Les distributeurs autorisés à vendre le carburant « à perte » pendant « quelques mois », d’après l’annonce Elisabeth Borne.
Vendre à perte c’est interdit sauf quand ça arrange le gouvernement !
« Dans une interview au Parisien datée du samedi 16 septembre, la Première ministre annonce « qu’à titre exceptionnel (…) et sur une période limitée de quelques mois », les enseignes de la grande distribution pourront vendre à perte le carburant, alors que la loi le leur interdit depuis 1963. L’objectif affiché est de « baisser davantage les prix ». « Avec cette mesure inédite, nous aurons des résultats tangibles pour les Français, sans subventionner le carburant. Le pouvoir d’achat, c’est notre combat », assure Elisabeth Borne. »
La cheffe du gouvernement a en revanche écarté toute idée de baisse des taxes à la pompe. « Chacun prend sa part. C’est normal de mettre à contribution les gros industriels. La responsabilité de l’État, c’est aussi de baisser son déficit et sa dette », justifie-t-elle. »
L’idée géniale du gouvernement ?
Faire la générosité avec l’argent des autres !!
Au sommaire de ce cent cinquante-et-unième bulletin :
01:18 – Économie :
• La Chine à 7 nm
• Forum économique de l’Extrême-Orient russe
• Discours de Vladimir Poutine
• Russie 2e exportateur de gaz liquéfié en Europe
11:45 – Politico-diplomatique :
• Élections municipales en Russie
• Anatoli Tchoubaïs aux commandes… en Israël
• Blinken veut négocier
• Ambassadeur chinois à Kaboul
• Piotr Tolstoï et l’OMS
• Rencontre Poutine-Kim Jong-un
• Rencontre Poutine-Loukachenko
22:00 – Terrorisme :
• Pape François et Kim Jong-un sur Mitrodvorets
• Réouverture complète du pont de Crimée
• Crimes de guerre et « tradition » bandériste
• Transgenre bandériste
26:19 – Armement :
• NYT et LCI : supériorité du CMI russe
• Choïgu et Ka-52
28:10 – Considérations militaires générales
• Trois nouveaux scénarios pour la guerre OTAN-Russie
• Pertes ukrainiennes
• 300 000 volontaires russes
33:35 – Carte des opérations militaires
En juillet de l’année dernière, alors que le battage médiatique autour de la pandémie de Covid s’essoufflait, je suis tombé sur une vidéo faisant la promotion d’un projet à peine médiatisé appelé « Council for Inclusive Capitalism » (Conseil pour un capitalisme inclusif). Ce groupe, dirigé par Lynn Forester de Rothschild, est l’aboutissement de décennies de divers agendas mondialistes combinés pour représenter la preuve ultime de la conspiration.
Vous souvenez-vous à l’époque où l’on disait que la gouvernance mondiale par les élites était un fantasme paranoïaque ?
Aujourd’hui, c’est une réalité.
La fondatrice et coprésidente de la chaire E.L. Rothschild et du Conseil pour un capitalisme inclusif, Lynn Forester de Rothschild, affirme qu’il est temps de mettre le terme « ESG » à la poubelle et de se concentrer sur le développement durable des entreprises. (Source : Bloomberg)
Le CIC est intimement lié à des institutions telles que le Forum économique mondial (WEF), les Nations unies et le Fonds monétaire international (FMI), mais il s’agit avant tout d’une tentative de lier plus étroitement toutes ces organisations au monde de l’entreprise dans le cadre d’une entreprise commune. Le groupe encourage la diffusion de ce qu’il appelle le « capitalisme inclusif ». Il s’agit de la notion selon laquelle les entreprises internationales sont obligées de s’engager dans l’ingénierie sociale. C’est une autre façon de dire que les entreprises sont tenues de manipuler les citoyens et les gouvernements à l’aide de sanctions et de rétributions économiques.
Nous avons vu ce programme à l’œuvre lors des confinements Covid et de la mise en place des passeports vaccinaux. Ces stratégies sont le fruit de la coopération de multinationales travaillant main dans la main avec les gouvernements. Heureusement, cette stratégie a échoué avec l’opposition des peuples et des administrations locales.
Nous avons également vu le capitalisme inclusif se manifester dans les pressions exercées sur les grandes entreprises pour qu’elles adoptent des stratégies communes en matière environnementale, sociale et de gouvernance (ESG). La plupart des lecteurs sont probablement déjà familiarisés avec l’ESG, mais il ne faut pas oublier que le public était ignorant de son existence jusqu’à ces deux dernières années. Les mondialistes élaborent des règles ESG depuis 2005. Comme le note Klaus Schwab du WEF dans son livre Stakeholder Capitalism :
"La caractéristique la plus importante du modèle du capitalisme inclusif aujourd’hui est que les enjeux de notre système sont désormais à l’échelle mondiale. Les économies, les sociétés et l’environnement sont plus étroitement liés les uns aux autres qu’il y a 50 ans. Le modèle que nous présentons ici est donc fondamentalement mondial par nature, et les deux principales parties prenantes le sont également.
Ce qui était autrefois considéré comme des externalités dans l’élaboration des politiques économiques nationales et dans la prise de décision des entreprises individuelles devra désormais être incorporé ou internalisé dans les opérations de chaque gouvernement, entreprise, communauté et individu. La planète est donc au centre du système économique mondial et sa santé doit être optimisée dans les décisions prises par toutes les autres parties prenantes".
Les chiffres sont alarmants : en 30 ans, l’incidence des cancers chez les moins de 50 ans a bondi de 79 %, le nombre de décès associés de 28%, et les pays industrialisés semblent particulièrement touchés, révèle une large étude publiée dans le BMJ Oncology le 5 septembre.
En utilisant les données des registres nationaux des cancers, des chercheurs ont analysé l’évolution de l’incidence et des décès de 29 cancers dans plus de 200 pays, entre 1990 et 2019. Les résultats sont sans appel : en 2019, 3,26 millions de cancers ont été déclarés chez les moins de 50 ans, contre 1,82 million en 1990.
Le cancer le plus répandu à cet âge est le cancer du sein. Mais ce sont les cancers nasopharyngés et de la prostate qui présentent les évolutions les plus inquiétantes. Et cette tendance ne devrait pas s’inverser : l’incidence des cancers précoces devrait encore croître de 31 % d’ici 2030. Les décès de 21 %.
Les causes précises sont difficiles à identifier : outre les facteurs de risque alimentaire (comme un régime riche en viande rouge), la consommation d’alcool et le tabagisme, les auteurs avancent d’autres pistes : les antibiotiques, le microbiote intestinal ou encore la pollution de l’air extérieur. Un point de vue que partage Jean-David Zeitoun, docteur en médecine et en épidémiologie clinique, et auteur de Le suicide de l’espèce : comment les activités humaines produisent de plus en plus de maladies (ed. Denoël, février 2023).
Les analystes du mouvement pour la liberté ont souvent parlé de “conspiration ouverte”, mais ce n’est qu’avec la réponse à la pandémie que nous avons vraiment vu le masque tomber et l’ordre du jour se révéler.
Il y a à peine cinq ans, les sceptiques rétorquaient le plus souvent qu’une telle conspiration était “impossible” parce qu’elle était “trop élaborée pour être organisée”. Aujourd’hui, ces personnes ont l’air plutôt stupides. Il est indéniable qu’il existe une cabale des élites au pouvoir, qu’elles sont fortement organisées autour de l’idéologie globaliste et qu’elles veulent un contrôle centralisé total de la société. C’est un fait immuable, étayé par des preuves infinies. Le débat est clos. La réponse Covid y a mis fin.
La liste des crimes contre les libertés civiles est longue. L’establishment et la gauche politique (avec l’aide d’une poignée de néoconservateurs) ont tenté de mettre en œuvre des mesures autoritaires sans précédent, allant de la fermeture des entreprises et des églises au port forcé de masques (les études montrent que les masques sont inutiles), en passant par la vaccination forcée à l’aide de produits expérimentaux à base d’ARNm qui n’ont fait l’objet d’aucun test de sécurité à long terme. Dans certains pays (dont la Nouvelle-Zélande et l’Australie), des camps Covid ont été construits pour emprisonner non seulement les citoyens voyageant à l’étranger, mais aussi ceux qui ne voyagent pas. La législation relative à la construction de tels camps a été proposée aux États-Unis.
Rafaël ne possède ni papiers d’identité, ni carte bancaire, ni téléphone, ni permis, ni diplôme, ni propriété et aucune aide de l’État. Sa vie est centrée sur l’échange direct avec les autres et sur la subsistance à partir de la nature. La « Course de la Liberté » représente également une aventure humaine. Pendant quatre semaines, Rafaël court avec une flamme allumée en permanence, parcourant 30 à 40 km par jour, et dort chez les habitants. Une expérience extraordinaire qui lui permet de rencontrer des gens partageant ses valeurs. Cette course a commencé le 26 août à Hendaye et se termine 23 septembre à Bordeaux.
L’Évolution de la « Course de la Liberté » et la Réaction du Public
Le parcours de Rafaël Llodra a évolué depuis la première édition de la « Course de la Liberté » en 2022. Cette évolution est marquée par une reconnaissance touchante, principalement de personnes déjà impliquées dans des milieux alternatifs. Même ceux qui ne partagent pas toutes ses convictions respectent son engagement. Le mode de vie de Rafaël peut sembler radical, mais il suscite l’admiration et le respect, encourageant ainsi d’autres à remettre en question le système actuel.
En 1968, Robert Kennedy était assassiné alors qu’il venait de gagner les primaires de Californie, ce qui faisait de lui le favori dans la course présidentielle. Une fois à la Maison-Blanche, il aurait été en mesure de rouvrir l’enquête sur la mort de son frère cinq ans plus tôt, et l’on sait, par de nombreux témoignages, qu’il en avait l’intention. Ni l’assassinat de John ni celui de Robert ne sont élucidés ; dans chaque cas, la thèse officielle est truffée de contradictions qui sont aujourd’hui bien documentées. Parce que ces deux affaires sont généralement traitées indépendamment, aucune n’a été résolue de manière définitive. C’est en les reliant dans une vision globale, en tenant compte du contexte géopolitique et du rôle profond de Lyndon Johnson, que se dégage le scénario le plus crédible.
L’extension de son propre record chez les hommes – Margaret Court en a gagné autant à l’époque où le tennis était comme le Tiddlywinks au jeu d’aujourd’hui – a été accomplie devant des panneaux de Moderna Inc, le fabricant des vaccins contre le COVID-19 et l’un des principaux annonceurs de l’U.S. Open de cette année.
Pourtant, comme le monde entier le sait, le plus grand joueur de tennis de tous les temps – et sans doute l’un des plus grands athlètes de tous les temps – a renoncé aux vaccins contre le COVID-19 proposés, même si cela signifiait qu’il serait interdit de participer à de nombreux tournois, dont il aurait été la tête de série numéro 1.
Il a également été banni des États-Unis et de l’Australie.
Imaginez ce que seraient ses statistiques s’il n’en avait pas été ainsi. Elles sont déjà incroyables.
Au lieu de se faire piquer, il a suivi un régime alimentaire et un programme d’exercices rigoureux que peu d’entre nous pourraient imiter. Je sais que je ne le pourrais pas.
Les résultats, cependant, parlent d’eux-mêmes, y compris, sous peu, un nombre inouï de 400 semaines à la première place mondiale.
Djoker, comme on l’appelle, est aussi un homme intelligent qui parle plusieurs langues.
J’ai donc une proposition qui n’est pas si modeste. Pourquoi ne pas faire de Novak le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé ?
Il ferait certainement un meilleur travail que le titulaire communiste objectivement pro-chinois qui traîne derrière lui toutes sortes d’erreurs d’appréciation et de déclarations erronées liées au COVID-19.
Au lieu de diktats venant d’en haut, nous aurions un exemple réel d’excellence physique pour nous refléter et nous inspirer.
Qu’est-ce qui serait mieux pour l’humanité en moyenne : être une race de gens qui ne consomment pas de gluten, qui sont pescatariens et qui font de l’exercice tous les jours, ou une race qui prend des doses de rappel anti COVID tous les ans ou tous les six mois sur les conseils de quelques étatistes totalitaires qui prétendent avoir une expertise médicale ?
La mort, la destruction et le chaos sont les conséquences de l’échec des politiques progressistes dans de nombreuses villes dirigées par les démocrates, comme Detroit, Baltimore City, San Francisco, Portland, Chicago, Minneapolis, la Nouvelle-Orléans, Chicago et Philadelphie. Les démocrates sont à la tête des grandes villes depuis suffisamment longtemps pour assumer la responsabilité de la chute de ces zones métropolitaines, mais ils ont rejeté la faute sur tout le monde, sauf sur eux-mêmes.
La gravité du jeu des reproches est si alarmante qu’au Nouveau-Mexique, le gouverneur démocrate tyrannique vient de suspendre les droits constitutionnels sur les armes à feu pour les citoyens respectueux de la loi d’Albuquerque, rejetant la responsabilité de la montée en flèche des crimes violents sur les armes à feu plutôt que sur les politiques désastreuses et l’ouverture des frontières dans le sud.
Si nous concentrons notre attention sur Philadelphie, juste au nord de la ville de Baltimore en pleine implosion et juste au sud de la ville de New York infestée de migrants, la « ville de l’amour fraternel » a des rues qui semblent tout droit sorties de la série télévisée sur l’apocalypse zombie « The Walking Dead ».
N’en déplaise aux libéraux épris des mirages d’une communauté euro-atlantique, pour les États-Unis, entre le dictateur d’un pays du tiers-monde, le chef d’une milice extrémiste et un pays du Vieux Continent, il n’y a pas de différence substantielle. Les événements récents le prouvent. Avec le manque de marge de manœuvre garanti par les nécessités de la guerre froide, qui ont obligé les États-Unis à garantir la stabilité de l’Europe avec la carotte et le bâton, les pays du continent se sont retrouvés avec un maître de plus en plus encombrant derrière eux, inquiets d’un éventuel défi international représenté par l’euro, vite désamorcé, et surtout intéressés à éviter que, dans un monde qui désavoue formellement, ou renie, la politique des blocs, les États européens ne commencent à interagir avantageusement avec la Russie et la Chine.
Le cas de l’Allemagne est à cet égard emblématique. Du scandale Volkswagen à la destruction du Nord Stream, des sanctions anti-russes au soutien à la Pologne, les États-Unis ont sciemment ignoré les intérêts de leur soi-disant allié dans le double but d’éliminer un dangereux concurrent international et de renforcer le rideau de fer qu’ils voulaient à tout prix ériger aux frontières de l’Eurasie occidentale. Mission accomplie : l’Allemagne en récession et l’ennemi de ce qui aurait été un partenaire naturel, la Russie, ne représentent plus un danger. En même temps, on peut la piller sans craindre de porter atteinte à la dignité nationale. La flambée des prix de l’énergie et les milliards de dollars d’investissements attirés par l’Allemagne grâce à l’Inflation Reduction Act ont contribué à maintenir le système américain debout face à une criticité et une instabilité de plus en plus graves et manifestes.
Après avoir épuisé l’Allemagne, il faut nécessairement se tourner vers la France...
« Les États n’ont ni amis permanents ni ennemis permanents : ils n’ont que des intérêts stables »
Avec seulement 45 % des demandes traitées à ce jour, plus de 153 millions de dollars taïwanais (4,5 millions d’euros) ont déjà été versés aux personnes blessées par les vaccins anti COVID, soit plus que les 129,6 millions de dollars taïwanais (3,8 millions d’euros) versés aux victimes de blessures causées par tous les vaccins combinés au cours des 30 dernières années, a-t-on appris hier lorsque les Centres de contrôle des maladies (CDC) de Taïwan ont répondu aux critiques formulées par le groupe législatif du parti de l’opposition.
Lors d’une conférence de presse tenue hier, le 6 septembre, le parti d’opposition Kuomintang (KMT) a exhorté le gouvernement à accélérer le processus d’examen de l’indemnisation des dommages causés par le vaccin contre le COVID-19.
Tseng Ming-tsung, chef du groupe parlementaire du KMT, a déclaré que trois problèmes majeurs entravaient la résolution des cas : la complexité des procédures, la longueur des délais de traitement et la difficulté à déterminer le lien de causalité.
Tseng Ming-tsung a mentionné que le premier problème est la complexité des procédures, qui oblige les victimes à fournir continuellement des informations supplémentaires. Le deuxième problème est la longueur du temps de traitement, avec un maximum de 9 mois pour l’examen, mais les cas prennent souvent beaucoup plus de temps, même jusqu’à 2 ou 3 ans. Le troisième problème est la difficulté de déterminer le lien de causalité. Sur les 3 271 cas traités à ce jour, seuls 123 cas, soit 3,7 %, ont été jugés comme ayant un lien de causalité avec le vaccin, tandis que les autres ont été jugés comme n’ayant pas de lien de causalité et n’ont donc pas pu être indemnisés.
Le secrétaire général du KMT, Hsieh Yimin, a déclaré que selon les statistiques de la Food and Drug Administration, entre mars 2021 et juillet de cette année, un total de 21 208 réactions indésirables ont été signalées à la suite de la vaccination contre le COVID-19. Toutefois, les statistiques du CIVP font état d’un total de 9 101 cas au cours des trois dernières années. En juillet, 7 741 demandes avaient été déposées dans le cadre du programme d’indemnisation des victimes de vaccins, ce qui signifie que toutes les victimes de vaccins n’ont pas demandé d’indemnisation.
C'est ahurissant, à peine croyable. L’État subventionne l’un des hommes les plus riches du monde qui vient d’être classé par Forbes 2e fortune mondiale en 2023 avec 231.9 milliards de dollars !
Bernard Arnault qui a, comme tous les multimilliardaires, mis en place son empire médiatique pour contrôler la propagande, reçoit des subventions provenant de l’argent public : 14 millions d’euros l’année dernière !!!
Ensuite, ce même multimilliardaire va faire un petit chèque de 10 millions d’euros aux Restos du Cœur pour faire croire que c’est un grand philanthrope, un homme comme nous autres, qui a le cœur sur la main.
Comment est-il possible de donner à un multimilliardaire – qui ne cesse de multiplier ces milliards – des subventions publiques ? Ça devrait être tout simplement interdit par la loi car c’est interdit par la raison. En d’autres termes, c’est tout simplement un pillage du Trésor public par une bourgeoisie décadente et totalement hors-sol.
L’État trouve le moyen de subventionner les plus riches tout en affirmant qu’il n’y a pas d’argent pour les plus pauvres qui n’ont rien à se mettre sous la dent.