là, s'ajoute au pass sanitaire le carnet de vaccination numérique.
"Restreindre les libertés individuelles" pour lutter contre les pandémies à venir, c'était déjà le plan affiché par l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
Le temps n’est plus à l’information mais à la communication et le "spinning" (l’angle ou interprétation des faits choisi) en est une pratique constante. L’importance de l’angle choisi permet de créer un biais qui enferme le lecteur ou auditeur dans un certain nombre de biais qui entraînent de "vraies vérités et de faux mensonges".
Et d’ailleurs, pour première preuve de l’enfermement de l’esprit, voyons l’usage de plus en plus croissant de l’Intelligence Artificielle qui telle la réalité virtuelle enferme le lecteur dans un biais de situation.
Autant, au cinéma, on paie un billet pour aller voir une histoire et peu importe si la personne dans la voiture qui conduit à réellement les cheveux au vent ou si elle est dans un studio enfermé à Bobigny, le spectateur sait à quoi s’en tenir.
Mais dans les médias, il devient de plus en plus critique de dépatouiller le vrai du faux, de dépolluer l’information. Pour autant, nos gouvernants devraient savoir que le mensonge visant à masquer leurs agissements est une voie sans issue. Albert Camus le savait : "La vérité jaillira de l'apparente injustice". La vérité ne saurait être éternellement confinée.
Et cette semaine encore nous avons quelques superbes exemples de cette fraude à la communication.
En guise de mise en bouche, un premier exemple est celui de Gabriel Attal, ministre de l'Action et des Comptes publics, qui s’exprime depuis plusieurs jours sur les fraudes liées à la carte Vitale et le nombre de cartes en circulation.
Ouvrez-vous au regard spirituel sur le monde ! Pourquoi et comment voir au-delà des apparences ?
Voulez-vous connaître pourquoi l'année 2021 a été le tournant de l'histoire de l'Humanité ? Vers où se dirige l'Humanité de notre temps ?
Finalement, de nos jours, existe-t-il toujours une seule Humanité ou deux ? Qu'est-ce que la "guerre occulte" pour l'avenir de l'Humanité et l'ère du Verseau ?
Pourtant, le tour d’Italie a démontré à quel point tout ceci ne servait strictement à rien et que la vaccination massive des cyclistes était totalement inutile puisqu’ils étaient tous positifs au Covid-19 ! Malgré cette mascarade italienne, au lieu d’apprendre et de comprendre ce qui se passe, les responsables français du tour ont décidé d’appliquer un protocole tout aussi inutile que les précédents car ils sont terrorisés par une annulation et refusent de prendre le moindre risque de perdre de l’argent sachant que c’est un événement mondialement connu avec des recettes publicitaires conséquentes (29,8 % de part d’audience réalisée par France 2 et France 3, édition 2021. France Télévision signe un chèque de 25 millions d’euros chaque année). Il faut également savoir qu’une ville étape qui accueille le tour de France doit s’acquitter d’une redevance de 120 000 € !
Avec de telles sommes d’argent et des centaines de millions de personnes qui regardent dans le monde entier, voire même des milliards, ils sont prêts tout même à mettre des masques FFP2 aux coureurs en plein cagnard, prenant le risque de mettre leurs vies en danger.
En prévision d’une déclaration prochaine pour une nouvelle fausse pandémie, il était nécessaire de neutraliser les trouble-fête désormais identifiés à l’occasion de la première fausse pandémie à but essentiellement génocidaire. La chasse aux sorciers et aux sorcières était officiellement ouverte contre les Pr Didier Raoult, les Alexandra Henrion-Caude, les Pr Christian Perronne, les Dr Louis Fouché, les Dr Nicole et Gérard Delépine, les Jean-Marc Sabatier, les Pierre Chaillot, les Michel Jean-Dominique et tous les autres qui ont été la voix de l’honnêteté médicale et scientifique.
Des cohortes de fonctionnaires disciplinés et nécessairement décérébrés allaient ainsi débarquer à l’IHU de Marseille avec tambours et trompettes pour une « perquisition » spectaculaire à grand renfort de propagandes sur les médias inféodés au système. Il fallait d’urgence traîner dans la boue, la réputation du Pr Didier Raoult, déployer à tout prix la diffamation, décrédibiliser pour de bon la parole dissidente de ce scientifique et de tous ceux qui le soutiennent, car la proclamation imminente d’une nouvelle fausse pandémie devait obtenir cette fois-ci le résultat escompté.
Pour le programme génocidaire de l’OMS, il n’était plus acceptable que des gens comme Didier Raoult puissent encore avoir le droit à la parole et qu’ils puissent une nouvelle fois être à l’origine d’une résistance qui a empêché les salauds, les ordures et les pervers au pouvoir, d’obtenir ce qu’ils voulaient : un génocide suffisant, satisfaisant, efficace sur les populations maintenues dans un dressage et la croyance au narratif innocent de l’Agenda 2030 (programme pour la dépopulation)…
L’assaut final des forces lucifériennes contre l’humanité a pris une ampleur sans précédent maintenant pour deux raisons principales.
La première. Le bannissement de Dieu de l’esprit collectif des masses a triomphé (Le fait que certains d’entre nous fréquentent encore des lieux de culte ne nous dispense pas de la pénétration dévastatrice d’une vision profondément matérialiste dans nos esprits, nous poussant dans un état de schizophrénie).
Deuxième. Les acquis de la techno-science, induits par les forces infernales de certains « scientifiques » diabolisés, permettent l’exercice d’un contrôle total sur les masses mondiales par un très petit groupe de personnes.
L’action subversive du serpent biblique contre l’homme ne s’est pas arrêtée un instant depuis la tentation d’Ève au Paradis jusqu’à aujourd’hui. En Occident, cela s’est manifesté à travers la Réforme, la Renaissance, le Siècle des Lumières, la Révolution française. Ainsi l’effondrement de la Modernité a tracé une ligne de dégradation continue de l’Humanité. Scientisme, Technolâtrie, Progressisme, Transformisme, Anthropocentrisme ne sont que quelques noms de cette maladie spirituelle mortelle.
Et si l’on croyait que l’Homme, la nature et la société pouvaient être refaçonnés à l’infini, nous sommes aujourd’hui arrivés au stade terminal de la diabolisation du monde. Elle se manifeste par la désagrégation définitive de l’harmonie et de l’équilibre dans le monde. L’agression contre l’Humanité, lancée avec une force dévastatrice, prend des formes telles que la liquidation de la famille, l’anéantissement de la maternité, le meurtre rituel des bébés à naître, le féminisme, la théorie du genre, la légalisation de la sodomie, la pédocriminalité, la sexualisation des enfants.
Selon elle, il est important de distinguer entre l'intelligence et l'instruction, car l'intelligence se décline en plusieurs formes, y compris l'intelligence émotionnelle.
Yoanna Micoud soulève le paradoxe de personnes très instruites et intelligentes qui se retrouvent piégées dans ces mécanismes toxiques. Selon elle, ces personnes ont peut-être acquis une grande quantité d’informations et de connaissances, mais elles ont peut-être perdu le contact avec leur système émotionnel et leur intuition, qui sont des formes d’intelligence plus profondes.
Les sociétés savantes médicales jouent un rôle crucial dans la promotion des connaissances médicales, l'élaboration de directives cliniques et la formation des professionnels de santé. Cependant, ces institutions sont de plus en plus critiquées pour leurs liens étroits avec l'industrie pharmaceutique, ce qui soulève des questions sur l'objectivité de leurs recommandations. En effet, les sociétés savantes médicales sont responsables de l'élaboration de directives cliniques qui influencent les pratiques médicales à l'échelle mondiale. L'influence de l'industrie pharmaceutique sur ces recommandations est préoccupante, car elle peut entraîner une sur-prescription de médicaments coûteux et potentiellement inutiles, minimiser les approches alternatives non pharmacologiques et négliger les effets indésirables des traitements.
Dès lors, il n’était pas surprenant de les voir s’élever, massivement, contre l’étude rétrospective pré-publiée par les Pr Lagier, Brouqui, Million et Raoult de l’IHU Méditerranée Infection, qui montrait sur plus de 30.000 patients l’impact favorable net sur la mortalité liées à la Covid-19, d’une prescription (réalisée hors AMM) d’hydroxychloroquine et à l’azithromycine.
La fronde pris la forme d’une tribune dans Le Monde, coordonnée par le Pr Molimard du CHU de Bordeaux. Depuis 3 ans, ce dernier s’est illustré dans les médias comme un pourfendeur de toutes formes de traitement de la Covid-19. Ses critiques acerbes (« rien ne marche », « on n’atteint pas les concentrations ») ne sont pas étayées d’éléments probants scientifiques. Il se cantonnerait derrière des publications, qu’il avait la possibilité de critiquer objectivement, et de les interpréter à son gré avec moult biais qui entrainent une désinformation des lecteurs ou auditeurs. Il est aussi grand fervent des vaccins (« on ne transmet plus la covid une fois vacciné »), pour le plus grand bénéfice de l’industrie pharmaceutique qui a bien entendu très largement plus à gagner à vendre 20€ (et parfois bien plus) un vaccin expérimental à 6 milliards de personnes qu’à vendre à quelques centaines de millions un traitement à 2€. Le bénéfice pour l’industrie, le risque pour le patient. En outre, le Pr Molimard est pharmacologue et médecin, il a donc un double diplôme. Le consentement libre et éclairé, les conventions d’Helsinki et d’Oviedo ne devraient avoir aucun secret pour lui. De plus, en respect de son serment d’Hippocrate, il lui était demandé de respecter le patient.
La base de données https://transparence.sante.gouv.fr, consultée via le site eurosfordocs.fr, comptabilise le montant des avantages perçus de l’industrie pharmaceutique. Les sommes comptabilisées le sont pour les sociétés savantes signataires de ladite tribune, mais également pour leurs représentants à titre individuel au cours des 4 dernières années. Les montants rapportés ne comptabilisent pas les conventions où les montants ne sont pas déclarés.
Les résultats sont édifiants...
Après la deuxième guerre mondiale, c’est le début de la guerre froide. Des nations mènent des combats et dans le choix des armes, plusieurs techniques sont utilisées dont la propagande. Le but étant de faire accepter aux peuples des concepts et de modifier la perception d’évènements. L’ennemi était le communisme, mais pas pour sauver les peuples de cette doctrine en apportant de la démocratie, ça c’est la façade. La finalité était d’atteindre une hégémonie économique.
es Etats-Unis, et par là, il faut comprendre la C.I.A, avaient bien compris que cela devait passer par les organes de presse mais pas que. L’agence, un véritable état dans l’état, créée en 1947 par le Président Truman, dispose dès ses débuts de fonds illimités. Et, comme toute agence de renseignements digne de ce nom, elle sait qu’une des conditions fondamentales de la victoire tient à un contrôle sans faille de l’opinion publique. Ce sera la mission de l’Opération Mockingbird. (1)
En 1948, les États-Unis ont lancé le plan Marshall, une initiative visant à aider l’Europe dévastée à se remettre de la guerre. La CIA a décidé de siphonner des fonds pour créer le « Bureau de coordination des politiques », qui deviendrait la branche des actions secrètes de l’agence. On parle de 265 millions de dollars par an (l’équivalent de 1 million et demi actuels).
Mockingbird, consistait à recruter des journalistes et les payer pour écrire de faux articles avec des documents classés de la C.I.A, qui promouvaient la vision stratégique de l’agence de renseignement. Pour éviter les fuites de ces informations top secret, il y a eu des écoutes téléphoniques de personnalités politiques et journalistiques, avec la complicité de la compagnie de téléphone et avec le consentement du procureur général. L’opération a abouti à l’identification de dizaines de sources de journalistes, dont un membre du personnel de la Maison Blanche, un procureur général adjoint, vingt et un membres du personnel du Congrès, six membres du Congrès et douze sénateurs.
L’opération Mockingbord (« opération Oiseau moqueur ») comprenait également des organisations culturelles étudiantes et des magazines auraient été financés comme façades de cette opération. En France, Thomas Braden a fondé le « Congress for Cultural Freedom » en 1950 (2), dirigé par l’agent de la CIA Michael Josselson. Établi à Paris et dans 35 pays, il était l’une des chevilles ouvrières majeures de l’offensive sur le front gauche. Il regroupe toutes sortes d’iconoclastes et de libres penseurs réunis autour du refus du « totalitarisme stalinien » et de la défense de la « liberté occidentale ». L’Europe, avec ses anciens cercles intellectuels souvent anti-impérialistes et idéologiquement proches du communisme, se retrouve ainsi au centre des préoccupations de la CIA et en première ligne de la guerre psychologique.