Ce plan, qui impose une identification obligatoire des utilisateurs et une surveillance des communications, suscite l’indignation de défenseurs des droits humains, d’entreprises comme ProtonMail et d’organisations telles qu’Amnesty International. Ces textes obligeraient la majorité des fournisseurs d’accès à Internet (FAI) à identifier systématiquement les utilisateurs au moyen d’un document officiel : carte d’identité, permis de conduire ou numéro de téléphone vérifié. Autrement dit, impossible de naviguer anonymement. Une attaque contre la vie privée qui pourrait redessiner le paysage numérique suisse.
Le gouvernement suisse tente d’imposer, via une réforme controversée, une surveillance généralisée des communications en ligne. Sous couvert d’ordonnances, ce projet obligerait les fournisseurs d’accès à identifier leurs utilisateurs et à stocker leurs données, menaçant gravement la vie privée. Ce projet est vivement dénoncé comme une attaque frontale contre les droits fondamentaux.
Un projet de surveillance massif
Le Département fédéral de justice et police a soumis à consultation deux ordonnances – l’OSCPT et l’OME-SCPT – visant à renforcer la surveillance des télécommunications. Ces textes prévoient notamment :
L’obligation pour les fournisseurs Internet d’identifier leurs utilisateurs via carte d’identité, permis de conduire ou numéro de téléphone.
La conservation des adresses IP pendant six mois, accessibles sous 24 heures aux forces de l’ordre.
L’affaiblissement des messageries chiffrées comme ProtonMail, contraintes de partager les métadonnées (qui communique avec qui, sans le contenu).
Cette réforme s’inscrit dans une tendance européenne (France, Royaume-Uni, Suède, Belgique) de restriction de l’anonymat en ligne, sous prétexte de sécurité. En optant pour une ordonnance plutôt qu’une loi, le gouvernement contourne le débat parlementaire et un éventuel référendum, limitant ainsi la transparence et la participation citoyenne. Le 8 mai dernier, la phase de consultation s’est clôturée. Plusieurs partis politiques ainsi qu’Amnesty International ont exprimé leur opposition ferme au projet, le qualifiant de « virage autoritaire ».
Une atteinte aux droits fondamentaux
Ce projet constitue une menace directe pour la vie privée, un droit garanti par la Constitution suisse et des traités internationaux comme la Convention européenne des droits de l’homme. Amnesty International Suisse dénonce une « surveillance généralisée » qui viole les principes de nécessité et de proportionnalité. Selon Illan Acher, expert en droits numériques chez Amnesty, ces mesures porteraient un « coup grave » aux défenseurs des droits humains, journalistes, avocats, médecins et lanceurs d’alerte, pour qui la confidentialité des communications est essentielle.
La conservation systématique des métadonnées, sans contrôle humain préalable ni recours effectif, rappelle des dispositifs déjà invalidés par la Cour de justice de l’Union européenne. En imposant de telles pratiques, la Suisse risque de créer un précédent dangereux, sapant sa réputation d’État de droit.
ProtonMail envisage de quitter la Suisse
Le fournisseur de messagerie sécurisée ProtonMail, symbole de la confidentialité numérique helvétique, menace de quitter le pays si ces ordonnances entrent en vigueur. Il dénonce la création d’un « État de surveillance », incompatible avec ses valeurs.
Ce départ serait un signal fort : la Suisse, longtemps perçue comme un refuge pour la vie privée numérique, pourrait perdre sa crédibilité internationale.D’autres acteurs, y compris des partis politiques, se sont opposés au projet lors de la consultation. Les critiques soulignent que ces mesures non seulement compromettent la vie privée, mais risquent aussi de décourager l’innovation dans le secteur technologique.
La Suisse n’est pas un cas isolé. Des projets similaires émergent en France, au Royaume-Uni, en Suède ou en Belgique, révélant une tendance globale à restreindre l’anonymat sur Internet. En effet la crise du COVID a donné l’occasion d’accélérer le passage, notamment en France, aux pratiques numériques qui, jusque-là, demeuraient à peu près confidentielles.Depuis la pandémie de Covid-19, les gouvernements justifient souvent ces mesures par des impératifs de sécurité. Cependant, comme le souligne Amnesty International, « la sécurité ne doit jamais se faire au prix des libertés fondamentales ».
Il est désormais évident pour elle, comme pour tous ceux qui s’intéressent à cette région depuis 80 ans, que les sionistes révisionnistes sont les ennemis de la paix et donc aussi ceux d’Israël.
e principal obstacle que rencontre Donald Trump dans ses négociations de paix, aussi bien face à l’Iran que face à l’Ukraine, c’est le rôle des « sionistes révisionnistes » aujourd’hui au pouvoir en Israël. J’ai présenté en détail et preuve à l’appui, il y a deux semaines, les pressions qu’ils exercent sur Washington pour faire échouer les discussions avec Téhéran. Je n’ai pas abordé dans ma chronique sur Voltairenet.org leurs pressions en faveur des « nationalistes intégraux » ukrainiens, celles-ci ne sont devenues publiques que le 3 mai, avec les déclarations emphatiques de Natan Sharansky en faveur de Volodymyr Zelensky. J’avais déjà expliqué pourquoi et comment ces deux groupes avaient fait alliance, en 1921, contre les bolcheviks et contre de nombreux juifs ukrainiens, ce qui provoqua une enquête de l’Organisation sioniste mondiale et la démission de Vladimir Jabotinsky de son conseil d’administration. Cette affaire est aujourd’hui sous-estimée par les historiens juifs qui répugnent à étudier le massacre de juifs par d’autres juifs. Il existe cependant des exceptions comme les travaux de Grzegorz Rossoliński-Liebe. Sharansky empêche lui-même les historiens d’étudier le sujet en présidant le Centre de commémoration de l’Holocauste de Babi Yar (l’assassinat par balles de 33 771 juifs, les 29 et 30 septembre 1941, par les Einsatzgruppen et les « nationalistes intégraux » deux semaines après le transfert de Stepan Bandera de Kiev à Berlin).
Et n’oublions pas les contacts des « sionistes révisionnistes » avec Adolf Eichmann jusqu’à la prise de Berlin par l’armée rouge, le 2 mai 1945.
Alors que le Premier ministre israélien de l’époque, Naftali Bennett, avait au début de l’opération spéciale russe en Ukraine appelé Volodymyr Zelensky à reconnaître les justes exigences de Moscou de « dénazifier l’Ukraine », et que le ministre israélien de la Défense, Benny Gantz, avait déclaré que, lui vivant, jamais Israël ne donnerait d’armes aux « massacreurs de juifs ukrainiens », l’actuel Premier ministre, Benyamin Netanyahou, a autorisé l’industrie d’armement israélienne à exporter sa production vers l’Ukraine.
En 2022, le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, avait déclaré : « Et si Zelensky était juif ? Ce fait ne nie pas les éléments nazis en Ukraine. Je crois qu’Hitler avait aussi du sang juif. Cela ne signifie absolument rien. Le peuple juif dans sa sagesse a dit que les antisémites les plus ardents sont généralement des juifs. Chaque famille a son mouton noir, comme on dit ». Yaïr Lapid lui avait alors répondu : « Ces remarques sont à la fois impardonnables et scandaleuses mais aussi une terrible erreur historique. Les Juifs ne se sont pas entretués pendant la Shoah. Le plus bas niveau du racisme contre les Juifs est d’accuser les Juifs eux-mêmes d’antisémitisme ». Ne nous y trompons pas : l’Histoire n’est pas faite de communautés bonnes ou méchantes, mais d’hommes qui, chacun d’entre eux, peuvent se comporter de diverses manières. Ouvrons les yeux !
Le promoteur immobilier Steve Witkoff, devenu envoyé spécial de son ami Donald Trump au Moyen-Orient élargi, est de culture juive. Il a parfaitement compris ce que le président vladimir Poutine lui a dit à propos des« sionistes révisionnistes » en Israël et des « nationalistes intégraux » en Ukraine, au point que les Occidentaux l’ont accusé de reprendre le narratif russe.
Revenons à notre sujet. Donald Trump est président des États-Unis ; un pays dont le mythe fondateur affirme qu’il fut fondé par les « pères pèlerins », ayant fui le « pharaon » d’Angleterre, ayant traversé l’Atlantique comme les Hébreux traversèrent la mer Rouge, et ayant installé une colonie à Plymouth, comme les Hébreux fondèrent la « Terre promise ». Tous les États-uniens célèbrent ce mythe le jour de Thanksgiving. Tous les présidents des États-Unis, sans aucune exception, de George Washington à Donald Trump lui-même, y ont fait référence dans leurs discours officiels. L’alliance entre Washington et Tel-Aviv n’est donc pas discutable. Il se trouve que, les États-Unis, ce pays où prolifèrent des sectes, qui célèbre la liberté de religion, mais pas la liberté de conscience et dénonce, sans la comprendre, la laïcité française, dispose d’un mouvement « chrétien sioniste ». Il s’agit de chrétiens qui assimilent l’Israël biblique à l’État d’Israël actuel. Or, ce mouvement a massivement voté pour Donald Trump et celui-ci s’en trouve débiteur. Une fois devenu président, il a désigné le pasteur Paula White (par ailleurs liée aux « impérialistes japonais ») comme directrice de l’Initiative Foi et Opportunité de la Maison-Blanche.
Quoi qu’il en soit, si personne aux États-Unis ne peut remettre en question l’alliance avec Israël, cela n’implique aucunement de soutenir les « sionistes révisionnistes » aujourd’hui au pouvoir à Tel-Aviv.
Abdul-Malik al-Houthi et ses hommes ont résisté. Ansar Allah a continué à attaquer les navires israéliens pour soutenir les civils gazaouis. Il a, par ailleurs, signé un accord de libre-circulation avec les États-Unis.
Lentement, le président Donald Trump dissocie Israël de la personne de Benyamin Netanyahou. Le recevant à la Maison-Blanche alors qu’il faisait l’objet d’un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale, il a fait proclamer par son secrétaire d’État, Marco Rubio, que son administration était la plus pro-israélienne de l’histoire. Ce faisant, il s’est opposé fermement au plan Netanyahou d’interruption de l’accord de paix signé avec le Hamas et, au contraire, d’occupation militaire de la bande de Gaza. Il est allé jusqu’à prétendre que les armées états-uniennes (non pas israéliennes) allaient prendre le « contrôle » de ce territoire. Constatant que ses provocations sont sans effet sur Tel-Aviv, le président Donald Trump vient de franchir un pas décisif : sans en avertir son allié israélien, il a négocié une paix séparée avec Ansar Allah au moment même où ce mouvement yéménite bombardait l’aéroport Ben Gourion de Tel-Aviv.
Rétablissant la division entre le Yémen du Nord et le Yémen du Sud, Ansar Allah, le mouvement dirigé par la famille Houthi (d’où son surnom péjoratif occidental de « bande des Houthis » ou de « Houthis »), est parvenu à mettre fin à la guerre avec l’aide de l’Iran, puis à porter secours aux civils palestiniens, en bombardant en mer Rouge les navires israéliens ou liés à Israël. Le Conseil de sécurité des Nations unies n’a jamais condamné ces attaques, mais uniquement les perturbations de la liberté de navigation des navires non-liés au conflit gazaoui. Méprisant les Nations-unies, les États-Unis et le Royaume-Uni ont d’abord créé une coalition militaire pour répliquer à Ansar Allah et secourir les Israéliens pendant le massacre des civils gazaouis. Ils ont visé des cibles militaires sans résultats significatifs (toutes les cibles militaires yéménites étant enfouies sous terre), puis ils ont visé des personnalités politiques, tuant collatéralement de nombreux civils.
Les Anglo-Saxons ont continué à accuser l’Iran de soutenir militairement Ansar Allah, en faisant de Téhéran un acteur de la guerre actuelle. Or, le général Qassem Soleimani (assassiné sur ordre de Donald Trump, le 3 janvier 2020) avait aidé Ansar Allah à se réorganiser pour qu’il puisse fabriquer lui-même ses armes et continuer sa guerre sans l’aide de l’Iran. Celui-ci a eu beau répéter ne plus être impliqué au Yémen, les Anglo-Saxons considèrent toujours Ansar Allah comme un « proxy » de l’Iran, ce qui est aujourd’hui absolument faux.
Il convient maintenant de comprendre la manière dont Donald Trump appréhende les conflits au « Moyen-Orient élargi ». Il entend contraindre par la force les groupes qui conduisent des guerres, qu’ils aient raison ou tort dans ces conflits, à cesser leurs opérations militaires. Mais il ne souhaite pas entrer en guerre contre l’un ou l’autre. Puis, il espère négocier des compromis pour établir des paix justes et durables. Il a donc fait assassiner le général Qassem Soleimani en 2020, juste après avoir fait assassiné le calife de Daesh, Abou Bakr al-Baghdadi. Il a autorisé des opérations contre Ansar Allah et vient d’y mettre fin lorsqu’il a réalisé que ce n’était pas un groupe terroriste, mais un pouvoir politique légitime administrant un État non encore reconnu. Il a autorisé des livraisons d’armes à Israël pendant le nettoyage ethnique de Gaza, mais a commencé à soutenir le mouvement pacifiste au sein des Forces de Défense israéliennes (FDI) de sorte qu’aujourd’hui les « sionistes révisionnistes » n’ont plus les moyens de massacrer les Gazaouis et se replient sur leur siège visant à les affamer.
Il faut donc évaluer l’accord séparé conclu avec Ansar Allah comme une rupture de l’alignement de Washington sur Tel-Aviv et un pas vers l’accord avec Téhéran. Lorsque, à la mi-mars, Tel-Aviv a perçu le possible retrait des États-Unis — il n’avait pas envisagé de paix séparée —, il s’est lancé à nouveau dans une surenchère et a attaqué 131 fois le Yémen.
L’États-uno-Israélien Ron Dermer, un très proche de Natan Sharansky avec qui il a écrit un livre, est devenu ambassadeur d’Israël à Washington et aujourd’hui ministre des Affaires stratégiques. À ce titre, il est le principal responsable des plans d’annexion de Gaza et du massacre des populations civiles. Réagissant à la paix séparée états-uno-yéménite, ce sioniste révisionniste s’est rendu le 8 mai à la Maison-Blanche où il a été reçu « à titre privé » par Donald Trump. La séquence s’est très mal passée : il a tenté de dire au président Trump ce qu’il devait faire. Celui-ci l’a immédiatement remis à sa place.
L’éditorialiste du New York Times, Thomas Friedman, a écrit le lendemain, le 9 mai : « Je ne doute pas que, d’une manière générale, le peuple israélien continue de se considérer comme un allié inébranlable du peuple états-unien - et vice versa. Mais ce gouvernement israélien ultranationaliste et messianique n’est pas l’allié des États-Unis […] Nous pouvons continuer à ignorer le nombre de Palestiniens tués dans la bande de Gaza — plus de 52 000, dont environ 18 000 enfants — à remettre en question la crédibilité des chiffres, à utiliser tous les mécanismes de répression, de déni, d’apathie, de distanciation, de normalisation et de justification. Rien de tout cela ne changera le fait amer : ils les ont tués. Nos mains l’ont fait. Nous ne devons pas fermer nos yeux. Nous devons nous réveiller et crier haut et fort : arrêtez la guerre ».
Steve Witkoff ne s’en est pas laissé compter par Benyamin Netanyahou. De retour à Washington, il a mis en garde son ami, le président Donald Trump, face au fascisme historique des « sionistes révisionnistes ».
Par ailleurs, le président Donald Trump a prévu de rencontrer les dirigeants de l’Arabie saoudite, des Émirats arabes unis et du Qatar, cette semaine, mais il ne rencontrera pas Benyamin Netanyahou. Le secrétaire à la Défense, Pete Hegseth, a également annulé un voyage prévu en Israël au même moment, renforçant ainsi le message du président.
Reuters a révélé, le 8 mai, que, désormais, Washington, en négociant avec Mohamed ben Salmane (MBS), le prince héritier d’Arabie saoudite, ne posait plus la reconnaissance d’Israël comme condition préalable à tout accord. Si ce fait était confirmé, cela signifierait que reconnaître que l’État hébreu est devenu un État raciste juif ne serait plus un délit en Occident.
Début mars, on apprenait que le président Donald Trump, sans se coordonner avec Israël, avait autorisé Adam Boehler, son négociateur pour la libération des otages états-uniens à nouer un contact direct avec le Hamas, pourtant toujours considéré officiellement comme une « organisation terroriste ». Le 12 mai, ce changement d’attitude était récompensé par l’annonce de la libération de l’États-uno-Israélien, Edan Alexander, enlevé alors qu’il portait les armes, le 7 octobre 2023. Par ailleurs, début mai, la rumeur d’une possible reconnaissance par les États-Unis de l’État de Palestine lors du voyage de Donald Trump à Riyad, se répandait comme une traînée de poudre.
Ce qui vient de se passer en France relève moins d’une opération de sécurité que d’un scénario de roman dystopique. Pierre Jovanovic, écrivain et journaliste indépendant, a révélé avoir été la cible d’une intervention spectaculaire des forces de l’ordre : GIPN, BAC, commissaires, pompiers, agents de la préfecture… tout un arsenal d’État mobilisé au cœur de la nuit, prétendument pour « sauver sa vie ».
En réalité, l’intervention a visé à la fois son domicile personnel et sa maison d’édition, Le Jardin des Livres, dans ce qui s’apparente de plus en plus à une tentative d’intimidation. L’objectif officieux ? Faire taire un homme qui dérange — et empêcher la sortie de son prochain livre, « 2008 », attendu comme une véritable bombe éditoriale.
Une mise en scène de force digne d’un film, pour museler un auteur Alors que l’écrivain dénonçait depuis des mois les dérives du pouvoir et les abus du système financier mondial, voilà qu’il devient lui-même la cible d’un appareil d’État manifestement nerveux. Les forces spéciales françaises ne sont censées intervenir que dans des cas de prise d’otage, de terrorisme ou de menaces majeures à l’ordre public.
« Même durant l’Occupation, les nazis n’avaient pas osé perquisitionner une maison d’édition la nuit », ironise Jovanovic, dans sa revue de presse hebdomadaire, diffusée sur son propre site.
Le livre de tous les dangers ? Intitulé « 2008 », le nouveau livre de Pierre Jovanovic promet de revenir en profondeur sur l’effondrement bancaire de 2008 et ses conséquences jusqu’à aujourd’hui. Le contenu dérange-t-il à ce point les sphères de pouvoir pour justifier une opération aussi spectaculaire que juridiquement floue ?
Maître Carlo Brusa, avocat engagé contre les dérives autoritaires, a pris en charge l’affaire. De son côté, l’écrivain ne cède rien : « Ils peuvent venir défoncer les portes, mais ils ne feront pas taire ma plume. » Le livre sortira comme prévu.
Le prochain best-seller À défaut de faire taire un homme de foi, le système ne fait que renforcer sa détermination. Car Pierre Jovanovic n’est pas seulement un journaliste : c’est un croyant engagé, animé par une conviction inébranlable. Et s’il n’a pas fléchi face aux menaces, ce n’est pas demain qu’il pliera devant les intimidations.
Le livre « 2008 », dont ils ont voulu empêcher la sortie, n’en sera que plus attendu, plus lu, plus diffusé. À ce rythme, il risque bien de devenir un énième best-seller, porté par la colère populaire et la curiosité d’un public de plus en plus méfiant envers les pouvoirs en place. Procurez-vous le livre « 2008 » en précommande dès maintenant ici : 2008
Un écrivain soutenu par la presse indépendante et les citoyens éveillés
Loin d’être isolé, Pierre Jovanovic reçoit un soutien massif des médias alternatifs — comme Le Média en 4-4-2 —, des citoyens engagés et de nombreuses personnalités qui refusent de voir la liberté d’expression piétinée.
« Le Média en 4-4-2 a eu Pierre au téléphone. Il reste serein et déterminé malgré les circonstances. Il nous a expliqué qu’il fait face à la situation avec calme et résilience, prenant chaque décision avec soin. Sa détermination se reflète dans les actions qu’il entreprend pour résoudre le problème. Bien qu’il soit conscient de la difficulté de la situation, il reste focalisé sur ses objectifs et sur la manière de les atteindre, sans se laisser submerger par les défis. »
Singapour est intéressant (5,91 millions d’habitants, tous citadins par définition).
Why ?
Une société très riche (la Suisse de l’Asie du Sud-Est) et organisée au cordeau, propre et OBÉISSANTE.
L’ordre règne à Singapour.
Autre particularité : c’est un melting pot ethnique et religieux. Du malais, du chinois, du blanc, de l’indien. Mais tous se tiennent à carreau, car les systèmes policier et judiciaire sont… performants. Et impitoyables.
Un graffiti sur un mur, un chewing-gum ou un mégot de cigarette jeté au sol et c’est une amende salée immédiate voire des coups de canne (eh oui, une de leur spécialité héritée des british !).
Donc une société ultra sécurisée.
Personne ne s’amuse à foutre le bordel. Personne ne s’avise à emmerder le monde. Brûler des voitures, violer des femmes dans la rue, poignarder des passants… ça n’existe pas. Fin de la parenthèse (qui devrait faire office de recette pour les débiles mentaux européens, mais bien entendu ils sont incapables de comprendre).
Donc une plaque tournante à la fois d’hommes et de pognon en Asie… C’est une fenêtre extraordinaire sur le «Covid». Ainsi que sur les injections «Covid». À la différence des autres pays de la région, Singapour a pu s’offrir… les poisons ARNm (en Thaïlande, Pfizer était réservé exclusivement aux très riches).
Voici son graphique et ensuite je colle le mien. Elle travaille sur 12 mois glissants (sommes des décès de mars 2025 à avril 2024, et ainsi de suite).
Moi, je suis plus psychorigide, je compare le premier trimestre 2025, au premier trimestre 2024, etc.
Première constatation
Elle est fondamentale et elle s’applique à TOUS LES PAYS DE LA RÉGION : il ne s’est RIEN PASSÉ en 2020.
Oui bien sûr, de l’hystérie, des mesures absurdes, de la peur délibérément entretenue… Sans oublier quelques vieillards déjà malades achevés avec de la ventilation mécanique (préconisée par la Chine). Mais aucune «pandémie» tuant femmes, enfants, nourrissons, chats, chiens et oiseaux.
Je répète : PEAU DE BALLE.
Ça la fout mal pour une «pandémie» épouvantablement horrible… Personne n’a osé reconnaître ce fait extravagant et encore moins apporter une ou des explications satisfaisantes…
Deuxième constatation
On voit que jusqu’en 2020, les décès suivent une courbe ascendante régulière. La population vieillit de manière pépère, donc mécaniquement, davantage de Singapouriens décèdent, chaque année.
C’est parfaitement normal. La mort étant le principal effet secondaire délétère… de l’âge.
En revanche, on voit clairement le «changement de vitesse»… à partir de 2021.
Cela se voit comme une tumeur qui clignote sur un nez aviné.
Que s’est-il passé en 2021 ? Une éclipse du soleil ? Les ondes négatives du méchant Poutine et de Orange Man Bad ? Le réchauffement climatique ? Ou alors les Singapouriens se sont tous mis à manger du McDonald et à fumer 2 paquets de Gitane par jour, tout en sniffant le pot d’échappement de leurs véhicules diesel ?
Non. Ne rêvez pas.
Le seul VÉRITABLE changement ponctuel, factuel et très large : les injections ARNm (1 et 2 doses en 2021 et le booster fin 2021 ou début 2022).
Singapour a massivement injecté : fin novembre 2021, 85% de la population avaient reçu 2 doses (source officielle) !
Et Singapour a massivement utilisé Pfizer et Moderna. Le produit chinois ne pèse que 4,7% des injections totales. Ridicule (alors que comme je le disais, en Thaïlande, c’est l’inverse… on a eu principalement l’Astra Zeneca local, autre catastrophe, et 2 produits chinois).
Troisième constatation
...
Entre amendements rejetés, délit d’entrave et conflits d’intérêts inavouables, ce dossier révèle une dérive qui a débuté avec l'administration de RIvotril à des personnes âgées qui auraient pu être soignées au lieu d'être entraînées vers la mort par étouffement.
Un texte flou, des dangers concrets
Le projet de loi, présenté comme une avancée humaniste, repose sur des formulations volontairement vagues. Les termes « phase avancée ou terminale », retenus pour définir les conditions d’accès à l’euthanasie, ne correspondent à aucun consensus médical. Pire : des amendements visant à encadrer strictement la pratique – comme l’obligation d’un avis psychiatrique ou l’exclusion des souffrances psychiques – ont été systématiquement rejetés en commission. Cette imprécision calculée laisse la porte ouverte à des dérives effrayantes : demain, un diabétique en phase compliquée ou un adolescent éco-anxieux pourraient-ils se voir proposer une mort « médicalisée » sous prétexte de « souffrance » ?
Censure et délit d’entrave : la liberté en péril
L’article 17 du texte instaure un « délit d’entrave à l’aide à mourir » puni d’un an de prison et de 15 000 euros d’amende. Concrètement, dissuader un proche – même mineur ou dépressif – de recourir à l’euthanasie deviendra un délit. Cela reviendra à tomber dans le crime de non-assistance à personne en danger ou de la non-prévention du suicide selon le code pénal. Respecter la nouvelle loi sur l’euthanasie fera de vous un criminel. Et pourtant un médecin refusant de pratiquer l’injection létale par conscience professionnelle , un parent tentant de raisonner un enfant suicidaire, pourront tous être poursuivis. Cette logique rappelle sinistrement la loi scélérate contre les dérives sectaires de l’ère Covid, où remettre en cause le discours officiel valait trois ans d’emprisonnement et 375 000 euros d’amende. Sauf qu’ici, l’enjeu n’est plus un « vaccin », mais la vie elle-même.
Franc-maçonnerie aux manettes : un conflit d’intérêts flagrant
Comment expliquer une telle opacité ? Peut-être par le rôle central d’Olivier Falorni, rapporteur général du texte… et membre d’honneur de l’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité (ADMD), historiquement liée à la franc-maçonnerie. Fondée par Pierre Simon – ancien grand maître du Grand Orient et promoteur de l’avortement – cette organisation milite depuis des décennies pour la légalisation de l’euthanasie. Emmanuel Macron lui-même a salué « l’engagement » des francs-maçons sur ce sujet lors d’un discours récent. Coïncidence ? Dans une démocratie saine, un tel mélange des genres aurait déclenché un scandale. De plus c’est le même Olivier Forlani qui, lors de la période Covid, a posé une question écrite à l’Assemblée le 13 octobre 2020 pour une administration sans restriction de Rivotril pour une « sédation profonde et continue » des personnes âgées. En toute compassion…
Refusant de prendre parti pour l’un ou l’autre camp, il s’est trouvé plongé dans un conflit vieux d’un siècle entre deux frères ennemis ; un conflit que ses prédécesseurs, Barack Obama et Joe Biden, ont alimenté et instrumenté. Il doit donc éclairer ses concitoyens avant de pouvoir débloquer la situation.
près avoir examiné les négociations du président Donald Trump avec l’Iran, nous étudions ici ses négociations avec l’Ukraine. Malheureusement, nous ne disposons pas des documents des « nationalistes intégraux » ukrainiens comme nous avons ceux des « sionistes révisionnistes » israéliens. C’est que l’Ukraine actuelle est véritablement une dictature militaire, tandis qu’en Israël, l’armée est encore le garant de ce qu’il reste de la démocratie face aux « sionistes révisionnistes » de Benyamin Netanyahou.
Le dossier ukrainien est très différent du dossier iranien en ce que les États-Unis n’ont pas de mythes communs avec ce pays comme ils en ont avec Israël. Au Moyen-Orient, le président Donald Trump tente de négocier une paix juste et durable tout en préservant les intérêts d’Israël (et non pas ceux des « sionistes révisionnistes » favorables au Grand Israël). En Ukraine, il refuse de prendre parti pour l’un ou l’autre et s’en tient à une position de stricte neutralité, tandis que ses prédécesseurs, Barack Obama et Joe Biden avaient conclu un accord secret avec les « nationalistes intégraux » contre la Russie. Ici aussi, il doit découvrir la réalité, mais cette fois, il doit en faire prendre conscience à sa propre administration avant de pouvoir conclure quoi que ce soit.
La mise au point de Donald Trump
Le 3 février, les services de Renseignements extérieurs russes (SVR) accusaient l’OTAN de préparer la diffusion de trois informations surprenantes :
• 1,5 milliard d’euros destiné à l’achat de munitions a été détourné par la présidence ukrainienne ;
• 130 000 soldats ukrainiens, morts au combat, continuent pourtant de toucher leurs soldes et de figurer sur les listes électorales ;
• le président non-élu Zelensky a cédé —et non pas vendu— des biens immobiliers à des sociétés étrangères et des compensations lui ont été discrètement versées sur des comptes à l’étranger.
En réponse, le 7 février, le président non-élu Volodymyr Zelensky donnait une interview à Reuters. Il y affirmait que son pays possédait quantité de « terres rares » et proposait de les exploiter avec les Alliés.
Contrairement à leur nom, les « terres rares » ne sont pas « rares » dans le monde, c’est leur raffinage qui l’est. Elles sont indispensables aux nouvelles technologies, civiles et surtout militaires.
Le secrétaire au Trésor, Scott Bessent, s’est alors rendu à Kiev pour présenter un projet de traité de cession des sous-sols ukrainiens à titre de compensation pour les armes états-uniennes livrées durant la guerre. Il a été fraîchement accueilli par le président non-élu, les armes ayant été données et non pas vendues à terme comme cela avait été initialement envisagé (prêt-bail).
Nous avons tous assisté avec stupéfaction à l’algarade qui opposa le président Donald Trump et son vice-président JD Vance à leur homologue ukrainien non-élu, Volodymyr Zelensky, le 28 février 2025, lors de sa réception dans le bureau ovale de la Maison-Blanche.
L’entrevue s’est terminée sans la signature de l’accord de Scott Bessent prévu sur l’exploitation des « terres rares ». On retiendra que le président non-élu Zelensky a tenté plusieurs fois de placer son narratif, selon lequel la Russie avait envahi l’Ukraine pour l’annexer ; un narratif qui était jusque-là soutenu par l’OTAN. Tandis que ses hôtes l’ont accusé de mener une « tournée de propagande » et, devant ses dénégations, lui ont demandé de respecter l’administration qui essaie d’empêcher la destruction de son pays.
Alors que le Royaume-Uni et des membres de l’UE (sauf la Slovénie et la Hongrie) se réunissaient autour de Volodymyr Zelensky, Washington suspendait, le 5 mars, son partage de Renseignements militaires avec Kiev. Se trouvant soudain plongé dans le noir, Kiev reculait, tout en essayant de ralentir son retrait. En quatre jours, il est apparu que, sans les Renseignements militaires états-uniens, ni les armées ukrainiennes, ni les armées alliées ne pouvaient plus vaincre. Ce choc a profondément remué ces dernières qui se sont alors plusieurs fois réunies pour se concerter sur ce qu’elles devaient faire pour retrouver leur efficacité.
Une période d’incertitude
Après le grave incident de la Maison-Blanche, l’Ukraine a tenté de remplacer l’appui des États-Unis par celui de l’Union européenne, du Royaume-Uni et du Canada. Cependant, ceux-ci n’ont pas de moyens comparables à ceux de l’Oncle Sam.
Le président Donald Trump a joué le chaud et le froid en laissant les Européens au sens large discuter ensemble de ce qu’ils pouvaient faire seuls. Dans un premier temps, il a défendu la représentativité du président Volodymyr Zelensky face à la Russie qui lui reprochait de ne pas avoir organisé d’élections et d’occuper sans droit, ni titre, la présidence ukrainienne depuis la fin de son mandat, en mai 2024. Par conséquent, Moscou faisait valoir que tout accord de paix signé par un dirigeant non-élu pourrait être considéré comme nul et remis en question.
Les Ukrainiens ont fait remarquer au président Trump que leur Constitution empêche la tenue d’élections en période de loi martiale. Mais Donald Trump a été informé par Steve Witkoff que Volodymyr Zelensky reconduisait la loi martiale de trois mois en trois mois pour ne pas organiser d’élections. Il a alors commencé à chercher d’éventuels candidats pour le remplacer et a découvert que la plupart des soldats morts au combat figuraient encore sur les listes électorales. Des élections sont donc impraticables en l’état. La Russie a proposé de les organiser sous la responsabilité des Nations unies. La question n’a pas été tranchée.
Accordant un entretien au Figaro, le président non-élu Volodymyr Zelensky déclarait : « La deuxième motivation [qui me fait tenir], c’est la haine des Russes qui ont tué tant de citoyens ukrainiens. Je sais bien qu’en période de paix, il n’est pas poli d’utiliser ce mot. Mais quand on est en guerre, quand on voit des soldats rentrer sur son territoire et tuer des personnes innocentes, je vous le promets, on peut ressentir cette haine. »
Il a tenu de nombreuses fois des propos similaires, disant qu’il « hait les Russes ». Lorsqu’on lui demande de préciser s’il cherche à dire qu’il hait Vladimir Poutine, il répond, « Non, tous les Russes ! ». Ce faisant, il reprend à son compte le discours des « nationalistes intégraux ». Leur fondateur, Dmytro Dontsov, assurait que les Ukrainiens sont nés pour anéantir la culture et le peuple moscovite ; principe qu’il a mis en œuvre avec ses alliés nazis à la tête de l’Institut Reinhard Heydrich.
Loin d’être un élément de propagande, l’accusation russe de nazification de l’Ukraine est une réalité.
Le président Trump avait secrètement envoyé son ami Steve Witkoff, par ailleurs envoyé spécial pour le Moyen-Orient, discuter d’un premier échange de prisonniers avec Kirill Dmitriev à Saint-Petersbourg, début avril. Durant leur discussion, Dmitriev se présenta comme le patron du fonds d’investissement direct russe, mais aussi comme un Russo-Ukrainien intéressé par les efforts de l’Administration Trump. Ayant rapidement conclu un premier échange, il organisa, en plus, une entrevue inopinée avec le président Vladimir Poutine, le 11 avril. Celui-ci présenta à Witkoff la version russe du conflit. Ce dernier l’écouta avec attention et vérifia immédiatement les informations. Revenu à Washington, il exposa au président Trump l’ampleur de la maldonne : les présidents démocrates Barack Obama et Joe Biden avaient bien conclu un accord avec des néo-nazis pour s’emparer de l’Ukraine. Ces derniers ont persécuté les Ukrainiens russophones. La Russie n’a pas envahi le pays pour l’annexer, mais a appliqué la résolution 2202 du Conseil de sécurité (les accords de Minsk) dont elle s’était portée garante. Au lieu d’aider, fidèles aux démocrates Barack Obama et Joe Biden, l’Allemagne et la France qui s’étaient également portées garantes de l’application de la résolution 2202, avaient consciemment accusé la Russie d’envahir l’Ukraine.
Donald Trump, qui connaissait personnellement Witkoff depuis longtemps et lui faisait confiance, avait instantanément compris la manipulation des démocrates. Comme il avait observé l’attitude de Zelensky contre lui, durant le Russiagate, et son engagement dans la campagne électorale de Biden-Harris, il se forgea rapidement de nouvelles convictions.
Le 14 avril, le président Donald Trump adopta la version Witkoff et déplora que Zelensky ait déclenché la guerre, déclarant : « Vous ne commencez pas une guerre contre quelqu’un 20 fois supérieur et espérez ensuite que des gens vous donneront des missiles ». Le 17 avril, il transmit aux deux parties une proposition de paix que l’Ukraine rejeta et que la Russie prit avec des réserves.
Il reste quatre points de désaccord entre les États-Unis et la Russie :
• Moscou continue à bombarder des cibles militaires en zones civiles durant les négociations. Depuis les conférences de La Haye (1899 et 1907), il est admis que les nations civilisées ne placeront pas d’installations militaires au milieu des civils, les Ukrainiens cependant utilisent leur propre population comme « bouclier humain ». Identiquement, il est admis que, durant des négociations, les deux parties veillent scrupuleusement à ne combattre que des militaires, la Russie a donc tort, elle aussi.
• Washington n’accepte la démilitarisation de l’Ukraine que si des forces étrangères peuvent y assurer la sécurité. Moscou propose donc le déploiement de Casques bleus des Nations unies, tandis que les Alliés exigent de se déployer eux-mêmes. Mais, au vu des épisodes précédents, Moscou considère qu’ils ne veilleront pas à la paix, mais continueront la guerre.
• Moscou entend conquérir la totalité des oblasts ayant voté pour leur adhésion à la Fédération de Russie, alors que Washington considère que les quelques zones non occupées de ces oblasts doivent rester ukrainiennes, les frontières définitives devant être celles du cessez-le-feu.
L’Ukraine organise depuis plusieurs années une manifestation annuelle internationale pour réaffirmer sa souveraineté sur la Crimée, annexée par la Russie, en 2014. Or, lors de l’effondrement de l’Union soviétique, la Crimée avait proclamé son indépendance avant l’Ukraine. Moscou avait continué durant plusieurs années à y payer les fonctionnaires et les retraites jusqu’à ce que le président Boris Eltsine abandonne ce territoire coûteux et que la Crimée accepte de rejoindre l’Ukraine. En 2014, lorsque les « nationalistes intégraux » renversèrent le président élu, la Crimée vota une seconde fois son indépendance, puis son rattachement à la Fédération de Russie. Le président Donald Trump considère ce rattachement comme légal pour deux raisons : d’une part, il s’est agit d’un référendum conforme au droit international et, d’autre part, l’Ukraine n’y a pas fait obstacle à l’époque.
• Kiev entend que la centrale nucléaire de Zaporijjia et le barrage hydroélectrique de Kakhovka, indispensable au refroidissement de la centrale nucléaire, lui soient remis, ce à quoi Moscou s’oppose fermement. Cette revendication contredit le point précédent, puisque ces deux ouvrages sont aujourd’hui contrôlés par la Russie. Selon l’Agence internationale de l’Énergie atomique (AIEA), au début de la guerre, la centrale de Zaporijjia abritait un incroyable stock de plutonium et d’uranium enrichi, accumulé en violation des traités internationaux. La Russie, considérant la centrale comme un objectif prioritaire, l’a prise dès le début de son opération militaire spéciale. Elle est parvenue à récupérer les matières fissiles et à en transférer une partie sur ce qui était à l’époque le territoire russe. De nombreux combats ont eu lieu alors, laissant à penser que tout n’avait pas été enlevé.
Lors des funérailles du pape François, à Rome, le 26 avril, les présidents Trump et Zelensky se rencontraient une nouvelle fois, dans la basilique Saint-Pierre, durant un quart d’heure. Il semble qu’ils convinrent de repartir sur un autre pied ; les États-Unis et l’Ukraine mettant de côté tout ce qui a précédé. Ils ne parleraient plus de guerre, mais d’une trêve d’un mois, et s’engageraient ensemble dans la reconstruction. Bien sûr cette réconciliation ne règlerait pas grand-chose, mais elle permettrait d’envisager la suite sous un nouvel angle.
Échaudée par le non-respect de la résolution 2202 autant que par celui de la récente trêve pascale, la Russie s’est immédiatement dite opposée à une trêve prolongée. Elle a, au contraire, annoncé unilatéralement une interruption des combats à l’occasion de l’anniversaire de la victoire sur le nazisme, le 9 mai ; un affront pour les « nationalistes intégraux » ukrainiens, alliés des nazis, qu’ils se sont empressés de refuser.
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Se préparer au désastre : les États-Unis ont secrètement construit 170 villes souterraines pour les riches « en cas d’extinction »
C’est ce qu’a déclaré Catherine Austin Fitts, employée du ministère américain du Logement et du Développement urbain, dans une interview accordée à Tucker Carlson.
Elle a déclaré que les États-Unis avaient dépensé plus de 21 000 milliards de dollars pour créer un réseau de bases souterraines, de villes et de liaisons de transport entre elles afin que les riches et les puissants puissent y vivre en cas d’« extinction totale de l’humanité ».
Selon Catherine Austin Fitts, tous ces objets sont situés sous terre aux États-Unis, ainsi que sous l’eau qui les entoure.
Malgré les soi-disant « progrès » de la médecine, les maladies dites du progrès (diabète, obésité, maladies cardiovasculaires, Alzheimer…) explosent partout. Et pas qu’aux États-Unis. Là-bas, tant de gens sont métaboliquement déglingués (traduction : trop de gros), que la réponse est rapide et violente : retour de l’alimentation cétogène dans les hôpitaux (notamment pour les épilepsies, cancers, et obésité morbide), nomination de RFK Jr. à la Santé, ambiance « on reprend le contrôle ».
Et la France dans tout ça ? On continue à bouffer comme si de rien n’était, à croire que les céréales du matin et la baguette sont le pinacle de l’évolution humaine.
Retour à l’aube de l’humanité
Petit rappel anthropologique : pendant 99,9 % de notre existence (c’est-à-dire depuis huit millions d’années que nos ancêtres pré-humains et humains évoluent), les repas ne ressemblaient pas du tout à celui des petits Français bien sages de 2025. À l’époque, c’était carcasses, tubercules, baies acides et éventuellement du miel si un fou grimpait dans un arbre au péril de sa vie. Par exemple, le matin, au p’tit déj, pas de lait UHT, pas de corn flakes ni de Miel Pops, pas de glucose- fructose.
Et la baguette dans tout ça ?
Produit phare, fierté nationale, totem sacré du repas français. On l’entend déjà : « Mais le pain c’est ancestral, donc c’est sain ! » Pas si vite, l’ami.
Premièrement, l’agriculture ne représente qu’une fraction minuscule de notre évolution (10 000 ans vs 8 millions d’années). Deuxièmement, le pain d’aujourd’hui n’a plus grand-chose à voir avec le pain d’antan. Nous sommes passés d’un pain au levain, fait avec des blés anciens (épeautre, amidonnier, engrain), à une baguette blanche, gonflée, molle, hyper raffinée, bourrée de pesticides, de résidus métalliques et d’additifs dont personne ne peut prononcer le nom. Bref : un aliment pas du tout « ancestral ».
Question subsidiaire : pourquoi il n’y a pas la liste des ingrédients du pain en boulangerie ? Pas d’étiquette, pas de scandale ?
La baguette, ce sucre déguisé
Une baguette classique, c’est environ 70 g de glucides, soit l’équivalent en sucre de quatre à cinq canettes de Coca-Cola (33 cl).
Oui, les types de sucres varient, mais l’effet glycémique est similaire, voire pire côté baguette :
• Index glycémique du Coca : 65
• Index glycémique de la baguette : entre 85 et 95
La charge glycémique de la baguette explose tous les compteurs !
Et ça, pour beaucoup de Français, c’est tous les jours ; matin, midi, soir, et parfois même au « quatre-heures ». Quelles conséquences métaboliques d’une consommation de pain blanc régulière ?
Résultat attendu : pic de sucre → pic d’insuline → fringale → re-sucre → fatigue → inflammation chronique → pré-diabète → diabète → jackpot (pour Big Pharma).
Alors, on fait quoi ?
Si vous êtes accro au pain, passez au pain au levain : fermentation plus lente, meilleure digestibilité, moindre impact glycémique. Et choisissez une farine bio, moulue sur meule de pierre, à base de blés anciens (épeautre, khorasan, etc.) : plus de nutriments, moins de polluants. Certains devront probablement faire plus de 100 km pour trouver un tel pain (réellement « ancestral » pour le coup).
Mais surtout : variez votre alimentation, votre corps mérite mieux que de la colle blanche industrielle à chaque repas.
Le pape François, alias Jorge Mario Bergoglio, était un pontife illégitime mis en place par le Nouvel Ordre Mondial mondialiste pour orienter l’Église catholique politiquement vers la gauche, a déclaré l’archevêque Carlo Maria Viganò dans une récente interview qui a été censurée par les diffuseurs locaux.
Mgr Viganò, qui a été excommunié du Vatican l’année dernière, a été récemment interviewé par l’émission de télévision italienne « Fuori dal Coro » à la suite du décès du pape François ; cependant, sans explication, l’émission n’a pas diffusé son segment.
Dans son interview, l’archevêque a expliqué comment la structure de pouvoir mondialiste avait besoin de l’influence du Vatican pour faire avancer son programme libéral radical, en soulignant comment la mafia de Saint-Gall, de concert avec l’État profond américain, a orchestré la démission du pape Benoît XVI, qui s’opposait au programme libéral, et a installé Bergoglio.
L’interview de Viganò a été publiée pour la première fois sur le site The Gateway Pundit. Lisez-la ci-dessous :
Voici l’interview demandée par la rédaction de « Fuori dal Coro » sur Mediaset pour l’épisode d’hier, 23 avril. Sans aucune explication et sans aucune excuse de la part de la rédaction, mon intervention n’a pas été diffusée. Je la mets à disposition ici.
1. Excellence, quelle est votre évaluation du Pape Bergoglio ?
Au cours des dernières décennies, un lobby subversif s’est emparé des leviers du pouvoir dans les gouvernements et les institutions, afin d’exécuter le plan antichrétien et maçonnique de la Révolution. Les agences gouvernementales – comme nous le savons de ce qui émerge également aux États-Unis d’Amérique – se sont immiscées dans la vie de diverses nations, en organisant et en finançant le soi-disant « Agenda 2030 » de la Fondation Rockefeller et du Forum économique mondial, qui consiste en la destruction de la famille, la marchandisation de la vie humaine, la corruption morale des enfants et des jeunes, l’exploitation des travailleurs et la privatisation de tous les services qui, jusqu’aux années 1990, étaient garantis – sans motif de profit – par l’État : santé, infrastructures, défense, communications, éducation. Pour mener à bien ce coup d’État global, la collaboration (rémunérée, bien sûr) de fonctionnaires corrompus, de politiciens, de médecins, de juges et d’enseignants corrompus a été nécessaire.
L’Église catholique, qui s’était déjà alignée sur la mentalité mondaine avec le concile Vatican II, était cependant restée fermement ancrée sur certains principes non négociables, par exemple en matière de morale sexuelle ou de respect de la vie humaine, de la conception à la mort naturelle. Benoît XVI était clairement opposé au projet mondialiste et n’aurait jamais dérogé à ces principes en légitimant l’idéologie LGBTQ, l’idéologie du genre, les folies pseudo-sanitaires de l’OMS en matière de modification génétique et de dépopulation mondiale, ou encore l’islamisation de l’Europe par substitution ethnique. Il fallait donc éliminer Joseph Ratzinger et le remplacer par un « pape » qui – comme l’espérait le collaborateur d’Hillary Clinton, John Podesta – allait promouvoir l’Agenda 2030, ratifier la fraude climatique et convaincre les fidèles du monde entier de se faire inoculer un sérum dont on sait aujourd’hui qu’il a été conçu pour éliminer ou pathologiser la plus grande partie de l’humanité.
Ce coup d’État du Vatican a été rendu possible (et nous le savons par les aveux de ses protagonistes, dont le controversé cardinal Danneels) par les manœuvres de la mafia de Saint-Gall, qui, de concert avec l’État profond américain, a poussé Benoît XVI à la démission et a réussi à nommer Jorge Mario Bergoglio à la plus haute fonction de l’Église catholique.
L’usurpation de Bergoglio n’est ni plus ni moins que celles qui ont permis au lobby mondialiste d’imposer des chefs de gouvernement aux ordres du Forum de Davos dans l’Italie de Conte et Draghi, la France de Macron, l’Angleterre de Johnson et Starmer, l’Espagne de Sanchez, l’Irlande de Martin, le Canada de Trudeau, l’Australie d’Arden, les États-Unis d’abord des Clinton et Obama puis de Biden, et dans l’Union européenne de von der Leyen. Tous ces dirigeants n’ont pas accédé au pouvoir de manière légitime, mais plutôt par le biais de magouilles, de fraudes électorales ou de manipulations du consensus ; et ils exercent ce pouvoir contre les citoyens et contre les institutions qu’ils devraient représenter.
Et tous ces gens, sans exception, sont largement compromis et soumis au chantage, de sorte qu’ils sont contraints d’obéir s’ils ne veulent pas voir leurs crimes et perversions mis en lumière. Et ni Bergoglio ni ses acolytes ne font exception à cet égard.
Le jugement que tout catholique est amené à formuler sur cette « papauté » – qui n’en était pas vraiment une mais qui n’en avait que l’apparence – ne peut être que terrible, à tous points de vue. L’Église de Rome, après ces douze années de tyrannie, est dévastée par les scandales, la corruption, les violations des droits de l’homme – je pense à l’accord avec la dictature communiste de Pékin – et par une gestion ratée sur tous les fronts. Les timides critiques de certains cardinaux et évêques sur les hérésies et les scandales de Bergoglio n’ont en rien entamé ce régime global qui considère les gouvernants du monde comme ses alliés – opposés au bien des citoyens et des croyants.
2. Le jour de la mort du pape François, vous avez écrit un billet sur X dans lequel vous définissez les déclarations que Bergoglio a confiées à Eugenio Scalfari comme des « délires hérétiques ». Pouvez-vous expliquer pourquoi ?
Selon Scalfari, Bergoglio lui a confié qu’il ne croyait pas à l’enfer et qu’il était convaincu que les bonnes âmes sont sauvées en « fusionnant » avec Dieu, tandis que les âmes damnées sont détruites, dissoutes dans le néant. Cela contredit à la fois l’Écriture Sainte et le Magistère catholique, qui enseignent que chaque âme, au moment de la mort physique, fait face au Jugement particulier et est récompensée par la félicité éternelle (en passant éventuellement par le Purgatoire) ou punie par la damnation éternelle, en fonction de la façon dont elle s’est comportée dans sa vie et de son état d’amitié ou d’inimitié avec Dieu au moment de son décès. C’est pourquoi j’ai parlé de délires hérétiques : ils s’ajoutent à la très longue liste d’inepties et d’hérésies que nous avons tous eu à subir ces dernières années.
3. A quoi faites-vous référence lorsque vous parlez de « ses héritiers… les subversifs » ?
Bergoglio s’est entouré de personnages corrompus et soumis au chantage, qu’il a utilisés avec désinvolture pour obtenir ce qu’il voulait. Il s’est moqué, a dénigré et offensé des cardinaux et des évêques honnêtes. Il a protégé et couvert des enquêtes sur des prélats accusés de crimes graves. Il a promu toute la chaîne des prélats américains, corrompus et ultra-progressistes, tous liés à l’ancien cardinal McCarrick, qui occupent aujourd’hui les principaux diocèses américains et des postes clés au Vatican. Il a levé l’excommunication de son frère jésuite Marco Rupnik, dont les affaires honteuses avaient scandalisé les plus modérés. Il a persécuté tous ses opposants, y compris moi, en m’excommuniant, en violation de la loi et de la justice. Tous ces gens sont encore à leur place, ils continuent à démolir l’Église et se préparent, avec le prochain Conclave, à achever la tâche qui leur a été confiée : transformer l’Église du Christ en une organisation œcuménique et syncrétiste d’origine maçonnique qui apporte son soutien au Nouvel Ordre Mondial.
4. Selon vous, le pape François est un antipape, un non-pape. Pouvez-vous expliquer pourquoi ?
Le cardinal qui est élu lors d’un conclave comme successeur de Pierre doit exprimer son acceptation et son consentement à assumer les fonctions propres à la papauté.
Je pense que l’acceptation de la papauté par Bergoglio était erronée parce qu’il considérait la papauté comme quelque chose d’autre que ce qu’elle est ; comme le conjoint qui se marie à l’église en excluant les objectifs spécifiques du mariage, annulant ainsi le mariage précisément en raison de son défaut de consentement.
Bergoglio a obtenu son élection par la fraude, abusant de l’autorité du pontife romain pour faire exactement le contraire de ce que Jésus-Christ a confié à saint Pierre et à ses successeurs : confirmer les fidèles dans la foi catholique, paître et gouverner le troupeau du Seigneur, et prêcher l’Évangile à tous les peuples. Toutes les actions de Bergoglio en matière de gouvernement et d’enseignement – depuis sa première apparition à la loggia du Vatican où il s’est présenté avec ce troublant « Buona sera » – se sont déroulées dans une direction diamétralement opposée au mandat pétrinien : il a dénaturé le Depositum Fidei, il a semé la confusion et conduit les fidèles dans l’erreur, il a dispersé le troupeau, il a déclaré que l’évangélisation des peuples était une « absurdité solennelle », la condamnant comme du prosélytisme, et il a systématiquement abusé du pouvoir des Saintes Clés pour délier ce qui ne peut l’être et lier ce qui ne peut l’être.
Le Pape n’est pas le maître de l’Eglise, mais le Vicaire du Christ : il doit exercer son autorité dans les limites établies par Jésus-Christ et conformément aux fins voulues par Dieu : avant tout, le salut des âmes par la prédication de l’Evangile à toutes les créatures, et par les Sacrements.
Un Pape ne peut donc pas se considérer autorisé à « réinventer » la Papauté, à la « relire en clé synodale », à la « moderniser », à la démembrer à volonté, à en changer la Foi ou la Morale. S’il pense que la papauté lui permet de modifier l’institution qu’il préside, il se trouve par le fait même dans une situation de vice de consentement (vitium consensus) qui annule son apparente élévation au ministère pétrinien, car ce qu’il a accepté n’est pas la papauté catholique telle qu’elle a toujours été comprise depuis saint Pierre, mais plutôt une idée personnelle de la « papauté ».
C’est pourquoi je suis convaincu que le rôle subversif joué par Bergoglio – même considéré dans le contexte international plus large du coup d’État mondialiste – fait de lui un usurpateur, un antipape, un non-pape, précisément parce qu’il était parfaitement conscient de vouloir altérer la papauté en la transformant en quelque chose d’autre et en lui donnant des objectifs qui ne sont pas ceux de la papauté : du culte de l’idole Pachamama à la communion des divorcés et à la bénédiction des couples homosexuels, de l’immigration à la promotion des vaccins, de la propagande climatique à la transition de genre.
D’autre part, nous en avons la confirmation par ceux qui louent Bergoglio non pas pour avoir été un pape catholique, mais pour les empanadas de la population transgenre de Torvaianica ou pour sa chaleureuse amitié avec Emma Bonino.
5. Quel sera l’avenir de l’Église maintenant que le pape François est mort ?
La mort de Bergoglio cristallise, pour ainsi dire, une situation d’illégitimité généralisée. Sur les 136 cardinaux électeurs, 108 ont été « créés » par lui, ce qui signifie que quel que soit le pape élu lors du prochain conclave – même s’il s’agissait d’un nouveau saint Pie X – son autorité sera compromise par le fait qu’il aura été élu par de faux cardinaux, créés par un faux pape. C’est pourquoi, il y a quelque temps, j’ai demandé à mes frères dans l’épiscopat de clarifier ces aspects avant de procéder à l’élection d’un nouveau pape.
Certes, la situation est désastreuse et humainement sans solution. Toutefois, en tant qu’évêque et successeur des Apôtres, je ne peux m’empêcher de rappeler à tous que l’Église, qui est le Corps mystique du Christ, est destinée à affronter la passio Ecclesiæ à l’exemple du Seigneur. C’est précisément à partir de cette passion – où tout semblera perdu comme en ce Vendredi saint d’il y a 1 992 ans – que l’Église renaîtra, se régénérera et se purifiera.
En ces jours où nous célébrons Pâques, chaque catholique trouve dans le triomphe du Christ sur la mort et le péché les raisons de sa propre fidélité à l’Évangile. Notre Seigneur nous a dit, peu avant d’affronter sa Passion : N’ayez pas peur : Je suis vainqueur du monde.
🚨 NOUVELLE ÉTUDE – Les données de l’OMS révèlent une augmentation spectaculaire des décès dus au COVID-19 dans le monde après la vaccination de masse
📍 Les décès ont augmenté dans toutes les régions de l’OMS après le déploiement du vaccin
📍 Augmentation de 1275% des décès dans le Pacifique occidental après la vaccination de masse
📍 Les pics de mortalité les plus élevés sont observés dans les zones les plus fortement vaccinées
⚠️ La vaccination de masse contre le COVID-19 a non seulement complètement échoué, mais a considérablement aggravé la situation
De nombreux rapports sur l’impact de la vaccination sur les décès liés à la pandémie de COVID-19 étaient des projections réalisées alors que l’urgence mondiale se développait. Un nombre croissant de chercheurs indépendants ont attiré l’attention sur la nature subjective et les biais inhérents aux modèles mathématiques utilisés pour ces prévisions, qui pourraient compromettre leur exactitude lorsque la surmortalité était l’indicateur privilégié.
Objectif
Les décès dus à la COVID-19 ont été comparés entre les périodes pré-vaccinales et vaccinales afin d’observer l’impact de la vaccination sur la trajectoire des décès dus à la COVID-19 dans le monde entier pendant l’urgence pandémique.
Méthodes
Cas de COVID-19, décès et taux de vaccination dans la base de données de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) jusqu’au 7 juin 2023, le taux de létalité pour 1000 pour la période pré-vaccinale (CFR1) et celui pendant la période de vaccination (CFR2) ont été comparés pour toutes les régions de l’OMS, tandis que les tests de corrélation entre le pourcentage de changement dans les décès dus au COVID-19 et les variables d’intérêt ont été examinés.
Résultats
Français Les décès dus à la COVID-19 ont augmenté avec une couverture vaccinale allant de 43,3 % (Afrique) à 1 275,0 % (Pacifique occidental). Les régions du Pacifique occidental (1,5 %) et de l’Afrique (3,8 %) ont contribué le moins aux décès cumulés mondiaux dus à la COVID-19 avant les vaccins, tandis que les Amériques (49,9 %) et l’Europe (27,6 %) ont enregistré les chiffres les plus élevés. Les Amériques (39,8 %) et l’Europe (34,1 %) ont représenté plus de 70 % des décès mondiaux dus à la COVID-19 malgré une vaccination élevée, et le pourcentage d’augmentation de la mortalité due à la COVID-19 et le pourcentage de personnes âgées de ≥ 65 ans étaient significativement corrélés (0,48) en Afrique.
Conclusion
La mortalité due à la COVID-19 a augmenté à l’ère de la vaccination, en particulier dans les régions où la couverture vaccinale est plus élevée.
Les personnes ayant reçu les vaccins contre le COVID-19 à ARNm pourraient présenter des sautes d’humeur et des déséquilibres hormonaux en raison des dommages causés à la glande pinéale par les protéines spike, affirme un chercheur de premier plan.
Fabio Zoffi, fondateur de Zero Spike, une organisation qui étudie la toxicité et la désintoxication des protéines spike, a décrit la découverte d’un pathologiste italien montrant que les protéines spike endommagent la glande pinéale, un organe de la taille d’un petit pois situé à l’intérieur du cerveau qui régule le sommeil, l’humeur et les hormones, provoquant ainsi des changements de personnalité erratiques chez les personnes vaccinées.
« Je voudrais ajouter un commentaire sur le changement de personnalité, la dépression et toutes ces choses », a déclaré Zoffi à un groupe de chercheurs lors d’une table ronde de la People’s Health Alliance en août 2023.
« C’est tout à fait réel. Et nous avons identifié les raisons de la théorie », a déclaré Zoffi, « et certains médecins en Italie ont, certains pathologistes ont confirmé que la protéine spike, malheureusement, attaque et détruit également le système endocrinien. C’est-à-dire les glandes qui produisent les hormones, et les hormones sont à l’origine de nos émotions, de nos sentiments et de toutes ces choses. »
Zoffi poursuit : « Un pathologiste italien de Venise a publié dans un journal que tous les cerveaux qu’il avait examinés, il avait trouvé la glande pinéale complètement détruite chez toutes les personnes qui avaient été vaccinées.
« Ainsi, la protéine spike est également très dangereuse pour le système endocrinien. C’est pourquoi les gens ont ces changements de personnalité. »
Au cours de la conversation, Zoffi a évoqué les résultats de tests de laboratoire montrant que la NAC (N-acétylcystéine) augmentée était très efficace – jusqu’à 99,8 % – pour aider à détoxifier les spike proteins.
C’est une excellente nouvelle pour tous ceux qui ont souffert de troubles de l’humeur après avoir été vaccinés, ou qui regrettent de l’avoir été.
Une machine à mémoire intégrée déguisée en commodité, Recall transforme discrètement chaque moment passé sur votre clavier en un historique consultable.
L’effort renouvelé de Microsoft pour déployer Recall, une fonctionnalité de Windows 11 basée sur l’intelligence artificielle qui enregistre automatiquement l’activité de l’utilisateur toutes les quelques secondes, ravive de vives inquiétudes parmi ceux qui se concentrent sur la vie privée numérique et la sécurité personnelle.
Initialement suspendu à la suite d’une tempête de réactions négatives l’année dernière, Recall est revenu discrètement dans une version préliminaire de Windows 11 (Build 26100.3902), désormais disponible pour certains testeurs. L’outil prend des clichés de l’écran de l’utilisateur à intervalles réguliers et crée une chronologie consultable de tous les éléments, de l’utilisation des applications aux sites web visités en passant par les documents consultés. Alors que Microsoft le présente comme un outil pratique, les défenseurs de la vie privée y voient un mécanisme de surveillance déguisé.
L’entreprise affirme que l’outil est sûr. Pour accéder aux instantanés stockés, les utilisateurs doivent se connecter et s’inscrire à Windows Hello. Microsoft décrit cette fonctionnalité comme un moyen de « retrouver rapidement une application, un site web, une image ou un document en décrivant simplement son contenu ». L’entreprise précise que les utilisateurs peuvent interrompre l’enregistrement et choisir ce qui est sauvegardé.
Mais ces assurances tombent à plat pour ceux qui mettent en garde contre les conséquences plus larges. Le fait que l’option Recall soit facultative n’empêche pas l’exposition des données de personnes qui ne l’ont jamais activée. Si une personne dont le rappel est activé reçoit une photo privée, un message ou un document sensible, celui-ci sera silencieusement capturé, analysé et indexé par l’outil, quelle que soit l’intention de l’expéditeur ou les outils de protection de la vie privée utilisés.
La capacité de cette fonction à stocker et à cataloguer des données de manière aussi complète soulève une série de questions juridiques, éthiques et de sécurité. Les avocats, les gouvernements et les opérateurs de logiciels espions obtiendraient un niveau d’accès sans précédent à la vie numérique d’un utilisateur, non pas par la force brute ou l’hameçonnage, mais grâce à un outil intégré qui crée essentiellement une chronologie de l’activité de l’ordinateur.
Pour ceux qui se méfient de la pénétration croissante de l’IA dans l’informatique quotidienne, Recall est devenu un cas d’école. Les critiques l’ont décrit comme faisant partie d’une tendance plus large où les entreprises injectent des fonctions d’IA dans des plateformes existantes non pas pour servir les utilisateurs, mais pour stimuler l’engagement, la collecte de données ou le verrouillage.