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réélection de Trump

VoltairenetLa réélection de Trump redistribue les cartes

Voltairenet - 15 nov 2024

Nous traversons un des rares moments où les grandes puissances changent toutes en même temps de politique. Attention à ne pas se tromper : ceux qui ratent le train devront attendre le prochain.

   

La réélection de Donald Trump, malgré la campagne de la quasi totalité des intellectuels occidentaux contre lui, redistribue les cartes.

Les deux dernières semaines, nous avons montré que l’Iran avait abandonné son idéal révolutionnaire et s’était éloigné de ses alliés sunnites du Hamas et du Jihad islamique, et même chiites du Hezbollah libanais, d’Hachd al-Chaabi iraquien et d’Ansar Allah yéménite. Ces points sont largement confirmés par la réunion au cours de laquelle Hassan Nasrallah fut assassiné par les FDI « grâce » à des informations iraniennes, les déclarations confuses de l’ayatollah Ali Sistani en Iraq, et les mesures prises pour prévenir l’assassinat d’Abdel Malek al-Houthi au Yémen.

Puis, nous avons montré que les BRICS, au sommet de Kazan, ont affirmé leur attachement au droit international contre « l’ordre fondé sur des règles » des anglo-saxons.

Cette semaine, la victoire écrasante de Donald Trump aux élections états-uniennes marque le triomphe des jacksoniens sur les démocrates, mais aussi sur les républicains, bien que Trump ait été soutenu par leur parti. Il devrait s’ensuivre que les États-Unis cesseront leurs guerres en Ukraine et au Moyen-Orient au profit d’une guerre commerciale généralisée.

Sur le continent européen, nous avons assisté au Royaume-Uni à la chute de Rishi Sunak et à son remplacement par un membre de la Commission trilatérale (c’est-à-dire un soutien des intérêts patronaux US), Keir Starmer. Nous nous attendons, en Allemagne, à la chute du chancelier Olaf Scholz et, en France, à celle du Premier ministre Michel Barnier, sans savoir qui les remplacera.

En Occident, ces évènements ont partout le même sens : l’idéologie néo-conservatrice et la religion woke sont condamnées au profit de la défense des nations. Il s’agit d’une révolte des classes moyennes. Celles-ci, qui ne sont pas xénophobes, n’acceptent plus d’être sacrifiées, au nom de la spécialisation du monde imposée par la globalisation anglo-saxonnes.

D’une manière générale, on se dirige, dans les prochaines années, vers l’abandon aussi bien de la volonté impérialiste des Anglo-Saxons que de celle, anti-impérialiste, de l’Iran. Simultanément, on devrait assister à un renforcement du droit international, bien qu’il ne soit pas reconnu par les jacksoniens. Ceux-ci admettent cependant, en matière commerciale, l’importance des signatures. Il est probable que Washington poussera l’Initiative des trois mers en Europe centrale après avoir contraint l’Ukraine à reconnaître sa défaite face à la Russie. Il s’en suivra une montée de la Pologne au détriment de l’Allemagne et un affaiblissement de l’Union européenne. Les États-Unis et les BRICS se rejoindront sur la nécessité de coopérer, mais s’affronteront autour du statut de référence du dollar.

Ces modifications importantes nous sont encore masquées parce que nous ne comprenons pas la manière dont réfléchissent chacun de ces acteurs. Nous interprétons à tort ce qu’ils disent et ce qu’ils font en fonction de leur place dans l’ancien monde.

Nous sommes particulièrement aveugles vis-à-vis des États-Unis que nous persistons à considérer comme nos maîtres. Nous ne connaissons que la doxa néo-conservatrice et nous imaginons que les États-Unis pensent de cette manière alors qu’ils viennent de s’affranchir de leur férule.

L’élection, ou plutôt la réélection, de Donald Trump, sa victoire écrasante pour la Maison-Blanche comme pour le Congrès, marque la révolte des classes moyennes US contre les intellectuels occidentaux qui s’étaient tous ligués contre lui.

Rappelons que Donald Trump, alors qu’il était promoteur immobilier à New York, fut la première personnalité, le 11 septembre 2001 dans l’après-midi, à remettre en cause la version officielle des attentats prétendument islamistes. Par la suite, il finança, au sein du Tea Party, la contestation de la légitimité du président Barack Obama. Enfin, il s’empara du Parti républicain malgré la résistance de l’ancien vice-président Dick Cheney (qui était membre du « gouvernement de continuité » [continuity government], de ce que Trump a désigné comme « l’État profond » [Deep State]). Il fit campagne d’une manière nouvelle en se fondant sur l’observation des réseaux sociaux et en répondant de manière symbolique aux attentes des classes moyennes. Dès son élection et avant même qu’il ne siège à la Maison-Blanche, le Parti démocrate lança une campagne mondiale de diffamation contre lui. Durant tout son mandat, il dut affronter ses propres collaborateurs qui n’hésitèrent pas à lui mentir et à faire le contraire de ce qu’il leur ordonnait, puis à s’en vanter. Cependant, il parvint, seul contre tous, à interrompre la « guerre sans fin » au Moyen-Orient et le soutien militaire et financier de la CIA à Al-Qaeda et à Daesh.

Au contraire, Joe Biden composa son équipe à partir du personnel du Center for Strategic and international Studies (CSIS), du Cen­ter for a New Amer­i­can Secu­ri­ty (CNAS), de la Rand Corporation, et de General Dynamics, Raytheon, Northrop Grumman et Lockheed Martin. Il relança les guerres au Moyen-Orient, puis en débuta une nouvelle en Ukraine.

Nous ignorons si Donald Trump tentera de poursuivre durant son second mandat ce qu’il avait entrepris durant le premier. Il connaît désormais les chausse-trapes de Washington et a composé une équipe dont il était dépourvu la première fois. La seule inconnue est de savoir ce qu’il a dû concéder pour pouvoir vaincre cette fois. Sa politique au Moyen-Orient a consisté à remplacer la guerre par le commerce avec les accords d’Abraham. Elle a été mal comprise car son gendre, Jared Kushner, qui avait été chargé de les mettre en œuvre, est profondément raciste. Il avait aussi transféré l’ambassade des États-Unis de Tel-Aviv à Jérusalem, laissant entendre que celle-ci était la capitale du seul État juif. Durant sa campagne, il a accepté des dons considérables de la veuve de Sheldon Adelson, un soutien inconditionnel des « sionistes révisionnistes ». Nul ne sait s’il s’est engagé à soutenir en retour l’État d’Israël ou le projet colonial de Vladimir Jabotinsky.

La victoire de Donald Trump ne mettra pas fin aux affrontements, mais les déplacera du champ de bataille militaire vers celui de l’économie. Attention, pour analyser sa politique, les catégories politiques avec lesquelles nous réfléchissons depuis le XVIII° siècle s’avéreront inopérantes. Il n’entend pas choisir entre le protectionnisme et le libre-échange, mais entre des secteurs économiques : les produits qu’il défendra avec des droits de douanes parce qu’ils ne seront pas capables de rivaliser avec ceux de ses concurrents, et les produits qui sont capables d’inonder le marché global. Donald Trump n’est pas l’ami de tous les entrepreneurs, bien loin de là. Il s’oppose à ceux qui vivent au crochet de l’État en lui vendant de mauvais produits comme le fait le complexe militaro-industriel états-unien depuis trente ans. Les notions de droite et de gauche, d’interventionniste et d’isolationniste sont toutes aussi obsolètes. Ce qui se joue aujourd’hui est d’une autre nature.

Thierry Meyssan

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Elon Musk, le nouveau doge

Le Media en 4-4-2Coup de tonnerre : Trump nomme Elon Musk ministre de l’efficacité

Le Media en 4-4-2 - 14 nov 2024

Donald Trump nomme Elon Musk à la tête d’un ministère inédit dédié à l’efficacité gouvernementale, surnommé « Doge » pour réformer la bureaucratie américaine.

   

Ce duo audacieux, Musk et Ramaswamy, a pour mission d’économiser 2 000 milliards de dollars, avec pour objectif un gouvernement plus léger d’ici 2026.

Coup de tonnerre à Washington ! Donald Trump, fraichement réélu et désormais seul maître à bord, vient de surprendre la planète entière en confiant à Elon Musk, le magnat de Tesla et SpaceX, la mission de réinventer le gouvernement américain. Son arme secrète ? Un tout nouveau ministère de l’« efficacité gouvernementale », surnommé avec une touche d’humour très « Muskienne » : le Department of Government Efficiency ou… « Doge » ! Ce clin d’œil au célèbre mème du chien Shiba Inu est à la fois une déclaration d’amour à la culture web et un pied de nez audacieux à la bureaucratie traditionnelle.

Le duo de choc : Musk et Ramaswamy, pour un gouvernement plus léger et agile

Aux côtés du climatosceptique Vivek Ramaswamy, autre homme d’affaires et soutien inébranlable du Parti républicain, Elon Musk s’attaque désormais à la bureaucratie comme il l’a fait pour les voitures électriques et les fusées : avec audace et passion. Investissant plus de 100 millions de dollars dans la campagne de Trump, Musk n’a pas hésité à plonger tête baissée dans ce défi d’envergure, fermement décidé à couper dans les dépenses « inutiles » du gouvernement. Donald Trump, avec son enthousiasme habituel, a déclaré : « Ces deux génies vont faire souffler un vent de liberté et d’efficacité dans nos agences fédérales. »

L’objectif ? Pas moins de 2.000 milliards de dollars d’économies dans un budget annuel d’environ 7.000 milliards. Avec cet argent « libéré », Trump promet de donner un nouvel élan à l’économie et de réduire le poids de la dette publique. « Apurer les dépenses excessives et rationaliser l’administration, voilà ce que veut le peuple ! » a affirmé Trump. Pour lui, ce ministère inédit, confié à deux alliés de premier plan, représente une véritable révolution, qu’il n’hésite pas à qualifier de « Projet Manhattan de notre temps ».
Le ministère Doge : quand la bureaucratie rencontre la culture internet

Le choix du nom « Doge » pour ce ministère a fait sourire plus d’un observateur. Ce clin d’œil au dogecoin, cryptomonnaie née d’une blague sur internet mais adoptée avec ferveur par Elon Musk, est le reflet d’une culture de l’innovation, mais aussi d’un humour mordant. Imaginez le ministère fédéral de l’efficacité orné d’un logo Shiba Inu ! Si Musk a souvent flirté avec l’absurde et les mèmes, il semble prêt à injecter une bonne dose de fantaisie dans la machinerie étatique. Le message est clair : l’administration Doge ne reculera devant rien pour bousculer les conventions.

Un « cadeau parfait » pour l’Amérique du 4 juillet 2026

Le duo Musk-Ramaswamy se voit confier une mission avec un timing qui fait déjà sourire : transformer le gouvernement d’ici au 4 juillet 2026, date symbolique du 250e anniversaire de la Déclaration d’Indépendance. Un objectif que Trump qualifie de « cadeau parfait » pour l’Amérique.

Alors que Musk et Ramaswamy s’attellent à cette tâche titanesque, la capitale bruisse déjà des ambitions et des changements à venir. Ce ministère, né sous le signe de l’audace, pourrait bien insuffler un vent nouveau et décoiffant dans les couloirs feutrés de Washington. D’ici là, chacun se demande : jusqu’où iront Musk et Ramaswamy pour faire de l’administration américaine une institution à la fois efficace… et un brin excentrique ?

Les prochains mois s’annoncent captivants – et qui sait, peut-être que le célèbre Shiba Inu finira par trôner dans les bureaux fédéraux.

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dépistage des effets secondaires causés par les injections Covid

Echelle de JacobDépistage pour les effets secondaires des injections Covid

Echelle de Jacob - 12 nov 2024

Le prof. Bhakdi présente un test de dépistage pour les effets secondaires des injections Covid.

   

Un simple test des ongles et l’usage de la nattokinase pourraient aider à prévenir les thromboses.

Le Dr Sucharit Bhakdi propose une nouvelle méthode de diagnostic pour les personnes susceptibles de souffrir de dommages causés par la vaccination. Ce test, développé en collaboration avec le Dr Hannes Strasser, mesure la circulation sanguine dans les vaisseaux capillaires dans le lit de l’ongle, qui est indicatif des problèmes de thrombose.

Selon Bhakdi et Hannes, les tests démontrent également un effet bénéfique de la nattokinase (2000FU 2xJ) pour la prévention et le traitement des thromboses.

Le professeur Sucharit Bhakdi est un éminent microbiologiste qui s’est exprimé à de nombreuses reprises dans le cadre des politiques sanitaires “Covid-19” déployées en Allemagne. Il est également l’un des membres fondateurs de l’association Doctors for Covid Ethics qui a été parmi les premières à alerter l’Agence européenne des médicaments des risques liés aux injections Covid, notamment les thromboses.

Une annonce encourageante

Lors d’une interview récente pour Report 24, le professeur Bhakdi a présenté des essais en cours concernant la prévention de troubles vasculaires liés aux vaccins.

« C’est incroyable. Ma collègue a fait cet examen du lit de l’ongle sur toutes les personnes chez qui l’on suspectait des dommages causés par la vaccination. Chez beaucoup, je pense même la majorité, elle a effectivement observé des changements vasculaires. »

Dr Hannes Strasser

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la maison prison

Aube DigitaleLa maison est la nouvelle prison

Aube Digitale - 09 nov 2024

Les projets britanniques de prisons numériques de haute technologie devraient susciter des craintes pour la protection de la vie privée de tous les citoyens.

   

Cette pandémie est terminée, mais les autorités britanniques semblent très désireuses d’en lancer une autre, politique cette fois, où divers ministères semblent aligner des propositions visant à maintenir le plus grand nombre possible de personnes à la maison.

Ces ministres semblent très optimistes quant aux capacités de surveillance de divers dispositifs portables, allant jusqu’à permettre le fonctionnement de « prisons virtuelles » (cette fois-ci pour de vrais criminels, et non pour la population en général prise dans des mesures de confinement).

Les responsables des soins de santé aimeraient que les gens s’occupent eux-mêmes de leur santé, dans la mesure du possible, et sont prêts à distribuer des dispositifs portables aux patients pour qu’ils puissent surveiller chez eux tous les aspects de leur vie, de la glycémie à la guérison du cancer ; et maintenant, la ministre de la justice Shabana Mahmood envisage des « prisons virtuelles ».

Quelle serait la différence entre l’assignation à résidence et ces « alternatives à la prison » ? La première est généralement prononcée pour des délits mineurs ou pour permettre aux détenus de purger les six derniers mois de leur peine dans ces conditions (« HDC », comme on l’appelle au Royaume-Uni, qui impliquent un certain niveau de surveillance technologique), tandis que l’autre est nouvelle et implique un nouveau rôle de la technologie, dans l’esprit de Shabana Mahmood.

Il existe aujourd’hui des balises GPS, des téléphones et des montres (tous « intelligents », c’est-à-dire tout à fait capables d’assurer une surveillance 24 heures sur 24 – mais la question de savoir si cela serait légal et dans quelles juridictions reste à éclaircir).

Pour Mahmood (et ceux qui sont à l’origine des politiques dont il est le porte-parole), la solution pour que les prisons manquent de place (tout comme les hôpitaux manquent apparemment de personnel et de capacité) est de faire en sorte que les gens purgent leur peine de plus de cinq ans à domicile.

Et, tout comme le travail à domicile semble faire l’objet d’un retour de bâton, au Royaume-Uni du moins, le fait de se soigner ou de s’emprisonner chez soi, en payant ses propres charges, etc. semble gagner du terrain.

Les travaillistes n’hésitent pas à « travailler » avec les conservateurs, en particulier sur des initiatives qui laissent perplexe, voire qui heurtent le bon sens.

« Théoriquement, un juge pourrait prononcer une peine d’assignation à résidence. Nous avons aujourd’hui l’occasion de remodeler et de redéfinir ce à quoi ressemble une peine en dehors d’une prison », a déclaré Mahmood.

Selon le Telegraph, Mahmood devrait confirmer David Gauke, « l’ancien ministre conservateur de la justice, à la tête de la révision des peines qui vise à garantir qu’il y aura suffisamment d’espace pour enfermer les criminels les plus dangereux, à encourager les délinquants à tourner le dos à la criminalité et à étendre les peines en dehors de la prison ».

Selon les opposants issus des rangs des défenseurs des droits civils et numériques, il s’agit là d’un nouvel exercice dystopique qui mérite d’être critiqué, notamment parce que le plan prévoit de s’inspirer des (autres) États autoritaires de surveillance qui espionnent leurs propres citoyens – peut-être simplement, pour l’instant, parce qu’ils le font de manière plus efficace que le Royaume-Uni.

Nous savons ce que tout cela dit de ces régimes autoritaires ordinaires, mais que nous apprend cette « ambition » sur les autorités britanniques ?

Selon le Sun, la question et le problème sont réels – le journal cite « un initié » qui affirme que le problème réel ou perçu de la surpopulation – telle que nous la connaissons aujourd’hui – des prisons, devrait se répercuter sur le reste de la société.

Si l’on en croit le rapport – qui cite un initié anonyme – « nous (le Royaume-Uni) devons tirer les leçons des États de surveillance qui espionnent leurs propres citoyens et utilisent les mêmes tactiques avec nos criminels ».

Cela peut paraître incrédule à ceux qui considèrent encore que les gouvernements comme celui du Royaume-Uni sont, en ce qui concerne les pratiques démocratiques, purs comme la neige.

Mais la réalité semble être que la position officielle se rapproche de plus en plus d’une situation où les prisons de « sécurité maximale » peuvent, en fin de compte, être installées n’importe où. Y compris au domicile d’une personne.

Souvenez-vous de l’époque où la technologie était une force au service du bien, et au service des personnes qui l’utilisaient.

Et maintenant, apparemment, oubliez cette époque.

« Les personnes soumises à des couvre-feux en détention à domicile sont en pratique soumises à une forme d’assignation à résidence, avec une étiquette à la cheville et un capteur à leur domicile, elles sont soumises à des couvre-feux, généralement pendant 12 heures par jour », a déclaré Mahmood.

« D’une certaine manière, les peines prononcées en dehors d’une prison peuvent être encore plus restrictives que la prison. »

Il convient de répéter qu’une fois que l’utilisation généralisée de la technologie de reconnaissance faciale comme mesure de surveillance est en place dans une société, cela signifie que tout le monde y est soumis – et pas seulement ceux qui sont actuellement traités comme des suspects et/ou des détenus condamnés.

Une fois mis en place et opérationnel, ce système peut très facilement être « reconverti » dans un certain nombre de scénarios, y compris la capture d’individus qui n’enfreignent aucune loi, mais qui sont simplement des dissidents politiques, idéologiques ou d’opinion.

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Trump président - l'or en baisse

InsolentiaeLa victoire de Trump entraîne un effondrement des cours de l’or

Insolentiae - 08 nov 2024

Et c’est une bonne nouvelle !

   

Bonne nouvelle mes amis !

Enfin bonne, pas pour toutes les âmes sensibles de gauche qui pleurent la défaite de Kamalaty Jane, dont personne n’a voulu voir le manque de valeur face à Trump, un tantinet combattif (et que l’on peut ne pas aimer, tel n’est pas le sujet).

La bonne nouvelle c’est que l’or baisse, il s’effondre même depuis la victoire de Trump.

Pourquoi est-ce une bonne nouvelle me direz vous si l’on est détenteur d’or ?

Simple.

Je préfère un monde en paix avec de l’or qui baisse et mes enfants en vie, que mon or qui monte, une troisième guerre mondiale avec les Russes et les Chinois et mes fils se battant sur le front de l’Est contre des Nord-Coréens…

Simple.

Je vous le dis.

Un économiste de grenier normand est un homme simple, avec des préoccupations simples.

Tout mon “or” contre la vie de mes enfants.

Qu’a dit Trump ?

Qu’il n’allait pas déclencher de guerre mais mettre fin aux guerres.

Alors dites ce que vous voulez de Trump le fasciste, le raciste, le méchant, mais s’il devient un artisan de paix, alors le monde y gagnera, surtout les fils d’Ukraine et de Russie qui tombent par centaines de milliers depuis deux ans. Les mères ukrainiennes et russes y gagneront aussi. Les mères européennes, espérons-le, n’auront pas à pleurer leurs fils.

Alors oui.

L’or baisse sur des anticipations de paix.

J’aime la paix et vous ne me ferez jamais aimer la guerre.

Poutine n’arrive déjà pas occuper l’Ukraine… alors avant qu’il s’aventure plus loin cela relève de la pure imbécilité militaire et stratégique.

L’or baisse mes amis et c’est une bonne nouvelle.

Cela nous donne aussi le “montant” et le pourcentage exact de la prime de risque “géopolitique”. Merveilleux chiffre que l’on va pouvoir calculer avec précision.

L’or baisse et c’est une bonne nouvelle, car vous allez pouvoir en racheter à un meilleur prix. Nous allons avoir notre nouveau point d’entrée, parce que… l’or va remonter encore et encore.

Pourquoi ?

Parce que les taux vont baisser et que le problème des dettes ici en Europe comme là-bas en Amérique reste entier !

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le pourquoi de la guerre en Ukraine

Égalité et RéconciliationLes trillions cachés d’Eurasie, véritable enjeu de la guerre en Ukraine

Égalité et Réconciliation - 07 nov 2024

Mike Benz expose les motivations géopolitiques derrière le conflit en Ukraine et l’expansion de l’OTAN vers l’est.

   

Il explique que l’objectif est de contrôler les vastes ressources naturelles de la Russie et de l’Eurasie, estimées à des milliers de milliards de dollars. Les États-Unis et leurs alliés cherchent à intégrer ces pays dans leur sphère d’influence économique et politique. Benz cite l’exemple de l’Ukraine, où des accords ont été signés avec des entreprises occidentales pour exploiter les ressources. Il évoque également le cas du Pakistan, où le Premier ministre Imran Khan a été destitué pour avoir adopté une position neutre sur l’Ukraine. Selon Benz, la simple neutralité de Trump dans un second mandat pourrait compromettre cette stratégie et causer d’énormes pertes financières aux intérêts occidentaux impliqués.

Sommaire :

00:00 - Introduction et contexte de la réélection potentielle de Trump
01:31 - Explication des enjeux géopolitiques en Eurasie et des ressources de la Russie
04:41 - Discussion sur les accords énergétiques en Ukraine et la privatisation
06:40 - Impact potentiel d’un second mandat de Trump sur la stratégie en Eurasie
08:26 - Analyse du cas d’Imran Khan au Pakistan et de l’ingérence américaine
11:48 - Conclusion sur l’importance de la neutralité dans ce contexte géopolitique

NB : le trillion américain vaut un billion français (soit un million de millions, ou mille milliards) ;
DoD : Department of Defense.

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Geostorm, le film annonce de la catastrophe de Valence en Espagne ?

QactusLa Catastrophe de Valence, un Scénario de Film Devenu Réalité ?

Qactus - 06 nov 2024

Avez-vous vu ce qui s’est passé en Espagne ? Avez-vous vu ce que nous avons écrit sur ce sujet ?

   

Beaucoup restent toujours dans le déni ou ne croient pas du tout. Vous allez mieux comprendre ce que nous vous disons depuis des années : ils vous le disent aussi dans les films, comme nous vous l’avons toujours dit.

Désormais, on dirait que la réalité dépasse la fiction, regardez le film GEOSTORM.

Nous avons l’impression que ce qui s’est passé en Espagne, à Dubaï et en Turquie, bah, c’est ce film qui l’a créé en fait, non ?, c’est un truc de fou. Nous savons que par les films, ils nous font passer des messages, comme ceux des Simpsons. Vous voyez, les Simpsons, ils font des trucs ? Et comme par hasard, quelques années après, ça se prédit en fait. On dirait que les Simpsons ont prédit tout dans la vie. Mais ici, avec ce film, non seulement nous pourrions dire que c’est vraiment réel, mais les Espagnols viennent de le subir, non ?

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Propaganda encore aujourd'hui

ArtePROPAGANDA la fabrique du consentement

Arte - 05 nov 2024

La vie est faite de choix, mais êtes vous certain de faire les vôtre librement ?

   

Dans ce reportage, découvrez comment Edward Bernays a su créer l’illusion du libre arbitre en mettant des outils et techniques de manipulation de masses à disposition des états et des industries.

Souriez vous êtes manipulé... encore aujourd'hui.

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Linky - électricité moins chère

Le ParisienVotre électricité 70% moins chère

Le Parisien - 03 nov 2024

Le business de la fraude des compteurs Linky.

   

Sur les réseaux sociaux, de nombreux comptes proposent des interventions sur des compteurs Linky pour faire baisser la consommation de « 50% à 70% », grâce à une manipulation très risquée et illégale. Pour voir ce que cachait ce juteux business, nous avons fait appel à l’un de ces fraudeurs via les réseaux sociaux pour une intervention dans un appartement parisien que nous avons équipé de caméras cachées.

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Kamala - honte et culpabilité

Égalité et RéconciliationHonte et culpabilité : l’étrange campagne marketing de Kamala Harris

Égalité et Réconciliation - 02 nov 2024

Les démocrates prennent-ils leurs électeurs pour des cons ou des connes ? En tout cas ils prennent les électeurs de Trump pour des crétins.

   

Vous pouvez en dire beaucoup sur un candidat politique et son parti grâce à ses campagnes marketing. Plus important encore, expliquent-ils les opinions de leur candidat et leurs politiques ? Ou cherchent-ils simplement à manipuler les électeurs pour leur faire croire quelque chose qui n’est pas vrai ?

La campagne de Kamala Harris est en fait allée encore plus loin au cours du mois dernier avec une étrange série de publicités qui, examinées dans leur ensemble, mettent en valeur une dégénérescence idéologique qui fait appel au pire de l’humanité. Même si Donald Trump et les conservateurs sont souvent accusés d’être « méchants » ou directs dans leur rhétorique, au moins celui-ci est sincère et parle de problèmes réels plutôt que de désirs inconscients. D’un autre côté, si vous recherchez une sorte de classe chez un candidat, il n’y en a pas parmi les démocrates.

S’inspirant de l’école de publicité d’Edward Bernays qui exploite les recoins crasseux et le narcissisme de la lie de la société, le marketing de Harris a été étrange – il encourage la malhonnêteté au sein des familles, s’appuie sur des techniques de honte au lieu de la pensée critique et il est souvent sexuellement abusif de la manière la plus laide.

Certaines de ces publicités ne sont pas directement créées par les agents de Harris, mais d’une manière générale, la plupart des publicités sont approuvées par le candidat ou les responsables du parti politique avant d’être publiées.

Dans sa dernière campagne, les publicités de Harris tentent de semer la discorde parmi les couples mariés, suggérant que les femmes devraient cacher leurs opinions politiques à leur mari et voter pour Harris à leur insu. Ou encore, le but est de suggérer que les hommes américains contrôlent d’une manière ou d’une autre leurs femmes et les contraignent à voter pour Trump.

Dans le monde imaginaire des démocrates, la seule raison pour laquelle une femme voterait pour Trump est parce que son mari l’y oblige. C’est une représentation plutôt insultante des femmes, mais elle s’appuie également sur l’hypothèse de gauche selon laquelle toutes les minorités et les femmes sont leur propriété politique. Si une femme ou une minorité vote conservateur, les démocrates affirment que c’est parce qu’elles ont subi un lavage de cerveau.

Au-delà de cela, tout homme marié, même depuis peu de temps, connaît parfaitement les idéaux politiques de sa femme et ne sera pas surpris de la façon dont elle vote. Il est étrange que le camp Harris tente de présenter le vote comme s’il devait être traité comme une affaire extra-conjugale. Bien sûr, c’est le genre de comportement que les progressistes encouragent généralement les femmes à adopter, c’est tout simplement bizarre de le voir de manière aussi flagrante dans une publicité de campagne.

Ensuite, il y a les efforts visant à faire honte aux hommes pour qu’ils votent pour Harris, qui n’ont clairement pas été aussi bien accueillis. Son soutien parmi les hommes est lamentable, même parmi la génération Z, et cela peut être directement attribué à la guerre de propagande contre la masculinité perpétrée par les gauchistes pendant une décennie. Les hommes s’en souviennent, et ils ne voteront certainement pas pour les mêmes personnes qui les traitent d’« incels », de « violeurs » ou de « toxiques » depuis des années.

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automne - le jardin

ReporterreUn jardin est beau lorsqu’on dialogue avec lui

Reporterre - 01 nov 2024

L’automne est arrivé dans le jardin. Les plantes perdent leur vitalité estivale et Marie s’interroge sur l’esthétique du jardin, entre pelouse bien coupée et débordements de vie potagère.

   

L’automne et ses pluies sont passés par là. Les tomates ne sont plus que des tiges dégarnies tentant de supporter quelques fruits rongés par le mildiou. Les aubergines commencent à tourner de l’œil. Les haricots fanent et paraissent fatigués, bien qu’ils profitent de quelques jours d’éclaircie pour brandir une dernière série de fleurs. Salades et choux sont en train de capituler face à une armée de limaces. Les courges, elles, qui ont encore leurs feuilles et quelques fruits imposants, donnent un air fouillis au potager tellement elles se sont émancipées de leur carré.

Le potager n’a plus la fière allure de la belle saison. Il donne encore. Les derniers haricots, les premiers poireaux… Mais à l’heure de faire quelques photos pour illustrer cette chronique, me voici bien embêtée, rien ne me paraît montrable. Un potager, c’est comme un bon plat. Pour éveiller l’appétit, mieux vaut que l’assiette soit agréable à l’œil, non ?

Plantes compagnes ou désherbage ?

C’est l’un des plaisirs du jardin, de soigner son esthétique. C’est aussi un langage, l’expression d’un rapport au vivant. Le jardin à la française, avec ses lignes droites, a célébré la domination de l’humain sur la nature. Le jardin à l’anglaise a plutôt voulu imiter celle-ci et a promu une vision plus romantique et pittoresque. Côté potager, certains trouveront que la beauté est du côté des allées bien droites et désherbées, d’autres préféreront laisser prospérer toutes sortes de plantes compagnes au risque qu’elles prennent le pas sur les légumes plantés.

Mon jardin se situe entre les deux. Du côté de l’esthétique jardinière, je suis victime de notre conditionnement sociétal. Je trouve mes pommiers plus beaux quand l’herbe dessous est bien tondue et que leurs formes se détachent nettement. J’ai peur pour mes aromatiques quand les herbes folles les encerclent. Je préfère mon potager quand il a les couleurs vives de l’été plutôt que l’air abandonné de la fin de l’automne.

Bref, j’aime que mon jardin ait l’air entretenu. Il y a des considérations pratiques : faciliter le passage du tracteur, favoriser une productivité raisonnable chez nos plantations nourricières. En revanche, je ne vois pas l’intérêt de couper l’enthousiasme de ma sauge épanouie bien au-delà des limites qui lui avaient été attribuées, et je ne suis pas contre un buisson de ronces ou un tas de cailloux par-ci par-là, me réjouissant de rencontrer leurs hôtes.

Déborder de vie en toute saison

Mais alors, comment juger de l’esthétique d’un jardin ? Comment ne pas rougir quand je montre mon potager brunissant avec l’automne ? Je me souviens soudain que le modèle du beau jardin est pour moi celui de ma grand-mère paternelle. Je précise qu’il n’est pas nourricier, sauf pour les nombreux fruits rouges que cette gourmande sait faire prospérer à merveille, et sa collection d’aromatiques rappelant ses origines provençales.

Il est beau, car il paraît en toute saison débordant de vie. Les plantes y sont très nombreuses et diversifiées, elles grignotent avec enthousiasme le passage dans les allées, il y a des fleurs en quasi toute saison. On pourrait croire que c’est le résultat d’une sorte de laisser-faire tellement toutes ces habitantes ont l’air épanouies.

En réalité, c’est le fruit d’un travail incessant et d’une curiosité insatiable. Cela commence par des lectures et des recherches lui permettant de dégoter les meilleurs pépiniéristes, produisant telle variété de ciste ou de figuier qui conviendrait au climat francilien. Il faut ensuite trouver l’exposition, le sol, les conditions d’humidité convenant à chaque nouvelle hébergée. Si l’une fait grise mine, elle est déplacée.

L’observation est continue. Les petits gestes d’attention presque quotidiens. Je la revois, tel un coiffeur ajustant sa coupe, sécateur à la main, repérer les branches malades, ajuster une taille. Je me souviens d’années de recherches et d’expérimentations continues pour soigner un fruitier malade. Chaque plante a une histoire, elle est leur mémoire. Et leur futur : il suffit que l’on mette un pied dehors pour qu’elle vous explique quel plan elle a en tête pour l’une ou l’autre.

Ainsi, si son jardin est si agréable, ce n’est pas parce qu’elle laisse faire, ce n’est pas parce qu’elle contraint. C’est parce qu’elle dialogue sans cesse avec ses habitantes, les écoute, les soigne et les laisse s’exprimer. Voici ce que m’a appris ma grand-mère : un beau jardin est le fruit d’une belle relation avec les plantes.

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Dernière modification par Nathan - 55 ans il y a
Chlorure de magnésium - un remède vital

Jérémie MercierLes vertus insoupçonnées du chlorure de magnésium

Jérémie Mercier - 31 oct 2024

C’est le conseil d’un personnage connu à cette femme, conseillère municipale de Nice qui a voulu soulager la misère humaine à l’époque du chikungunya à la Réunion et s’est heurté aux élites qui veulent surtout les profits pour les labos.

   

Menacée personnellement au téléphone par le ministre de la santé de l’époque et même par le centre anti-poison de Marseille qui ferait mieux de s’intéresser à l’analyse des poisons des flacons de toxins covid, s’ils veulent vraiment notre bien.

Tout ça pour dire qu’il faut faire et pas dire publiquement et il faut contourner la malfaisance des élites.

« Passe par le bas » injonction à retenir pour sauver notre peau. C’est un peu ce que font les sites de réinformation comme PG.