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livret A pour financer la guerre

InsolentiaeL’Etat va prendre dans vos livrets A pour financer la guerre.

Insolentiae - 14 mar 2024

Charles Sannat : Enorme erreur !

   

C’est la guerre, l’empereur Palpoutine menace la France et grâce à la législation sur les réquisitions (piège à cons) on voit bien poindre la légère tentation de saisir l’épargne, pardon de drainer comme dirait Bruno Le Maire ces sommes considérables que les Européens ont sur leurs comptes bancaires. Cette épargne colossale qu’il lorgne pour financer nos déficits considérables.

Mais rassurez-vous, nous sommes en démocratie et en démocratie nous avons les valeurs de la République qui nous protègent.

On prend donc votre Livret A pour financer la guerre en Ukraine sans vous demander si cela convient à votre « morale », et à votre responsabilité sociale.

C’est vrai quoi…

Financer Total et les stations services c’est mââââl.

Mais que le Livret A finance la guerre et les marchands de canons… c’est bien !

Tout cela va foirer, en plus c’est une très mauvaise idée en termes de risques.

Y a quelqu’un pour prévenir Bruno ? Faites-lui passer cette note il doit pas être au courant à Bercy !

Allez je m’explique.

Faut financer la guerre, très bien tintin. Mais si Bruno file des sous aux usines d’obus comme ce qu’il a fait aux usines de masques durant la dernière guerre contre un vi-russe, alors que là c’est contre les Russes tout court, les usines ont fait des masques puis elles ont fait faillite aussitôt.

Il va se passer la même chose avec la guerre. La guerre c’est un truc pour abrutis crétins. Donc on produit des armes, on se met sur la figure, puis on fait la paix. Toujours. Quand on se met dessus on produit beaucoup. Une fois qu’on fait la paix on produit plus rien ou si peu. Les marchands de canon feront faillite.

Le problème c’est que l’artiste de Bercy, le Bruno, il garantit le livret A …. ou le livret hahahahahahahahahahha.

Donc il va financer un truc qui va se planter à terme en utilisant des sous qu’il doit garantir le tout en réduisant la dette… hahahahahahahahaha.

Haaa, la vedette de Bercy faut tout lui dire.

Mon Bruno, laisse tomber le livret A, il faut faire le LDG. Oui le livret de guerre. LDG. J’ai viré le coté deuxième D pour durable… côté écologie la guerre c’est moyen.

Donc mon Bruno, tu lances un LDG non garanti (tu le dis pas trop, mais c’est pas garanti). Ensuite tu demandes à LCI et BFM de faire tourner en boucle l’importance de soutenir l’Ukraine, envoyer des sous c’est mieux qu’envoyer nos fils, tu joues sur la culpabilité des masses et les plus vieux qui ont les sous votent Macron et écoutent BFM. Facile. Tu proposes à Cnews de leur lâcher la grappe à condition qu’ils fassent de la retape pour ton LDG. Tu vas lever au moins 10 milliards, facile. Tu les dépenses, comme d’habitude. Tu les crames comme à chaque fois… puis après la guerre, tu diras… oups y a plus sous…. mais c’était pour la bonne cause.

Ainsi mon bon Bruno tu n’auras pas déstabilisé le financement du logement social à partir du Livret A, tu ne te seras pas tiré un balle dans le pieds de la dette et tu auras pris des sous à ceux qui pouvaient en perdre sans forcer personne. N’oublies pas. Valeurs de la République, démocratie machin toussa.

Allez je continue dans le cynisme économique et patrimonial.

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Candace Owens

Égalité et RéconciliationUSA : Candace Owens lance le BrigitteGate

Égalité et Réconciliation - 13 mar 2024

USA : Candace Owens, la jolie trumpiste aux 8M d’abonnés, lance le BrigitteGate.

   

Un petit air de Rihanna, un positionnement blacko-trumpiste, un podcast qui cartonne, un dossier bien potassé (merci F&D), et voilà une magnifique rampe de lancement au cœur de la politique US. L’affaire Brigitte vient de traverser l’Atlantique, thanks to Candace Owens.

Son podcast sur YouTube totalise 3M d’abonnés, et son compte X monte à 4,8M. Candace, plus honnête que les journalistes français mainstream, qui pompent et ne citent jamais F&D, a cité et relayé sa source.

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réquisition - armée France

Réseau InternationalRéquisitions : Dans quel sens vont réellement ces textes ?

Réseau International - 13 mar 2024

Nouveaux articles du Code de défense issus de la Loi de Programmation militaire d’août 2023.

   

En tant qu’étranger, sujet de Sa Britannique Majesté, Mendelssohn n’a pas les clefs pour comprendre le chevauchement des différents Codes et Lois en France.

Puisqu’en droit, un mot sera placé pour en cacher un autre.

Ainsi, Mendelssohn invite les juristes dotés de qualifications que lui ne possède pas, à nous décortiquer l’imbrication des textes législatifs dont il est question ci-dessous.

(Dans le cas où des personnes sans enfants seraient tentés de se voiler les yeux – Papa Mendelssohn en a cinq, tous en âge ou presque d’être mobilisés, sans en venir même à la réquisition…)

En ouverture des festivités, quelques lignes de rappel historique figurant sur un site officiel :

Les réquisitions et le Service de travail obligatoire – 1943

Le tournant du STO

Alors que les exigences allemandes ne cessent de s’accentuer, le gouvernement de Vichy adopte un nouveau dispositif de réquisitions avec la loi du 16 février 1943 qui institue le «service du travail obligatoire» (STO). Tous les jeunes Français nés en 1920, 1921 et 1922 déclarés aptes après une visite médicale doivent partir travailler en Allemagne pour deux ans. D’importantes mises en garde sont immédiatement adressées à ceux qui n’obéiraient pas. Les sanctions auxquelles ils s’exposent sont des amendes allant de 200 à 100 000 francs et des peines d’emprisonnement allant de 3 mois à 5 ans, susceptibles, en cas de récidive, d’être portées au double.

La France est le seul pays occupé d’Europe où les réquisitions ne sont pas la conséquence d’ordonnances allemandes mais d’une loi adoptée par l’État français.
https://www.cheminsdememoire.gouv.fr/1943-les-consequences-du-sto-dans-la-creation-des-maquis

Si Mendelssohn a bien compris, la Loi de Programmation militaire votée en août 2023 modifie entre autres, le Code de défense. Ce sont donc les nouveaux articles du Code de défense dont il est question ici.

• https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/article_jo/JORFARTI000047915043

Titre Ier
Réquisitions pour les besoins de la défense et de la sécurité nationale
Chapitre II

Principes généraux

«Art. L. 2212-1.-En cas de menace, actuelle ou prévisible, pesant sur les activités essentielles à la vie de la Nation, à la protection de la population, à l’intégrité du territoire ou à la permanence des institutions de la République ou de nature à justifier la mise en œuvre des engagements internationaux de l’État en matière de défense, la réquisition de toute personne, physique ou morale, et de tous les biens et les services nécessaires pour y parer peut être décidée par décret en Conseil des ministres. (…)

Mendelssohn s’interroge :

1) En droit, la sécurité juridique exige que le citoyen comprenne de quoi on parle. Il faut donc que chaque terme utilisé soit défini sans ambiguïté.

Dans le cadre de cet article, que veut dire

– menace

– actuelle

– prévisible (d’ici six semaines ? six ans ? six décennies ?)

– activités essentielles à la vie de la Nation (supermarchés Leclerc ? Officines pratiquant des tests PCR ?)

– «menace de nature à justifier la mise en œuvre des engagements internationaux de l’État en matière de défense»

Il existe de multiples niveaux hiérarchiques d’«engagements» internationaux d’un état. Par ailleurs, le terme «engagement» n’est pas, sauf erreur, un terme juridique dans ce contexte précis.

Parle-t-on de traités ? D’engagements écrits ? Non-écrits ? Tenus secrets (présence de «mercenaires» en Ukraine) ? Sous le radar (activités militaires de la France en Afrique) ?

Ou encore, d’accords uni-personnels entre le Micronien et X, tel celui du 16 février avec l’actuel président ukrainien1 accord dont la légalité est plus qu’incertaine ?

(Nous reviendrons prochainement sur ledit accord bilatéral de sécurité du 16 février : à part engager des milliards ayant l’impôt comme source, des milliers de militaires et spécialistes Français devraient partir instamment vers l’Ukraine, à supposer que la France veuille et puisse s’y conformer).

[...]

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Suisse retour du pass sanitaire

Réseau InternationalSuisse : Instauration du régime de surveillance de « la santé mondiale »

Réseau International - 12 mar 2024

Suisse : La révision de la loi sur les épidémies instaure le régime de surveillance de «la santé mondiale». Des professionnels et des citoyens inquiets appellent à répondre à la consultation sur le projet avant le 22 mars.

   

Le 29 novembre 2023, le Conseil fédéral a ouvert la procédure de consultation relative à la révision partielle de la loi sur les épidémies. Peu débattu, le projet introduit pourtant des changements fondamentaux en faisant passer les mesures d’exception de la loi Covid dans le droit ordinaire. Avec les certificats de vaccination, le dépistage, le traçage et d’autres interventions controversées, la loi confirme le passage de la surveillance des maladies à la surveillance des personnes.

Elle opère aussi un transfert d’autorité à l’OMS dans le cadre du «traité» sur les pandémies et des amendements au Règlement sanitaire international, dont les textes ne seront communiqués qu’à la veille du vote lors de la prochaine Assemblée mondiale de la santé, le 27 mai 2024. «La santé mondiale» évoquée dans la loi viendrait discrètement supplanter les politiques nationales et les droits constitutionnels, qui garantissent la liberté du choix des patients et la pluralité des approches thérapeutiques. C’est pourquoi de nombreux citoyens lancent l’alerte en invitant la population et les parties concernées à réagir avant qu’il ne soit trop tard.
Nouvelles atteintes aux libertés

La nouvelle version de la loi sur les épidémies semble bétonner dans la loi les mesures prises lors de la crise du Covid, sans se soucier des droits et libertés inscrits dans la Constitution. Le texte énumère une série de menaces potentielles sur la santé publique auxquelles seul un lourd régime de centralisation, de numérisation, de surveillance, et d’obligations semble pouvoir répondre.

Plusieurs dispositions vont plus loin que les contraintes imposées lors de la période Covid. L’on voit par exemple se profiler discrètement les obligations vaccinales, alors qu’elles constituent une violation de l’intégrité physique, un droit fondamental pourtant considéré comme inviolable en Suisse.

Un autre renforcement des mesures concerne la liberté de se réunir (article 22 de la Constitution). L’article 40 de la nouvelle loi entend à présent réglementer de manière plus systématique et restreinte la collecte des coordonnées des personnes, les activités de travail à domicile ou les manifestations dans l’espace public.
Le retour du certificat sanitaire

Sans trop de surprise, le certificat sanitaire fait son retour, malgré l’opposition de près de la moitié des Suisses à son utilisation et le rejet par la population de l’identité numérique. La loi confère au Conseil fédéral la possibilité de définir un document pour entrer et sortir d’un autre pays, et il pourra bien entendu être relié à des systèmes étrangers correspondants. De plus, elle compte y ajouter d’autres données de santé que les médecins, hôpitaux et institutions sanitaires publiques et privées seraient obligées de déclarer.

L’on bascule ainsi de l’actuelle logique de déclaration des maladies à une obligation de déclarer des personnes. L’article 12 prévoit la déclaration «d’informations permettant d’identifier les personnes malades, présumées malades, infectées, présumées infectées ou qui excrètent des agents pathogènes» (lit. a), ainsi que «notamment les données sociodémographiques et relatives aux comportements, y compris les données sur la sphère intime» (lit. c).

Pour le Dr Philippe Vallat, expert indépendant en santé publique, il s’agit d’un véritable changement de paradigme :

«Nous ne serons plus considérés comme malades parce que nous le ressentons ainsi, ou parce qu’un médecin l’aura déterminé, mais administrativement par défaut. Cela établirait un nouveau paradigme médical basé sur une suspicion généralisée, tout un chacun étant a priori «présumé» malade ou infecté. Cela conduirait à la nécessité de devoir prouver qu’on n’est pas contagieux, et donc pas dangereux pour les autres. Comment ? Le projet n’en dit rien, mais l’expérience covidienne du certificat a montré comment un dispositif administratif se basant sur des mesures scientifiquement inadéquates ouvrait la porte à l’arbitraire et à la discrimination».

Dans sa proposition de motion sur le projet de loi, le journaliste Guy Mettan estime lui aussi qu’il s’agit plus d’une mesure de contrôle que d’une intervention de santé :

«L’article 49b prévoit le maintien du certificat sanitaire, établi à l’origine comme moyen d’éviter la propagation du virus, alors que la réalité de la crise Covid a montré qu’il s’agissait d’un document administratif inopérant en matière de santé publique, la vaccination ne prévenant pas la transmission.

L’identité numérique remise sur le métier par le CF, le certificat sanitaire intronisé dans le projet de révision de la loi sur les épidémies et le dossier électronique du patient concourent à l’abolition de la sphère privée et à l’instauration d’un contrôle mondialisé de nos vies».

L’exemple de la Belgique confirme ces hypothèses : les pouvoirs locaux et le fédéral y ont voté le retour du certificat sanitaire en date du 8 février. Ils ont autorisé la remise de ses clés de vérification à l’OMS et prolongé la validité des anciens documents avec effet rétroactif. Officiellement, le certificat sanitaire (Covid Safety Ticket) est à nouveau opérationnel depuis le 1er juillet 2023, date à laquelle l’Union européenne a cédé son système à l’OMS en vue de la constitution d’un certificat numérique mondial.

Le certificat s’inscrira bientôt dans le portefeuille numérique européen qui contiendra d’autres données de santé et sera lié à l’identité numérique européenne et aux données biométriques. D’autres documents administratifs devraient s’y ajouter, par exemples les assurances, le permis de conduire, et fort probablement les données bancaires.
Transferts de pouvoirs

Bien que les principes d’autonomie soient réaffirmés dans les textes, dans la pratique on assiste à une centralisation des pouvoirs autour de la santé. Ainsi, la loi sur les épidémies définit 32 «compétences déléguées» au fédéral, ce qui réduira le pouvoir des cantons à une coquille vide, tout en continuant à payer la moitié de la facture.

Mais c’est surtout, l’atteinte à la souveraineté nationale qui inquiète. On trouve dans la loi une clause de déclenchement par l’OMS de «la situation particulière en Suisse» (art. 6b). Et, selon l’article 12 modifié du RSI, le directeur général de l’OMS, après consultation d’un comité d’urgence, aurait le pouvoir d’annoncer seul et sans possibilité de contestation l’apparition potentielle ou actuelle d’une urgence de santé publique de portée internationale (USPPI), notamment une pandémie, et d’en déclarer la fin.

Par ailleurs, la loi semble reprendre des contenus du Traité pandémique CA+ de l’OMS et de la révision du règlement sanitaire international, alors que ceux-ci ne seront connus qu’à l’issue des négociations en cours.

Pour les détracteurs de la loi, la volonté de l’OMS est claire : avec la modification des articles 1, 13a, 42, 53a, 54bis du RSI, toutes les recommandations de l’OMS (par ex : les certificats obligatoires, la quarantaine, les attestations de vaccination ou la constitution de stocks de médicaments) deviendraient contraignantes pour les Etats signataires.

L’OMS étendrait aussi son champ de compétences, en particulier avec des concepts fourre-tout comme «One Health», la notion «une seule santé» grâce à laquelle elle pourrait s’occuper aussi du climat, des animaux, de l’agriculture, de l’éducation ou des transports pour ne citer que quelques domaines concernés.

C’est pareil avec la notion d’«infodémies» et de sa stratégie de «la lutte contre la désinformation». L’organisation semble vouloir se transformer en «ministère de la vérité scientifique», avec ses campagnes de censure et de propagande. Elle compte obliger les États à combattre les sources de «désinformation» et leurs auteurs dans les divers médias et sur les réseaux sociaux.

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Poutine répond à l'Occident et Macron

Réseau InternationalVladimir Poutine répond à Emmanuel Macron

Réseau International - 12 mar 2024

Conséquences des déclarations de Macron.

   

« L’Occident continue de mentir et de terroriser le monde. Aujourd’hui, l’Occident prétend sans vergogne que la Russie aurait l’intention d’attaquer l’Europe. Mais vous et moi savons qu’ils racontent n’importe quoi ».

Vladimir Poutine

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supermarché participatif

Nouveau MondeOuverture d’un supermarché participatif où tous les clients sont propriétaires

Nouveau Monde - 11 mar 2024

Mathilde Heckel est la coordinatrice générale du supermarché participatif Graoucoop à Metz. Pour venir faire ses courses ici, au moins trois heures de bénévolat par mois sont nécessaires.

   

Pour venir faire ses courses ici, au moins trois heures de bénévolat par mois sont nécessaires. Samedi 9 mars 2024, Mathilde est heureuse de participer à l’ouverture du supermarché participatif Graoucoop à Metz en Moselle. « On a commencé en distribution en groupement d’achat en 2020. On a fait une épicerie test rue du 20ᵉ corps à Metz en 2021 pour voir si le concept fonctionnait, si on arrivait à regrouper les personnes autour de ce concept et puis là, on relance, ce qui était l’objectif depuis le départ, le supermarché coopératif. Aujourd’hui effectivement, on est passé, de 600 références à à peu près 2000 et en termes de surface de vente, on passe de 50 à peu près à 300 m². Donc maintenant, on est un vrai supermarché », explique Mathilde Heckel, coordinatrice générale, à France 3 Lorraine.

Désormais, c’est un supermarché en autogestion qui vient d’ouvrir dans le quartier du Sablon. Six fois plus grand.

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Anti-Oxydants contre le Graphène

Nouveau MondeDes anti-oxydants pour détruire la couronne nécro-moléculaire d’oxyde de graphène

Nouveau Monde - 11 mar 2024

Tous ceux qui ne sont pas enclins à confronter la vérité du génocide vaccinal, au parfum d’oxyde de graphène — parce qu’ils ont les viscères trop perméables — peuvent, toujours, considérer que ce dossier présente un spectre d’antioxydants qui, pour la plupart, ont été validés à l’encontre du tableau de symptômes dénommés Covidiens.

   

Aujourd’hui, la mission de tout être humain, qui se respecte, c’est de guérir quotidiennement la Nature, en lui, qui est perpétuellement assaillie par les vecteurs génocidaires de la Techno-Culture Transhumaniste. La question est, maintenant, de savoir si toute personne refusant de confronter la vérité du génocide vaccinal est, authentiquement, capable de « se guérir ».

Tous ceux qui sont enclins à se réveiller peuvent, aisément, commencer à concevoir que la Mafia Pharmacratique n’a pas attendu d’agrémenter les injections anti-CoqueVide/19, avec de l’oxyde de graphène, pour contaminer les « vaccins », depuis de nombreuses années, avec une foultitude de nécro-nano-particules — et autres adjuvants.

Aujourd’hui, le vecteur de l’Ennemi, c’est la graphénisation par le biais du Syndrome de la Couronne Nécro-Moléculaire — en l’occurrence, la Spike de l’Oxyde de Graphène.

Aujourd’hui, la vaccination graphénisante représente, très clairement, la ligne de démarcation entre, d’une part, ceux qui optent pour le suicide collectif et, d’autre part, ceux qui veulent survivre, et vivre en Paix, dans la Beauté qui Vient.

Sommaire

Le Glutathion
La Cystéine
La Glycine
L’Acide glutamique
La N-AcétylCystéine
La Mélatonine
La Vitamine D et la Fortification du Système Endocannabinoïde
La Vitamine C
La Nicotine et le Tabac
Les Artémisias
Les Plantes médicinales très antioxydantes
Le Charbon de Bois Activé
Les Zéolithes
Les Micro-Organismes efficaces du Professeur Teruo Higa
Le Dioxyde de Chlore
Le Zinc
L’Acide shikimique
Les Protocoles Anti-Graphène
Autres Substances antioxydantes et réductrices de l’Oxyde de Graphène

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Stratpol : bulletin n°176

StratpolBulletin N°176. Nuland : la fin du carnage ? Bundeswehr sur écoute.

Stratpol - 10 mar 2024

STRATPOL : bulletin n°176 de Xavier Moreau

   

01:08 – Économie
Bourse céréalière pour les BRICS
Hydrocarbures russes : + 80%
MS-21 retard de livraison
Cap de Bonne Espérance : chance pour l’Afrique
Crise agricole polono-ukrainienne

06:10 – Politico-diplomatique
Démission de Victoria Nuland
Wang Yi vs occident collectif
Borrell percute le réel
Trump vainqueur de la Primaire
Macron en Tchéquie
Nigéria vers les BRICS
Moldavie vs Russie

15:50 – Terrorisme
Ingouchie

16:42 – Armement
M1 Abrams vs T-72B3
Pentagone : l’épuisement
Armata : trop cher
F-16 : la danseuse de l’OTAN
FAB-1500, la rupture
HIMARS vs Tornado

24:08 – Considérations militaires générales
Bundeswehr sur écoute
Discours de V. Poutine devant le Congrès

27:38 – Carte des opérations militaires

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affiche JO 2024

Le Media en 4-4-2L’affiche des JO 2024 décryptée : des symboles inquiétants et une France effacée

Le Media en 4-4-2 - 09 mar 2024

L'affiche officielle des Jeux Olympiques de Paris 2024 a récemment été dévoilée et suscite de nombreuses interrogations.

   

En y regardant de plus près, on peut y découvrir des symboles troublants et des références cachées qui en disent long sur la vision du monde que souhaitent promouvoir les organisateurs de l'événement.

Une affiche aux allures de fin du monde

L’affiche représente une ville de Paris méconnaissable, où le peuple est réduit à l’état de pions au milieu d’un monde de consommation. Les couleurs primaires utilisées et les références à l’île au plaisir de Pinocchio donnent à l’ensemble une allure de vieille illustration d’enfance, mais qui annoncerait plutôt la fin d’une époque ou la dernière fête d’un peuple condamné.

L’effacement de la France chrétienne

L’un des éléments les plus frappants de cette affiche est l’absence de références à la religion chrétienne, pourtant profondément ancrée dans l’histoire et la culture française. La cathédrale Notre-Dame, symbole de Paris et de la France, est reléguée en arrière-plan, tandis que la croix des Invalides a été effacée. Cette disparition laisse place à une nouvelle religion païenne, mélange de nihilisme, de satanisme et de superstition persécutrice.

Les symboles de la perversion

Les symboles de cette perversion ne manquent pas sur l’affiche. On peut notamment y voir une référence à l’Atlantide, comme si la capitale française était vouée à disparaître sous les eaux, ainsi qu’un portail étrange derrière l’Arc de Triomphe. Les drapeaux tricolores ont également quasiment disparu de la fresque, remplacés par des symboles progressistes et une propagande mondialiste.

Une vision inquiétante pour l’avenir

Cette affiche des JO 2024 semble annoncer une vision du monde bien sombre et inquiétante, où la religion chrétienne et les valeurs traditionnelles sont effacées au profit d’un nouvel ordre mondial païen et progressiste. Les symboles troublants et les références cachées qui parsèment l’image laissent présager des bouleversements majeurs à venir, tant sur le plan social que culturel et religieux.

On peut se demander quelle vision du monde les organisateurs de l’événement souhaitent réellement promouvoir, et quelles conséquences cela pourrait avoir sur notre avenir à tous.

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Gil Macrae

Aube DigitaleUne infirmière licenciée rend public le nombre de décès dus à la vaccination

Aube Digitale - 09 mar 2024

Une infirmière licenciée rend public le nombre de décès dus à la vaccination de masse contre le Covid.

   

Après avoir été licenciée pour avoir refusé de se conformer à l’obligation de vaccination imposée par son hôpital, une infirmière californienne s’est exprimée publiquement pour dénoncer une vaste opération de dissimulation des décès liés aux injections d’ARNm anti covid.

Gail Macrae, une infirmière californienne d’une unité de soins intensifs, s’est exprimée pour tirer la sonnette d’alarme sur le fait que le public est induit en erreur au sujet des injections et du nombre réel de patients ayant été vaccinés contre le Covid.

Macrae accuse l’hôpital où elle travaillait d’avoir violé l’éthique médicale.

Elle affirme que cette violation, dont elle pense qu’elle se produit dans tout le pays et au-delà, a eu pour conséquence d’accroître les préjudices subis par les patients.

Macrae a travaillé à l’hôpital Kaiser Permanente de Santa Rosa de 2015 à 2021.

Cependant, elle a été licenciée pour ne pas avoir respecté le mandat de vaccination du personnel.

Après l’introduction du vaccin contre le COVID-19, Macrae a constaté une augmentation considérable du nombre d’hospitalisations et de décès.

Elle affirme que les patients souffraient d’effets secondaires qu’elle n’avait jamais vus auparavant.

Pendant ce temps, des traitements éprouvés et recommandés ont été interdits et les systèmes d’archivage ont été manipulés pour dissimuler les blessures liées aux vaccins et les cas d’infections graves.

Elle a révélé que les responsables de l’hôpital ont ordonné au personnel de dissimuler les décès liés à la vaccination, souvent en inscrivant les patients décédés entièrement vaccinés sur la liste des « non-vaccinés » et en indiquant la cause comme étant le « Covid ».

Macrae a révélé que le personnel de l’hôpital avait été menacé pour avoir signalé des effets indésirables et des décès liés aux vaccins.

Elle a également déclaré que les professionnels de la santé ont fait l’objet de représailles pour s’être opposés aux protocoles d’isolement des patients et pour avoir refusé aux familles l’accès et la participation à leurs traitements.

Selon Macrae, au cours des premiers mois de la pandémie, les hôpitaux étaient presque vides car les procédures non urgentes étaient interrompues – une scène qui contrastait avec les affirmations des médias selon lesquelles les capacités étaient débordées.

Même pendant la vague d’hospitalisations de l’hiver 2020-2021 due à des problèmes respiratoires normaux, elle a déclaré que « pas une seule fois » les hôpitaux n’ont été débordés.

C’est une observation qu’elle a corroborée avec des collègues de tout l’État.

Cependant, elle a déclaré que les responsables des hôpitaux ont véhiculé l’idée que les établissements étaient débordés par les patients atteints de la maladie de Covid.

« On a menti au public », a-t-elle déclaré.

« Cela m’a vraiment ouvert les yeux sur le fait qu’il se passait des choses qui n’auraient pas dû se passer.

Macrae a signalé la mise en œuvre de protocoles d’isolement stricts pour les patients ayant contracté le COVID-19, qui interdisaient les visites des familles des patients et de leurs défenseurs.

Elle affirme que ces politiques restrictives ont facilité l’alarmisme incontrôlé des médias, tout en supprimant un système de soutien qui aurait pu servir de tampon contre la coercition administrative.

Bien que le COVID-19 soit « la maladie la plus inflammatoire que l’humanité ait jamais connue », le personnel hospitalier expérimenté a été empêché d’administrer des stéroïdes – « le meilleur traitement pour un processus inflammatoire », a déclaré Macrae.

« Le fait que le gouvernement, les CDC (Centers for Disease Control and Prevention) et ces organisations à trois lettres disent aux praticiens qu’ils ne peuvent pas administrer de stéroïdes (…) est absolument criminel », a-t-elle ajouté.

La Californie n’a pas été le seul État à interdire les stéroïdes.

Les anti-inflammatoires classiques tels que les stéroïdes ont été interdits dans le cadre de protocoles rigides dans les hôpitaux des États-Unis.

Par ailleurs, le remdesivir, déjà jugé inefficace comme traitement contre Ebola, a été administré dans le cadre de protocoles stricts.

Cependant, les données indiquent qu’il « fait plus de mal que de bien », a déclaré Macrae.

Elle a ajouté que les antiviraux, en général, n’agissent pas « plus de deux jours après l’apparition des symptômes ».

Macrae a suggéré que les motivations lucratives étaient à blâmer.

Elle a révélé que « chacune de ces doses coûtait plus de 3 000 dollars ».

Avec toutes ces nouvelles politiques et protocoles restrictifs, Macrae a déclaré : « Chaque jour, j’avais l’impression de violer mon serment de praticienne ».

Lorsque les vaccins contre le COVID-19 ont été introduits au début de l’année 2021, Macrae a fait état d’un changement immédiat et radical dans les admissions de patients.

Elle a révélé que son hôpital a connu une augmentation stupéfiante de « 300 % des hospitalisations ».

Le personnel de l’hôpital a été débordé par l’état inhabituel des patients, a-t-elle expliqué.

Selon Macrae, les alertes « code bleu » – lorsque quelqu’un cesse de respirer ou que son cœur s’arrête – qui se produisaient peut-être une fois par équipe, ont commencé à se produire jusqu’à dix fois par équipe.

« Ils les appelaient toujours au niveau inférieur de l’hôpital, où nous avions une clinique de vaccination », a-t-elle déclaré.

Deux infirmières qui administraient directement les vaccins – des collègues qu’elle a rencontrées dans le cadre d’un groupe de soutien aux praticiens dans sa communauté – ont déclaré qu’elles voyaient entre 10 et 20 épisodes de choc anaphylactique par jour.

Elles ont déclaré à Macrae qu’elles étaient menacées de licenciement si elles parlaient publiquement de la situation.**[...]

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Le Canada s’apprête à criminaliser le christianisme

Aube DigitaleLe gouvernement canadien veut criminaliser le christianisme

Aube Digitale - 08 mar 2024

Le Canada s’apprête à criminaliser le christianisme, le gouvernement canadien d’extrême gauche cherchant à étendre ses lois sur les « discours de haine » pour y inclure des éléments clés de la foi chrétienne.

   

Le gouvernement du Premier ministre canadien Justin Trudeau, contrôlé par le Forum économique mondial, envisage de mettre le christianisme hors la loi, la lecture de la Bible et la prière étant considérées comme des « discours de haine », un « crime » passible d’une peine d’emprisonnement.

Sous la direction de Trudeau, un jeune leader mondial du FEM, le gouvernement introduit un amendement au Code pénal qui pourrait voir les croyants condamnés à une peine de prison pour avoir exprimé les enseignements historiques du christianisme.

Le projet de loi C-367 rendra illégale la réitération de certaines parties de la Bible.

En supprimant la défense de « bonne foi », le gouvernement pourra poursuivre les chrétiens pour ce qu’il considère comme un « discours de haine ».

Les pratiques chrétiennes traditionnelles, telles que la célébration de Noël ou la participation à un service religieux, seront considérées comme des crimes passibles de lourdes peines.

L’amendement proposé vise à supprimer la disposition qui permet aux individus de se défendre en affirmant qu’ils croient sincèrement et qu’ils ne font qu’exprimer un enseignement religieux déjà présent dans les Écritures.

Cela signifie que le fait d’invoquer des croyances religieuses pour justifier des paroles ou des actes que l’État considère comme de l' »hérésie » ne sera plus accepté comme une défense valable au regard de la loi.

Le projet de loi stipule ce qui suit :

« Le texte modifie le code pénal afin d’éliminer comme moyen de défense contre l’incitation volontaire à la haine ou à l’antisémitisme le fait qu’une personne, de bonne foi, a exprimé ou tenté d’établir par un argument une opinion ou un sujet religieux ou une opinion fondée sur une croyance en un texte religieux.

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légalisation de la vente de foetus en Europe

Réseau InternationalL’Europe de Van der La Hyène autorise un marché des fœtus

Réseau International - 08 mar 2024

Rien ne se perd dans l’Europe de Van der La Hyène qui autorise un marché des fœtus

   

Un libre marché des embryons, des fœtus et des gamètes humains se profile

Mardi 12 septembre, le Parlement européen a approuvé en première instance de nouvelles mesures par lesquelles il souhaite mieux protéger les citoyens qui donnent du sang, des tissus ou des cellules ou qui sont traités avec ces substances humaines. Mais en réalité, ignorant les alarmes de diverses organisations d’experts et les préoccupations des évêques européens, le projet de règlement approuvé par une large majorité composée de socialistes, de verts et de libéraux, autorise le libre marché des embryons, des fœtus et des gamètes humains et les expériences et sélections eugéniques qui en résultent.

La proposition de règlement sur les Normes de qualité et de sécurité pour les substances d’origine humaine destinées à être appliquées chez l’homme (ou règlement SoHO), qui vise à partager les cellules, le sang et les tissus humains au sein des États membres de manière harmonisée et standardisée, a été adoptée le 12 septembre, avec 483 voix pour, 89 abstentions et 52 voix contre. De nombreux députés ont insisté sur le fait que les dons de ces «substances» doivent toujours être volontaires et non rémunérés et que les donateurs ne peuvent recevoir qu’une compensation ou un remboursement pour les pertes ou les dépenses encourues.

Nous sommes confrontés à l’hypocrisie la plus flagrante qu’on puisse imaginer, car elle ouvre en fait à la marchandisation de l’humanité. En effet, pour garantir que l’Union européenne dispose de son propre approvisionnement indépendant en ces substances, comme cela est également précisé dans la fiche de mesure approuvée, «les députés demandent une stratégie européenne coordonnée par la Commission pour garantir leur disponibilité, une liste européenne de substances destinées à l’usage humain ou d’origine humaine (SoHO) déficientes ainsi que l’établissement de plans nationaux d’urgence et de continuité d’approvisionnement».

Les embryons et les fœtus sont inclus dans les catégories de tissus et de cellules, cela ouvre la voie à la légalisation du marché des vies humaines en Europe

Les mesures s’appliquent aux substances – telles que le sang et ses composants (globules rouges et blancs, plasma), les tissus et les cellules – utilisées pour les transfusions, les thérapies, les greffes ou la procréation médicalement assistée, c’est-à-dire l’insémination artificielle. Sous prétexte de créer un environnement efficace et sûr pour les transfusions sanguines et les transplantations d’organes dans toute l’Union, le rapporteur du PPE (Parti populaire européen), Nathalie Colin-Oesterlé, a rappelé que son parti «reconnaît et soutient l’existence d’un marché européen de la fertilité pour justifier les échanges transfrontaliers de gamètes, d’embryons et de fœtus en cas de pénurie dans un État membre».

Pire encore, l’amendement du PPE n°241 sur l’indemnisation des donneurs de tels gamètes, embryons ou fœtus a été largement adopté, créant ainsi un dangereux précédent en matière de vente de parties du corps. Les amendements n°242 et n°243 (des groupes Identité et Démocratie et Conservateurs et Réformistes européens), qui visaient plutôt à rappeler le cadre législatif et éthique dans lequel l’UE devrait fonctionner, ont été rejetées de manière sensationnelle.

Les embryons et les fœtus voyagent à travers l’Union européenne pourront être «donnés avec compensation», c’est-à-dire vendus au plus offrant

S’ouvre ainsi également le marché dans lequel les embryons et les fœtus voyagent à travers l’Union européenne pour être «donnés avec compensation», effectivement vendus au plus offrant.

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