Faut-il rappeler le rapport de 2019 de la Cour des Comptes concernant le conseil de l’Ordre des médecins qui était véritablement accablant ? Ce comportement tyrannique qui consiste à retirer la possibilité de travailler aux médecins qui ne sont pas d’accord avec Big Pharma doit cesser immédiatement. Leur rôle n’est pas de se soumettre à la Doxa, aux décisions du gouvernement et aux médias, mais de garantir la sécurité des malades. Ces médecins cotisent. L’Ordre n’est certainement pas une chambre d’enregistrement des décisions du ministre de la Santé et n’a pas à négocier avec le gouvernement et les autorités publiques. Comment est-il possible d’accepter une telle humiliation du corps médical, des médecins qui totalisent presque une dizaine d’années d’études universitaires et qui se retrouvent incapables de prendre des décisions en leur âme et conscience sans être harcelés administrativement !?
J’avais l’honneur d’être convié par Yurie Roșca à participer sur place à l’événement international organisé en décembre à Chișinău, ainsi qu’au troisième forum tenu dans la capitale moldave en septembre 2019. Quelques années plus tard, le 9 septembre 2023, à l’occasion de la quatrième édition du forum, intitulée « L’Agenda 21 de l’ONU et le Great Reset – La chute du libéralisme dans la technocratie et le transhumanisme », Yurie Roșca me faisait l’amitié de m’inviter à prendre la parole à nouveau. Je suis intervenu cette fois à distance avec un article et une vidéo pour en résumer le contenu.
La Grande Réinitialisation, ou Great Reset en anglais, est un programme d’inspiration cybernétique visant à informatiser totalement les sociétés humaines au point de « fusionner le biologique et le numérique », selon les mots de Klaus Schwab, président du World Economic Forum (WEF, forum de Davos). L’informatique doit devenir omniprésente, un passage obligé de chaque instant, un goulot d’étranglement universel, pour mener une existence normale. Plus largement, il s’agit de dépasser la condition humaine pour nous acheminer vers le transhumanisme au moyen d’un encadrement complet de la vie quotidienne par les technologies NBIC – nanotechnologies, biotechnologies, informatique et sciences cognitives. Les organisations du capitalisme occidental (WEF, FMI, GAFAM) soutiennent ce programme avec enthousiasme.
La Russie fait-elle partie, elle aussi, du Great Reset et du « Nouvel Ordre mondial » ? Est-il vrai qu’aucun État ne peut résister au mondialisme et que tous les pays suivent son agenda ?
« Je voudrais remercier notre ami d’Allemagne, Peter Töpfer, d’avoir noté mon intervention lors de la récente conférence internationale sur la multipolarité. Et si ma modeste contribution a été remarquée, c’est parce que j’ai essayé de souligner qu’en ce moment, malgré des conflits majeurs entre différents pays, ils suivent tous docilement le même agenda mondialiste. J’ai mentionné qu’il s’agit de ce qu’on appelle le Great Reset, Agenda 21 ou Agenda 2030 pour le développement durable, adopté au sein de l’ONU. Et si tous les pays, sans exception, suivent le même ordre du jour, le résultat qui sera atteint sera commun à toute l’humanité. (…) Les cercles occultes qui se cachent derrière des organisations telles que le WEF (Forum économique mondial), la Commission Trilatérale, le CFR (Council on Foreign Relations), le Groupe Bilderberg, le Club de Rome, etc. et qui opèrent par le biais d’organismes internationaux officiels tels que l’ONU, l’UE, l’OMS, l’OMC, le FMI, la Banque mondiale, la Banque des règlements internationaux, etc. ont des instruments de domination, devant lesquels aucun État ne peut résister. »
Nous y sommes.
Skynet, dans la vraie vie, la nôtre ne s’appelle pas Skynet. Vous le connaissez plutôt sous le nom grand public de ChatGPT.
Lorsque je commence cet article par « Skynet commence à apprendre à vitesse géométrique », ce n’est pas un hasard.
A Courbevoie 217 postes seront supprimés d’ici juin 2024 au sein du groupe Onclusive, spécialiste de la veille médiatique pour des entreprises et des institutions. Ils seront remplacés par l’intelligence artificielle...
Heureusement, une décision de la Cour suprême (5 vote contre 4) a statué que le scanner constituait une perquisition illégale en vertu du quatrième amendement, nécessitant un mandat que la police n’avait pas obtenu.
Un point pour la vie privée, mais le gouvernement est sur le point de disposer d’un outil bien plus controversé et dangereux pour surveiller ce qui se passe à l’intérieur de votre maison.
Contrairement à la caméra thermique, ce dispositif est déjà dans votre maison – et c’est vous qui l’y avez placé.
Comment cela fonctionne-t-il ?
Le WiFi est constitué d’ondes électromagnétiques dans les gammes 2,4 et 5 GHz. C’est la même chose que la lumière que vous voyez, sauf qu’elle peut pénétrer les murs grâce à sa longueur d’onde beaucoup plus grande. Tout comme la lumière (et l’écholocation), ces ondes se reflètent également sur diverses surfaces et, lorsqu’elles sont correctement reconstruites, peuvent être utilisées pour créer une image.
Le Parlement européen a approuvé une proposition de règlement assimilant les embryons humains aux cellules et aux tissus, les définissant comme des «substances d’origine humaine». Cela ouvre les portes à l’eugénisme et aux usages industriels.
Mardi 12 septembre, le Parlement européen a approuvé en première instance de nouvelles mesures par lesquelles il souhaite mieux protéger les citoyens qui donnent du sang, des tissus ou des cellules ou qui sont traités avec ces substances humaines. Mais en réalité, ignorant les alarmes de diverses organisations d’experts et les préoccupations des évêques européens, le projet de règlement approuvé par une large majorité composée de socialistes, de verts et de libéraux, autorise le libre marché des embryons, des fœtus et des gamètes humains et les expériences et sélections eugéniques qui en résultent.
La proposition de règlement sur les Normes de qualité et de sécurité pour les substances d’origine humaine destinées à être appliquées chez l’homme (ou règlement SoHO), qui vise à partager les cellules, le sang et les tissus humains au sein des États membres de manière harmonisée et standardisée, a été adoptée le 12 septembre, avec 483 voix pour, 89 abstentions et 52 voix contre. De nombreux députés ont insisté sur le fait que les dons de ces «substances» doivent toujours être volontaires et non rémunérés et que les donateurs ne peuvent recevoir qu’une compensation ou un remboursement pour les pertes ou les dépenses encourues.
Nous sommes confrontés à l’hypocrisie la plus flagrante qu’on puisse imaginer, car elle ouvre en fait à la marchandisation de l’humanité. En effet, pour garantir que l’Union européenne dispose de son propre approvisionnement indépendant en ces substances, comme cela est également précisé dans la fiche de mesure approuvée, «les députés demandent une stratégie européenne coordonnée par la Commission pour garantir leur disponibilité, une liste européenne de substances destinées à l’usage humain ou d’origine humaine (SoHO) déficientes ainsi que l’établissement de plans nationaux d’urgence et de continuité d’approvisionnement».
Les actions du fabricant d’ARNm Moderna – mieux connu pour être l’un des principaux sponsors du tournoi de l’US Open, remporté par Novak Djokovic, qui n’a pas été vacciné et qui n’a pas pu participer au tournoi en raison de son refus de succomber au seul produit de Moderna et au lavage de cerveau des démocrates – ont chuté de 9 %, la plus forte baisse intrajournalière depuis le 7 août, ce qui en fait la plus mauvaise performance du S&P500 et du Nasdaq 100. 7 août, ce qui en fait le plus mauvais élève du S&P500 et du Nasdaq 100, après que le fabricant de médicaments rival Pfizer a publié des prévisions sur le nombre d’Américains susceptibles de se faire vacciner contre le Covid-19, récemment approuvé. Et oui, les actions de Pfizer et de BioNTech ont également chuté.
Pour rappel, en 2020, L214 a saisi le tribunal administratif de Paris qui, par un jugement du 1er février 2022, a constaté l’illégalité des missions confiées à la cellule Déméter qui ne relevaient pas de délinquance ou de criminalité organisée.
La juridiction a également enjoint à l’État « de faire cesser les activités de la cellule nationale de suivi des atteintes au monde agricole qui visent à la prévention et au suivi d’“actions de nature idéologique” […] dans un délai de deux mois » sous peine de 10 000 € d’astreinte par jour de retard.
L’État a partiellement fait appel de cette décision. En effet, il n’a relevé appel que concernant les activités de suivi d’“actions de nature idéologique”. L’État n’a en revanche pas contesté l’annulation des activités de cette cellule tenant à la prévention des “actions de nature idéologiques”, reconnaissant ainsi clairement l’illégalité de cette activité.
Les distributeurs autorisés à vendre le carburant « à perte » pendant « quelques mois », d’après l’annonce Elisabeth Borne.
Vendre à perte c’est interdit sauf quand ça arrange le gouvernement !
« Dans une interview au Parisien datée du samedi 16 septembre, la Première ministre annonce « qu’à titre exceptionnel (…) et sur une période limitée de quelques mois », les enseignes de la grande distribution pourront vendre à perte le carburant, alors que la loi le leur interdit depuis 1963. L’objectif affiché est de « baisser davantage les prix ». « Avec cette mesure inédite, nous aurons des résultats tangibles pour les Français, sans subventionner le carburant. Le pouvoir d’achat, c’est notre combat », assure Elisabeth Borne. »
La cheffe du gouvernement a en revanche écarté toute idée de baisse des taxes à la pompe. « Chacun prend sa part. C’est normal de mettre à contribution les gros industriels. La responsabilité de l’État, c’est aussi de baisser son déficit et sa dette », justifie-t-elle. »
L’idée géniale du gouvernement ?
Faire la générosité avec l’argent des autres !!
Au sommaire de ce cent cinquante-et-unième bulletin :
01:18 – Économie :
• La Chine à 7 nm
• Forum économique de l’Extrême-Orient russe
• Discours de Vladimir Poutine
• Russie 2e exportateur de gaz liquéfié en Europe
11:45 – Politico-diplomatique :
• Élections municipales en Russie
• Anatoli Tchoubaïs aux commandes… en Israël
• Blinken veut négocier
• Ambassadeur chinois à Kaboul
• Piotr Tolstoï et l’OMS
• Rencontre Poutine-Kim Jong-un
• Rencontre Poutine-Loukachenko
22:00 – Terrorisme :
• Pape François et Kim Jong-un sur Mitrodvorets
• Réouverture complète du pont de Crimée
• Crimes de guerre et « tradition » bandériste
• Transgenre bandériste
26:19 – Armement :
• NYT et LCI : supériorité du CMI russe
• Choïgu et Ka-52
28:10 – Considérations militaires générales
• Trois nouveaux scénarios pour la guerre OTAN-Russie
• Pertes ukrainiennes
• 300 000 volontaires russes
33:35 – Carte des opérations militaires
En juillet de l’année dernière, alors que le battage médiatique autour de la pandémie de Covid s’essoufflait, je suis tombé sur une vidéo faisant la promotion d’un projet à peine médiatisé appelé « Council for Inclusive Capitalism » (Conseil pour un capitalisme inclusif). Ce groupe, dirigé par Lynn Forester de Rothschild, est l’aboutissement de décennies de divers agendas mondialistes combinés pour représenter la preuve ultime de la conspiration.
Vous souvenez-vous à l’époque où l’on disait que la gouvernance mondiale par les élites était un fantasme paranoïaque ?
Aujourd’hui, c’est une réalité.
La fondatrice et coprésidente de la chaire E.L. Rothschild et du Conseil pour un capitalisme inclusif, Lynn Forester de Rothschild, affirme qu’il est temps de mettre le terme « ESG » à la poubelle et de se concentrer sur le développement durable des entreprises. (Source : Bloomberg)
Le CIC est intimement lié à des institutions telles que le Forum économique mondial (WEF), les Nations unies et le Fonds monétaire international (FMI), mais il s’agit avant tout d’une tentative de lier plus étroitement toutes ces organisations au monde de l’entreprise dans le cadre d’une entreprise commune. Le groupe encourage la diffusion de ce qu’il appelle le « capitalisme inclusif ». Il s’agit de la notion selon laquelle les entreprises internationales sont obligées de s’engager dans l’ingénierie sociale. C’est une autre façon de dire que les entreprises sont tenues de manipuler les citoyens et les gouvernements à l’aide de sanctions et de rétributions économiques.
Nous avons vu ce programme à l’œuvre lors des confinements Covid et de la mise en place des passeports vaccinaux. Ces stratégies sont le fruit de la coopération de multinationales travaillant main dans la main avec les gouvernements. Heureusement, cette stratégie a échoué avec l’opposition des peuples et des administrations locales.
Nous avons également vu le capitalisme inclusif se manifester dans les pressions exercées sur les grandes entreprises pour qu’elles adoptent des stratégies communes en matière environnementale, sociale et de gouvernance (ESG). La plupart des lecteurs sont probablement déjà familiarisés avec l’ESG, mais il ne faut pas oublier que le public était ignorant de son existence jusqu’à ces deux dernières années. Les mondialistes élaborent des règles ESG depuis 2005. Comme le note Klaus Schwab du WEF dans son livre Stakeholder Capitalism :
"La caractéristique la plus importante du modèle du capitalisme inclusif aujourd’hui est que les enjeux de notre système sont désormais à l’échelle mondiale. Les économies, les sociétés et l’environnement sont plus étroitement liés les uns aux autres qu’il y a 50 ans. Le modèle que nous présentons ici est donc fondamentalement mondial par nature, et les deux principales parties prenantes le sont également.
Ce qui était autrefois considéré comme des externalités dans l’élaboration des politiques économiques nationales et dans la prise de décision des entreprises individuelles devra désormais être incorporé ou internalisé dans les opérations de chaque gouvernement, entreprise, communauté et individu. La planète est donc au centre du système économique mondial et sa santé doit être optimisée dans les décisions prises par toutes les autres parties prenantes".
Les chiffres sont alarmants : en 30 ans, l’incidence des cancers chez les moins de 50 ans a bondi de 79 %, le nombre de décès associés de 28%, et les pays industrialisés semblent particulièrement touchés, révèle une large étude publiée dans le BMJ Oncology le 5 septembre.
En utilisant les données des registres nationaux des cancers, des chercheurs ont analysé l’évolution de l’incidence et des décès de 29 cancers dans plus de 200 pays, entre 1990 et 2019. Les résultats sont sans appel : en 2019, 3,26 millions de cancers ont été déclarés chez les moins de 50 ans, contre 1,82 million en 1990.
Le cancer le plus répandu à cet âge est le cancer du sein. Mais ce sont les cancers nasopharyngés et de la prostate qui présentent les évolutions les plus inquiétantes. Et cette tendance ne devrait pas s’inverser : l’incidence des cancers précoces devrait encore croître de 31 % d’ici 2030. Les décès de 21 %.
Les causes précises sont difficiles à identifier : outre les facteurs de risque alimentaire (comme un régime riche en viande rouge), la consommation d’alcool et le tabagisme, les auteurs avancent d’autres pistes : les antibiotiques, le microbiote intestinal ou encore la pollution de l’air extérieur. Un point de vue que partage Jean-David Zeitoun, docteur en médecine et en épidémiologie clinique, et auteur de Le suicide de l’espèce : comment les activités humaines produisent de plus en plus de maladies (ed. Denoël, février 2023).
Les analystes du mouvement pour la liberté ont souvent parlé de “conspiration ouverte”, mais ce n’est qu’avec la réponse à la pandémie que nous avons vraiment vu le masque tomber et l’ordre du jour se révéler.
Il y a à peine cinq ans, les sceptiques rétorquaient le plus souvent qu’une telle conspiration était “impossible” parce qu’elle était “trop élaborée pour être organisée”. Aujourd’hui, ces personnes ont l’air plutôt stupides. Il est indéniable qu’il existe une cabale des élites au pouvoir, qu’elles sont fortement organisées autour de l’idéologie globaliste et qu’elles veulent un contrôle centralisé total de la société. C’est un fait immuable, étayé par des preuves infinies. Le débat est clos. La réponse Covid y a mis fin.
La liste des crimes contre les libertés civiles est longue. L’establishment et la gauche politique (avec l’aide d’une poignée de néoconservateurs) ont tenté de mettre en œuvre des mesures autoritaires sans précédent, allant de la fermeture des entreprises et des églises au port forcé de masques (les études montrent que les masques sont inutiles), en passant par la vaccination forcée à l’aide de produits expérimentaux à base d’ARNm qui n’ont fait l’objet d’aucun test de sécurité à long terme. Dans certains pays (dont la Nouvelle-Zélande et l’Australie), des camps Covid ont été construits pour emprisonner non seulement les citoyens voyageant à l’étranger, mais aussi ceux qui ne voyagent pas. La législation relative à la construction de tels camps a été proposée aux États-Unis.