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Conférence du Dr Guy Londechamp

VodaflorL'eau et la conscience

Vodaflor - 29 jan 2024

Conférence du Dr Guy Londechamp - mise à disposition par le Dr Olivier Soulier - www.lessymboles.com

   

« SOIGNER L’HOMME, SAUVER LA TERRE ».

Comprendre « la mémoire et le génie de l’eau » et son rôle essentiel tant sur la conscience que la vie sociale.

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enfants prostitués à Davos

Profession GendarmeDavos WEF enfants prostitués par milliers

Profession Gendarme - 29 jan 2024

Les enfants prostitués sont « complètement réservés » à Davos, selon un initié du WEF

Des milliers d’enfants ont été transportés par avion au Forum économique mondial sous le couvert de l’obscurité pour le sommet annuel de l’élite mondiale dans le rapport alpin suisse de Davos, selon des initiés du Forum économique mondial qui révèlent l’ampleur horrible du vice choisi par l’élite ?

Des dizaines de jets privés ont été transformés en transporteurs d’enfants pour transporter les enfants à travers les frontières et dans la tanière des vipères, selon des sources proches du dossier. Aucun de ces enfants n’a de passeport et la majorité d’entre eux n’ont aucune pièce d’identité. Leur passé est inconnu et leur avenir ne vaut pas la peine d’être pensé.

Cela fait des années que nous mettons en garde le monde contre l’industrie du trafic sexuel d’enfants. Pendant ce temps, l’élite s’est cachée à la vue de tous et a poursuivi son plan visant à normaliser et finalement à légaliser la pédophilie. Ce mal ne peut pas continuer. Nous avons besoin de votre aide pour démanteler une secte pédophile vieille de 9 000 ans, adoratrice de Satan. Les rituels sataniques sont devenus traditionnels à l’ouverture des sommets de Davos et l’élite devient de plus en plus impudique lorsqu’il s’agit de s’y frotter le visage. Le thème de cette année est « Reconstruire la confiance » – et sera suivi par 3 000 invités, dont de nombreux membres parmi les plus notoires de la cabale.

Mais lorsqu’ils se rendent au sommet mondialiste exclusif, les participants ne se contentent pas de discuter des conflits mondiaux, de l’économie, de la technologie et de la façon dont ils peuvent asservir la race humaine et inaugurer le Nouvel Ordre Mondial. Ils se lient également et construisent des ponts les uns avec les autres lors de soirées et de fêtes de premier plan. En fait, selon un initié, ces parties sont la partie la plus importante de l’ensemble du sommet.

Nous savons déjà ce qui se passe au grand jour.

Il n’y a que de la cocaïne, du champagne, du caviar et de beaux morceaux de viande

– tandis que l’élite complote pour interdire au reste d’entre nous de consommer autre chose que des insectes, des insectes et de l’eau de toilette recyclée.

C’est bunga bunga, selon les médias grand public. Mais en réalité, la situation est beaucoup plus sombre. Beaucoup, beaucoup plus sombre. La demande de travail du sexe monte en flèche chaque année lors de la réunion des dirigeants mondiaux et des magnats des affaires qui viennent du monde entier pour se côtoyer. Ce que les médias ne vous disent pas, c’est que la majorité de ces travailleuses du sexe sont mineures. Et beaucoup d’entre eux sont extrêmement jeunes.

Il a déclaré que plus de 1 000 vols de jets privés sont arrivés et ont quitté les aéroports desservant Davos en janvier et qu’environ 12 d’entre eux étaient remplis d’enfants mineurs victimes de la traite.

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Mozinor - du plomb dans la citerne

MozinorDu Plomb dans la Citerne

Mozinor - 28 jan 2024

Mozinor

   

Série noire.

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Digital Service Act - EU

Le courrier des stratègesLa censure de Bruxelles repose sur un nouveau système d’espionnage

Le courrier des stratèges - 28 jan 2024

Les protestations persistantes en France ou en Allemagne constituent une menace pour les élites de l’UE.

   

Le mécontentement a atteint la classe moyenne et donc le pilier de l’économie nationale. L’artillerie à Bruxelles s’alourdit. Le Digital Service Act établit de nouvelles autorités et un système d’espionnage moderne pour lutter contre les informations indésirables. Le « discours de haine », quoi que l’on entende par-là, sera désormais un « crime de l’UE ». Cette division de la société coûtera aux États membres plusieurs millions d’euros pour sa mise en œuvre et surchargera complètement les autorités : rien qu’en Allemagne, l’Office fédéral de la police criminelle s’attend à 720.000 cas suspects par an, contre 6.000 jusqu’à présent. Tout cela n’intéresse pas les institutions européennes. Elles continuent à se mettre au service de la technostructure et de ses intérêts de lobbying. Car le contrôle prétexte de la technostructure ne peut fonctionner qu’avec les outils de la technostructure, n’est-ce pas?

C’est désormais un modèle bien connu de tous les observateurs critiques : des « situations d’urgence » et des « scénarios de menace » proclamés par le biais de réseaux d’élites sont utilisés par les décideurs politiques comme base et justification de mesures restrictives et d’atteintes à différents droits de la liberté.

Pour contrôler la souveraineté d’interprétation, il est important de présenter de telles situations de danger aux décideurs politiques (et à ceux qui veulent encore le devenir). C’est ce qui s’est passé, une fois de plus, lors du Forum économique mondial. Le « Global Risk Report 2024 » met en garde avec insistance contre le plus grand risque global – la mauvaise information.

La présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, a donc attrapé cette balle lors de son discours à Davos :

« Il y aura toujours des tentatives de désinformation et de mésinformation destinées à nous déstabiliser. Et jamais nous n’en avons connu autant qu’au sujet de l’Ukraine…La Russie n’atteint pas ses objectifs stratégiques. Elle échoue avant tout sur le plan militaire…La Russie a également échoué sur le plan économique. Les sanctions ont isolé son économie des technologies modernes et de l’innovation. Le pays dépend désormais de la Chine. Enfin, la Russie a échoué sur le plan diplomatique. La Finlande a rejoint l’OTAN. Elle sera bientôt suivie de la Suède. Et l’Ukraine est plus proche que jamais, sur son chemin vers l’Union européenne. »

Un contrôle sans faille

Laissons de côté la question légitime de savoir qui a réellement recours à la désinformation. Tournons-nous plutôt vers la question de savoir pourquoi le risque global de désinformation évoqué par le Forum économique mondial est si important pour l’UE.

Actuellement la Commission construit ses nouvelles super-autorités afin de garantir l’application de la loi sur les services numériques (DSA). En avril dernier, le Centre européen pour la transparence algorithmique (ECAT) a été créé à Séville pour aider la Commission et les autorités nationales à contrôler le respect de la DSA. L’ECAT effectuera notamment des tests techniques sur les systèmes algorithmiques afin de comprendre leur fonctionnement, ainsi que des évaluations des risques liés aux plateformes et aux moteurs de recherche. Un accord de coopération a été signé à cet effet avec le centre français « PEReN » (Pôle d’expertise du Régime du Numérique).

La Commission européenne vise les « informations indésirables » sur Internet et introduit à cette fin de nouveaux organes de contrôle étatiques et supranationaux dotés de pouvoirs essentiels. Afin de garantir la mise en œuvre complète (et en temps voulu) de la structure de gouvernance de la DSA, les États membres doivent désigner leurs coordinateurs de services numériques et autres autorités nationales chargées d’assurer la conformité avant le 17 février 2024. Il n’est donc pas étonnant qu’il faille une « situation de risque » pour que les États membres en retard agissent. En effet, selon les propres informations de la Commission, seuls deux États membres, l’Italie et la Hongrie, ont à ce jour désigné valablement leurs autorités nationales.

Collapsus de la justice

L’Allemagne travaille encore à la mise en œuvre nationale de la loi européenne sur les services numériques (DSA). Le Bundestag allemand a débattu de cette question pour la première fois le 18 janvier. Selon le projet de loi du gouvernement fédéral, l’Agence fédérale des réseaux (Bundesnetzagentur) sera responsable de la surveillance des fournisseurs et de l’application de la DSA.

Dans ce contexte, les détails dont on n’aime pas parler publiquement sont toujours intéressants, et ce sont les coûts de mise en œuvre : ainsi, en Allemagne, les coûts annuels ( !) pour l’Agence fédérale des réseaux sont estimés à au moins 17 millions d’euros (frais de personnel, informatique, frais matériels et autres). Pour l’administration fédérale, la charge d’exécution annuelle augmente d’environ 8 millions d’euros, auxquels s’ajoute une charge d’exécution unique d’environ 2,1 millions d’euros.

Mais ce n’est pas tout. Celui qui se penche sur les explications détaillées trouvera ce qu’il cherche. L’Office fédéral allemand de la police criminelle s’attend à une nette augmentation des coûts annuels d’environ 44 millions d’euros et des coûts uniques d’environ 21 millions d’euros. En effet, l’Office fédéral de la police criminelle doit recevoir les déclarations concernant les cas suspects de contenus punissables sur Internet et les transmettre aux autorités de poursuite pénale compétentes. En raison de la nette extension des services de médiation soumis aux obligations de diligence, l’Office fédéral de la police criminelle s’attend à une augmentation des cas de traitement annuels, qui passeront d’environ 6 000 actuellement à quelque 720 000 ( !).

C’est là que s’arrêtent les estimations de coûts – à tort, car pour être correct, il faudrait également calculer les coûts supplémentaires pour les autorités de poursuite pénale et la justice. Si seulement une partie des 720.000 cas suspects estimés est poursuivie, la justice allemande risque de s’effondrer définitivement. Elle est en effet chroniquement surchargée depuis des années et le nombre de procédures non traitées atteint un niveau record.

Division de la société

Cependant, les institutions européennes ne s’intéressent pas à la question de savoir si et comment les États membres peuvent supporter les coûts de la mise en œuvre de la DAS. Elles ne s’intéressent pas non plus à la capacité des services répressifs à traiter l’énorme quantité de nouveaux dossiers.

Au contraire, la semaine dernière seulement, le Parlement européen a fait une nouvelle avancée en la matière : le Conseil devrait prendre une décision d’ici la fin de la législature actuelle afin d’inclure le discours de haine et les crimes de haine parmi les infractions visées à l’article 83, paragraphe 1, du TFUE (appelés « crimes de l’UE »). Le droit à la liberté d’expression ne doit pas être utilisé comme un bouclier pour le modèle économique des plateformes de médias sociaux visant à diffuser et à amplifier les discours de haine, a-t-on déclaré dans l’entourage des députés.

La division de la société par les institutions européennes se poursuit. Déjà, les « signaleurs de confiance » prévus par l’article 22 de la DSA, c’est-à-dire des informateurs qui surveillent les communications sur les plateformes en ligne et qui interviennent dès qu’ils soupçonnent une infraction, se forment. Nous savons que certains d’entre eux font partie de l’ « International Fact Checking Network » (IFCN) , un réseau qui est lui-même affilié au Poynter Institute. Parmi ses bailleurs de fonds figurent – entre autres – le Democracy Fund, la Lumina Foundation for Education, le National Endowment for Democracy (NED), l’Omidyar Network Fund ou les Open Society Foundations (OSF).

On ne saurait trop avertir et souligner avec force : les élites de l’UE ont fait des institutions de Bruxelles des auxiliaires des intérêts de la technostructure. Car ce qu’elles veulent nous vendre comme un « contrôle » de la technostructure, elles ne peuvent le réaliser qu’avec les outils de la technostructure. Les États membres surchargent leurs capacités et leurs ressources en mettant en œuvre cette politique – c’est particulièrement vrai pour les autorités judiciaires. Mais lorsque le pouvoir de l’État s’érode et que la société se divise, de grands malheurs se préparent en Europe.

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médias - hécatombe

Réseau InternationalC’est une hécatombe pour les grands médias

Réseau International - 27 jan 2024

Faut-il s’étonner que l’industrie de l’information soit frappée par une vague massive de licenciements ?

   

Les enquêtes successives montrent que les Américains ont perdu confiance dans les grands médias et que des millions d’entre nous ont décidé de se tourner vers d’autres sources d’information. Depuis des années, les grands médias perdent des téléspectateurs et des lecteurs, et aujourd’hui, bon nombre des plus grands noms de l’industrie de l’information perdent des sommes colossales. Ce n’était qu’une question de temps avant que nous n’assistions à des licenciements à grande échelle, et c’est désormais chose faite.

Bien entendu, les médias grand public ne sont pas les seuls à licencier. Selon Challenger, Gray & Christmas, le nombre de licenciements aux États-Unis en 2023 était supérieur de 98% à ce qu’il était en 2022…

Le rythme des suppressions d’emplois par les employeurs américains s’est accéléré en 2023, le nombre de licenciements ayant bondi de 98% par rapport à l’année précédente.

C’est ce qui ressort d’un nouveau rapport publié par Challenger, Gray & Christmas, selon lequel les entreprises ont prévu 721 677 suppressions d’emplois l’année dernière, soit une augmentation considérable par rapport aux 363 832 licenciements signalés en 2022.

Le problème pourrait s’aggraver en 2024, car le marché de l’emploi continue de s’affaiblir face à des taux d’intérêt élevés et à une inflation tenace.

Mais il est vrai que l’industrie de l’information est particulièrement touchée. Par exemple, Time Magazine vient d’annoncer qu’il allait licencier des travailleurs «dans plusieurs départements, notamment la rédaction, la technologie, les ventes et les studios TIME»…

Time Magazine a licencié mardi un nombre incertain d’employés dans plusieurs départements, une décision que la PDG Jessica Sibley a qualifiée de «mesure nécessaire que nous devons prendre pour faire avancer notre entreprise et améliorer notre situation financière».

Dans un mémo interne au personnel, obtenu par Max Tani de Semafor, Sibley a annoncé les réductions.

«Nous avons pris la décision difficile de supprimer aujourd’hui des postes dans plusieurs départements, notamment la rédaction, la technologie, les ventes et les studios TIME», a écrit M. Sibley au personnel. «Nous sommes immensément reconnaissants de la contribution de ces membres talentueux de l’équipe au cours de leur mandat chez TIME».

Lorsque j’étais enfant, Time Magazine était très respecté et mes parents en avaient souvent un exemplaire sur la table basse.

Mais aujourd’hui, il est en train de mourir, tout comme le reste des grands médias.

Il suffit de regarder ce qui arrive au plus grand journal de Californie. Le Los Angeles Times a décidé de supprimer «un peu plus de 20% de sa rédaction»…

Le Los Angeles Times, confronté à ce que la direction a décrit cette semaine comme une «crise financière», a entamé mardi une série de licenciements douloureux dans la salle de rédaction, une réduction d’effectifs qui s’annonce comme l’une des plus sévères des 142 ans d’histoire du journal.

Les suppressions de postes toucheront au moins 115 journalistes, a indiqué à CNN une personne au fait du dossier, soit un peu plus de 20% de la rédaction. Quelque 94 de ces suppressions concerneront des employés syndiqués, a déclaré le chef du syndicat Matt Pearce, ce qui signifie qu’un quart du syndicat sera licencié.

Devons-nous être tristes que le Los Angeles Times implose ?

Je ne le pense pas.

Ailleurs, Paramount prévoit de licencier des centaines de travailleurs…

Dans un contexte de spéculation sur son avenir, Paramount Global procède à une nouvelle vague de réduction de personnel en février, selon des sources qui se sont confiées à Deadline. J’ai entendu dire que ces réductions concerneraient des centaines d’employés dans l’ensemble de la société.

Depuis plusieurs jours, des rumeurs circulent sur l’imminence d’un licenciement d’environ 800 personnes au sein de Paramount. Cela fait suite à un rapport du WSJ [Wall Street Journal] en décembre selon lequel la société envisageait la suppression potentielle de plus de 1000 emplois au début de l’année 2024 afin de réduire les coûts.

Paramount est la société mère de CBS, et il est donc probable que la division de l’information de CBS soit sur le point de devenir encore plus petite.

Bien sûr, la division de l’information de NBC se réduit elle aussi…

NBC News a licencié plusieurs dizaines d’employés, la dernière des dizaines d’entreprises à commencer la nouvelle année avec de mauvaises nouvelles pour ses employés, a confirmé USA TODAY vendredi.

Une source au fait de ces projets [de licenciement] a déclaré que les employés ont reçu un préavis de 60 jours et qu’ils recevront des indemnités de départ et des services de reclassement.

Le journalisme sportif a lui aussi connu des temps difficiles.

À l’heure actuelle, il semble que l’avenir de Sports Illustrated soit très incertain et que de nombreux employés du magazine soient à la recherche d’un nouvel emploi…

L’avenir du célèbre magazine Sports Illustrated s’est assombri vendredi après que l’éditeur a annoncé des licenciements massifs.

Le groupe Arena – qui avait été ébranlé par des informations selon lesquelles le célèbre magazine publiait du contenu généré par l’intelligence artificielle – a admis qu’il n’avait pas effectué le paiement trimestriel de 3,75 millions de dollars au groupe Authentic Brands, qui devait être effectué cette semaine.

En conséquence, la société Arena, cotée en bourse, a annoncé jeudi qu’elle allait procéder à une «réduction significative» de ses effectifs, qui comptent plus de 100 journalistes.

Toutes les histoires que je viens de vous raconter se sont produites au cours des sept derniers jours.

C’est fou comme les choses évoluent rapidement aujourd’hui.

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Trump 911

VoltairenetDonald Trump rouvre le dossier des attentats du 11 septembre 2001

Voltairenet - 27 jan 2024

Lors d’un meeting électoral à Laconia (New Hampshire), le candidat à la présidentielle états-unienne, Donald Trump, a rappelé qu’il n’y avait jamais eu d’attaque étrangère le 11 septembre 2001, ainsi qu’il l’avait dit le jour même sur la chaine de télévision New York One.

   

Il a rappelé que cette mise en scène sanglante avait causé non seulement 3 000 victimes aux États-Unis, mais surtout servi de prétexte pour le massacre de millions d’innocents au Moyen-Orient élargi.

Thierry Meyssan a été le premier au monde a expliquer, sur Voltairenet.org, que la narration officielle des événements du 11-Septembre n’avait aucun rapport avec la réalité. Puis il a publié un best-seller mondial, L’Effroyable imposture, pour analyser les conséquences de ce mensonge : d’abord l’installation d’un système de surveillance de masse aux Etats-Unis et dans tout l’Occident (confirmé par Edward Snowden), puis l’extension de l’impérialisme au Moyen-Orient élargi (confirmé par Julian Assange). En 2005, Thierry Meyssan a organisé un colloque à Bruxelles avec 150 personnalités du monde entier pour élaborer une réponse aux straussiens et autres néo-conservateurs. Un des avocats de Donald Trump (qui n’était pas encore entré en politique) y participait.

Depuis, deux interventions officielles ont contredit la version bushienne des événements :
Le FBI a établi que le témoignage de l’avocat général des États-Unis, Theodore Olson, selon lequel il avait discuté avec son épouse à bord du vol AA 77 avant qu’il ne s’écrase sur le Pentagone, était un faux.
Un officier du Bureau des commissions militaires, Daniel Canestraro, a déposé que deux des prétendus pirates de l’air étaient des agents de la CIA.

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convergence des luttes ?

agriInsolentiaeCa va péter. Vers une convergence des luttes ?

Insolentiae - 26 jan 2024

A court terme, la croissance économique de la France pourrait bien connaître un petit coup de froid en raison de la fronde des agriculteurs.

   

Vous le ressentez sans doute tous.

Le problème, ou plus précisément le risque majeur, ce n’est pas juste la fronde ou la jacquerie agricole en cours aussi légitime soit-elle.

C’est la convergence des luttes et surtout des mécontentements.

La révolte des Gilets Jaunes n’a jamais trouvé de solution politique. Elle a été écrasé par la répression d’un Etat qui a instrumentalisé la police devenant milice dès qu’il y a confusion entre maintien de l’ordre et maintien au pouvoir. La police est au service de la population. Pas d’un gouvernement bien mal choisi par un président fort mal élu à la popularité douteuse depuis le départ.

Un climat révolutionnaire

Le gouvernement sait donc très bien qu’il marche sur des œufs.

De l’inflation quotidienne à la hausse injustifiée de l’électricité devenue un produit de première nécessité pour toutes les familles de ce pays, des difficultés d’emplois aux problèmes quotidiens, de l’effondrement du système de santé à notre école, et je n’ose même pas évoquer les problèmes de violences quotidiennes dans notre pays, la cote d’alerte a été dépassée il y a bien longtemps.

Notre pays est un volcan qui peut rentrer en éruption à la moindres étincelles.

Routiers comme chauffeurs de taxis sont déjà par endroits rentrés dans le mouvement.

Partout les blocages se multiplient.

Enfin, et c’est également très important à saisir pour anticiper la manière dont ce mouvement pourrait évoluer, il y a dans notre pays une immense démission.

Cette démission massive des gens est silencieuse.

J’ai évoqué rapidement ce que j’ai vu pendant l’épisode neigeux que nous venons de vivre.

5 centimètres de neige qui ne bloquaient pas les voitures sans chaînes des managers et autres entrepreneurs ou dirigeants, mais qui empêchaient toutes les voitures des salariés plus très engagés (et c’est un euphémisme) de rouler pendant deux jours.

J’ai vu des écoles désertées aussi bien par les profs que par les élèves.

J’ai vu des lycées et des collèges vides, y compris de ceux qui pouvaient venir à pieds.

J’ai vu la France rester au chaud et ne plus faire le moindre effort.

Lorsque je vous parle de cela je ne suis pas dans une forme de jugement.

Je constate et je pose un mot. La grande démission.

Je pose un autre mot.

L’effondrement de la croyance imaginaire dans la république.

C’est la fin de la fiction imaginaire.

Ce que nous vivons c’est la Russie de Gorbatchev. L’illusion de la force, alors que le colosse va s’effondrer.

Notre pays va s’effondrer car plus personne n’y croit.

Si le grogne est réprimée, alors la colère rentrée s’exprimera par encore plus de démission silencieuse et plus rien ne fonctionnera plus.

Macron est un imbécile et sa clique aussi.

On ne dirige pas un pays à coups de triques et de flash-ball.

On ne dirige pas un pays à coups de communication et de manipulations médiatiques.

On ne dirige pas un pays contre son peuple avec des auto-attestations et des passes sanitaires et autre QR codes .

Macron est un imbécile politique, car ce qu’il a fait peut donner l’illusion du maintien au pouvoir.

Mais Macron ne dirige plus rien en réalité.

Vous savez pourquoi ?

Parce que dans la vraie vie, sur le terrain, partout, ce pays est en grève.

En grève silencieuse.

En grève du zèle.

Mais en grève quand même.

Dans tous les cas Macron et sa clique ont déjà perdu, mais plus grave encore, la France a perdu, car la France a cessé de travailler, de rêver, d’avoir envie de construire un monde meilleur.

Si la France est en grève, la raison est simple à comprendre.

On ne gouverne pas contre la population mais avec elle.

Personne ne veut de la politique imposée par Macron, son europe, et ses copains de Davos.

Personne ne veut voir ses fils mourir pour Zelenski.

Je suis un homme simple.

Remplir les gamelles et assurer la paix.

Pour cela il nous faut notre souveraineté et un gouvernement qui protège notre population.

Notre population des villes, des banlieues et des campagnes.

Macron est un homme de Davos, en aucun cas un président des Français qu’il n’a jamais aimés, n’aimera jamais.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT

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microplastiques

BastamagLa grande vague de micro et nano-plastiques est en train d’arriver

Bastamag - 26 jan 2024

La pollution plastique est partout, dans l’eau, les aliments, nos maisons, et nos organismes. « Aucun être vivant n’a les outils biologiques pour digérer ce plastique », alerte la chercheuse Nathalie Gontard. Des alternatives existent.

   

Sophie Chapelle : Quand on pense à la pollution plastique, on visualise les mers de plastique qualifiées de « septième continent ». Pourquoi le danger est-il davantage dans le plastique que l’on ne voit pas ?

Nathalie Gontard : Le danger est très souvent assimilé aux déchets plastiques assez gros pour qu’on les voit. Leurs conséquences ne sont pas négligeables – en quantité, ils assèchent les sols et étouffent des espèces qui les ingèrent. Mais le plastique devient vraiment dangereux lorsqu’il n’est plus visible, c’est à dire lorsqu’il est fragmenté en micro et en nano-plastiques. Il multiplie alors d’autant ses propriétés d’interactions et de nuisances. Il a la capacité de transformer, d’absorber des molécules essentiellement hydrophobes, c’est à dire tous les polluants (pesticides, etc) présents dans l’environnement.

Les micro et nano-plastiques peuvent transporter ces molécules – par voie d’eau, d’air et de terre – et s’introduire dans tous les organes des êtres vivants, en passant les barrières biologiques. On en retrouve assimilés dans le pancréas des crevettes, notre sang, nos poumons, notre foie... partout !

Or, aucun être vivant n’a les outils biologiques pour digérer ce plastique, le dégrader complètement. Le résultat est une accumulation de corps étrangers qui entraine des dysfonctionnements d’ordre biologique, métabolique, etc.

Cette vague de micro et nano-plastique est-elle devant nous ?

Nous avons accumulé neuf milliards de tonnes de plastiques sur Terre depuis les années 1950 dont certaines se sont déjà dégradées en micro et nano-plastiques mais qui, pour la grande majorité, sont en cours de dégradation, notamment dans nos décharges, mais pas seulement.

Car il n’y a pas que les plastiques à usage unique qui posent problème mais aussi ceux avec un usage long, dans les constructions ou les vêtements par exemple. À partir du moment où ils sont produits, les plastiques commencent à s’user, se dégrader et à produire des micro et nano-plastiques délétères. Les micro-plastiques dans le lac Léman [50 tonnes s’y accumulent chaque année, ndlr] viennent des vêtements en fibre synthétique toujours en cours d’utilisation et émis lors des lavages.

Les micro plastiques au fin fond des glaces de l’Arctique viennent de l’usure de bâtiments, isolés avec des plastiques et toujours en cours d’usage. Les microplastiques dans l’air viennent majoritairement de l’usure des pneus et des routes que nous sommes en train d’utiliser. La pollution plastique, c’est d’abord celle que l’on ne voit pas et émise au cours de l’utilisation.

La grande vague de micro et nano-plastiques est en train d’arriver. On parle de « bombe à retardement ». Quand on produit 1 kg de plastique aujourd’hui, ce sont les générations à venir qui vont devoir affronter tous les micro et nano-plastiques qui en résulteront.

Dans quelle mesure le plastique a t-il envahi le secteur de l’agriculture et de l’alimentation ?

Sur la totalité des plastiques qu’on utilise, 40 % relèvent de la fabrication, du transport et du conditionnement de nos aliments, donc de l’agriculture et de l’agroalimentaire. Dans ce secteur, les usages du plastique sont parfois très courts, avec une espèce d’emballement sur son utilisation. On en est arrivés à consommer des aliments emballés sous plastiques alors qu’on n’en a absolument pas besoin ! L’un des objectifs de la loi anti-gaspillage pour une économie circulaire (en vigueur depuis 2022) est précisément d’éliminer tous ces emballages inutiles, notamment les emballages plastiques des fruits et légumes frais. Mais les lobbies industriels cherchent à retarder la mise en place de ces mesures.

Quel regard portez-vous sur les films de paillage plastique dits biodégradables développés depuis les années 2000, notamment en cultures légumières et dans le maïs ?

Dans l’agriculture comme dans tous les autres domaines, de nouvelles technologies sont développées à grand renfort de plastique. On utilise par exemple des plastiques à déposer sur les sols pour limiter l’utilisation de pesticides ou l’arrosage, on cultive sous serre pour augmenter la productivité ... Elles sont présentées comme des technologies de transition écologique. C’est vrai dans la mesure où elles permettent de réduire notre empreinte carbone.

Par contre, elles augmentent notre empreinte plastique – c’est à dire sa capacité à perdurer pendant des milliers d’années sous forme de micro et de nano-plastique. L’empreinte plastique n’est pas comptabilisée dans les analyses de cycle de vie. C’est ainsi que certaines stratégies reposent entièrement sur le recyclage, alors que le recyclage du plastique n’existe pas !

Le plastique peut-il être biodégradable ?

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syndicat jaune

Ariane Bilheran OfficielL'opposition contrôlée ou "le syndicat jaune"

Ariane Bilheran Officiel - 25 jan 2024

La mise en place de la dystopie covidienne a entraîné de profondes ruptures au sein de nos sociétés.

   

Des groupes se sont formés pour résister au règne de l’absurde et à la dictature sanitaire, de nouveaux médias ont émergé, et aussi, bien entendu, des leaders d’opinion et des figures charismatiques. Croira-t-on que le pouvoir qui a mis en place un système aussi inique et abusif soit resté les bras croisés face à cette contestation? Les récents remous qui agitent la sphère de l’opposition témoignent au contraire d’un travail de sape et de subversion efficace, qui doit être étudié en soi comme l’une des composantes de la dérive totalitaire en cours. Voici donc un aperçu des stratégies et des procédés.

Lorsqu’un pouvoir enclenche une guerre contre sa population, pour faire passer en force des mesures impopulaires et/ou divers projets tyranniques, il sait qu’une frange politisée (au sens de l’engagement politique au sens noble), certes minime mais solide, risque de réagir. Il anticipe et canalise donc cette colère en fabriquant « sa » résistance, produit de la même ingénierie et de la même ardeur avec lesquelles il s’emploie à manipuler la population. Notons que les mêmes méthodes sont appliquées dans les entreprises, lors de la création du « syndicat jaune » dont la fonction sera d’être au service, non pas des travailleurs, mais des patrons.

Ainsi, comment un pouvoir anticipe-t-il une résistance et la contrôle de l’intérieur jusqu’à la neutraliser puis la dissoudre ? Il est d’usage de parler d’opposition contrôlée (que j’appellerai ici « syndicat jaune ») mais encore faut-il revenir sur les techniques employées.

Cette opposition de façade est créée « dès le départ ». Ce point est essentiel. Elle a plusieurs fonctions. Tout d’abord, orienter et concentrer le plus possible les mécontentements à un seul endroit, tenu par ce même pouvoir derrière le ou les chefs du syndicat jaune. Cette agglomération permettra ensuite de diriger ces colères vers des revendications qui ne sont pas dangereuses pour le pouvoir et d’engager sur des actions non périlleuses, qui détournent l’attention de celles qui le sont. Par exemple, le syndicat jaune se battra pour l’heure de pause ou le menu du repas à la cantine, plutôt que contre le plan de licenciement. Les sujets qui fâchent sont occultés et l’attention est détournée. Enfin, il s’agit de cartographier les opposants, ceci afin d’obtenir l’intégralité des noms, et identifier les plus problématiques parmi eux, tant en force et dangerosité qu’en puissance de caractère et intégrité, dans l’intention de les neutraliser à terme.

Profilage

Qui sont les acteurs de cette «résistance autorisée» au service du pouvoir? Il y a en première ligne les acteurs conscients, les espions et les chefs du syndicat jaune. Ces derniers sont des agents recrutés, choisis, préalablement formés, scrupuleusement entraînés, redoutablement conseillés, et évidemment, grassement rémunérés. Commençons par les chefs visibles, qui sont diablement intelligents, cultivés, et ont donc tous les talents pour remplir cette mission.

Leur profil doit paraître irréprochable: aptitude à se dévouer à la cause de la résistance, image destinée à attirer une forte sympathie, voire une idolâtrie qui permettra de créer une nouvelle secte, dans le but d’évincer, avec l’aide des fanatiques envoûtés, les autres leaders intègres une fois que le mot d’ordre en sera donné, ou encore de créer une illusion telle que, lorsque les faits et gestes des leaders du syndicat jaune commenceront à être révélés, personne ne puisse y croire.

Les deux stratégies

Une stratégie de communication sera mise en place pour que la population identifie aisément quels sont les chefs qu’il convient de suivre. Par exemple, ils peuvent être propulsés dans certains médias du pouvoir comme était des leaders de la résistance, avec deux techniques. La première sera le passage très médiatisé dans un organe de communication du pouvoir, néanmoins présenté à la masse comme un média d’opposition, ce qui ne résistera pas à l’analyse des soutiens financiers: qui paie l’orchestre paie la musique.

La deuxième consiste à médiatiser les chefs infiltrés comme des leaders infréquentables, par exemple, avec des articles à charge, une visibilité à la télévision, etc. et même, à faire croire à des représailles sur eux (censure, convocations, etc.). Le film avec ses acteurs, son scénario et ses péripéties doit être, surtout, parfaitement crédible. L’essentiel est que l’ensemble soit amplement médiatisé et que les agents puissent être facilement et rapidement identifiés comme les nouveaux chefs de la résistance. En couvrant ces deux aspects, on est assez certain d’attirer la majorité des mécontents: ceux qui croient ce que les médias officiels leur disent, et ceux qui ne les croient plus mais croient encore aux médias officiels ou aux médias désormais intronisés dans cette résistance manipulée. Ce constat du mode de propulsion des chefs du syndicat jaune est aussi valable pour les médias et groupes (associations, etc.) qui vont remplir le rôle de pseudo-opposants au pouvoir, et être investis de cette mission.

Pendant ce temps, et dans la réalité, les véritables opposants (chefs, porte-parole, groupes et médias) sont l’objet d’une savante stratégie d’invisibilisation et de censure, que ce soit dans les médias officiels du pouvoir ou dans les médias apparents de l’opposition au pouvoir. À une nuance près: si l’on a besoin de se servir de leur image pour une caution d’intégrité ou de crédibilité, ils peuvent être instrumentalisés un certain temps. On les effacera de l’échiquier plus tard, lorsque cet «argument d’autorité» n’aura plus d’intérêt.

Chantage

En dehors de ces agents dûment employés par le pouvoir pour créer une toile d’araignée autour de la résistance afin de dévorer sans peine les individus et les groupes qui dérangent (à la condition de les avoir au préalable isolés et piégés), il existe d’autres profils au service de la «résistance autorisée». Ce sont des profils sur lesquels le pouvoir a des dossiers pour les mettre à son service et les faire chanter: s’ils ne se soumettent pas, leur sort sera bien pire. Telle était notamment l’utilité des carnets noirs d’Epstein. Telle est la fonction de toutes les compromissions auxquelles on accule les gens en politique politicienne. Par exemple, dans la lutte contre les réseaux pédophiles, beaucoup de pédophiles sont en réalité au service du pouvoir et feignent de lutter contre ce fléau. Ils récoltent ainsi de l’argent (qui ne sera donc pas distribué aux véritables groupes résistants/militants, tactique de la diversion des flux), mais pire, ils attirent à eux beaucoup de victimes, lesquelles atterrissent alors dans le piège, et finissent capturées dans ces réseaux. C’est ainsi que certaines associations ayant pignon sur rue (médiatisées) font payer jusqu’à 150 000 euros de frais d’avocat dans des cas où un parent signale des transgressions sexuelles sur son enfant. Le résultat est connu d’avance: le parent est plumé, l’enfant finit entre les mains de son agresseur, ou pire, dans certains secteurs de la «protection de l’enfance», elle-même aujourd’hui infiltrée par les réseaux pédophiles. Des dossiers similaires, j’en ai vu une centaine durant la dernière décennie.

Harcèlement

Il existe enfin des petites mains de l’ombre, destinées à harceler les véritables profils résistants, et à les affaiblir, notamment dans la guerre de l’information: les équipes de trolls qui s’agglutinent sur un sujet pour le polluer, avec une formation spécifique, un entraînement et des consignes ciblées.

Infiltration

Pour neutraliser les profils qui dérangent le pouvoir, il convient d’identifier leurs soutiens, et de mettre tout en œuvre pour les affaiblir. La première technique consiste à envoyer un espion proposer de l’aide, pour tenter d’approcher le plus possible le vrai chef, obtenir un maximum d’informations sur lui et la cartographie de ses alliés. Il en est de même pour les groupes qu’il s’agira d’infiltrer. Autre méthode: un premier agent attaque l’individu, tandis qu’un autre agent, officiellement «ennemi» du premier, se rapproche de la cible pour lui venir en soutien et gagner sa confiance…

Cette infiltration est le fait d’espions chargés d’observer, de prendre des postes stratégiques, d’écarter des ralliements à la résistance qui sont des soutiens intègres de taille. Ils sont aussi utilisés pour manipuler les failles, récupérer des informations privées sur les gens: réseau d’amis, capacités financières, lieu du domicile, conditions de vie, etc., de façon à les faire ensuite plier par des techniques que j’ai déjà amplement développées dans mes travaux sur le harcèlement, il y a des années.

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Dernière modification par Nathan - 55 ans il y a
Next Dose 3

Observateur ContinentalNext Dose 3 : Faut-il encore des preuves ?

OHM Vidéo - 25 jan 2024

3ème film documentaire de Next dose.

   

Guillaume Bousquieres et Sébastien Iozzia vous montrent le contenu des injections Covid et leurs effets dans le sang.

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Dernière modification par Nathan - 55 ans il y a
paiement en liquide

InsolentiaeLimitation des espèces à 10 000 € dans toute l’Union Européenne

Insolentiae - 24 jan 2024

Guerre contre le cash.

   

La grosse commission de Bruxelles, l’U.E a décidé de la limitation des paiements en espèces à 10.000 euros, et c’est pour bientôt !

Pour nous, en France cela ne changera rien car la législation française était déjà plus que sévère dans sa lutte contre le cash puisque l’on ne peut pas payer depuis longtemps plus de 1 000 euros en espèces chez un commerçant. Il faut bien lutter contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme n’est-ce pas.

Mais ce n’était pas encore le cas chez certains voisins européens nettement plus ouverts aux espèces en particulier l’Allemagne et l’Autriche où les espèces sont culturellement très utilisées.

Utiliser des espèces et pas les paiements sans contact est devenu un acte de résistance et subversif, simple, pacifique, mais tout de même subversif.

Le modeste économiste de grenier normand que je suis reste très favorable aux espèces (avec évidemment certaines limites) car, un billet circule bien plus vite que la même somme provenant de compte en compte. Les espèces ne se stockent pas vraiment, elles s’utilisent. La vitesse de circulation de 20 euros en billet est bien plus rapide que la même somme digitalisée.

Si vous comprenez ce message, vous êtes la résistance à la société du contrôle absolu dont rêvent les psychopathes de Davos.

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Dernière modification par Nathan - 55 ans il y a
les vérités cachées de Jabotinsky et Netanyahu

VoltairenetLe voile se déchire : les vérités cachées de Jabotinsky et Netanyahu

Voltairenet - 24 jan 2024

Le groupe qui a assassiné 25 000 Palestiniens à Gaza n’est pas représentatif des juifs en général.

   

C’est un héritier d’une idéologie qui n’a pas cessé de commettre de tels crimes depuis un siècle. Thierry Meyssan retrace l’histoire des « sionistes révisionnistes » de Vladimyr Ze’ev Jabotinky à Benjamin Netanyahu.

Josep Borrell, haut représentant de l’Union européenne pour les Affaires étrangères et la Politique de sécurité, recevant un doctorat honoris causa à Valadolid, a déclaré : « Nous pensons qu’une solution à deux États [israélien et palestinien] doit être imposée de l’extérieur pour ramener la paix. Même si, et j’insiste, Israël réaffirme son refus [de cette solution] et, pour l’empêcher, est allé jusqu’à créer lui-même le Hamas (…) Le Hamas a été financé par le gouvernement israélien pour tenter d’affaiblir l’Autorité palestinienne du Fatah. Mais si nous n’intervenons pas fermement, la spirale de la haine et de la violence se poursuivra de génération en génération, de funérailles en funérailles ».

Ce faisant, Josep Borrell rompait avec le discours officiel occidental selon lequel, le Hamas est l’ennemi d’Israël, qu’il aurait attaqué par surprise le 7 octobre ; justifiant la riposte israélienne actuelle et le massacre de, déjà, 25 000 civils palestiniens. Il affirmait que des ennemis des juifs peuvent être soutenus par d’autres juifs, Benjamin Netanyahu en particulier. Il refusait la lecture communautaire de l’Histoire et examinait les responsabilités personnelles.

Ce changement narratif a été rendu possible par la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne, il y a quatre ans. Josep Borrell sait que l’Union européenne a financé le Hamas depuis son coup d’État de 2006, pourtant aujourd’hui il est libre de dire ce qu’il a sur le cœur. Il n’a pas évoqué les liens du Hamas avec la Confrérie des Frères musulmans, dont l’organisation revendique d’être la « branche palestinienne », ni de celle-ci avec le MI6, le services secrets britanniques. Il a simplement suggéré de se retirer de ce guêpier.

Progressivement, le voile se déchire. Un rappel historique est ici nécessaire. Les faits sont connus, mais jamais reliés entre eux, ni énumérés à la suite. Ils ont un effet cumulatif éclairant. Ils se situent principalement tout au long de la Guerre froide, lorsque l’Occident fermait les yeux sur les crimes dont il avait besoin, mais ils débutent en réalité vingt ans plus tôt.

En 1915, le ministre de l’Intérieur juif britannique, Herbert Samuel, rédigea un mémorandum sur le Futur de la Palestine. Il souhaitait créer un État juif, mais de petite taille afin qu’il « ne puisse pas être assez grand pour se défendre ». Ainsi la diaspora juive servirait sur le long terme les intérêts de l’empire britannique.

Il tenta de convaincre le Premier ministre, le libéral de l’époque H. H. Asquith, en vain, de créer à l’issue de la Guerre mondiale un État juif en Palestine. Cependant après la rencontre d’Herbert Samuel avec Mark Sykes, juste après la conclusion des Accords Sykes-Picot-Sazonov sur la répartition coloniale du Moyen-Orient, les deux hommes poursuivirent le projet et bénéficièrent du soutien des « protestants non-conformistes » (on dirait aujourd’hui des « chrétiens sionistes »), dont le nouveau Premier ministre, David Lloyd George. Ce dernier et son cabinet donnèrent instruction pour la fameuse Déclaration Balfour afin de préciser un des points des Accords Sykes-Picot Sazonov en annonçant un « foyer national juif ».

Simultanément, les protestants non-conformistes, par l’entremise du juge à la Cour suprême des États-Unis, Louis Brandeis, convainquirent le président Woodrow Wilson de soutenir leur projet.

Toujours durant la Première Guerre mondiale, lors de la révolution russe, Herbert Samuel proposa d’intégrer des juifs de l’ex-empire russe qui fuyaient le nouveau régime dans une unité spéciale, la Légion juive. Cette proposition fut reprise par un juif ukrainien, Vladimir Ze’ev Jabotinsky, qui imagina qu’un État juif en Palestine pourrait être sa récompense dans l’après-guerre. Herbert Samuel lui confia de recruter des soldats parmi les émigrés russes. Parmi eux, il trouva notamment le Polonais David ben Gourion (alors marxiste) auquel se joignit le Britannique Edwin Samuel, le propre fils d’Herbert Samuel. Ils s’illustrèrent notamment lors de la bataille perdue contre les Ottomans à Gallipoli.

À la fin de la guerre, le fasciste Jabotinsky réclama un État comme son dû, mais les Britanniques n’avaient nullement envie de se séparer de leur colonie palestinienne. Ils s’en tinrent donc à leur engagement de « foyer national », sans plus. En 1920, une partie des Palestiniens, conduite par Izz al-Din al-Qassam (la figure tutélaire de la branche armée de l’actuel Hamas, les brigades al-Qassam) se souleva et massacra sauvagement des immigrés juifs, tandis qu’une milice juive leur répondit. C’est le début du conflit israélo-palestinien. Londres rétablit l’ordre en arrêtant des fanatiques, aussi bien des jihadistes que des juifs. Jabotinsky, chez qui un arsenal fut découvert, fut condamné à 15 ans de prison.

Cependant, le gouvernement « protestant non-conformiste » de David Lloyd George nomma Herbert Samuel gouverneur de Palestine. Dès son arrivée à Jérusalem, il gracia et fit libérer son ami Jabotinsky. Puis, il nomma l’antisémite et futur collaborateur du Reich, Mohammad Amin al-Husayni, grand mufti de Jérusalem.

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