Le légendaire analyste des cycles financiers et géopolitiques Martin Armstrong prévoyait le « chaos » en 2023, et c’est exactement ce que nous avons eu.
Son travail sur les cycles indique qu’il ne faut pas s’attendre à ce que la situation s’améliore de sitôt.
Armstrong explique : « Nous sommes au milieu d’un coup d’État… »
Armstrong prédit également que les néoconservateurs truqueront les élections de 2024 pour que Biden (ou un autre néoconservateur) obtienne un second mandat.
Armstrong dit aussi que les néoconservateurs essaieront de déclencher une guerre avant l’élection de 2024 pour que Biden gagne parce qu’un président en temps de guerre n’a jamais perdu une élection. Armstrong dit que la tricherie sera nécessaire parce que les vrais chiffres des sondages pour Biden sont à un chiffre et non pas les 40% de taux d’approbation que les médias menteurs de l’héritage vous disent. Armstrong affirme que le taux d’approbation de Biden est toujours bloqué à 9,5% avec son programme informatique Socrates, d’une précision redoutable, mais la grande raison pour laquelle Biden et son équipe doivent s’inquiéter est le chiffre réel de l’inflation.
C’est beau le Cash +, c’est le cash, mais en version plus… « plusse mieux » je suppose comme disent mes enfants.
Mais de vous à moi, à quoi va servir une telle monnaie « digitale » de banque centrale, puisque notre euro est en réalité très largement dématérialisé. Entre nos paiements en CB, le « sans contact » et les virements que nous nous faisons, les espèces ne représentent plus qu’une proportion très négligeable de nos échanges.
Alors de vous à moi, pour nous, le peuple, les PME, ou même les entreprises plus grandes, ce nouveau machin « cash+ » n’a strictement aucun intérêt est c’est plutôt « cache+ » car oui, on nous cache des choses !
Ces choses que l’on nous cache sont très faciles à comprendre et sont exprimées à demi-mots par le gouverneur de la banque de France.
Ce que l’on nous cache et ce dont on ne débat pas, tourne évidemment autour de la vie privée et surtout du contrôle et de la surveillance.
Selon les propos même du gouverneur de la Banque de France « le « Cash+ » apportera des avantages significatifs par rapport aux billets : il permettra à chacun d’utiliser la monnaie de banque centrale dans le e-commerce, pour les paiements à distance entre pairs (peer-to-peer), ainsi que pour les paiements conditionnels. »
Officiellement, vous le voyez, il s’agit de e-billets de banques que vous pourrez donc utiliser pour vos paiements en ligne. Des paiements en ligne que nous faisons aujourd’hui sans problème avec nos moyens de paiement actuel.
Encore une fois, cet e-billet, cette crypto-monnaie de banque centrale n’apporte strictement rien. Elle ne nous apporte rien ou si peu, qu’il ne faut surtout pas que nos autorités s’embêtent à ce point pour nous la mettre en place.
Alors si cela ne nous sert pas à grand-chose, mais qu’ils y tiennent beaucoup, c’est que les avantages ne sont pas forcément pour la population, mais pour les autorités monétaires et bancaires (sans oublier les autorités politiques), car à terme la suppression du cash physique c’est évidemment la diminution des coûts. C’est aussi la mise en place d’un contrôle monétaire rendant l’évasion fiscale quasiment impossible. C’est aussi dans une vision extrême, le volet monétaire d’un contrôle social potentiel comme en Chine. Votre porte-monnaie numérique, comme votre pass sanitaire pourront être désactivés, rechargés, ou limités. On pourrait même vous le supprimer.
Bref, les dérives potentielles sont telles que c’est un sujet qui mérite, bien évidemment, un débat démocratique et philosophique national.
Voici le texte du discours source Banque de France ici.
Avec Jacques Baud, ex membre des renseignements stratégiques Suisse, il a participé à des programmes pour l’OTAN en Ukraine entre 2014 et 2017, il a notamment écrit “Poutine, le maître du jeu ?” et “Opération Z” aux éditions Max Milo, et Xavier Moreau, historien et analyste politico-stratégique, directeur du site “Strat Pol”. Auteur de “Livre noir de la gauche française” et de “Ukraine : pourquoi la france s’est trompée ?” aux éditions du Rocher
La tentative de « coup d’État » d’Evgueni Prigojine peut-elle renverser le sort des armes en Ukraine ? C’était le souhait de l’Otan qui espérait ce soulèvement et a réveillé ses agents dormants en Russie. Le Royaume-Uni et les États-Unis entendaient réaliser enfin la partition du pays qu’ils n’avaient pas pu mener à terme en 1991.
La création de sociétés militaires privées (SMP), dont le Groupe Wagner, était une idée validée par le président Vladimir Poutine pour tester de nouvelles formes de commandement avant de les choisir et d’imposer les meilleures dans son armée. En quelques années, ces sociétés ont effectivement testé bien des méthodes et souvent prouvé leur efficacité. Le moment était venu de terminer la restructuration de l’armée russe en les dissolvant et en intégrant leurs forces dans l’armée régulière. Une date limite avait été fixée par le président Poutine : le 1er juillet. Le mois dernier, le ministère de la Défense a donc envoyé des projets de contrats aux différentes sociétés militaires privées pour planifier leur incorporation. Mais le Groupe Wagner a refusé d’y répondre et Evgueni Prigojine a intensifié ses insultes contre le ministre et le chef d’état-major.
Il faut bien comprendre ce qui se passe : la création de sociétés militaires privées par la Russie est l’équivalent de ce que les États-Unis ont fait, sous le secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld, lorsqu’ils ont multiplié le recours aux SMP en marge du Pentagone. Au début cela a fonctionné, mais ces sociétés ont aussi travaillé pour la CIA et le mélange des genres a abouti à des catastrophes en série. Lorsqu’elles ne travaillaient que pour le Pentagone, leurs dirigeants s’exprimaient en public, comme Erik Prince de Blackwater. Mais jamais ils n’ont pris position contre le secrétaire à la Défense ou contre le président du comité des chefs d’état-major.
Soit dit en passant, ni les soldats états-uniens de Blackwater, ni les russes de Wagner ne sont des mercenaires. Ils se battent pour leur pays et sont payés pour prendre des risques démesurés que l’on ne peut pas demander à des soldats réguliers. Au contraire, les mercenaires se battent pour de l’argent sous le commandement d’une puissance étrangère.
Une récente analyse financière indique que les citoyens américains retirent d’énormes sommes d’argent de leurs comptes bancaires. Selon les statistiques mises à jour du système de données économiques de la Réserve fédérale (FRED), pas moins de 79,16 milliards de dollars ont quitté les comptes bancaires américains entre le début du mois et le 7 juin. La fuite des dépôts est un véritable retournement de situation après deux semaines de flux entrants.
Une vague de retraits sans précédent
En fait, les États-Unis connaissent une véritable vague de retraits d’argent de leurs banques. En effet, l’année dernière a vu une somme vertigineuse de 803,73 milliards de dollars être retirée des comptes des clients. C’est un véritable record dans l’histoire de la finance américaine.
L’avenir est là, et si vous aimez être dominé par des fous du contrôle, vous allez l’adorer.
L’identification numérique est l’un des principaux domaines sur lesquels les mondialistes se concentrent actuellement et, comme vous le verrez ci-dessous, les changements radicaux qui sont actuellement proposés sont extrêmement effrayants. Mais la plupart des Américains n’ont aucune idée de ce qui se passe. Au lieu de cela, beaucoup d’entre eux sont obsédés par les drames relativement insignifiants que nos organes d’information corporatifs ne cessent de mettre en avant.
Pendant ce temps, les mondialistes atteignent leurs objectifs à la vitesse de l’éclair, et il n’y a pratiquement aucune résistance. Voici 8 signes qui montrent que le programme futuriste de contrôle des mondialistes progresse rapidement…
Si l’esprit n’est qu’une fonction du cerveau, il est logique que plus le cerveau est endommagé, plus l’esprit fonctionne mal. Bien que ce soit ce que la plupart des recherches actuelles sur le cerveau révèlent, il existe un ensemble de preuves qui suggèrent le contraire : dans des circonstances extrêmes, comme à l’approche de la mort, l’esprit peut fonctionner correctement, voire mieux que d’habitude, alors que le cerveau est altéré.
Cela suggère que l’esprit peut fonctionner indépendamment du cerveau.
Alexander Batthyany, professeur de psychologie théorique et de philosophie de la psychologie au Liechtenstein et au département des sciences cognitives de l’université de Vienne, est l’un des chercheurs qui ont étudié ces cas.
Dans son étude la plus récente, publiée ce mois-ci dans le Journal of Near-Death Studies (Journal des études sur la mort imminente), lui et ses collègues ont examiné des milliers de récits d’expériences de mort imminente (EMI) afin de déterminer la qualité de la vision et de la cognition.
Un nouveau gros titre des médias d’État russes : Prigozhin accepte d’arrêter la marche de Wagner, d’entamer une désescalade après la médiation de Loukachenko…
Le président biélorusse s’est entretenu avec Prigozhin aujourd’hui. Selon Loukachenko, Prigozhin a accepté « d’arrêter les mouvements de personnes armées sur le territoire de la Russie et de prendre d’autres mesures de désescalade« .
Selon le média d’État russe TASS, Prigozhin aurait accepté la proposition de Lukashenka d’arrêter les mouvements du PMC Wagner. Reuters rapporte également les déclarations soutenues par le Kremlin.
Lavrov : la Russie conserve le contrôle des armes nucléaires tactiques en Biélorussie – TASS
Un conflit de taille a éclaté entre les forces du Kremlin et de Wagner. Le chef de Wagner Yevgeny Prigojine avait auparavant accusé l’armée russe d’avoir orchestré une attaque contre ses hommes et d’en avoir tué 2 000. Le chef a également juré de se venger des autorités russes, ce qui a maintenant été déclaré « mutinerie armée » par l’État russe.
Le Great Reset, l’horizon 2030 promis par le mondialiste Klaus Schwab, signifie la destruction progressive du travail indépendant, du CDI, de l’industrie, et derrière, de la production nationale au profit d’une économie tertiaire numérisée qui rend la masse des travailleurs corvéable à merci, soit le retour au XIXe siècle de Marx. La crise énergétique a déjà mis à genoux des milliers de TPE.
Quand ils voient un petit commerce ou un artisan qui ferme, un agriculteur se pendre ou un marin-pêcheur pointer à Pôle emploi – rebaptisé France Travail par une inversion orwellienne de toute beauté –, beaucoup de Français ne voient pas le plan d’ensemble, la tendance statistique lourde. C’est l’histoire de la grenouille au fond de son trou qui prend le disque de ciel qu’elle voit pour le ciel tout entier.
Or, ce ciel entier est bien noir aujourd’hui, pour les Gaulois : Macron, qui veut renquiller un 3e mandat – la Banque cherche à imposer son employé zélé 5 ans de plus sur le trône –, avance à marche forcée vers ce fameux horizon, où l’on ne possédera plus rien, où l’on sera des nomades au sens attalien, où tout sera ubérisé, l’éducation comme la santé, c’est-à-dire désocialisé. On voit les germes de ce plan chaque jour, avec une insécurité grandissante à tous les niveaux, pas la peine de revenir sur la destruction programmée des services publics et le chaos qui en résulte.
Certes, un revenu universel (RU) sera octroyé aux (nouveaux) pauvres désœuvrés, mais il permettra tout juste de survivre, sous une surveillance administrative et policière de tous les instants : les JO 2024 dans un Paris en état de guerre serviront de laboratoire. Quel bénéficiaire du RU (fils du RSA) osera s’opposer à un Système qui le nourrit avec pitié et le flique avec dureté ?
Les naïfs demanderont pourquoi une économie choisit de se saborder. C’est l’oligarchie qui la sacrifie, pour dégager des superprofits là où c’est possible, rapide et facile : la France à la découpe, c’est le projet de Macron depuis 2014, le moment où le duo Minc-Attali l’a mis en selle. En d’autres termes, la production carbonée à l’ancienne, avec ses machines et ses hommes, ses usines et ses investissements, c’est du passé. Le profit contemporain, c’est celui de la finance, qui gagne de l’argent avec l’argent, et qui n’a plus besoin de l’emploi humain. D’où la neutralisation des lois du travail sous la houlette de Bornstein. Le XXe siècle a été celui de la disparition du métier ; le XXIe sera celui de la disparition de l’emploi, qui était déjà une dégradation du métier.
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