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inquisition médicale

InsolentiaeCritiquer la connaissance médicale du moment, passible désormais de prison !

Insolentiae - 11 fév 2024

Retour de l’Inquisition.

   

« Et pourtant elle tourne » ! Dans ce monde d’incultes, il est plus facile de traiter ceux qui pensent de complotistes ou de fascistes que d’entamer le débat avec eux. Ne nous laissons pas intimider par ces fous mes amis. Résistons, à la pointe du stylo. Résistons avec les mots, les concepts et la pensée. Résistons en convoquant l’histoire à la barre.

Souvenez-vous de Galilée.

« Le procès de Galilée, ou l’affaire Galilée, est l’enquête et la condamnation du savant astronome Galilée par l’Inquisition pour avoir critiqué le géocentrisme et soutenu l’héliocentrisme.

L’affaire commence vers 1610, quand Galilée publie Sidereus nuncius. Il y décrit ses observations astronomiques à l’aide d’une lunette astronomique. Ses observations l’amènent à réfuter le géocentrisme et à confirmer la théorie héliocentrique exposée par le chanoine Nicolas Copernic dans son œuvre Des révolutions des sphères célestes (1543). L’Église catholique s’oppose à cette vision des choses. Elle déclare officiellement hérétique l’héliocentrisme en 1616, met à l’Index les œuvres qui abordent le sujet et interdit à Galilée d’enseigner cette théorie.

Galilée se conforme plus ou moins à l’interdiction de l’Église. L’affaire connaît plusieurs étapes car le pape Urbain VIII avait été le mécène de Galilée et lui avait permis de publier ses travaux sur le système copernicien tant qu’il le présentait comme une simple hypothèse : le véritable conflit date de 1632, lorsque Galilée publie son Dialogue sur les deux grands systèmes du monde, ce qui entraîne son procès. Le savant est condamné en 1633 à l’incarcération, qui est en fait une résidence surveillée jusqu’à sa mort en 1642. »

Il n’appartient pas à l’Etat de déterminer la vérité scientifique, or c’est exactement ce qu’il veut faire et c’est d’une gravité absolue car c’est la négation de notre histoire et de la science.

Tout ce que nous pensons vrai aujourd’hui sera faux dans 2 siècles.

Si vous connaissez l’histoire et la science, vous savez que la science évolue.

Tout ce que nous pensions juste hier, tout ce qui était des certitudes, de la terre qui était au centre de l’Univers, aux saignées des médecins de Molière, est désormais faux.

Tout ce qui est vrai aujourd’hui sera pour l’essentiel réfuté.

Notre physique sera radicalement différente dans 2 siècles et nos connaissances médicales d’aujourd’hui sembleront à nos descendants de dans 500 ans aussi barbares et ignares que les saignées d’autrefois le sont pour nous aujourd’hui.

Ainsi vont l’histoire et la science.

Mais nos abrutis de dirigeants, pensent qu’ils peuvent s’arroger le droit de savoir ce qui est vrai et ce qui faux et c’est exactement le sens de cette législation sur les dérives sectaires, qui part d’un bon sentiment comme à chaque fois, mais l’enfer est toujours pavé de bonnes intentions !

L’article 4 du projet de loi « contre les dérives sectaires » a été remis hier à l’Assemblée nationale malgré un avis défavorable du Conseil d’État et sa suppression au Sénat.

« L’article 4 punit de 15.000 euros d’amende et d’1 an de prison « la provocation à s’abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique alors ‘qu’en l’état des connaissances médicales’ cette abstention serait manifestement dangereuse pour leur santé» selon les autorités médicales en place et l’état des connaissances actuelles ».

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Poutine - Tucker

Égalité et RéconciliationTucker Carlson : l’entretien avec Vladimir Poutine en français !

Égalité et Réconciliation - 10 fév 2024

Voici l’interview de Vladimir Poutine par Tucker Carlson sous-titrée en français.

   

2 heures…

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Stratpol : bulletin n°172

StratpolBulletin N°172. Opération littéraire spéciale, Ukraine : pourquoi la Russie a gagné

Stratpol - 10 fév 2024

STRATPOL : Bulletin n°172 de Xavier Moreau

   

00:00 – Opération littéraire spéciale
Ukraine : pourquoi la Russie a gagné
Géopolitique profonde
LOGIOS
Planet VPN

02:12 – Économie
Croissance russe 2023 et 2024
Aéronautique civile russe
Joe Biden sauve la planète
Bananes sous sanctions
Démographies russe et ukrainienne

11:50 – Politico-stratégique
Vladimir Poutine par Tucker Carlson

15:35 – Terrorisme
Suède vs Nord Stream
Bombardements sur Lissitchansk, Donetsk et Belgorod
Guardian vs bandéristes

18:40 – Armements
Coalition d’artillerie
Gamelin LGBT
Protection anti-drone pour les chars russes
Mini-missiles anti-drones
Bayraktar en Ukraine

25:35 – Considérations militaires générales
Vision globale du front
Avdeeka bastion bandériste

26:58 – Carte des opérations militaires

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Tucker Carlson in Moscow

France SoirAprès l’interview de Poutine, Tucker Carlson est sur une liste « à éliminer »

France Soir - 09 fév 2024

Après l’interview de Poutine, Tucker Carlson est placé sur une liste « à assassiner » par un site ukrainien.

   

Ce weekend, le journaliste américain Tucker Carlson est arrivé à Moscou pour interviewer le président Vladimir Poutine. Une interview importante et attendue par bien des citoyens tant américains que d’autres nationalités.

Sur les réseaux sociaux, les spéculations sur le contenu de l’interview vont bon train. Celle-ci ayant fait l’objet d’une fake news, immédiatement soulevée par France-Soir après confirmation auprès de l’équipe de Tucker Carlson à Moscou.

Ce lundi 6 février, Tucker Carlson a publié une vidéo sur son compte X expliquant les raisons de cet entretien avec le chef du Kremlin, rappelant avant tout le devoir du journaliste et le droit du public de savoir. Carlson a bien sûr taclé les médias mainstream qui ne font plus un travail d’information pour le public, mais de propagande. Tucker Carlson a aussi confirmé qu’Elon Musk avait accepté de publier cette interview sur le réseau social X afin de garantir au plus grand nombre l’accès à ce contenu qui sera probablement censuré par les médias mainstream. Un tweet vu par 47 millions d'internautes...

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situation à Gaza

VoltairenetLa situation mondiale au regard du massacre à Gaza

Voltairenet - 08 fév 2024

À chaque instant, les hommes se demandent si le massacre à Gaza ne va pas dégénérer en Guerre mondiale.

   

Ce pourrait être le cas, mais cela ne l’est pas. Tous les protagonistes du Levant agissent avec retenue, chacun évitant l’irréparable, tandis que les suprémacistes juifs de la coalition de Benjamin Netanyahu avancent inexorablement leurs pions.

A l’issue de quatre mois de guerre à Gaza contre le peuple palestinien et contre le courant du Hamas appartenant à la Résistance palestinienne, mais jamais contre celui obéissant à la Confrérie des Frères musulmans, les différents acteurs ont affiché leur position.

Tout en prétendant à ses citoyens lutter contre le Hamas en général, la coalition de Benjamin Netanyahu œuvre à terroriser les Gazaouis pour les faire fuir. Les privations, les tortures et les massacres ne sont pas une fin en soi, juste des moyens pour parvenir à annexer cette terre.

Ansar Allah, le puissant parti politique yéménite, a pris l’initiative d’attaquer en mer Rouge des navires israéliens ou faisant escale en Israël, en exigeant l’arrêt du massacre à Gaza. Progressivement, il a également attaqué des navires liés à des États soutenant ce massacre. Le Conseil de Sécurité des Nations unies a rappelé que le Droit international interdit d’attaquer des navires civils tout en reconnaissant que le problème ne sera pas résolu tant que le massacre se poursuivra.

Les États-Unis, tout en s’opposant au massacre des civils palestiniens, se sont montrés solidaires de la population israélienne juive dans sa vengeance aveugle contre eux. Ils ont continué à fournir les FDI en obus, tout en appelant Tel-Aviv à laisser entrer l’aide humanitaire requise. Sur cette même ligne politique, ils ont pris en charge le problème posé par la résistance des Yéménites en créant l’Opération « Gardien de la Prospérité ». Ils y ont fait participer leurs affidés occidentaux en violation de l’autorité du Conseil de Sécurité des Nations unies qui n’a jamais autorisé d’intervention militaire au Yémen. Cependant l’état-major militaire français s’est retiré de cette alliance au bout de deux jours, mettant en avant son objection de conscience à couvrir le massacre de Gaza. Au demeurant les bombardements des Occidentaux ne sont pas parvenus à toucher les centres militaires d’Ansar Allah.

L’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis, qui viennent de livrer une longue guerre au Yémen, se sont abstenus de rejoindre « Gardien de la Prospérité » et ont, au contraire, signé un accord de paix avec Ansar Allah. Tous se sont retrouvés sur la position de la Ligue arabe, formulée en 2002 : reconnaissance et normalisation avec Israël dès la création d’un État palestinien.

L’Égypte qui, par effet domino a perdu 45 % de ses revenus du Canal de Suez, ne s’est pas retourné contre Ansar Allah. Au contraire, Le Caire a pris contact avec lui et a publiquement salué son effort en faveur du peuple palestinien. Tout au plus a-t-il appelé ses interlocuteurs à ne pas bloquer totalement la mer Rouge. Les navires chinois et russes continuent à circuler librement et Ansar Allah a annoncé qu’il restreignait ses cibles.

L’Iran, après avoir appelé ses différents partenaires de l’Axe de la Résistance à ne pas envenimer la situation, est soudain sorti de sa réserve. Téhéran a bombardé des sites liés à Israël ou aux États-Unis dans trois États distincts : la Syrie occupée illégalement par les États-Unis, l’Iraq où leur présence est légale mais pas certaines de leurs activités, et le Pakistan où ils soutiennent un mouvement séparatiste balouchte.

La Maison-Blanche a répondu que ces attaques ne resteraient pas impunies, mais n’a rien fait dans l’immédiat. Si sa riposte est légère, tous les protagonistes en concluront que Washington n’est qu’un « tigre de papier », si elle est forte, elle risque d’ouvrir la voie à une Troisième Guerre mondiale.

La Syrie a applaudi. L’Iraq a protesté, assurant du bout des lèvres qu’il n’y a jamais eu de base du Mossad dans sa région autonome du Kurdistan. Puis il a demandé aux Forces occidentales de se retirer du pays.
Le Pakistan, dont Washington espérait que le nouveau gouvernement se tiendrait prêt à entrer en guerre contre l’Iran, s’est, sous l’influence de son armée, rallié à Téhéran dans sa lutte contre les séparatistes pro-US

C’est dans ce contexte que la Cour internationale de Justice (CIJ) a rendu son ordonnance provisoire dans le cadre de l’affaire opposant l’Afrique du Sud à Israël qu’elle accuse de laisser perpétrer un génocide sous la responsabilité de certains de ses dirigeants. La Cour, présidée par une ancienne fonctionnaire du département d’État US, est parvenue à une majorité écrasante de 15 juges contre 2, à une décision correspondant en tout point à la position des États-Unis : elle a reconnu qu’il y avait une suspicion de génocide et a ordonné à Israël de veiller à laisser entrer à Gaza l’aide humanitaire requise, mais elle s’est bien gardée d’aller plus loin. Elle n’a rien dit sur les demandes de réparation vis-à-vis des victimes, ni sur la condamnation par Israël des individus coupables de génocide. Surtout, elle s’est abstenue de dire que « l’État israélien doit suspendre immédiatement ses opérations militaires à l’intérieur et à l’encontre de Gaza ».

Faisant mine d’accepter de se conformer à cette ordonnance, Israël a libéré le passage de Rafah et annoncé des mesures en faveur du passage de l’aide humanitaire internationale. Cependant simultanément, il a accusé l’Office des nations unies chargé de distribuer cette aide (l’UNRWA) d’être une annexe des « terroristes ». Il a envoyé à Washington des preuves de la participation de 12 employés de l’Agence à l’opération du 7 octobre. Sans attendre, les États-Unis ont suspendu leur aide et convaincu une douzaine d’États affidés de les imiter. Soudain dépourvue de moyens, l’UNRWA n’a donc plus la possibilité d’acheminer cette aide dans Gaza et de la distribuer.

Washington, qui jusqu’à présent plaidait pour l’aide humanitaire aux civils, a donc durci sa position en participant à la destruction de l’agence idoine des Nations unies. Il poursuit cependant son rêve d’une « solution à deux États ». En se dirigeant vers une dissolution de l’UNRWA, les Occidentaux privent les apatrides palestiniens des passeports que seuls les Nations unies peuvent leur délivrer. De fait, ils empêchent aussi l’exil « volontaire » de cette population bombardée et affamée que l’Union européenne s’apprêtait déjà à recevoir.

Enhardie par ce soutien, 11 ministres de la coalition de Benjamin Netanyahu se sont affichés lors d’un événement festif, organisé par la radio Kol Barama au Centre international des congrès de Jérusalem. Il était intitulé : « Conférence pour la victoire d’Israël - les colonies apportent la sécurité : retourner dans la bande de Gaza et le Nord de la Samarie ». Les orateurs, dont Itamar Ben-Gvir, ministre de la Sécurité nationale et président du parti Force juive (Otzma Yehudit), ont assuré qu’il n’y aurait jamais de paix avec les Arabes et que seule la colonisation de l’ensemble de la Palestine pouvait apporter la sécurité aux juifs. Le Premier ministre, Benjamin Netanyahu, présent sur place, a approuvé.

Ces propos belliqueux ont choqué l’opposition à la coalition, qu’elle soit hors du gouvernement de guerre (comme Yaïr Lapid) ou qu’elle y siège (comme Yaakov Margi ou le général Benny Ganz). Surtout, ils ont exaspéré Washington qui a réagi de deux manières à cette gifle. D’abord, il a prié ses affidés de ne pas recevoir de suprémacistes juifs (comme Amichai Chikli, ministre des Affaires de la diaspora, qui était attendu à Berlin), puis il a décrété des sanctions contre certains d’entre eux. Ces mesures sont plus importantes qu’il n’y paraît puisqu’elles interdisent immédiatement toute levée internationale de fonds et transfert bancaire. Elles devraient rapidement affaiblir les suprémacistes juifs et, par contrecoup, favoriser les autres.

Rapidement, on a appris que Washington avait d’abord envisagé de faire figurer les ministres Itamar Ben-Gvir et Bezalel Smotrich sur la liste des personnes sanctionnées avant d’y renoncer. Ce dernier s’est alors contenté de rétorquer que l’accusation de Joe Biden selon laquelle des colons de Cisjordanie seraient violents est « un mensonge antisémite répandu parmi les ennemis d’Israël ».

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procès du fluor dans l'eau potable

The DefenderProcès historique sur le fluor : La fluoration viole le consentement éclairé

The Defender - 08 fév 2024

Le fluor devrait être interdit dans l’eau potable et le gouvernement américain doit mettre en garde la population – en particulier les femmes enceintes – contre les risques sanitaires graves liés à la consommation d’eau fluorée, a déclaré l’avocat Michael Connett à la journaliste Kim Iversen.

   

M. Connett est l’avocat principal des plaignants dans un procès fédéral historique sur la neurotoxicité de la fluoration de l’eau, intenté contre l’Agence américaine de protection de l’environnement (EPA).

Le procès, qui a repris aujourd’hui après une pause de quatre ans, vise à interdire l’ajout de fluorure dans l’eau.

Le tribunal fédéral du district nord de Californie, à San Francisco, a prévu neuf jours pour le témoignage et le contre-interrogatoire d’experts et de témoins de fait.

Dans l’épisode d’hier du “Kim Iversen Show“, M. Connett a évoqué l’affaire et expliqué pourquoi elle est si importante. Il a dit :

“Nous disposons maintenant de données – des données de haute qualité financées par le NIH [National Institutes of Health] – qui établissent un lien entre l’exposition maternelle au fluorure et les déficits de QI… c’est vraiment l’objet de notre action en justice.

La Cour n’a qu’une question à poser, et c’est la suivante : “La fluoration présente-t-elle un risque déraisonnable d’effets sur le développement neurologique ? Si le tribunal décide que c’est le cas, l’EPA sera alors mandatée par la loi pour prendre des mesures afin de faire face à ce risque.

Bien que le tribunal ne puisse pas dire à l’EPA comment traiter le risque, l’EPA a le pouvoir, en vertu de la loi sur le contrôle des substances toxiques (Toxic Substances Control Act ), d’interdire la fluoration.

“Si nous gagnons”, a déclaré M. Connett, “et si l’EPA fait ce que la logique semble dicter – à savoir si son obligation est d’éliminer le risque posé par les produits chimiques de fluoration– alors le moyen évident d’y parvenir est d’interdire cette pratique”.

Actuellement, le choix de la fluoration de l’eau incombe aux États et aux collectivités locales. Mais si l’EPA interdit cette pratique, “aucune municipalité, même si elle le souhaite, ne pourra fluorer son eau car l’EPA sera la plus haute autorité en la matière”.

Aujourd’hui, plus de 200 millions d’Américains dans des milliers de communautés boivent de l’eau fluorée.

La plupart des grandes villes, y compris Los Angeles, où réside Kim Iversen, fluorent leur eau. “Je ne veux certainement plus boire de fluor”, a déclaré Mme Iversen.

Le 13 janvier, Children’s Health Defense (CHD) a publié un documentaire intitulé “Fluoride on Trial: The Censored Science on Fluoride and Your Health, dans lequel Michael Connett et Mary Holland, présidente de CHD, discutent de la suppression de la recherche scientifique révélant les effets toxiques du fluorure, en particulier sur les enfants.

M. Connett a également évoqué cette suppression avec Mme Iversen.

Par exemple, lorsque le Programme national de toxicologie(NTP) a effectué une revue systématique et a conclu dans son rapport de 1573 pages que 64 études sur 72 montraient un lien entre le fluorure et la baisse du QI, les responsables dentaires des Centers for Disease Control and Prevention et de l’Institut national de recherche sur le visage dentaire et crânien du NIH ont fait pression sur le secrétaire adjoint à la santé du ministère américain des services sociaux, le Dr. Rachel Levine,pour empêcher la publication du rapport.

Mme Levine a demandé au NPT de ne pas publier le rapport, mais de le mettre en attente et de le soumettre à un examen plus approfondi.

“Il n’est même pas nécessaire de l’avaler”

Bien que d’autres produits chimiques comme le chlore soient ajoutés à l’eau publique à des fins de traitement de l’eau, le fluor est le seul produit chimique ajouté à des fins médicales – dans ce cas, pour prévenir les caries dentaires chez les personnes qui boivent l’eau, a déclaré M. Connett.

La fluoration de l’eau est “un programme né aux États-Unis”, a-t-il déclaré à Mme Iversen. L’Europe a étudié l’idée d’ajouter du fluorure à l’eau pour prévenir les caries, mais a décidé de ne pas le faire, car cela viole le droit des personnes à un consentement éclairé.

Il a dit :

“L’Europe a dit qu’il ne fallait pas ajouter un médicament à l’eau parce que cela enlevait à l’individu le droit de prendre ses propres décisions en matière de santé, de donner son consentement éclairé. Et en Europe, comme aux États-Unis, il y a certainement beaucoup de produits fluorés dans les rayons, comme le dentifrice, que tout le monde peut acheter à la pharmacie ou à l’épicerie”.

Connett a déclaré que la recherche montre que le fluorure peut être utilisé pour prévenir les caries dentaires en l’appliquant sur les dents. “Il n’est pas nécessaire de l’avaler.”

D’autres substances pourraient-elles être ajoutées à notre eau ?

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Apple vision pro

Aube DigitaleLes premiers adeptes du casque Vision-Pro repérés dans la nature

Aube Digitale - 07 fév 2024

« La société se rapproche de la dystopie ».

   

Le casque de réalité mixte d’Apple, Apple Vision Pro, d’une valeur de près de 4 000 dollars, a été mis en vente vendredi, et les premiers utilisateurs ont déjà été aperçus dans la nature.

Ces derniers jours, les adeptes de la réalité mixte ont enfilé Vision Pro et tenté d’intégrer le casque dans leur vie quotidienne.

X présente d’innombrables vidéos des premiers utilisateurs au volant de véhicules.

Les premiers utilisateurs de Vision Pro se sont promenés aussi dans les rues.

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Vanguard investit en Chine

GéopolintelVanguard finance le développement militaire de la Chine

Géopolintel - 07 fév 2024

CPA écrit que le fonds de Vanguard a investi dans « 60 filiales de sociétés militaires industrielles complexes chinoises (CMIC) » et « 20 sociétés qui sont interdites d’accès à la technologie américaine parce qu’elles sont considérées comme des »utilisateurs finaux militaires« (MEU) ».

   

Vanguard a notamment investi dans une filiale liée à l’Aviation Industry Corporation of China (AVIC), qui fabrique l’avion furtif J-20 le plus avancé de Pékin, basé à l’origine sur une technologie américaine volée.

Le groupe Vanguard gère 8 000 milliards de dollars d’actifs dans le monde, ce qui en fait le deuxième gestionnaire d’actifs au monde et l’un des fonds d’investissement américains préférés pour ses options d’investissement diversifiées.
Depuis 2016, le fonds négocié en bourse (ETF) des marchés émergents de Vanguard a évolué vers la constitution d’un indice de référence, le FTSE Emerging Markets All Cap China A Inclusion Index, afin d’obtenir une meilleure visibilité pour les entreprises de la Chine continentale.

Vanguard a utilisé le programme Stock Connect, un programme d’accès mutuel au marché, pour investir dans des sociétés à actions A cotées en Chine continentale. Ce même programme a permis aux sociétés chinoises cotées en Chine continentale d’acheter des actions de certaines sociétés cotées à Hong Kong.
Le Stock Connect permet un phénomène appelé « circulation ascendante », dans lequel les fonds américains achètent des actions A cotées sur les bourses de Shenzhen et de Shanghai. L’ACP a constaté que le chiffre d’affaires mensuel des actions A (y compris les achats et les ventes) et les moyennes des ETF s’élèvent à 350 milliards de dollars.

Les actions A sont une liste de titres échangés en renminbi sur les bourses de Shanghai et de Shenzhen qui posent des problèmes. Bon nombre de ces actions A sont des sociétés chinoises agissant comme une extension des sociétés soutenues par l’Armée populaire de libération ou des conglomérats de défense appartenant à l’État.

Les actions A détenues par Vanguard dépassent les actions détenues par le fonds EM de Blackrock, qui détient des participations dans 402 sociétés d’actions A. Un autre fonds, State Street, détient des actions de 778 sociétés A dans ses fonds EM.

« Il n’existe pas de politique américaine cohérente en matière d’investissement dans les titres chinois cotés en bourse ou dans les sociétés privées. Le statut juridique des actions A et l’opportunité de détenir ces actions dans les portefeuilles d’investissement américains restent une question non résolue », indique l’ACP dans son rapport.

Selon l’ACP, Vanguard doit informer correctement les investisseurs des risques encourus, car les sociétés chinoises d’actions A ne sont pas soumises aux normes comptables internationales qui protègent les intérêts des clients américains.

La CPA est une organisation nationale bipartisane qui représente les entreprises nationales américaines de différents secteurs et industries de l’économie. Le dernier rapport de la CPA attire l’attention sur la faille que les grandes sociétés de gestion d’actifs utilisent pour déverser l’épargne-retraite des citoyens dans des sociétés liées à l’APL.

Newsweek a précédemment révélé que le Thrift Savings Plan du gouvernement fédéral américain investissait les fonds des plans d’épargne-retraite des employés fédéraux dans les entreprises militaires de Pékin. Bien que l’investissement dans ces entreprises ne soit pas illégal au regard de la législation américaine, il soulève la question éthique du soutien aux entreprises liées à l’armée du principal adversaire stratégique des États-Unis.

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Macron veut des guerres

Égalité et RéconciliationPourquoi Macron veut-il tellement pousser le monde à la guerre ?

Égalité et Réconciliation - 06 fév 2024

Pourquoi la guerre ? Pourquoi Macron veut il tellement forcer le monde à la guerre ? C’est peut-être la question que nous devrions nous poser, pour résoudre un problème il faut en connaitre les raisons. Elles sont multiples mais convergentes.

   

Blanchiment d’argent. Le problème essentiel d’un gouvernement est de faire rentrer de l’argent dans son économie réelle. Comment ? par exemple le RMI, l’argent est donné aux clochards qui le dépensent tout de suite (les clochards ne capitalisent pas) et ainsi est créé du cash-flow pour l’économie. C’est bien mais les sommes sont ridicules. Sur le même principe, l’État vote des aides à l’Ukraine ; l’argent est donné à des pions qui le dépensent tout de suite en armements et ainsi créent du cash-flow pour le militaro-industriel.

Mais la masse monétaire de l’économie réelle, vous, votre boulanger, le restaurant, le plombier, a une fuite ; à savoir la capitalisation et les paradis fiscaux. Quand un riche planque ses sous aux Caraïbes, c’est autant de masse monétaire en moins dans le circuit réel. Et ce n’est pas un petit ruisseau qui coule, ni une rivière, ami lecteur, une rivière que dis-je, c’est un fleuve, l’Amazone, c’est le Gulf Stream.

- Mais quand l’État donne de l’argent, aux clochards, à l’industrie militaire, aux agriculteurs, d’où vient cet argent ? De la création ex nihilo, c’est-à-dire de rien. La monnaie est créée d’une ligne sur un ordi. Mais qui a ce pouvoir ? Qui a le pouvoir de faire des lignes de plusieurs milliards de mille sabords ? Qui est le bon dieu ?

Le bon Dieu appartient à ceux qui y croient. L’argent existe parce que on y croit. De la nécessité de croire c’est autre chose. Croire c’est être actif, ne pas croire est une position passive. Les bœufs ne croient pas. Une population qui ne croit en rien est le rêve du pouvoir totalitaire. La nécessité de croire est réelle pour construire une civilisation ; n’en déplaise à Harari, la croyance est réelle. Voir la fabrique du réel.

Mais revenons à pourquoi la guerre. Qui fabrique la monnaie ? Ce pouvoir a été enlevé aux rois, il appartient théoriquement aux nations, mais ce pouvoir a été soustrait aux nations. Le pouvoir de créer de la monnaie appartient aux banques privées. Les banques privées garantissent la valeur de la monnaie. Mais qui garantit les banques privées ?

Un peu d’histoire, la vraie. Depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale, depuis les accords de Bretton Woods ; 22 juillet 1944, la FED – La Réserve fédérale des États-Unis – gère la quantité d’or de l’Occident.

Comme la masse monétaire se réduit perpétuellement du fait du Gulf Stream, il faut perpétuellement la recréditer, comment ? Les banques font la cavalcade, ce pas de charge des chevaux de l’armée napoléonienne. La cavalcade dans le jargon de la finance c’est l’acte de payer un crédit en prenant un autre crédit, qui sera financé par un autre crédit.

C’est-à-dire que la fortune des banques consiste en quantité de… crédits. Les banques ne possèdent que des dettes, et avec ces dettes, impriment des billets qui représentent de la valeur.

Ce qui permet d’exporter de la monnaie et de recevoir des marchandises en retour. Cela a donné à l’Occident une énorme puissance financière et lui a permis de fonctionner comme un parasite de l’économie mondiale.

Ce mécanisme d’augmentation de la dette arrive à un niveau tel que nous avons essentiellement mis en débit tout ce que nous possédons, y compris nos maisons et nos terres, pour maintenir notre niveau de vie. Nous ne possédons plus rien, maintenant que la dette a été soustraite. La dette est depuis longtemps devenue inutilisable – bien au-delà de notre capacité à payer des intérêts – ce qui explique pourquoi les taux d’intérêt en Occident sont proches de zéro. Toute augmentation rendrait la dette irréparable et nous ferions tous officiellement faillite en un jour. Nous sommes en 15 août 1971, Nixon met fin au régime de Bretton Woods, tout le monde sait cela.

Nixon signe l’arrêt de mort de Bretton Woods. La monnaie mondiale peut et doit être fabriquée en abondance, ce qui sape la confiance dans le dollar. Mais le dollar, pour recréer de la confiance, s’appuie sur le mécanisme du pacte du Quincy, soit la rencontre du 14 février 1945 du roi Saoud et de Roosevelt. Le pacte mentionne la protection de l’Arabie Saoudite par la force militaire US en contrepartie de quoi, le royaume Saoud s’engage à vendre son pétrole uniquement en dollars.

Ce pacte est fondamental car il contient l’équilibre du monde. En effet, acheter son énergie en dollars est une garantie que le dollar sera toujours demandé, donc toujours valable. Par extension, les US et leur armée ont forcé le monde à tout négocier en dollars, se garantissant le fait que le dollar soit toujours demandé. Les États-Unis s’installent dans la position de débiteurs à l’égard du reste du monde, et laissent les autres pays les financer en accumulant des dollars, concrètement c’est une position de prédateur, ou de parasite. Obama a poussé le bouchon jusqu’à imposer l’extra-territorialité de la loi américaine. C’est-à-dire quiconque utilise le dollar se trouve sous la loi américaine. Loi toute relative sur qui celle-ci s’exerce. Ce sont les fameuses règles du Nouvel Ordre mondial. « Le monde a besoin de règles » chantonnent toutes les marionnettes du pouvoir, ces règles ne sont que les ordres des dominants.

Ceci permet aux banques américaines – car la Fed appartient à un petit conglomérat de banques privées – de mettre le monde en coupe réglée. D’asservir le monde, c’est le plan. Toutes les nations refusant de se soumettre sont détruites, alimentant le militaro-indus US. Double bénéfice.

Par ailleurs les USA prennent bien soin de diviser, diviser pour mieux régner, tout groupe de nations qui pourrait faire bloc pour résister. Triple bénéfice. Seulement voilà.

Voila, tout le monde n’est pas d’accord.

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les droits de l’humanité ne sont qu’une fiction

Réseau InternationalLa légitimation de la pédophilie devient une formalité

Réseau International - 06 fév 2024

Selon Harari, le lobbyiste du WEF, les droits de l’humanité ne sont qu’une fiction.

   

Il y a soixante-dix mille ans, nos ancêtres humains étaient des animaux insignifiants, s’occupant simplement de leurs propres affaires dans un coin d’Afrique avec tous les autres animaux. Mais aujourd’hui, rares sont ceux qui nieraient que les humains dominent la planète Terre ; nous nous sommes répandus sur tous les continents et nos actions déterminent le sort des autres animaux (et peut-être de la Terre elle-même). Comment sommes-nous arrivés de là à ici ? L’historien Yuval Noah Harari suggère une raison surprenante à l’essor de l’humanité.

Cette vidéo vieille de 10 ans et visionnée plus de 4 millions de fois, vous démontrent par a+b tout le mépris que cet homme peut avoir pour la populace humaine. Evidemment, ces commentaires désobligeants ne s’appliquent pas à ses commanditaires milliardaires puisque ce sont des dieux.

Ce discours haineux doit être dénoncé haut et fort par tout un chacun pour éviter la montée en puissance d’une culture déshumanisante, abjecte et monstrueuse. De fait, les mots manquent pour décrire la philosophie de la star des milliardaires.

Ce n’est pas tout. En méprisant la législation faite par les humains de manière générale, cet influenceur cherche à faire tomber les tabous, les lignes rouges que la société ne franchit pas en temps normal.

Ce discours est très utile à des puissants dont le comportement délinquant pourrait tomber sous le coup de la loi.

Exemple. La pédophilie qui est supposée être sévèrement sanctionnée émerge doucettement et se place au cœur de la société.

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psychothérapie sociale

InsolentiaeMouvement agricole : Fin de la psychothérapie sociale

Insolentiae - 05 fév 2024

Les syndicats agricoles ordonnent aux paysans de rentrer chez eux.

   

Hahahahahaha. Tout ceci est toujours cousu de fil blanc avec les syndicats qui ne sont que les courroies de transmission des gouvernements successifs.

Ils organisent et canalisent juste le mécontentement social.

Ils sont les organisateurs des psychothérapies sociales collectives.

Avec le mouvement des agriculteurs nous atteignons des sommets et objectivement cela se voit.

La FNSEA ne voulait pas manifester. Dépassée par sa base, elle y est allée en mettant tous les freins nécessaires.

L’Etat, bon joueur, a laissé faire quelques bennages de purin et autres lisiers.

On a laissé tout le monde se défouler pendant une grosse semaine.

Puis… allez, zou, rentrez niche, coucouche panier.

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Dernière modification par Nathan - 55 ans il y a
Gaza la faillite morale

Réseau InternationalLe silence des damnés

Réseau International - 05 fév 2024

Les principales institutions humanitaires et civiques des États-Unis, y compris les principales institutions médicales, refusent de dénoncer le génocide israélien à Gaza. Cela révèle leur hypocrisie et leur complicité.

   

Il n’existe plus de système de santé efficace à Gaza. Des nourrissons meurent. Des enfants sont amputés de membres sans anesthésie. Des milliers de patients atteints de cancer et de personnes nécessitant une dialyse manquent de traitement. Le dernier hôpital oncologique de Gaza a cessé de fonctionner. On estime que 50 000 femmes enceintes n’ont pas d’endroit sûr où accoucher. Elles subissent des césariennes sans anesthésie. Les taux de fausses couches ont augmenté de 300 pour cent depuis le début de l’assaut israélien. Les blessés se vident de leur sang. Il n’y a pas d’assainissement ni d’eau potable. Les hôpitaux ont été bombardés et bombardés. L’hôpital Nasser, l’un des derniers hôpitaux fonctionnels à Gaza, est «sur le point de s’effondrer». Des cliniques ainsi que des ambulances – 79 à Gaza et plus de 212 en Cisjordanie – ont été détruites. Quelque 400 médecins, infirmières et agents de santé ont été tués – soit plus que le total de tous les agents de santé tués dans les conflits dans le monde réunis depuis 2016. Plus de 100 autres ont été détenus, interrogés, battus et torturés, ou ont disparu par des soldats israéliens.

Les soldats israéliens entrent régulièrement dans les hôpitaux pour procéder à des évacuations forcées – mercredi, les soldats sont entrés dans l’hôpital al-Amal à Khan Younis et ont exigé que les médecins et les Palestiniens déplacés partent – ​​ainsi que pour rassembler les détenus, y compris les blessés, les malades et le personnel médical. Mardi, déguisés en employés de l’hôpital et en civils, des soldats israéliens sont entrés dans l’hôpital Ibn Sina de Jénine, en Cisjordanie, et ont assassiné trois Palestiniens pendant leur sommeil.

Les réductions du financement de l’Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA) – une punition collective pour l’implication présumée dans l’attaque du 7 octobre de 12 de ses 13 000 employés de l’UNRWA – vont accélérer l’horreur, car les attaques, la famine, le manque de soins de santé et la propagation des maladies infectieuses à Gaza se sont transformés en un raz-de-marée de morts.

Des accusations sans preuves, qui incluent l’accusation selon laquelle 10 pour cent de tout le personnel de l’UNRWA à Gaza ont des liens avec des groupes militants islamistes, ont été publiées dans le Wall Street Journal. La journaliste, Carrie-Keller Lynn, a servi dans les Forces de défense israéliennes (FDI). Compte tenu des nombreux mensonges qu’Israël a utilisés pour justifier son génocide, notamment les «bébés décapités» et les «viols massifs», il est raisonnable de supposer qu’il s’agit peut-être d’une autre fabrication.

Les allégations, dont les détails restent rares, sont apparemment basées sur des aveux de détenus palestiniens – très certainement après avoir été battus ou torturés. Ces allégations ont suffi à voir 17 pays, dont les États-Unis, le Canada, le Royaume-Uni, l’Allemagne, la France, l’Australie et le Japon, réduire ou retarder le financement de cette agence vitale des Nations Unies. L’UNRWA est tout ce qui sépare les Palestiniens de Gaza de la famine. Une poignée de pays, dont l’Irlande, la Norvège et la Turquie, maintiennent leur financement.

Huit des employés de l’UNRWA accusés d’avoir participé à l’attaque du 7 octobre dans le sud d’Israël, où 1 139 personnes ont été tuées et 240 enlevées, ont été licenciés. Deux ont été suspendus. L’UNRWA a promis une enquête. Ils représentent 0,04 pour cent du personnel de l’UNRWA.

Israël cherche à détruire non seulement le système et les infrastructures de santé de Gaza, mais également l’UNRWA, qui fournit de la nourriture et de l’aide à 2 millions de Palestiniens. L’objectif est de rendre Gaza inhabitable et de nettoyer ethniquement les 2,3 millions de Palestiniens de Gaza. Des centaines de milliers de personnes meurent déjà de faim. Plus de 70 pour cent des logements ont été détruits. Plus de 26 700 personnes ont été tuées et plus de 65 600 ont été blessées. Des milliers de personnes sont portées disparues. Environ 90 pour cent de la population de Gaza d’avant-guerre a été déplacée, la plupart vivant à découvert. Les Palestiniens en sont réduits à manger de l’herbe et à boire de l’eau contaminée.

Noga Arbell, un ancien responsable du ministère israélien des Affaires étrangères, a déclaré lors d’un débat au parlement israélien le 4 janvier : «Il sera impossible de gagner la guerre si nous ne détruisons pas l’UNRWA, et cette destruction doit commencer immédiatement.»

«L’UNRWA est une organisation qui perpétue le problème des réfugiés palestiniens», a déclaré le Premier ministre Benjamin Netanyahu en 2018. «Elle perpétue également le récit du soi-disant «droit au retour» dans le but d’éliminer l’État d’Israël, et l’UNRWA doit donc disparaître.»

Un haut responsable israélien anonyme a salué la suspension du financement de l’UNRWA, mais a insisté mercredi sur le fait que le gouvernement n’appelait pas à sa fermeture.

Plus de 152 employés de l’UNRWA à Gaza – dont des directeurs d’école, des enseignants, des agents de santé, un gynécologue, des ingénieurs, du personnel de soutien et un psychologue – ont été tués depuis le début des attaques israéliennes. Plus de 141 installations de l’UNRWA ont été détruites par les bombardements. Il s’agit de la plus grande perte de personnel lors d’un conflit dans l’histoire de l’ONU.

La destruction des établissements de santé et le ciblage des médecins, du personnel infirmier et du personnel médical sont particulièrement répugnants. Cela signifie que les plus vulnérables, les malades, les nourrissons, les blessés et les personnes âgées, ainsi que ceux qui les soignent, sont souvent condamnés à mort.

Les médecins palestiniens implorent les médecins et les organisations médicales du monde entier de dénoncer l’attaque contre le système de santé et de mobiliser leurs institutions pour protester.

«Le monde doit condamner les actes contre les professionnels de la santé qui se produisent à Gaza», écrit le directeur de l’hôpital Al-Shifa, Muhammad Abu Salmiya, qui a été arrêté avec d’autres membres du personnel médical par les Israéliens en novembre 2023 alors qu’il était évacué avec l’aide de l’Organisation mondiale de la santé du convoi, et qui reste en détention. «Cette correspondance est un appel lancé à chaque être humain, à toutes les communautés médicales et à tous les professionnels de la santé du monde entier pour qu’ils demandent que ces activités anti-hospitalières à l’intérieur et autour des hôpitaux cessent, ce qui est une obligation civile selon le droit international, l’ONU et l’OMS.»

Mais ces institutions – à quelques exceptions notables près, comme l’Association américaine de santé publique qui a appelé à un cessez-le-feu – soit sont restées silencieuses, soit, comme le Dr Matthew K. Wynia, directeur du Centre de bioéthique et de sciences humaines de l’Université du Colorado, a tenté de justifier les crimes de guerre israéliens. Ces médecins – qui trouvent acceptable qu’à Gaza un enfant soit tué toutes les 10 minutes en moyenne – sont complices du génocide et violent la Convention de Genève. Ils considèrent la mort comme une solution, pas la vie.

Robert Jay Lifton, dans son livre «The Nazi Doctors: Medical Killing and the Psychology of Genocide», écrit que «les projets génocidaires nécessitent la participation active de professionnels instruits – médecins, scientifiques, ingénieurs, chefs militaires, avocats, membres du clergé, professeurs d’université et autres enseignants». – qui se combinent pour créer non seulement la technologie du génocide, mais aussi une grande partie de sa justification idéologique, de son climat moral et de son processus organisationnel.

En novembre 2023, un groupe de 100 médecins israéliens a défendu le bombardement d’hôpitaux à Gaza, affirmant qu’ils étaient utilisés comme centres de commandement du Hamas, une accusation qu’Israël n’a pas pu vérifier.

Les doyens des facultés de médecine américaines et les principales organisations médicales, notamment l’American Medical Association (AMA), ont rejoint les rangs des universités, des facultés de droit, des églises et des médias pour tourner le dos aux Palestiniens. L’AMA a mis fin au débat sur une résolution de cessez-le-feu entre ses membres et a appelé à la «neutralité médicale», bien qu’elle ait abandonné la «neutralité médicale» pour dénoncer l’invasion de l’Ukraine par la Russie.

Il y a un coût à dénoncer ce génocide, un coût qu’ils n’ont pas l’intention de payer. Ils ont peur d’être attaqués. Ils craignent de détruire leur carrière. Ils craignent de perdre leurs financements. Ils craignent une perte de statut. Ils craignent d’être persécutés. Ils craignent l’isolement social. Cette peur les rend complices.

Et qu’en est-il de ceux qui s’expriment ? Ils sont qualifiés d’antisémites et de partisans du terrorisme. Lara Sheehi, professeure de psychologie clinique à l’Université George Washington, a été licenciée. L’ancien directeur de Human Rights Watch, Kenneth Roth, s’est vu refuser une bourse au Carr Center for Human Rights Policy de Harvard en raison de son prétendu «parti pris anti-israélien». Rabab Abdulhadi, professeur à San Francisco, a été poursuivi en justice pour avoir soutenu les droits des Palestiniens. Shahd Abusalama a été suspendue de l’Université Sheffield Hallam au Royaume-Uni après une vicieuse campagne de diffamation, bien que l’institution ait par la suite accepté sa plainte pour discrimination à son encontre. Le professeur Jasbir Puar de l’Université Rutgers est une cible permanente du lobby israélien et subit un harcèlement constant. Les étudiants et professeurs de médecine au Canada risquent d’être suspendus ou expulsés s’ils critiquent publiquement Israël.

Le danger n’est pas seulement que les crimes israéliens soient dénoncés. Le danger, plus important encore, est que la faillite morale et la lâcheté des institutions et de leurs dirigeants soient révélées.

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