Et cela en raison de l'arrivée d'une CME associée à une éruption qui a quitté le Soleil fin 25 novembre, a déclaré le Centre de prévision météorologique spatiale de la NOAA lors d'une veille de tempête géomagnétique.
Les prévisions géomagnétiques de la NOAA montrent que les conditions G1 sont attendues demain soir, avec des conditions G2 d'une durée allant jusqu'aux premières heures du vendredi matin.
Les MCC sont d'énormes nuages de plasma solaire expulsés des zones magnétiquement actives de la surface du Soleil, généralement des taches solaires.
Washington considère ce fait comme un développement de la guerre qu’il conduit depuis 1950, malgré un cessez-le-feu, contre les communistes coréens et chinois, plus encore que comme un développement de celle qu’il conduit par Ukrainiens interposés contre la Russie depuis 2022. Il a donc répondu, le 19 novembre, en guidant contre la Russie six missiles ATACMS (Army TACtical Missile System) qu’il avait donné à Kiev. Ils étaient dirigés non seulement contre l’oblast de Koursk, mais aussi contre celui de Briansk où ils ne sont pas parvenus à toucher un dépôt de munitions. Londres a, de son côté, décidé le 21 novembre de guider identiquement les missiles Storm Shadow qu’il a donné à Kiev. La totalité des missiles alliés a été détruite en vol par la défense anti-aérienne russe.
Au contraire, Moscou considère l’attaque de Koursk comme la continuation de la guerre secrète de la CIA en Ukraine et comme celle organisée dans les années 50 contre l’URSS, toutes deux avec l’appui des nationalistes intégraux ukrainiens de Stepan Bandera.
Les Occidentaux ne comprennent pas ces évènements car ils ont
oublié le soutien de Beijing à Pyongyang,
pensent —à tort— que Koursk et Briansk sont en Ukraine
et ignorent la guerre secrète durant laquelle les Anglo-Saxons s’allièrent aux derniers nazis (ce qui a comme conséquence qu’ils n’ont pas compris non plus l’objectif de l’opération militaire spéciale russe en Ukraine).
Les missiles ATACMS peuvent être tirés depuis des lanceurs mobiles HIMARS. Les derniers
modèles ont une portée de 300 kilomètres et volent à une altitude de 50 000 mètres. Les dernières versions des missiles Storm Shadow, quant à eux, ont une portée d’environ 400
kilomètres. Aucun ne peut donc atteindre la Russie en profondeur.
La Russie dispose d’une large gamme de réponses aux attaques alliées
Elle peut, en représailles, soutenir des adversaires des Anglo-Saxons sur un autre théâtre de combat. C’est ce qu’elle avait fait, lors du bombardement d’un de ses gazoducs par Kiev, auquel elle avait répondu en guidant un missile yéménite, le 15 septembre, qui détruisit un oléoduc israélien ; un évènement capital qui a été couvert par la censure militaire israélienne et ignoré par la presse occidentale.
Elle a modifié, le 19 novembre, sa doctrine nucléaire, laissant ouverte l’option d’une réplique nucléaire.
Enfin, elle peut faire usage de sa dominance militaire. L’Ukraine a annoncé que, le 20 novembre, Moscou avait tiré un missile balistique à longue portée (c’est-à-dire pouvant atteindre les États-Unis depuis la Russie), RS-26 Rubezh. Nous savons aujourd’hui qu’il s’agissait d’autre chose.
Sans que nous en ayons conscience, les champs de bataille d’Ukraine et du Moyen-Orient se sont déjà réunis, tandis que les néo-conservateurs états-uniens (les straussiens), les « sionistes révisionnistes » israéliens et les « nationalistes intégraux » ukrainiens se sont à nouveau alliés, comme lors de la Seconde Guerre mondiale. Ces trois groupes, historiquement liés à l’Axe tripatite, sont partisans d’une confrontation finale. Il ne maque à l’appel que les militaristes japonais du nouveau Premier ministre, Shigeru Ishiba.
Immédiatement après le tir de missiles états-uniens ATACMS et avant même celui des Storm Shadow britanniques, le président russe, Vladimir Poutine, a signé un décret promulguant la nouvelle doctrine nucléaire de son pays qu’il avait annoncé le 24 septembre dernier. Elle autorise l’usage des armes atomiques dans cinq nouveaux cas :
1) si des informations fiables sont reçues sur le lancement de missiles balistiques ciblant le territoire de la Russie ou ses alliés.
2) si des armes nucléaires ou d’autres armes de destruction massive frappent le territoire de la
Russie ou de ses alliés, ou sont utilisées pour frapper des unités ou des installations militaires russes à l’étranger.
3) si l’impact d’un ennemi sur le gouvernement ou sur les installations militaires russes sont d’une importance critique susceptible de saper la capacité de frappe nucléaire en représailles.
4) si l’agression contre la Russie ou la Biélorussie avec des armes classiques fait peser une grave menace sur leur souveraineté et leur intégrité territoriale.
5) si des informations fiables sont reçues sur le décollage ou le lancement d’avions stratégiques et tactiques, de missiles de croisière, de drones, de véhicules hypersoniques ou d’autres véhicules volants et de leur franchissement de la frontière russe.
Le 21 novembre, c’est-à-dire après les tirs britanniques, le président russe, Vladimir Poutine, a délivré une allocution télévisée au cours de laquelle, il a révélé que les armées russes avaient détruit un centre militaro-industriel ukrainien, mais n’avaient pas utilisé de missile balistique classique RS-26 Rubezh comme l’avaient annoncé les Ukrainiens. Elles avaient par contre testé une nouvelle génération d’armes hypersoniques, en l’occurrence un missile balistique Oreshnik à portée nucléaire mais chargé conventionnellement. Celui-ci a été lancé depuis Astrakhan (mer Caspienne) sur une usine de satellites à Dnipro. Sa vitesse, supérieure à mach 10, ne permet actuellement à aucune armée au monde de l’intercepter. Il cumule les capacités des anciens missiles Iskander et des nouveaux missiles Kinjal avec encore plus de vitesse et de maniabilité.
Le président Poutine a rappelé que la Russie, sans en avoir l’obligation, continue à respecter le traité FNI dont les États-Unis se sont retirés en 2019. Le Pentagone très en retard d’un point de vue technique, a redéployé déployé des missiles à portée intermédiaire en Europe et en Asie-Pacifique, comme à l’époque de la crise des euromissiles, tandis que la Russie en produit, mais ne les déploie pas. Vladimir Poutine a alors mis en garde les Occidentaux en suggérant aux civils de quitter les zones dangereuses que la Russie pourrait frapper avec des missiles Oreshnik chargés nucléairement.
Il se peut que ce discours ne soit pas suivi d’attaques et que son seul objectif soit de montrer la supériorité militaire russe sur l’Occident, déjà reconnue en juillet par la Commission nationale états-unienne sur la Stratégie de Défense, établie par le Congrès lors de l’adoption de la loi de programmation militaire de 2022. Son seul effet sera alors de booster les ventes d’armes russes.
Quoi qu’il en soit, jamais le monde n’a été aussi proche d’une guerre nucléaire car jamais il n’y a eu plusieurs puissances nucléaires, dont une en net avance technique sur toutes les autres.
Le 22 novembre, le président Poutine a réuni les développeurs des systèmes de missiles et les responsables industriels de l’armement. Il les a félicité pour le succès d’Oreshnik et leur a demandé de le produire en série.
Thierry Meyssan
Il semblerait que le président de la FNSEA l’ai reconnu et que cette fois-ci il a été filmé. Affaire à suivre.
On vous interdit d’enterrer un gros chien mais là on va faire des trous immenses pour cacher le massacre. Là, la nappe phréatique ne risque rien ! Pourquoi n’entend-t-on pas les escrologistes ?
Décidément on veut éliminer les paysans !
vidéo : https://vk.com/video623355650_456240448
La société Aubriat, impliquée dans le traitement des poutres de la cathédrale, a appliqué un gel anti-champignons. Le choix de faire intervenir cette société interroge d’autant plus que le logo de l’entreprise présente des similitudes troublantes avec des symboles ésotériques, renforçant les spéculations sur une conspiration. Cette intervention soulève des doutes sur la sécurité des travaux réalisés sur ce patrimoine emblématique, écho aux controverses historiques liées à la restauration des monuments en France.
Le phénomène de la fumée jaune durant l’incendie, attribué par certains au plomb fondu, a nourri des interprétations plus mystiques. Cette couleur inhabituelle a conduit certains à y voir des signes d’influences occultes, évoquant la symbolique associée à la fumée dans des rituels magiques. Notre-Dame, chargée d’histoire et de spiritualité, est souvent associée à des événements au-delà du rationnel, et son aura a longtemps captivé l’imaginaire collectif. Ces éléments renforcent l'idée que des forces symboliques ou culturelles pourraient être à l'œuvre autour de cet événement.
Enfin, les prophéties de Nostradamus, qui auraient annoncé cet incendie avec une étonnante précision, ajoutent une dimension intrigante. Des interprétations lient même certains passages de ses écrits à Emmanuel Macron et son rôle dans la reconstruction de la cathédrale. L’utilisation supposée d’un langage codé dans ses discours évoque des pratiques ésotériques. Ce drame dépasse donc sa réalité matérielle pour devenir un carrefour d’interprétations mêlant histoire, politique et mysticisme, un sujet qui continue de fasciner et d’alimenter les débats.
On analyse ce sujet important avec Ludovic Malot, Marc Daoud, Frigide Barjot, Andrzej Linowiecki et Mike Borowski sur GPTV.
Ludovic Malot, franco-suisse, est économiste et entrepreneur. Il est un expert sur les fondamentaux d’une monnaie saine adossée à l’or et l’argent métal et détaille dans son ouvrage "Le suicide monétaire", le système actuel frauduleux avec ses nombreuses implications notamment politiques, économiques, financières, sociales et environnementales.
Deux déclarations de Kennedy retiennent l’attention : 1) je n’interdirai pas les vaccins ; 2) je vais faire en sorte qu’on cesse de mettre du fluor dans l’eau de boisson.
Sur le premier point – alors qu’il a été présenté comme un antivax hystérique – c’est filou.
Il nous fait comprendre que ce qu’il veut c’est : 1) rétablir la liberté de se vacciner (ou pas) ; 2) injecter un peu de science dans la médecine des vaccins.
Dit autrement, les citoyens doivent être correctement informés et ensuite pouvoir décider eux-mêmes (Vive la Liberté !) s’ils veulent se vacciner (ou vacciner leurs bébés) ou pas.
Qui peut être contre ?
Bien sûr, les bureaucrates de ministères et des sociétés (supposées) savantes vont hurler qu’il faut vacciner tout le monde pour protéger les plus faibles.
C’est une idée stupide et Kennedy permet d’ouvrir le débat, enfin ! On pourra enfin discuter des concepts de «couverture vaccinale» et autres slogans tels «protège-toi pour protéger les autres» dont on a vu l’efficacité pendant la Covid.
Tout cela est un acquis fantastique pour quiconque aime les réalités et veut échapper à la censure.
C’est un gain important pour la santé publique et celle de chaque personne. On peut clarifier. Il était temps !
Sur le deuxième point, c’est magnifique : on analyse enfin les données existantes concernant la toxicité du fluor dans l’eau distribuée aux citoyens américains.
D’abord, je dois me confesser : je n’ai jamais travaillé sur la toxicité du fluor et j’ignorais que du fluor était administré aux américains (y compris les bébés) via les eaux de boisson.
Plus précisément, je savais que nos vallées alpines avaient été massivement polluées par le fluor utilisé dans l’industrie de l’aluminium mais je pensais l’affaire «classée».
À la suite de Kennedy déclarant la guerre aux eaux fluorées – fluoration supposément destinée à protéger contre les caries dentaires de nos chérubins – j’ai entrepris un travail d’analyse des données existantes sur le sujet ; c’est mon sport favori !
Quelle ne fut pas ma surprise !
Première constatation : si la fréquence des caries chez les enfants s’est effondrée au cours des dernières décennies, il est peu probable que ce soit dû à la fluoration des eaux.
Pourquoi suis-je affirmatif ? Parce que la même chute des caries a été observée dans les pays qui fluorent leurs eaux et ceux qui ne fluorent pas. Facile à vérifier, je copie deux graphiques extraits d’une publication de l’Université Harvard à Boston : https://www.hsph.harvard.edu/fluoridated-drinking-water
Les anglophones disent «cavitiy rates» pour fréquence des caries dentaires.
[...]
00:00 – Géopolitique profonde numéro spécial Trump :
• Mariani blanchi
• Soutien aux paysans
• Anniversaire du Maïdan
04:29– Économie :
• Raffinage russe
• Russie : exportateur de gaz numéro 1 en Europe
• Tupolev 214 : premier vol
10:08 – Politico-diplomatique :
• ATACMS & STORMSHADOW vs NOISETTE balistique
• Scholz appelle Poutine. Macron cherche des amis
• Sommet du G20 sans Zelensky. La poignée de main. Lavrov : recherche de contacts.
• Visite de Xi à Lima au Pérou
• Venezuela : Gonzalez reconnu par Blinken
• Attaque en mer Baltique
• Sénégal : victoire du Pastef
31:33 – Empire du mensonge :
• Moment bunker : Jean-Noël Barrot
34:00 – Armement :
• Mines anti-personnelles US vs civils ukrainiens
34:52 – Carte des opérations militaires
Les rayonnements électromagnétiques ne sont pas seulement nocifs sur le plan physique et psychologique, ils peuvent même induire une capacité accrue à contrôler l’esprit des gens.
Dans le monde interconnecté d’aujourd’hui, l’accès à l’internet sans fil est devenu omniprésent, présent dans presque tous les cafés, bureaux et maisons. Mais les signaux Wi-Fi ne sont pas inoffensifs. Les rayonnements de radiofréquence (RF) bombardent constamment les cellules et influencent les ondes cérébrales. Les ondes extrêmement basses fréquences (ELF) sont particulièrement préoccupantes, car elles peuvent interférer avec les ondes cérébrales et amener une personne à entrer, à son insu, dans un état d’esprit suggestif. Le Wi-Fi est un vecteur d’ingénierie sociale, qui amène les individus à renoncer à leur esprit critique pour se conformer aux récits officiels et à la pensée de groupe.
Keith Cutter, critique bien connu de la technologie sans fil moderne, a passé des années à explorer le côté obscur du rayonnement Wi-Fi. Selon lui, l’impact du Wi-Fi ne se limite pas à l’exposition directe aux rayonnements, mais s’étend à des effets plus subtils et inquiétants, notamment l’entraînement des ondes cérébrales, les perturbations cognitives et ce qu’il appelle « l’effet mémoire du Wi-Fi » sur les tissus corporels.
Le Wi-Fi fonctionne à l’aide de champs électromagnétiques de radiofréquence, transmettant des données par le biais d’un rayonnement RF modulé par impulsion. Si la technologie elle-même peut sembler inoffensive – après tout, la plupart des appareils n’émettent que des niveaux relativement faibles de rayonnement RF -, Cutter estime que l’impact cumulatif de cette exposition au fil du temps est loin d’être bénin.
L’une des principales préoccupations de Cutter est l’effet des ondes extrêmement basses fréquences (ELF), que le Wi-Fi émet en plus de ses signaux RF à plus haute fréquence. Les ondes ELF se situent entre 3 et 30 Hz environ, une gamme de fréquences qui se trouve à chevaucher les fréquences d’oscillation naturelles du cerveau humain. L’activité électrique du cerveau est divisée en différentes bandes de fréquences, chacune étant associée à différents états de conscience et fonctions mentales :
Ondes delta (0,5-4 Hz) : Associées au sommeil profond, à la guérison et à la relaxation
Ondes thêta (4-8 Hz) : liées à la relaxation profonde, à la méditation et à la créativité
Ondes alpha (8-12 Hz) : Présentes dans les états calmes et détendus, tels que le rêve éveillé ou la méditation légère.
Ondes bêta (13-30 Hz) : Associées à la pensée active, à la concentration et à la résolution de problèmes.
Ondes gamma (30-44 Hz) : Impliquées dans les fonctions cognitives supérieures telles que l’apprentissage, la mémoire et le traitement sensoriel.
Cutter est surtout préoccupé par les impulsions ELF de 10 Hz émises par les balises Wi-Fi. Ces balises, qui émettent constamment des impulsions à cette fréquence, diffusent essentiellement un signal persistant pour s’assurer que les appareils restent connectés. Cutter pense que les impulsions de 10 Hz peuvent avoir un effet profond sur l’activité cérébrale, notamment en induisant un phénomène connu sous le nom d’entraînement des ondes cérébrales.
L’entraînement des ondes cérébrales fait référence à la synchronisation des ondes cérébrales à une fréquence externe. Lorsque le cerveau est exposé à un stimulus externe constant à une fréquence particulière, comme le signal de 10 Hz émis par le Wi-Fi, il peut modifier ses propres schémas d’ondes cérébrales naturelles pour les faire correspondre. À 10 Hz, le cerveau entre dans un état plus détendu, proche des ondes alpha, qui correspond à une activité corticale réduite.
Cutter est particulièrement alarmé par cette situation, car une exposition prolongée au signal ELF de 10 Hz peut créer un « état suggestif », dans lequel le cerveau est plus sensible aux influences extérieures. Ces influences externes peuvent être les médias, le marketing ou même la programmation subconsciente, qui sont tous présentés aux gens lorsqu’ils sont sous l’influence d’appareils émettant des ondes Wi-Fi.
« Nous parlons de la possibilité de contrôler l’esprit », prévient Cutter, en suggérant que ce type de manipulation des ondes cérébrales peut rendre les individus plus vulnérables aux suggestions extérieures (comme l’hypnose). La manipulation pourrait être utilisée pour contraindre les populations à croire ou à penser d’une certaine manière, contre leur intuition, leur connaissance, leur pensée rationnelle ou leur instinct.
Une autre préoccupation soulevée par Cutter est la possibilité que le Wi-Fi ait un « effet mémoire » sur les tissus corporels. Il s’agit de la manière dont certaines fréquences électromagnétiques peuvent être absorbées et retenues par le corps, ce qui peut entraîner des changements physiques ou des problèmes de santé à long terme.
Cutter compare ce phénomène à un traumatisme stocké dans l’organisme, à l’instar du concept psychologique de « mémoire traumatique », selon lequel un traumatisme émotionnel ou physique se manifeste dans l’organisme même après la fin de l’événement. Dans le cas du Wi-Fi, il suggère que le corps pourrait absorber les radiations et les stocker dans les tissus, ce qui entraînerait des problèmes de santé permanents tels que la fatigue, les maux de tête et même des troubles plus graves associés à la sensibilité électrique.
Le Wi-Fi est loin d’être une commodité technologique bénigne. Sa prolifération dans la vie quotidienne constitue une « épidémie cachée » qui nuit silencieusement à la santé et au bien-être des individus et rend leur esprit plus vulnérable aux suggestions.
Ce n’est pas un concept. C’est une réalité inscrite dans chaque coup de cloche d’église orthodoxe, chaque murmure d’encens, chaque regard de sainte icône sur la corruption du monde.
Bien sûr, dans notre Wokistan européen, une telle attitude devant la vie vaut un ticket pour la lapidation sociale. L’Occident a oublié ce que résister signifie et la France, autrefois un phare de civilisation, incarne la vacuité de l’âme aux niveaux les mieux accrédités : la preuve par Jean-Noël Barrot au mont des Oliviers…
En Russie, front spirituel et front militaire, c’est tout un et c’est d’abord affaire d’âme collective.
Voyons.
Dans chaque église orthodoxe, les cloches jouent une symphonie de fer et de foi. L’Occident y a droit à une attention particulière : ce n’est pas par déférence que les cloches sont orientées vers l’ouest, mais pour proclamer la victoire du Christ sur les ténèbres. L’Ouest, symbole de l’obscurité spirituelle, lieu où le soleil se couche, où l’ombre s’étend. Les cloches appellent les âmes damnées et sonnent pour leur dire : « Repentez-vous. Revenez à l’est, à la lumière, à la résurrection. » Dans chaque église orthodoxe, les autels sont, en conséquence, orientés vers l’est, la lumière, la résurrection, le Christ. C’est bien cette lumière que l’Occident a troquée contre des néons colorés et des slogans creux.
Les stratèges de Washington feraient bien d’oublier la « solution » d’un gel du conflit ukrainien. Ce piège à ours inspiré du 38e parallèle coréen, cette cage de barbelés qui achèvera l’Europe, ne parviendra pas à broyer l’âme russe.
Vladimir Poutine n’a pas défié l’Occident pour se satisfaire d’un champ de patates ukrainien. Encore moins d’un champ de bataille figé, d’un permafrost stratégique qui entraînerait une saignée économique et militaire lente et certaine, mais, avant tout, une déroute spirituelle.
Invasions mongoles, guerres napoléoniennes, révolution bolchevique, Adolf Hitler, effondrement soviétique : la résilience russe ne vient pas de la géographie ou de l’histoire, mais de cette foi profonde que Staline lui-même a dû reconnaître. Elle ne pliera ni sous le poids de l’histoire, ni sous la pression d’un monde obsédé par le confort. La Sainte Russie peut accueillir, aimer, compatir ou sauver, mais elle ne sait pas plier. La guerre qu’elle mène aux tempêtes idéologiques de l’Occident est d’abord la défense de ses fondations spirituelles.
La Russie ne gèle jamais vraiment. Dans le froid, elle s’adapte. Dans l’obscurité, elle prie. Et quand le moment arrive, elle avance à nouveau, portée par cette flamme intérieure que rien, ni le gel, ni les pièges de l’Occident, ne peuvent éteindre.
La guerre teste sa foi en même temps qu’elle la purifie.
Сильные дух. Souvenez-vous de ces mots. L’Occident pourrait un jour avoir besoin de les apprendre.
Ignorez tous les faux drames. Oubliez toute la rhétorique de la campagne et les conflits kayfabe. Voici ce qui est réel. C’est cela qui mérite votre attention.
Ils ne se détestent pas. Ils ne se considèrent pas comme une menace existentielle pour le pays. Ce ne sont pas des ennemis. Ce sont à peine des adversaires. À la fin du spectacle, ils s’étreignent et s’embrassent comme des boxeurs après des semaines d’affrontements bidons destinés uniquement à vendre des billets.
L’un peut dire que son adversaire est le prochain Hitler, qu’il vient pour mettre fin à la démocratie, prendre les votes de tout le monde et détruire le pays. L’autre peut dire que son adversaire est un dictateur communiste, venu pour faire la même chose. À la fin de la pièce, les acteurs se tiennent la main et saluent, puis ils sortent et boivent un verre ensemble.
Ils font chacun semblant de se battre contre l’autre pour vous défendre, vous et vos intérêts, alors qu’en réalité ils sont du même côté, se battant contre vous, pour défendre les intérêts de l’oligarchie et de l’empire.
Vous pouvez le voir là. Ils ne le cachent plus. Ils n’ont pas besoin de le faire. Ce n’était qu’une mise en scène et ils l’admettent ouvertement. Un match amical, comme deux riches dames jouant au tennis dans les Hamptons.
Ils peuvent le montrer ouvertement parce qu’ils savent que la plupart d’entre vous ne prêteront pas attention à ce qu’ils voient ou, s’ils le font, qu’ils l’oublieront et se laisseront emporter par la fièvre du prochain cycle électoral. Il y a tellement de messages qui renforcent le clivage partisan illusoire que ces petits aveux tacites ont tendance à passer complètement inaperçus.
Ne vous méprenez pas, la dépravation de Trump lui-même n’est pas illusoire. De vraies personnes vont souffrir et mourir sous son administration, tout comme de vraies personnes ont souffert et sont mortes sous celle de Biden. Mais ils savent eux-mêmes qu’ils n’ont rien à craindre. Eux et les puissances qu’ils servent seront totalement épargnés par la machine à tuer impériale. Ils mourront de vieillesse, entourés de richesse et de luxe, sans aucune conséquence pour leurs actes.
Tout cela n’était qu’un leurre. C’est toujours le cas. Les élections sont fausses et le jeu est truqué. L’empire continuera à marcher sans interruption et sans changement, servi par un président frauduleux après l’autre, jusqu’à son effondrement final.
Cessez d’adhérer au spectacle. Arrêtez de crier pour votre lutteur politique favori et remarquez que les coups ne sont pas vraiment portés et que tout le match n’est qu’un spectacle.
Si vous voulez combattre le pouvoir, concentrez votre opposition là où se trouve le vrai pouvoir. La machine de guerre. Les structures de pouvoir impériales. Les agences de renseignement. La ploutocratie. Le capitalisme. Débranchez complètement votre énergie émotionnelle de l’illusion de la politique électorale et consacrez plutôt votre attention aux mouvements concrets des armes, des ressources et des richesses.
Tant qu’ils pourront nous faire applaudir au spectacle des marionnettes, nous ne prêterons jamais attention aux forces qui tirent les ficelles. Nous ne serons jamais assez conscients des vrais problèmes pour trouver de vraies solutions et les mettre en œuvre. Nous ne serons jamais en mesure d’opposer une véritable opposition à un véritable pouvoir.
Et c’est là toute l’idée. C’est pourquoi ce stupide spectacle de marionnettes revient tous les quatre ans.
Arrêtez d’applaudir et commencez à regarder autour du théâtre. Vous savez où les dirigeants de l’empire veulent que vous portiez votre attention, alors commencez à regarder là où ils ne veulent pas que vous regardiez.
Réveillez-vous.
Nous sommes tous d’accord sur la définition du mot renaissance : il s’agit de naître une nouvelle fois, ou naître nouveau. Qui ne veut pas vivre une renaissance dans sa vie, être nouveau ? Et, est-ce possible ?
En langage des oiseaux, nous pouvons entendre ou lire « ren’Essence » = rends essence… ou essence redonnée, ou mise au monde.
Allons plus loin dans cette ouverture révélatrice !
Nous sommes tous d’accord sur la définition du mot renaissance : il s’agit de naître une nouvelle fois, ou naître nouveau. Qui ne veut pas vivre une renaissance dans sa vie, être nouveau ? Et, est-ce possible ?
En langage des oiseaux, nous pouvons entendre ou lire « ren’Essence » = rends essence… ou essence redonnée, ou mise au monde.
Allons plus loin dans cette ouverture révélatrice !
On emploie très souvent l’adjectif essentiel, qui signifie majeur, crucial, à mettre au centre, indispensable. On en parle autant pour des objets que des sujets. Mais on utilise assez peu le nom essence. On a même fait devenir cet adjectif essentiel un nom, qui gomme le mot essence dans le langage : « ceci est mon essentiel ».
On oublie peu à peu l’essence…
On peut parfois la retrouver dans des questionnements : quelle est l’essence de ton projet ? par exemple, et… difficile de répondre à une question que l’on se pose rarement ! En creusant, on va l’entendre comme étant l’origine du projet, ou sa valeur fondamentale, ce qui le fait vivre. Mais c’est tout de même assez rare de nos jours : on emploie davantage essentiel. L’effet produit est que cela focalise sur le résultat, qui est ce dont chacun tient surtout compte de nos jours, car nous sommes dans un monde matérialiste, orienté vers et obsédé par les apparences physiques et les résultats matériels.
Or chercher l’essence requiert de passer au-delà du voile des apparences !
Il est très différent de dire : je vais te parler de l’essence de mon action, et je vais te parler de l’essentiel de mon action ! Quand on dit l’essentiel, on synthétise et on n’aborde que le plus important de ce qui a été agi. Quand on dit l’essence, on s’extrait de l’action, et on revient plus haut, derrière, dans l’invisible, on se retourne vers la source causale, la vie originelle, spirituelle, éternelle, qui a induit qu’une action est ensuite advenue. C’est très différent !
Nous ne pourrons certes pas changer le fait que les gens aient fait disparaitre le nom essence de leur langage courant, en revanche, nous pouvons nous efforcer, en plus de le voir en face, de comprendre pourquoi ce miroir nous est tendu, ce qu’il signifie, et comment le résoudre, au-delà du langage en lui-même.
Présentement, force est de constater, au travers du changement linguistique décrit ci-dessus, que l’on fuit l’essence. Dès lors, le mot essentiel se trouve vidé du nom, du sujet, dont il provient. Eh oui, l’adjectif essentiel provient du nom essence, et sans l’essence, rien ne peut être essentiel, ceci est une lapalissade !
On laisse l’essence dans l’obscurité, dans les confins grisâtres de l’ignorance générale, si ordinaire et acceptée comme normale ! On ne s’y intéresse pas : même le langage le montre ! Avoir une belle copine, c’est essentiel, avoir de l’argent c’est essentiel, réussir sa vie, c’est essentiel… Oui, bravo, on insiste bien sur ce qui est essentiel pour soi, mais « soi »… ? Quelle est l’essence de soi qui réalise plein de choses prétendument essentielles dans sa vie ?
Ne pas connaître l’essence de l’être que « Je suis » n’est pas du tout normal ! C’est symptomatique d’une civilisation qui exclut Dieu de sa vie ! En effet, l’essence de « soi » se définit par la source spirituelle, l’Âme Céleste, ce qui est de l’ordre du divin, de l’éternel, du fondamental.
Agir plein de choses soi-disant essentielles, d’accord… mais si je ne connais pas mon essence, quel est vraiment l’essentiel de mon acte ?
L’adjectif essentiel qualifie l’acte que j’accomplis, dans la mesure où je suis conscient de manifester mon essence. Sinon, ce n’est pas un acte essentiel ! Ou alors, il faut inventer un autre mot pour le qualifier : un acte manqué, par exemple, puisqu’il provient d’un manque d’essence.
De nos jours, 95% de ce que l’on appelle essentiel sont en réalité des mensonges. Et l’on ne s’en rend pas compte, ou l’on ne veut pas. Finalement, très peu de choses sont sincèrement essentielles : même si l’on en prononce le mot, c’est creux, c’est faux !
Et le drame est que c’est surtout à « soi » que l’on ment !
On se pourlèche à prononcer que regarder les informations à la télévision, c’est essentiel, fonder une famille, c’est essentiel, avoir un travail bien rémunéré, c’est essentiel, avoir de belles relations, c’est essentiel, être à la mode, c’est essentiel, avoir des diplômes, c’est essentiel… mais tout est à l’extérieur de « soi » ! C’est comme une coquille vacante, ou nous dirons emplie de rêves, de conditionnements, mais notre essence n’existe pas, elle en est absente !
« Je » ne suis pas dedans, car sans mon essence, la coquille vide, c’est moi : « Je » suis éteint.
Ceci est dangereux, car l’être humain est avant tout un esprit, un sujet divin, une création sublime, éternelle, dont le but est de se révéler en tant que tel sur Terre, en jouant à l’école de la vie, en créant, en aimant, en agissant seul et avec ses frères et sœurs ! Et s’il ne le fait pas, alors… sans son essence de vie, l’être humain perd le sens de sa vie, et par là même, son humanité.
A un moment donné, il se sent en effet vide, à côté de sa vie, épuisé de courir après on ne sait quoi, parfois résigné, voire désespéré. C’est caractéristique, mais personne n’est obligé de continuer ainsi, et ce serait même grave de le faire ! Cela explique pourquoi ce que l’on appelle la matrice, avec ses forces de mort et de destruction, est aussi prédominante ! L’être humain vit sans son essence consciente, il est donc faible, il n’apporte quasiment rien en termes de puissance de Bien pour contrer, avec des moyens vertueux, cette emprise permanente qui cherche sa perte.
En somme, nous dirons que plein de gens sont sur la Terre, oui, en apparence, mais pour autant l’Humanité n’est pas au rendez-vous ! Or il est certain qu’elle aime les rendez-vous… essentiels ! Ne pas les vivre est une vraie souffrance, et la ressentir est salvateur : cela montre que la quête n’est pas si loin… Tout reste possible !
L’important est donc de quêter et trouver : « Quelle est mon essence !? » Ainsi, je pourrai vraiment habiter ma vie de mon essence consciente, et ma vie deviendra enfin… sincèrement essentielle ! Ce sera la clé pour une vie nouvelle, une renaissance !
Pour cela, il existe une méthode : la méditation créatrice, créée par Pierre Lassalle.
Ce n’est pas une baguette magique, mais à la pratiquer régulièrement, il est vrai que la notion de magie ou de miracle prend tout de même un sens plus palpable !
Rencontrer notre essence requiert un recul puissant face à l’attraction de la matière qui, si nous nous y identifions trop, nous projette et nous enfonce loin du divin, de l’Âme.
Or, cette méthode de méditation a justement ceci de particulier qu’elle permet une entrée profonde en soi, qui procure une bienfaisante expérience de détachement vis-à-vis de tout ce qui est matériel : ce qui alourdit et qui est éphémère, futile, utilitaire, extérieur à soi, bref, beaucoup de charge et un état d’esprit focalisé sur le monde physique, alors que ce n’est pas la vraie réalité de l’existence d’un être humain sur Terre.
C’est ce que Pierre Lassalle appelle l’Intériorisation. Ce processus, qui précède et permet l’expérience de la méditation créatrice, a fait ses preuves sur des milliers de personnes, depuis plus de 30 ans. L’Intériorisation permet un déplacement de la conscience, un passage de l’extérieur de soi vers l’intérieur de soi, garantissant que l’être humain qui souhaite vraiment découvrir son essence puisse y parvenir !
Ceci n’est pas une simple vue de l’esprit, encore moins du channeling, de la médiumnité, ou autre méditation orientale, ou de pleine conscience ou de rêve éveillé, ou autres : c’est totalement différent, et donc unique !
Il s’agit de créer en soi une nouvelle arche, pour rejoindre son Soleil intérieur, sa Source spirituelle : son Essence avec un E capital ! C’est comme un pont que l’on construit en soi, et qui permet de traverser les apparences physiques, pour pénétrer dans sa profonde intériorité.
Pour ce faire, la méditation créatrice se pratique non pas dans le corps physique, mais dans le corps éthérique, le corps de la vie (corps vital ou énergétique). Pénétrer dans cet univers intérieur permet de se ressentir vivant, certes, et aussi de ressentir sa vraie appartenance, sa vraie patrie, et… sa vraie essence !
C’est une méthode qui est enseignée en stage, en direct, pour amplifier cet aspect vivant.5 Elle permet de lâcher l’éphémère pendant le temps de la méditation, et d’apprécier ce qui est vraiment vital, pour ensuite l’amener dans sa vie de tous les jours.
Certes, c’est une façon de se détacher du monde extérieur, mais comme elle s’appelle méditation créatrice, il s’agit aussi de cultiver une dynamique intérieure, de façon à créer une relation avec sa partie divine… son essence… qui existe vraiment ! Elle vit dans le monde spirituel, et chacun a la chance et les moyens de se relier à elle par le biais de son corps éthérique. C’est pourquoi cette méthode de méditation est unique et vitale, car justement elle se pratique dans le corps éthérique !
C’est une révolution en termes de méditation ! Elle est sans comparaison aucune.
Ainsi, lorsque l’on vit l’Intériorisation, et que l’on se retrouve dans son corps éthérique, (dans son cœur éthérique, ou chakra du cœur), l’on a ce ressenti suprême de se retrouver « chez soi », et l’aspiration à rejoindre ses hauteurs célestes devient évidente.
Bien sûr, cela demande des efforts de concentration, de dynamisation de la pensée, d’élévation de conscience, mais les questions Qui suis-je ? ou D’où viens-je ? ou Quelle est mon essence ? émergent par le fait même de cette reconnaissance que « Je » ne suis pas qu’un corps, « Je » suis un esprit : dans le corps éthérique, ceci est une certitude, une reconnaissance, « Je » le ressens, « Je » le vis !
Par la suite, ce sera une démarche de dévoilement conscient et persévérant : quelle est, ou qui est mon essence ? C’est un jeu d’exploration !
Autant l’on a fait le tour de son corps physique, autant le corps éthérique est inexploré ! C’est paradoxal au fond : il nous permet d’être en connexion, en proximité avec notre vrai monde, le monde spirituel, mais en même temps, nous y intérioriser en conscience, voici qui est nouveau !
C’est très unique : dès la première reliance intime avec sa Source spirituelle… oh, comme elle est bouleversante cette vie divine qui est « soi » ! Ce n’est pas une vague énergie, ni quelque chose de rêvé ou intellectualisé, non, c’est réel, c’est vrai et c’est Soi de toute éternité !
Chaque expérience dans le cœur éthérique, l’une après l’autre, ôte tous les doutes et sentiments de vide et de désespérance.
[...]