Le peuple aura été prévenu. Cela fait longtemps que certains individus avisés pointent du doigt le pouvoir total en devenir du président de la commission européenne non élu. Avec Macron empereur de l'Europe occidentale en déconfiture, Elon Musk en soutien avec son médias alternatif et son Neurolink transhumaniste, Bill Gates à la tête de l'OMS et de la gestion des pandémies, Soros aux flux migratoires, etc, etc ... ne voyez-vous pas venir l'Agenda 2030 dans toute sa spleen d'heure 6.6.6 ?
Réfléchissons : comment peut-on être officiellement l’homme le plus riche du monde et s’opposer à la secte, sans le soutien de laquelle son empire s’écroulerait en un jour ?
Et pourquoi les gouvernements, qui détestent soi-disant la «liberté d’expression» de Musk, continuent à lui accorder les subventions des contribuables dont dépend son empire ?
Comment se fait-il que la secte, à travers son État profond, qui contrôlait Twitter et ce qui pouvait être publié, le vende soudain à Musk, un absolutiste de la liberté d’expression ?
Maintenant il est le dieu des médias alternatifs que la secte doit contrôler…
Bien que le gouvernement ait partiellement reculé le jeudi 4 janvier sur la suppression des avantages fiscaux sur le gazole non routier (GNR), les agriculteurs allemands ne décolèrent pas. Des blocages routiers et autoroutiers se profilent alors que la fédération des transports appelle à suivre le mouvement.
Comme expliqué dans notre précédent article, la Cour constitutionnelle allemande a retoqué le budget 2024 présenté par Olaf Scholz en novembre. Forcé d’opérer des coupes budgétaires, le chancelier a opté pour la suppression d’allègements fiscaux sur le diesel agricole et sur l’impôt sur les tracteurs, ce qui a déclenché la colère des agriculteurs dès décembre.
Des concessions du gouvernement que les agriculteurs estiment insuffisantes
La coalition allemande actuellement au pouvoir (composée du Parti social-démocrate, du Parti libéral-démocrate et des Verts) a bien tenté de calmer le jeu. Le 4 janvier, le gouvernement a déclaré abandonner son projet d’introduction d’une taxe sur les véhicules agricoles et forestiers. Il a aussi proposé une suppression progressive des allégements fiscaux sur le diesel agricole, de 2024 à 2026, au lieu d’une suppression totale. Ces concessions n’ont pas convaincu la fédération des agriculteurs allemands (DBV), qui a réitéré ses appels à des manifestations sans précédent pour les deux semaines à venir. Rien qu'en Bavière, 180 actions ont été enregistrées. Elles débutent ce lundi 8 janvier.
Les revendications des syndicats sont claires. Ils comptent faire grève jusqu'à ce que le gouvernement renonce à leur imposer toute mesure d’austérité dans le budget annuel qui est en train d’être voté. La Commission budgétaire du Bundestag arrête le budget fédéral pour 2024 la troisième semaine de janvier. C’est pour cette raison que la plus grosse manifestation est annoncée un peu avant, pour le 15 janvier, à Berlin.
Cependant, la colère ne se cantonne déjà plus au monde agricole, et prend des allures de grève générale contre la politique budgétaire du gouvernement Scholz.
Un mouvement qui prend des allures de grève générale.
Des chercheurs français ont identifié des signaux de sécurité possibles chez les bébés coïncidant avec le déploiement de Beyfortus, un traitement par anticorps monoclonaux récemment approuvé contre le virus respiratoire syncytial (VRS) chez les nouveau-nés.
Cette découverte intervient alors que les autorités de santé publique multiplient les avertissements concernant la propagation des virus respiratoires et intensifient leur promotion du médicament .
Dans des entretiens avec The Defender , les chercheurs – la scientifique indépendante et auteure française Hélène Banoun, Ph.D. , et la statisticienne française Christine Mackoi — ont expliqué que les données de l’Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) indiquent un taux improbable de décès de bébés âgés de 2 à 6 jours en France entre septembre et octobre 2023.
L’INSEE est l’autorité qui compile les données officielles sur les naissances et les décès en France.
Cette augmentation, selon les chercheurs, coïncide avec l’introduction du Beyfortus dans les hôpitaux français, qui a débuté le 15 septembre 2023. Dans une interview avec le cardiologue Peter McCullough, MD, MPH , Banoun a déclaré que plus de 200 000 nouveau-nés en France ont reçu une injection. avec Beyfortus depuis cette date.
Les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) ont recommandé Beyfortus en août 2023, tandis que l’Agence européenne des médicaments (EMA) a autorisé le médicament en septembre 2022.
Beyfortus a été développé conjointement par AstraZeneca et Sanofi.
Le médicament est proposé « en injection unique pour les nourrissons nés juste avant ou pendant la saison du VRS et pour ceux âgés de moins de 8 mois avant le début de la saison », ainsi que pour certains nourrissons à haut risque âgés de 8 à 19 mois. .
Selon l’Associated Press , « Aux États-Unis, environ 58 000 enfants de moins de 5 ans sont hospitalisés chaque année à cause du VRS et plusieurs centaines en meurent. » CNBC a rapporté que « le VRS est la principale cause d’hospitalisation chez les nourrissons aux États-Unis ». Selon le CDC, presque tous les enfants sont infectés par le VRS avant l’âge de 2 ans.
Mais les chercheurs français et autres experts médicaux interrogés par The Defender ont prévenu qu’aucune étude à long terme n’avait été menée sur Beyfortus et les nouveau-nés et que l’administration d’anticorps monoclonaux sur cette population était sans précédent. Ils ont également souligné les données indiquant le faible risque du VRS pour les bébés.
Le Dr Meryl Nass , interniste, épidémiologiste de guerre biologique et membre du comité consultatif scientifique de Children’s Health Defense (CHD), a déclaré au Defender : « Donner aux nouveau-nés tout médicament ou produit biologique doit être fait avec une extrême prudence, sans parler d’un nouveau produit monoclonal injecté. anticorps. Vous ne pouvez pas savoir si le nourrisson a été blessé par le tir, si vous ne savez pas encore dans quelle mesure il est en bonne santé et comment il se comporte normalement. Cela devrait être un énorme signal d’alarme pour les fabricants ainsi que pour les parents.
Selon Banoun, “le gouvernement français recommande que Beyfortus soit injecté aux nouveau-nés avant leur sortie de maternité, à partir du 15 septembre 2023, même si le produit n’a pas été testé sur cette tranche d’âge”, a déclaré Banoun.
Nass a souligné que le CDC a publié un article en 2021 sur tous les décès dus au VRS aux États-Unis au cours des 12 années précédentes. Le CDC a examiné les certificats de décès et a constaté qu’il n’y avait que 26 décès par an dus au VRS, et seulement 17 décès par an dans l’ensemble des États-Unis causés par le VRS chez les bébés de moins d’un an.
Selon McCullough , « Parmi les 22,4 millions d’enfants de moins de 5 ans, le risque annuel d’hospitalisation pour le VRS est bien inférieur à 1 %. »
La surmortalité chez les nouveau-nés est « alarmante » et « inquiétante »
Sous le règne autoritaire de l’empereur Domitien, surgit cet opus, œuvre céleste attribuée à nul autre que l’apôtre Jean, dépositaire des oracles prophétiques.
À travers les âges, cette figure énigmatique a suscité une myriade d’interprétations. Osant pénétrer les arcanes de cette vision, nous proposons une nouvelle compréhension, espérant ainsi captiver l’attention des lecteurs assoiffés de symboles et d’eschatologie.
Cette bête extraordinaire est une chimère qui ressemble à un lion, un léopard et un ours, et qui possède dix cornes. Cette description nous rappelle quatre créatures tout aussi atypiques que le prophète Daniel présenta dans une de ses visions.
L’enquête sur l’assassinat de John Kennedy est une source d’inspiration, d’espoir et de courage. Elle nous dévoile les forces invisibles qui s’affrontent dans les coulisses de la géopolitique mondiale, et nous donne une leçon d’héroïsme, au sens d’une victoire sur la mort. Car Kennedy est vivant et n’a pas dit son dernier mot.
Laurent Guyénot évoquera le parcours et le combat de JFK, présentera les principaux personnages impliqués dans son assassinat, et expliquera pourquoi la vérité, une fois libérée de la censure, servira de levier pour la transformation du monde.
La crise sanitaire Covid s’est poursuivie au cours de l’année 2023. J’ai donc fait un rapport final qui fait apparaître des dernières données factuelles bien étranges qui permettent de remettre les pendules à l’heure.
261 000 décès attribués à la Covid ont été déclarés en 2023, ce qui est dérisoire à l’échelle planétaire.
Les 31 pays de l’OTAN, très vaccinés et présumés très protégés, dont certains ne déclarent plus leurs décès Covid depuis 6 mois (UK, France, Espagne par exemple) et qui ne représentent que 12% de la population mondiale, ont déclaré les deux tiers des pertes mondiale en 2023 (171 640 décès).
Le reste du monde (88% de la population mondiale) a déclaré 89 500 décès.
Les USA (71 800 décès) et le Royaume-Uni (32 440 sur les 6 premiers mois de l’année puisqu’il n’ont pas déclaré les 6 derniers mois) affichent les deux plus grands nombres de décès de la planète sur 2023 : (Ils cumulent, à eux deux, 40% du total des décès planétaires) ??? C’est plus, à eux deux, que la totalité du monde non otanien. Y aurait-il un problème spécifique au monde anglo-saxon.
L’Allemagne (18 654 décès) et l’Italie (10 268 décès) se placent en 4ème et 5ème position mondiale pour l’année 2023.
Ces pertes sont évidemment dérisoires mais le classement 2023 montre que le vaccin n’a pas apporté de grands bénéfices à ces pays comparés à des pays beaucoup moins vaccinés. L’Afrique, continent dans lequel l’épidémie est terminée depuis longtemps (1,4 milliards d’habitants) n’a déclaré que 524 décès Covid pour toute l’année 2023…
Je laisse à chacun le soin de découvrir ce rapport le plus exhaustif possible.
Le carnage sanitaire observé jusqu’à présent grâce à la campagne de « vaccin » contre le coronavirus (COVID-19) de Wuhan n’est que le premier cycle d’une série d’horreurs qui sont encore à venir .
L’ancien scientifique de la Fondation Bill & Melinda Gates et expert en vaccins, le Dr Geert Vanden Bossche, s’est entretenu cette semaine avec l’enquêteur Steve Kirsch de tout cela, y compris de ce à quoi le monde peut s’attendre dans un avenir proche alors que le COVID continue de se transformer et de déjouer les injections.
« Les mutations ne se limitent plus à la protéine Spike, ce qui indique une activité accrue des CTL (cellules T cytotoxiques) pour diminuer la contagiosité virale », a expliqué Bossche à Kirsch à propos des mutations les plus récentes détectées.
« Et cette activité des CTL est responsable du déclin des lymphocytes T qui stimulent en fait les anticorps neutralisants qui empêchent la virulence. »
Vous vous souviendrez peut-être qu’avant que les vaccins ne soient lancés dans le cadre de l’opération Warp Speed, Bossche avertissait que lancer un soi-disant « vaccin » en plein milieu d’une « pandémie » était une très mauvaise idée, pour cette raison spécifiquement.
« En fin de compte, cette évolution conduirait inévitablement à l’émergence d’un variant très virulent qui provoquerait des vagues d’hospitalisations et des maladies graves dans les pays hautement vaccinés – bien sûr, toujours les mêmes, uniquement dans les pays hautement vaccinés », a souligné Bossche à propos de la façon dont ce phénomène se produit. Cela ne semble se produire que dans les pays développés et fortement piégés.
« À mon humble avis, ce que nous verrons est quelque chose de complètement, complètement sans précédent en termes d’ampleur de la vague de morbidité et malheureusement de mortalité que nous verrons. »
02:10– Économie :
• Russie : premier producteur d’uranium enrichi
• S&P : hyper-industrialisation russe
• Autoroute Moscou-Kazan : M12 Vostok
• Huawei triomphe en 2023
07:08 – Politico-diplomatique :
• Sikorski & Zelensky vs Russie
• BRICS +++
• Washington Post vs Marine Le Pen
• Pas de F-16 pour Kiev
12:45 – Terrorisme :
• Belgorod
20:30 – Armement :
• Leopard 2 hors service
• Pas de Panther pour la Pologne
• DCA ukrainienne vs X-22
• DCA ukrainienne vs appartements
27:35 – Considérations militaires générales
• Dourakovleff : Gamelin pleurniche
• Armée US : puissance faible
• STRATPOL : bilan 2023
• OTAN vs réalité militaire
• Supériorité de l’économie de marché russe
• Prigojine
• Scénarios 2024
44:58 – Carte des opérations militaires
Ils ont renforcé leur confiance en soi, géré une prise de risque raisonnable, respiré le bon air, sollicité leurs sens, tonifié leur corps tout en faisant des sciences naturelles, des mathématiques et du français. Ils sont scolarisés dans une des rares Écoles de la forêt que l’on peut trouver en France, celles qui ont réussi, grâce à la persévérance et à l’énergie de leurs fondateurs, à surmonter tous les obstacles que l’administration et la société ont mis sur leur chemin.
Apparue au début du XXe siècle, l’École dans la Forêt a connu un succès notable dans les mondes anglo-saxon et scandinave. On en trouve de nombreuses aux États-Unis, en Allemagne, en Hollande ou en Suède. Au Danemark, près de 20 % des classes maternelles passent leur journée en forêt, repas et sieste compris, quel que soit le temps. Et les enfants s’en portent très bien, quand nos salles de classe surchauffées leur font enchaîner les rhumes et qu’on leur interdit de sortir en récréation quand il pleut… L’Angleterre compte aujourd’hui plusieurs centaines de Forest Schools publiques dans le primaire.
Déconnecter les enfants des écrans et les reconnecter avec la nature devient un enjeu de santé publique autant qu’une urgence sociétale. La Suisse suit le même mouvement et les collectivités locales y soutiennent la création d’écoles, qu’elles soient privées ou publiques.
Vous êtes-vous retrouvé face à une publicité en ligne pour quelque chose que vous n’avez jamais cherché, mais qui semblait correspondre parfaitement à vos désirs ? Ces questionnements sur la surveillance et l’écoute de nos appareils sont de plus en plus fréquents. Et la réponse, bien souvent, réside dans une réalité alarmante : nos objets connectés ne se contentent pas de nous observer, ils modifient aussi nos comportements.
L’évolution vers un monde où la technologie guide nos actions et restreint notre libre arbitre est préoccupante. Momotchi évoque le capitalisme de surveillance, où nos moindres faits et gestes sont scrutés et transformés en données exploitables. Cette surveillance omniprésente s’intègre dans nos vies, de nos maisons à nos déplacements, nous menant vers une réalité où nos comportements sont manipulés à une échelle massive.
En remontant le fil de l’histoire, Momotchi fait référence à des expériences passées, telles que le projet MK-Ultra de la CIA, explorant les techniques de contrôle mental. Aujourd’hui, cette volonté de contrôler les comportements humains s’insinue dans notre quotidien à travers des jeux, des réseaux sociaux et des objets connectés, nous entraînant vers une réalité où nos actions pourraient être manipulées à des fins commerciales ou politiques.
Le constat est clair : derrière la promesse d’une technologie toujours plus intégrée à notre quotidien se cache un potentiel inquiétant de manipulation de nos comportements. À l’heure où nos objets connectés se fondent dans notre environnement, il devient crucial de s’interroger sur les limites de la surveillance et de préserver notre libre arbitre dans un monde de plus en plus conditionné par les données et les algorithmes.
Au pain sec et à l’eau. La préfecture du Rhône a supprimé une demande de subvention d’Alternatiba, a révélé Mediapart fin décembre dernier. Cette enveloppe de 3 500 euros devait servir à rénover la cuisine du bar associatif lyonnais du mouvement écologiste.
Sa coupe a été annoncée en mai 2023, lors de la réunion du collège du Fonds pour le développement de la vie associative (FDVA). Selon un compte-rendu que s’est procuré le média d’investigation, la secrétaire générale de la préfecture du Rhône, Vanina Nicoli, a indiqué retirer la demande de subvention d’Alternatiba en raison de sa « position problématique sur la désobéissance civile ».
La haute fonctionnaire aurait fait référence au contrat d’engagement républicain (CER), déclarant que celui-ci implique « le devoir de ne pas porter atteinte à l’ordre public ». Depuis la loi Séparatisme d’août 2021, les associations ont l’obligation de signer le CER. Tout manquement à ses valeurs les expose au refus des subventions accordées. « On l’imaginait cibler des associations catégorisées “islamistes” ou “séparatistes”, mais le CER sert surtout à créer un halo de suspicion autour des associations environnementales », constate Julien Talpin, sociologue au CNRS et membre de l’Observatoire des libertés associatives.
« On ne veut pas se laisser censurer »
Contactée par Reporterre, la préfecture confirme n’avoir « pas souhaité subventionner des actions de désobéissance civile portées par cette structure associative ». Elle fait valoir que « l’obtention d’une subvention n’est pas de droit » et que sur les 593 dossiers déposés, seuls 283 ont été sélectionnés. Pourtant selon Mediapart, la demande d’Alternatiba était appuyée par un avis positif des services de la préfecture.