Le premier ministre hongrois a déclaré que la Commission européenne avait soumis une proposition d’amendement budgétaire demandant aux États membres de payer des dizaines de milliards d’euros.
Orbán a également fait remarquer que l’UE demande plus d’argent aux États membres, alors qu’elle n’en est qu’à deux ans de son budget septennal. En d’autres termes, l’argent dont la dépense a été approuvée et qui était censé être disponible pour les cinq prochaines années a déjà été dépensé.
« La seule question que tout le monde se pose ici à Bruxelles est la suivante : Où est passé l’argent ? »
Le Forum NFC, principal organisme de normalisation de la technologie NFC, vient de dévoiler sa feuille de route technologique pour la période allant jusqu’en 2028. Cette feuille de route exhaustive comporte cinq initiatives clés qui offrent un aperçu unique de l’avenir de la NFC et mettent en évidence la direction de la technologie, ainsi que le développement prévu des produits, du marché et des opportunités commerciales pour les deux à cinq prochaines années. Élaborée de manière collaborative par les principaux membres du Forum, y compris des représentants de grandes entreprises technologiques comme Apple, Google, Huawei, Identiv, Infineon, NXP, Qualcomm, Sony et STMicroelectronics, ainsi que la communauté des 400 entreprises membres du Forum, cette feuille de route prévoit trois changements majeurs dans le paiement sans contact. On fait le point.
Ce grand homme a sauvé plusieurs milliers de vies d’enfants et d’adultes en France et en Égypte au début du 20e siècle en utilisant un sérum (Plasma marin) qui porte aujourd’hui son nom.
L’eau de Quinton est une solution liquide dont la composition se rapproche très fortement de celle de l’eau de mer. En effet, la mise au point de celle-ci résulte du travail de René Quinton (1866-1925), qui fit en 1897, le constat que notre plasma sanguin ainsi que les liquides qui entourent nos cellules avaient une composition très similaire a celle de l’eau de mer au niveau de la concentration en oligo-éléments et en minéraux exception faite de l’iode bien entendu.
Ceci pourrait aussi expliquer les excès de mortalité observés depuis le début des campagnes de vaccination.
L'enquête que nous vous présentons a débuté par une intrigante publication de l'ancien banquier suisse Pascal Najadi. L'auteur d'une plainte pénale pour abus de pouvoir contre le président de la Confédération Alain Berset est triplement vacciné et autant de fois remonté contre les autorités sanitaires depuis qu'une analyse de son sang lui a révélé que son corps continue de produire de la protéine spike vaccinale plus de 18 mois après sa dernière injection Pfizer/BioNTech.
Contacté, l'intéressé nous a fourni les résultats du laboratoire ainsi qu'une lettre du Prof. Sucharid Bhakdi confirmant que « les résultats des tests indiquent clairement que M. Najadi souffre d'effets irréparables à long terme provoqués par le produit ARNm injecté fabriqué par PfizerBiontech »
Les analyses sanguines du banquier révèlent la présence de protéine de pointe mais pas de capsules nanolipidiques que l'on trouve dans les injections. Pour le scientifique, ceci indique qu'il ne s'agit pas de protéine de pointe résultant de l'administration d'un « vaccin » mais qu'elle a été produite récemment par le corps du vacciné.
Quelques recherches plus tard, nous trouvons un avocat allemand, Me Tobias Ulbrich, représentant plusieurs clients qui ont également fait analyser leur sang pour arriver aux mêmes conclusions que Pascal Najadi : leur corps produit en permanence de la protéine de pointe, une substance toxique, et personne ne peut leur dire si et quand ça s'arrêtera.
06:15 – Prigojineries
12:10 – Gamelin Dourakovlev
16:10 – Quelles conséquences sur le MinDef russe ?
19:40 – Loukachenko en première ligne
20:35 – Dépression occidentale
22:25 – Armement
Drone lourd « Okhotnik »
Planeur hypersonique français
Démilitarisation de l’OTAN
25:35 – Considérations militaires
Crash test sanglant
SOS Zaloujny
La solution coréenne
28:44 – Carte des opérations militaires
Entre autres exploits, il a fait de tout l’Occident collectif un cul absolu, intergalactique, des grands médias – une fois de plus.
Il a rallié pratiquement tous les Russes pour mettre fin plus rapidement à l’opération militaire spéciale (OMS) ou à la « quasi-guerre » (selon certains milieux d’affaires).
Lui-même et le FSB ont dressé une liste impressionnante de traîtres et de membres des 5e et 6e colonnes, qui seront traités comme il se doit.
Et il jouit désormais d’une liberté illimitée pour déployer de facto des pouvoirs de loi martiale dans le cadre d’opérations antiterroristes (CTO).
Autant Poutine a aidé l’éternel Loukachenko en août 2020, empêchant un changement de régime en Biélorussie, autant le bon vieux Luka a empêché la Russie de sombrer dans la guerre civile en juin 2023.
Une vaste opération complexe de lutte contre le terrorisme est désormais en cours à Moscou et au-delà, tandis que les spécimens occidentaux de sous-zoologie sont stupéfaits, hébétés et confus : n’était-ce pas censé être le moment où Poutine rencontrait son tsar Nicolas II ?
Un premier coup d’œil sur l’échiquier nous apprend que toutes les pièces semblent tomber au bon endroit.
- Prighozin obtient un parachute doré en Biélorussie.
- Shoigu est peut-être sur le point d’être limogé, peut-être même Gerasimov (oui, il y a des couches profondément dysfonctionnelles au sein du ministère de la défense).
- Les musiciens de Wagner seront incorporés en tant que corps d’armée régulier.
- Ils peuvent continuer à faire des affaires en Afrique : la demande est énorme.
Que s’est-il réellement passé après Le jour le plus long ?
Des fonds considérables de la CIA ont peut-être changé de mains. Mais en fin de compte, le « coup d’État » pourrait s’avérer être la plus grande opération de trolling russe jamais réalisée contre l’Occident.
La mère de tous les Maskirovkas
Le légendaire analyste des cycles financiers et géopolitiques Martin Armstrong prévoyait le « chaos » en 2023, et c’est exactement ce que nous avons eu.
Son travail sur les cycles indique qu’il ne faut pas s’attendre à ce que la situation s’améliore de sitôt.
Armstrong explique : « Nous sommes au milieu d’un coup d’État… »
Armstrong prédit également que les néoconservateurs truqueront les élections de 2024 pour que Biden (ou un autre néoconservateur) obtienne un second mandat.
Armstrong dit aussi que les néoconservateurs essaieront de déclencher une guerre avant l’élection de 2024 pour que Biden gagne parce qu’un président en temps de guerre n’a jamais perdu une élection. Armstrong dit que la tricherie sera nécessaire parce que les vrais chiffres des sondages pour Biden sont à un chiffre et non pas les 40% de taux d’approbation que les médias menteurs de l’héritage vous disent. Armstrong affirme que le taux d’approbation de Biden est toujours bloqué à 9,5% avec son programme informatique Socrates, d’une précision redoutable, mais la grande raison pour laquelle Biden et son équipe doivent s’inquiéter est le chiffre réel de l’inflation.
C’est beau le Cash +, c’est le cash, mais en version plus… « plusse mieux » je suppose comme disent mes enfants.
Mais de vous à moi, à quoi va servir une telle monnaie « digitale » de banque centrale, puisque notre euro est en réalité très largement dématérialisé. Entre nos paiements en CB, le « sans contact » et les virements que nous nous faisons, les espèces ne représentent plus qu’une proportion très négligeable de nos échanges.
Alors de vous à moi, pour nous, le peuple, les PME, ou même les entreprises plus grandes, ce nouveau machin « cash+ » n’a strictement aucun intérêt est c’est plutôt « cache+ » car oui, on nous cache des choses !
Ces choses que l’on nous cache sont très faciles à comprendre et sont exprimées à demi-mots par le gouverneur de la banque de France.
Ce que l’on nous cache et ce dont on ne débat pas, tourne évidemment autour de la vie privée et surtout du contrôle et de la surveillance.
Selon les propos même du gouverneur de la Banque de France « le « Cash+ » apportera des avantages significatifs par rapport aux billets : il permettra à chacun d’utiliser la monnaie de banque centrale dans le e-commerce, pour les paiements à distance entre pairs (peer-to-peer), ainsi que pour les paiements conditionnels. »
Officiellement, vous le voyez, il s’agit de e-billets de banques que vous pourrez donc utiliser pour vos paiements en ligne. Des paiements en ligne que nous faisons aujourd’hui sans problème avec nos moyens de paiement actuel.
Encore une fois, cet e-billet, cette crypto-monnaie de banque centrale n’apporte strictement rien. Elle ne nous apporte rien ou si peu, qu’il ne faut surtout pas que nos autorités s’embêtent à ce point pour nous la mettre en place.
Alors si cela ne nous sert pas à grand-chose, mais qu’ils y tiennent beaucoup, c’est que les avantages ne sont pas forcément pour la population, mais pour les autorités monétaires et bancaires (sans oublier les autorités politiques), car à terme la suppression du cash physique c’est évidemment la diminution des coûts. C’est aussi la mise en place d’un contrôle monétaire rendant l’évasion fiscale quasiment impossible. C’est aussi dans une vision extrême, le volet monétaire d’un contrôle social potentiel comme en Chine. Votre porte-monnaie numérique, comme votre pass sanitaire pourront être désactivés, rechargés, ou limités. On pourrait même vous le supprimer.
Bref, les dérives potentielles sont telles que c’est un sujet qui mérite, bien évidemment, un débat démocratique et philosophique national.
Voici le texte du discours source Banque de France ici.
Avec Jacques Baud, ex membre des renseignements stratégiques Suisse, il a participé à des programmes pour l’OTAN en Ukraine entre 2014 et 2017, il a notamment écrit “Poutine, le maître du jeu ?” et “Opération Z” aux éditions Max Milo, et Xavier Moreau, historien et analyste politico-stratégique, directeur du site “Strat Pol”. Auteur de “Livre noir de la gauche française” et de “Ukraine : pourquoi la france s’est trompée ?” aux éditions du Rocher
La tentative de « coup d’État » d’Evgueni Prigojine peut-elle renverser le sort des armes en Ukraine ? C’était le souhait de l’Otan qui espérait ce soulèvement et a réveillé ses agents dormants en Russie. Le Royaume-Uni et les États-Unis entendaient réaliser enfin la partition du pays qu’ils n’avaient pas pu mener à terme en 1991.
La création de sociétés militaires privées (SMP), dont le Groupe Wagner, était une idée validée par le président Vladimir Poutine pour tester de nouvelles formes de commandement avant de les choisir et d’imposer les meilleures dans son armée. En quelques années, ces sociétés ont effectivement testé bien des méthodes et souvent prouvé leur efficacité. Le moment était venu de terminer la restructuration de l’armée russe en les dissolvant et en intégrant leurs forces dans l’armée régulière. Une date limite avait été fixée par le président Poutine : le 1er juillet. Le mois dernier, le ministère de la Défense a donc envoyé des projets de contrats aux différentes sociétés militaires privées pour planifier leur incorporation. Mais le Groupe Wagner a refusé d’y répondre et Evgueni Prigojine a intensifié ses insultes contre le ministre et le chef d’état-major.
Il faut bien comprendre ce qui se passe : la création de sociétés militaires privées par la Russie est l’équivalent de ce que les États-Unis ont fait, sous le secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld, lorsqu’ils ont multiplié le recours aux SMP en marge du Pentagone. Au début cela a fonctionné, mais ces sociétés ont aussi travaillé pour la CIA et le mélange des genres a abouti à des catastrophes en série. Lorsqu’elles ne travaillaient que pour le Pentagone, leurs dirigeants s’exprimaient en public, comme Erik Prince de Blackwater. Mais jamais ils n’ont pris position contre le secrétaire à la Défense ou contre le président du comité des chefs d’état-major.
Soit dit en passant, ni les soldats états-uniens de Blackwater, ni les russes de Wagner ne sont des mercenaires. Ils se battent pour leur pays et sont payés pour prendre des risques démesurés que l’on ne peut pas demander à des soldats réguliers. Au contraire, les mercenaires se battent pour de l’argent sous le commandement d’une puissance étrangère.
Une récente analyse financière indique que les citoyens américains retirent d’énormes sommes d’argent de leurs comptes bancaires. Selon les statistiques mises à jour du système de données économiques de la Réserve fédérale (FRED), pas moins de 79,16 milliards de dollars ont quitté les comptes bancaires américains entre le début du mois et le 7 juin. La fuite des dépôts est un véritable retournement de situation après deux semaines de flux entrants.
Une vague de retraits sans précédent
En fait, les États-Unis connaissent une véritable vague de retraits d’argent de leurs banques. En effet, l’année dernière a vu une somme vertigineuse de 803,73 milliards de dollars être retirée des comptes des clients. C’est un véritable record dans l’histoire de la finance américaine.
L’avenir est là, et si vous aimez être dominé par des fous du contrôle, vous allez l’adorer.
L’identification numérique est l’un des principaux domaines sur lesquels les mondialistes se concentrent actuellement et, comme vous le verrez ci-dessous, les changements radicaux qui sont actuellement proposés sont extrêmement effrayants. Mais la plupart des Américains n’ont aucune idée de ce qui se passe. Au lieu de cela, beaucoup d’entre eux sont obsédés par les drames relativement insignifiants que nos organes d’information corporatifs ne cessent de mettre en avant.
Pendant ce temps, les mondialistes atteignent leurs objectifs à la vitesse de l’éclair, et il n’y a pratiquement aucune résistance. Voici 8 signes qui montrent que le programme futuriste de contrôle des mondialistes progresse rapidement…