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Dieudonné - crime contre l'humanité

DieudonnéDieudonné - Mahmoud : Israël/Palestine - crime contre l'humanité

Dieudonné - 23 nov 2023

Sketch de Dieudonné extrait du spectacle Mahmoud (2010) sur le conflit Israël/Palestine.

   

Spectacle étonnamment visionnaire.

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censure Gaza

VoltairenetComment Netanyahu falsifie l’actualité

Voltairenet - 22 nov 2023

Nous pensons être correctement informés en Occident de ce qui se passe à Gaza. Il n’en est rien. Les images que nous voyons sont sélectionnées. Les commentaires que nous entendons ne nous permettent pas de les comprendre. Ils nous induisent volontairement en erreur.

   

Toute opinion dissidente est censurée.

Comme toutes les guerres, celle opposant l’État d’Israël à la population palestinienne fait l’objet d’un combat médiatique. La Résistance palestinienne n’a pas besoin de raconter l’injustice contre laquelle elle se bat : il suffit de regarder pour constater. Elle vise plutôt à magnifier telle ou telle de ses composantes. Israël doit, par contre, convaincre de sa bonne foi, ce qui après trois quarts de siècle de violation du Droit international n’est pas une mince affaire.
Avant l’attaque

Depuis l’attaque de la Résistance palestinienne, le 7 octobre 2023, Israël déploie donc tous ses services pour nous faire croire que cette attaque est une opération des jihadistes du Hamas ; et qu’il ignorait tout de sa préparation.

Or, cette attaque a été conduite par l’ensemble des factions palestiniennes, à l’exception du Fatah. Le Hamas se définissait jusqu’il y a peu comme la « Branche palestinienne de la Confrérie des Frères musulmans », ainsi qu’indiqué sur tous ses documents. À ce titre, il a combattu contre les laïques du Fatah de Yasser Arafat et du FPLP de George Habache, puis contre ceux de la République arabe syrienne du président Bachar el-Assad. Tous, à ses yeux, n’étaient que des « ennemis de Dieu ». Le Hamas était financé par Israël et, en Syrie, ses combattants étaient encadrés par des officiers du Mossad et de l’Otan. Cependant, après l’échec de la Confrérie en Égypte et leur défaite en Syrie, le Hamas s’est divisé entre une partie fidèle aux Frères musulmans, conduite par Khaled Mechaal et poursuivant toujours l’instauration d’un Califat mondial, et une autre qui s’est recentrée sur la libération de la Palestine. Cette seconde tendance, à l’initiative de l’Iran, a renoué avec la Syrie jusqu’à ce que son leader, Khalil Hayya, soit reçu, à Damas, par le président Bachar el-Assad. Elle a également renoué avec le Hezbollah libanais, jusqu’à participer, à Beyrouth, à des réunions avec lui et les autres composantes de la Résistance palestinienne.

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de l'huile sur le feu - Naïm

NaïmCessez-le-feu ou de l'huile sur le feu ?

Naïm - 22 nov 2023

La semaine de Naïm

   

Au programme : Macron qui nous réalise le posage de couilles le plus court de l'histoire, la manifestation contre l'antisémitisme "pas politique" organisée par les politiques, les médias mainstreams impartiaux (50% pour les juifs, 50% contre les arabes).

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science - religion

Réseau InternationalComment la science devient une religion

Réseau International - 21 nov 2023

Le slogan populaire d’aujourd’hui est «Croyez en la science».

   

Il est souvent utilisé comme une arme contre les personnes qui rejettent non pas la science en principe mais plutôt l’une ou l’autre proposition scientifique de premier plan, qu’il s’agisse du vaccin contre le COVID-19, du changement climatique, de la nutrition (alimentation pauvre en graisses ou pauvre en glucides), pour n’en citer que quelques-unes. Mon objectif n’est pas de défendre ou de nier une position scientifique particulière, mais de remettre en question le modèle de la science sur lequel semblent se baser les plus fervents partisans de la science. Leur modèle fait que la science semble presque identique à ce qu’ils entendent par, et attaquent comme, la religion. Si c’est le cas, nous ne devrions pas les écouter lorsqu’ils nous font la leçon sur la nécessité de tenir compte de la science.

Le problème le plus évident avec le rappel à l’ordre de «croire en la science» est qu’il n’est d’aucune aide lorsque des scientifiques de renom – c’est-à-dire des experts de bonne foi – se trouvent des deux côtés (ou de tous les côtés) d’une question empirique donnée. Les parties dominantes de l’intelligentsia préféreraient peut-être que nous ne le sachions pas, mais il existe des experts dissidents sur de nombreuses questions scientifiques que certains déclarent allègrement «réglées» par un «consensus», c’est-à-dire au-delà de tout débat. C’est le cas de la nature précise et des conséquences probables du changement climatique et de certains aspects du coronavirus et de son vaccin. Sans preuve réelle, les francs-tireurs accrédités sont souvent accusés d’avoir été corrompus par l’industrie, avec la foi tacite que les scientifiques qui expriment la position établie sont purs et incorruptibles. C’est comme si la quête de fonds publics ne pouvait pas en soi biaiser la recherche scientifique. En outre, personne, pas même les scientifiques, n’est à l’abri de la pensée de groupe et du biais de confirmation.

Ainsi, le chœur des «adeptes de la science» n’accorde aucune attention aux francs-tireurs accrédités, sauf si c’est pour les diffamer. Apparemment, selon le modèle de science des croyants, la vérité descend d’un Mont Sinaï séculaire (Mont Science ?) grâce à un ensemble de scientifiques oints, et ces déclarations ne doivent pas être remises en question. Les dissidents peuvent être ignorés car ils ne font pas partie des élus. Comment les élus ont-ils atteint leur position élevée ? Souvent, mais pas toujours, c’est par le biais du processus politique : par exemple, la nomination dans une agence gouvernementale ou l’octroi de subventions prestigieuses. Il se peut qu’un scientifique ait simplement gagné l’adoration de l’intelligentsia progressiste parce que ses vues s’alignent facilement sur un programme politique particulier.

Mais ce n’est pas de la science ; c’est de la religion, ou du moins c’est le stéréotype de religion auquel les «adeptes de la science» s’opposent au nom de la lumière. Il en résulte des dogmes et, en fait, des accusations d’hérésie.

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télétravail - contre-offensive des patrons

InsolentiaeContre-offensive générale des patrons contre le télétravail

Insolentiae - 21 nov 2023

La véritable raison de l’offensive générale des patrons contre le télétravail enfin dévoilée.

   

Au nom de la productivité, du sentiment d’appartenance ou d’une meilleure collaboration entre les équipes, de nombreuses entreprises commencent à serrer la vis sur le télétravail et à exiger un plus large retour au bureau des salariés, parfois même total.

C’est le cas chez Groupama Immobilier, où les salariés reviennent travailler tous les jours au bureau depuis le 14 novembre. La filiale immobilière de l’assureur teste pour trois mois ce retour au monde d’avant la crise du Covid , après avoir instauré, comme la majorité des entreprises concernées, deux jours de télétravail par semaine. « On a un effectif de 130 collaborateurs, il y en a 30 qui ont rejoint l’entreprise depuis 2020 et qui n’ont jamais connu le présentiel ‘full time’ (à 100 %, NDLR) », justifie auprès de l’ AFP le directeur général, Éric Donnet. « Pour eux, ça va être l’expérimentation de ce qu’ont connu les collègues par le passé . Ils nous prennent pour des dinosaures ! »

« Ce qui se joue aujourd’hui, c’est un gros débat sur la notion de productivité », confirme Flore Pradère, directrice recherche et prospective bureaux chez le spécialiste de l’immobilier d’entreprise JLL, qui a mené deux études à l’échelle internationale sur l’articulation télétravail-bureau. « Au départ, on s’est dit : formidable gain de temps, (on va) optimiser l’espace, les gens vont pouvoir travailler plus et peut-être qu’on va économiser des mètres carrés. » Désormais, « il y a un petit rétropédalage, où on se dit : quid de la transversalité, du sentiment d’appartenance, de la collaboration entre les équipes et des capacités à innover ? », explique-t-elle à l’ AFP .

Je vois bien la difficulté pour les entreprises et il n’est pas seulement question de « productivité ».

Par exemple le sentiment d’appartenance, n’a rien à voir avec la productivité. Bien au contraire. « l’appartenance », cela prend du temps, et cela coûte très cher en séminaires, restaurants et autres couillonnades de « team-building » où il faut danser ensemble, jouer au babyfoot et toutes les âneries d’usage.

L’idée, c’est l’endoctrinement et la libre pensée...

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bilan guerre ukraine russie

Réseau InternationalGuerre russo-ukrainienne : Le bilan

Réseau International - 20 nov 2023

La guerre russo-ukrainienne a été une expérience historique inédite pour diverses raisons, et pas seulement pour les complexités et les technicités de l’entreprise militaire elle-même.

   

Il s’agit du premier conflit militaire conventionnel à se dérouler à l’ère des médias sociaux et de la cinématographie planétaire (c’est-à-dire de l’omniprésence des caméras). Cela a apporté un vernis (mais seulement un vernis) d’immanence à la guerre qui, pendant des millénaires, ne s’était dévoilée qu’à travers les forces médiatrices des informations câblées, des journaux imprimés et des stèles de victoire.

Pour l’éternel optimiste, l’idée qu’une guerre de haute intensité allait être documentée par des milliers de vidéos à la première personne avait des côtés positifs. Du point de vue de la curiosité intellectuelle (et de la prudence martiale), le flot d’images en provenance d’Ukraine offre un aperçu des nouveaux systèmes et méthodes d’armement et permet d’obtenir un niveau remarquable de données tactiques. Plutôt que d’attendre des années de dissection angoissante des rapports d’après action pour reconstituer les engagements, nous sommes informés en temps quasi réel des mouvements tactiques.

Malheureusement, tous les inconvénients évidents de la diffusion d’une guerre en direct sur les médias sociaux étaient également présents. La guerre est instantanément devenue sensationnelle et saturée de vidéos fausses, fabriquées ou mal légendées, encombrées d’informations que la plupart des gens ne sont tout simplement pas équipés pour analyser (pour des raisons évidentes, le citoyen moyen n’a pas une grande expérience de la différenciation entre deux armées post-soviétiques utilisant un équipement similaire et parlant une langue similaire, voire la même), et de pseudo-expertise.

Plus abstraitement, la guerre en Ukraine a été transformée en un produit de divertissement américain, avec des armes miracles de célébrités (comme le Saint Javelin et le HIMARS), des références grotesques à la culture pop américaine, des visites de célébrités américaines et des voix off de Luke Skywalker. Tout cela s’inscrit très naturellement dans la sensibilité américaine, car les Américains adorent les outsiders, et en particulier les outsiders pleins d’entrain qui surmontent des obstacles extrêmes grâce à leur persévérance et à leur courage.

Le problème de cette structure narrative privilégiée est que les outsiders gagnent rarement les guerres. La plupart des grands conflits entre pairs n’ont pas la structure conventionnelle de l’intrigue hollywoodienne, avec un tournant dramatique et un retournement de situation. La plupart du temps, les guerres sont remportées par l’État le plus puissant, c’est-à-dire celui qui a la capacité de mobiliser et d’appliquer efficacement une plus grande puissance de combat sur une plus longue période. Cela a certainement été le cas dans l’histoire américaine – même si les Américains souhaitent ardemment se présenter comme un outsider historique, les États-Unis ont historiquement gagné leurs guerres parce qu’ils étaient un État exceptionnellement puissant disposant d’avantages irrésistibles et innés par rapport à leurs ennemis. Il n’y a pas lieu d’en avoir honte. Comme l’a dit le général George Patton : Les Américains aiment les vainqueurs.

C’est ainsi que nous sommes arrivés à une situation de convolution où, malgré les nombreux avantages évidents de la Russie (qui se résument en fin de compte à une capacité indigène supérieure de mobilisation des hommes, de la production industrielle et de la technologie), il est devenu «propagandiste» d’affirmer que la Russie allait remporter une sorte de victoire en Ukraine – que l’Ukraine terminerait la guerre en n’ayant pas réussi à retrouver ses frontières de 1991 (la condition de victoire énoncée par Zelensky) et avec le pays dans un état d’épave, de vidange démographique et de destruction matérielle.

Nous semblons enfin avoir atteint une phase de dénouement, où ce point de vue – prétendument un artefact de l’influence du Kremlin, mais en réalité la conclusion la plus directe et la plus évidente – devient inéluctable. La Russie est un plus grand combattant avec une batte beaucoup plus grande.

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activité volcanique en Islande

Anguille sous rocheÉcoutez le grondement de colère de l’intense activité sismique de l’Islande

Anguille sous roche - 20 nov 2023

Terrifiant, mais étrangement relaxant.

   

La géologie de l’Islande est particulièrement changeante en ce moment. Alors que le volcan Fagradalsfjall se prépare à une éruption imminente, des centaines de tremblements de terre secouent chaque jour la péninsule de Reykjanes. Grâce à l’application Earthtunes de l’université Northwestern, il est possible d’entendre les grincements et les cliquetis des forces sismiques profondes qui agissent actuellement sous l’île.

La dernière collection de sons a été enregistrée la semaine dernière, au début du mois de novembre 2023, par la station du réseau sismographique mondial (appelée BORG), située au nord-nord-est de la capitale Reykjavík.

Cette activité sismique ne peut généralement pas être entendue par l’oreille humaine, mais les chercheurs transforment les fréquences sismiques en hauteurs audibles. Il s’agit en fait de traduire les lignes sinueuses d’un sismomètre en données sonores.

“Ce que vous entendez, ce sont 24 heures de données sismiques, remplies de signaux de tremblements de terre. La grande majorité de ces tremblements de terre sont associés à l’intrusion de magma dans la croûte de la région de Fagradallsfjall-Svartsengi-Grindavik de la péninsule de Reykjanes”, a déclaré dans un communiqué Suzan van der Lee, sismologue à l’université Northwestern, qui a co-développé Earthtunes.

L’Islande connaît une activité volcanique et sismique intense parce qu’elle est située sur la dorsale médio-atlantique, où les plaques nord-américaine et eurasienne se séparent, ce qui permet au magma de remonter du manteau. Elle est également située au sommet d’un point chaud (c’est le terme scientifique actuel) où le magma est particulièrement proche de la surface.

En ce moment, la situation est particulièrement brûlante. Le 12 novembre, la péninsule de Reykjanes a connu un millier de tremblements de terre et beaucoup soupçonnent l’imminence d’une éruption volcanique du Fagradalsfjall. Le risque est si élevé que les autorités islandaises ont fait creuser la ville de pêche de Grindavík après que des fissures géantes se soient formées le long de ses routes.

“L’activité est formidable, excitante et effrayante”, a fait remarquer M. van der Lee.

Après des siècles de calme, les éruptions sur la péninsule de Reykjanes ont repris en 2021, inaugurant une nouvelle ère d’activité sismique intense. Il est probable que la péninsule sud-ouest de l’Islande soit désormais confrontée à des décennies d’instabilité volcanique.

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bourdonnement - Ireland

Anguille sous rocheUn “Worldwide Hum” qui cause des nuits blanches dans le monde entier

Anguille sous roche - 19 nov 2023

Omagh pourrait-elle être la dernière victime du “Worldwide Hum” qui cause des nuits blanches dans le monde entier ?

   

Les habitants d’une ville d’Irlande du Nord se sont montrés très grincheux ces derniers temps en raison d’un “hummmmmm” permanent qui les empêche de dormir. Personne ne sait exactement d’où vient ce bruit irritant, et le conseil municipal a donc fait appel à des experts en sonologie pour enquêter sur le problème.

Selon BBC News NI, ce bruit nocturne a été entendu ces dernières semaines dans une large zone autour d’Omagh, dans le comté de Tyrone. Les habitants ont décrit le son comme un “bourdonnement ou un ronflement persistant” qui devient plus important la nuit.

Stephen Donnelly, conseiller municipal du parti de l’Alliance, a demandé au conseil municipal d’enquêter sur le problème et a confirmé qu’il s’agissait d’un problème légitime. La cause exacte du bruit reste cependant un mystère.

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Israël - USA : l'effondrement

VoltairenetL’effondrement d’Israël et des États-Unis

Voltairenet - 19 nov 2023

Pour la première fois, le monde assiste en direct à un crime contre l’Humanité, à la télévision.

   

Les États-Unis et Israël, qui ont uni leur sort depuis longtemps, seront tous deux tenus pour responsables des massacres de masse commis à Gaza. Partout, sauf en Europe, les alliés de Washington retirent leurs ambassadeurs à Tel-Aviv. Demain, ils le feront à Washington. Tout se passe comme lors de la dislocation de l’URSS et se terminera de la même manière : l’Empire américain est menacé dans son existence. Le processus qui vient de s’enclencher ne pourra pas être stoppé.

lors que nous avons les yeux rivés sur les massacres de civils en Israël et à Gaza, nous ne percevons ni les divisions internes en Israël et aux USA, ni le changement considérable que ce drame provoque dans le monde. Pour la première fois dans l’Histoire, on tue massivement et en direct des civils à la télévision.

Partout — sauf en Europe — les juifs et les arabes s’unissent pour crier leur douleur et appeler à la paix.
Partout, les peuples réalisent que ce génocide ne serait pas possible si les États-Unis ne fournissaient pas en temps réel des bombes à l’armée israélienne.
Partout, des États rappellent leurs ambassadeurs à Tel-Aviv et se demandent s’ils doivent rappeler ceux qu’ils ont envoyés à Washington.

Il va de soi que les États-Unis n’ont accepté ce spectacle qu’à contre-cœur, mais ils ne l’ont pas simplement autorisé, ils l’ont rendu possible avec des subventions et des armes. Ils sont effrayés de perdre leur Pouvoir après leur défaite en Syrie, leur défaite en Ukraine et peut-être bientôt leur défaite en Palestine. En effet, si les armées de l’Empire ne font plus peur, qui continuera à effectuer des transactions en dollars au lieu de sa propre monnaie ? Et dans cette éventualité, comment Washington fera-t-il payer aux autres ce qu’il dépense, comment les États-Unis maintiendront-ils leur niveau de vie ?

Mais que se passera-t-il à la fin de cette histoire ? Que le Moyen-Orient se révolte ou qu’Israël écrase le Hamas au prix de milliers de vies ?

Nous retiendrons que le président Joe Biden avait d’abord sommé Israël de renoncer à son projet de déplacer vers l’Égypte ou, à défaut, d’éradiquer le peuple palestinien de la surface de la Terre, et que Tel-Aviv ne lui a pas obéi.

Les « suprémacistes juifs » se comportent aujourd’hui comme en 1948.
Lorsque les Nations unies votèrent la création de deux États fédérés en Palestine, un hébreu et un arabe, les forces armées auto-proclamèrent l’État hébreu avant qu’on en ait fixé les frontières. Les « suprémacistes juifs » expulsèrent immédiatement des millions de Palestiniens de chez eux (la « Nakhba ») et assassinèrent le représentant spécial de l’Onu venu créer un État palestinien. Les sept armées arabes (Arabie saoudite, Égypte, Iraq, Jordanie, Liban, Syrie et Yémen du Nord) qui tentèrent de s’opposer à eux furent rapidement balayées.
Aujourd’hui, ils n’obéissent pas plus à leurs protecteurs et massacrent encore, sans se rendre compte que, cette fois, le monde les observe et que plus personne ne viendra à leur secours. Au moment où les chiites admettent le principe d’un État hébreu, leur folie met en péril l’existence de cet État.

Nous nous souvenons de la manière dont l’Union soviétique s’est effondrée. L’État n’avait pas été capable de protéger sa propre population lors d’un accident catastrophique. 4 000 Soviétiques sont morts à la centrale nucléaire de Tchernobyl (1986), en sauvant leurs concitoyens. Les survivants s’étaient alors demandés pourquoi ils continuaient à accepter, 69 ans après la Révolution d’Octobre, un régime autoritaire. Le Premier secrétaire du PCUS, Mikhail Gorbachev, a écrit que c’est lorsqu’il a vu ce désastre, qu’il a compris que son régime était menacé.
Puis ce furent les émeutes de décembre au Kazakhstan, les manifestations d’indépendance dans les pays baltes et en Arménie. Gorbatchev modifia la Constitution pour écarter la vieille garde du Parti. Mais ses réformes ne suffirent pas à arrêter l’incendie qui se propagea en Azerbaïdjan, en Géorgie, en Moldavie, en Ukraine et en Biélorussie. Le soulèvement des Jeunes communistes est-allemands contre la doctrine Brejnev conduisit à la chute du Mur de Berlin (1989). L’effritement du Pouvoir à Moscou conduisit à l’arrêt de l’aide aux alliés, dont Cuba (1990). Enfin ce furent la dissolution du Pacte de Varsovie et le déchirement de l’Union (1991). En un peu plus de 5 ans, un Empire, que tous pensaient éternel, s’est effondré sur lui-même.

Ce processus inéluctable vient de débuter pour l’« Empire américain ». La question n’est pas de savoir jusqu’où les « sionistes révisionnistes » de Benjamin Netanyahu iront, mais jusqu’à quand les impérialistes états-uniens les soutiendront. À quel moment, Washington estimera qu’il a plus à perdre à laisser massacrer des civils palestiniens qu’à corriger les dirigeants israéliens ?

Le même problème se pose pour lui en Ukraine. La contre-offensive militaire du gouvernement de Volodymyr Zelensky a échoué. Désormais, la Russie ne cherche plus à détruire les armes ukrainiennes, qui sont immédiatement remplacées par des armes offertes par Washington, mais à tuer ceux qui les manient. Les armées russes se comportent comme une gigantesque machine à broyer qui, lentement et inexorablement, tue tous les soldats ukrainiens qui s’approchent des lignes de défense russe. Kiev ne parvient plus à mobiliser de combattants et ses soldats refusent d’obéir à des ordres qui les condamnent à une mort certaine. Ses officiers n’ont d’autre choix que de fusiller les pacifistes.

Déjà de nombreux leaders US, ukrainiens et israéliens évoquent un remplacement de la coalition « nationaliste intégrale » ukrainienne et de la coalition « suprémaciste juive », mais la période de guerre ne s’y prête pas. Il va pourtant falloir le faire.

Le président Joe Biden doit remplacer sa marionnette ukrainienne et ses alliés barbares israéliens, comme le Premier secrétaire Mikhail Gorbachev avait dû remplacer son insensible représentant au Khazakhstan, ouvrant la voie à la généralisation de la contestation des dirigeants corrompus. Lorsque Zelensky et Netanyahu auront été renvoyés, chacun saura qu’il est possible d’obtenir la tête d’un représentant de Washington et chacun de ceux-ci saura qu’il doit fuir avant d’être sacrifié.

Ce processus n’est pas seulement inéluctable, il est inexorable. Le président Joe Biden peut juste faire tout ce qui est en son pouvoir pour le ralentir, pour le faire durer, pas pour l’arrêter.

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Didier Raoult - moralité

France SoirDidier Raoult  : “Ce que l’on nous a fait subir est immoral et doit cesser”

France Soir - 18 nov 2023

DEBRIEFING - Nouvelle publication de l’étude démontrant l’efficacité des traitements précoces, qui fait trembler le pouvoir.

   

Le professeur Raoult et quatre autres chercheurs, les professeurs Brouqui, Million, Parola et Mc Cullough publient un nouvelle étude sur les 30 423 patients pris en charge et soignés à l’IHU-Méditerranée durant la crise Covid. Initialement publiée le 4 juin 2023, cette étude avait été rétractée suite aux pressions exercées par François Braun, ministre de la Santé à l’époque. Mais les ministres de la Santé se succèdent et Didier Raoult continue à faire de la science.

Dans ce débriefing, il revient sur cette publication. Les résultats de l’étude sont statistiquement en faveur des traitements précoces, ce qui paraît logique au regard du type de maladie qu’est le Covid. Non seulement, les résultats sont indéniablement en faveur de la bithérapie (rappelons que les cinq chercheurs associés à l'étude ont soigné avec ces traitements pendant la crise), mais les données ont été validées par huissier dans un souci de transparence et d’intégrité.

Parmi les 30 202 patients pour lesquels des informations sur le traitement étaient disponibles, 191 sur 23 172 (0,82 %) patients traités par hydroxychloroquine et aziththromycine (HCQ-AZ) sont décédés, contre 344/7030 (4,89 %) qui n’ont pas reçu de traitement par HCQ-AZ.

Le traitement par HCQ-AZ a généré une mortalité plus faible que le traitement sans HCQ-AZ.

Le rapport de chance relative, ou odds ratio en anglais (OR) est de 0,16. C’est un calcul statistique qui permet d'évaluer la dépendance entre des variables aléatoires qualitatives souvent utilisées pour mettre en évidence le degré ou la force d’une association entre des échantillons traités ou pas dans des études cliniques. Après redressement et ajustement pour tenir compte du sexe, de l’âge, de la période et de la prise en charge du patient, la bithérapie est toujours associée à un taux de mortalité significativement plus faible.

Laurent Mucchielli a proposé une analyse de cette étude et conclut : “L’IHU démontre que son protocole anti-Covid aurait pu sauver de très nombreuses vies”.

Citant Schopenhauer (“Toute vérité passe par trois étapes : elle est toujours ridiculisée puis violemment combattue avant d'être acceptée comme une évidence”), le professeur Raoult évoque son tweet sur l’aveu de l’ancien président du Conseil scientifique Jean-François Delfraissy qui reconnaît s’être trompé sur l’efficacité du vaccin. Il aurait d’ailleurs pu prendre connaissance du contrat Pfizer sud-africain qui indique noir sur blanc que le fabricant ne s’engage ni sur l’efficacité ni sur les effets secondaires.

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vaxx schmilblick

Jean-Dominique MichelLe Schmilblick

Jean-Dominique Michel - 18 nov 2023

Censure et YouTube, médias véreux et médias libres, sans oublier ce bon vieux Schmilblick !

   

L'info non censurée de Jean-Dominique Michel

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Briefcam - logiciel de reconnaissance faciale

Égalité et RéconciliationLa police utilise illégalement un logiciel israélien de reconnaissance faciale

Égalité et Réconciliation - 17 nov 2023

En 2015, les forces de l’ordre ont acquis, en secret, un logiciel d’analyse d’images de vidéosurveillance de la société israélienne Briefcam. Depuis huit ans, le ministère de l’Intérieur dissimule le recours à cet outil qui permet l’emploi de la reconnaissance faciale.

   

C’est devenu une habitude. Ce mardi 14 novembre, comme ce fut le cas lors de l’édition précédente, Gérald Darmanin inaugure le salon Milipol, au parc des Expositions de Villepinte (Seine-Saint-Denis). Consacré à la sécurité intérieure des États, ce salon est une vitrine mondiale pour des entreprises souvent inconnues du grand public. C’est le cas de Briefcam, une société israélienne spécialisée dans le développement de logiciels destinés à la vidéosurveillance algorithmique (VSA). Grâce à l’intelligence artificielle, cette technologie permet d’analyser des images captées par des caméras ou des drones et de détecter des situations jugées « anormales ».

Jusqu’en mai dernier, la VSA ne pouvait être utilisée par la police nationale que dans de très rares cas. Mais à l’approche des Jeux olympiques et paralympiques de Paris, le gouvernement est parvenu à faire adopter une loi au Parlement qui autorise son expérimentation par la police nationale à une large échelle et ce, jusqu’au 31 mars 2025. Face aux risques d’atteinte à la vie privée, les députés ont néanmoins interdit le recours à la reconnaissance faciale, qui permet d’identifier une personne sur des images à partir des traits du visage. Un outil ultra-intrusif que certains logiciels commercialisés par Briefcam permettent d’activer en quelques clics. Et que les services de Gérald Darmanin connaissent bien.

Un logiciel déployé au niveau national

D’après des documents internes au ministère de l’Intérieur obtenus par Disclose, les forces de l’ordre utilisent les systèmes de Briefcam depuis 2015, dans le plus grand secret. Le logiciel en question, baptisé « Vidéo Synopsis », permet de traquer une personne sur un réseau de caméras grâce, par exemple, à la couleur de son pull. Il peut également suivre un véhicule à l’aide de sa plaque d’immatriculation ou examiner plusieurs heures de vidéos en quelques minutes. Le slogan de Briefcam, rachetée par le géant de la photo Canon en 2018 : « Transformer la vidéosurveillance en intelligence active ».

Il y a huit ans, la Direction départementale de sécurité publique (DDSP) de Seine-et-Marne est choisie pour expérimenter le logiciel israélien. Deux ans plus tard, en 2017, l’application est déployée plus largement. Les services de police du Rhône, du Nord, des Alpes-Maritimes, et de Haute-Garonne en sont à leur tour équipés. Ainsi que le service interministériel d’assistance technique (SIAT), une unité de police en charge des infiltrations, de la mise sur écoute et de la surveillance de la grande criminalité.

Dans la foulée, ce sont les services de la police judiciaire, les préfectures de police de Paris et Marseille, la sûreté publique et la gendarmerie nationale qui vont être dotés du logiciel de Briefcam sur des ordinateurs dédiés. Une installation massive qui s’est faite en dehors du cadre légal prévu par une directive européenne et la loi française Informatique et Libertés.

Avant d’utiliser une technologie aussi intrusive que celle proposée par Briefcam, le ministère de l’Intérieur aurait dû mener une « analyse d’impact relative à la protection des données » et la remettre à une administration indépendante : la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL). Or, la Direction générale de la police nationale (DGPN), placée sous l’autorité directe de Gérald Darmanin, n’avait toujours pas réalisé cette analyse d’impact en mai 2023. Pas plus qu’elle n’a averti la CNIL. Fin 2020, un cadre de la police invite ainsi à la discrétion : « Certains services ont l’outil Briefcam, mais celui-ci n’étant pas déclaré à la CNIL, il semble préférable de ne pas en parler. » Ou encore ce message envoyé quelques mois plus tard par un autre gradé, rappelant que « sur le plan juridique (…) l’application Briefcam n’a jamais été déclarée par la DGPN ».

Contactée par Disclose, la CNIL déclare, embarrassée, qu’elle « ne dispose pas d’éléments permettant d’infirmer ou de confirmer que la police nationale utilise Briefcam ». La DGPN n’a pas répondu à nos questions.

« Il semble préférable de ne pas en parler. »

Un haut-fonctionnaire de la police national

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