Cet agenda comprend 17 « objectifs de durabilité » qui semblent bons à première vue. Si l'on y regarde de plus près, on revient toujours aux mêmes acteurs qui ne veulent en réalité rien de moins qu'un contrôle total sur les ressources de notre planète, un gouvernement central mondial unique et donc l'asservissement de tous les peuples.
Afin d’exercer une influence dans tous les domaines de la vie et des structures, ces objectifs sont promus non seulement par les Nations Unies elles-mêmes, mais aussi par des partenaires influents tels que le Forum économique mondial avec sa « Grande Réinitialisation ». Depuis plus de 50 ans, le WEF met en relation les personnalités les plus influentes de la politique, des affaires, de la science, des médias, des syndicats, des ONG, de la culture et des églises et les rassemble avec les personnes les plus riches du monde.
Il éduque également les élites politiques et économiques du monde entier depuis plus de 30 ans. Que ce soit Bill Gates, Jeff Bezos, Angela Merkel, Emmanuel Macron, Viktor Orban ou Vladimir Poutine, ils sont tous passés par l’école du WEF en tant que « Young Global Leaders ». Il n’est donc pas étonnant que le fondateur du forum, le professeur allemand Klaus Schwab, soit considéré comme l’une des personnalités les plus influentes d’aujourd’hui.
L'Agenda 2030 des Nations Unies - Un programme en 17 points pour la domination mondiale et l'asservissement de tous les peuples !
Toute personne a droit à la liberté d’opinion et d’expression ; Ce droit inclut la liberté d'avoir des opinions sans entrave et de rechercher, recevoir et diffuser des informations et des idées par tous les médias et sans égard aux frontières.
Agenda 2030 des Nations Unies : Découvrez ci-dessous quels sont les effets concrets et négatifs des 17 objectifs...
Réalisé juste avant la guerre dévastatrice que mène Israël contre le Hamas et la population civile, il devient un précieux document d’alerte et de mobilisation.
Lorsqu’après son éclatant documentaire «Le char et l’olivier, une autre histoire de la Palestine» (2019), Roland Nurier veut rendre compte de la vie sous blocus à Gaza, il n’imagine pas que Yallah Gaza sortira durant la guerre la plus meurtrière qu’ait connu le territoire palestinien. «Renvoyer Gaza à l’âge de pierre» est pourtant une obsession israélienne. Dès que colons et militaires s’en retirent, sous la conduite du premier ministre Ariel Sharon, en 2005, ils ouvrent la voie à la victoire électorale du Hamas, en 2006, à laquelle les gouvernements israéliens successifs vont répondre sans relâche par des sièges – terrestres, maritimes et aériens – effroyables. Aux encerclements viennent s’ajouter les guerres : 2008-2009, 2012, 2014, 2021, 2022… une autre manière de continuer l’occupation de Gaza en l’encerclant et en l’asphyxiant.
Malgré quelques déprogrammations dans le contexte inflammable ayant suivi l’attaque du Hamas en Israël du 7 octobre, Yallah Gaza sort en salle le 8 novembre. Le documentaire (1h41) s’ouvre par une contextualisation historique qui se révèle absolument nécessaire tant les Palestiniens de Gaza n’ont pas de nom, pas de visage, pas d’histoire pour le grand public. Avant de devenir «une prison à ciel ouvert» et aujourd’hui un pays-cimetière, cette bande de terre de 40 km sur 12 km où vivent quelque 2,2 millions de personnes «entassées entre le sable du désert et l’eau de la Méditerranée» fut «un carrefour de peuples et de culture». La ville de Gaza (qui a donné́ son nom à l’ensemble du territoire) a été fondée vers 1500 av. J.C. La Bible y fait de nombreuses références, notamment dans la célèbre histoire de passion et de trahison de Samson et Dalila. Cet ancrage dans la terre et l’histoire, le rappel des événements géopolitiques majeurs qui ont bouleversé le Proche-Orient avec la création de l’État d’Israël en 1948 et l’occupation de la bande de Gaza en 1967 éclairent la spécificité de la résistance palestinienne dans cette enclave.
Le film aborde également les questions de droit international, à travers notamment la figure de Amina, qui fut la première Gazaouie à déposer plainte pour «crime de guerre» auprès de la Cour pénale internationale (CPI) après l’assassinat de son père, de son frère et de sa sœur lors des bombardements israéliens de 2014 (une plainte qui n’a toujours pas été traitée…). Quelques images des pique-niques israéliens à la frontière de Gaza lors de ces bombardements ou lors des «marches du retour» montrent le point culminant de l’assentiment des Israéliens à cette répression à grande échelle. Populaires et non violentes, ces marches, initiées en mars 2018, ont fait près de 30 000 blessés. L’armée israélienne y a répondu par des tirs à balles réelles et explosives qui mutilent à vie leurs cibles de manière délibérée.
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Si l’on en croit le secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, l’attaque du Hamas contre Israël, le 7 octobre, était “entièrement le fruit de la détermination et de l’exécution palestiniennes, méticuleusement dissimulées à tous, y compris aux factions de la résistance basées à Gaza […] et libres de tout enchevêtrement avec des acteurs régionaux ou internationaux“.
Dans son discours historique prononcé vendredi à Beyrouth, Nasrallah a souligné que l’attaque du Hamas contre Israël “a démontré sans équivoque que l’Iran n’exerce aucun contrôle sur les factions de la résistance, les véritables décideurs étant les chefs de la résistance et leurs combattants dévoués“.
Le discours de Nasrallah était très attendu dans les capitales du monde entier, principalement pour obtenir des indices sur les intentions du Hezbollah pour l’avenir. Mais le maître tacticien s’est plutôt concentré sur la situation dans son ensemble, car, comme il l’a dit, le 7 octobre “annonce un changement de paysage, nécessitant une responsabilité partagée de la part de toutes les parties“.
Ainsi, l’arrêt de l’agression israélienne contre Gaza et la victoire du Hamas dans la région devraient être les objectifs actuels, ce qui est dans l’intérêt national de l’Égypte, de la Jordanie et de la Syrie et d’une “importance capitale” pour le Liban. Bien entendu, la bande de Gaza a toujours été au cœur du conflit israélo-palestinien et est depuis longtemps liée au nationalisme palestinien.
Le Hezbollah est entré dans la bataille pour Gaza dès le 8 octobre, car “ce qui se passe sur notre front libanais ne s’y limitera pas, il s’étendra au-delà“, a souligné Nasrallah. Par conséquent, les opérations de résistance menées dans le sud du Liban ont un effet dissuasif et toute attaque contre le Liban ou opération préventive “serait la plus grande folie dans l’histoire de l’existence d’Israël“. Il a ajouté que l’escalade dépendait de deux “facteurs fondamentaux” : le déroulement des événements à Gaza et la conduite de l’armée israélienne à l’égard du Liban.
“Toutes les possibilités restent ouvertes sur notre front libanais, chaque option étant envisagée et pouvant être mise en œuvre à tout moment, il est impératif que nous restions prêts à faire face à tous les scénarios possibles” a ajouté Nasrallah.
“Nous nous sommes également préparés à contrer la flotte américaine“, a-t-il ajouté. Rappelant l’humiliation subie par les États-Unis au début des années 1980 au Liban, Nasrallah a déclaré : “Ceux qui veulent éviter une guerre américaine devraient agir rapidement pour mettre fin à l’agression contre Gaza… En cas de conflit régional, les flottes navales et la guerre aérienne s’avéreront futiles et sans réel intérêt… vos intérêts et vos soldats seront ceux qui souffriront le plus et subiront les plus grandes pertes.”
Quelle est donc la situation dans son ensemble ? Nasrallah résume la situation : “Même si nous avons besoin de plus de temps, nous remportons des victoires dans différents domaines, comme nous l’avons fait dans différents domaines à Gaza et comme la résistance en Cisjordanie… Cette bataille est caractérisée par la résilience, la patience, l’endurance et l’accumulation de réalisations, qui visent toutes à empêcher l’ennemi d’atteindre ses objectifs“.
Il semble que le contenu du discours de Nasrallah n’ait pas pris par surprise le secrétaire d’État américain Antony Blinken, qui était en voyage à Tel-Aviv. On peut supposer que les canaux de communication ont été actifs. Pour faire le lien, le chef de la Force Quds des Gardiens de la révolution iranienne, le général Esmail Qaani, s’est rendu à Beyrouth mardi dernier et a rencontré Nasrallah.
Le même jour, le ministre iranien des affaires étrangères, Hossein Amir-Abdollahian, rencontrait l’émir du Qatar, Tamim bin Hamad Al Thani, à Doha, puis le chef du Hamas, Ismail Haniyeh. (Il s’agissait de la deuxième visite d’Amir-Abdollahian au Qatar en l’espace de quinze jours).
Dans la chronique de l’Axe de la Résistance, des personnages comme Nasrallah (ou Moqtada al-Sadr, le religieux chiite irakien) sont tout sauf des figures unidimensionnelles. Le succès de l’Iran réside dans son tact, sa patience infinie et sa capacité à s’adapter aux exigences externes et internes de la politique de résistance. C’est en grande partie l’héritage du général Qasem Soleimani, qui a été pris pour cible et tué par une attaque de drone américain près de l’aéroport de Bagdad en janvier 2000.
Face à la crise inflationniste qui touche la Grande-Bretagne, un duo de Youtubers anglais s’est récemment rendu en Pologne pour faire ses courses. Malgré le prix des billets d’avion, les deux compères en ont eu pour moins cher qu’en Grande-Bretagne.
L’inflation sur les denrées alimentaires ne concerne pas que la France. Outre-Manche, un duo de Youtubers fait sensation cette semaine après avoir démontré qu’il était moins cher de prendre l’avion afin de se rendre en Pologne pour y faire ses courses, plutôt que de se rendre au supermarché du coin.
Dans une vidéo publiée sur Youtube ce mercredi 1er novembre, on voit d’abord Josh & Archie, 1,5 million d’abonnés au compteur, passer à la caisse dans un magasin Lidl du sud de Londres, à Clapham. Le prix annoncé sur le ticket de caisse après avoir acheté un ensemble de 135 produits figurant dans le panier moyen établi par le gouvernement : 164,47 livres sterling, soit 188,77 euros.
« Souligner une situation ridicule »
Pour la même liste de courses, le duo n’a dépensé que 96,75 livres sterling (111,05 euros), à Poznan, en Pologne. En ajoutant le prix des billets d’avion Ryanair (47 livres sterling, bagage en soute inclus au retour pour l’un des deux), mais également le coût du logement pour une nuit via Couchsurfing (8,55 livres sterling) ; Josh & Archie sont même parvenus à économiser 11,14 livres sterling à l’issue de leur périple !
« Il ne s’agit pas d’une suggestion sur la façon dont les gens peuvent économiser de l’argent, précisent les deux jeunes hommes, interrogés par le DailyMail. Mais plutôt d’une démarche visant à souligner la situation ridicule dans laquelle nous semblons nous trouver face à l’évolution de l’inflation. »
Officiellement il s’agit d’un montage financier frauduleux qui consiste à rémunérer les investissements des clients essentiellement par les fonds procurés par les nouveaux entrants. Si l’escroquerie n’est pas découverte auparavant, la fraude apparaît au grand jour au moment où le système s’écroule, c’est-à-dire quand les sommes procurées par les nouveaux entrants ne suffisent plus à couvrir les rémunérations des clients. Son nom rappelle Charles Ponzi qui est devenu célèbre après avoir mis en place une opération fondée sur ce principe à Boston dans les années 1920.
Pour le dire plus simplement, je rémunère ou je rembourse les dépôts des premiers par les dépôts des suivants alors qu’il n’y a aucune création de valeur.
Vous allez me dire qu’il faut être sacrement couillons pour se faire avoir…
D’abord, ce n’est pas si simple, et les « arnaques » sont toujours brillamment exécutées. Il est souvent difficile de les détecter, surtout quand en plus nos capacités de jugement sont obscurcies par le lucre et l’appât du gain.
Ensuite, l’économie est un immense système de Ponzi.
01:10 – Débat avec Pierre Hillard :
04:02 – Économie :
• Encore des sanctions !
• Washington VS Europe
• Washington VS Tokyo
• Croissance russe : 2,8 %
• Iliouchine 96-400M
14:25 – Politico-diplomatique :
• Aide pour l’Ukraine : Échec de Joe Biden
• Empire du mensonge : Meloni piégée
• Orbán au Kazakhstan
• E. Macron en Asie Centrale
18:23 – Terrorisme :
• Émeute à Makhatchkala
• Azov recrute en France
24:00 – Armement :
• Troisième échec de Minuteman III
25:30 – Considérations militaire générales
• Zelensky dans son bunker
• Confessions de Zaloujny
• Gamelin Servent vs Zaloujny
38:40 – Carte des opérations militaires
Les plus impatients peuvent cependant acheter des places pour la projection en avant-première publique du 7 novembre à 20 heures, à l’UGC Normandie, avenue des Champs-Élysées. Nous avons vu ce film qui a déjà fait couler beaucoup d’encre, pas toujours dans le sens souhaité par ses auteurs.
"En tant que coscénaristes du film Sound of Freedom, il a été difficile de voir la controverse partisane nous détourner de l’intention profonde de notre travail : utiliser le pouvoir du cinéma pour sensibiliser à la réalité de la traite des enfants", déplorent Alejandro Monteverde (également réalisateur du film) et Rod Barr dans une tribune publiée le 14 août 2023 dans The Hollywood Reporter.
"Nous avons été sidérés de découvrir la polémique qui a entouré la sortie du film aux États-Unis en juillet dernier, tant l’écart avec le contenu du film était grand", commente en écho le distributeur, Saje Distribution.
Une polémique arrivée jusqu’en France, puisque avant même la sortie du film dans l’Hexagone, des médias ont évoqué les "thèses complotistes" qu'il relaierait selon eux.
Il n’en est rien. Sound of Freedom est avant tout un film d’action haletant, inspiré de la vie de Tim Ballard, un ancien agent spécial du ministère de la Sécurité intérieure des États-Unis, affecté à l’unité chargée de la lutte contre la pédocriminalité sur Internet. Après des missions d’infiltration pour combattre le tourisme sexuel impliquant des enfants, Tim Ballard démissionne en 2013 pour créer Opération Undergroung Railroad, une fondation dont l’objet est de sauver les enfants victimes de réseaux les réduisant à l’esclavage sexuel.
Avec Sound of Freedom, le spectateur suit le héros, incarné par Jim Caviezel, dans son travail d’agent fédéral puis dans de périlleuses opérations de sauvetage qui le conduiront en Amérique du Sud.
Un thriller captivant inspiré de faits réels.
Ce qui se joue désormais à Gaza n’est plus la question palestinienne, mais l’ordre international. Après la défaite de l’Otan en Ukraine, celle d’Israël à Gaza marquerait le fin d’un monde. Jamais, depuis trois-quart de siècle, nous n’avons été aussi prêt de la confrontation générale.
L'armée de l’Air israélienne continue de bombarder la ville de Gaza en rétorsion de l’attaque de la Résistance palestinienne unie (sauf le Fatah) du 7 octobre. Les bombes s’abattent sur toute l’agglomération tuant les habitants par milliers. Selon un sondage réalisé en juin 2022 par le Palestinian Center for Policy and Survey Research, seuls 34 % des Palestiniens voteraient pour le Hamas contre 31 % pour le Fatah si des élections législatives avaient lieu. Les victimes des bombardements israéliens sont donc pour les deux tiers hostiles au Hamas. Simultanément, ils sont 71 % à soutenir la lutte armée contre l’occupation israélienne. De ce point de vue, ils sont 56 % à préférer Ismail Haniyeh (Hamas) à Mahmoud Abbas (Fatah).
Israël ne peut donc pas prétendre éradiquer le Hamas de cette manière, mais uniquement éliminer la population de Gaza qui lui résiste.
L’expulsion des Gazaouis
Les trois quart de l’armée de Terre israélienne stationnent toujours devant le Mur de séparation, attendant l’ordre de le franchir pour achever les survivants des bombardements. Officiellement, les États-Unis espèrent éviter un massacre en incitant Israël à la modération. En réalité, Washington sait que cette opération n’était pas initialement dirigée contre le Hamas, mais visait à résoudre la question palestinienne en expulsant toute sa population. Aussi le département d’État, soucieux d’éviter un génocide, a-t-il proposé à l’Égypte d’annuler toute sa dette extérieure (135 milliards de dollars) si elle hébergeait et naturalisait les 2,2 millions de Gazaouites.
Pour le moment le maréchal Al-Sissi refuse. Le Caire s’en tient à la résolution de la Ligue arabe qui, après la Guerre des Six jours, avait affirmé que déplacer les Palestiniens et les naturaliser n’était rien d’autre qu’une manœuvre faussement compassionnelle pour liquider la cause palestinienne.
Mullins plonge son analyse encore plus loin dans les racines de ce pouvoir profond qu’on appelle Réserve fédérale : elle est au centre de la politique monétaire américaine, de sa géopolitique agressive et des guerres qui ont embrasé le XXe siècle. Mullins démasque aussi le sionisme derrière la politique américaine.
Une vidéo, sous-titrée par E&R, riche et instructive pour comprendre le mécanisme qui a conduit à la situation actuelle.
« Elle n’est pas plus “fédérale” que la société Federal Express. Et elle n’a pas de “réserves”. Elle n’a pas besoin de réserves car elle imprime sa propre monnaie. Si vous imprimez votre propre monnaie, à quoi bon ? Il suffit de mettre en marche l’imprimante et de créer 10 milliards de dollars !
Enfin, ce n’est pas un “système”. On l’appelle le “système de la Réserve fédérale” mais il n’est pas fédéral, il n’a pas de réserves et ce n’est pas un système. Je suis le seul au monde à l’avoir défini, dans mes travaux, comme un syndicat du crime.
Et c’est ce qu’il est : un syndicat du crime ! Comme la mafia, qui est une de ses filiales. Ainsi que la CIA et tous les syndicats du crime qui dépendent du système de la Réserve fédérale. Une banque centrale est un groupe de banquiers qui exercent un contrôle total sur l’économie d’un pays. Ils impriment leur propre monnaie, autant qu’ils veulent, et elle finit par ne plus rien valoir... par la spéculation... Une banque centrale est conçue pour la spéculation.
Le système de la Fed a été mis en place uniquement pour la spéculation. Son créateur fut Paul Warburg, associé chez Kuhn, Loeb & Co. à New York, qui, soit dit en passant, a financé la révolution communiste, la révolution hitlérienne, et l’entrée du Japon dans la Seconde Guerre mondiale… »
L’Union européenne est aujourd’hui de facto incapable d’agir de manière indépendante non seulement sur la scène internationale, mais aussi sur la scène européenne.
Pratiquement tous les pays de l’UE se sont mis au garde-à-vous devant les États-Unis et la Grande-Bretagne et ont docilement commencé à suivre leurs instructions pour soutenir le régime nazi de Kiev. Et maintenant, il n’y a plus d’ordre du tout. L’UE a dilapidé son autorité internationale en tant que médiateur dans tout conflit. Et l’Europe joue aujourd’hui, hélas, le rôle d’une prostituée vieillissante, répondant sans broncher à tous les caprices de la clientèle étrangère.
L’Europe s’est castrée de façon sanglante et sans anesthésie en refusant la coopération énergétique avec notre pays. Elle a été gâtée ou gelée pendant très longtemps. Mais voilà que l’Amérique, se frottant les mains, fournit à l’Europe son GNL au triple du prix. Les temps difficiles sont arrivés pour longtemps.
Les entreprises européennes ont subi des pertes colossales irrécupérables en quittant notre pays. Leur préjudice se mesure en dizaines de milliards de dollars (et avec les pertes de profits, en centaines). Mais si elles pourront peut-être couvrir leurs pertes financières à un moment donné, elles ne pourront guère couvrir leurs pertes d’image et de réputation. Il sera très difficile, voire impossible, de revenir en Russie.
Nous ne sommes même plus des voisins, mais de véritables ennemis. L’UE a perdu la Russie en tant que partenaire stratégique à long terme. Nous ne nous en réjouissons pas, mais c’est un fait. En décidant de devenir le pire ennemi de notre pays à la demande des États-Unis, l’Europe s’est rapprochée de la dégénérescence finale.