Le CDC héberge un système de notification des effets indésirables des vaccins (VAERS) qui contient des données historiques sur les effets indésirables signalés pour chaque vaccin administré en Amérique. Selon une recherche dans la base de données VAERS du CDC sur le nombre de cas de cancer signalés en tant qu’effets indésirables des vaccins à l’ARNm, depuis décembre 2020 jusqu’au 5 août 2022, un total de 2 579 effets indésirables liés au cancer a été enregistré en seulement 1 an et 8 mois.
Mais une recherche similaire dans la base de données VAERS sur le nombre de cas de cancer signalés comme effets indésirables de tous les autres vaccins disponibles entre 2008 et 2020, soit une période de 13 ans, révèle qu’il n’y a eu que 791 effets indésirables liés au cancer.
Nombreux sont ceux qui affirment simplement, sans étayer leur affirmation par des preuves, que cela est dû au volume des injections de Covid-19 par rapport à tous les autres vaccins. Malheureusement, tous ceux qui affirment cela se trompent.
Pour s’en convaincre, il suffit d’examiner le nombre de doses administrées...
La semaine dernière, les médias ont multiplié les avertissements à propos du dernier variant du Covid-19, le dernier d’une longue liste. Il semble que personne n’écoute plus. Pour une grande partie de la population, la pandémie est terminée depuis longtemps et appartient définitivement au passé. Personne ne veut tomber de nouveau dans une spirale infernale de restrictions, de confinements, de masques et de vaccinations, après que ces dernières années ont sérieusement sapé la crédibilité des gouvernements et la confiance du public en leur capacité à prendre les décisions adéquates. Les gouvernements occidentaux n’ont plus la volonté politique ni l’intérêt d’oser prendre des décisions impopulaires, même si certains tirent la sonnette d’alarme.
Sur bien des plans, la pandémie a marqué un tournant dans les relations entre les gouvernements et la population dans les pays occidentaux, précisément parce qu’il s’agissait de la première épidémie d’une telle ampleur à survenir à l’époque de la culture des médias sociaux de masse, où les gens, plus interconnectés que jamais, ont la capacité illimitée d’exprimer leurs propres opinions, d’entendre celles des autres et, ainsi, d’exprimer leur désaccord à l’égard des gouvernements et de leurs politiques. L’ère des réseaux sociaux a déjà posé de nombreux défis aux structures étatiques, alors que les gouvernements occidentaux s’efforcent de reprendre le «contrôle du récit» perdu depuis lors sur leurs populations. La liberté des médias sociaux est un facteur clé qui a contribué, voire provoqué des résultats qui ont choqué les élites, notamment l’élection de Donald Trump aux États-Unis et le Brexit au Royaume-Uni. Par conséquent, les classes dirigeantes des pays occidentaux ont renforcé la censure et le contrôle du discours sur les réseaux sociaux, en qualifiant les points de vue indésirables de «désinformation», voire de propagande malveillante diffusée par des pays étrangers, tels que la Chine ou la Russie...
Le décret du 29 août 2023 « relatif aux usages et aux conditions d’utilisation des eaux de pluie et des eaux usées traitées » a été source de polémique. La manière dont il a été rédigé laisse à penser que les eaux de pluie ne seront pas autorisées dans nos habitations ni pour arroser nos jardins. Le gouvernement s’en défend.
Le 24 septembre 2023, Pierre L’écoleau et Benjamin Vialan étaient tous deux les invités d’une émission proposée par le média L’ArchiPelle qui met en lumière les experts et initiatives en lien avec l’autonomie et la résilience. Ils y ont évoqué leur inquiétude vis-à-vis du décret du 29 août 2023. Ce dernier, dédié à l’utilisation des eaux non domestiques, contient deux articles pour le moins déconcertants.
Alors que ce texte de loi concerne l’usage des eaux usées traitées et les eaux pluviales, les articles R. 211-126 et 127 indiquent que l’utilisation de ces eaux « n’est pas possible » dans « les locaux à usage d’habitation », ni pour « l’arrosage des espaces verts des bâtiments ». Des propos qui ont engendré plusieurs contenus alarmants sur les réseaux.
[...]
Pour dissocier le faux du vrai dans les témoignages d’apparitions d’ovnis, les médias grand-public occidentaux s’appuient sur les conclusions d’organismes d’études officiels, dont le but essentiel est d’élaborer un dogme uniforme et policé auprès de leur population. En fonction des objectifs des gouvernements, ces comptes rendus peuvent soit nier l’évidence, soit alimenter la peur.
Ce résumé s’appuie sur la perception du phénomène aux Etats-Unis et en France, car aucun regroupement des commissions d’enquête n’a lieu à un niveau international. Le peu d’informations qui transpirent laisse à penser qu’il en est ainsi dans tout le monde occidental.
Les comités « Théodule » qui se sont succédé depuis 1950 ont tous employé des techniques équivalentes pour expliquer les phénomènes ovnis : décrédibiliser le témoin par ses antécédents, objecter un manque d’informations fiables, associer l’observation à un phénomène physique banal (ballon sonde, avion, météorite, reflet sur l’eau, lune, lampadaire…)
Le petit nombre d’événements qui ne rentre manifestement pas dans le cadre de ces explications simplistes est tout simplement ignoré.
Les commissions sont à sens unique, elles pompent tous les témoignages, mais ne restituent rien. La commission Majestic12, très secrète, a la particularité d’être privée, et agit pour le compte de Rockfeller and Co, au cas où il y aurait quelque chose à breveter.
Le phénomène Ovni a récemment été à juste titre requalifié en PAN (Phénomène Aérien Non-identifié) ou UAP (Unidentified Aerial Phenomena). Néanmoins, on n’a pas souhaité faire allusion dans le sigle au comportement intelligent du phénomène.
La solution radicale employée par les armées du monde entier est de lancer sans sommations la chasse aérienne avec ordre de tirer pour abattre l’intrus, alors qu’un ovni ne devient agressif que si le témoin est, le premier, l’agresseur. Vous avez dit fraternité galactique ?
La doxa officielle ignore que le phénomène UAP existe depuis la nuit des temps et a arbitrairement fixé à juin 1947 le début des premières observations. Tous les pays occidentaux (et wikipédia) centrent la genèse du phénomène essentiellement sur les Etats Unis, alors que les observations ont lieu dans le monde entier, sous les mers, dans l’espace, autour de la lune et des planètes.
Le profil en forme de soucoupe devient rare, alors qu’il était fréquent dans l’antiquité. Les très nombreuses observations actuelles font essentiellement référence à des sphères lumineuses ou métalliques, parfois à proximité de sites militaires sensibles, de centrales nucléaires ou lors de catastrophes (tremblements de terre, tsunami, incendies, Tchernobyl, 11 septembre, Fukushima…)
Cas des abductés (enlèvements) Seuls 7 cas d’enlèvement sont officiellement référencés (voir Wikipédia), bien que la plupart des 7 soient totalement bidonnés. Depuis 1997, aucun enlèvement ou contact rapproché n’a été officiellement enregistré, alors qu’ils se comptent par centaines. Il faut savoir que des revues spécialisées, comme LDLN de Joel Mesnard (1), ont pendant des années (1988 à 2014) enregistré tous les témoignages de terrain par l’intermédiaire d’un réseau d’ufologues indépendants. Ils n’ont jamais rencontré de cas similaires à l’affaire montée en icône par Betty et Barney Hill en 1961. Enlevés et violés dans une soucoupe carcérale, qui présente toutes les caractéristiques d’une séance satanique bien de chez nous. Les cas documentés d’enlèvements font plutôt état d’une inspection médicale bienveillante, quoique traumatisante.
A l’opposé du sensationnel malsain, la presse néglige les observations rapprochées d’ovnis multiformes et stupéfiants par leur originalité qui vont parfois jusqu’à la distorsion de l’espace-temps, la paralysie ou même une communication interactive intelligente de type hypnotique avec les témoins.
Children’s Health Defense (CHD) Europe et le groupe suédois de défense de la liberté médicale Doctors’ Appeal se réuniront le 30 septembre à Stockholm pour un symposium sur la liberté médicale.
Le symposium, intitulé “En garde pour la liberté de l’humanité“, fait partie d’un événement plus large de trois jours qui réunira plus de 25 intervenants – des personnalités éminentes du mouvement mondial pour la liberté en matière de santé. L’événement sera également retransmis en direct.
Les principaux thèmes du symposium sont les suivants:
“Il se passe tellement de choses en ce moment – des développements au sein de l’Union européenne, du Parlement européen, de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et dans toute l’Europe”, a déclaré Mary Holland, présidente de la CHD. “Je suis très heureuse qu’un groupe clé de dirigeants du secteur de la liberté de la santé se réunisse pour analyser les développements et élaborer des solutions pour l’avenir.
Le Dr Michael Palmer, microbiologiste canadien qui est l’un des signataires fondateurs de Doctors for COVID Ethics, sera l’un des orateurs du symposium. Il a déclaré au Défenseur: “The Doctors Appeal a organisé un grand symposium sur le Covid-19 en janvier. Il est formidable de les voir s’associer à la CHD pour ce symposium dont le programme est plus vaste.
Doctors Appeal (l’appel des médecins), lancé en mars 2021, s’oppose aux restrictions liées au Covid-19 et aux passeports vaccinaux. Le groupe demande une protection accrue des groupes à risque. Récemment, elle a lancé une initiative pour que les pays quittent l’OMS.
Catherine Austin Fitts, ancienne commissaire fédérale au logement du ministère américain du logement et du développement urbain et éditrice du “rapport Solari“, interviendra également lors du symposium. Elle a indiqué que l’Appel des médecins avait déjà “organisé une conférence sur la médecine et la santé en Suède avec CHD Europe”, qui “a connu un grand succès”.
“Nous voulons prolonger ce succès en réunissant des dirigeants dans les régions clés où le contrôle est mis en œuvre (…) pour discuter des possibilités de modifier le cours des événements et pour discuter et partager des tactiques susceptibles d’inverser la tendance vers la liberté”, a déclaré Mme Fitts.
Il est apparu au cours de l’année 2021 après que l’injection covid 19 se soit répandue comme une trainée de poudre dans une majeure partie du monde occidental… Coïncidence ou causalité ?
Les premiers cancers post vaccination sont apparus très tôt
L’attention des médecins cliniciens – ceux qui voient de vrais malades en consultation, les interrogent et les examinent- avait été très tôt attirée par des modifications de l’évolution clinique de certains patients dans les quelques mois suivant les débuts de la campagne d’injections anticovid. Initialement ce furent des rechutes brutales, et résistantes, de patients apparemment guéris de cancer depuis plus de dix, quinze ans voire plus, en rémission complète, qui sidérèrent les généralistes et les cancérologues (qui ne l’avouèrent que sous le manteau…).
Un exemple typique a été celui de monsieur Axel Kahn, président de la ligue contre le cancer, qui s’était fait remarquer par ses positions extrémistes pro vaccins covid1 et dont le cancer d’évolution jusqu’ici lente a explosé après sa vaccination l’emportant en quelques mois.
De nombreuses malades en rémission de cancer du sein rechutèrent contre toute attente après une si longue durée.
Parallèlement les médecins virent arriver dans leurs cabinets de très jeunes gens d’une vingtaine d’années ou moins atteints de maladies hématologiques, telles des lymphomes, des glioblastomes etc. d’apparition jusqu’ici exceptionnelle chez les jeunes, d’évolution particulièrement rapide et résistant trop souvent à toute espèce de traitement.
Les témoignages se multiplient par mail, téléphone, rencontres, réseaux sociaux, groupes sur Telegram etc.. Tel un voisin bien portant de 83 ans injecté qui meurt en deux mois d’un cancer du pancréas, cancer au premier rang des récits pris au hasard, peut-être parce que ce cancer est particulièrement difficile à traiter et rapidement mortel.
La responsabilité est la capacité de répondre à l’engagement que nous avons pris. C’est garantir que nous accomplirons notre engagement. Cela signifie que nous ne pouvons nous sentir responsables que d’un engagement que nous sommes conscients d’avoir pris !
Ainsi, la responsabilité découle d’un engagement choisi consciemment et librement.
Être responsable, c’est être capable de prendre une décision par sa propre autorité, sans faire appel à une autorité extérieure. Généralement, les gens qui craignent les responsabilités s’arrangent toujours pour que d’autres prennent les décisions à leur place. Ils se placent dans une position de faiblesse, de soumission (étant ainsi « sous » leur mission) ou de victime, afin de pouvoir faire appel à un « sauveur » qui prendra la décision adéquate, et endossera donc la responsabilité du résultat à leur place. Ne nous étonnons pas alors que ces personnes éprouvent des difficultés à trouver leur place en ce monde ! Ceci est normal car elles donnent leur pouvoir décisionnaire à d’autres et, ainsi, refusent de jouer le rôle qui leur est propre.
En réalité, être responsable, c’est tenir ses engagements dans le temps (être persévérant), c’est-à-dire être une personne sur laquelle les autres peuvent compter.
En résumé : si nous refusons d’assumer nos engagements, nous nous soumettons à ceux qui les rempliront à notre place, à savoir des « autorités. »
[...]
Qui est réellement Thierry Casasnovas ?
Est-il le leader incontesté d’une secte ou bien est-il une victime de sa décision de ne pas suivre la voie dictée par les laboratoires et de la Miviludes « Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires » ?
Dans cette interview inédite, Thierry Casasnovas se livre comme il ne l’a jamais fait. Il partage son parcours depuis sa jeunesse, sa lutte contre une maladie qui aurait dû l’emporter, sa guérison, et le chemin qu’il a parcouru au fil des années jusqu’à devenir aujourd’hui, sous la plume des journalistes, le « pape très controversé du crudivorisme ». La question demeure : Est-ce la justice qui parle ou bien est-ce la cabale qui le cible ?
Le Média en 4-4-2 vous offre l’opportunité de vous forger votre propre opinion.
00:00 Intro
- Géopolitique profonde
- Logios
- Planet VPN
- UE vs Elon Musk
03:49 Economie
- Croissance russe vs croissance de l’UE
- Augmentation des revenus pétroliers
- Blocage des exportations russes de carburants.
- Dédollarisation
07:59 Politico-diplomatique
- Encore une tribune hystérique pour Kiev
- La Pologne et les Polonais
- SS à Ottawa
- Des Nazis en Ukraine ?
- Des Nazis au Canada ?
- Institut Farceur des Relations Internationales
- Echanges Poutine-Raïssi
- Fin de la République d’Artsakh
32:30 Armement
- Satellite militaire iranien : rupture stratégique
- Arrivée des Abrams en Ukraine
- Utilisation massive des FAB-500
- Lantset & Scalpel
- Augmentation du budget militaire russe
38:30 Considérations militaires générales
- Inadaptation de la formation otanienne
- Opérations Tik-Tok ukrainiennes en Crimée
- Où est Zaloujny (chef d’état-major ukrainien) ?
45:25 Carte des opérations militaires
Sous prétexte de santé, les idéologies de la sexualité précoce et de l’identité de genre sont partout.
Éducation précoce à la sexualité, théories des genres, droits sexuels, les programmes sur la sexualité sont à la une de la rentrée et font des mécontents. De nombreux parents expriment leur colère face à des activités qu’ils estiment inadaptées voire choquantes. En Belgique, la question est au centre de l’attention et a donné lieu à des manifestations contre les obligations autour des animations ‘à la Vie Relationnelle Affective et Sexuelle’ votées il y a peu. En toile de fond, une volonté des organisations internationales de faire de la santé sexuelle et de l’identité des genres une priorité de l’agenda 2030.
[...]
La prochaine étape de cette interdiction doit intervenir début 2025.
Début 2025, les logements classés G au diagnostic de performance énergétique (DPE) ne pourront plus être mis en location. C’est en tout cas ce que prévoient les textes actuels.
Car Bruno Le Maire, le ministre de l’Économie et des Finances, s’est dit ce mardi 26 septembre 2023 « très favorable » au report de cette interdiction de location des passoires thermiques, qui concerne déjà certains logements très énergivores (ceux consommant 450 kWh d’énergie finale par mètre carré et par an).
« Je considère que tout ce qui a été décidé avant la hausse des taux mérite d’être regardé à nouveau à l’aune de cette crise », explique-t-il, dans une interview au Parisien. « Ce qui était possible lorsque l’argent était disponible, devient impossible avec des taux aussi élevés. Il faut être très pragmatique et regarder si on peut décaler les calendriers ».
Actuellement, ce calendrier prévoit que les logements de classes F seront interdits de location au 1er janvier 2028 et que les logements classés E le seront en 2034. » (Source Ouest-France ici)
Il faut ralentir la transition et revenir au bon sens.
Il y a plusieurs paramètres à prendre en considération...
L’étang de la fin ou le lac de la fin correspond à un temps à ne pas négliger. Oups !
En effet, l’expression « la fin des temps » représente une période annoncée depuis environ deux mille cinq cents ans (par le prophète Daniel en premier), et qui est marquée par les Tribulations ou les Epreuves de l’Humanité. C’est une époque difficile, confirmée par le Christ il y a deux mille ans (cf. la petite apocalypse, et aussi plus récemment), et qui devrait durer – dans sa période la plus dramatique – environ trois ans et demi.
Mais, ces tribulations font elles-mêmes partie de la fin des temps qui durent plus longtemps (environ une quinzaine d’années !).
C’est en 2020 que nous pouvons situer le début de la « fin des temps ».
La crise du Covid-19 qui dissimulait l’installation de la 5G, et qui déboucha sur le fait qu’environ 80% des Occidentaux se sont soumis au mal, a été une sorte de cataclysme que la plupart des gens n’ont même pas vu !
La Vierge Marie a beaucoup parlé de la fin des temps lors d’apparitions dans de nombreux pays, depuis plus d’un siècle...