Guillaume Bousquieres et Sébastien Iozzia vous montrent le contenu des injections Covid et leurs effets dans le sang.
La grosse commission de Bruxelles, l’U.E a décidé de la limitation des paiements en espèces à 10.000 euros, et c’est pour bientôt !
Pour nous, en France cela ne changera rien car la législation française était déjà plus que sévère dans sa lutte contre le cash puisque l’on ne peut pas payer depuis longtemps plus de 1 000 euros en espèces chez un commerçant. Il faut bien lutter contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme n’est-ce pas.
Mais ce n’était pas encore le cas chez certains voisins européens nettement plus ouverts aux espèces en particulier l’Allemagne et l’Autriche où les espèces sont culturellement très utilisées.
Utiliser des espèces et pas les paiements sans contact est devenu un acte de résistance et subversif, simple, pacifique, mais tout de même subversif.
Le modeste économiste de grenier normand que je suis reste très favorable aux espèces (avec évidemment certaines limites) car, un billet circule bien plus vite que la même somme provenant de compte en compte. Les espèces ne se stockent pas vraiment, elles s’utilisent. La vitesse de circulation de 20 euros en billet est bien plus rapide que la même somme digitalisée.
Si vous comprenez ce message, vous êtes la résistance à la société du contrôle absolu dont rêvent les psychopathes de Davos.
C’est un héritier d’une idéologie qui n’a pas cessé de commettre de tels crimes depuis un siècle. Thierry Meyssan retrace l’histoire des « sionistes révisionnistes » de Vladimyr Ze’ev Jabotinky à Benjamin Netanyahu.
Josep Borrell, haut représentant de l’Union européenne pour les Affaires étrangères et la Politique de sécurité, recevant un doctorat honoris causa à Valadolid, a déclaré : « Nous pensons qu’une solution à deux États [israélien et palestinien] doit être imposée de l’extérieur pour ramener la paix. Même si, et j’insiste, Israël réaffirme son refus [de cette solution] et, pour l’empêcher, est allé jusqu’à créer lui-même le Hamas (…) Le Hamas a été financé par le gouvernement israélien pour tenter d’affaiblir l’Autorité palestinienne du Fatah. Mais si nous n’intervenons pas fermement, la spirale de la haine et de la violence se poursuivra de génération en génération, de funérailles en funérailles ».
Ce faisant, Josep Borrell rompait avec le discours officiel occidental selon lequel, le Hamas est l’ennemi d’Israël, qu’il aurait attaqué par surprise le 7 octobre ; justifiant la riposte israélienne actuelle et le massacre de, déjà, 25 000 civils palestiniens. Il affirmait que des ennemis des juifs peuvent être soutenus par d’autres juifs, Benjamin Netanyahu en particulier. Il refusait la lecture communautaire de l’Histoire et examinait les responsabilités personnelles.
Ce changement narratif a été rendu possible par la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne, il y a quatre ans. Josep Borrell sait que l’Union européenne a financé le Hamas depuis son coup d’État de 2006, pourtant aujourd’hui il est libre de dire ce qu’il a sur le cœur. Il n’a pas évoqué les liens du Hamas avec la Confrérie des Frères musulmans, dont l’organisation revendique d’être la « branche palestinienne », ni de celle-ci avec le MI6, le services secrets britanniques. Il a simplement suggéré de se retirer de ce guêpier.
Progressivement, le voile se déchire. Un rappel historique est ici nécessaire. Les faits sont connus, mais jamais reliés entre eux, ni énumérés à la suite. Ils ont un effet cumulatif éclairant. Ils se situent principalement tout au long de la Guerre froide, lorsque l’Occident fermait les yeux sur les crimes dont il avait besoin, mais ils débutent en réalité vingt ans plus tôt.
En 1915, le ministre de l’Intérieur juif britannique, Herbert Samuel, rédigea un mémorandum sur le Futur de la Palestine. Il souhaitait créer un État juif, mais de petite taille afin qu’il « ne puisse pas être assez grand pour se défendre ». Ainsi la diaspora juive servirait sur le long terme les intérêts de l’empire britannique.
Il tenta de convaincre le Premier ministre, le libéral de l’époque H. H. Asquith, en vain, de créer à l’issue de la Guerre mondiale un État juif en Palestine. Cependant après la rencontre d’Herbert Samuel avec Mark Sykes, juste après la conclusion des Accords Sykes-Picot-Sazonov sur la répartition coloniale du Moyen-Orient, les deux hommes poursuivirent le projet et bénéficièrent du soutien des « protestants non-conformistes » (on dirait aujourd’hui des « chrétiens sionistes »), dont le nouveau Premier ministre, David Lloyd George. Ce dernier et son cabinet donnèrent instruction pour la fameuse Déclaration Balfour afin de préciser un des points des Accords Sykes-Picot Sazonov en annonçant un « foyer national juif ».
Simultanément, les protestants non-conformistes, par l’entremise du juge à la Cour suprême des États-Unis, Louis Brandeis, convainquirent le président Woodrow Wilson de soutenir leur projet.
Toujours durant la Première Guerre mondiale, lors de la révolution russe, Herbert Samuel proposa d’intégrer des juifs de l’ex-empire russe qui fuyaient le nouveau régime dans une unité spéciale, la Légion juive. Cette proposition fut reprise par un juif ukrainien, Vladimir Ze’ev Jabotinsky, qui imagina qu’un État juif en Palestine pourrait être sa récompense dans l’après-guerre. Herbert Samuel lui confia de recruter des soldats parmi les émigrés russes. Parmi eux, il trouva notamment le Polonais David ben Gourion (alors marxiste) auquel se joignit le Britannique Edwin Samuel, le propre fils d’Herbert Samuel. Ils s’illustrèrent notamment lors de la bataille perdue contre les Ottomans à Gallipoli.
À la fin de la guerre, le fasciste Jabotinsky réclama un État comme son dû, mais les Britanniques n’avaient nullement envie de se séparer de leur colonie palestinienne. Ils s’en tinrent donc à leur engagement de « foyer national », sans plus. En 1920, une partie des Palestiniens, conduite par Izz al-Din al-Qassam (la figure tutélaire de la branche armée de l’actuel Hamas, les brigades al-Qassam) se souleva et massacra sauvagement des immigrés juifs, tandis qu’une milice juive leur répondit. C’est le début du conflit israélo-palestinien. Londres rétablit l’ordre en arrêtant des fanatiques, aussi bien des jihadistes que des juifs. Jabotinsky, chez qui un arsenal fut découvert, fut condamné à 15 ans de prison.
Cependant, le gouvernement « protestant non-conformiste » de David Lloyd George nomma Herbert Samuel gouverneur de Palestine. Dès son arrivée à Jérusalem, il gracia et fit libérer son ami Jabotinsky. Puis, il nomma l’antisémite et futur collaborateur du Reich, Mohammad Amin al-Husayni, grand mufti de Jérusalem.
C’est ce qui ressort de son discours lors d’une session du Parlement européen, dimanche, sur les attaques des Houthis en mer Rouge.
«Alors qu’Israël est jugé pour génocide à La Haye, ses complices, les pays de l’Union européenne et nos supposés partenaires partageant les mêmes idées, tels que les États-Unis et le Royaume-Uni, commettent un crime illégal et injustifié contre le Yémen, en violation flagrante de l’accord des Nations unies», a-t-elle souligné.
Et d’ajouter, «les Yéménites n’ont tué personne, mais 25 000 Palestiniens ont été tués et vous êtes tous en colère contre l’interruption des chaînes d’approvisionnement internationales. L’Union européenne n’a aucune autorité morale. Si vous voulez résoudre le problème, arrêtez le génocide à Gaza».
En «solidarité avec la bande de Gaza», en proie à une guerre israélienne dévastatrice avec le soutien américain depuis le 7 octobre 2023, les Houthis ciblent, avec des missiles et des drones, les cargos en mer Rouge qui appartiennent ou sont exploités par des Israéliens, ainsi que des entreprises qui transportent des marchandises vers et depuis Israël.
Les tensions en mer Rouge sont entrées dans une remarquable phase d’escalade depuis que les Houthis ont directement visé, le 9 janvier, un navire américain.
Il est à noter que les perturbations du transport maritime en Mer rouge ont déstabilisé des pays de l’UE, où de nombreuses usines automobiles en Europe ont arrêté leur production en raison de ces tensions qui font craindre une nouvelle poussée d’inflation et une perturbation des chaînes d’approvisionnement.
Le quartier general de ces mercenaires francais avait ete installe dans les locaux de l’école maternelle et assurait le service des données des satellites et de la guerre électronique pour les forces armées ukrainiennes. En outre, les officiers aujourd’hui décédés étaient engagés dans l’amélioration et le renforcement des systèmes de contre-batterie et des radars.
Ces officiers français ont activement participé aux frappes ukrainiennes contre la ville de Belgorod le 30 décembre 2023.
Un Iskander et deux douzaines de leurres pré-lancés ont assuré une frappe de haute précision contre la position française à 04h43. La défense aérienne ukrainienne n’a pas eu le temps de réagir.
Macron dans sa fuite en avant a signé le transfert de 55 missiles SCALP aux forces armées ukrainiennes. Mais il faut encore qu’ils arrivent jusqu’en Ukraine…
« Que Macron qui a annoncé sa venue à Kiev ait au moins le courage de venir à Kharkov récupérer les corps de ceux qu’il a envoyé à la mort. Qui sait, un Iskander pourrait de nouveau passer par là et libérer le monde d’une ordure… »
La communauté du journalisme sportif est en deuil suite au décès soudain de Mike Dickson, un rédacteur respecté du Daily Mail.
M. Dickson, qui se trouvait à Melbourne pour couvrir l'Open d'Australie, s'est tragiquement effondré et est décédé peu avant son 60e anniversaire.
Mike Dickson a eu une carrière riche en histoire qui s'est étendue sur près de quatre décennies, au cours desquelles il est devenu un pilier des tribunes de presse du monde entier. Son parcours au sein du Daily Mail a commencé en 1990, lorsqu'il a assumé pour la première fois le rôle de correspondant pour le cricket, avant de devenir une voix éminente dans le monde du tennis.
La triste nouvelle de son décès a été annoncée par son épouse, Lucy, au nom de leurs enfants, Sam, Ruby et Joe, dans un message très émouvant publié sur les réseaux sociaux. La déclaration de la famille se lit comme suit :
"Nous sommes dévastés d'annoncer que notre merveilleux mari et père, Mike, s'est effondré et est décédé alors qu'il se trouvait à Melbourne pour l'Aus Open. Pendant 38 ans, il a vécu son rêve en couvrant le sport dans le monde entier. C'était un homme vraiment formidable et il nous manquera terriblement. Lucy, Sam, Ruby et Joe".
— Mike Dickson (@Mike_Dickson_DM) 17 janvier 2024
Le Daily Mail l'a rapporté :
Mike Dickson, le légendaire correspondant de tennis du Daily Mail, est décédé tragiquement à l'âge de 59 ans.
Dickson était un journaliste extrêmement respecté et admiré qui a passé 38 ans dans l'industrie - 33 au Mail, où il a commencé en 1990 - et sa perte sera profondément ressentie par ses collègues.
Il a travaillé comme correspondant du Mail pour le cricket avant de passer au tennis. Au cours de sa riche carrière, il a couvert 30 sports différents dans près de 50 pays.
M. Dickson se trouvait à Melbourne pour couvrir l'Open d'Australie lorsqu'il est décédé, à quelques jours de son 60e anniversaire, le 27 janvier.
Il vivait à Wimbledon avec sa famille et aimait suivre Tranmere et Everton, ayant grandi dans le Wirral. Sa femme Lucy a annoncé la nouvelle de son décès sur X dans un message commun avec la famille.
Récemment, M. Dickson a attiré l'attention sur ses critiques concernant la position de Novak Djokovic sur le vaccin COVID-19. Dans divers articles, il a non seulement remis en question les décisions de Djokovic, mais il a également souligné les implications potentielles pour son héritage et son image publique.
Dans l'un de ses articles, Dickson écrit : "MIKE DICKSON : Novak Djokovic pourrait ruiner ses chances de devenir le GOAT en refusant de se faire vacciner... c'est une drôle de colline sur laquelle mourir pour un joueur qui a tellement besoin d'être aimé".
Dickson a écrit de nombreux articles, insultant Novak, et a même dit ceci. Encore une fois, je suis très reconnaissant à Novak d'être aussi classique et d'avoir retweeté la mort de Dickson en lui disant "Repose en paix". J'aime cet homme. pic.twitter.com/Any2nQwHsP
— Erin Elizabeth Health Nut News (@unhealthytruth) 20 janvier 2024
Il a également rédigé un article de questions-réponses intitulé "NOVAK DJOKOVIC Q&A : Pourquoi le numéro un mondial est-il si catégorique sur le fait de ne pas se faire vacciner ? À quoi renonce-t-il dans ce processus ? Et surtout... que se passe-t-il maintenant ?"
Sa position critique était claire dans un autre article où il déclarait : "MIKE DICKSON : Novak Djokovic restera un héros pour certains, mais pour beaucoup d'autres, il a détruit sa réputation de manière irrémédiable... le numéro un mondial pensait qu'il pouvait travailler avec le système, mais il s'avère qu'un traitement de faveur ne va pas plus loin".
Malgré leurs divergences, Novak Djokovic a fait preuve d'esprit sportif et de respect en reconnaissant la mort de Dickson. La star du tennis a retweeté l'annonce du décès de Dickson avec un message simple mais poignant : Condoléances à la famille de Mike Dickson [emoji de prière] Repose en paix.
Condoléances à la famille de Mike Dickson Repose en paix https://t.co/skSMgwvBcZ
— Novak Djokovic (@DjokerNole) 18 janvier 2024
Pendant ce temps, Novak Djokovic a dû faire face au chahut d'un public qui lui demandait de se faire vacciner. Sans se décourager, Djokovic a répondu sur le court avec ses prouesses habituelles, claquant un ace pour s'assurer une victoire en trois sets contre Tomas Martin Etcheverry.
Regarder Novak Djokovic servir un as après avoir été chahuté par la foule "GET VACCINATED" est incroyablement satisfaisant.
Souvenez-vous qu'ils n'ont pas laissé le champion du monde et l'une des personnes les plus en forme de la planète jouer au tennis parce qu'il a refusé plusieurs doses d'une thérapie génique ARNm expérimentale pour un... pic.twitter.com/2YqMPkTOi5
— Concerned Citizen (@BGatesIsaPyscho) 20 janvier 2024
Il y a deux Occident : l'Occident mondialiste et l'Occident... ordinaire. Les mondialistes représentent l'Occident 1. Ce faisant, ils refusent de reconnaître qu'il n'y a personne d'autre qu'eux dans le monde. Ils insistent donc sur le fait qu'il n'y a pas de "deuxième" Occident, d'Occident-2. Mais il y en a un.
Nous, le monde multipolaire, devons reconnaître aussi clairement que possible l'existence de cet Occident-2.
Il se compose d'une variété de forces qui ne sont pas d'accord avec l'agenda mondialiste ultra-libéral des élites.
Il y a les gens de gauche, comme Sarah Wagenknecht et son nouveau parti. La "Sarah rouge" (une Valkyrie de double origine, iranienne et allemande) est en train de devenir le symbole de la gauche illibérale en Europe.
En Italie, Diego Fusaro, disciple du marxiste et antimondialiste Costanzo Preve, est un théoricien de la même tendance.
En France, nous avons Alain Soral, ainsi que Michel Onfray, Jean-Claude Michéa et Serge Latouche.
Ces hommes et femmes de gauche sont avant tout des ennemis du capital mondial. Ils se distinguent de la pseudo-gauche achetée par Soros : cette dernière est avant tout en faveur des LGBT, du nazisme ukrainien, du génocide de Gaza et des migrations incontrôlées, mais contre la Russie et ce que leurs maîtres capitalistes, eux-mêmes nazis libéraux, appelleraient le "fascisme".
Il y a aussi une composante de droite - mal en point, mais qui, dans de nombreux pays européens, représente la deuxième force politique la plus importante. Par exemple, Marine Le Pen en France.
En Allemagne, Alternative pour l'Allemagne et d'autres mouvements plus modestes gagnent en puissance. En particulier en Prusse (ex-RDA).
En Italie, malgré l'infirmité libérale de Meloni, la moitié droite de la société n'a pas progressé.
Et tout le populisme de droite n'a pas progressé non plus.
Mais à l'Ouest 2, ce sont surtout les gens ordinaires qui se dressent, ceux qui ne comprennent rien à la politique. Ils ne peuvent tout simplement pas suivre les demandes de changement de sexe, de castration forcée de leurs petits fils, de mariage avec des chèvres, d'arrivée et d'entretien d'un plus grand nombre d'immigrés et de maniaques ukrainiens sauvages, incapables d'une hygiène de base et de soins personnels, de manger des cafards, de réciter des prières telles celles de Greta Thunberg à l'heure du coucher et de maudire les Russes, qui ne leur ont rien fait de mal. L'homme ordinaire occidental, la petite bourgeoisie, est le pilier du soulèvement à venir. Cet homme ordinaire ne comprend plus les élites libérales. Il est irrémédiablement opposé à l'accélération de la dégénérescence et de l'avilissement que ces élites exigent de lui.
Il y a de la Shoah à gogo mais les internautes, au vu des commentaires non trafiqués, n’ont pas apprécié le timing. Nous en avons sélectionné une vingtaine. Mais d’abord, le doc qui tombe bien.
La voix off à 30’08 : « L’espoir d’une existence autonome à l’abri de la terreur allemande n’est que de courte durée. Les ghettos ne sont pas conçus par les nazis comme des lieux de vie. Qualifiés de caissons de la mort par Josef Goebbels, ce sont des espaces où l’occupant expérimente une mise à mort lente par la faim, la maladie et le travail forcé. Les habitants sont à la merci des décrets et limitations qu’impose l’administration allemande, à commencer par l’approvisionnement de la nourriture, strictement réglementé. »
Naturellement, il nous vient une idée farfelue :
« L’espoir d’une existence autonome à l’abri de la terreur juive n’est que de courte durée. Gaza n’est pas conçu par les Israéliens comme un lieu de vie. Qualifié de caisson de la mort par Benjamin Netanyahou, c’est un espace où l’occupant expérimente une mise à mort lente par la faim, la maladie et le travail forcé. Les Gazaouis sont à la merci des décrets et limitations qu’impose l’administration israélienne, à commencer par l’approvisionnement de la nourriture, strictement réglementé. »
Jovanovic, c’est du hard news bancaire avec un sourire jusque-là. Ce n’est pas un prophète de malheur, cependant, l’avenir lui donne souvent raison. Le tableau de la finance internationale brossé par le très populaire journaliste économique peut donner l’impression d’un effondrement permanent du Système, qui semble paradoxalement toujours tenir. Les données chiffrées donnent le vertige, et si le krach est toujours repoussé, en réalité, il est là. Mais le grand public ne le voit pas. Bienvenue dans un capitalisme devenu fou.
« Les fonds vautour sont en train de s’emparer de tout ce qui ne marche pas en France, c’est quand même incroyable ! »
03:06– Stratpol vs LCI :
06:59– Économie :
• Starlink russe
• Allemagne : économie la moins performante en 2023
• SPFS vs SWIFT
• Économie : Russie vs Japon
13:08 – Politico-diplomatique :
• La droite la plus bête du monde
• Sunak à Kiev
• Séjourné à Kiev
• Macron s’en va-t-en guerre
• Poutine à Khabarovsk
• Photo réussite à Davos
• Démonstration de faiblesse US
• Élection à Taïwan
• Corée du Nord à Moscou
27:45 – Terrorisme :
• Assassinat de Gonzalo Lira
• Mercenaires français à Kharkov
30:59 – Armement :
• Pas de Taurus pour l’Ukraine
• Kiev demande des A-10
• Ignat vs F-16
• Pas assez d’obus pour Kiev
35:09 – Considérations militaires générales
• Intelligence française vs OSINT
• Gamelin total
• NYT vs alcoolisme en Ukraine
43:33 – Carte des opérations militaires
La Commission européenne est un organe législatif de l’UE doté d’une autorité réglementaire en matière de technologie numérique. L’article 45 de la proposition de règlement eIDAS de la CE affaiblirait délibérément certains aspects de la sécurité de l’internet que l’industrie a soigneusement développés et renforcés depuis plus de 25 ans. Cet article accorderait en fait aux 27 gouvernements de l’UE des pouvoirs de surveillance très étendus sur l’utilisation d’Internet.
La règle exigerait que tous les navigateurs Internet fassent confiance à un certificat racine supplémentaire émanant d’une agence (ou d’une entité réglementée) de chacun des gouvernements nationaux de chacun des États membres de l’UE. Pour les lecteurs non spécialistes, je vais expliquer ce qu’est un certificat racine, comment la confiance dans l’internet a évolué et ce que l’article 45 apporte à cet égard. Ensuite, je mettrai en lumière certains commentaires de la communauté technologique sur cette question.
La section suivante de cet article explique comment fonctionne l’infrastructure de confiance de l’internet. Ce contexte est nécessaire pour comprendre à quel point l’article proposé est radical. L’explication est destinée à être accessible à un lecteur non technicien.
Le règlement en question porte sur la sécurité de l’internet. Par « internet », on entend ici, dans une large mesure, les navigateurs qui visitent des sites web. La sécurité de l’internet comporte de nombreux aspects distincts. L’article 45 vise à modifier l’infrastructure à clé publique (ICP), qui fait partie de la sécurité de l’internet depuis le milieu des années 90. L’ICP a d’abord été adoptée, puis améliorée sur une période de 25 ans, afin de donner aux utilisateurs et aux éditeurs les garanties suivantes :
Confidentialité de la conversation entre le navigateur et le site web : Les navigateurs et les sites web conversent sur l’internet, un réseau de réseaux exploités par des fournisseurs d’accès à l’internet et des opérateurs de niveau 1, ou des opérateurs cellulaires si l’appareil est mobile. Le réseau lui-même n’est pas intrinsèquement sûr ni digne de confiance. Votre fournisseur d’accès à Internet à domicile, un voyageur dans la salle d’attente de l’aéroport où vous attendez votre vol, ou un fournisseur de données cherchant à vendre des prospects à des annonceurs peuvent vouloir vous espionner. Sans aucune protection, un acteur malveillant pourrait consulter des données confidentielles telles qu’un mot de passe, le solde d’une carte de crédit ou des informations sur la santé.
Garantissez que vous visualisez la page exactement comme le site web vous l’a envoyée : Lorsque vous consultez une page web, celle-ci a-t-elle pu être modifiée entre l’éditeur et votre navigateur ? Un censeur peut vouloir supprimer un contenu qu’il ne veut pas que vous voyiez. Les contenus qualifiés de « désinformation » ont été largement supprimés pendant l’hystérie du covid. Un pirate informatique qui a volé votre carte de crédit pourrait vouloir supprimer les preuves de ses dépenses frauduleuses.
Garantissez que le site web que vous voyez est bien celui qui figure dans la barre d’adresse du navigateur : Lorsque vous vous connectez à une banque, comment savez-vous que vous voyez le site web de cette banque, et non une version falsifiée qui semble identique ? Vous vérifiez la barre d’adresse de votre navigateur. Votre navigateur pourrait-il être piégé et vous montrer un faux site web qui semble identique au vrai ? Comment votre navigateur sait-il – avec certitude – qu’il est connecté au bon site ?
Dans les premiers temps de l’internet, aucune de ces garanties n’existait. En 2010, un plugin de navigateur disponible dans le magasin de modules complémentaires permettait à l’utilisateur de participer au chat d’un groupe Facebook d’une autre personne dans un café hotspot. Aujourd’hui, grâce à l’ICP, vous pouvez être pratiquement sûr de ces choses.
Ces caractéristiques de sécurité sont protégées par un système basé sur des certificats numériques. Les certificats numériques sont une forme d’identification – la version Internet d’un permis de conduire. Lorsqu’un navigateur se connecte à un site, ce dernier lui présente un certificat. Le certificat contient une clé cryptographique. Le navigateur et le site web travaillent ensemble à l’aide d’une série de calculs cryptographiques pour établir une communication sécurisée.
Ensemble, le navigateur et le site web fournissent les trois garanties de sécurité :
- confidentialité : en chiffrant la conversation.
- signatures numériques cryptographiques : pour s’assurer que le contenu n’est pas modifié en vol.
- vérification de l’éditeur : grâce à la chaîne de confiance fournie par l’ICP, que j’expliquerai plus en détail ci-dessous.
Une bonne identité doit être difficile à contrefaire. Dans l’Antiquité, le moulage en cire d’un sceau servait à cette fin. Les identités humaines reposent sur la biométrie. Votre visage est l’une des formes les plus anciennes. Dans le monde non numérique, lorsque vous devez accéder à un lieu où l’âge est limité, par exemple pour commander une boisson alcoolisée, on vous demandera une pièce d’identité avec photo.
Les définitions du Diable ont changé avec les époques, les mentalités. Le Mal n’est plus empli des mêmes choses, des mêmes peurs, il ne suscite pas le même rejet. Il y a 2000 ans, il était question d’anges déchu ou protecteurs, de Jésus, du Père, du désert, de la tentation...
Ces images n’ont pas disparu, elles ont été redéfinies. On peut aussi les conserver comme symboles, car elles fonctionnent toujours : ne jamais croire que la conscience humaine se soit grandement améliorée, en 2000 ans. Quand on voit le gouvernement d’aujourd’hui...
Justement, beaucoup de Français, pas forcément catho ou musulmo-croyants, rejettent ce gouvernement comme on rejette le Diable. Il y a de quoi : cette petite assemblée de créatures cyniques et méprisantes ne peut pas être aimée du peuple. En outre, elle lui tape dessus, via la force de l’État, qu’elle a privatisé, ce qui n’arrange rien : ce sont coups de Jarnac, de matraque, fausses infos, hausses des prix, insultes assumées... Macron et mini-Macron disaient qu’il faut « emmerder » les antivax, qui ont pourtant sauvé l’honneur de la France pendant le terrorisme covidiste.
Le Diable, aujourd’hui, n’est plus dans les détails, il se montre au grand jour, car il pense avoir gagné : son idéologie est partagée par le plus grand nombre. Ce sont les valeurs libérales : individualisme, féminisme, homosexualisme, antichristianisme, mercantilisme, qui mènent au désastre social et sociétal que l’on sait.
Bienvenue au forum de Diablos
La société française, fondée sur l’esprit français, doit être détruite, pour que règne le mercantilisme anglo-américain, rabaisseur des âmes. On voit qui fait du mal aujourd’hui sur Terre, qui provoque les guerres, qui exploite les conflits, qui joue sur le séparatisme, entre sexes, entre races et entre classes.
Dès lors, le tout-venant peut voir les Illuminatis pérorer en se pensant les maîtres du monde, alors qu’ils sont à une portée d’émeute. Les sociétés secrètes ne le sont plus, on se filme même en y entrant, on donne des interviews, des conseils aux pauvres, on refait le monde, quoi.
Les Illuminatis sont devenus des stars, ils montent les marches, comme à l’Élysée, Cannes ou Hollywood. Ci-joint l’arrivée des « invités spéciaux » du forum de Davos 2024. Protégés par 5000 militaires suisses, ils font semblant de craindre un attentat, mais ils ne courent aucun risque : ce sont eux les grands terroristes du monde.