Les données de plus de 33 millions de personnes sont compromises : des informations comme l’état civil, la date de naissance, le numéro de sécurité sociale, le nom de l’assureur santé et les garanties du contrat.
Mais les données les plus sensibles telles que les informations bancaires, médicales, les remboursements santé, les coordonnées postales, les numéros de téléphone et les courriels « ne seraient pas concernées par la violation », selon la Cnil.
Vu le degré d’honnêteté et d’efficacité de la CNIL, qui est à l’image du médiateur de l’énergie ou des banques radicalement inutile, on peut commencer à se faire du souci. Si vous avez un numéro de sécu et une mutuelle, alors il est probable que vos données sont « dans la nature ». La question, c’est quel genre de nature... Et ce ne sont pas les médias mainstream qui vous le diront !
Ce genre de piratage n’est pas anodin, et il n’est pas sûr qu’il provienne des Russes ou des Chinois, nos deux grands ennemis selon Biden, Leyen et Macron. Notre petit doigt nous dit, en vertu du cui bono, que ce genre de données, votre historique de soins, de pathologies, votre carte sanitaire en un mot, intéresse prodigieusement le Big Pharma – mais aussi le Big Tech (les GAFAM) –, qui investit énormément dans le secteur de la santé.
C’est le marché non seulement du siècle, mais de l’avenir. Car aujourd’hui, on l’a vu avec le sida dans les années 80, le H1N1 dans les années 2010 et le covid dans les années 2020 (une pandémie bidon tous les 10 ans maintenant), on fabrique de nouvelles maladies pour agrandir le marché. Le capitalisme, dont le profit est victime de l’entropie, a besoin de nouveaux marchés, et dans le domaine de la santé, y a pas mieux qu’une petite maladie inventée, mentale ou physique, virale ou autre.
Alors, pour savoir de quoi les gens souffrent, par exemple les Français, il suffit de payer une bonne petite équipe de hackers qui vont fournir un fichier gigantesque qui vaudra des milliards, des dizaines ou des centaines de milliards d’euros. On accuse le Big Parma, mais il faut des complicités, soit dans l’administration de la Sécu ou des sociétés de tiers-payant, soit au ministère. Depuis quatre ans, on a vu à quel point le politique était lié au Big Parma, on imagine alors une coprod, un braquage en interne...
Bien sûr, tout ceci n’est que supputations, mais on ne voit pas à qui d’autre peut profiter ce vol. Un petit génie de la Camorra ? Allons...
Dans la même veine, il y a 16 ans très exactement, le 25 février 2008, le groupe Lagardère rachetait le site soi-disant féminin Doctissimo pour 138 millions d’euros. Mais ce n’était pas le côté féminin qui intéressait Lagardère, c’était le superfichier de dizaines de millions de Français qui avaient laissé leur trace, c’est-à-dire leurs questions, leurs angoisses et leur CV de « malades », sur le site.
Et c’est pas fini : Doctissimo était la création de Laurent Alexandre, le transhumaniste fou, et de Claude Malhuret, l’ancien ministre des Droits de l’homme (on ne rit pas) qui a injurié les résistants à la tyrannie sanitaire, les antipass et les antivax, pendant 3 ans.
Malhuret est aujourd’hui sénateur, on le revoit en janvier 2022 défendre le menteur pathologique Olivier Véran, alors en poste à la Santé. La Santé du Big Pharma, entendons-nous.
Le Dr Astrid Stuckelberger donne des nouvelles révolutionnaires selon lesquelles les injections sont ▪100% synthétiques.
Les injections sont des ???? ARMES de guerre biologiques‼
Les médecins se rendent maintenant compte qu’ils ont été ▪achetés et ▪dupés par Big Pharma.
Beaucoup font des dépressions émotionnelles en réalisant qu’ils ont participé a un GÉNOCIDE de masse.
II a été prouvé par des expériences rigoureuses que les vaccins contiennent de la ????nanotechnologie et de ????l’oxyde de graphène.
Bill Gates dirigeait le plan de vaccination de l’OMS depuis 2012 et it est toujours aux commandes
La programmation bio moléculaire peut être réalisée synthétiquement.
???? L’oxyde de graphène est (‘élément du lipide bio moléculaire informatisé qui crée des ???? nano-circuits dans le corps humain.
Le récit de la technologie de l’ARNm est une opération psychologique du gouvernement pour tromper les chercheurs
et leur faire croire que les injections étaient biologiques.
???????????? ELLES ne sont PAS biologiques ‼‼‼
Alors que les élections présidentielles russes auront lieu dans à peine un mois, les médias étrangers ainsi que les Centres d’Opérations Psychologiques et d’Information (CIPSO) ukrainiens tentent de déstabiliser la situation en fédération de Russie à coup de fausses nouvelles, et de provocations.
Les opposants pro-occidentaux de Russie ayant sombré dans les limbes médiatiques, et ne pouvant pas participer aux élections car ils sont incapables de réunir les conditions requises pour être candidats, il ne reste que ceux se trouvant à l’étranger, les CIPSO ukrainiens et les médias occidentaux pour organiser la guerre informationnelle contre les élections présidentielles russes de 2024. Et de ce point de vue-là, le moins qu’on puisse dire c’est qu’ils sont actifs, et prêts à tout pour déstabiliser la situation du pays.
Les médias étrangers jouent comme d’habitude la carte de «l’absence de démocratie», en brandissant un obscur inconnu, Nadejdine (qui a été disqualifié comme candidat par la commission électorale centrale car il y avait plus d’erreurs – comprendre falsifications – dans les signatures d’électeurs recueillies que ce qui était toléré, il y avait même des morts parmi les signataires), comme étant prétendument le seul opposant à Vladimir Poutine lors de ces élections.
Or, en consultant le site de la commission électorale centrale russe, on constate facilement qu’il y a quatre candidats : Vladislav Davankov (Nouvelles Personnes), Vladimir Poutine (indépendant), Leonid Sloutski (parti LDPR), et Nikolaï Kharitonov (parti communiste). Ce qui fait trois opposants à Vladimir Poutine. Oups.
Je rappelle d’ailleurs pour ceux qui croient encore ce qu’écrivent les médias occidentaux, que le parti communiste est depuis longtemps le principal parti d’opposition au parlement russe (ils ont reçu presque 19% des voix lors des dernières élections législatives bien loin devant les partisans de Navalny, Iabloko et autres partis pro-occidentaux, qui n’ont jamais eu des pourcentages à plus d’un chiffre).
Ce genre de mensonge ne pouvant marcher sur les Russes, qui savent ce qu’il en est, il reste alors les CIPSO ukrainiens pour essayer de provoquer des troubles dans le pays. Leurs moyens de pression de choix sont de jouer sur les relations interethniques et sur les jeunes, qui n’ont pas encore acquis un sens critique aiguisé face aux informations, comme le souligne Alexandra Vrembiak, analyste au Centre national d’information sur la lutte contre le terrorisme et l’extrémisme dans l’environnement éducatif et sur Internet.
Si certains médecins parlent de la vitamine C, du zinc, du glutathion et de la suramine contenue dans les aiguilles de pins sylvestre comme le Dr Judith Mikovits, nous découvrons sans cesse les effets pervers voire mortels du vaccin Covid sur le long terme, comme l’atteste à présent une équipe de médecins roumains.
Les avertissements des médecins roumains se sont confirmés. Le vaccin Covid peut provoquer le meurtre parfait en s’attaquant à différents organes du corps à différents moments après l’injection. Des études récentes montrent un lien direct entre le vaccin Covid et la vascularite associée aux anticorps cytoplasmiques antineutrophiles (ANCA), qui peut toucher plusieurs organes. Malheureusement, il est difficile de poser le diagnostic avant qu’il ne soit trop tard et les personnes traitées doivent continuer à faire l’objet d’une surveillance médicale.
Il y a deux ans, le Dr Oana Mihaela Secară (photographie) a mis en garde contre les dangers des vaccins Covid, qui peuvent détruire les parois des vaisseaux sanguins et affecter différents organes de l’organisme. Ceci, ajouté à la différence de temps qui s’est écoulé depuis la vaccination, fait de ce vaccin un tueur parfait, car il est presque impossible d’établir un lien de cause à effet.
Les nouvelles études qui ont fait surface montrent très clairement que la théorie des médecins roumains est aussi réelle qu’elle peut l’être. Ainsi, les médecins sont arrivés à la conclusion, sur la base de plusieurs études de cas, que les vaccins Covid déclenchent le développement d’une vascularite associée à des anticorps cytoplasmiques antineutrophiles (ANCA) et pouvant affecter plusieurs organes, écrit theepochtimes.com. La vascularite associée aux ANCA peut endommager les petits vaisseaux sanguins. Comme ceux-ci sont répartis dans tout le corps, n’importe quelle partie du corps peut être touchée, le plus souvent les poumons, les reins, les articulations, les oreilles, le nez et les nerfs.
“Les neutrophiles sont un type de globules blancs qui aident le corps à lutter contre les infections et à cicatriser les plaies. Les ANCA sont des auto-anticorps nocifs qui se lient aux neutrophiles dans le sang, libèrent des toxines et endommagent les parois des petits vaisseaux sanguins. Cela peut également entraîner la migration des neutrophiles à travers les parois des vaisseaux sanguins et déclencher une inflammation dans les tissus environnants. De plus, des facteurs de signalisation sont libérés, ce qui attire encore plus de neutrophiles, entretient l’inflammation et endommage davantage les petits vaisseaux sanguins”, expliquent les chercheurs selon theepochtimes.com.
Epidémie de vascularite
Un nombre croissant de rapports médicaux indiquent que la vaccination largement répandue a entraîné chez certaines personnes le développement d’une vascularite avec des lésions multi-organes. Selon une analyse au cas par cas, cinq types de vaccins Covid-19 ont été associés à une vascularite associée aux ANCA. L’étude a porté sur les cas de 29 patients, dont 22 avaient reçu des vaccins ARNm (Moderna et Pfizer), quatre d’AstraZeneca, deux de Covaxin et un de Johnson & Johnson. Tous ont présenté des symptômes de vascularite associée aux ANCA après avoir reçu l’un de ces vaccins Covid-19. “En particulier, 22 patients présentaient des lésions rénales qui se manifestaient sous la forme d’une glomérulonéphrite nouvellement apparue ou récurrente. Au moins 24 patients présentaient une hématurie. Dix présentaient des lésions pulmonaires, cinq cas d’hémorragies alvéolaires, une personne a développé une névrite optique et une autre une chondrite auriculaire”, indique l’étude.
La plupart des patients recevaient un traitement immunosuppresseur, y compris des stéroïdes. En outre, cinq patients subissaient un échange plasmatique et au moins cinq patients étaient encore sous dialyse lors du dernier suivi. L’étude a montré que les vaccins à ARNm peuvent stimuler les cellules myéloïdes et dendritiques à des degrés divers, activant ainsi des voies de signalisation en aval qui déclenchent l’auto-inflammation. De plus, les vaccins ARNm produisent des anticorps antiviraux neutralisants et activent les lymphocytes T CD8+ et CD4+, ce qui déclenche une forte réponse immunitaire. La vascularite peut entraîner des lésions multi-organes.
Dysfonctionnement irréversible des organes
La vascularite associée aux ANCA peut mettre la vie en danger si elle n’est pas traitée immédiatement. Bien qu’un diagnostic précoce et un traitement adéquat entraînent une amélioration dans la plupart des cas, un traitement retardé ou une mauvaise réponse au traitement initial peuvent entraîner des dysfonctionnements irréversibles des organes, nécessitant des procédures telles que la dialyse sanguine chez les patients souffrant d’insuffisance rénale. De plus, les patients doivent se faire examiner régulièrement par des spécialistes, car les symptômes peuvent réapparaître, ajoute theepochtimes.com.
Selon lui, la vision actuelle de la santé promue par les autorités est obsolète et archaïque, favorisant davantage les intérêts de l'industrie pharmaceutique que le bien-être réel des citoyens.
Jérémie Mercier aborde le sujet de la santé en soulignant l’importance de s’occuper de soi-même. Il remet en question l’idée selon laquelle se conformer strictement aux recommandations des autorités est la seule voie « scientifique, rationnelle et intelligente ». Au contraire, il met en avant des pratiques considérées par certains comme « complotistes », telles que l’alimentation saine, la gestion du stress, les cures, le jeûne, l’utilisation d’huiles essentielles et de vitamines D.
Dans une lettre aux députés intitulée « projet de loi sur les dérives sectaires », l’association BonSens.org alerte la représentation nationale sur les clauses inacceptables pour la démocratie, les libertés fondamentales, la liberté d’expression qui vont des débats scientifiques à la liberté d’expression des scientifiques et médecins et la protection des lanceurs d’alerte.
Le courrier a été envoyé ce 9 février 2024 aux présidents de groupes de l’Assemblée Nationale ainsi qu’aux non inscrits et par mail à chaque député français afin qu'ils prennent conscience de cette situation critique. A savoir le fait que la commission des lois a trouvé bon de restaurer des "ces articles qui n’ont trouvé droit de cité que dans les pires dictatures."
"Avec ce projet de loi que vous vous préparez à voter, et notamment les articles 4 et 5, ces alertes médicales et scientifiques ne pourraient plus être lancées sous peine de risque d’emprisonnement et d’amendes pour qui s’y risquerait."
Le courrier en entier est reproduit ci-après.
Madame la Députée, Monsieur le Député
L’heure est très grave pour notre démocratie, nos libertés fondamentales, la liberté des débats scientifiques, la liberté de s’exprimer des médecins et des scientifiques, et la protection des lanceurs d’alerte.
Vous allez devoir voter prochainement un projet de loi [1] visant à « renforcer la lutte contre les dérives sectaires ». Dans ce texte de loi, pourtant récemment expurgé par le Sénat de trois articles dangereux pour notre vie républicaine et démocratique, notamment l’article 4 et 5, visant à instaurer des nouveaux délits dans le Code Pénal, la commission des lois a jugé bon de restaurer ces articles qui n’ont trouvé droit de cité que dans les pires dictatures.
Si vous n’êtes pas convaincus du danger que représentent ces articles 4 et 5 il faut vous rappeler que l’histoire récente a révélé, grâce à un presse libre et des lanceurs d’alertes courageux, de nombreux scandales sanitaires où les autorités elles-mêmes ont été condamnées. Voici deux exemples assez récents que vous n’avez certainement pas encore oubliés.
Dans l’affaire du MEDIATOR des laboratoires SERVIER [2] , médicament commercialisé pendant 33 ans de 1976 à 2009, accusé d’avoir causé la mort de 1 500 à 2 100 personnes en France, sans compter celles souffrant encore des conséquences des effets secondaires.
La Lanceuse d’alerte de l’époque, était la pneumologue IRÈNE FRACHON.
Les CONDAMNATIONS ont été prononcés en 2021, (et en 2023 après appel du Groupe Servier)
Le Groupe Serviera été reconnu coupable de mise en danger de la santé, escroquerie, homicides et blessures involontaires, trafic d’influence et d’obtention indue de mise sur le marché et condamné à hauteur de 180 millions d’euros versés aux victimes et 415 millions d’euros aux organismes sociaux/ Mutuelles
L’ANSMa été condamnée pour négligences à 303 000 euros d’amende. (à l’époque Afssaps pour Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé)
Dans l’affaire du LEVOTHYROX [3] , le changement de formule du médicament en 2017 par Merck avait entrainé de nombreuses déclarations d’effets indésirables en pharmacovigilance et des victimes avaient porté plainte. L’ANSM avait assuré que les effets indésirables étaient dus à un déséquilibre thyroïdien causé par le changement de traitement et pas à la nouvelle formule. Pourtant en mars 2018, une enquête au pénal était ouverte. Des chercheurs de l’Université de Toulouse concluaient que la nouvelle formule ne présentait pas de garanties suffisantes pour les patients. Merck était condamnée en 2020 pour avoir commis une faute lors du changement de formule et a dû verser 3,3 millions d’euros aux plaignants.
Fin 2022, Merck a été mis en examen pour tromperie aggravée et l’ANSM a également été mise en examen pour tromperie.
Il y a également eu les affaires du sang contaminé, de la Dépakine, du Distilbène, des hormones de croissance, de l’Isoméride, du Vioxx, du Thalidomide que les français ont en mémoire.
Avec ce projet de loi que vous vous préparez à voter, et notamment les articles 4 et 5, ces alertes médicales et scientifiques ne pourraient plus être lancées sous peine de risque d’emprisonnement et d’amendes pour qui s’y risquerait.
Il est critique que vous preniez conscience de cela.
Même le Conseil d’État s’est prononcé contre ces dispositions.
Dans un avis du 9 novembre 2023 [4], le CONSEIL D’ÉTAT avait estimé que les faits ciblés étaient déjà couverts par la répression de l’exercice illégal de la médecine. Selon cet avis, la mesure pourrait porter atteinte à la liberté d’expression, quand elle s’exerce au travers d’ « un discours général et impersonnel, par exemple tenu sur un blog ou un réseau social » et remettre en cause, « par une incrimination de contestations de l’état actuel des pratiques thérapeutiques, la liberté des débats scientifiques et le rôle des lanceurs d’alerte« .
Ce qui est vrai un jour en science, ne l’est pas toujours le lendemain, et c’est ainsi depuis que le monde est monde car la science est en perpétuelle évolution par les nouvelles données qui émergent.
La critique constructive et la remise en question des informations sont des aspects essentiels du processus scientifique, et cela doit être fait de manière transparente et respectueuse. Un consensus scientifique n’a de valeur que sur une période limitée et que s’il prend en compte des opinions divergentes La science est un débat permanent, étouffer ce débat au nom d’un faux consensus revient à tuer à la fois tout progrès ou tout mécanisme correctif. C’est le pluralisme des idées – et non la censure – qui nous fait progresser.
Face à l’influence anormale et souvent illégale (pratiques connues de corruption et prise d’intérêt) des laboratoires pharmaceutiques dans les décisions de Santé Publique, il est essentiel de préserver le garde-fou qu’est la liberté d’expression sur ces questions de santé, et notamment pour les médecins, les scientifiques, et les associations de défense des citoyens ou les associations de victimes d’effets indésirables des médicaments.
Par exemple, parce que les autorisations de mise sur le marché des vaccins Covid-19 l’ont été uniquement sur la base d’essais cliniques menés par les fabricants de vaccins eux-mêmes, qu’aucune étude clinique randomisée n’avait été réalisée de manière indépendante, alors nous assistons à un échec retentissant mettant à mal la parole publique, changeant de discours au gré des nouvelles données. Malheureusement aujourd’hui la vaccination classique souffre de ces erreurs, de ces annonces erronées par les autorités sanitaires qui se sont décrédibilisées.
Rappelez-vous, dans la crise Covid-19 que nous avons traversée, le discours des autorités sanitaires a évolué de : « Tous vaccinés, Tous protégés » avec des vaccins « sûrs et efficaces » avec 95% d’efficacité vers un discours où les vaccins finalement ne protégeaient pas de l’infection, mais seulement des formes graves et, enfin plusieurs mois après le début des vaccinations, des effets indésirables graves reconnus de myocardites et péricardites surtout chez les jeunes hommes, population non à risque qui n’avait pas besoin d’être vaccinée et à qui on a fait courir un risque inutile d’une maladie chronique potentiellement d’évolution très grave, ou des troubles menstruels hémorragiques (reconnus tardivement par les autorités de santé) nécessitant potentiellement des hospitalisations chez des jeunes femmes dont à cette heure il n’y a aucune certitude sur l’impact que cela a pu avoir sur leur fertilité.
Rappelez-vous, il y a même eu abandon de certains vaccins (AstraZeneca, Johnson et Johnson) pour les moins de 55 ans à cause de risques très graves de thromboses, dont le décès du jeune Anthony Rio, 24 ans, qui a été reconnu lié à la vaccination [5]. Sans les alertes de médecins, scientifiques, associations de victimes, combien de morts ces vaccins auraient pu provoquer chez les jeunes ?
Dans l’Histoire c’est toujours ainsi que les scandales sanitaires ont été mis à jour : par la parole libre des médecins, des scientifiques, des citoyens, des associations de victimes, associations de citoyens, qui se battent, des mois ou même des années durant, avant que les autorités sanitaires ne réagissent ou que la justice ne puisse se prononcer.
Avez-vous pensé cette loi d’un point de vue international ? Savez-vous que des traitements contre certaines pathologies sont autorisés dans certains pays ( Covid19 [6] [7], Cancer [8] [9], Maladie de Lyme [10] etc) et pas dans d’autres comme la France ? Que penser des autorités sanitaires de ces pays ? Que ce sont des sectes ? Juste parce que leurs protocoles nationaux sont différents de ceux décidés en France par l’ANSM et la HAS9 ? Voyez-vous le non-sens de cette loi ?
Et enfin avez-vous pensé à la Recherche scientifique française ?
Lorsque l’article 4 du projet annonce « Lorsque ces délits sont commis par la voie de la presse écrite ou audiovisuelle, les dispositions particulières des lois qui régissent ces matières sont applicables en ce qui concerne la détermination des personnes responsables. », mais qu’en est-il de la presse et des médias étrangers ?
Juridiquement les scientifiques français qui publieront dans un journal étranger pourront-ils être passibles de poursuites selon le contenu de leur étude ou leur prise de position scientifique ?
L’article 4 de ce projet de loi [11] empêcherait les scientifiques français de publier leurs travaux, y compris dans des revues scientifiques françaises et internationales, et cela serait un risque majeur pour la crédibilité de la recherche française.
Certes l’Ordre des médecins n’y a pas pensé car il ne fait pas de recherche scientifique, mais VOUS, vous devez y penser et empêcher cela.
Il est essentiel de voter contre les articles 4 et 5 du projet de loi contre « les dérives sectaires » car ces articles n’ont rien à voir avec le sujet des sectes, ils ne sont que censure dangereuse pour la science et pour la santé publique.
Pour conclure, il nous semble important de rappeler que la liberté d’expression a été consacrée successivement dans l’article 11 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen (24 août 1789 [12], l’article 10 de 1950 de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales [13] et l’article 19 de la Déclaration universelle des droits de l’homme [14].
Les articles 4 et 5 de ce projet de loi rappellent également des heures sombres de l’histoire et notamment la Loi des Suspects [15].
Votée le 12 août 1793, en pleine Terreur dont elle devient le meilleur instrument, cette loi permettait l’arrestation immédiate, sans motif comme sans preuve, de tous ceux qui « n’ont pas constamment manifesté leur attachement à la Révolution » ou de ceux qui « n’ayant rien fait contre la Liberté, n’ont rien fait pour elle».
Ici, ces articles permettront de poursuivre sans preuve, tous ceux qui auront une opinion différente de celle des autorités sanitaires sur les vertus thérapeutiques de produits (éventuellement nouveaux) mis sur le marché par les laboratoires pharmaceutiques. Aucune critique n’en sera permise et à la fin seront suspects de dérives sectaires, non seulement ceux qui douteront de la qualité de ces produits, mais aussi tous ceux qui refuseront de les prescrire.
Il faut cependant se souvenir que la « loi des Suspects a emporté les révolutionnaires eux-mêmes, qui ont fini par tomber à leur tour sous le coup de cette loi à double tranchant qu’ils ont faite pour se débarrasser de leurs ennemis.»
N’oublions jamais cela.
Nous vous remercions d’avoir pris connaissance de notre alerte sur ce qu’il convient de nommer une dérive législative – a minima – sur le plan de la science et de son évolution.
Bien respectueusement,
Toute l’équipe de BonSens.org
Avez-vous déjà tenté d'expliquer un sujet controversé à un ami, pour qu'il réponde simplement : "J'ai déjà cherché sur Google et je n'ai rien trouvé; ?". Il semblerait que cette expérience devienne de plus en plus courante. Momotchi soulève une inquiétante tendance : l'Internet tel que nous le connaissons est en train de se rétrécir, lentement mais sûrement, sans que nous nous en rendions compte.
Momotchi dévoile, de manière incisive, comment nos moteurs de recherche, notamment Google, semblent restreindre l’accès à l’information. À travers une démonstration minutieuse, elle montre comment une simple recherche sur des sujets comme le changement climatique ou le vaccin contre le COVID-19 renvoie systématiquement vers les mêmes sources officielles, limitant ainsi la diversité des points de vue.
Cette manipulation subtile de l’information peut avoir des conséquences profondes sur notre perception du monde. En restreignant notre accès à une pluralité de perspectives, les moteurs de recherche nous enferment dans une bulle d’information, nous donnant l’illusion d’un choix alors que la réalité est bien différente.
L’impact de cette réduction de l’espace informationnel est alarmant. Non seulement elle limite notre capacité à accéder à une diversité d’opinions, mais elle pose également des questions fondamentales sur la nature même de la démocratie et de la liberté d’expression à l’ère numérique.
Momotchi nous met ainsi en garde contre cette évolution inquiétante d’Internet, appelant chacun à remettre en question la fiabilité de nos sources d’information et à rester vigilant face à cette apparente « disparition » progressive de l’Internet tel que nous le connaissons.
par Yoann - Le Media-en-4-4-2
Un titre familier pour de nombreuses personnes. Tout le monde ou presque connaît ce nom de Aldous Huxley, justement grâce à cet ouvrage. Pourtant son aïeul Thomas Henry Huxley et son frère Julian Huxley sont eux aussi de sacrés personnages.
Le chef-d’œuvre de Aldous Huxley, «Le Meilleur des mondes», près de quatre-vingt-dix ans après sa publication, demeure une œuvre visionnaire d’une rare puissance. Son impact, loin de s’estomper avec le temps, n’a fait que se renforcer, gagnant en pertinence au fil des décennies et des évolutions sociétales.
On retrouve ce phénomène avec l’œuvre «1984» de Georges Orwell, un auteur aussi largement connu et lu encore aujourd’hui. Cette pertinence accrue s’explique en partie par sa capacité à anticiper avec une acuité presque prophétique des thèmes et des enjeux qui sont aujourd’hui au cœur de nos préoccupations contemporaines.
Cependant, comme c’est souvent le cas, l’art a tendance à éclipser la science et cela se vérifie dans la famille Huxley. En effet, malgré la renommée littéraire de Aldous, les figures scientifiques de Thomas Henry Huxley (1825–1895), son grand-père, et de Julian Huxley (1887–1975), son frère aîné, demeurent moins connues. Pourtant, ces derniers ont, chacun à leur époque, marqué profondément le monde de la science par des théories audacieuses et révolutionnaires.
Thomas Henry, souvent surnommé «le Bulldog de Darwin», a joué un rôle déterminant dans la défense et la promotion de la théorie de l’évolution, tandis que Julian, biologiste éminent, a été un pionnier dans les domaines de l’éthologie, de la conservation de la nature, et un précurseur dans la réflexion sur le transhumanisme.
Bien que leurs contributions scientifiques soient parfois occultées par le succès littéraire de Aldous, les idées et les théories de Thomas Henry et Julian Huxley continuent encore de résonner dans le monde scientifique et au-delà. Leur héritage intellectuel soulève des questions controversées et des débats éthiques dans divers domaines, de la biologie à la philosophie, révélant les aspects problématiques et les dilemmes moraux associés à cette famille pour le moins exceptionnelle.
L’impact et l’influence de cette famille ne s’arrête pas seulement à ces 3 personnages, d’autres membres de la famille Huxley ont marqué leur temps chacun à leur manière.
Par exemple Sir Crispin Tickell, arrière-petit-fils de Jessica Huxley. Il a servi en tant qu’ambassadeur britannique aux Nations unies et a joué un rôle de premier plan dans diverses institutions européennes. Cette lignée, ancrée profondément dans les sphères scientifiques, culturelles et politiques mondiales, est le symbole d’une influence étendue et d’une intelligence remarquablement mise au service de son idéologie.
Le WWF, l’ONU, l’UNESCO ou encore la Commission européenne, tous ses organismes ont été plus que largement influencés par cette famille dont l’histoire est aussi fascinante que déroutante.
Dans ce reportage, nous remonterons le temps et examinerons comment leur quête de connaissance et leurs différents engagements ont façonné des générations et influencé des institutions clés à travers le monde. Leur histoire est une fenêtre sur les dynamiques du changement et de l’innovation, reflétant les complexités d’une famille qui a été à la fois célébrée pour ses contributions scientifiques et scrutée pour ses opinions controversées.
« Et pourtant elle tourne » ! Dans ce monde d’incultes, il est plus facile de traiter ceux qui pensent de complotistes ou de fascistes que d’entamer le débat avec eux. Ne nous laissons pas intimider par ces fous mes amis. Résistons, à la pointe du stylo. Résistons avec les mots, les concepts et la pensée. Résistons en convoquant l’histoire à la barre.
Souvenez-vous de Galilée.
« Le procès de Galilée, ou l’affaire Galilée, est l’enquête et la condamnation du savant astronome Galilée par l’Inquisition pour avoir critiqué le géocentrisme et soutenu l’héliocentrisme.
L’affaire commence vers 1610, quand Galilée publie Sidereus nuncius. Il y décrit ses observations astronomiques à l’aide d’une lunette astronomique. Ses observations l’amènent à réfuter le géocentrisme et à confirmer la théorie héliocentrique exposée par le chanoine Nicolas Copernic dans son œuvre Des révolutions des sphères célestes (1543). L’Église catholique s’oppose à cette vision des choses. Elle déclare officiellement hérétique l’héliocentrisme en 1616, met à l’Index les œuvres qui abordent le sujet et interdit à Galilée d’enseigner cette théorie.
Galilée se conforme plus ou moins à l’interdiction de l’Église. L’affaire connaît plusieurs étapes car le pape Urbain VIII avait été le mécène de Galilée et lui avait permis de publier ses travaux sur le système copernicien tant qu’il le présentait comme une simple hypothèse : le véritable conflit date de 1632, lorsque Galilée publie son Dialogue sur les deux grands systèmes du monde, ce qui entraîne son procès. Le savant est condamné en 1633 à l’incarcération, qui est en fait une résidence surveillée jusqu’à sa mort en 1642. »
Il n’appartient pas à l’Etat de déterminer la vérité scientifique, or c’est exactement ce qu’il veut faire et c’est d’une gravité absolue car c’est la négation de notre histoire et de la science.
Tout ce que nous pensons vrai aujourd’hui sera faux dans 2 siècles.
Si vous connaissez l’histoire et la science, vous savez que la science évolue.
Tout ce que nous pensions juste hier, tout ce qui était des certitudes, de la terre qui était au centre de l’Univers, aux saignées des médecins de Molière, est désormais faux.
Tout ce qui est vrai aujourd’hui sera pour l’essentiel réfuté.
Notre physique sera radicalement différente dans 2 siècles et nos connaissances médicales d’aujourd’hui sembleront à nos descendants de dans 500 ans aussi barbares et ignares que les saignées d’autrefois le sont pour nous aujourd’hui.
Ainsi vont l’histoire et la science.
Mais nos abrutis de dirigeants, pensent qu’ils peuvent s’arroger le droit de savoir ce qui est vrai et ce qui faux et c’est exactement le sens de cette législation sur les dérives sectaires, qui part d’un bon sentiment comme à chaque fois, mais l’enfer est toujours pavé de bonnes intentions !
L’article 4 du projet de loi « contre les dérives sectaires » a été remis hier à l’Assemblée nationale malgré un avis défavorable du Conseil d’État et sa suppression au Sénat.
« L’article 4 punit de 15.000 euros d’amende et d’1 an de prison « la provocation à s’abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique alors ‘qu’en l’état des connaissances médicales’ cette abstention serait manifestement dangereuse pour leur santé» selon les autorités médicales en place et l’état des connaissances actuelles ».
00:00 – Opération littéraire spéciale
Ukraine : pourquoi la Russie a gagné
Géopolitique profonde
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Croissance russe 2023 et 2024
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Joe Biden sauve la planète
Bananes sous sanctions
Démographies russe et ukrainienne
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Vladimir Poutine par Tucker Carlson
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Suède vs Nord Stream
Bombardements sur Lissitchansk, Donetsk et Belgorod
Guardian vs bandéristes
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Gamelin LGBT
Protection anti-drone pour les chars russes
Mini-missiles anti-drones
Bayraktar en Ukraine
25:35 – Considérations militaires générales
Vision globale du front
Avdeeka bastion bandériste
26:58 – Carte des opérations militaires