«Le premier humain a reçu un implant de Neuralink hier et il se remet bien», publie sur X Elon Musk.
«Les premiers résultats montrent une détection prometteuse des pics neuronaux», rajoute-t-il.
«Notre mission : Créer une interface cérébrale généralisée pour redonner de l’autonomie à ceux dont les besoins médicaux ne sont pas satisfaits aujourd’hui et libérer le potentiel humain de demain», annonce le site de Neuralink.
«Notre interface cerveau-ordinateur est entièrement implantable, esthétiquement invisible et conçue pour vous permettre de contrôler un ordinateur ou un appareil mobile partout où vous allez», est-il précisé.
L’entrepreneur a ajouté que le premier produit de Neuralink s’appelle Telepathy. Cela permettra à une personne de contrôler son téléphone et son ordinateur grâce au pouvoir de la pensée. «Les premiers utilisateurs seront des personnes qui auront perdu le contrôle de leurs membres», a déclaré Elon Musk.
Neuralink recrute des candidats : «Si vous souhaitez savoir si vous pourriez être admissible aux essais cliniques Neuralink en cours et/ou futurs, envisagez de rejoindre notre registre de patients».
La meuleuse d’angle a été inventée en 1954 par une société allemande appelée Flex. Aujourd’hui encore, dans de nombreux pays européens, la meuleuse d’angle est communément appelée “flex”.
Les créateurs de cet outil utile étaient loin de se douter que, plusieurs décennies plus tard, le flex inspirerait le surnom d’un justicier spécialisé dans la mise hors service des pièges à vitesse sur les routes d’Italie en utilisant une meuleuse d’angle sur les poteaux métalliques qui les soutiennent. Flexman a fait la une des journaux en mai de l’année dernière, lorsqu’il a neutralisé son premier radar sur une route près de Bosaro, dans la région de Rovigo, en Italie. Depuis, il a réussi à désactiver au moins sept autres caméras à Rovigo et en Vénétie à l’aide de sa fameuse meuleuse d’angle, et les autorités ne savent toujours pas qui il est ni comment l’arrêter.
Flexman effectue ses missions au cœur de la nuit, généralement entre 1 et 2 heures du matin, en s’approchant des radars routiers et en prenant une meuleuse d’angle pour s’attaquer à la base des poteaux métalliques qui les soutiennent. On l’a surnommé le “justicier des automobilistes”, et de nombreux conducteurs le considèrent comme une sorte de Robin des Bois moderne luttant contre le système, mais pour les autorités, Flexman n’est rien d’autre qu’une menace causant des dizaines de milliers d’euros de dommages et rendant les routes moins sûres.
Pour Flexman et les personnes qui le soutiennent, les choses sont assez simples : trop d’administrations municipales et provinciales ont fait pousser des radars comme des champignons, les plaçant dans les endroits les plus bizarres, sauf là où ils seraient réellement nécessaires, plus soucieuses de remplir leurs propres caisses que de prévenir les accidents de la route.
Mirco Gennari, coordinateur provincial du syndicat des travailleurs de la police locale, a qualifié Flexman de criminel, mais a exprimé l’espoir que sa popularité auprès des automobilistes fasse réfléchir certaines administrations sur l’utilisation et l’abus de certains outils, ainsi que sur l’utilisation correcte de la police locale, qui mérite mieux que d’être reléguée au rôle de percepteur d’impôts.
La presse italienne a rapporté que les exploits de Flexman à Rovigo et en Vénétie ont inspiré des actions similaires de la part d’automobilistes mécontents dans d’autres régions d’Italie, certains choisissant de faire exploser des radars, d’autres les bombardant de gros cailloux, et d’autres encore copiant le modus operandi du justicier.
« Le manuel de la vie sauvage ou revivre par la nature » empreint d'un profond humanisme et d'un amour fou pour tout ce qui vit, peut être considéré comme une véritable bible de survie. Il nous permet, dès aujourd'hui, de nous initier progressivement à la vraie vie, selon les lois de la Nature (et de notre nature), dans le respect de toute la création, dans l'économie et donc dans la générosité. Un ouvrage à deux niveaux : trucs, recettes, idées, conseils, techniques pour tous les aspects d'une vie dans la nature; poésie, humanisme, amour, dignité de l'homme que ce dernier devrait s'efforcer de retrouver.
Dans notre pauvre monde en perdition , si l'apocalypse advenait - à juste titre car la disharmonie est insupportable - avec sa cohorte de famines, épidémies, guerres, cataclysmes... ce manuel de la vie sauvage pourrait certainement nous aider à sauver ce qui pourra l'être encore et, dès maintenant, il peut nous permettre de prévenir ces catastrophes et nous acheminer vers l'harmonie - salut de nos enfants et de tout ce qui vit dans la complicité et le don de soi, dans l'Amour.
Vous y découvrirez et apprendrez mille et une choses utiles - voire indispensables - au fil de ses 13 parties, dont voici quelques aspects (nous ne pouvons reproduire ici les 12 pages de table des matières !) :
1. Comprendre le temps : l'astronomie, compter et mesurer le temps, les prévisions météorologiques (traditionnelles, empiriques et techniques), connaître les climats, les nuages, construire des instruments météorologiques simples, etc.
2. Marcher et s'orienter : de jour comme de nuit, construire une boussole, lire une carte, s'équiper pour un déplacement, trouver le Nord, se défendre, s'abriter, nager, construire un radeau, grimper, se repérer, etc.
3. Se chauffer : allumer et construire un feu dans n'importe quelles conditions, les matériaux à utiliser, les divers types de feux de plein air, couper et abattre, chauffer son logis. faire son charbon de bois, etc.
4. Boire et trouver l'eau : la rendre potable, la filtrer, la stocker, reconnaître les sols, la radiesthésie, creuser un puits, drainer, irriguer, construire une pompe, etc.
5. Cueillir : identifier et récolter les plantes sauvages, les conserver, connaître leurs multiples usages (nutritifs, à huile, mellifères, à farine, textiles, à savon, à papier...), les champignons. cultiver le champignon de couche, etc.
6. Cuisiner : notions essentielles de diététique, le jeûne, quelques recettes importantes, cuisine et feux de plein air par tous les temps, etc.
7. Conserver : les méthodes de conservation suivant chaque catégorie d'aliments, à long ou à court terme, les boissons fermentées et non fermentées, etc.
8. Apprivoiser, ou chasser et pêcher : hébergement et nourriture des animaux domestiques, sauvegarde des animaux dits sauvages, tout sur les pêches en eau douce et en mer, le matériel, les diverses formes de chasses, pièges, armes rudimentaires ou sophistiquées, quelques gibiers, etc.
9. Se loger : les constructions simples et de type sauvage, abris de survie en pleine nature, igloo, tipi, grottes, tentes simples, techniques et matériaux de construction, maçonneries, charpentes simples, outillage, etc.
10. Fabriquer : se vêtir (couture, tricot, crochet, tissage, laine, costumes simples), autres artisanats (macramé, vannerie, verre...), la menuiserie (outils, affûtage, assemblages de base...). le travail du métal (outillage, construction d'une forge...), les nœuds, fabrications diverses d'une multitude d'objets nécessaires et utiles, etc.
11. Replanter : techniques de l'agriculture biologique (compost, fertilisants naturels, couches et châssis, semis, associations, culture, potager...), le reboisement et son utilité (haies, arbres, replantations...), greffes et boutures, etc.
12. Soigner et sauver : les principaux accidents et comment les traiter (plaies, brûlures, entorses, fractures, asphyxie, morsures, empoisonnements, accouchement...), notions de secourisme indispensables, le transport des blessés, la noyade, l'incendie, les médecines douces, etc.
13. Se nourrir subtilement : l'air, la lumière, le silence, la musique, la créativité, la spiritualité, l'amour sensuel et universel, etc.
Autant de questions (et bien d'autres !) auxquelles ce guide pratique répond, et dont les solutions sont là pour nous initier progressivement à une existence adulte, responsable, autarcique, altruiste, dans la joie et le respect de nous-même, des autres et de notre environnement.
Un livre à lire, à méditer, à pratiquer, à faire lire autour de soi - et surtout à nos enfants car ce sont eux qui feront peut-être de l'enfer que nous leur léguons aujourd'hui un paradis pour demain ? ...
Télécharger gratuitement « Le manuel de la vie sauvage ou revivre par la nature » : http://www.aryanalibris.com/index.php?post/Saury-Alain-Le-manuel-de-la-vie-sauvage
06:40– Économie :
• Tchernoziom à vendre
• Moscou vs pêcheurs anglais
• Centrale nucléaire russe en Égypte
• Semi-conducteurs en Chine
• Confiscation des actifs russes
16:50– Politico-diplomatique :
• 2024 : année de la famille
• Zelensky à l’assaut de la Russie
• Idriss Déby à Moscou
• Suède dans l’OTAN
• Rencontre Raïssi-Erdoğan
• Il y a 950 ans à Manzikert
• Fico & Orban
25:50 – Terrorisme :
• Mercenaires français
• Bombardement de Donetsk
• Destruction de l’IL-76
• Empire du mensonge
• Ancel : Gamelin mythomane
39:32 – Armement :
• Cavalerie ukrainienne
40:30 – Considérations militaires générales
• Mille soldats russes par jour en plus
• Esprit corps franc russe
42:45 – Carte des opérations militaires
Le mécontentement a atteint la classe moyenne et donc le pilier de l’économie nationale. L’artillerie à Bruxelles s’alourdit. Le Digital Service Act établit de nouvelles autorités et un système d’espionnage moderne pour lutter contre les informations indésirables. Le « discours de haine », quoi que l’on entende par-là, sera désormais un « crime de l’UE ». Cette division de la société coûtera aux États membres plusieurs millions d’euros pour sa mise en œuvre et surchargera complètement les autorités : rien qu’en Allemagne, l’Office fédéral de la police criminelle s’attend à 720.000 cas suspects par an, contre 6.000 jusqu’à présent. Tout cela n’intéresse pas les institutions européennes. Elles continuent à se mettre au service de la technostructure et de ses intérêts de lobbying. Car le contrôle prétexte de la technostructure ne peut fonctionner qu’avec les outils de la technostructure, n’est-ce pas?
C’est désormais un modèle bien connu de tous les observateurs critiques : des « situations d’urgence » et des « scénarios de menace » proclamés par le biais de réseaux d’élites sont utilisés par les décideurs politiques comme base et justification de mesures restrictives et d’atteintes à différents droits de la liberté.
Pour contrôler la souveraineté d’interprétation, il est important de présenter de telles situations de danger aux décideurs politiques (et à ceux qui veulent encore le devenir). C’est ce qui s’est passé, une fois de plus, lors du Forum économique mondial. Le « Global Risk Report 2024 » met en garde avec insistance contre le plus grand risque global – la mauvaise information.
La présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, a donc attrapé cette balle lors de son discours à Davos :
« Il y aura toujours des tentatives de désinformation et de mésinformation destinées à nous déstabiliser. Et jamais nous n’en avons connu autant qu’au sujet de l’Ukraine…La Russie n’atteint pas ses objectifs stratégiques. Elle échoue avant tout sur le plan militaire…La Russie a également échoué sur le plan économique. Les sanctions ont isolé son économie des technologies modernes et de l’innovation. Le pays dépend désormais de la Chine. Enfin, la Russie a échoué sur le plan diplomatique. La Finlande a rejoint l’OTAN. Elle sera bientôt suivie de la Suède. Et l’Ukraine est plus proche que jamais, sur son chemin vers l’Union européenne. »
Un contrôle sans faille
Laissons de côté la question légitime de savoir qui a réellement recours à la désinformation. Tournons-nous plutôt vers la question de savoir pourquoi le risque global de désinformation évoqué par le Forum économique mondial est si important pour l’UE.
Actuellement la Commission construit ses nouvelles super-autorités afin de garantir l’application de la loi sur les services numériques (DSA). En avril dernier, le Centre européen pour la transparence algorithmique (ECAT) a été créé à Séville pour aider la Commission et les autorités nationales à contrôler le respect de la DSA. L’ECAT effectuera notamment des tests techniques sur les systèmes algorithmiques afin de comprendre leur fonctionnement, ainsi que des évaluations des risques liés aux plateformes et aux moteurs de recherche. Un accord de coopération a été signé à cet effet avec le centre français « PEReN » (Pôle d’expertise du Régime du Numérique).
La Commission européenne vise les « informations indésirables » sur Internet et introduit à cette fin de nouveaux organes de contrôle étatiques et supranationaux dotés de pouvoirs essentiels. Afin de garantir la mise en œuvre complète (et en temps voulu) de la structure de gouvernance de la DSA, les États membres doivent désigner leurs coordinateurs de services numériques et autres autorités nationales chargées d’assurer la conformité avant le 17 février 2024. Il n’est donc pas étonnant qu’il faille une « situation de risque » pour que les États membres en retard agissent. En effet, selon les propres informations de la Commission, seuls deux États membres, l’Italie et la Hongrie, ont à ce jour désigné valablement leurs autorités nationales.
Collapsus de la justice
L’Allemagne travaille encore à la mise en œuvre nationale de la loi européenne sur les services numériques (DSA). Le Bundestag allemand a débattu de cette question pour la première fois le 18 janvier. Selon le projet de loi du gouvernement fédéral, l’Agence fédérale des réseaux (Bundesnetzagentur) sera responsable de la surveillance des fournisseurs et de l’application de la DSA.
Dans ce contexte, les détails dont on n’aime pas parler publiquement sont toujours intéressants, et ce sont les coûts de mise en œuvre : ainsi, en Allemagne, les coûts annuels ( !) pour l’Agence fédérale des réseaux sont estimés à au moins 17 millions d’euros (frais de personnel, informatique, frais matériels et autres). Pour l’administration fédérale, la charge d’exécution annuelle augmente d’environ 8 millions d’euros, auxquels s’ajoute une charge d’exécution unique d’environ 2,1 millions d’euros.
Mais ce n’est pas tout. Celui qui se penche sur les explications détaillées trouvera ce qu’il cherche. L’Office fédéral allemand de la police criminelle s’attend à une nette augmentation des coûts annuels d’environ 44 millions d’euros et des coûts uniques d’environ 21 millions d’euros. En effet, l’Office fédéral de la police criminelle doit recevoir les déclarations concernant les cas suspects de contenus punissables sur Internet et les transmettre aux autorités de poursuite pénale compétentes. En raison de la nette extension des services de médiation soumis aux obligations de diligence, l’Office fédéral de la police criminelle s’attend à une augmentation des cas de traitement annuels, qui passeront d’environ 6 000 actuellement à quelque 720 000 ( !).
C’est là que s’arrêtent les estimations de coûts – à tort, car pour être correct, il faudrait également calculer les coûts supplémentaires pour les autorités de poursuite pénale et la justice. Si seulement une partie des 720.000 cas suspects estimés est poursuivie, la justice allemande risque de s’effondrer définitivement. Elle est en effet chroniquement surchargée depuis des années et le nombre de procédures non traitées atteint un niveau record.
Division de la société
Cependant, les institutions européennes ne s’intéressent pas à la question de savoir si et comment les États membres peuvent supporter les coûts de la mise en œuvre de la DAS. Elles ne s’intéressent pas non plus à la capacité des services répressifs à traiter l’énorme quantité de nouveaux dossiers.
Au contraire, la semaine dernière seulement, le Parlement européen a fait une nouvelle avancée en la matière : le Conseil devrait prendre une décision d’ici la fin de la législature actuelle afin d’inclure le discours de haine et les crimes de haine parmi les infractions visées à l’article 83, paragraphe 1, du TFUE (appelés « crimes de l’UE »). Le droit à la liberté d’expression ne doit pas être utilisé comme un bouclier pour le modèle économique des plateformes de médias sociaux visant à diffuser et à amplifier les discours de haine, a-t-on déclaré dans l’entourage des députés.
La division de la société par les institutions européennes se poursuit. Déjà, les « signaleurs de confiance » prévus par l’article 22 de la DSA, c’est-à-dire des informateurs qui surveillent les communications sur les plateformes en ligne et qui interviennent dès qu’ils soupçonnent une infraction, se forment. Nous savons que certains d’entre eux font partie de l’ « International Fact Checking Network » (IFCN) , un réseau qui est lui-même affilié au Poynter Institute. Parmi ses bailleurs de fonds figurent – entre autres – le Democracy Fund, la Lumina Foundation for Education, le National Endowment for Democracy (NED), l’Omidyar Network Fund ou les Open Society Foundations (OSF).
On ne saurait trop avertir et souligner avec force : les élites de l’UE ont fait des institutions de Bruxelles des auxiliaires des intérêts de la technostructure. Car ce qu’elles veulent nous vendre comme un « contrôle » de la technostructure, elles ne peuvent le réaliser qu’avec les outils de la technostructure. Les États membres surchargent leurs capacités et leurs ressources en mettant en œuvre cette politique – c’est particulièrement vrai pour les autorités judiciaires. Mais lorsque le pouvoir de l’État s’érode et que la société se divise, de grands malheurs se préparent en Europe.
Les enquêtes successives montrent que les Américains ont perdu confiance dans les grands médias et que des millions d’entre nous ont décidé de se tourner vers d’autres sources d’information. Depuis des années, les grands médias perdent des téléspectateurs et des lecteurs, et aujourd’hui, bon nombre des plus grands noms de l’industrie de l’information perdent des sommes colossales. Ce n’était qu’une question de temps avant que nous n’assistions à des licenciements à grande échelle, et c’est désormais chose faite.
Bien entendu, les médias grand public ne sont pas les seuls à licencier. Selon Challenger, Gray & Christmas, le nombre de licenciements aux États-Unis en 2023 était supérieur de 98% à ce qu’il était en 2022…
Le rythme des suppressions d’emplois par les employeurs américains s’est accéléré en 2023, le nombre de licenciements ayant bondi de 98% par rapport à l’année précédente.
C’est ce qui ressort d’un nouveau rapport publié par Challenger, Gray & Christmas, selon lequel les entreprises ont prévu 721 677 suppressions d’emplois l’année dernière, soit une augmentation considérable par rapport aux 363 832 licenciements signalés en 2022.
Le problème pourrait s’aggraver en 2024, car le marché de l’emploi continue de s’affaiblir face à des taux d’intérêt élevés et à une inflation tenace.
Mais il est vrai que l’industrie de l’information est particulièrement touchée. Par exemple, Time Magazine vient d’annoncer qu’il allait licencier des travailleurs «dans plusieurs départements, notamment la rédaction, la technologie, les ventes et les studios TIME»…
Time Magazine a licencié mardi un nombre incertain d’employés dans plusieurs départements, une décision que la PDG Jessica Sibley a qualifiée de «mesure nécessaire que nous devons prendre pour faire avancer notre entreprise et améliorer notre situation financière».
Dans un mémo interne au personnel, obtenu par Max Tani de Semafor, Sibley a annoncé les réductions.
«Nous avons pris la décision difficile de supprimer aujourd’hui des postes dans plusieurs départements, notamment la rédaction, la technologie, les ventes et les studios TIME», a écrit M. Sibley au personnel. «Nous sommes immensément reconnaissants de la contribution de ces membres talentueux de l’équipe au cours de leur mandat chez TIME».
Lorsque j’étais enfant, Time Magazine était très respecté et mes parents en avaient souvent un exemplaire sur la table basse.
Mais aujourd’hui, il est en train de mourir, tout comme le reste des grands médias.
Il suffit de regarder ce qui arrive au plus grand journal de Californie. Le Los Angeles Times a décidé de supprimer «un peu plus de 20% de sa rédaction»…
Le Los Angeles Times, confronté à ce que la direction a décrit cette semaine comme une «crise financière», a entamé mardi une série de licenciements douloureux dans la salle de rédaction, une réduction d’effectifs qui s’annonce comme l’une des plus sévères des 142 ans d’histoire du journal.
Les suppressions de postes toucheront au moins 115 journalistes, a indiqué à CNN une personne au fait du dossier, soit un peu plus de 20% de la rédaction. Quelque 94 de ces suppressions concerneront des employés syndiqués, a déclaré le chef du syndicat Matt Pearce, ce qui signifie qu’un quart du syndicat sera licencié.
Devons-nous être tristes que le Los Angeles Times implose ?
Je ne le pense pas.
Ailleurs, Paramount prévoit de licencier des centaines de travailleurs…
Dans un contexte de spéculation sur son avenir, Paramount Global procède à une nouvelle vague de réduction de personnel en février, selon des sources qui se sont confiées à Deadline. J’ai entendu dire que ces réductions concerneraient des centaines d’employés dans l’ensemble de la société.
Depuis plusieurs jours, des rumeurs circulent sur l’imminence d’un licenciement d’environ 800 personnes au sein de Paramount. Cela fait suite à un rapport du WSJ [Wall Street Journal] en décembre selon lequel la société envisageait la suppression potentielle de plus de 1000 emplois au début de l’année 2024 afin de réduire les coûts.
Paramount est la société mère de CBS, et il est donc probable que la division de l’information de CBS soit sur le point de devenir encore plus petite.
Bien sûr, la division de l’information de NBC se réduit elle aussi…
NBC News a licencié plusieurs dizaines d’employés, la dernière des dizaines d’entreprises à commencer la nouvelle année avec de mauvaises nouvelles pour ses employés, a confirmé USA TODAY vendredi.
Une source au fait de ces projets [de licenciement] a déclaré que les employés ont reçu un préavis de 60 jours et qu’ils recevront des indemnités de départ et des services de reclassement.
Le journalisme sportif a lui aussi connu des temps difficiles.
À l’heure actuelle, il semble que l’avenir de Sports Illustrated soit très incertain et que de nombreux employés du magazine soient à la recherche d’un nouvel emploi…
L’avenir du célèbre magazine Sports Illustrated s’est assombri vendredi après que l’éditeur a annoncé des licenciements massifs.
Le groupe Arena – qui avait été ébranlé par des informations selon lesquelles le célèbre magazine publiait du contenu généré par l’intelligence artificielle – a admis qu’il n’avait pas effectué le paiement trimestriel de 3,75 millions de dollars au groupe Authentic Brands, qui devait être effectué cette semaine.
En conséquence, la société Arena, cotée en bourse, a annoncé jeudi qu’elle allait procéder à une «réduction significative» de ses effectifs, qui comptent plus de 100 journalistes.
Toutes les histoires que je viens de vous raconter se sont produites au cours des sept derniers jours.
C’est fou comme les choses évoluent rapidement aujourd’hui.
Il a rappelé que cette mise en scène sanglante avait causé non seulement 3 000 victimes aux États-Unis, mais surtout servi de prétexte pour le massacre de millions d’innocents au Moyen-Orient élargi.
Thierry Meyssan a été le premier au monde a expliquer, sur Voltairenet.org, que la narration officielle des événements du 11-Septembre n’avait aucun rapport avec la réalité. Puis il a publié un best-seller mondial, L’Effroyable imposture, pour analyser les conséquences de ce mensonge : d’abord l’installation d’un système de surveillance de masse aux Etats-Unis et dans tout l’Occident (confirmé par Edward Snowden), puis l’extension de l’impérialisme au Moyen-Orient élargi (confirmé par Julian Assange). En 2005, Thierry Meyssan a organisé un colloque à Bruxelles avec 150 personnalités du monde entier pour élaborer une réponse aux straussiens et autres néo-conservateurs. Un des avocats de Donald Trump (qui n’était pas encore entré en politique) y participait.
Depuis, deux interventions officielles ont contredit la version bushienne des événements :
Le FBI a établi que le témoignage de l’avocat général des États-Unis, Theodore Olson, selon lequel il avait discuté avec son épouse à bord du vol AA 77 avant qu’il ne s’écrase sur le Pentagone, était un faux.
Un officier du Bureau des commissions militaires, Daniel Canestraro, a déposé que deux des prétendus pirates de l’air étaient des agents de la CIA.