La surmortalité pour 2023 est évidente quand on se débarrasse des modèles de prévision et qu’on revient aux chiffres annuels bruts. L’écart à la tendance pluriannuelle démontre de manière irréfutable combien http://exdeaths-japan.org/en publie des informations déformées.
Les autorités parlent de 11% de décès attendus en plus alors que le nombre des plus de 80 ans augmente seulement de 2%.
Nous avons le plaisir d'accueillir Hayssam et Matthieu, les esprits visionnaires derrière CrowdBunker. Au cours de cette interview, nous plongerons dans la genèse de CrowdBunker, son modèle de fonctionnement financièrement atypique reposant exclusivement sur des dons volontaires, les défis rencontrés et les aspirations futures de cette plateforme, véritable rempart pour la liberté d'expression.
Le Média en 4-4-2 : Bonjour Hayssam et Matthieu, bienvenue sur Le Média en 4-4-2 ! Avant de nous pencher sur CrowdBunker qui sera le sujet principal de notre entretien, pouvez-vous vous présenter en quelques mots pour ceux qui ne vous connaissent pas ?
Matthieu : Bonjour Yoann, merci pour cet entretien. Pour ma part, je suis Matthieu, entrepreneur et ingénieur informatique. Passionné par les technologies depuis très jeune, j’essaye de les mettre au service de l’humain en créant des projets utiles et impactants. Fin 2020, j’ai donc créé CrowdBunker. Quelques semaines après son lancement, j’ai eu la chance de croiser la route d’Hayssam, que je laisserai se présenter, sans qui cette plateforme n’aurait, très probablement, pas pu évoluer et atteindre une telle audience aussi rapidement.
Hayssam : Hello Yoann! Merci de nous permettre de parler de CrowdBunker, un projet remarquable et vital pour notre avenir ! Je suis coach holistique, basé au Maroc, et je suis partisan d’un monde sans argent où l’Être est au Cœur de Tout. J’accompagne des individus, des projets du Nouveau Monde et des entreprises en quête d’Esprit pour co-créer Ensemble un nouveau paradigme sociétal où l’Amour – le vrai, notre Nature, la Conscience – redevient la Loi universelle, remplaçant toutes les règles tordues qui ont déréglé le monde.
Jacinda Ardern, exfiltrée à Harvard University : Ni diplomate, ni juriste, ni universitaire – mais un Triple Fellowship tout de même.
Après les zémmouriens, les reptiliens ?
En tout cas, un crapaud échappé de la Nouvelle-Zélande met en danger l’espèce humaine sur le Nouveau continent.
Dans la semaine où Barry Young, statisticien néo-zélandais auprès de la Santé publique, était arrêté pour avoir divulgué des informations sur l’effarant taux de mortalité post-quacksinale en Nouvelle-Zélande (90% du peuple quacksiné, jusqu’à 21% de mortalité sur certains lots selon l’étude de Young), l’avocat Liz Gunn a déclaré que l’ex-Premier ministre Jacinda Ardern doit être sommé de retourner en Nouvelle-Zélande répondre de ses XXX.
Mais où justement se terre ce Premier ministre de la Quacksine, qui démissionna en janvier 2023 pour être anobli à peine un trimestre plus tard ?
Dans le sillage de Tony Blair, dont elle fut l’heureuse protégée, depuis son départ Mlle Ardern butine son miel d’un poste creux mais ultra-lucratif à l’autre ; ainsi dès avril 2023 le nouveau Premier ministre la nommait envoyée spéciale à un organisme que Ardern avait fondé elle-même (!), le Christchurch Call avec comme mission de «collaborer avec des gouvernements internationaux et des entreprises contrôlant les réseaux sociaux, afin de cibler l’extrémisme et les contenus terroristes en ligne».
Cependant, la catastrophe quacksinale enflant, l’hostilité de son peuple vis à vis de Mlle Ardern devint telle que – Prudence being the Better Part of Valour – elle plongea dans les jupons parfumés de sa mère, la Néo-Connie. Et voilà qu’à l’Université de Harvard, elle bénéficie cette année de trois (vous avez bien lu) Fellowships : 2023 Angelopoulos Global Public Leaders Fellow, Hauser Leader dans le Center for Public Leadership de Kennedy School of Government, ainsi qu’au Berkman Klein Center for Internet and Society, à Harvard Law School.
C’est ce dernier qui est véritablement dans ses cordes : au Centre Berkman Klein elle «étudiera les méthodes pour améliorer les normes de contenu et la responsabilité des plateformes pour les contenus extrémistes en ligne, et examinera la gouvernance par intelligence artificielle, et les problèmes que peuvent provoquer les algorithmes».
À part la joie qui se répandra indubitablement en Nouvelle-Zélande dès que seront rendus publics les montants «gagnés» (grand mot) par Mlle Ardern depuis son départ comme Premier ministre, et surtout, combien «valent» ces Fellowships à Harvard University en sonnant et trébuchant, soulignons que Mlle Ardern n’a aucune formation scientifique.
La crise du covid-19 a révélé au commun des mortels que Big Pharma se sert de cellules de fœtus volontairement avortés pour le développement de ses vaccins ou injections géniques anti-coronavirus. Des scientifiques comme l’Américaine Pamela Hacker soutiennent que le trafic d’organes et de cellules de fœtus avortés fait partie intégrante de la recherche actuelle dans certains grands laboratoires et que ces cellules sont prélevées sur des fœtus vivants. Des documents publiés récemment par la fondation américaine Judicial Watch épaulée par le Center for Medical Progress viennent confirmer ces trafics sur des fœtus encore vivants.
Quelques années auparavant, c’était la machine à avorter Planned Parenthood qui se retrouvait au centre d’un scandale de vente et trafic d’organes de bébés avortés.
Aujourd’hui, c’est l’université de Pittsburgh et le département pour la santé humaine des États-Unis qui est sur le banc des accusés grâce au travail d’investigation et de recueil de données mené par l’association américaine Judicial Watch et le Center for Medical Progress, peut-on lire sur le site Blondet and Friends.
Début août, ces deux organismes ont annoncé avoir reçu 252 pages de nouveaux documents du département américain de la Santé et des Services humains révélant que près de 3 millions de dollars de financement fédéral ont été dépensés pour la recherche de l’Université de Pittsburgh pour devenir un « pôle tissulaire » pour les tissus fœtaux humains allant de 6 à 32 semaines de gestation.
Ces documents ont été obtenus dans le cadre du procès Freedom of Information Act (FOIA) dans lequel Judicial Watch a poursuivi le Département la Santé et des Services humains (HHS — Department of Health and Human Services) après que ce dernier a omis de répondre à une demande FOIA du 28 avril 2020 qui recherchait, entre autres, les demandes de subvention pour « un centre de tissus et lieu de collecte » de l’Université de Pittsburgh. (Center for Medical Progress / US Department of Health and Human Services [No. 1 : 21-cv-00642]).
Les documents révèlent ce qui suit :
Les objectifs du projet énumérés dans la proposition originale de 2015 étaient de « développer un pipeline pour l’acquisition, le contrôle de la qualité et la distribution d’échantillons génito-urinaires humains [organes et fonctions urinaires et génitaux] obtenus au cours du développement (6-42 semaines de gestation). … [Et] de générer une ressource continue pour distribuer de nouveaux échantillons génito-urinaires humains en développement à divers stades (6-42 semaines) aux projets Atlas GUDMAP [Molecular Anatomy of Genitourinary Development Project] ».
Dans la proposition, Pittsburgh note qu’« elle collecte des tissus fœtaux depuis plus de 10 ans… comprenant le foie, le cœur, les gonades, les jambes, le cerveau, les tissus génito-urinaires, y compris les reins, les uretères et les vessies ».
Pittsburgh a noté en 2015 : « Nous avons distribué plus de 300 échantillons frais prélevés sur 77 cas. Les collections ont peut-être considérablement augmenté, car le matériel aurait pu s’accumuler à partir de 725 cas l’année dernière ».
La Banque de tissus des sciences de la santé de Pittsburgh est « intégrée au département de pathologie… offrant ainsi un accès rapide à des tissus et des échantillons biologiques de très haute qualité ».
L’Université se vante d’avoir un certain nombre de relations internes ainsi qu’une « solide relation de travail avec l’UPMC [University of Pittsburgh Medical Center] et le département de pathologie » et avec trois « laboratoires dans les hôpitaux phares de l’UPMC ». Cela comprend un laboratoire doté d’une « scie à ruban ButcherBoy pour la dissection des os » et d’une « salle de section congelée avec flux vidéo numérique vers et depuis les salles d’opération ». Cela permet également des discussions instantanées avec les chirurgiens et [comme] un « show and tell » immédiat pour eux. Elle se vante également d’avoir des ateliers au « Children’s Hospital of Pittsburgh ».
[...]
La question mérite d’être posée alors que de partout dans le monde, d’Ukraine, d’Arménie, d’Israël, de Gaza, d’Afrique montent les cris des victimes du terrorisme, de la barbarie, de la folie meurtrière des hommes.
Aucune génération ne peut choisir les épreuves à affronter.
Mais chaque génération a le choix des moyens : L’indifférence, la lâcheté, la folie ou
L’humanisme et la raison.
Les tragédies que nous vivons heurtent nos consciences, bousculent nos convictions si fort qu’elles peuvent nous conduire à de mauvais choix.
Mais l’humanisme, c’est à dire la primauté de l’Homme, de la raison doit s’imposer en toutes circonstances.
Ce siècle, jeune encore il n’a que 23 ans, est déjà pour l’Histoire celui du terrorisme, de la barbarie, de la folie meurtrière.
Sera-t-il aussi celui de l’humanisme assassiné ?
Tous les hommes sont l’Homme.
Malheureusement les tragédies que nous vivons nous imposent le contraire.
Non, tous les hommes ne sont pas l’Homme, toutes les victimes ne sont pas l’Homme.
Il y a les victimes qu’il faut pleurer, venger et les victimes que l’on peut ignorer.
Il y a les victimes qui ont un visage, un nom, et celles qui ne sont que des chiffres que l’on additionne. Les chiffres ne font pas pleurer.
L’humanisme ne choisit pas ses victimes.
L’humanisme c’est l’Homme, la vie, le respect de toute vie, c’est la paix.
L’indifférence, pour ne pas écrire la lâcheté de l’Europe, du monde occidental dans son ensemble à l’égard des victimes civiles palestiniennes à Gaza est grave de conséquences.
Le veto des EU contre une résolution pour un cessez le feu immédiat n’est pas acceptable.
Selon la directrice de l’UNICEF, près d’un million d’enfants ont été déplacés de force vers le sud, dans des zones surpeuplées, privées d’eau, de nourriture.
Et pourtant le monde occidental regarde ailleurs.
Elle a notamment fait retirer au début 2020 l’hydroxychloroquine du Pr Raoult de la liste des médicaments en vente libre – une substance « vénéneuse » –, soi-disant sur les ordres de l’ANSES (l’agence de sécurité sanitaire), ou, euh, de l’ANSM (l’agence de sécurité du médicament), elle ne sait plus trop, devant la commission d’enquête du Sénat.
Les Français s’en souviennent très bien. Pour elle, cette mémoire est de l’antisémitisme.
Les attaques contre sa personne sont en réalité des attaques contre ses décisions, contre sa politique, attaques qu’elle transforme allègrement en attaques antisémites. C’est pour ça qu’elle a été installée à ce poste, au vu de ce qui se tramait contre les Français ?
Aujourd’hui, se présentant comme une victime – ce culot ! –, elle pleurniche chez Haziza. L’accusation d’antisémitisme est devenue un bouclier contre la justice.
«À Gaza même, les militaires sont stupéfaits par l’ampleur de la force du Hamas dans la région, qui a construit une armée terroriste de facto stationnée à 50 minutes de Tel-Aviv au cours des 14 dernières années, possédant des centaines de milliers d’armes allant de divers types de RPG qui constituent l’arme principale pour cibler les soldats, des lance-roquettes avancés, des drones de frappe et des drones de frappe modélisés pour contrer ceux des Israéliens.
Cela comprend notamment des obus de mortier, des fusils AK-47, des fusils de sniper Dragunov, des dispositifs de communication, des lignes téléphoniques opérationnelles et des charges explosives de différentes tailles».
La résistance est obstinée. Elle n’abandonne pas, même dans les zones que les forces d’occupation israéliennes prétendent avoir nettoyées :
«À Beit Hanoun, dans le nord de la bande de Gaza, situé à quelques mètres de Sderot, les FDI ont opéré dès les premiers jours de l’opération, remportant des succès tactiques. Toutefois, les risques demeurent. La semaine dernière, des terroristes du Hamas sont sortis d’une mosquée de la ville et de nouvelles caches d’armes ont été découvertes.
Les FDI ciblent les commandants du Hamas, et la plupart de ces cellules terroristes sont locales et de petite taille, mais comme Beit Hanoun peut en témoigner, il faudra des mois pour la débarrasser complètement des forces ennemies – et ce n’est pas l’endroit où le Hamas est le plus fort».
Les forces d’occupation ont des pertes relativement élevées, bien plus élevées qu’elles ne l’admettent. Via Haaretz :
«Les FDI font état de 1593 blessés depuis le 7 octobre, mais les données des hôpitaux sont bien plus élevées (archivé)
Pour la première fois depuis l’attaque du Hamas le 7 octobre, Israël a déclaré dimanche que 1593 soldats israéliens avaient été blessés au cours de cette période.
L’armée a précisé que 255 soldats avaient subi des blessures graves, 446 des blessures modérées et 892 des blessures légères. L’armée a publié ces informations sur le nombre de soldats blessés et leur état de santé après que Haaretz ait rapporté il y a deux semaines qu’elle refusait de le faire. (…)
Dans cette nouvelle interview exclusive sur Le Média en 4-4-2, nous avons le plaisir d’accueillir Alexandra Henrion-Caude, chercheuse franco-britannique et docteure en génétique. Pionnière dans l’étude de l’ARN dans les maladies génétiques infantiles, elle a reçu de nombreuses distinctions, dont la Bourse Eisenhower en 2013, et a été directrice de recherche à l’Inserm de 2012 à 2018.
Fondatrice du laboratoire SimplissimA à l’île Maurice, Alexandra Henrion-Caude est une scientifique engagée. Malgré ses réalisations, elle a souvent été confrontée à des critiques la qualifiant de complotiste et de charlatan. Aujourd’hui, nous avons l’opportunité d’entendre directement son point de vue sur ces questions et bien d’autres.
Alexandra Henrion-Caude aborde les défis scientifiques et les critiques qui l’ont qualifié de complotiste.
Jean-François Fallacher, directeur général d’Orange France, avait prédit que « plus on va vers la fin, plus ça va être compliqué ». Les difficultés concernent les malfaçons, les raccordements complexes, le ralentissement dans les zones
denses. Le remplacement du réseau cuivre ce n’est pas pour demain.
A qui la faute ?
Le ministre Jean-Noël Barrot rappelle que apporter la fibre à des millions de Français ce n’est pas de la magie, « Il n’est pas acceptable que les élus se retrouvent en première ligne pour trouver des solutions à des problèmes que les acteurs de la filière ne résolvent pas toujours suffisamment à temps ».
Jean-François Fallacher constate que quand « On arrive sur les raccordements les plus complexes et les plus coûteux », « la situation est bloquée sur le domaine privé » notamment sur les « derniers mètres ».
La filière a besoin de moyens financiers. « Les Français souffrent avec l’inflation mais nous (Orange) avons augmenté nos tarifs au début de l’année pour compenser la moitié de l’inflation. Il faudra trouver plus de marges de manœuvre pour travailler davantage la qualité à l’avenir ». Une hausse du prix des abonnements doit financer le génie civil.
Le responsable investissements de la Caisse des dépôts admet que « Soit on attend que l’État fasse quelque chose soit on prend en main le problème ». Un système de financement doit intervenir où « tout le monde met la main à la poche ».
Un tel projet dans une crise économique et un tel manque de financement ne va pas aider pour que la fibre puisse être accessible partout. Une des solution reste le satellite mais la concurrence est très importante surtout avec le service d’Elon Musk, qui propose cette alternative depuis un bon moment avec une facilité d’installation et un cout accessible.
Comme le 100 % fibre ne verra pas le jour les opérateurs envisagent le 100 % très haut débit.
L’exploitation du réseau cuivre pose problème puisque les sous traitants ont fermé boutique et que Orange peine à réparer les infrastructures. L’ARCEP indique que ceux qui sont concernés depuis le début et inclus dans la fermeture du réseau cuivre n’auront pas d’alternative ni de dérogation.
On risque d’avoir des déserts numériques, laissant les français se débrouiller dans leurs démarches administratives ou dans la prise de rendez vous avec le médecin.
Pourquoi l’Etat panique devant l’enjeu de son projet de transition écologique et de la cohésion territoriale ?
[...]
taux du crédit qui augmentent, pouvoir d’achat immobilier en régression, prêts bancaires à l’accession en baisse, inflation continue des coûts de construction et des prix du foncier, surcoût de construction du neuf estimé à +7 % avec la norme RE 2020, affaiblissement des dispositifs de soutien à l’accession et à l’investissement locatif (nouveau dispositif Pinel), prix élevés faiblement en repli, construction en recul... Autant d’éléments qui font craindre une crise profonde.
La Première ministre dans sa feuille de route des 100 jours a d’ores et déjà annoncé un certain nombre de mesures pour aider les collectivités à construire en zone tendue. Elle souhaite aussi mobiliser la Caisse des dépôts.
Dans le cadre du Conseil national de la refondation, le ministre du Logement doit livrer ses recommandations issues des propositions des groupes de travail. La plupart des préconisations relèvent de la simplification et de l’amélioration des aides et dispositifs fiscaux. D’autres propositions introduiraient des changements majeurs, comme l’encadrement des prix du foncier, l’instauration dans certaines zones d’une densité minimale pour les nouvelles constructions, afin de limiter l’étalement urbain, ou encore des incitations financières pour les maires bâtisseurs, ou la création d’un statut du bailleur privé. La Fondation IFRAP suggère de ne pas en rajouter avec des réglementations qui contribuent déjà à paralyser le marché du logement.
Interrogé récemment, le Président du Medef déclarait « ce que je vois, c’est des entreprises qui fonctionnent, une économie qui tient plutôt bien. À l’exception d’un problème de logement. La construction neuve est en train de ralentir à toute vitesse. L’année 2023 ne va pas être bonne et l’année 2024 va être catastrophique », évoquant même « une bombe à retardement ». Il faut rappeler que le BTP emploie 1,592 million de salariés en France au quatrième trimestre 2022. Comme en écho au patron du Medef, le ministre du Logement, Olivier Klein, récemment auditionné au Sénat, annonçait « la situation n’est pas bonne », n’hésitant pas à parler de « bombe sociale de demain ! » Véronique Bédague, PDG de Nexity, premier groupe de promotion immobilière français parle elle d’un « choc d’une violence folle ». Il faut dire qu’en moins d’un an de nombreux nuages se sont amoncelés sur le secteur du logement, frappant autant l’offre que la demande. Un sujet d’inquiétude, car selon l’INSEE, le logement représentait en moyenne 22 % des dépenses des 20 % des ménages les plus modestes devant l’alimentation (18 %), les transports (14 %).
01:35 Économie
Automobile russe
Aéronautique russe
Washington Post : stratpolisation
Pas d’argent US pour Kiev
08:20 Politico-diplomatique
Lecornu et l’intimité stratégique
Poutine au Moyen-Orient
Pistorius : Berlin vs Kiev
13:40 Terrorisme
Milley et l’égorgement
Assassinat de Ilia Kiva
Tunnel de Severomouisk
20:35 Armement
Sous-estimation de la Russie
Robots russes sur le front
Escorte des SU-35
22:25 Considérations militaires générales
OTAN : mes nouveaux narratifs
Mensonges sur LCI
Gamelin nouveau : Lieutenant-colonel Vincent Arbaretier
Sauver l’OTAN !
33:30 Carte des opérations militaires