Beaucoup de vaccinés ont un code alphanumérique spécifique, une adresse MAC Bluetooth unique, qui apparaît à l’écran lorsque le Bluetooth est activé en mode recherche de périphériques. Ce type d'adresse physique, assigné à chaque puce Bluetooth injectée avec le vaccin, propose environ 281.000 milliards d'adresses MAC possibles et change tous les jours, en fonction d'un algorithme évitant la falsification de l'adresse !
Lorsque l'on marche dans la rue, les codes alphanumériques changent avec le flux continu de piétons et de véhicules. Les adresses ont toutes le même format alphanumérique normalisé (adresse MAC), douze chiffres et lettres, séparés par deux points.
Plus il y a de monde, plus les codes apparaissent, la liste évolue en permanence. Le fait que les codes changent avec les passants n’a de sens que si ces personnes elles-mêmes en sont porteuses. Pour information, les GSM et les objets connectés ne renvoient que très rarement ce type de code, mais des noms d'appareils ou des références constructeurs.
Ces codes ne sont visibles qu'avec certains smartphones, Samsung, Asus et d'autres, certains téléphones chinois ne les affichent pas, ainsi que les IPhones (1). Les smartphones plus anciens sont plus sensibles et sont capables de détecter ces codes alphanumériques uniques sur plus de 20 mètres.
En raison des longues obligations de masques qui ont frappé les pays pendant plusieurs années pendant la «pandémie», des scientifiques de l'Université du Colorado ont décidé d'examiner de plus près si les personnes entièrement vaccinées peuvent ou non transférer les anticorps générés par l'ARNm à leurs patients non vaccinés. Il s’avère qu’ils le peuvent !
En utilisant une combinaison de tests pour détecter les anticorps spécifiques du SRAS-CoV-2 dans les masques portés par les membres du laboratoire entièrement inoculés, les chercheurs ont identifié les protéines produites par le système immunitaire, qui circulent dans le sang et neutralisent les substances étrangères telles que les virus et les bactéries.
"Conformément aux résultats rapportés par d'autres, les chercheurs ont identifié des anticorps d'immunoglobuline G (IgG) et d'immunoglobuline A (IgA) dans la salive des individus vaccinés et sur leurs masques", expliquent les rapports.
"Sur la base de leurs observations, les chercheurs ont émis l'hypothèse que le transfert de gouttelettes ou d'anticorps en aérosol pourrait se produire entre individus, de la même manière que les gouttelettes et les particules virales en aérosol sont transférées par la même voie."
L'excrétion" du vaccin contre le COVID génère une "immunisation passive" aux non vaccinés
L’appauvrissement, déjà plus ou moins âprement débattu ici ou là, ne fait plus de doute, que ce soit pour les étudiants, les travailleurs ou la population en général.
L’insécurité explose. L’analyse objective des flux d’information en France suffit à se convaincre que le sentiment d’insécurité a fait place à un climat véritablement violent ; nombreux sont ceux qui constatent que le pays est devenu franchement dangereux par endroits, et le seul fait que les ministres de l’Intérieur se suivent et se relaient tous pour dire que “non, ce n’est pas si grave” suffit en lui-même à garantir que la situation se dégrade de plus en plus vite.
La situation économique montre d’évidents signes de fébrilité, et ce ne sont pas les derniers articles sur l’immobilier, qui donne le pouls du pays, qui permettront de se rassurer. Désindustrialisation, chômage, éducation en déroute, la situation socio-économique française se détériore de jour en jour.
C’est visible de tous, à l’exception bien sûr de ceux qui, terrorisés de ce que la réalité révèle, refusent de la regarder en face ou ceux qui ont un intérêt bien compris à ne surtout pas la voir, depuis les ministres et certains médias jusqu’à certaines administrations ou associations lucratives sans but dont l’existence même serait remise en cause si, justement, pauvreté ou violence devaient disparaître.
Devant cette situation, ceux qui veulent s’en sortir, échapper à la violence ou à la pauvreté, comprennent que leur destin ne devra surtout pas être remis dans les mains de l’État, ce dernier ayant largement contribué au résultat actuel.
Mais ça, l’État et ses affidés ne veulent pas en entendre parler : la situation est telle, en France, que se passer de l’État est devenu rigoureusement interdit.
Il n’y aura plus de nuit montre des images que ne devraient pas être vues. «Ces images ne sont pas faites pour être regardées». Non, ces images sont faites pour être simplement, pour exister car elles doivent rendre compte de la substance d’une opération, d’un mouvement, d’un moment. Il n’y plus de frontière entre réel et fictionnel car l’image même incarne la vision propre de celui qui voit et de celui qui agit.
Nous voyons ce que voit le pilote de l’hélicoptère de combat dans lequel la caméra est embarquée. Elle suit les mouvements du pilote, elle filme ce qu’il regarde. Ou plutôt, elle est l’extension de l’œil du pilote, elle lui apporte ce qu’il n’a pas : la possibilité de voir à plusieurs kilomètres, la nyctalopie, la vision thermique. Mais au-delà même de la technicité — cette caméra enregistre, aide mais aussi astreint le pilote à un contrôle permanent — c’est le rapport à l’autre qui commande. Celui qui est regardé mais qui ne le sait pas. Le jour, à des centaines de mètres voire à des kilomètres de la cible, le pilote distingue le genre, les vêtements, les détails d’une voiture, ou encore à quoi un groupe d’enfants est en train de jouer. En Syrie, en Irak, en Afghanistan et en règle générale partout où l’armée d’une grande puissance militaire impose sa force, cette armée voit, presque divinement, les individus vivre. De jour comme de nuit : la nuit, ils sont aussi visibles que le jour, mais les hélicoptères, eux, ne sont plus repérés qu’au roulis de leurs pales.
Il n’y aura plus de nuit est le cri sourd d’une industrie de la guerre, d’une technologie grandissante, d’une jouissance de puissance : voir sans être vu, voir celui qui ne nous voit pas.
Au sommaire de ce cent cinquante-deuxième bulletin :
01:00 – Économie :
• Route maritime du Nord
• Baril à 95 dollars
• Croissance russe à 2,5 %
04:30 – Politico-diplomatique :
• Humiliation germano-ukrainienne à New York
• Pologne vs Ukraine
• Sergueï Choïgou en Iran
• Hector et Andromaque à Pékin
• Azerbaïdjan vs Arménie
15:10 – Terrorisme :
• Licenciement de Sarah Ashton-Cirillo
15:45 – Armement :
• Leopard 1 d’occasion
• Lantset superstar
• Coopération militaire russo-coréenne
21:30 – Double Gamelin
25:40 – Considérations générales
• Kiev, la fin du mensonge
• Gueules cassées en Ukraine
• Pertes russes selon la BBC
32:15 – Carte des opérations militaires
Il le fait avec l’aide du professeur de philosophie du droit et ancien député de Vox au Congrès Francisco J. Contreras, qui le considère comme le visage le plus visible de l’ONU agissant «en tant que gouvernement proto-mondial». Dans une conversation avec la journaliste Ana Campos, le professeur Contreras affirme que, même si les Objectifs de développement durable semblent à première vue incontestables, «le problème est dans les petits caractères».
Commençons par poser la question : qu’est-ce que l’Agenda 2030 ?
Il s’agit d’un document contenant 17 objectifs de développement durable (ODD) que l’ONU a approuvé en 2015 et dans lequel elle propose aux États membres un horizon d’action, avec une période de 15 ans pour l’atteindre. Il s’agit, disons, de l’ONU agissant comme une sorte de gouvernement mondial, ou de proto-gouvernement mondial. Tous les pays ne l’ont pas signé, mais l’Espagne a bien entendu été l’un des premiers pays à le faire. Le PP et le PSOE – parce qu’en 2015 il y avait un gouvernement du Parti populaire – rivalisent dans la ferveur des «vingt-trentenaires», dans le sens où le PP prétend avoir été le gouvernement qui a signé l’agenda, mais le PSOE affirme que ce sont eux, ceux qui ont fait le plus pour le mettre en pratique.
Éradication de la pauvreté, égalité entre hommes et femmes… N’importe qui avec un demi-cerveau accepterait ces Objectifs de développement durable, non ?
C’est clair. Une vision sinistre de l’Agenda 2030 se répand, notamment dans les secteurs conservateurs, comme s’il s’agissait d’une sorte de conspiration d’élites obscures pour dominer le monde… et quand on l’ouvre et qu’on regarde les objectifs, ce ne semble vraiment pas être ça. C’est le cas, mais c’est d’une manière plus dissimulée. Mais à première vue, les objectifs – presque tous, car il y a quelques exceptions – sont incontestables. Qui serait contre l’éradication de la faim dans le monde ? Qui s’opposerait à la fourniture d’eau potable et d’un système d’assainissement à l’ensemble de la population mondiale ? Qui serait contre la construction de systèmes de santé de qualité partout, ou contre une éducation de qualité ? Je liste les Objectifs de développement durable…
Alors, où est le piège ?
Faut-il rappeler le rapport de 2019 de la Cour des Comptes concernant le conseil de l’Ordre des médecins qui était véritablement accablant ? Ce comportement tyrannique qui consiste à retirer la possibilité de travailler aux médecins qui ne sont pas d’accord avec Big Pharma doit cesser immédiatement. Leur rôle n’est pas de se soumettre à la Doxa, aux décisions du gouvernement et aux médias, mais de garantir la sécurité des malades. Ces médecins cotisent. L’Ordre n’est certainement pas une chambre d’enregistrement des décisions du ministre de la Santé et n’a pas à négocier avec le gouvernement et les autorités publiques. Comment est-il possible d’accepter une telle humiliation du corps médical, des médecins qui totalisent presque une dizaine d’années d’études universitaires et qui se retrouvent incapables de prendre des décisions en leur âme et conscience sans être harcelés administrativement !?
J’avais l’honneur d’être convié par Yurie Roșca à participer sur place à l’événement international organisé en décembre à Chișinău, ainsi qu’au troisième forum tenu dans la capitale moldave en septembre 2019. Quelques années plus tard, le 9 septembre 2023, à l’occasion de la quatrième édition du forum, intitulée « L’Agenda 21 de l’ONU et le Great Reset – La chute du libéralisme dans la technocratie et le transhumanisme », Yurie Roșca me faisait l’amitié de m’inviter à prendre la parole à nouveau. Je suis intervenu cette fois à distance avec un article et une vidéo pour en résumer le contenu.
La Grande Réinitialisation, ou Great Reset en anglais, est un programme d’inspiration cybernétique visant à informatiser totalement les sociétés humaines au point de « fusionner le biologique et le numérique », selon les mots de Klaus Schwab, président du World Economic Forum (WEF, forum de Davos). L’informatique doit devenir omniprésente, un passage obligé de chaque instant, un goulot d’étranglement universel, pour mener une existence normale. Plus largement, il s’agit de dépasser la condition humaine pour nous acheminer vers le transhumanisme au moyen d’un encadrement complet de la vie quotidienne par les technologies NBIC – nanotechnologies, biotechnologies, informatique et sciences cognitives. Les organisations du capitalisme occidental (WEF, FMI, GAFAM) soutiennent ce programme avec enthousiasme.
La Russie fait-elle partie, elle aussi, du Great Reset et du « Nouvel Ordre mondial » ? Est-il vrai qu’aucun État ne peut résister au mondialisme et que tous les pays suivent son agenda ?
« Je voudrais remercier notre ami d’Allemagne, Peter Töpfer, d’avoir noté mon intervention lors de la récente conférence internationale sur la multipolarité. Et si ma modeste contribution a été remarquée, c’est parce que j’ai essayé de souligner qu’en ce moment, malgré des conflits majeurs entre différents pays, ils suivent tous docilement le même agenda mondialiste. J’ai mentionné qu’il s’agit de ce qu’on appelle le Great Reset, Agenda 21 ou Agenda 2030 pour le développement durable, adopté au sein de l’ONU. Et si tous les pays, sans exception, suivent le même ordre du jour, le résultat qui sera atteint sera commun à toute l’humanité. (…) Les cercles occultes qui se cachent derrière des organisations telles que le WEF (Forum économique mondial), la Commission Trilatérale, le CFR (Council on Foreign Relations), le Groupe Bilderberg, le Club de Rome, etc. et qui opèrent par le biais d’organismes internationaux officiels tels que l’ONU, l’UE, l’OMS, l’OMC, le FMI, la Banque mondiale, la Banque des règlements internationaux, etc. ont des instruments de domination, devant lesquels aucun État ne peut résister. »
Nous y sommes.
Skynet, dans la vraie vie, la nôtre ne s’appelle pas Skynet. Vous le connaissez plutôt sous le nom grand public de ChatGPT.
Lorsque je commence cet article par « Skynet commence à apprendre à vitesse géométrique », ce n’est pas un hasard.
A Courbevoie 217 postes seront supprimés d’ici juin 2024 au sein du groupe Onclusive, spécialiste de la veille médiatique pour des entreprises et des institutions. Ils seront remplacés par l’intelligence artificielle...
Heureusement, une décision de la Cour suprême (5 vote contre 4) a statué que le scanner constituait une perquisition illégale en vertu du quatrième amendement, nécessitant un mandat que la police n’avait pas obtenu.
Un point pour la vie privée, mais le gouvernement est sur le point de disposer d’un outil bien plus controversé et dangereux pour surveiller ce qui se passe à l’intérieur de votre maison.
Contrairement à la caméra thermique, ce dispositif est déjà dans votre maison – et c’est vous qui l’y avez placé.
Comment cela fonctionne-t-il ?
Le WiFi est constitué d’ondes électromagnétiques dans les gammes 2,4 et 5 GHz. C’est la même chose que la lumière que vous voyez, sauf qu’elle peut pénétrer les murs grâce à sa longueur d’onde beaucoup plus grande. Tout comme la lumière (et l’écholocation), ces ondes se reflètent également sur diverses surfaces et, lorsqu’elles sont correctement reconstruites, peuvent être utilisées pour créer une image.
Le Parlement européen a approuvé une proposition de règlement assimilant les embryons humains aux cellules et aux tissus, les définissant comme des «substances d’origine humaine». Cela ouvre les portes à l’eugénisme et aux usages industriels.
Mardi 12 septembre, le Parlement européen a approuvé en première instance de nouvelles mesures par lesquelles il souhaite mieux protéger les citoyens qui donnent du sang, des tissus ou des cellules ou qui sont traités avec ces substances humaines. Mais en réalité, ignorant les alarmes de diverses organisations d’experts et les préoccupations des évêques européens, le projet de règlement approuvé par une large majorité composée de socialistes, de verts et de libéraux, autorise le libre marché des embryons, des fœtus et des gamètes humains et les expériences et sélections eugéniques qui en résultent.
La proposition de règlement sur les Normes de qualité et de sécurité pour les substances d’origine humaine destinées à être appliquées chez l’homme (ou règlement SoHO), qui vise à partager les cellules, le sang et les tissus humains au sein des États membres de manière harmonisée et standardisée, a été adoptée le 12 septembre, avec 483 voix pour, 89 abstentions et 52 voix contre. De nombreux députés ont insisté sur le fait que les dons de ces «substances» doivent toujours être volontaires et non rémunérés et que les donateurs ne peuvent recevoir qu’une compensation ou un remboursement pour les pertes ou les dépenses encourues.
Nous sommes confrontés à l’hypocrisie la plus flagrante qu’on puisse imaginer, car elle ouvre en fait à la marchandisation de l’humanité. En effet, pour garantir que l’Union européenne dispose de son propre approvisionnement indépendant en ces substances, comme cela est également précisé dans la fiche de mesure approuvée, «les députés demandent une stratégie européenne coordonnée par la Commission pour garantir leur disponibilité, une liste européenne de substances destinées à l’usage humain ou d’origine humaine (SoHO) déficientes ainsi que l’établissement de plans nationaux d’urgence et de continuité d’approvisionnement».
Les actions du fabricant d’ARNm Moderna – mieux connu pour être l’un des principaux sponsors du tournoi de l’US Open, remporté par Novak Djokovic, qui n’a pas été vacciné et qui n’a pas pu participer au tournoi en raison de son refus de succomber au seul produit de Moderna et au lavage de cerveau des démocrates – ont chuté de 9 %, la plus forte baisse intrajournalière depuis le 7 août, ce qui en fait la plus mauvaise performance du S&P500 et du Nasdaq 100. 7 août, ce qui en fait le plus mauvais élève du S&P500 et du Nasdaq 100, après que le fabricant de médicaments rival Pfizer a publié des prévisions sur le nombre d’Américains susceptibles de se faire vacciner contre le Covid-19, récemment approuvé. Et oui, les actions de Pfizer et de BioNTech ont également chuté.