En Angleterre, des appareils de haute technologie seront installés dans des aires de stationnement du sud-est de l’Angleterre dans les semaines à venir dans le cadre d’un essai sur les autoroutes nationales.
Les nouveaux systèmes de vidéosurveillance seront en mesure de détecter les infractions et de les envoyer directement aux salles de contrôle de la police, permettant aux agents d’éviter d’avoir à parcourir des heures de séquences pour poursuivre un automobiliste. Les images transmises de la caméra à la salle de contrôle peuvent être examinées immédiatement et une amende de 100 £ envoyée à la personne à qui la plaque d’immatriculation de la voiture est enregistrée.
« Voilà comment installer la surveillance généralisée du crédit social. Laisser un problème dégénérer, puis dire qu’il n’y a que la technologie pour le résoudre, installer une solution de contrôle automatisé et les gens seront heureux. »
C'est en tant qu'amoureux de la nation que j'écris ce texte. Écrit rapidement et dans l'urgence, j'y développe mon analyse à froid. Je précise, eu égard au contexte, être sportif, en excellente santé, et n'avoir aucunes pensées suicidaires. J'invite mes anciens camarades des forces de l'ordre à lire et à partager le plus possible ce texte.
Vous qui êtes actuellement en premières lignes, fusibles d'une situation qui vous dépasse, vous devez comprendre de quelle façon et dans quel contexte vous êtes actuellement instrumentalisés. Ce contexte de déliquescence nationale dans lequel vous opérez si difficilement est voulu, provoqué et appuyé par des forces très puissantes. Je m'exprime ici en toute liberté sans vous inciter à la révolte, mais en espérant que ce texte vous aide à conscientiser votre rôle et à prendre les décisions personnelles qui s'imposent.
Affaire Nahel : contexte
Nos élites, corrompues et apatrides dans l'âme, œuvrent désormais depuis plus d'un demi-siècle à la destruction intégrale de notre pays. Hélas, le mal est fait, et l'heure n'est pas à se lancer dans de grandes démonstrations historiques, géopolitiques ou théologiques pour expliquer les rouages de ce désastre[1] ! Certains Français dégustent aujourd'hui l'âpre goût de la merde qu'ils ont lâchement cautionnée pour s'inscrire au sein du cercle désigné par leur maître comme celui de la « bien-pensance ».
Le réseau Soros, Attali, Minc qui a accouché de Macron a parfaitement compris cette phrase de Nietzsche : « La plus grande dispensatrice d'aumône, c'est la lâcheté. » De la création de « sos-racisme » en passant par celle de « touche pas mon pote », ils ont, au nom de la tolérance, sciemment promu l'émergence d'une sous culture ethnicisée et communautarisée, en réalité exhausteur de racisme à géométrie variable et de fragmentation sociale. Ils se sont appuyés pour ce faire sur la lâcheté de la population, consécutive depuis les années 80 à un sabordage médiatique culpabilisant de l'image du Français, grand perdant de la seconde guerre, sauvé par les gentils américains et historiquement présenté comme un pleutre délateur de juifs.
Beaucoup de ces lâches ignorants ont ainsi cherché à se racheter une conduite sur les bases d'une histoire caricaturée, honteusement simplifiée pour ne pas dire parfois falsifiée. Tolérant l'intolérable, il n'était plus question pour eux de s'insurger face aux vagues migratoires incontrôlées et non choisies. Pis encore, dans leurs petits esprits étriqués de gauchistes, celui qui s'en insurgeait devenait un vilain facho, caricaturalement assimilé à un adorateur du IIIᵉ Reich[2].
Aujourd'hui, dans cette situation de pré-guerre civile, l'urgence est avant tout de comprendre les dangers auxquels nous sommes exposés. Ce qui est arrivé devait se produire. Ce n'était qu'une question de temps. Récemment, les commandes massives de blindés de gendarmerie « centaures » équipés d'un tourelleau téléopéré, sur lequel se situe une AANF1 7.62 x 51 mm (arme de guerre), ou encore la grande campagne de rappel des armes détenues illégalement, constituent un faisceau d'indices qui ne peuvent qu'abonder dans le sens de mes propos.
Ces dispositions font d'une pierre, deux coups. Elles ont, en premier lieu, vocation à faire face aux risques d'émergence d'un mouvement social spontané type « gilets jaunes ». Ce risque est redouté, parce que hors de contrôle s'il est un jour organisé et structuré. Mais, elles ont aussi potentiellement vocation à participer à une opération de purge, conséquence d'un embrasement erratique parfaitement anticipable et attendu des cités, puis, par effet domino, de la population ancrée politiquement à gauche. Attendu, parce qu'il y existe des accointances puissantes entre les mafias qui tiennent ces quartiers et l'état profond, ainsi que ses services de renseignements, le tout, intégrant le maillage de la franc-maçonnerie qui chapeaute une extrême gauche prête à instrumentaliser politiquement les émeutes et à rallier les cités avec ses « antifas » aux ordres. Les racailles sont les idiots utiles d'un système ambivalent qui a posé tous les jalons nécessaires à leur révolte, et dans le même temps, tous les jalons nécessaires à leur détestation.
Cela avec pour objectif, de la part de la gouvernance, de reprendre le contrôle par la force dans un premier temps, puis dans un second, d'instaurer un contrôle intégral de la population et de nouveaux moyens numériques en guise de verrouillage définitif. Ces moyens seront acceptés par les masses parce qu'ils s'imposeront comme l'alternative indispensable à la sortie du chaos.
Affaire Nahel : les origines...
Au total, depuis 2021, le tarif réglementé de l’électricité, dont dépendent quelque 23 millions de clients, aura augmenté de 31 %.
Cette hausse de 10 %, mécaniquement, va jouer sur l’inflation à la hausse.
Comme c’était prévisible, la politique française est toujours la même.
C’est un processus itératif. Une inflation plus forte plus longtemps mais moins forte que les pays ou elle a été la plus forte, puisque nous « étalons » les hausses.
Au final, il n’y aura pas de cadeau pour les Français sur les prix de l’énergie, et le gouvernement n’est arrivé à rien avec les Allemands qui refusent de revoir le marché de l’énergie en Europe et la fixation des règles de prix.
Du coup, nous avons l’électricité la moins chère d’Europe que nous devons payer au prix fort.
Dans un tweet daté du 17 juillet 2023, Véronique Lévy partage une courte vidéo d'Alain Soral intitulée "Véronique Lévy a été appelée". Vidéo qui se termine par cette phrase : "Les forces du bien sont avec nous".
Véronique Lévy a embrassé la foi catholique et a été baptisée le 7 avril 2012 à l'Eglise saint Gervais par le Père Pierre-Marie Delfieux.
Elle a raconté sa conversion au christianisme dans son livre Montre-moi ton visage. Elle a écrit un journal de bord, Jésus-Christ ou les robots, un ouvrage d'adoration et de combat.
Elle plaide en faveur de la libération de la Palestine, et de la France dans une lettre ouverte à Macron :
Moi, Véronique Jeanne Lévy, je vous l’affirme, la dictature ne passera pas
« ENTENDEZ VOUS CELUI QUI VIENT ?
17 juillet 2021
Monsieur Macron, toute mon enfance j’ai entendu parler de la dictature nazie ou stalinienne…
Mon frère - que vous avez reçu dans vos salons élyséens - voyait des collabos à chaque coin de rue… j’ai vécu dans cette terreur fantôme et aujourd’hui, vous vous comportez comme un tyran de mascarade SS… et je le dis devant le peuple béni de France …»
Derrière la rhétorique se cache le véritable objectif : renforcer et consolider le pouvoir et l’autorité du «régime de gouvernance mondiale» et exploiter les menaces – réelles ou imaginaires – afin de faire progresser l’hégémonie du régime.
Si nous acceptons l’hypothèse selon laquelle le «développement durable» est un développement mondial qui répond aux besoins des pauvres du monde, il est peu probable qu’une personne raisonnable soit en désaccord avec cet objectif déclaré.
Mais aider les pauvres n’est pas le but de l’ODD 16.
Le véritable objectif de l’ODD 16 est triple : (1) renforcer un régime de gouvernance mondiale, (2) exploiter les menaces, réelles et imaginaires, pour faire avancer les objectifs du régime, et (3) imposer à l’humanité un système mondial d’identité numérique (ID numérique) injustifié, indésirable et contrôlé de manière centralisée.
L’objectif de l’ONU en matière d’identité numérique est caché dans l’objectif 16.9 de l’ODD :
«D’ici à 2030, garantir à tous une identité juridique, ainsi que l’enregistrement des naissances».
Bien que l’ODD 16 ne fasse pas spécifiquement allusion à l’identification «numérique», c’est ce qu’il signifie.
Comme nous le verrons, les indicateurs de la cible de l’ODD 16 ne révèlent pas non plus la vérité. Par exemple, le seul «indicateur» permettant de mesurer les progrès de l’ODD 16.9 (16.9.1) est le suivant :
«La proportion d’enfants de moins de 5 ans dont la naissance a été enregistrée auprès d’une autorité civile, par âge».
On pourrait donc penser que la tâche de «fournir une identité légale» incombe en premier lieu auxdites «autorités civiles». Ce n’est pas le cas.
Au sein du système des Nations unies, tous les gouvernements (qu’ils soient locaux, de comté, provinciaux, d’État ou fédéraux) sont des «partenaires parties prenantes» d’un réseau mondial composé d’un large éventail d’organisations publiques et privées. Nombre d’entre elles sont explicitement soutenues par les Nations unies ou hébergées dans leurs locaux, et toutes prônent l’identification numérique comme mécanisme clé pour atteindre l’ODD 16.
Cet aspect de l’ODD 16 sera examiné plus en détail dans la partie 2.
Cet amalgame mondial d’organisations utilise souvent un terme pour se décrire : il s’agit d’un partenariat mondial public-privé (G3P).
Le G3P travaille sans relâche à créer les conditions nécessaires pour justifier l’imposition d’une gouvernance mondiale «avec des dents» et de son système d’identification numérique indispensable. Ce faisant, le G3P inverse la nature de nos droits. Il fabrique et exploite des crises afin de revendiquer la légitimité des «solutions» qu’il propose.
Le G3P comprend pratiquement toutes les organisations intergouvernementales, les gouvernements, les entreprises mondiales, les grandes fondations philanthropiques, les organisations non gouvernementales (ONG) et les groupes de la société civile. Collectivement, ils forment les «parties prenantes» qui mettent en œuvre le développement durable, et notamment l’ODD 16.
L’identification numérique déterminera notre accès aux services publics, à nos portefeuilles de monnaie numérique de banque centrale (CBDC), à nos certificats de «vaccin» – à tout, même aux aliments et boissons que nous sommes autorisés à acheter et à consommer.
Les citoyens méfiants sont attentifs aux abus potentiels de l’identification numérique par leurs autorités. Dans les pays où une carte d’identité numérique nationale n’est pas la bienvenue, comme au Royaume-Uni, la solution du G3P consiste à construire un système «interopérable» qui relie différents systèmes d’identification numérique entre eux. Cette approche de «plateforme modulaire» est conçue pour éviter les problèmes politiques que la délivrance officielle d’une carte d’identité numérique nationale susciterait autrement.
Établir l’identité numérique mondiale de l’ODD 16.9 est essentiel pour huit des dix-sept ODD de l’ONU. C’est le pivot au centre d’un panopticon numérique mondial qui est en train d’être conçu sous les auspices du «régime» de partenariat public-privé mondial de l’ONU.
Ne vous y trompez pas, le « libéralisme facile » ne nuit pas au pays. Il n'y a pas de "libéralisme léger" comme il n'y a pas de "nécrose légère". La nécrose doit être amputée.
« J'ai l'impression que la racine maléfique du libéralisme n'a pas encore été extraite des plus hautes couches du pouvoir. C'est pourquoi le SVO glisse. C'est pourquoi le gouvernement hésite, n'attendant que la première occasion pour faire marche arrière. C'est pourquoi ici et là les traîtres reviennent encore (ce qui veut dire que quelqu'un les renvoie). C'est pourquoi la direction militaire est fiévreuse. C'est pourquoi les gens et la société ne reçoivent aucune réponse à des questions simples. C'est pourquoi les ennemis internes ne sont pas exécutés, mais récompensés. Mais tout a déjà été dit : soit le libéralisme, soit la Russie. Et il semble que le président l'ait dit clairement - oui, par le fait même du début du NWO ! - ce qui choisit la Russie. Et malgré cela, la racine du libéralisme, et donc de la trahison, n'est pas décapitée ».
La Russie n'existera que s'il n'y a plus de libéraux. Sinon, il n'y aura pas de Russie »
Hier soir, j’ai pu voir le film « Sound of Freedom », sorti récemment, dans un cinéma local qui, étonnamment, affichait complet pour une séance du lundi soir, plus d’une semaine après la sortie du film.
Le film met en scène Jim Caviezel dans le rôle de Tim Ballard, un ancien agent spécial du ministère de la Sécurité intérieure qui a été affecté au groupe de travail sur les crimes contre les enfants sur Internet (ICAC) et a créé sa propre organisation, Operation Underground Railroad, une association à but non lucratif qui se consacre au sauvetage des enfants victimes de la traite des êtres humains. La production de ce film aurait commencé il y a plus de 5 ans, et depuis au moins 2021, j’ai vu de nombreuses interviews et articles sur Jim Caviezel parlant de ce film ainsi que de sujets tels que l’adrénochrome, les abus rituels sataniques, le prélèvement d’organes, et d’autres sujets sombres que nous avons couverts pendant la majeure partie d’une décennie ici à Health Impact News. Bien qu’il s’agisse d’un bon film que je recommande à tous de regarder s’ils en ont l’occasion, sachez qu’aucun de ces sujets sombres n’est abordé dans ce film, et qu’il n’y a pas non plus de véritable appel à l’action avec des conseils pratiques sur la façon de mettre fin au trafic d’enfants. Alors que j’étais sur le point de quitter la salle au moment où le générique commençait à défiler, l’écran a affiché un chronomètre indiquant qu’il y avait un « message spécial » de Jim Caviezel après le générique. Ah, c’est peut-être là que Caviezel va aborder ces autres sujets, me suis-je dit, et donner des conseils pratiques sur la manière de mettre fin à tout cela. Mais il ne l’a pas fait. Le seul « appel à l’action » consistait à inciter un plus grand nombre de personnes à voir le film, en leur donnant la possibilité de scanner un code QR et de faire un don pour que d’autres puissent voir le film s’ils n’en ont pas les moyens.
Pour Tribune Libre, le 6 mai 2023, Stéphanie Reynaud interviewe Ariane Bilheran, normalienne (Ulm), philosophe, psychologue clinicienne, docteur en psychopathologie, conférencière et écrivain, et Olivier Soulier, docteur en médecine, médecin homéopathe, acupuncteur, chercheur et conférencier : ensemble, ils nous parlent du rapport entre médecine et philosophie, des techniques de manipulation des masses, de la dissonance cognitive, de la censure, de la propagande, de l’OMS et autres organismes supranationaux, des projets mondialistes, de l’effondrement de l’Occident, du contrat social de plus en plus malmené depuis quelques années et de tous les signes avant-coureurs d’un totalitarisme qui, insidieusement, est mis en place en France.
Au programme de ce numéro 142 :
Annonce
Géopolitique profonde
VPN vs Commission européenne
Economie
Yellen en Chine
UnHerd : cycle économique de 2008
Fiona Scott vs économie européenne
Diplomatie
Erdogan l’équilibriste
Libération des cadres d’Azov
Entrée de la Suède dans l’OTAN
Echec de Zélinski et de Macron
Accord céréalier
Négociations SVR-CIA
Triomphe de Sergeï Lavrov à Djakarta
Armements
Missiles S-200 vs Russie
Aide allemande vintage
Obus à sous-munitions pour l’Ukraine
Considérations militaires
Wagner suite et fin
Hachoir 2.0
Carte des opérations militaires
Lorsqu’on sait qu’il coûta 14,5 millions de dollars à réaliser, dont 5 millions de dollars furent financés par 7235 personnes, on comprend rapidement pourquoi il s’est classé (pour l’instant) à la 25e place des films les plus rentables de 2023 aux États-Unis !
Il y a donc indéniablement une demande de la part du public. Un public complotiste et adepte des théories QAnon d’après la presse qui joue soit la technique de l’édredon en n’en parlant pas, soit la carte du film conspirationniste.
Il est vrai qu’après des années d’affaires politico-financières et trois années de Covid-19, les peuples sont échaudés. Ils se sont éveillés à des nouveaux sujets, et beaucoup mènent à quelques thèmes centraux qu’on ne détaillera pas ici mais dont la pédocriminalité de réseau (de réseau étant justement la partie centrale, celle qui est toujours éludée) fait partie du trio de tête.
Le film relate l’histoire de Tim Ballard, un ancien agent du gouvernement qui s’est lancé dans une mission pour sauver les enfants des trafiquants sexuels en Colombie. Fondateur et PDG d’Operation Underground Railroad (OUR), PDG de The Nazarene Fund et auteur de plusieurs livres, Ballard a sauvé avec son organisation des milliers d’enfants, mais aussi d’adultes, victimes d’esclavage sexuel.
En 2018, Tim Ballard avait réalisé un documentaire avec son équipe des forces spéciales qui avaient infiltré un réseau de trafiquants de sexe en Haïti puis traduit ceux-ci en justice après qu’ils avaient échappé à la prison grâce à des pots-de-vin. Vous retrouverez ce documentaire sous-titré en français dans les liens en référence ci-dessous (Operation Toussaint, noté 8,7/10 IMDB).
À l’occasion de la sortie du film Sound of Freedom, Florian Philippot rappelle dans cette courte vidéo à la fois le succès du film mais surtout l’inquiétude générale des médias, des people et du personnel politique face aux informations qui sont données au public.
L’enquête a révélé un paradoxe en matière de protection de la vie privée. Alors que 72% des personnes interrogées reconnaissent les risques associés au partage de données personnelles en ligne, seules 48% déclarent prendre des mesures actives pour protéger leurs données.
Pour remédier à cette situation, Stephen Kho, expert en cybersécurité, a souligné l’efficacité des réseaux privés virtuels (VPN) pour préserver la vie privée en ligne. Il a souligné qu’un VPN peut dissimuler les adresses IP des utilisateurs aux yeux indiscrets, notamment des gouvernements, des pirates informatiques et d’autres fouineurs sur l’internet.
M. Kho a également souligné la vulnérabilité associée à la connexion aux réseaux Wi-Fi publics. Les pirates peuvent facilement espionner les activités des utilisateurs dans des lieux tels que les cafés et les aéroports. À cet égard, les VPN agissent comme un bouclier protecteur, garantissant que toutes les actions en ligne restent cachées et à l’abri des menaces potentielles.
En plus de bloquer les regards indiscrets, les VPN protègent également les utilisateurs des sites web qui suivent les habitudes de navigation.
M. Kho souligne que si les VPN constituent un outil précieux pour la protection de la vie privée, les individus doivent rester vigilants face aux escroqueries par hameçonnage et aux attaques de logiciels malveillants. La mise à jour des logiciels et l’utilisation d’antivirus et de logiciels malveillants réputés sont des pratiques essentielles pour une sécurité en ligne complète.
L’enquête a révélé que seulement 13 % des personnes interrogées se sont tournées vers les VPN pour améliorer la protection de la vie privée. Toutefois, l’utilisation des VPN a connu une augmentation notable dans la tranche d’âge des 18-24 ans.
Vous pensez peut-être que votre téléphone est un outil de communication, de divertissement et de productivité, mais c’est aussi une porte d’entrée pour les autorités qui veulent vous espionner. En effet, la France n’est pas le seul pays à avoir adopté une loi permettant à la police de prendre le contrôle à distance des appareils des suspects, avec accès aux caméras, aux microphones et aux données GPS.
Le ministre français de la Justice, Éric Dupond-Moretti, a salué l’adoption d’une nouvelle législation autorisant ce type d’espionnage pour une durée maximale de six mois, sur autorisation d’un juge, dans les cas où les peines encourues sont d’au moins cinq ans. « Nous sommes loin du totalitarisme de 1984 », a-t-il ajouté. « Des vies humaines seront sauvées ».
De toute évidence, le fait qu’un agent de la police ou du gouvernement pourrait pirater votre téléphone et observer avec désinvolture un flux en direct de votre vie ressemble à l’invasion la plus obscène de la vie privée. Et clairement, cela ouvre la porte à des abus occasionnels des libertés civiles par des personnes en position de pouvoir, ainsi qu’à des abus plus ciblés de ce pouvoir par des acteurs de mauvaise foi.
Mais cette pratique est loin d’être nouvelle, encore moins d’être rare. En 2006, avant la sortie du premier iPhone, le FBI américain activait à distance les microphones des téléphones portables (même avec les téléphones éteints) et écoutait les suspects, en toute légalité. À l’époque, vous pouviez encore retirer les piles de nombreux téléphones. Maintenant, pas tellement.