L’empire états-uniens et ses vassaux ne sauraient tolérer de rival et font tout pour supprimer toute puissance régionale ou mondiale qui pourrait leur empêcher d’organiser et d’exploiter le monde selon leurs désirs. Ce sont les mêmes qui ont organisé la dissolution de l’URSS, celle de la Yougoslavie socialiste puis de la Serbie, dont on a séparé le Kosovo. Ce sont les mêmes qui encouragent le sécessionniste islamiste ouighour au Xinjiang, le sécessionnisme tibétain et qui ont détruit l’Irak, la Libye et un certain nombre de pays africains, et tenté de faire de même avec la Syrie.
Selon leurs intérêts et les situations, ces pays, agences et organisations internationales appellent soit « au respect des droits de l’homme », au « droit des peuples à disposer d’eux-mêmes », soit à l’intangibilité des frontières et au respect de la souveraineté. Ainsi, pour eux, les frontières de l’Ukraine sont intangibles et l’Ukraine est « souveraine » mais la Russie, la Syrie et tant d’autres pays peuvent être charcutés à souhait. Ils font signer (et trouvent toutes sortes d’idiots utiles pour le faire) pour les Ouighours, mais ont oublié l’existence même du droit international pour Porto Rico, les Comores, et un grand nombre d’autres pays.
Le Forum des nations libres de l’après-Russie, un cadre de dialogue qui rassemble les revendications indépendantistes des minorités ethniques russes et les réalités régionales (et leurs sympathisants euro-atlantiques – Américains, Polonais et Baltes), s’est réuni le 31 janvier 2023 au Parlement européen pour sa cinquième réunion. Le groupe a présenté à Bruxelles son projet de « décolonisation et de reconstruction » de la Fédération de Russie, parrainé par la composante polonaise du Parti des conservateurs et réformistes européens.
« Comme dans le cas du Troisième Reich allemand, la Fédération de Russie, en tant que menace existentielle pour l’humanité et l’ordre international, devrait subir des changements drastiques. Il est naïf de penser que la Russie, après avoir été définitivement vaincue, restera dans le même cadre constitutionnel et territorial. La communauté internationale ne peut pas adopter une position confortable en attendant les développements, mais doit entreprendre une […] re-fédéralisation de l’État russe, en tenant compte de l’histoire de son impérialisme et en respectant les droits et les désirs des nations qui le composent. »
Sommaire :
01:35 Comment faire sa sélection pour créer un jardin de plantes médicinales ?
02:36 Une formation pour débuter sa pharmacie naturelle de plantes médicinales
03:40 La camomille romaine double
05:01 Le fenouil commun
06:55 La guimauve
07:50 L’hysope
09:20 La menthe poivrée
10:43 La mélisse citronnelle
11:57 Le romarin
13:53 La sauge officinale
15:25 Le souci ou calendula
17:11 Le thym commun
17:46 La verveine citronnelle
Un grand nombre d’activistes nous a donc alertés sur les dangers d’une exposition « passive » à ces ondes qui forment un « electrosmog » (brouillard électromagnétique).
Néanmoins une certaine part de la population est victime d’une exposition « active », à comprendre qu’elle est victime d’agressions électromagnétiques délibérées depuis des décennies que nous nommerons harcèlement électromagnétique.
Elle se regroupe sous l’appellation d’individus ciblés (anglais : targeted individuals). Le gouvernement est directement incriminé par des officiels devenus lanceurs d’alerte.
Cela est le cas pour Barrie Trower, ancien spécialiste des micro-ondes ayant travaillé pour le MI-5 (renseignement militaire britannique). Dans la vidéo ci-bas, il explique qu’il est possible de cibler des individus pour leur induire des pathologies et des symptômes psychiatriques.
[...]
Le romarin
Le romarin est un arbuste qui ressemble à un pin. Ses feuilles peuvent être utilisées dans les plats salés pour leur donner une saveur et un arôme de terre. Le romarin est excellent pour soulager la douleur.
Cette plante est considérée comme une nervine botanique, ce qui signifie qu'elle a un effet bénéfique sur le système nerveux.
Il peut être utilisé médicalement pour aider à réduire les symptômes d'un déséquilibre digestif, tels que les maux d'estomac, les spasmes et la dyspepsie. Le romarin peut être utilisé pour rehausser la saveur des ragoûts, des viandes, des pommes de terre et des légumes-racines.
Racine de valériane
Populaire comme aide au sommeil, la racine de valériane peut en fait réduire les symptômes de nombreux troubles digestifs, y compris le syndrome du côlon irritable et la gastro-entérite virale.
La valériane peut aider à calmer les maux d'estomac et à soulager les gaz, les ballonnements, la constipation, les crampes et les nausées. La racine de valériane peut être achetée sous forme de gélules, de poudre ou de feuilles dans des suppléments et des tisanes.
Le curcuma
Le curcuma a récemment fait l'objet d'une grande attention en raison de sa capacité à promouvoir la santé cérébrale. Il est utilisé depuis des siècles dans la cuisine indienne et la médecine ayurvédique, ainsi que dans la médecine chinoise. Le curcuma est anti-inflammatoire et est couramment utilisé pour les troubles digestifs et la santé du foie.
Selon l'Organisation mondiale de la santé, il est efficace dans le traitement de la dyspepsie, du reflux acide et des flatulences.
Il calme également le tractus gastro-intestinal et est efficace contre la colite ulcéreuse. Le curcuma est un régal pour les yeux et les papilles. Il a une couleur jaune vif et donne un goût chaud et terreux aux plats de riz, aux ragoûts, aux soupes et aux sauces.
[...]
Au programme de ce numéro 133 :
Conseil de lectures
Economie
Monnaie commune pour les BRICS
Records des exportations russes de pétrole
Mélonie et les routes de la soie
Diplomatie
Orban protège les Hongrois d’Ukraine
Succès diplomatique russe le 9 mai à Moscou
Le général De Gaulle à Volgograd
Bachar El Assad Victoris
Rapprochement indo-pakistanais
Armements
Boomerang sur la place
Ukrainerie : Kinjal imaginaire
HIMARS hors service
STORM SHADOW, la nouvelle arme magique
Pas de GRIPEN pour Kiev
Pas d’argent pour l’armée française
€1,7 de munitions pour Kiev et pas de route pour l’Europe
Ukro-terrorisme
Budanov veut tuer des Russes
Podoliak menace l’Europe d’une vague de terrorisme bandériste
Wagner groupe terroriste ?
Considérations militaires
Le cas Prigojine
Quelle offensive pour Kiev et l’OTAN ?
Un autre point de vue sur le cancer qui reprend l'expérience faite par le docteur HAMER qui affirme que tout cancer résulte d’un choc psychique, conflictuel, dramatique, vécu dans l’isolement.
Le docteur Geerd Hamer a travaillé sur des milliers de cas. De nombreuses vérifications de sa découverte scientifique ont été faites par des Jury nationaux et internationaux qui l’ont reconnue exacte et reproductible. Cependant, le droit de mettre en œuvre cette découverte lui est refusé.
Il a des problèmes avec la médecine officielle. Avant son procès à Chambéry, le Dr Hamer avait été emprisonné à Köln, (Allemagne) pour refus de renier ses découvertes. Découvertes dont il demande depuis 17 ans la vérification par l’Université de Tübingen. Il a échappé à plusieurs tentatives d’internement psychiatrique.
Le docteur Hamer est décédé en 2017.
« Nous sommes très nombreux à penser qu’il est digne de recevoir plusieurs fois le prix Nobel pour ses découvertes sur les conflits biologiques. »
L’Autre Monde est alors représenté comme un pays lointain et inaccessible au commun des mortels. Dans certaines traditions asiatiques, comme dans « Le Conte de la Princesse Kaguya », la lune joue ce rôle. Ce n’est pas le cas en Occident. Néanmoins, sur un plan archétypal, un voyage sur la lune est un exploit surnaturel de dimension mythologique. Cela fait des astronautes Apollo les égaux des anciens demi-dieux, et cette aura a illuminé les États-Unis dans leur ensemble. Telle était l’importance des alunissages : c’était le récit fondateur d’une nouvelle religion qui élevait les États-Unis au rang de nation messianique propulsant l’humanité vers l’avenir radieux technologique2. Le discours du président Nixon, diffusé tandis que le module d’Apollo 11 traçait sa route vers la lune, invitait l’humanité à communier dans ce nouveau culte universel :
« Apollo 11 est en route vers la lune. Elle transporte trois braves astronautes ; elle porte également les espoirs et les prières de centaines de millions de personnes ici sur terre, pour qui ce premier pas sur la lune sera un moment de drame transcendant. Jamais l’homme ne s’est embarqué dans une aventure aussi épique. […] Alors que les astronautes vont là où l’homme n’est jamais allé, alors qu’ils tentent ce que l’homme n’a jamais fait, nous sur terre voudrons, comme un seul peuple, être avec eux en esprit ; partager la gloire et l’émerveillement, et les soutenir avec des prières pour que tout aille bien. »3
Une fois que Neil Armstrong et Buzz Aldrin eurent posé le pied sur la lune, le même Nixon réalisa « the most historic telephone callever made from the White House », récupérant ainsi une partie de leur pouvoir surnaturel de communication avec l’Au-delà.4
Mais qui fait l’ange fait la bête, ou le démon. Comme le fait remarquer le très sceptique chercheur allemand Gerhard Wisnewski dans « One Small Step ? The Great Moon Hoax and the Race to Dominate Earth From Space », ce glorieux voyage lunaire mondialement télévisé qui auréolait les Américains d’une quasi divinité, détournait opportunément l’attention de l’enfer qu’ils imposaient à un peuple ici-bas. Apollo 11 atterrissait sur la lune deux mois après les bombardements illégaux au Cambodge ordonnés par Nixon. Et le programme Apollo cessa peu après que les dernières unités américaines aient quitté le Viêt Nam.
« Alors que les États-Unis d’Amérique assassinaient des milliers de Vietnamiens, brûlaient un hectare après l’autre de forêts vierges et empoisonnaient la terre avec des pesticides, ils essayaient en même temps de fasciner – ou plutôt d’hypnotiser – le monde avec une conquête d’un tout autre genre. »5
À vrai dire, en 1972, les gens s’étaient un peu lassés. Malgré l’arrivée de la télévision couleur, l’ajout de quelques gadgets distrayants comme le moon buggy, un suspens redoublé par la longueur des missions (72 heures sur la lune pour Apollo 17), et l’introduction de gags comme les sauts de Kangourou de Eugene Cernan6, l’enthousiasme du public n’y était plus.
Certains se grattaient même la tête: les astronautes n’avaient-ils rien de mieux à faire sur la lune que de planter le drapeau américain et ramasser des cailloux (380 kilos, toutes missions Apollo confondues) ? « Never come to the moon without a hammer », plaisanta Alan Bean d’Apollo 12 devant la caméra.
Il n’est donc pas étonnant qu’il ait menti de manière aussi scandaleuse dans notre correspondance électronique.
Au début de l’été 1992, j’ai vu le documentaire « Manufacturing Consent » (La Fabrication du consentement) lors de sa sortie au Castro Theater de San Francisco. Ce film a changé ma vie. Il mettait en scène Noam Chomsky, un professeur de linguistique accompli, et son analyse de la propagande des médias corporatistes. « Manufacturing Consent » m’a convaincu que l’académie américaine pouvait tolérer, et même célébrer, une critique sociale sérieuse. Si Chomsky, un opposant radical aux institutions les plus puissantes des États-Unis, pouvait non seulement survivre mais prospérer dans le milieu universitaire, en disant la vérité au pouvoir et en se construisant un énorme public, pourquoi d’autres ne pourraient-ils pas en faire autant ?
Avant cette projection, j’étais un bohémien profondément aliéné qui hantait les marges du monde universitaire, tellement dégoûté par toutes les institutions des États-Unis que j’aurais difficilement pu imaginer travailler pour elles. (Apprendre les faits de l’assassinat de JFK à l’âge de 16 ans peut avoir cet effet sur une personne). Mais l’exemple de Chomsky m’a inspiré. Il m’a donné envie de me joindre à lui et aux autres universitaires qui critiquent l’empire des États-Unis, de convaincre nos collègues de la véracité de nos arguments en utilisant la logique et les preuves, et d’aider les États-Unis à revenir à leurs racines anti-impériales, et même plus.
C’est donc en grande partie grâce à Chomsky que je suis entré dans un programme de doctorat en 1995. Mais à ce moment-là, j’avais remarqué deux anomalies flagrantes dans sa pensée politique. La première, et la plus importante, était que son analyse de l’assassinat de JFK semblait insensée. Chomsky soutenait que l’assassinat était manifestement une conspiration, et non l’œuvre d’un fou isolé comme le veut l’histoire officielle, mais qu’il importait peu de savoir qui avait tué JFK, car l’assassinat n’avait changé aucune politique ! Puisqu’il estimait que le fait que le président ait été assassiné par des conspirateurs suffisamment puissants pour imposer leur ridicule histoire au monde entier n’avait aucune importance, Chomsky ne s’intéressait pas du tout à l’identification des auteurs et décourageait ses partisans de s’intéresser davantage à ce sujet.
« Prenez par exemple toute cette frénésie autour de l’assassinat de JFK. Je ne sais pas qui l’a assassiné et je m’en fiche, mais quelle différence cela fait-il ? » (Noam Chomsky)
L’autre anomalie concerne la question de la Palestine. Bien que Chomsky ait sympathisé verbalement avec les souffrances des Palestiniens et admis la justice de la cause palestinienne, il a obstrué avec véhémence les deux efforts stratégiques les plus prometteurs qui pourraient aider la Palestine à vaincre le sionisme : Le mouvement de boycott-désinvestissement-sanctions (BDS), et la campagne visant à exposer le contrôle sioniste sur la politique des États-Unis au Moyen-Orient.
Alison Weir a un jour demandé à Chomsky pourquoi il s’opposait au BDS et pourquoi il avait faussement prétendu qu’il était mauvais pour les Palestiniens (qui le soutiennent presque unanimement). « La raison est très simple. C’est tellement hypocrite que c’est en fait un cadeau pour les partisans de la ligne dure. Ils peuvent dire : « Ecoutez, vous appelez au boycott d’Israël, mais vous n’appelez pas au boycott des Etats-Unis, qui ont un bilan bien pire… »
Les partisans de la ligne dure israélienne diraient-ils jamais une telle chose ? Et cela aurait-il une quelconque importance s’ils le faisaient ? Bien entendu, ce n’est pas le cas. Là encore, Chomsky débite de pures absurdités, précédées de l’avertissement obligatoire « c’est très simple ». Quand quelqu’un d’apparemment intelligent comme Chomsky dit de telles choses, il n’y a que deux interprétations possibles : Soit il souffre d’un dysfonctionnement mental bizarre, soit il ment et nous éclaire au gaz.
« Si nous nous faisons prendre, ils nous remplaceront simplement par des personnes de la même étoffe. Peu importe ce que vous faites, les États-Unis sont un veau d’or et nous allons les sucer, les découper et les vendre pièce par pièce jusqu’à ce qu’il ne reste rien d’autre que le plus grand État-providence du monde, que nous créerons et contrôlerons. Pourquoi ? Parce que c’est la volonté de Dieu, et que les États-Unis sont assez grands pour encaisser le coup, afin que nous puissions recommencer encore et encore. C’est ce que nous faisons aux pays que nous détestons. Nous les détruisons très lentement et nous les faisons souffrir parce qu’ils refusent d’être nos esclaves. »
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) définit le terme« One Health » [Une seule santé]comme étant une « approche intégrée et unificatrice qui vise à équilibrer et à optimiser durablement la santé des personnes, des animaux et des écosystèmes », car ils sont « étroitement liés et interdépendants » – un concept qui, à première vue, semble promouvoir des objectifs nobles reliant la santé humaine et la santé environnementale.
Toutefois, certains scientifiques et experts médicaux s’inquiètent des objectifs vagues de One Health. Soutenant que le concept a été « détourné », ils remettent en question l’intention des personnes impliquées dans le développement et le déploiement mondial du concept, notamment l’OMS, les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) et la Banque mondiale.
Les experts qui se sont entretenus avec le Defender ont également soulevé des questions sur d’autres aspects du concept « One Health », notamment un programme de biosécurité, un système de surveillance mondial, des passeports pour les vaccins et des restrictions sur le comportement humain.
Bien que ces objectifs soient étayés par une « théorie du changement » vaguement définie, des experts ont déclaré au Defender que des intérêts financiers majeurs sont au cœur du programme « One Health », qui semble être étroitement lié au changement climatique et aux initiatives de développement durable promues par les mêmes organisations mondiales.
Les objectifs de One Health incluent une « prise de contrôle globale de tout »
Dans une France terminale, une population déboussolée (« tous piqués, tous protégés ») fait face à une élite qui lui ressemble en pire. Les uns espèrent sans trop le dire, les autres prétendent sans trop y croire que taper sur des casseroles serait une forme de violence politique (commentaire de Carlos le Chacal : LOL MDR).
Et – sur le modèle du rhume19 – à force d’en parler sans arrêt, ça finit par exister : habitée par la paranoïa des lâches, la Macronie prend plus de précautions sur son passage qu’un De Gaulle sur qui, à l’époque, l’OAS défouraillait vraiment.
Du coup, les cérémonies régaliennes du mari de Brigitte finissent par ressembler à l’amour dans la définition qu’en donnait J. Lacan : « un chèque sans provision signé à quelqu’un qui n’a pas besoin d’argent ». Euro-mondialiste jusqu’à la moelle, Macron, en pleine institutionnalisation de l’euro-révisionnisme, va commémorer la victoire sur le fascisme de tous ceux (patriotes français, soviétiques etc.) que sa presse subventionnée taxe aujourd’hui… de fascisme. On aimerait pouvoir dire qu’il fait « des efforts pour la galerie » – sauf qu’il n’y a plus de galerie : pour cause de phobie des casserolades, la nation n’est désormais plus invitée… aux fêtes nationales.
Jour de la Victoire, ou Funérailles continentales ?