Le pire n’aura pas lieu, et objectivement, les Républicains, enfin le « Speaker » républicain Kevin McCarthy s’est plutôt écrasé et l’accord auquel ils sont arrivés de manière théorique entre McCarthy et Biden penche sans conteste pour une victoire presque par KO de la Maison-Blanche.
En effet, le plafond de la dette n’est pas relevé de quelques dizaines de milliards, ou même de quelques centaines.
Non.
Il est tout simplement supprimé.
Que dis-je, il est suspendu.
C’est un mode « no limit » qui est désormais possible pour la Maison-Blanche.. jusqu’en 2025.
Tout cela reste un accord provisoire dans la mesure où il doit être validé par les représentants à la Chambre mais il s’est passé quelque chose aux Etats-Unis.
Quand on regarde en détail l’accord prévu, il ne se passe globalement rien. Les dépenses sociales ne sont pas coupées, pas plus que les dépenses environnementales, disons simplement qu’ils se sont mis d’accord pour construire plus d’éoliennes et également plus de puits de pétrole ! Mais là encore ce n’est pas l’important. Pas plus que le fait de cesser de dépenser les fonds « Covid » n’est significatif d’un point de vue économique.
Passons donc à l’essentiel que cet accord ne dit pas.
Ne vous dit pas.
Et que personne n’a relevé.
Mais pourquoi passer en mode « no limit » et plus de plafond jusqu’en 2025 ?
Pourquoi ?
Pourquoi ne pas rajouter une limite de 2000 milliards, allez, soyons fous, la dette actuelle est de plus de 31 000 milliards de dollars, on aurait même pu rajouter 5 000 milliards de dollars pour se donner du mou.
Ici, c’est sans limite.
Le plafond n’existe plus pour les deux prochaines années ?
Pourquoi ?
Aucun chevalier blanc ne viendra sauver vos enfants – vous êtes le chevalier blanc. Erin Friday, 56 ans, mère californienne, l’a découvert pour sa fille, alors âgée de 11 ans. Tout a commencé très simplement : quelques surnoms à consonance enfantine et quelques lettres de l’alphabet en plus. Ce n’était pas innocent pour autant.
Quelques filles, dont la petite Friday, ont été entendues dans la cour intérieure en train de bavarder sur les nouvelles choses qu’elles avaient apprises à l’école. Elles étaient branchées sur les nouvelles tendances alors que, dans leur esprit, leur mère, vieille et ennuyeuse, faisait figure de dinosaure ignare, bien en retard sur son temps.
« Cinq filles ont choisi chacune une étiquette qui figurait dans la liste. Elles se sont moquées de moi et m’ont dit : ‘Tu es cis et tu ne comprends pas’ », a expliqué Mme Friday au journal Epoch Times. Je n’avais jamais entendu ce terme « cis » auparavant. Elles m’ont ensuite lancé : « Plaît-il, fossile ! ».
Nous étions en 2019 et la petite Friday était en classe de cinquième. C’est à ce moment-là que sa maman a pris conscience de la situation : « Qu’est-ce qu’ils enseignent à nos enfants à l’école ? », s’est-elle demandée. La curiosité s’est transformée en inquiétude au fur et à mesure que cette éducation basée sur l’égalité des sexes se développait. Elle s’est d’abord dit : « Oh, c’est probablement dû à la puberté ».
La jeune Friday, qui était autrefois une petite fille – une grande fan de « Mon Petit Poney » – a commencé à se couvrir de sweat-shirts amples. Mme Friday pensait qu’il s’agissait simplement d’un « acte de timidité » lié à l’éclosion de la féminité ; Mme Friday en avait fait l’expérience. Mais lorsque la fan de « Mon Petit Poney » est passée au statut de « fille soldat », enfilant des bottes de combat, lorsque ses amies aux cheveux longs ont commencé à prendre des noms de garçons, lorsque des teintures violettes et vertes ont fait leur apparition, l’inquiétude de la maman s’est aggravée.
Les députés britanniques craignent qu’un nouveau traité visant à accroître les pouvoirs de l’OMS ne lui permette de fermer les frontières et d’introduire les passeports vaccinaux
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) pourrait imposer des mesures de confinement au Royaume-Uni [et dans tous les pays européens] lors d’une future pandémie en vertu de nouveaux pouvoirs étendus.
Les États membres seraient tenus de suivre les instructions de l’Agence lorsqu’ils réagissent à des pandémies, notamment en introduisant des passeports vaccinaux, des fermetures de frontières et des mesures de quarantaine, selon un projet de mise à jour des règlements de l’Agence.
Un nouveau « traité sur les pandémies » en cours de discussion obligerait également la Grande-Bretagne à consacrer 5 % de son budget de santé à la préparation d’une nouvelle épidémie de virus.
Les ministres se disent alarmés par les projets visant à accroître les pouvoirs de l’OMS, ce qui permettrait à son organe directeur d’exiger des pays qu’ils lui remettent la recette des vaccins, sans tenir compte des droits de propriété intellectuelle, et de lutter contre la désinformation.
Les députés conservateurs ont écrit aux ministres pour les mettre en garde contre une « ambition évidente pour l’OMS de passer d’une organisation consultative à une autorité internationale de contrôle ».
Ce défilé sans fin de drapeaux arc-en-ciel qui infestent les logos des entreprises du monde occidental chaque mois de juin, ces improbables témoignages trans et non-binaires qui surgissent dans les campagnes publicitaires des plus grandes multinationales mondiales ne sont pas placés là pour « soutenir la cause LGBT », « l’inclusion », pour « donner de la visibilité à l’arc-en-ciel opprimé » : elles doivent être interprétées comme une sorte de « gabelle idéologique » à payer aux lobbies politiques financés par les « usual knowns » (nous y reviendrons) afin de maintenir un score de « crédit social » crucial pour le maintien ou la destruction de l’activité d’une entreprise.
Qu’est-ce que le CEI, le système de notation des entreprises américaines ?
Le score en question est le Corporate Equality Index — ou CEI —, qui est supervisé par la Human Rights Campaign (HRC), le plus grand groupe de pression politique LGBT au monde. La HRC, qui a reçu des millions de dollars de la fondation Open Society de George Soros, entre autres, publie des fiches d’évaluation de la « vertu sociale » des plus grandes entreprises américaines par le biais du CEI. Comment ? En attribuant ou en soustrayant des points en fonction du degré d’adhésion des entreprises aux « critères d’évaluation » définis par le HRC.
Ainsi, il a tout d’abord découvert le désir sexuel – octroyé par Lucifer – vers le milieu de l’Époque Atlantéenne, puis l’affection pour la famille (parents et enfants) donnée par Gabriel durant cette même Époque. Ensuite, des formes d’amour plus spirituel ont éclos durant l’époque préchristique avec Krishna et la dévotion (amour pour une divinité), ou le Bouddha Gautama et la compassion (partager la souffrance d’autrui).
Jusqu’à la Venue du Christ il y a deux mille ans, l’être humain n’étant pas encore suffisamment individualisé, il ne pouvait être question d’un amour individuel.
En revanche, avec l’Incarnation du Fils de Dieu déclenchant l’intériorisation du « Je » et l’individualisation de la pensée, l’humain a commencé à ressentir un amour individuel.
L’amour véritable ou vertueux résulte de la distinction d’une personne particulière : « l’élue de notre cœur ».
Cela suppose la reconnaissance – même inconsciente – du « Je » particulier et individuel qui nous attire en l’autre, car il crée une résonance avec notre propre « Je » individuel.
[...]
Ce partenariat est considéré comme un moyen de lutter contre la « mésinformation » médicale observée pendant la pandémie.
Sur le moteur de recherche Google, des panneaux de connaissances figurent déjà en haut des résultats lorsque les utilisateurs recherchent certaines pathologies et maladies.
Bientôt, les panneaux de connaissances incluront davantage d’affections et de maladies telles que les troubles dépressifs, Ebola, la BPCO, le paludisme, l’hypertension, le diabète, le Mpox et d’autres encore, en utilisant des informations vérifiées par l’OMS.
Dans le cadre d’un précédent partenariat, Google a octroyé plus de 320 millions de dollars à l’OMS sous forme de subventions publicitaires pour l’aider à diffuser ses informations médicales. Dans le cadre du nouveau partenariat, Google a accordé à l’organisation mondiale de santé publique 50 millions de dollars supplémentaires pour poursuivre ses efforts.
Clémence Houdiakova recevait, sur Ligne Droite, Martine Gardénal, médecin homéopathe, médecin du sport, anciennement médecin de l’équipe olympique. Lors de cet entretien, Martine Gardénal jette un pavé dans la mare : « Il y a des sportifs qui se plaignent d’une grande fatigabilité. Une étude publiée au mois de juin — tout ça reste silencieux pour ne pas ébruiter que ces injections ont des effets secondaires — annonçait une perte de puissance et de fatigabilité qui modifiait les résultats de 40 %. C’est énorme, on perd la moitié de ses résultats. »
Au début, le « Je » qui vit dans le cœur spirituel est endormi. C’est l’ego, constitué de tous les éléments mentaux, affectifs et instinctifs (et de tous les conditionnements et croyances venant du monde extérieur), qui mène le bal, depuis la tête.
Les gens « endormis » fonctionnent essentiellement au niveau du mental sensible (celui qui a été acquis durant la quatrième septaine – entre 21 et 28 ans). Ils ne s’intéressent qu’à ce qui est matériel et sensible (vivre des émotions et des sentiments).
Les gens « rêveurs » fonctionnent essentiellement au niveau du mental psychique ou intellectuel (celui qui a été acquis durant la cinquième septaine – entre 28 et 35 ans). En plus du physique, ils s’intéressent aux idées et réalisent des projets. Ce sont également les intellectuels.
Les gens qui se « réveillent » fonctionnent au niveau du mental spirituel ou conscient (celui qui a été partiellement acquis durant la sixième septaine – entre 35 et 42 ans). En plus du physique et des idées, ils s’intéressent à des idéaux qui les dépassent : soit matériels, ou spirituel-sensible ; soit connaissances, ou spirituel-psychique ; soit spirituels, ou vrai mental spirituel, qui ne se développe véritablement qu’à travers une voie spirituelle, et l’expérimentation concrète de la conscience de soi. A notre époque, c’est rare.
Notre époque de culture consiste à réveiller le « Je » endormi dans la grotte du cœur (l’humanité a environ 37/38 ans d’âge mental), afin qu’il retrouve le souvenir de son identité spirituelle.
Au début, le « Je » est comme un enfant innocent : c’est lui l’enfant intérieur enfermé dans la grotte sacrée du cœur. Le « Je » doit se renforcer considérablement, afin de maîtriser l’ego, puis, de s’en débarrasser.
[...]
Vous découvrirez à travers cette vidéo les aspects historiques et scientifiques qui attestent de la cohérence de cette approche. Rejeté de notre arsenal de soin, elle a depuis retrouvé ses lettres de noblesse et un nombre croissant de personnes l'utilisent pour recouvrer sa forme physique et son bien-être, en particulier pour le traitement d'un grand nombre de maladies chroniques.
Grâce aux trépidations écologiques, il devient facile de mettre en place des politiques de plus en plus coercitives et de plus en plus violentes à mesure que les injonctions empiétent de façon croissante sur les libertés fondamentales des individus. Ces derniers ayant le toupet d’exister et de ne pas toujours être d’accord, il conviendra donc de les écraser (inclusivement néanmoins) afin de garantir que les petits projets écologistes soient mis en place sans obstacles.
Ainsi, aux Pays-Bas et malgré une grogne aussi grandissante qu’évoquée de façon biaisée par une presse au niveau consternant de propagande, l’idée d’éliminer une majeure partie des petites et moyennes exploitations agricole continue de faire son chemin. Les protestations n’y changent rien : la démocratie, flutiau qui n’est joué que lorsqu’il s’agit de trouver des prétextes pour augmenter les taxes ou partir en guerre, n’intéresse ici plus personne.
En France, si les paroles sont traduites, la musique reste la même : doucement, et sans grande discrétion, les premières graines d’une décroissance agricole forcée sont plantées par une Cour des Comptes devenue l’étonnante courroie de transmission de l’Extrême-Centre macronien. Pour elle, c’est évident, il faut “définir et rendre publique une stratégie de réduction du cheptel bovin”.
Il n’est pas question de pollution à l’azote (l’excuse débile utilisée par les excités bataves) mais plutôt les émissions de méthane des bovins, autre idiotie fièrement mise en avant par les enragés français pour faire passer leurs âneries. L’argument est désarmant de bêtise mais c’est pourtant celui-ci : le climat se réchauffe, c’est donc la faute des activités humaines, c’est donc à cause de sa consommation de viande, c’est donc parce que le bétail pète du méthane, c’est donc qu’il faut réduire le cheptel (de moitié, mettons, parce que c’est un ratio facile à comprendre).
Ne cherchez dans les “donc” aucune logique, aucun raisonnement. C’est La Science™ écologiste qui parle, donc la Vérité™.
Bonjour Nicolas,
Merci grandement pour avoir été notre guide vers ce sublime Monastère de Sel hier, cette balade m’a fait du bien, les barreaux de ma prison ici se sont un peu écartés le temps de cette bonne lecture.
Des nouvelles fraîches d’Ukraine, mon ami me dit que depuis des mois beaucoup n’ont plus rien à manger et fouillent les poubelles pour trouver un peu de pourriture nourriture à se mettre sous la dent. Et ceci pour les affamés « les plus chanceux » qui ne craignent pas de sortir et d’être embarqués manu militari vers un front hachoir à viande vers l’est, c’est à dire les plus âgés, complètement abandonnés à leur sort. Les plus « jeunes » se terrent car ils n’ont pas envie d’être envoyés vers un autre Marioupol ou un autre Bakhmout. Il écrit que pour ce qui sert de gouvernement là bas, tout ce qui ne combat pas ne sert à rien et est donc complètement laissé de côté, sans aucune aide.
Le génocide de la race blanche avance bon train sur ses rails de coke aussi.
Ici lutte en mode solo plus que jamais, mon âme me chuchote que pour être sauvés, nous devons nous souvenir que le Patron a demandé il y a deux millénaires à ce qu’on persévère jusqu’à la fin, sans s’écarter de la Voie étroite afin de ne pas rater la petite Porte.
Donc plus de compromis. Aucun. Évidemment en face, ils apprécient très moyennement et me le font savoir… survols multiples de bruyants anges noirs et d’aciers à très, très ( trop ) basse altitude parfois pour me rappeler ma place en enfer, des fois que j’aurais tendance à oublier que je suis de « ceux qui ne sont rien ». Ça m’apprendra à ne pas déclarer mes impôts et à leur écrire ( insolent en plus à ne pas vouloir tendre l’autre joug! ) sans langue de bois ce que j’en pense, enfonçant le clou pour la deuxième fois en trois ans après réception de leurs courriers à entête de « liberté égalité fraternité » ( la meilleure blague depuis deux siècles ).
Le développement par Meta d'un grand centre de données dans la région de Tolède (Castilla-la-Mancha), suscite l'inquiétude en raison de sa consommation estimée à plus de 600 millions de litres d'eau potable dans une région où l'eau est rare.
Meta, le conglomérat dirigé par Mark Zuckerberg et dont dépendent Facebook, WhatsApp et Instagram, installera son plus grand centre de traitement de données d'Europe dans la province de Tolède.
Ce sera, plus précisément, à Talavera de la Reina, l'ancienne capitale de la céramique qui, aujourd'hui, malgré sa proximité avec Madrid, traverse une période de crise sociale, économique et démographique.
Opportunité économique...
Le gouvernement régional de Castille-La Manche a décidé il y a quelques semaines de poursuivre le projet Meta Data Center Campus, en soulignant son impact sur le territoire - plus de 1 000 emplois et 250 emplois directs hautement qualifiés - mais en ignorant le fait que l'infrastructure consommera plus de 600 millions de litres d'eau potable par an.
Comme l'explique El País, la consommation “totale”, y compris en eaux "non potable", pourrait atteindre “120 litres par seconde dans le centre de données et 33 litres par seconde” dans le reste des installations. À ce rythme, on parle d'environ 4,8 milliards de litres d'eau par an. L'entreprise n'a toutefois pas confirmé officiellement ces estimations.
Meta dispose actuellement de trois installations de ce type en Suède, au Danemark et en Irlande. Il y a quelques mois, une enquête du média Noordhollands Dagblab a démontré que le centre de données de Microsoft aux Pays-Bas consommerait 84 millions de litres d'eau en 2021, alors que l'entreprise avait annoncé une consommation de 12 à 20 millions de litres.
...mais impact environnemental délétère ?
Cette “sous-déclaration” n’est pas une première. Un schéma similaire s'est produit aux Pays-Bas. Les centres de stockage de données et d'informations Middenmeer, de la firme Microsoft, ont consommé jusqu'à sept fois plus d'eau que ce qui avait été prévu au lancement du projet.
Techniquement, l'eau est utilisée en abondance au sein des data centers afin de faire diminuer la température des serveurs ou d'autres installations électroniques présentes (ordinateurs, baies de stockage...).