Dans de nombreuses succursales à travers l’Australie, la Commonwealth Bank a décidé de supprimer les retraits et les dépôts en espèces. Ces succursales de CommBank sont donc devenues «sans numéraire». Plus tôt cette année, ANZ (Australia and New Zealand Banking Group) a déclaré avoir également supprimé l’argent liquide.
Retirer son argent devient de plus ne plus difficile en Australie
La Commonwealth Bank a ouvert un certain nombre de succursales «sans numéraire» avec des clients qui ne peuvent plus accéder à leur argent en espèces. Les transactions en espèces au guichet ne sont pas disponibles dans ces succursales, y compris la Commonwealth Bank Place qui se situe dans le centre de Sydney. Même situation à Brisbane et Melbourne. Ces agences sans numéraires se nomment «centres spécialisés».
Les dépôts et les retraits peuvent toujours être effectués via des guichets automatiques sur place, mais pour ceux qui n’ont pas leur carte bancaire à portée de main, les choses deviennent beaucoup plus difficiles. Des retraits «en espèces sans carte» jusqu’à 500 $ par jour à l’aide de l’application CommBank sont disponibles, mais pour ceux qui ont besoin de plus de fonds ou qui n’ont pas leur téléphone avec eux, leur argent n’est pas accessible.
En mars, un autre groupe bancaire avait agi de même : l’Australia and New Zealand Banking Group avait annoncé qu’il supprimait certains de ses services et que certaines succursales n’auraient plus d’argent liquide. Il n’avait, à l’époque, pas révélé quelles succursales seraient touchées, mais avait insisté sur le fait que ce serait seulement un «petit nombre».
Cette prédominance de la banque numérique fait craindre que la société ne soit devenue trop dépendante de systèmes potentiellement vulnérables
L’ancien député du Bundestag, membre du parti de droite allemand “Alternative pour l’Allemagne” Waldemar Gerdt a annoncé des plans de destruction des peuples slaves par l’Occident. “L’élite anglo-saxonne a choisi l’Ukraine comme tremplin pour l’autodestruction totale du peuple slave, provoquant un conflit militaire en Ukraine” a déclaré Gerdt.
Selon le politicien, les élites politiques des États-Unis et de Grande-Bretagne sont derrière l’idée d’autodestruction des Ukrainiens en tant que nation. Gerdt a soutenu le point de vue de Donald Trump selon lequel le conflit armé en Ukraine pourrait être arrêté en un jour.”
Une nouvelle ère de communication digitale semble voir le jour avec l’annonce d’Elon Musk du lancement de X.com qui prend la suite du Twitter que nous connaissions. Ce site présenté comme « révolutionnaire », dirigé par une CEO dite « visionnaire », promet une expérience inédite, combinant messagerie, vidéos, audios… et même des fonctionnalités de paiement bancaire intégrées qui laissent songeurs.
L’intégration de l’authentification TwitterBlue permettra en effet aux utilisateurs d’accéder à un monde de possibilités pour effectuer leurs transactions en ligne « avec simplicité ». L’influence de Musk dans le domaine digital est indéniable, suscitant un engouement sans précédent après la levée des restrictions liées au Covid. Ses fameux #TwitterFiles ont généré un véritable raz-de-marée sur la plateforme, propulsant Twitter vers de nouveaux sommets.
La guerre contre le cash n’est pas perdue d’avance.
La preuve avec la construction de cette nouvelle usine de billets qui verra le jour à Vic-le-Comte, dans le Puy-de-Dôme.
« La construction de cette usine, d’une valeur de 250 millions d’euros, qui avait été repoussée à plusieurs reprises par le passé, va finalement avoir lieu.
Lors d’un entretien téléphonique accordé à l’AFP, le directeur général des moyens de paiement de la banque, Erick Lacourrège, s’est félicité pour la construction à venir de la nouvelle usine de billets de la Banque de France. « La décision du Conseil général a été de valider le projet, en soi, c’est une très bonne nouvelle », a-t-il, en effet, déclaré.
Les travaux devraient être lancés dans un avenir proche. Une période de deux mois devrait désormais s’écouler avant le « démarrage en tant que tel de la construction de l’usine », selon le directeur général des moyens de paiement de la Banque de France.
La nouvelle usine du Puy-de-Dôme viendra en remplacement de l’usine actuelle de Chamalières, à côté de Clermont-Ferrand. Sa construction avait initialement été décidée l’été dernier.
Dès la lecture du titre, on comprend l’orientation de ce travail et le procès exclusivement à charge que le CNOM a réalisé contre ces «soins non conventionnels». Même le terme de «non-conventionnel» est par lui-même péjoratif et manipulatoire.
Ainsi, l’acupuncture est une médecine parfaitement «conventionnelle» en Chine et l’homéopathie fait partie des thérapeutiques officiellement reconnues en Inde. On constate dès le départ que la réflexion du CNOM se veut purement franco-française et rejette par principe toutes les pratiques officielles d’autres pays.
Mais, c’est un autre débat et, si je me permets cet article au sujet du rapport du CNOM, c’est parce qu’avant tout j’ai été choqué de certaines conclusions et recommandations qui m’ont immédiatement fait penser au célèbre livre de Georges Orwell : «1984». Ce livre est un best-seller dans la plupart des pays du monde. Je l’ai même étudié pendant ma scolarité. C’est pour dire à quel point les pratiques et la société totalitaire qu’il dénonce sont sérieusement prises en compte par nos philosophes et beaucoup d’élites. Mais apparemment pas par les médecins du CNOM qui ont dû oublier de le lire ou bien qui ne l’ont pas compris.
Dans ce livre publié juste après la 2ème guerre mondiale, Orwell, contrairement aux idées reçues, ne fait pas la critique du nazisme ou du stalinisme. Il se réfère à la société qu’il connaît le mieux, la bien-pensante société anglaise d’après-guerre où il perçoit déjà les risques d’une pensée unique et de la manipulation des masses. C’est évidemment une œuvre de fiction dans laquelle l’auteur nous décrit à quoi pourrait ressembler un monde où toute pensée serait réellement l’expression de l’idéologie de la classe dominante. Il imagine que cela pourrait arriver en 1984 et beaucoup l’ont raillé, car en 1984, pas la moindre situation totalitaire dans les sociétés industrielles et démocratiques. Enfin en apparence !
La postface de l’édition publiée aux éditions Agone (celle qui propose la traduction la plus respectueuse du texte d’Orwell) nous dit : «Le véritable apport de ce roman d’anticipation est l’identification d’un type de société qui pourrait advenir si on laisse s’installer «l’esprit totalitaire». Une mentalité qui gagne plus facilement les classes sociales cultivées et les experts que les gens ordinaires».
Et c’est exactement ce que j’ai ressenti en lisant le rapport du CNOM. D’ailleurs, qui sont les membres de ce conseil national ? Des médecins comme moi qui ont fait les mêmes études et qui ne sont ni plus ni moins savants qu’un autre. Ils ont juste décidé un jour de se présenter aux élections pour faire partie du Conseil de l’Ordre des Médecins. Pourquoi ? Pour certains, c’est sans aucun doute par altruisme, par envie d’être utile à leurs confrères en organisant la profession de médecin. Pour d’autres, comme on le voit en politique, c’est parce qu’ils ont des convictions, voire des croyances et qu’ils veulent les mettre en application, pensant que cela fera progresser la médecine, quitte à imposer leur vision par des lois voire des contraintes et des procès à ceux qui osent ne pas penser de la même façon.
En écrivant ces lignes, je ne peux m’empêcher de penser au compagnonnage qui a permis de construire des cathédrales et bien d’autres merveilles de technologie comme le Pont Neuf à Paris. Autant d’exploits pour l’époque tout en se respectant les uns les autres. Pourquoi, parce que les compagnons étaient des hommes libres qui accueillaient toutes les religions, toutes les nationalités et avaient des principes dont un des principaux était : «ne fais pas à autrui ce que tu ne voudrais pas qu’il te fasse».
Autant de principes qui n’existent plus aujourd’hui au CNOM où la fraternité parait être un gros mot et la con-fraternité s’écrit en 2 mots tellement certains médecins sont vraiment pris pour des «cons» et jugés indignes de poursuivre leur activité de médecin uniquement parce qu’ils ne pensent pas exactement comme l’impose la DOXA que veut établir le CNOM.
Le très proche conseiller de Klaus Schwab, Yuval Harari, compare les territoires palestiniens occupés par Israël à un laboratoire de 2,5 millions de cobayes.
« Pirater les gens signifie connaître les gens mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes… Et nous arrivons déjà à l’émergence des régimes de surveillance totale comme dans mon pays en Israël où nous avons un grand laboratoire de surveillance appelé « les territoires occupés » où il y a 2,5 millions de cobayes, qui montre comment surveiller et contrôler complètement une population avec très peu de soldats. »
De petites maisons font dans certains domaines office d’Agence de presse, comme le prestigieux BQ, Berard Quelin. L’AGEFI faisait partiellement office d’Agence de presse, elle portait le nom d’Agence.
Découvrez le multiplicateur de propagande.
C’est l’un des aspects les plus importants de notre système médiatique, et pourtant peu connu du public : la majeure partie de la couverture de l’actualité internationale dans les médias occidentaux est assurée par seulement trois agences de presse mondiales basées à New York, Londres et Paris.
Le rôle clé joué par ces agences signifie que les médias occidentaux traitent souvent des mêmes sujets, même en utilisant la même formulation.
De plus, les gouvernements, les militaires et les services de renseignement utilisent ces agences de presse mondiales comme multiplicateurs pour diffuser leurs messages dans le monde entier.
Une étude de la couverture de la guerre en Syrie par neuf grands journaux européens illustre clairement ces problèmes : 78% de tous les articles étaient basés en tout ou en partie sur des rapports d’agence, mais 0% sur des recherches d’investigation propre.
De plus, 82% de tous les articles d’opinion et interviews étaient en faveur d’une intervention des États-Unis et de l’OTAN, tandis que la propagande était attribuée exclusivement à la partie opposée.
J’espère que les Occidentaux prêteront attention à ce qu’il a dit, c’est pourquoi je présente l’intégralité de ses remarques à la suite d’une présentation du directeur du service de renseignement extérieur. Sur la base d’informations de source publique et de renseignements recueillis par la Russie, cette dernière pense que la Pologne prévoit de s’emparer du territoire ukrainien à l’ouest du fleuve Dniepr, alors que la contre-offensive ukrainienne tant vantée s’effondre.
Si la Russie voit la Pologne commencer à masser des troupes à la frontière de l’Ukraine (et n’oublions pas que les États-Unis ont déployé au moins deux brigades blindées en Pologne), cela attirera certainement l’attention des dirigeants du Kremlin. Poutine a répondu longuement à l’exposé de Narychkine. Cela ne ressemble pas à des remarques préparées à l’avance. Il semble s’exprimer de manière extemporanée et tracer des lignes rouges très claires pour l’OTAN.
«La politique du régime ukrainien ne nous concerne pas. S’ils veulent abandonner ou vendre quelque chose pour payer leurs patrons, comme le font généralement les traîtres, c’est leur affaire. Nous n’interviendrons pas.
Mais la Biélorussie fait partie de l’État de l’Union, et lancer une agression contre la Biélorussie reviendrait à lancer une agression contre la Fédération de Russie. Nous y répondrons avec toutes les ressources dont nous disposons»
Voici un texte magnifique, parsemé de soupirs d’ébahissement et de cris de fureur, qui vous décrit la chute de l’Homo Sapiens, extraordinaire de radicalité, stupéfiante de vitesse. On nous parle des facéties de ce nous nommons wokenisme ou wokisme, des galipettes du genrisme, des cris de victoire des trans, des Alléluia du transhumanisme, – mais il s’agit de bien plus que cela. Il y a une évolution à une vitesse hypersonique qui vous fait perdre des concepts sublimes, qui désintègrent des croyances sur lesquelles se sont bâties les civilisation, – et tout cela, dans le genre : “Passez, muscade” suivi du “Show must go on”...
« Certes, “les hommes ont nié Dieu, mais ce faisant, ils n'ont pas mis en cause la dignité de Dieu, mais celle de l'homme, qui ne peut se passer de Dieu”. Le drame, c'est que nous sommes au-delà : la dignité est un concept inconnu et Dieu un vestige du passé, dont on se moque comme s'il s'agissait d'un simple retard culturel, dépassé par la lumière aveuglante de la modernité. »
Je ne suis pas là pour répondre définitivement à ces questions, car nous ne connaîtrons jamais vraiment la vérité.
Cela dit, si ce que je pense qu’il s’est passé est proche de la vérité, il s’agit peut-être de l’une des plus grandes victoires de l’histoire moderne qui n’ait pas eu lieu sur un champ de bataille.
Commençons par ce que nous savons. Depuis des mois, Prigojine dénonce le manque de soutien du ministère russe de la Défense, alors que ses hommes ont fait le gros du travail à Bakhmout. Ses problèmes avec le ministre de la Défense, Sergueï Shoïgu, sont bien connus. Il est également probable que Prigojine et le général Valeri Gerasimov ne s’entendent pas non plus.
Les concours de « à qui pissera le plus loin » entre commandants militaires ne sont pas rares, après tout.
On pourrait facilement avancer l’argument selon lequel Wagner a été nommé pour réparer les dégâts causés par Choïgou, tandis que Gerasimov a entrepris la tâche plus importante de réorienter l’armée russe en abandonnant les groupes tactiques de bataillons (BTG) au profit d’une armée centrée sur l’infanterie, plus à même de prendre et de conserver un territoire.
En plus, il y a cette guerre imminente contre l’OTAN.
On pourrait aussi facilement avancer l’argument selon lequel ses succès ont permis à Prigojine d’exiger des changements et de commencer à prendre la grosse tête.
Maintenant, faisons intervenir le facteur externe, l’ennemi, l’OTAN. Mais en réalité, ce sont les néoconservateurs américains et britanniques qui ont passé chaque heure à frapper la Russie au visage avec des mesures d’escalade flagrantes pour essayer d’attirer la Russie et Poutine hors-jeu.
Nordstream 2, l’attentat à la bombe sur le pont du détroit de Kertch, la mise en scène du massacre de Boutcha, l’explosion du barrage de Kakhovka, les attaques de Belgorod, la contrebande d’armes vers Odessa sous les auspices de l’« accord sur les céréales »… La liste est presque infinie.
Nous avons appris que le FSB russe avait déjoué une opération de contrebande de césium 137 vers l’Ukraine afin de simuler une attaque nucléaire. Pensez-en ce que vous voulez, mais dans le monde dans lequel j’ai appris à vivre, il n’y a presque rien, aucune ruse assez basse, que les Britanniques et leurs complices américains n’essaieraient pas, en désespoir de cause.
Dans ma vision du monde, le MI6 et le ministère britannique de la Défense passent leurs journées à trouver un nouveau moyen de justifier un conflit plus large entre l’OTAN et la Russie. La destruction et la balkanisation de la Russie sont, après tout, leur raison d’être depuis plus de 300 ans.
Et, jusqu’à présent, cette heuristique s’est avérée quasi parfaite pour prédire la suite des événements.
Alors, arrêtons les conneries, d’accord ?
Il ne s’agit en aucun cas d’une affaire spontanée. Cela fait des mois qu’elle se construit. Mais qu’est-ce qui a été construit ?
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Front nord : les Russes à l’initiative
C’est une drôle de façon de faire de l’écologie…
En effet, Mairi Gougeon, la secrétaire aux Affaires rurales, a estimé que 15,7 millions d’arbres avaient été abattus depuis 2000 sur des terres actuellement gérées par l’agence Forestry and Land Scotland (FLS) – l’équivalent de plus de 1 700 par jour. Un chiffre qui donnera le tournis aux écologistes qui combattent le nucléaire et prônent l’installation des éoliennes.
Mairi Gougeon a insisté sur le fait qu’il y avait une présomption de planification en faveur de la protection des forêts et que les promoteurs d’éoliennes étaient censés entreprendre une « plantation compensatoire ailleurs ». À la bonne heure !