Or, c’est la branche française de ce mouvement qui inventa le transhumanisme cher à Elon Musk, dont le grand-père fut responsable de la branche canadienne du mouvement technocratique.
es déclarations du président états-unien réélu, Donald Trump, avant son investiture, annonçant qu’il se proposait d’acheter le Groenland (ce qu’il avait déjà comparé en 2019 à une « grosse transaction immobilière ») et d’annexer aussi bien le Canada que le canal de Panama nous ont stupéfaits. Aucun dirigeant occidental n’avait tenu de tels propos depuis la Seconde Guerre mondiale. La classe dirigeante états-unienne y a plutôt vu une « nouvelle frontière », c’est-à-dire de nouveaux territoires où leur pays pourrait continuer sa progression.
Le gouvernement danois, dont dépend le Groenland, a indiqué que celui-ci n’est pas à vendre, que c’est un « territoire autonome » dont seuls les Groenlandais sont propriétaires. Le chancelier allemand, Olaf Scholz, a appelé que « le principe de l’inviolabilité des frontières s’applique à tous les pays... qu’il s’agisse d’un très petit, ou d’un pays très puissant. » Le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, a commenté : « Il ne fait évidemment aucun doute que l’Union européenne ne laisserait pas d’autres nations du monde s’attaquer à ses frontières souveraines. » Selon le ministre britannique des Affaires étrangères, David Lamy, Donald Trump « soulève des inquiétudes à propos de la Russie et la Chine dans l’Arctique, qui concernent la sécurité économique nationale » des États-Unis, Ce sont « des questions légitimes. » Enfin, pour la Première ministre italienne, Giorgia Meloni, ces déclarations sont « davantage un message destiné » à « d’autres grandes puissances plutôt que des revendications hostiles envers ces pays. Il s’agit de deux territoires où ces dernières années nous avons assisté à un activisme croissant de la Chine. »
Le Premier ministre du Canada, Justin Trudeau, qui s’est fait élire en tant que fils de Pierre Trudeau et donc comme défenseur de l’indépendance nationale, s’est avéré n’être qu’un suiviste de Washington. Il n’avait donc rien à répondre à ce qui paraît être une évidence : en adhérant aux États-Unis, son pays n’aurait rien à perdre qu’il n’a déjà perdu et tout le reste à gagner. Il a donc démissionné.
Concernant le canal de Panama, Donald Trump avait insinué qu’il était exploité par l’armée chinoise. Le président du Panama, José Raúl Mulino, lui a répondu : « Le canal n’est contrôlé, directement ou indirectement, ni par la Chine, ni par la Communauté européenne, ni par les États-Unis ni par toute autre puissance. En tant que Panaméen, je rejette fermement toute expression qui déforme cette réalité ».
Nous allons exposer ici que ces idées d’annexion ne sont pas nouvelles, mais datent de la crise de 1929, et qu’elles correspondent à un corpus idéologique cohérent défendu, jusqu’à la semaine dernière, par le seul multi-milliardaire Elon Musk que nous connaissions plutôt comme un admirateur de l’ingénieur serbe Nicolas Tesla et comme un adepte du transhumanisme.
Lors de la « Grande dépression », c’est-à-dire de la crise de Wall Street et de la tempête économique qui suivit, la totalité des élites états-uniennes et européennes considéra que le capitalisme, sous sa forme d’alors, était définitivement mort. Joseph Staline proposa le modèle soviétique comme seule réponse à la crise, tandis que Benito Mussolini (ancien représentant de Lénine en Italie) proposa au contraire, le fascisme. Mais aux États-Unis, une troisième solution fut proposée : la technocratie.
Critiquant la lecture traditionnelle de l’offre et de la demande, l’économiste Thorstein Veblen s’intéressa aux motivations des acheteurs. Il montra que l’homme qui peut s’offrir du loisir le fait en réalité pour conforter sa supériorité sociale, et doit par conséquent le montrer. Les loisirs ne sont donc pas une forme de paresse, mais « expriment la consommation improductive du temps ». Par conséquent, dans de nombreuses situations, contrairement à ce que l’on croit, « Plus le prix d’un bien augmente, plus sa consommation augmente également » (paradoxe de Veblen). Ce ne sont donc pas les prix, mais les comportements de groupe et les motivations individuelles qui dictent l’économie.
La pensée iconoclaste de Thorstein Veblen donna naissance, entre autres, au mouvement technocratique d’Howard Scott. Celui-ci imagina que le pouvoir ne soit donné ni aux capitalistes, ni aux prolétaires, mais aux techniciens.
Ce mouvement s’est exporté en France autour de polytechniciens, notamment le romancier ésotérique Raymond Abellio (qui fonda la secte dont François Mitterrand fut membre jusqu’à sa mort) et de Jean Coutrot, l’inventeur du transhumanisme. De fil en aiguille, ce mouvement aurait engendré dans les milieux occultistes du régime de Philippe Pétain une société secrète, la Synarchie.
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Dans la lutte contre la pauvreté, les politiciens français ont tout compris et le 1er janvier 2025 est à marquer d’une pierre blanche : avec la mise en application des restrictions actives et sanctionnées pour le DPE et les ZFE, la France entre dans nouvelle ère de bonheur sucré où les pauvres seront consciencieusement pourchassés.
Le Diagnostic de Pauvreté par l’Écologie
Déjà évoqué dans ces colonnes, le DPE est cette contrainte administrative imposée aux logements permettant de relier de façon grotesque des objectifs écologiques parfaitement ridicules avec des contraintes énergétiques sorties d’un chapeau : adopté en 2021, ce diagnostic effectué sur un logement vise à déterminer s’il est thermiquement conforme à la doxa (le DPE vaut alors « A ») ou s’il est responsable d’un génocide d’ours polaires (et il est alors déclaré « G »).
Or, depuis le 1er Janvier dernier, les logements déclarés G sont désormais interdits à la location ce qui provoque inévitablement de fortes tensions sur le marché immobilier de certaines villes qui n’en avait guère besoin, et ce, même si tout le monde comprend (confusément) qu’une telle interdiction va être très compliquée à faire respecter.
Nos législateurs imaginaient officiellement que ce diagnostic pousserait les propriétaires à améliorer l’isolation de leurs logements. Officieusement, les boboïdes comprenaient assez bien que les moins aisés, incapables de faire les travaux correspondants, finiraient par renoncer à louer, faisant ainsi fuir les gueux hors des villes.
Bien évidemment, les choses prennent une tournure vinaigrée à mesure qu’on découvre l’ampleur réelle des effets de bords, surtout lorsqu’on se rend compte que le diagnostic est une vaste blague qui se transforme en véritable arnaque, le DPE étant devenu un argument commercial : le marché s’est adapté avec, outre des DPE purement bidons et des DPE « de complaisance » (une fraude estimée à 21 milliards d’euros tout de même), des notes enjolivées qui permettent à un logement de passer à une meilleure catégorie au-dessus. Concrètement, cela se traduit par des pics de DPE aux frontières entre deux lettres comme on peut le voir sur le joli graphique suivant.
S’il y a bousculade à la frontière C/D puis D/E puis E/F, c’est que tout le monde comprend l’importance d’avoir plutôt un C qu’un D, un D qu’un E, etc. Et le marché s’adapte. Autrement dit, ces lettres n’ont plus réellement de valeur ; par exemple, 19% des biens classés F passent artificiellement à la lettre E, 6% des E sont surclassés en D. Cela se traduit bien sûr par un meilleur prix de vente (entre 8 et 10% plus élevé).
En somme, cela ne permet plus vraiment de mesurer l’isolation d’un logement, et l’obligation d’État s’est transformée en fardeau supplémentaire entre vendeur et acheteur qui se retrouvent à sinon mentir au moins bidouiller la réalité pour s’en sortir. Ce n’est qu’une contrainte de plus qui vient gripper davantage le marché de l’immobilier, déjà pas trop fluide.
Au passage, notons que le fait de rénover ne change rien à la facture : an Allemagne, malgré des milliards investis dans la rénovation énergétique des bâtiments depuis une décennie, la consommation énergétique du logement est restée stable. Échec économique, échec écologique, une réussite socialiste typique. Bonus du socialisme et des contraintes autoritaires : non seulement la baisse des dépenses de chauffage ne compense pas le coût des travaux, mais les rénovations agissent souvent comme un facteur d’augmentation des loyers.
Rassurez-vous : cette lutte (contre-productive et surtout ratée) contre les pauvres ne s’arrête pas là puisqu’en parallèle, le 1er janvier est aussi l’occasion pour les ZFE de passer à l’étape suivante, celle des interdictions.
Les Zones de Féroce Élimination
Là encore issues d’une loi de 2021 (année riche en âneries écolodestructives), ces « zones à faibles émissions » sont officiellement destinées à lutter contre un faux problème (celui d’un air pas assez pur dans les agglomérations) par le truchement d’une solution absurde (empêcher la circulation de certains types de motorisations) sous couvert d’écologie, de santé et de lutte contre le génocide d’ours polaires.
Officieusement, il s’agit là encore de virer des grandes agglomérations le plus grand nombre possible de véhicules, ceux qui ne sont pas capables d’atteindre le « crit’air 2 » donc notamment les plus anciens qui sont ceux qui font certes un peu plus de bruit et de fumée mais qui, c’est pratique, sont généralement conduits par des gueux. La coïncidence n’est pas fortuite et représente, c’est génial pour les promoteurs de cette idée, jusqu’à 30% des véhicules d’une zone considérée.
Bien évidemment, les arguments initiaux (lutter contre la méchante pollution) sont aussi bidons que sont veules les motifs cachés des écolos derrière cette interdiction : comme le mentionne cet article bien renseigné, la pollution n’arrête pas de diminuer depuis des décennies dans les agglomérations sans ces ZFE grotesques, et ces dernières gesticulations n’améliorent en rien les tendances.
Il ne s’agit ici que de bouter le pauvre hors de la ville et d’user pour cela de moyens aussi vexatoires que possibles.
D’ailleurs, le peuple ne s’y est pas trompé lorsqu’on lui a effectivement demandé son avis, ce qui fut fait en 2023 par le Sénat : après une participation record (plus de 50.000 réponses complètes sur le site), 86% des particuliers et 79% des professionnels interrogés se sont opposés à la mise en œuvre des ZFE, notamment à cause des coûts prohibitifs des véhicules jugés « propres » (et pour cause, ils sont réservés à l’élite pas cracra).
En outre, la consultation a mis en lumière les risques d’exclusion sociale et de creusement des inégalités, notamment pour ceux résidant en périphérie des agglomérations ou dans les zones rurales, où l’accès à des alternatives à la voiture est limité.
C’est logique, puisqu’il s’agit de l’objectif recherché. Et l’avis du peuple fut donc consciencieusement bafoué, comme il se doit en République du Bisounoursland.
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Si vous n’avez pas encore vu l'intégralité du témoignage de Candace Owens qui a reçu des menaces juridiques du couple Monsieur et Monsieur Macron, lui interdisant de divulguer ces informations, voici la partie 2.
Après avoir détruit l’Iraq, le Libye, Gaza, le Liban et la Syrie, il lance ses hommes contre le Yémen. Ne prenez pas les apparences pour la réalité : officiellement Israël réplique aux bombardements d’Ansar Allah et les États-Unis aux attaques contre des navires occidentaux. En réalité, la destruction du Yémen n’est qu’une étape dans celle de l’ensemble des institutions politiques du Moyen-Orient élargi. Ne croyez pas ce que l’on vous dit sur l’inéluctabilité du choc des civilisations, tout ceci n’est qu’une mise en scène pour vous faire accepter l’inacceptable.
Depuis le 7 octobre 2023, nous assistons à un massacre des Palestiniens, à une invasion du Liban et de la Syrie. Depuis deux semaines, la guerre se déplace au Yémen.
Comme toujours, les médias internationaux segmentent les informations et nous expliquent chaque évènement par certains facteurs locaux, parfois exacts, parfois faux. Pendant que nous nous dépatouillons avec cette mixture, nous ne parvenons pas à percevoir que tous ces évènements appartiennent un plan plus large et qu’il n’est pas possible de vaincre sur un front si l’on ignore jusqu’où il s’étend.
Ce à quoi nous assistons est la troisième étape du plan élaboré par Donald Rumsfeld et l’amiral Arthur Cebrowski, en 2000. Dans la tradition états-unienne, que le général Smedley Butler avait résumé en 1933 dans son célèbre discours War Is a Racket (La Guerre est un racket), le Pentagone s’est donné pour mission de détruire toutes les institutions politiques du « Moyen-Orient élargi » (c’est-à-dire d’une zone allant de l’Algérie au Kazakhstan en passant par la Somalie, à l’exception d’Israël et éventuellement du Maroc).
Smedley Butler expliquait : « J’ai effectué 33 ans et 4 mois de service actif, et durant cette période, j’ai passé la plupart de mon temps en tant que gros bras pour le monde des affaires, pour Wall Street, et pour les banquiers. En bref, j’étais un racketteur, un gangster au service du capitalisme. J’ai aidé à sécuriser le Mexique, plus particulièrement la ville de Tampico, au profit des groupes pétroliers américains en 1914. J’ai aidé à faire de Haïti et de Cuba un endroit convenable pour que les hommes de la National City Bank puissent y faire des profits. J’ai aidé au viol d’une demi-douzaine de républiques d’Amérique centrale au bénéfice de Wall Street. J’ai aidé à purifier le Nicaragua au profit de la banque américaine Brown Brothers de 1902 à 1912. J’ai apporté la lumière en République dominicaine au profit des entreprises sucrières américaines en 1916. J’ai livré le Honduras aux entreprises fruitières américaines en 1903. En Chine, en 1927, j’ai aidé à ce que l’entreprise Standard Oil fasse ses affaires en paix. »
Aujourd’hui, les forces armées états-uniennes, dont la mission n’est pas de défendre l’intégrité territoriale de leur pays, mais de défendre le capitalisme dans sa version la plus sombre (la défense de la patrie US incombe à la seule Garde nationale), détruisent l’Iraq depuis 2003, la Libye et la Syrie depuis 2011, le Yémen depuis 2014, et bientôt l’Iran.
Le docteur Henry Kissinger aurait dit : « It may be dangerous to be America’s enemy, but to be America’s friend is fatal » (Il est dangereux d’être un ennemi de l’Amérique, mais être son ami est fatal).
C’est ce qu’avait dit Mouammar Kadhafi, au sommet de la Ligue arabe de 2008 : non seulement les États-Unis ne respectent pas leurs alliés, mais ce sont généralement leurs premières victimes. Il prenait l’exemple du président iraquien Saddam Hussein, ancien agent de la CIA, pendu après que son pays ait été vaincu, et mettait en garde ses confrères. Il a pourtant par la suite fait alliance avec le président George Bush Jr. et démantelé son arsenal nucléaire. Il en fut chaleureusement remercié avant que son pays ne soit détruit et qu’il soit lynché.
En 2002 [6], l’Arabie saoudite était parvenue de justesse à échapper à la destruction. Mais ce n’est que partie remise. Dans ce jeu sinistre, chaque domino est appelé à tomber l’un après l’autre. Sans exception.
Selon l’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (Sipri), qui fait autorité en matière de commerce des armes, les États-Unis ont fourni 22 milliards de dollars d’armement à Israël pendant le massacre des Gazaouis. Ces armes comprennent, entre autres, 70 000 tonnes de bombes, c’est-à-dire autant que toutes celles utilisées pour détruire à la fois Dresde, Hambourg et Tokyo durant la Seconde Guerre mondiale.
Nous persistons à tenir Benyamin Netanyahou comme responsable du nettoyage ethnique à Gaza. Certes, c’est lui qui en a pris la responsabilité dans la lignée des déclarations de son maître Vladimir Ze’ev Jabotinsky, mais il n’est qu’un petit exécutant de la politique de Washington. De même, nous pouvons accuser Netanyahou de mettre en œuvre le plan d’Oded Yinon au Liban et le plan « A Clean Break : A New Strategy for Securing the Realm » (Une rupture nette : une nouvelle stratégie pour sécuriser le royaume d’Israël) en Syrie. Tout cela est important, mais partiel.
Nous persistons à tenir les Britanniques pour responsables de la progression du sectarisme au Moyen-Orient. Certes, c’est eux qui, avec Lawrence d’Arabie, organisèrent la Grande révolte arabe de 1916-1918 qui mit au pouvoir les Séoud et la secte des Wahhabites en Arabie saoudite. Certes, ce sont eux qui, avec Lord Herbert Samuel, organisèrent la Grande révolte arabe de 1936-1939 en Palestine mandataire. Certes, ce sont eux qui, avec Sir James Craig, ont organisé le Printemps arabe des années 2011-2012 qui mit au pouvoir la Confrérie des Frères musulmans en Égypte. Et ce sont eux, encore, qui se tiennent aujourd’hui derrière Ahmad el-Chareh à Damas. Mais s’ils soutiennent systématiquement les guerres des États-Unis et en profitent toujours pour en tirer profit, ce ne sont pas eux qui mènent le jeu.
Nous voyons aujourd’hui la guerre se déplacer au Yémen. Ce pays est déjà profondément marqué par les opérations préliminaires qui s’y déroulent depuis 2014 : près de 400 000 morts, directs ou indirects. Officiellement Israël réplique aux bombardements d’Ansar Allah, officiellement les États-Unis et le Royaume-Uni répliquent, quant à eux, aux attaques contre des navires en mer Rouge. Mais Ansar Allah ne fait que soutenir les civils gazaouis massacrés par les FDI, ce que nous devrions tous faire. Le Conseil de sécurité des Nations unies, réuni le 30 décembre à New York, n’a pu que se rendre à l’évidence : « Ce n’est que par une approche unie et coordonnée que nous pouvons espérer parvenir à la paix et à la sécurité pour tous les peuples du Yémen et de la région. » Il n’y a qu’une seule guerre au Moyen-Orient élargi depuis 23 ans.
Le Pentagone avance à marche forcée, sachant que, le 20 janvier, Donald Trump sera réinvesti président des États-Unis. Or, c’est lui qui, le 21 mai 2017 à Riyad, a stoppé la « guerre sans fin », en exigeant de certains régimes arabes qu’ils cessent de soutenir les organisations terroristes affiliées au Pentagone. Celle-ci avait dû s’interrompre jusqu’aux élections truquées de 2020.
Le 1er janvier 2025, Jean Molliné, Andrzej Linowiecki et Jean-Luc Robert étaient les invités de La Grande Émission, animée par Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde.
Jean Molliné, auteur engagé et ancien professeur de philosophie, est connu pour “Apocalypse : On n’a rien vu venir”, un ouvrage prophétique dénonçant les dérives sociétales et spirituelles contemporaines. Sans surprise, ce livre est boycotté par les grandes maisons d’édition. Il vient nous en parler lors de cette émission.
Andrzej Linowiecki est un écrivain et historien polonais spécialisé dans les mouvements d’opposition en Europe de l’Est, notamment ceux qui ont lutté contre le communisme. Il a écrit plusieurs ouvrages sur l’histoire de la Pologne, en particulier sur le mouvement Solidarnosc, et son rôle dans la chute du régime soviétique.
Jean-Luc Robert est un auteur et conférencier français reconnu pour ses analyses critiques sur les dérives sociétales, en particulier celles liées à la santé mentale et à la neurodiversité. Après une carrière en tant que psychologue spécialisé dans les troubles du comportement chez les enfants, il se tourne vers l’écriture et la vulgarisation pour dénoncer les excès de la médicalisation à outrance. Son dernier ouvrage, “Neuro divers +”, explore les enjeux et les conséquences du surdiagnostic chez les jeunes et les adultes, dévoilant les dangers de la marchandisation de la santé mentale.
Les prophéties de l’Apocalypse selon Saint-Jean prennent vie
Saint-Jean annonçait une inversion des valeurs, où le mal se substitue au bien. Aujourd’hui, des signes visibles, comme les cérémonies des Jeux Olympiques ou la reconstruction de Notre-Dame, illustrent cette prophétie. Le mal agit à visage découvert, cherchant légitimation et acceptation.
Pourquoi ce silence face au mal ?
Le mal avance masqué sous des idéaux séduisants tels que le progrès et la liberté. L’idéologie transgenriste, sous couvert d’inclusivité, s’attaque à l’identité humaine dès l’enfance. Les médias et élites, en ridiculisant les opposants, facilitent l’acceptation d’idées autrefois impensables.
Les architectes d’un nouvel ordre immoral
Des lobbies, institutions et loges orchestrent cette chute en attaquant éducation, culture et religion. La pédocriminalité commence à être banalisée dans certaines œuvres, tandis que des symboles occultes imprègnent les cérémonies publiques, habituant les masses à l’inversion des valeurs.
L’Apocalypse : réalité ou avertissement ?
Les crises actuelles – sociales, économiques et spirituelles – rappellent les fléaux prophétisés. Ce chaos, fabriqué pour désorienter les peuples, vise à effacer tout ordre divin. Pourtant, les textes sacrés indiquent des solutions : un retour aux valeurs chrétiennes, un refus de la passivité et une reconstruction morale.
Résister face au chaos
La résistance commence par la prise de conscience et le rejet des narratifs imposés. Il faut préserver les symboles chrétiens, transmettre les valeurs traditionnelles et s’unir pour contrer les propagateurs de ces idéologies destructrices.
Pour explorer ces enjeux et comprendre les stratégies en cours, plongez dans votre revue mensuelle Géopolitique Profonde.
A la fin de la vidéo Ana Milhacea fait mention de deux solutions pour annihiler l'autoassemblage des nanostructures dans le sang.
« Si vous voulez empêcher les nanoparticules de s'autoassembler, vous devez utiliser un agent chélateur et un agent réducteur. Et que mentionnent ils dans leur brevet ? EDTA et acide ascorbique. C'est de là que je l'ai tiré et ça fonctionne. »
Alors que les Années de 1 à 6 sont des périodes de révélation de soi, ou d’accomplissement matérialiste et des cycles favorables aux relations, les Années 7, 8 et 9 sont principalement d’ordre spirituel.
Ces trois dernières années permettent de s’élever et d’évoluer au-delà de ce qui semblait possible dans les six années précédentes !
Cette année est la dernière du cycle de neuf ans et la troisième et dernière des trois années spirituelles.
Si vous avez laissé passer l’Année 7 (la plus subtile des trois) et l’année 8 (avec son gros potentiel de transformation), il ne vous reste plus que cette année, l’Année 9, pour relancer votre évolution spirituelle et atteindre un sommet.
L’Année 9 est la plus cosmopolite, la plus universelle, la plus vaste qui s’ouvre sur l’infini.
C’est une période très favorable à l’expression de la créativité (3 fois 3 !), mais à condition que celle-ci contienne une bonne part d’ouverture au monde spirituel, ou nous dirons à « plus grand que soi », et non au petit égo, « roi » de son placard miteux !
Lâchez un peu le profane et ouvrez-vous au sacré durant cette période. Elargissez votre horizon ! Ne restez pas les deux pieds dans le même sabot !
Passez en revue les principaux secteurs de votre vie, et voyez tout ce qui pourrait passer à la vitesse supérieure durant cette période.
Apportez du 9 dans ces secteurs de vie !
Faites preuve d’ouverture d’esprit !
Et, pour entamer cette nouvelle année dans l’état d’esprit du défi et de l’expansion de conscience que propose cette Année 9, nous vous confions une histoire à partager…
Une histoire… une prophétie
L’histoire commence dans les années ‘94/’95 au moment où Internet est devenu « grand public » … et elle se développe sur 35 ans environ.
[...]
Le lecteur remarquera que nous écrivons LE Covid-19 et non LA Cov-19 car nous n’ignorons pas, contrairement à certains, que le Covid-19 était UN virus ; tandis que si nous parlions d’une bactérie, nous pourrions dire alors LA bactérie !
Tout d’abord, une bonne nouvelle
Un rapport de plus de cinq cents pages en provenance des Etats-Unis tord le cou des fanatiques du Covid-machin ! Ce sont, principalement, des parlementaires républicains qui l’ont rédigé, après deux ans de recherches diverses.
Vous ne le trouverez certainement pas en France, surtout dans la presse classique qui ne s’intéresse jamais à la vérité !
Le Journal de Montréal (Québec), il y a quelques jours en a révélé quelques extraits :
Le virus aurait, très probablement, été le résultat d’un accident de laboratoire à Wuhan (Chine), dans le cadre de recherches sur le gain de fonction financées par l’État américain. Les gouvernements américains et chinois, le Dr Fauci, ainsi que des membres de la communauté scientifique, auraient alors tenté de dissimuler les faits ;
Les « 6 pieds » (un peu moins de deux mètres) de distanciation sociale, recommandé par les dirigeants mondiaux, ne reposaient sur aucune base scientifique ;
Encore plus interpellant, aucune preuve scientifique n’aurait permis de démontrer que les masques avaient été efficaces pour contrôler la propagation du virus ; en réalité, les virus, minuscules, passent à travers les mailles des masques ;
Le gouvernement n’aurait pas tout dit, et a même volontairement mésinformé les citoyens, en qualifiant, notamment, la théorie de l’accident de laboratoire de « théorie du complot » ; en réalité, ce sont les scientifiques et les gouvernants qui ont fait preuve de complotisme ;
L’efficacité du vaccin aurait été (largement) exagérée…
Et, bien d’autres vérités sont ainsi mises en lumière dans le rapport.
Celles et ceux qui étaient traités autrefois (parfois encore maintenant) de complotistes n’avaient pas tort. Cette enquête explosive vise à le prouver… et à se préparer pour la prochaine pandémie !
Autre sujet : les odeurs
Certaines personnes, de plus en plus nombreuses confient qu’elles peuvent sentir les odeurs émises par les vaxxés.
Deux chercheurs, Jeff Rense et Erica Khan pensent que la plupart de ces odeurs sont certainement des composés organiques volatils (ou COV), c’est-à-dire des gaz et des aldéhydes émis par la peau et tous les fluides corporels des injectés.
[...]
« Les personnes à qui l’on a injecté l’arme biologique (le sérum expérimental) commencent à souffrir des effets d’un dysfonctionnement immunitaire. En raison de la production interne et de la persistance de la protéine toxique spike, leur corps lutte pour surmonter les dommages constants infligés par ce poison métabolique dans presque toutes les parties du corps. À mesure que le sang et le système vasculaire dégénèrent, les organes et les tissus sont privés de l’oxygène et des nutriments nécessaires à leur fonctionnement, tandis que les déchets s’accumulent et empoisonnent les cellules. Avec le temps, d’autres organes et les tissus commencent à dégénérer et un processus de décomposition s’enclenche, ouvrant la voie aux infections opportunistes et au cancer. »
Les ZFE, c’est quoi ? Rien ne vaut un exemple pratique.
« Voilà l’hypocrisie incroyable de cette écologie punitive qui ne traite pas la vraie question ! […]
C’est une aberration pour trois raisons. La première : c’est une ségrégation sociale sans précédent, car à terme […] cela représente un véhicule sur deux ! Tous ceux qui n’ont pas les moyens d’acheter un véhicule neuf – et vous savez le prix d’un véhicule neuf électrique ? – […] ou une occasion récente, seront interdits de circulation, d’accès à quarante agglomérations françaises de plus de 100 000 habitants ! […]
Enfin, il y a une autre raison. C’est qu’obligatoirement, pour appliquer ces mesures, vous êtes obligés de mettre en place un système de surveillance électronique numérique généralisé à la chinoise dans nos agglomérations. Car oui, vous allez être obligés de mettre en place des portiques avec des caméras qui vont visualiser tous les déplacements de nos concitoyens ! Le harcèlement numérique va se poursuivre, les entreprises sont en train de préparer cela. »
Il fonctionne comme un service de blanchisserie nocturne : toutes les vannes d’eau sont ouvertes et les machines à laver tournent à plein régime pour éliminer la saleté des piles de vêtements et rejeter les eaux usées dans les égouts.
Le cerveau produit en permanence divers déchets et si ceux-ci ne sont pas éliminés à temps, nous le ressentons. Les signes peuvent aller d’une sensation de brouillard et de fatigue à des troubles cognitifs.
Heureusement, il est possible de faire des efforts pour optimiser l’élimination des déchets pendant la nuit.
Éliminer les déchets
Le cerveau humain est l’un des organes les plus actifs sur le plan métabolique, puisqu’il représente environ 20 % de la dépense énergétique totale du corps. Ce niveau élevé d’activité génère des déchets importants. Les petits sous-produits, tels que le dioxyde de carbone, l’urée et l’ammoniaque, se diffusent dans les capillaires et sont éliminés par la circulation sanguine. Les protéines neurotoxiques plus importantes, notamment la bêta-amyloïde et la protéine tau, toutes deux largement associées à un risque accru de maladie d’Alzheimer, ne peuvent pas être éliminées par la seule circulation sanguine en raison de leur taille.
Dans le passé, on pensait que le cerveau ne disposait pas d’un système lymphatique pour éliminer les déchets et qu’il dépendait uniquement de mécanismes internes pour se débarrasser des déchets.
Toutefois, en 2012, des chercheurs ont découvert un mécanisme spécialisé dans le cerveau, analogue au système lymphatique et capable d’évacuer les déchets les plus volumineux des profondeurs du cerveau. Ce système a été baptisé système glymphatique, portmanteau de « glial » (en référence aux cellules gliales) et de « lymphatique ». Il est également connu sous le nom de système pseudo-lymphatique.
Les artères du cerveau sont entourées d’une structure semblable à une gaine, le liquide céphalo-rachidien circulant dans l’espace entre l’artère et cette gaine. Pendant le sommeil, les vaisseaux sanguins du cerveau se contractent, augmentant l’espace entre les vaisseaux et la gaine, ce qui permet au liquide céphalo-rachidien de s’écouler davantage. Lorsque les artères battent, le liquide céphalo-rachidien est pompé à travers le tissu cérébral, éliminant les déchets – tels que les protéines bêta-amyloïdes et tau – des espaces profonds entre les cellules cérébrales, pour finalement les éliminer du cerveau.
Sommeil profond
« Les processus d’élimination des déchets dans le cerveau fonctionnent à peine pendant l’éveil. Il s’agit plutôt d’un processus qui se produit dans les phases de sommeil profond », a déclaré à Epoch Times Moira Junge, titulaire d’un doctorat en psychologie de la santé, PDG de la Sleep Health Foundation en Australie et professeure agrégée de clinique à l’université de Monash.
Le sommeil se divise en deux états : le sommeil à mouvements oculaires rapides (REM) et le sommeil à mouvements oculaires non rapides (NREM). Ce dernier représente 75 % du temps total de sommeil et se divise en trois stades, N1, N2 et N3, chacun reflétant des niveaux de sommeil de plus en plus profonds.
Pendant le stade N3, les ondes cérébrales sont les plus lentes.
« C’est un sommeil si profond que l’on n’est pas facilement dérangé par l’environnement extérieur ; par exemple, on n’entend pas le chien aboyer à l’extérieur ni son partenaire venir au lit », a déclaré Junge.
Pendant le sommeil, le corps passe par les différents stades de manière séquentielle, formant un cycle de sommeil complet d’une durée d’environ 90 minutes. Au cours de la nuit, une personne connaît généralement quatre ou cinq cycles de sommeil.
Le système glymphatique devient plus actif pendant le sommeil, en particulier pendant le sommeil profond, ce qui permet une élimination plus efficace des déchets, a déclaré le Dr Jingduan Yang, psychiatre et fondateur du Yang Institute of Integrative Medicine en Pennsylvanie.
Dans une étude sur la souris publiée dans Science, les chercheurs ont utilisé des traceurs pour surveiller les changements dans le flux du liquide céphalo-rachidien. Ils ont constaté que pendant le sommeil, l’espace interstitiel, ou intermédiaire, s’élargissait de plus de 60 % et que l’afflux de traceurs augmentait. Le taux d’élimination de la bêta-amyloïde par le cerveau a doublé pendant le sommeil (ou sous anesthésie) par rapport à l’état d’éveil.
Accumulation de bêta-amyloïde
Malheureusement, les Américains d’aujourd’hui dorment moins que jamais.
En 2023, 42 % des Américains estiment qu’ils dorment suffisamment, selon le sondage Gallup de décembre 2023. Une personne sur cinq dort moins de cinq heures par nuit, contre seulement 3 % en 1942.
La réduction de la durée du sommeil peut également être attribuée au fait que les gens se couchent de plus en plus tard. Une étude a montré qu’en retardant l’heure du coucher d’une heure seulement, on réduit la durée totale du sommeil de 14 à 33 minutes par nuit.
Outre le fait que nous nous couchons plus tard et dormons moins, nous ne dormons pas bien non plus. Selon l’American Psychiatric Association, plus de 50 millions de personnes aux États-Unis souffrent de troubles chroniques du sommeil tels que l’insomnie et l’apnée du sommeil.
Ces problèmes réduisent et perturbent directement le sommeil profond, raccourcissant la fenêtre critique pendant laquelle le système glymphatique fonctionne de manière optimale. Cela entraîne une plus grande accumulation de déchets dans le cerveau.
Les personnes ayant un sommeil moins adéquat et plus de problèmes de sommeil avaient une charge amyloïde plus importante dans les régions du cerveau sensibles à la maladie d’Alzheimer.
Une étude menée chez l’homme en 2021 a montré que même une seule nuit de privation de sommeil peut nuire à la capacité du cerveau à éliminer les déchets.
Un essai clinique antérieur a montré qu’en dépit de la variation interindividuelle relativement importante attendue dans les niveaux d’un type de bêta-amyloïde, l’accumulation moyenne de bêta-amyloïde à partir de trois échantillons matinaux de sommeil illimité était inférieure de 6 % à celle de trois échantillons du soir.
En comparaison, les participants restés éveillés pendant 24 heures présentaient des niveaux de bêta-amyloïde jusqu’à 75,8 picogrammes par millilitre plus élevés. Cela démontre que le sommeil sans restriction réduit les protéines bêta-amyloïdes, mais que la privation de sommeil contrecarre cet effet. En outre, plus la durée du sommeil est longue – à condition qu’elle ne soit pas excessive – plus la réduction des biomarqueurs bêta-amyloïdes est importante. (…)
Lorsque j’étais enfant, très peu de gens pensaient à ce genre de choses. En fait, ce n’est qu’à l’âge adulte que j’ai entendu les mots « prepper » ou « prepping » (en bref survivalisme, ndlr). Mais aujourd’hui, tout a changé.
Des millions d’Américains dépensent d’énormes sommes d’argent pour se préparer à des scénarios apocalyptiques qui, selon eux, risquent fort de se produire dans un avenir proche. Selon Investopedia, environ 20 millions d’Américains se considèrent aujourd’hui comme des preppers…
La préparation à l’apocalypse est devenue un véritable domaine d’investissement, les experts estimant la croissance annuelle moyenne du secteur de la survie à plus de 7 % jusqu’en 2030. Quelque 20 millions d’Américains se considèrent aujourd’hui comme des « preppers », soit à peu près la taille d’États entiers tels que New York.
Il s’agit d’une part importante de notre population.
Et ils dépensent beaucoup d’argent.
Une enquête récente a révélé que les dépenses en matériel de préparation ont atteint environ 11 milliards de dollars au cours d’une période récente de 12 mois…
L’enquête a révélé que, collectivement, les preppers ont dépensé environ 11 milliards de dollars au cours d’une période de 12 mois. Selon l’enquête, les preppers ont tendance à vivre dans l’ouest des États-Unis et dépensent le plus d’argent pour des produits de base tels que la nourriture, l’eau et le papier hygiénique.
Alors que notre société s’effondre autour de nous, plus d’Américains que jamais sont déterminés à atteindre au moins un certain niveau d’autosuffisance tant qu’ils le peuvent encore.
Des personnes de tous les horizons politiques et de tous les milieux se préparent fébrilement à un avenir très sombre.
Bien entendu, il n’y a pas de consensus général sur ce à quoi ressemblera cet avenir très sombre.
Dans cet article, je vais traiter spécifiquement de la manière de se préparer à la vie dans un monde post-apocalyptique. De nombreux preppers se préparent à des scénarios beaucoup moins extrêmes. Le type de scénario dont je parle dans cet article est une situation où toutes nos principales institutions ne fonctionnent plus et où la société telle que nous la connaissons s’est totalement effondrée.
Cela signifie que les éléments de la liste que je m’apprête à partager avec vous ne seront pas nécessaires dans l’immédiat. Mais si un événement apocalyptique ou une série d’événements apocalyptiques met soudainement fin à notre société, vous en aurez certainement besoin.
J’imagine une époque où les chaînes d’approvisionnement ne fonctionneront plus et où il n’y aura plus rien à acheter dans les magasins.
Et comme les chaînes d’approvisionnement ne fonctionneront pas, vous n’aurez pas accès à l’essence ou au propane.
Je n’ai donc inclus dans ma liste aucun article dépendant de l’essence ou du propane.
N’oubliez pas non plus que cette liste n’est pas exhaustive et qu’elle ne représente que le strict minimum dont vous aurez besoin.
Il existe d’innombrables autres éléments que vous pourriez ajouter à cette liste, mais pour cet article, j’ai voulu me concentrer sur les éléments de base.
Ceci étant dit, voici une liste de 24 choses dont vous aurez désespérément besoin dans un monde post-apocalyptique…
#1 Des aliments d’urgence pour nourrir votre famille
#2 Un système de filtration de l’eau pour nettoyer l’eau
#3 Une barre de fer pour allumer un feu
#4 Une trousse de premiers soins complète pour les urgences sanitaires
#5 Une réserve d’antibiotiques en cas d’urgence
#6 Un outil multiple comprenant des pinces, un couteau, une scie et un tournevis
#7 Un générateur à énergie solaire
#8 Une lampe de poche solaire
#9 Une radio d’urgence à ondes courtes pour rester informé
#10 Un équipement de pêche
#11 Des graines pour planter un jardin
#12 Un poêle à bois
#13 Une hache pour couper le bois
#14 Une pelle de qualité
#15 Paracord
#16 Duct tape
#17 Un ouvre-boîte à manivelle
#18 Une veste d’hiver très chaude pour chaque membre de votre famille
#19 Un sac à dos durable pour chaque membre de la famille
#20 Une boussole
#21 Une bonne paire de jumelles
#22 Des couvertures en laine
#23 Une Bible
#24 Un moyen de protéger tout ce que vous avez stocké des hordes de maraudeurs qui voudront désespérément vous le prendre.
Dans un scénario post-apocalyptique, combien de temps pensez-vous pouvoir tenir ?
Dans toute situation de survie, il y a quatre grands domaines qui doivent toujours être abordés : la nourriture, l’eau, l’énergie et l’abri.
Bien entendu, beaucoup ajouteraient la sécurité à cette liste.
Dans un monde devenu complètement fou, nombreux sont ceux qui sont prêts à faire tout ce qu’il faut pour rester en vie.
Si vous vivez dans une région à forte densité de population, il peut devenir presque impossible de survivre, quelle que soit la quantité de préparation que vous avez effectuée à l’avance. Lorsque les choses se gâteront, vous voudrez fuir vers une zone moins densément peuplée, si cela est possible.
De nombreuses personnes me demandent des conseils en matière de préparation, et j’ai donc essayé de couvrir certaines des bases les plus essentielles dans cet article.
Mais bien sûr, ce que j’ai partagé ici n’est que la partie émergée de l’iceberg. Se préparer correctement à ce qui va arriver demande énormément de temps, d’efforts et d’énergie, et l’heure tourne…