Le président russe Vladimir Poutine a prononcé un discours le 5 octobre lors de la session plénière de la 20ème réunion du Club de discussion international Valdai à Sochi et a souligné les changements tectoniques et irréversibles qui se produisent dans l’ordre mondial.
Selon Poutine, les mondialistes, dont Schwab et ses proches conseillers, sont des «cibles militaires légitimes» parce qu’ils ont activement tenté de prendre le pouvoir illégalement par le biais d’un coup d’État mondialiste.
Il y a seize ans, lors de la conférence de Munich sur la sécurité, Poutine a déclaré aux dirigeants occidentaux que le type naturel de système international était la multipolarité, montrant clairement que la Russie s’opposerait à la création d’un nouvel ordre mondial fondé sur l’ordre international libéral basé sur des règles et poussé agressivement par l’élite mondialiste et ses politiciens libéraux dans les démocraties occidentales.
L’heure de vérité a sonné, selon Poutine, et les plans de l’élite mondiale pour un nouvel ordre mondial reculent sous nos yeux tandis qu’un nouveau monde multipolaire, dans lequel les cultures traditionnelles conservent leur héritage à l’intérieur de leurs propres frontières, se lève comme un phénix.
Poutine expose six principes de civilisation pour le monde de l’après-Nouvel Ordre Mondial...
Il y a bien sûr l'habituelle arnaque Octobre Rose, mais également les arnaques vak$inales du moment (grippe, Khoviide, et même HPV) ainsi qu'un traitement expérimental pour les bébés.
Grosse rentrée pour les actionnaires de l'industrie pharmaceutique.
Lien vers l'étude sur le taux de mortalité dû aux injections Covid (environ 17 millions de morts pour 13,5 milliards d'injections au 2 sep 2023) : (PDF En) (version courte Fr)
Depuis l’affaire COVID les preuves s’accumulent ! Les injections dangereuses faisaient partie du plan de dépopulation mis en place par les satanistes, ainsi que Karl Schwab l’avoue dans son livre :
«LE GRAND RESET» !
Ce plan fut initié depuis longtemps ainsi que le mentionne Attali dans une interview avec un certain Salomon paru dans les années 70 :
«Les inutiles iront à l’abattoir», disait-il en conclusion !
Tout y est parfaitement décrit et ceux qui en ont été informés à l’époque ont compris ce que l’affaire Covid et leurs injections dangereuses et mortelles signifiaient.
En France depuis les trois derniers présidents, le pays se dégrade et notre pays est vendu à la découpe au profit des USA.
La dernière trahison aura été la vente d’Alstom !! Et il y en a d’autres. La liste serait trop longue !
Les USA mentors de notre classe politique européenne ont tout fait pour empêcher que l’UE ne se tourne vers l’Est ! Pour ce, il fallait détruire la Russie, la mettre en pièces détachées et l’annexer et ouvrir la voie vers la Chine.
Alors la guerre proxy en Ukraine fut initiée pour cette raison ! Ce n’est plus ignoré ! Hollande et Merkel l’ont avoué !
Ce qui me révolte est le comportement non seulement des médias mainstream manipulés aux ordres et leurs affidés qui vomissent à jet continue sur la Russie sans aucune honte, mais surtout le silence de nos politiques dans notre pays. (Exceptés les généraux de plateaux TV pauvres Gamelin pitoyables et sans honneur !)
Que ce soit l’Assemblée nationale, le Sénat, le Conseil d’État, le Conseil constitutionnel … Pas une voix ne s’élève !!! Ils sont tous le doigt sur la couture du pantalon et regarde sans broncher notre pays couler au fond des abysses.. Rien ne les émeut ! RIEN !
Et ils laissent ces imposteurs aux commandes continuer à soutenir l’Ukraine, totalement corrompue, sans aucun respect ou condescendance pour leurs morts qui ne sont pour eux que de la chair à canon.
Je ne commenterai pas ici leur folie transgenres, LGBT, pédophilie, adrénochrome, vente d’organes, changement climatique bidon, chemtrails nocifs, nourriture frelatée, G5, perte de liberté, immigration organisée, Éducation nationale en décadence, destruction de notre Constitution et de nos églises et Vatican sataniste.
La France pays des Droits de l’Homme a sombré dans le néant !
La France chrétienne est condamnée !
Mais nous tous «les complotistes» c’est à dire ceux qui ont le courage de dénoncer leurs immondes complots -souvent au prix de leur vie – nous voulons garder la foi et continuons à éveiller ceux qui ont encore la tête dans le sable.
Le Pentagone a, à plusieurs reprises, annoncé des mesures pour empêcher les suicides parmi ses soldats. À nouveau, il relance le sujet car rien ne change et l’armée des États-Unis a la particularité de s’autodétruire dans l’ensemble des forces armées. La santé mentale des soldats US est en question car c’est elle qui les pousse à se suicider.
Le nombre des suicides dépasse les guerres Irak, en Afghanistan et ailleurs depuis le 11 septembre. Le site du Watson Institute a annoncé en juillet 2021 que «plus de 7000 militaires américains et plus de 8000 sous-traitants sont morts dans les guerres qui ont suivi le 11 septembre en Irak, en Afghanistan et ailleurs», rajoutant : «Plus de 30 177 militaires et vétérans américains des guerres d’après le 11 septembre se sont suicidés».
Le Pentagone a présenté plus d’une centaine de mesures visant à résoudre ce problème. Cependant, l’efficacité de ces mesures suscitent de sérieux doutes parmi les experts. Observateur Continental faisait, déjà, savoir en 2022 que ce problème préoccupe sérieusement le secrétaire américain à la Défense Lloyd J. Austin III, qui a évoqué ce sujet lors de sa visite à la base d’Eielson en Alaska car c’est dans cette base que les militaires américains mettent le plus souvent fin à leurs jours. Les annonces du Pentagone se succèdent, mais rien ne change.
À nouveau, ce 28 septembre dernier, le Pentagone a relancé le sujet : «Le ministère de la Défense US annonce de nouvelles actions pour prévenir le suicide dans l’armée». «Le secrétaire américain à la Défense Lloyd J. Austin III a publié une note ordonnant des actions urgentes pour lutter contre le suicide dans la communauté militaire, s’appuyant sur deux années de travail important en faveur de la prévention du suicide au sein du ministère de la Défense (DoD)», est-il annoncé.
Le Comité d’examen indépendant sur la prévention et la réponse au suicide (SPRIRC) a étudié le phénomène. Les experts ont formulé 127 recommandations à court et à long terme pour résoudre ce problème critique au sein des rangs.
Le communiqué de presse du Pentagone affirme : «Le département reste déterminé à réduire le nombre de décès par suicide dans l’ensemble des forces armées et suit un calendrier ambitieux pour la planification et la mise en œuvre des cinq axes d’action du secrétaire, en donnant la priorité aux actions les plus efficaces afin d’établir une base solide pour des progrès à long terme. Le sous-secrétaire à la Défense chargé du personnel et de l’état de préparation supervisera les efforts de mise en œuvre dans l’ensemble du ministère et veillera à ce que la mise en œuvre soit menée de manière rapide et méthodique. Le DoD vise à mettre en œuvre pleinement chaque axe d’effort d’ici la fin de l’exercice 2030».
À l’issue pacifique de la crise, plusieurs procédures de sauvegarde ou, comme nous les appelons aujourd’hui, des «garde-fous», ont été mises en place pour éviter que la compétition entre les États-Unis et l’Union soviétique pour le contrôle de la destinée humaine ne dégénère soudainement en une guerre chaude. Une «ligne rouge» téléphonique a été mise en place pour permettre aux chefs d’État de se contacter au cas où les actions de l’un ou l’autre camp seraient interprétées à tort comme une attaque nucléaire. Ce dispositif a fait l’objet d’une moquerie célèbre dans le film anti-guerre Dr Strangelove.
Décennie après décennie, au cours du siècle dernier, d’autres garanties procédurales sont apparues sous la forme de traités sur la limitation des armements, puis sur la réduction des arsenaux nucléaires, avec des inspections sur place, le tout dans l’intention de renforcer la confiance entre les deux parties hostiles et méfiantes.
Néanmoins, il est arrivé à plusieurs reprises que seul le sang-froid d’un officier ayant le pouvoir de lancer des missiles, qu’il soit russe ou américain, ait empêché que de fausses lectures radar sur l’activité des missiles de l’autre partie n’entraînent une frappe «préventive», en appliquant le principe «utilisez-les ou perdez-les» à l’égard de l’arsenal qu’il contrôlait. Le fait que nous ayons traversé le XXe siècle sans encombre peut être considéré comme une «chance insensée», comme on dit en anglais américain, ou comme un «miracle», comme le diraient les personnes qui ont foi en Dieu.
Dans ce contexte, je soutiens que ce qui s’est passé hier au Congrès américain est un acte d’intervention divine pour nous sauver de nous-mêmes. Le délai d’avertissement de trente minutes avant qu’un missile balistique intercontinental ne frappe ou le délai d’avertissement d’une heure avant qu’un bombardier nucléaire n’atteigne sa cible, comme dans le cas de Dr Strangelove, est un luxe qui n’existe plus. L’existence de missiles américains à portée intermédiaire dotés d’armes nucléaires aux frontières de la Russie et de missiles russes hypersoniques logés sur de petits navires de surface ou des sous-marins dans les eaux internationales au large des côtes des États-Unis signifie que le délai d’alerte a été réduit à cinq ou dix minutes, c’est-à-dire qu’il n’y a plus de tampon contre les fausses alertes et les lancements automatisés. Si les États-Unis devaient poursuivre leur politique d’escalade en Ukraine, avec l’aide et la complicité des Britanniques et des Allemands, qui viennent d’annoncer leur intention d’introduire des avions à réaction Typhoon ou des missiles TAURUS dans la guerre en Ukraine, nous n’aurions pratiquement aucune chance d’empêcher l’OTAN ou la Russie de passer aux armes nucléaires tactiques, puis stratégiques, ce qui signifierait la fin de la civilisation sur terre.
C’est là que survient l’intervention divine.
[...]
Petit rappel pour qui ignore encore l’origine du mal qui atteint son apogée aujourd’hui. Le but de Big Pharma est de générer et d’entretenir la maladie alors que les médecines naturelles cherchent à guérir, ce qui est incompatible avec la recherche du profit et du « quoi qu’il en coûte » pour la santé des populations.
Le CDC héberge un système de notification des effets indésirables des vaccins (VAERS) qui contient des données historiques sur les effets indésirables signalés pour chaque vaccin administré en Amérique. Selon une recherche dans la base de données VAERS du CDC sur le nombre de cas de cancer signalés en tant qu’effets indésirables des vaccins à l’ARNm, depuis décembre 2020 jusqu’au 5 août 2022, un total de 2 579 effets indésirables liés au cancer a été enregistré en seulement 1 an et 8 mois.
Mais une recherche similaire dans la base de données VAERS sur le nombre de cas de cancer signalés comme effets indésirables de tous les autres vaccins disponibles entre 2008 et 2020, soit une période de 13 ans, révèle qu’il n’y a eu que 791 effets indésirables liés au cancer.
Nombreux sont ceux qui affirment simplement, sans étayer leur affirmation par des preuves, que cela est dû au volume des injections de Covid-19 par rapport à tous les autres vaccins. Malheureusement, tous ceux qui affirment cela se trompent.
Pour s’en convaincre, il suffit d’examiner le nombre de doses administrées...
La semaine dernière, les médias ont multiplié les avertissements à propos du dernier variant du Covid-19, le dernier d’une longue liste. Il semble que personne n’écoute plus. Pour une grande partie de la population, la pandémie est terminée depuis longtemps et appartient définitivement au passé. Personne ne veut tomber de nouveau dans une spirale infernale de restrictions, de confinements, de masques et de vaccinations, après que ces dernières années ont sérieusement sapé la crédibilité des gouvernements et la confiance du public en leur capacité à prendre les décisions adéquates. Les gouvernements occidentaux n’ont plus la volonté politique ni l’intérêt d’oser prendre des décisions impopulaires, même si certains tirent la sonnette d’alarme.
Sur bien des plans, la pandémie a marqué un tournant dans les relations entre les gouvernements et la population dans les pays occidentaux, précisément parce qu’il s’agissait de la première épidémie d’une telle ampleur à survenir à l’époque de la culture des médias sociaux de masse, où les gens, plus interconnectés que jamais, ont la capacité illimitée d’exprimer leurs propres opinions, d’entendre celles des autres et, ainsi, d’exprimer leur désaccord à l’égard des gouvernements et de leurs politiques. L’ère des réseaux sociaux a déjà posé de nombreux défis aux structures étatiques, alors que les gouvernements occidentaux s’efforcent de reprendre le «contrôle du récit» perdu depuis lors sur leurs populations. La liberté des médias sociaux est un facteur clé qui a contribué, voire provoqué des résultats qui ont choqué les élites, notamment l’élection de Donald Trump aux États-Unis et le Brexit au Royaume-Uni. Par conséquent, les classes dirigeantes des pays occidentaux ont renforcé la censure et le contrôle du discours sur les réseaux sociaux, en qualifiant les points de vue indésirables de «désinformation», voire de propagande malveillante diffusée par des pays étrangers, tels que la Chine ou la Russie...
Le décret du 29 août 2023 « relatif aux usages et aux conditions d’utilisation des eaux de pluie et des eaux usées traitées » a été source de polémique. La manière dont il a été rédigé laisse à penser que les eaux de pluie ne seront pas autorisées dans nos habitations ni pour arroser nos jardins. Le gouvernement s’en défend.
Le 24 septembre 2023, Pierre L’écoleau et Benjamin Vialan étaient tous deux les invités d’une émission proposée par le média L’ArchiPelle qui met en lumière les experts et initiatives en lien avec l’autonomie et la résilience. Ils y ont évoqué leur inquiétude vis-à-vis du décret du 29 août 2023. Ce dernier, dédié à l’utilisation des eaux non domestiques, contient deux articles pour le moins déconcertants.
Alors que ce texte de loi concerne l’usage des eaux usées traitées et les eaux pluviales, les articles R. 211-126 et 127 indiquent que l’utilisation de ces eaux « n’est pas possible » dans « les locaux à usage d’habitation », ni pour « l’arrosage des espaces verts des bâtiments ». Des propos qui ont engendré plusieurs contenus alarmants sur les réseaux.
[...]
Pour dissocier le faux du vrai dans les témoignages d’apparitions d’ovnis, les médias grand-public occidentaux s’appuient sur les conclusions d’organismes d’études officiels, dont le but essentiel est d’élaborer un dogme uniforme et policé auprès de leur population. En fonction des objectifs des gouvernements, ces comptes rendus peuvent soit nier l’évidence, soit alimenter la peur.
Ce résumé s’appuie sur la perception du phénomène aux Etats-Unis et en France, car aucun regroupement des commissions d’enquête n’a lieu à un niveau international. Le peu d’informations qui transpirent laisse à penser qu’il en est ainsi dans tout le monde occidental.
Les comités « Théodule » qui se sont succédé depuis 1950 ont tous employé des techniques équivalentes pour expliquer les phénomènes ovnis : décrédibiliser le témoin par ses antécédents, objecter un manque d’informations fiables, associer l’observation à un phénomène physique banal (ballon sonde, avion, météorite, reflet sur l’eau, lune, lampadaire…)
Le petit nombre d’événements qui ne rentre manifestement pas dans le cadre de ces explications simplistes est tout simplement ignoré.
Les commissions sont à sens unique, elles pompent tous les témoignages, mais ne restituent rien. La commission Majestic12, très secrète, a la particularité d’être privée, et agit pour le compte de Rockfeller and Co, au cas où il y aurait quelque chose à breveter.
Le phénomène Ovni a récemment été à juste titre requalifié en PAN (Phénomène Aérien Non-identifié) ou UAP (Unidentified Aerial Phenomena). Néanmoins, on n’a pas souhaité faire allusion dans le sigle au comportement intelligent du phénomène.
La solution radicale employée par les armées du monde entier est de lancer sans sommations la chasse aérienne avec ordre de tirer pour abattre l’intrus, alors qu’un ovni ne devient agressif que si le témoin est, le premier, l’agresseur. Vous avez dit fraternité galactique ?
La doxa officielle ignore que le phénomène UAP existe depuis la nuit des temps et a arbitrairement fixé à juin 1947 le début des premières observations. Tous les pays occidentaux (et wikipédia) centrent la genèse du phénomène essentiellement sur les Etats Unis, alors que les observations ont lieu dans le monde entier, sous les mers, dans l’espace, autour de la lune et des planètes.
Le profil en forme de soucoupe devient rare, alors qu’il était fréquent dans l’antiquité. Les très nombreuses observations actuelles font essentiellement référence à des sphères lumineuses ou métalliques, parfois à proximité de sites militaires sensibles, de centrales nucléaires ou lors de catastrophes (tremblements de terre, tsunami, incendies, Tchernobyl, 11 septembre, Fukushima…)
Cas des abductés (enlèvements) Seuls 7 cas d’enlèvement sont officiellement référencés (voir Wikipédia), bien que la plupart des 7 soient totalement bidonnés. Depuis 1997, aucun enlèvement ou contact rapproché n’a été officiellement enregistré, alors qu’ils se comptent par centaines. Il faut savoir que des revues spécialisées, comme LDLN de Joel Mesnard (1), ont pendant des années (1988 à 2014) enregistré tous les témoignages de terrain par l’intermédiaire d’un réseau d’ufologues indépendants. Ils n’ont jamais rencontré de cas similaires à l’affaire montée en icône par Betty et Barney Hill en 1961. Enlevés et violés dans une soucoupe carcérale, qui présente toutes les caractéristiques d’une séance satanique bien de chez nous. Les cas documentés d’enlèvements font plutôt état d’une inspection médicale bienveillante, quoique traumatisante.
A l’opposé du sensationnel malsain, la presse néglige les observations rapprochées d’ovnis multiformes et stupéfiants par leur originalité qui vont parfois jusqu’à la distorsion de l’espace-temps, la paralysie ou même une communication interactive intelligente de type hypnotique avec les témoins.
Children’s Health Defense (CHD) Europe et le groupe suédois de défense de la liberté médicale Doctors’ Appeal se réuniront le 30 septembre à Stockholm pour un symposium sur la liberté médicale.
Le symposium, intitulé “En garde pour la liberté de l’humanité“, fait partie d’un événement plus large de trois jours qui réunira plus de 25 intervenants – des personnalités éminentes du mouvement mondial pour la liberté en matière de santé. L’événement sera également retransmis en direct.
Les principaux thèmes du symposium sont les suivants:
“Il se passe tellement de choses en ce moment – des développements au sein de l’Union européenne, du Parlement européen, de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et dans toute l’Europe”, a déclaré Mary Holland, présidente de la CHD. “Je suis très heureuse qu’un groupe clé de dirigeants du secteur de la liberté de la santé se réunisse pour analyser les développements et élaborer des solutions pour l’avenir.
Le Dr Michael Palmer, microbiologiste canadien qui est l’un des signataires fondateurs de Doctors for COVID Ethics, sera l’un des orateurs du symposium. Il a déclaré au Défenseur: “The Doctors Appeal a organisé un grand symposium sur le Covid-19 en janvier. Il est formidable de les voir s’associer à la CHD pour ce symposium dont le programme est plus vaste.
Doctors Appeal (l’appel des médecins), lancé en mars 2021, s’oppose aux restrictions liées au Covid-19 et aux passeports vaccinaux. Le groupe demande une protection accrue des groupes à risque. Récemment, elle a lancé une initiative pour que les pays quittent l’OMS.
Catherine Austin Fitts, ancienne commissaire fédérale au logement du ministère américain du logement et du développement urbain et éditrice du “rapport Solari“, interviendra également lors du symposium. Elle a indiqué que l’Appel des médecins avait déjà “organisé une conférence sur la médecine et la santé en Suède avec CHD Europe”, qui “a connu un grand succès”.
“Nous voulons prolonger ce succès en réunissant des dirigeants dans les régions clés où le contrôle est mis en œuvre (…) pour discuter des possibilités de modifier le cours des événements et pour discuter et partager des tactiques susceptibles d’inverser la tendance vers la liberté”, a déclaré Mme Fitts.
Il est apparu au cours de l’année 2021 après que l’injection covid 19 se soit répandue comme une trainée de poudre dans une majeure partie du monde occidental… Coïncidence ou causalité ?
Les premiers cancers post vaccination sont apparus très tôt
L’attention des médecins cliniciens – ceux qui voient de vrais malades en consultation, les interrogent et les examinent- avait été très tôt attirée par des modifications de l’évolution clinique de certains patients dans les quelques mois suivant les débuts de la campagne d’injections anticovid. Initialement ce furent des rechutes brutales, et résistantes, de patients apparemment guéris de cancer depuis plus de dix, quinze ans voire plus, en rémission complète, qui sidérèrent les généralistes et les cancérologues (qui ne l’avouèrent que sous le manteau…).
Un exemple typique a été celui de monsieur Axel Kahn, président de la ligue contre le cancer, qui s’était fait remarquer par ses positions extrémistes pro vaccins covid1 et dont le cancer d’évolution jusqu’ici lente a explosé après sa vaccination l’emportant en quelques mois.
De nombreuses malades en rémission de cancer du sein rechutèrent contre toute attente après une si longue durée.
Parallèlement les médecins virent arriver dans leurs cabinets de très jeunes gens d’une vingtaine d’années ou moins atteints de maladies hématologiques, telles des lymphomes, des glioblastomes etc. d’apparition jusqu’ici exceptionnelle chez les jeunes, d’évolution particulièrement rapide et résistant trop souvent à toute espèce de traitement.
Les témoignages se multiplient par mail, téléphone, rencontres, réseaux sociaux, groupes sur Telegram etc.. Tel un voisin bien portant de 83 ans injecté qui meurt en deux mois d’un cancer du pancréas, cancer au premier rang des récits pris au hasard, peut-être parce que ce cancer est particulièrement difficile à traiter et rapidement mortel.