On reparle de Cyberpolygon, je vous conseille d’écouter, pour ne pas être pris de cours, une fuite de document indique que la CTIL et des agents israéliens (et d’autres pays) sont infiltrés dans tous les serveurs des infrastructures critiques américaines ou ils ont même des «portes dérobées» (backdoor), grille énergétique, centrales nucléaires, barrages, hôpitaux, etc., qu’ils «protègent»… pro bono aka «gratuitement», là déjà on se dit qu’il y a un loup, et ils semblent qu’ils vont tout faire planter, pour masquer leurs magouilles financières, et faire imposer l’identité numérique, de plus ils sont capables d’usurper l’identité d’autres acteurs pour les blâmer de leur méfait (ex : Iran, Russie, etc.), encore une fois préparez-vous dans la réalité…
Ceci est tout sauf de la fiction. Encore une fois bravo à Whitney Webb qui fait un travail formidable pour nous informer, et depuis longtemps…
De nos jours, dans les écoles, l'image d'élèves absorbés par leurs téléphones est devenue la norme, qu'ils soient jeunes ou adolescents. Cependant, la Russie vient d'opérer un changement radical : l'interdiction des smartphones dans les écoles primaires et secondaires.
La Douma a approuvé un amendement à la « loi sur l’éducation », imposant une interdiction stricte des outils de communication, dont les smartphones, au sein des établissements scolaires. Cette modification entrera officiellement en vigueur dès le 1er décembre 2024, marquant ainsi un tournant radical dans les politiques éducatives du pays.
Le document a été publié sur le portail officiel d’information juridique.
Conformément à cette réglementation, l’utilisation des téléphones portables sera strictement réservée à des fins éducatives ou en cas d’urgence. L’année dernière, la Russie avait déjà proscrit l’usage des téléphones portables en classe dans les écoles primaires et secondaires, une mesure visant à prévenir la distraction des élèves et à maintenir leur concentration sur le contenu des cours.
Cependant, dès les premiers mois de son fonctionnement, Washington et Londres ont soutenu Israël contre le peuple palestinien. Puis, Washington a falsifié le Conseil de sécurité en faisant siéger Formose à la place de la Chine et en provoquant le boycott de l’URSS. Aujourd’hui, la domination des États-Unis sur cette institution est dénoncée par une vaste majorité d’États membres. Tandis que les BRICS se placent en ordre de bataille pour que l’institution revienne au Droit international.
En une année, l’Assemblée générale des Nations unies s’est profondément modifiée : en octobre 2022, 143 États, conduits par Washington, condamnaient les « annexions illégales » de la Russie en Ukraine, tandis qu’en décembre 2023, 153 États appelaient à un cessez-le-feu humanitaire immédiat à Gaza, contre l’avis de Washington.
Par le passé, Washington pouvait menacer quantité d’États et leur imposer de se prononcer comme lui et d’adopter ses règles. Aujourd’hui il fait moins peur :
Certes, le Commandement des opérations spéciales des États-Unis (USSoCom) peut à tout instant mener des ingérences militaires secrètes dans n’importe quel pays dans le monde et assassiner tel ou tel de ses dirigeants, mais ce déploiement semble de plus en plus improbable dans de grands pays.
Certes, le département du Trésor peut interdire de commercer avec tel ou tel État et ainsi couler l’économie du récalcitrant, voire affamer sa population. Mais, désormais, la Russie et la Chine offrent un moyen de briser ce siège économique.
Certes la gigantesque machine d’interception des communications des « Cinq Yeux » (Australie, Canada, États-Unis, Nouvelle-Zélande, Royaume-Uni) peut révéler les turpitudes de n’importe quel récalcitrant, mais certains dirigeants sont honnêtes et ne peuvent donc faire l’objet de chantage au détriment de leur population.
De ce point de vue, la liste des États ayant voté contre le cessez-le-feu à Gaza est éclairante, outre les États-Unis et Israël, elle comporte un certain nombre de régimes aux caractères surprenants [...]
Il a été consacré en juin 2020 et se situe dans le district d'Odintsovo près de Moscou. Les militaires ont consacré un film d'une demi-heure aux étapes de sa construction.
Il raconte comment la mise en œuvre de ce projet grandiose a été réalisée en un temps record, quelles technologies ont été utilisées à cette fin, l'histoire et la décoration intérieure du temple, ainsi que la contribution apportée à cette cause commune par des personnes et des militaires ordinaires.
Le Comité international olympique a dès à présent écarté les dossiers de candidature de la Suisse, de la Suède et des États-Unis. Il semble privilégier l’option des Alpes françaises portée par le président sarközyste de la région Auvergne – Rhône-Alpes, Laurent Wauquiez, et le président macroniste de la région Provence – Alpes – Côte d’Azur, Renaud Muselier.
La candidature hivernale alpine tablerait sur un budget insignifiant d’un milliard et demi d’euros, car pourraient servir 90% des infrastructures construites pour les JO d’hiver d’Albertville en 1992. Ces jeux de 2030 se dérouleraient sur quatre territoires qui n’auraient plus qu’à bâtir les 10% restants. Gageons que ce montant s’amplifiera au fil des mois.
Il paraît par ailleurs étonnant d’investir dans des endroits déjà nantis (Haute-Savoie, Savoie, Hautes-Alpes avec le Briançonnais et Alpes-Maritimes avec la métropole Nice – Côte d’Azur). Il est vrai que pratiquer le ski de fond sur la Canebière à Marseille ou organiser des descentes de ski à Super-Besse dans la chaîne des Puys en Auvergne relèveraient de situations incongrues.
Ce divertissement – détournement sportif mobilisera quand même des sommes gigantesques alors que le pays est surendetté et qu’il manque des moyens financiers tant pour les services publics vitaux (hôpitaux, Poste, armée, police, justice, prison) que pour les infrastructures ferroviaires indispensables rien qu’en Provence – Alpes – Côte d’Azur et en Auvergne – Rhône-Alpes. Outre le dépassement financier prévisible, la tenue des JO de l’été 2024 et de l’hiver 2030 permet au Régime d’améliorer le flicage généralisé de la population. Les réclusions covidiennes de 2020 – 2021 ont déjà montré la très grande passivité d’une population de plus en plus bovine. Les décisions prises pour assurer la sécurité maximale des JO à Paris constituent une nouvelle expérience de gestion des foules dans un cadre de plus en plus cosmopolite.
Le mercredi 29 novembre dernier, à côté de la mairesse socialiste de la capitale, Anne Hidalgo, du maire socialiste de Saint-Denis, Mathieu Hanotin, et de Tony Estanguet, président de Paris 2024, le préfet de police de Paris, Laurent Nuñez, secrétaire d’État auprès du ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, au moment des Gilets Jaunes, exposait les premières mesures du plan de sécurité et de circulation pendant la période olympique. En plus du doublement prévu du prix du ticket des transports en commun (train, tram, métro et bus) en Île-de-France et du risque de paralysies fréquentes de certaines lignes saturées, Parisiens et Franciliens subiront une surveillance permanente qui se prolongera jusqu’en 2025 !
La préfecture de police de Paris prévoit en effet la mise en place de quatre périmètres d’accès. Le premier – compréhensible – concernera les sites olympiques proprement dits et le village des sportifs situé en Seine – Saint-Denis, ce nouvel Eldorado départemental fantasmé. Pour y pénétrer, des fouilles individuelles seront réalisées avant de montrer une accréditation officielle. Le deuxième périmètre ne sera accessible qu’aux titulaires de billet (ou aux personnes accréditées) qui assisteront aux compétitions dans les tribunes. Le troisième périmètre s’exercera hors des terrains sportifs.
Les zones rouges interdiront la circulation de tout véhicule motorisé, sauf si l’engin appartient aux riverains détenteurs d’une place permanente de stationnement chez eux, aux aidants de personnes âgées ou dépendantes, aux personnes qui travaillent dans le coin, aux services de livraisons et de dépannage sans oublier les taxis et les VTC. Pour pouvoir circuler en voiture dans ces zones rouges, il faudra au préalable s’enregistrer sur une plate-forme numérique en fournissant une quantité incroyable de justificatifs. En revanche, ces contraintes ne devraient pas toucher les piétons et les cyclistes. Attendons néanmoins le printemps pour leur finalisation. Toutefois, inviter des amis à assister depuis son balcon ou derrière ses fenêtres aux cérémonies d’ouverture et de clôture impliquerait que l’hôte donnât à cette plate-forme d’enregistrement l’identité complète de ses invités, ce qui rabote la liberté de réunion dans un lieu privé. Rappelons que le Conseil constitutionnel avait censuré à l’époque covidienne la limite du nombre d’invités présents à son domicile. Toutes les personnes enregistrées obtiendraient sur leur téléphone intelligent un QR-code, forme sophistiquée de l’attestation de sortie covidienne de sinistre mémoire.
De puissantes activités solaires peuvent déclencher des tempêtes géomagnétiques qui se propagent à travers la magnétosphère de notre planète. Même si beaucoup connaissent les spectacles des aurores boréales nées de ces tempêtes solaires, rares sont ceux qui réalisent les implications potentielles que ces tempêtes peuvent avoir sur notre santé cognitive.
Comprendre les tempêtes géomagnétiques
Alors que nous préparons le terrain pour explorer la relation entre l’activité solaire et les performances de notre cerveau, il est essentiel de comprendre d’abord ce que sont les tempêtes géomagnétiques et comment elles naissent. Ces tempêtes, en grande partie provoquées par le dynamisme de notre soleil, fascinent et intriguent les humains depuis des siècles.
Origine et nature des tempêtes géomagnétiques
Les tempêtes géomagnétiques sont des perturbations temporaires de la magnétosphère terrestre, causées par le vent solaire provenant du soleil. Ce vent solaire n’est pas constant : il est influencé par les activités du soleil. Deux événements solaires principaux sont responsables de l'intensification des vents solaires :
Les éruptions solaires
Il s’agit d'explosions soudaines et intenses d’énergie et de rayonnement provenant de la surface du soleil et de son atmosphère. Les éruptions solaires, bien que puissantes, n’ont pas toujours un impact significatif sur Terre, à moins qu’elles ne soient dirigées vers notre planète.
Éjections de masse coronale (CME)
Contrairement aux éruptions solaires de plus courte durée, les CME sont des bulles géantes de gaz parcourues de lignes de champ magnétique, qui sont éjectées du soleil pendant plusieurs heures. Elles transportent plus de matière, d’énergie et de force que les éruptions solaires. Lorsqu’ils sont dirigés vers la Terre, les CME peuvent avoir de profonds impacts sur notre magnétosphère.
Ce sont ces activités solaires, en particulier les CME, qui provoquent les tempêtes géomagnétiques les plus puissantes lorsqu’elles interagissent avec le champ magnétique terrestre.
Impact sur la magnétosphère terrestre
La magnétosphère terrestre est un bouclier protecteur qui nous protège d’une grande partie du rayonnement solaire. Cependant, lorsqu’il est bombardé par un vent solaire accru, en particulier celui des CME, ce bouclier est temporairement déformé et comprimé, ce qui le fait « vaciller » ou fluctuer.
Cette fluctuation et cette distorsion conduisent à des courants de particules chargées, qui à leur tour génèrent la tempête géomagnétique. La force et la durée de la tempête peuvent varier, en fonction en grande partie de l'intensité et de la durée de l'événement solaire qui la provoque.
Observations courantes pendant les tempêtes géomagnétiques
Les tempêtes géomagnétiques, bien que de nature céleste, produisent des effets tangibles et observables sur Terre.
Aurores boréales et australes
Les aurores sont probablement le résultat le plus captivant visuellement de ces tempêtes. Lorsque les particules chargées du vent solaire interagissent avec les gaz de notre atmosphère, elles produisent des spectacles lunineux connus sous le nom d’aurores boréales et australes. L'intensité et la portée de ces lumières peuvent augmenter lors de tempêtes géomagnétiques plus fortes, étant parfois visibles même à des latitudes plus basses que d'habitude.
Perturbation des systèmes de communication
D'un point de vue plus pragmatique, ces tempêtes peuvent interférer avec les communications par satellite, les systèmes GPS et même les réseaux électriques. Les particules chargées présentes dans les tempêtes géomagnétiques peuvent induire des courants dans les systèmes électriques, entraînant des dysfonctionnements et des perturbations.
systèmes biologiques de tempête géomagnétique.
Effets des tempêtes géomagnétiques sur les systèmes biologiques
Ayant compris la nature et les effets des tempêtes géomagnétiques, nous nous tournons maintenant vers le domaine biologique. Même si bon nombre des implications de ces événements célestes sont d’ordre technologique, il existe de plus en plus de preuves et d’intérêt quant à la manière dont ils pourraient influencer directement ou indirectement diverses formes de vie sur Terre. Des modèles de navigation des oiseaux aux changements subtils dans la physiologie humaine, les tempêtes géomagnétiques laissent intacts quelques recoins de la biosphère.
[...]
04:10– Conférence de presse de V. Poutine :
• Poutine vs IA
• De Gaulle & Poutine vs US
07:55– Économie :
• Pays-Bas vs gaz russe
• Gazprom et l’Europe
• Bilan économique 2022
• Hyperindustrialisation
• Poutine vs inflation
• Moscou, la plus attractive des mégalopoles
• Renouveau industriel à Marioupol
13:39 – Politico-diplomatique :
• Zelensky & Milei vs Lula
• Zelensky à Washington
• UE : Ukraine et Moldavie futurs membres
• Orbán l’incorruptible
• CIA vs Irak
• Entretien Netanyahou – Poutine
• Poutine vs Macron & LCI
23:20 – Terrorisme :
• Terrorisme US vs Europe
• Zelensky et la guérilla
• Kiev, ville russe
26:20 – Armement :
• 800 milliards de dollars pour le Pentagone
• 200 millions de dollars pour Kiev
• Pistorius : 200 000 obus pour Kiev en 2024
• F-16 magiques
• Dents de dragon kiéviennes
• WSJ : misère des arsenaux occidentaux
• Conquête spatiale chinoise
34:53 – Considérations militaires générales
• LCI et les pertes russes
• 617 000 soldats russes vs 600 000 soldats kiéviens
• Gamelin Perruche
• Prozac Boys
45:30 – Carte des opérations militaires
Sophie Cha a récemment choisi de rendre sa blouse blanche, démissionnant de son rôle de médecin-conseiller au sein de la DRAJES de Bretagne. Son départ programmé pour le 31 décembre s'avère être un cri d'alerte percutant.
Durant huit ans, elle a occupé cette fonction cruciale au sein de la Délégation Régionale Académique Jeunesse Engagement et Sport de Bretagne, relevant une détérioration constante de la situation. Le constat est grave : la condition physique des jeunes s’est amenuisée de 25% en 40 ans, un déclin inquiétant aux conséquences potentiellement fatales.
Sophie Cha met en lumière le constat alarmant des professeurs d’éducation physique : les jeunes ne parviennent plus à des prouesses simples, comme courir plus d’une minute sans être essoufflés, ou réaliser des mouvements de base comme une roulade. Cette tendance, constatée depuis plus de deux décennies, menace sérieusement la santé future de cette génération.
Les recommandations de l’OMS indiquent que les enfants et adolescents devraient pratiquer au moins 60 minutes d’activité physique soutenue par jour, ainsi que des activités musculaires et osseuses trois fois par semaine. Cependant, plus de trois quarts des adolescents ne respectent pas ces recommandations, constate Sophie Cha.
Cette dégradation se manifeste dès le plus jeune âge : les enfants sont de plus en plus sédentaires, préférant être transportés en poussette plutôt que de marcher. Ce manque d’activité impacte la constitution osseuse et la santé globale des enfants, alerte la médecin.
Elle pointe du doigt les dispenses d’éducation physique, pourtant officiellement abolies depuis 1988, mais toujours appliquées en pratique. Pour Sophie Cha, le sport devrait être traité comme toute autre matière obligatoire, sans dispensation systématique. Elle souligne le paradoxe : on n’exempte pas un élève en difficulté en mathématiques, on l’aide à progresser, pourquoi ne serait-ce pas le cas pour le sport ?
Cette régression physique des jeunes a des répercussions non seulement sur leur santé physique, mais aussi sur leur santé mentale. Les enquêtes épidémiologiques révèlent une augmentation alarmante des troubles mentaux chez les jeunes, avec des prescriptions d’antidépresseurs et d’anxiolytiques en hausse exponentielle.
La surmortalité pour 2023 est évidente quand on se débarrasse des modèles de prévision et qu’on revient aux chiffres annuels bruts. L’écart à la tendance pluriannuelle démontre de manière irréfutable combien http://exdeaths-japan.org/en publie des informations déformées.
Les autorités parlent de 11% de décès attendus en plus alors que le nombre des plus de 80 ans augmente seulement de 2%.
Nous avons le plaisir d'accueillir Hayssam et Matthieu, les esprits visionnaires derrière CrowdBunker. Au cours de cette interview, nous plongerons dans la genèse de CrowdBunker, son modèle de fonctionnement financièrement atypique reposant exclusivement sur des dons volontaires, les défis rencontrés et les aspirations futures de cette plateforme, véritable rempart pour la liberté d'expression.
Le Média en 4-4-2 : Bonjour Hayssam et Matthieu, bienvenue sur Le Média en 4-4-2 ! Avant de nous pencher sur CrowdBunker qui sera le sujet principal de notre entretien, pouvez-vous vous présenter en quelques mots pour ceux qui ne vous connaissent pas ?
Matthieu : Bonjour Yoann, merci pour cet entretien. Pour ma part, je suis Matthieu, entrepreneur et ingénieur informatique. Passionné par les technologies depuis très jeune, j’essaye de les mettre au service de l’humain en créant des projets utiles et impactants. Fin 2020, j’ai donc créé CrowdBunker. Quelques semaines après son lancement, j’ai eu la chance de croiser la route d’Hayssam, que je laisserai se présenter, sans qui cette plateforme n’aurait, très probablement, pas pu évoluer et atteindre une telle audience aussi rapidement.
Hayssam : Hello Yoann! Merci de nous permettre de parler de CrowdBunker, un projet remarquable et vital pour notre avenir ! Je suis coach holistique, basé au Maroc, et je suis partisan d’un monde sans argent où l’Être est au Cœur de Tout. J’accompagne des individus, des projets du Nouveau Monde et des entreprises en quête d’Esprit pour co-créer Ensemble un nouveau paradigme sociétal où l’Amour – le vrai, notre Nature, la Conscience – redevient la Loi universelle, remplaçant toutes les règles tordues qui ont déréglé le monde.
Jacinda Ardern, exfiltrée à Harvard University : Ni diplomate, ni juriste, ni universitaire – mais un Triple Fellowship tout de même.
Après les zémmouriens, les reptiliens ?
En tout cas, un crapaud échappé de la Nouvelle-Zélande met en danger l’espèce humaine sur le Nouveau continent.
Dans la semaine où Barry Young, statisticien néo-zélandais auprès de la Santé publique, était arrêté pour avoir divulgué des informations sur l’effarant taux de mortalité post-quacksinale en Nouvelle-Zélande (90% du peuple quacksiné, jusqu’à 21% de mortalité sur certains lots selon l’étude de Young), l’avocat Liz Gunn a déclaré que l’ex-Premier ministre Jacinda Ardern doit être sommé de retourner en Nouvelle-Zélande répondre de ses XXX.
Mais où justement se terre ce Premier ministre de la Quacksine, qui démissionna en janvier 2023 pour être anobli à peine un trimestre plus tard ?
Dans le sillage de Tony Blair, dont elle fut l’heureuse protégée, depuis son départ Mlle Ardern butine son miel d’un poste creux mais ultra-lucratif à l’autre ; ainsi dès avril 2023 le nouveau Premier ministre la nommait envoyée spéciale à un organisme que Ardern avait fondé elle-même (!), le Christchurch Call avec comme mission de «collaborer avec des gouvernements internationaux et des entreprises contrôlant les réseaux sociaux, afin de cibler l’extrémisme et les contenus terroristes en ligne».
Cependant, la catastrophe quacksinale enflant, l’hostilité de son peuple vis à vis de Mlle Ardern devint telle que – Prudence being the Better Part of Valour – elle plongea dans les jupons parfumés de sa mère, la Néo-Connie. Et voilà qu’à l’Université de Harvard, elle bénéficie cette année de trois (vous avez bien lu) Fellowships : 2023 Angelopoulos Global Public Leaders Fellow, Hauser Leader dans le Center for Public Leadership de Kennedy School of Government, ainsi qu’au Berkman Klein Center for Internet and Society, à Harvard Law School.
C’est ce dernier qui est véritablement dans ses cordes : au Centre Berkman Klein elle «étudiera les méthodes pour améliorer les normes de contenu et la responsabilité des plateformes pour les contenus extrémistes en ligne, et examinera la gouvernance par intelligence artificielle, et les problèmes que peuvent provoquer les algorithmes».
À part la joie qui se répandra indubitablement en Nouvelle-Zélande dès que seront rendus publics les montants «gagnés» (grand mot) par Mlle Ardern depuis son départ comme Premier ministre, et surtout, combien «valent» ces Fellowships à Harvard University en sonnant et trébuchant, soulignons que Mlle Ardern n’a aucune formation scientifique.
La crise du covid-19 a révélé au commun des mortels que Big Pharma se sert de cellules de fœtus volontairement avortés pour le développement de ses vaccins ou injections géniques anti-coronavirus. Des scientifiques comme l’Américaine Pamela Hacker soutiennent que le trafic d’organes et de cellules de fœtus avortés fait partie intégrante de la recherche actuelle dans certains grands laboratoires et que ces cellules sont prélevées sur des fœtus vivants. Des documents publiés récemment par la fondation américaine Judicial Watch épaulée par le Center for Medical Progress viennent confirmer ces trafics sur des fœtus encore vivants.
Quelques années auparavant, c’était la machine à avorter Planned Parenthood qui se retrouvait au centre d’un scandale de vente et trafic d’organes de bébés avortés.
Aujourd’hui, c’est l’université de Pittsburgh et le département pour la santé humaine des États-Unis qui est sur le banc des accusés grâce au travail d’investigation et de recueil de données mené par l’association américaine Judicial Watch et le Center for Medical Progress, peut-on lire sur le site Blondet and Friends.
Début août, ces deux organismes ont annoncé avoir reçu 252 pages de nouveaux documents du département américain de la Santé et des Services humains révélant que près de 3 millions de dollars de financement fédéral ont été dépensés pour la recherche de l’Université de Pittsburgh pour devenir un « pôle tissulaire » pour les tissus fœtaux humains allant de 6 à 32 semaines de gestation.
Ces documents ont été obtenus dans le cadre du procès Freedom of Information Act (FOIA) dans lequel Judicial Watch a poursuivi le Département la Santé et des Services humains (HHS — Department of Health and Human Services) après que ce dernier a omis de répondre à une demande FOIA du 28 avril 2020 qui recherchait, entre autres, les demandes de subvention pour « un centre de tissus et lieu de collecte » de l’Université de Pittsburgh. (Center for Medical Progress / US Department of Health and Human Services [No. 1 : 21-cv-00642]).
Les documents révèlent ce qui suit :
Les objectifs du projet énumérés dans la proposition originale de 2015 étaient de « développer un pipeline pour l’acquisition, le contrôle de la qualité et la distribution d’échantillons génito-urinaires humains [organes et fonctions urinaires et génitaux] obtenus au cours du développement (6-42 semaines de gestation). … [Et] de générer une ressource continue pour distribuer de nouveaux échantillons génito-urinaires humains en développement à divers stades (6-42 semaines) aux projets Atlas GUDMAP [Molecular Anatomy of Genitourinary Development Project] ».
Dans la proposition, Pittsburgh note qu’« elle collecte des tissus fœtaux depuis plus de 10 ans… comprenant le foie, le cœur, les gonades, les jambes, le cerveau, les tissus génito-urinaires, y compris les reins, les uretères et les vessies ».
Pittsburgh a noté en 2015 : « Nous avons distribué plus de 300 échantillons frais prélevés sur 77 cas. Les collections ont peut-être considérablement augmenté, car le matériel aurait pu s’accumuler à partir de 725 cas l’année dernière ».
La Banque de tissus des sciences de la santé de Pittsburgh est « intégrée au département de pathologie… offrant ainsi un accès rapide à des tissus et des échantillons biologiques de très haute qualité ».
L’Université se vante d’avoir un certain nombre de relations internes ainsi qu’une « solide relation de travail avec l’UPMC [University of Pittsburgh Medical Center] et le département de pathologie » et avec trois « laboratoires dans les hôpitaux phares de l’UPMC ». Cela comprend un laboratoire doté d’une « scie à ruban ButcherBoy pour la dissection des os » et d’une « salle de section congelée avec flux vidéo numérique vers et depuis les salles d’opération ». Cela permet également des discussions instantanées avec les chirurgiens et [comme] un « show and tell » immédiat pour eux. Elle se vante également d’avoir des ateliers au « Children’s Hospital of Pittsburgh ».
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