Ensuite, la méchante sorcière de Kiev, Vic(Toria) “Cookies” Nuland, a été évincée du département d’État après avoir torturé le monde pendant des décennies avec sa psychopathie.
Ensuite, Donald Trump a pratiquement renvoyé Nikki Haley à son Waffle House près de Greenville.
Enfin, le président français Emmanuel Macron a tenté de convaincre le monde entier que l’OTAN était prête à envoyer des troupes en Ukraine. Lesquelles ? Clairement pas des troupes françaises, qui ne sont bonnes à ce stade que pour “faire un safari en Afrique du Nord” , selon le colonel Doug MacGregor.
Et pas non plus les navires britanniques, qui ne semblent pas pouvoir quitter le port. Je pense qu’il y a une sorte de compétition entre les échecs des compagnies aériennes Boeing et les échecs des navires britanniques… mais je peux aussi être conspirationniste.
*bong*
Non, la réponse a toujours été que ce seraient des troupes américaines en Europe qui mèneraient la guerre de l’Europe dont tout le monde – le Royaume-Uni, Davos et ses apparatchiks de l’UE, et les néoconservateurs américains – pensait qu’elle serait un succès retentissant pour saigner la Russie.
Et je suis sûr que c’est exactement la façon dont ils l’ont planifié dans leur fichier Microsoft Project au Globalist Central.
Cela n’a manifestement pas eu lieu et c’est l’Ukraine qui est aujourd’hui en grande difficulté. La vérité, qui se fait rare depuis le début de la guerre il y a deux ans, c’est que l’Ukraine a toujours été en grande difficulté.
Et cela a conduit, comme on pouvait s’y attendre, à la situation que nous connaissons aujourd’hui. Le soutien des États-Unis au projet Ukraine touche à sa fin, si ce n’est déjà fait. Et la panique en Europe est palpable.
Tout cela était très prévisible si l’on acceptait le cadre d’une scission au sommet de la hiérarchie américaine. Une faction attachée à la vision de l’avenir de Davos, qui impliquait des États-Unis dociles, voire battus, et une autre faction qui levait les yeux de son écran et disait : “Euh… non” .
Tout était évident il y a environ huit mois, lorsque le grand sommet de l’OTAN à Vilnius s’est terminé par les gémissements du ministre britannique de la Défense de l’époque, Ben Wallace. Wallace était censé remplacer Jens Stoltenberg au poste de secrétaire général de l’OTAN, mais il a été écarté par Joe Biden (JOAH Bii-Den !).
Après cela, il n’a plus été question de l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN. Zelensky est retourné à Kiev avec les larmes aux yeux après que Biden ne lui a rien donné non plus. Puis, en octobre, le président de la Chambre des représentants Kevin McCarthy a été évincé lors d’un putsch par Matt Gaetz et une poignée de partisans de la ligne dure du GOP en matière de fiscalité.
Ils ont immédiatement obtenu du nouveau président de la Chambre, Mike Johnson (Républicain de Louisiane), qu’il lie tout nouveau financement de l’aide étrangère à des réductions de dépenses et à l’affectation de fonds à la sécurité des frontières, dans la mesure où la faible majorité du Congrès le permettrait.
Depuis lors, Joe Biden a été contraint de chercher sous les canapés du Pentagone quelques millions de dollars à envoyer à l’Ukraine. Il en a trouvé 300 l’autre jour. Aussi mauvaise que soit la situation, le fait que ce soit des millions plutôt que des milliards doit être considéré comme une victoire.
Le Sénat a tenté de faire chanter Johnson avec son ridicule projet de loi d’aide de 95 milliards de dollars et Johnson a simplement fait pression sur le patron Chuck Schumer en demandant une suspension de séance de deux semaines. Aujourd’hui, le mieux qu’ils puissent espérer, c’est un projet de loi plus modeste, avec une clause de prêt/location, sans que l’argent ne soit affecté à l’“aide humanitaire” – un euphémisme pour se remplir les poches.
Et malgré son rapprochement avec les faucons du Sénat, Johnson continue d’utiliser l’aide à l’Ukraine comme un moyen de faire passer en premier les réformes de financement national. Chaque jour où l’on marchande sur ces questions est un jour de plus qui annonce la fin du Projet Ukraine, alors que les forces russes prennent chaque jour des villes et des villages dans le Donbass occidental.
Encore une fois, ce n’est pas une solution idéale, loin s’en faut, mais c’est une victoire à la Pyrrhus.
Mais telle est la situation après la semaine dernière et elle est bien meilleure qu’au début de l’année, puisque cet argent était déjà attendu il y a six mois.
L’Europe est désormais en mesure d’ôter complètement le masque. En effet, à mesure que les États-Unis se retirent lentement de l’Ukraine, les appels de l’UE pour que l’Amérique maintienne le cap se font de plus en plus forts et stridents.
Rappelez-vous qu’en 2022-23, lorsqu’il semblait que les États-Unis étaient déterminés à aller de l’avant en Ukraine, les dirigeants européens comme Macron et d’autres étaient plus circonspects. Ils voulaient donner un avertissement sur les dangers d’une escalade en Ukraine. Ils ont pu passer pour des modérés dans la salle de crise, tout en continuant à envoyer des milliards d’euros d’aide et d’armes, en obligeant tout le monde à se plier à leurs exigences.
Le véritable événement révélant la position réelle de l’Europe sur cette guerre a été la menace vis-à-vis de Viktor Orban, de la Hongrie, d’une dévastation économique complète s’il ne permettait pas à leur programme d’aide de 50 milliards de dollars de passer au Conseil européen.
Maintenant que tous les plans militaires de Nuland ont échoué, que l’armée ukrainienne a été détruite pour la troisième fois et que toutes leurs tentatives de saper les États-Unis juridiquement et économiquement (Powell doit Pivoter !) ont capoté, l’Europe se retrouve dans une panique aveugle.
“Le gouvernement Démocrate américain et les dirigeants de l’UE, ainsi que les dirigeants des plus grands États membres de l’UE, sont des gouvernements favorables à la guerre. Donald Trump est pour la paix, la Hongrie est pour la paix. Cette différence est à la base de tout”
En effet, et depuis le début de ma carrière, j’essaye de comprendre pourquoi elle a de la valeur, alors qu’elle ne coûte rien à produire, comment et par qui elle est créée, ce qui se passe quand celui qui a la charge de la création en crée trop ou pas assez… et sur toutes ces questions, je n’ai qu’une chose à dire, merci Milton Friedman…
Et donc, comme ceux qui ont la charge de cette création en ont vraiment créé beaucoup depuis que Draghi a détruit la Bundesbank (2012), je suis arrivé à quelques conclusions d’investissement sur ce qu’il ne fallait PAS avoir dans son portefeuille.
En fidèle disciple de Jacques Rueff, j’ai remarqué que les pouvoirs publics en Europe ou aux USA avaient renoué avec leur fâcheuse habitude de créer de l’argent « ex nihilo » pour subventionner des dépenses qui ne rapportaient rien (L’inflation consiste à subventionner des investissements qui ne rapportent rien avec de l’argent qui n’existe pas. Jacques Rueff). Comme l’inflation n’est en rien une hausse des prix mais simplement une baisse de la valeur du billet dans votre poche, cela revient à dire que détenir une obligation de l’Etat Français à qui vous auriez prêté 100 e d’aujourd’hui pour être remboursé 100 e dans 10 ans était vraiment une opération idiote puisque le pouvoir d’achat de mon capital aura baissé de 50 % sur la période.
Et je suis arrivé à cette conclusion comme un grand, sans l’aide d’aucune boîte noire, ordinateur ou tableau Excel.
Depuis que je suis arrivé à cette conclusion remarquable d’originalité, un portefeuille d’obligations à 10 ans émises par le Trésor[1] Français a baissé de 25 % tandis que des obligations de même duration émises par le gouvernement Chinois sont montées de 25 % en euro.
J’ai certes honte d’être un mauvais Français, mais cette honte est tempérée par la certitude que ceux qui devraient aller se cacher sont messieurs Sarkozy, Hollande, Lemaire, Tricher Draghi et autres madame Lagarde, et pas moi, qui n’ait fait qu’essayer de protéger mes chers lecteurs de l’IDL contre l’incompétence abyssale des sus mentionnés.
Le but était bien sûr de procéder à l’euthanasie du rentier.
Et si j’en juge par les récentes lois qui sont passées au Parlement, on va passer de l’euthanasie financière à l’euthanasie réelle
Apparemment, d’abord il faut ruiner les vieux, (ce qui est en bonne voie) pour ensuite leur faire une piqûre miséricordieuse de façon à leur éviter une vieillesse dans la pauvreté. En espérant bien entendu qu’ils seront les premiers à réclamer, avec une dignité de bon aloi, la fin de leur misère. C’est en tout cas ce que préconise monsieur Attali.
De façon à s’assurer de l’extinction des inutiles, les caisses de retraites existantes ne seront pas nationalisées mais régulées.
Ainsi, tout versement sera réparti entre trois investissements (c’est déjà quasiment le cas) :
La moitié ira aux obligations d’état, officiellement placement sans risques et dans la réalité un certificat de confiscation.
Quarante pour cent ira à des investissements dans les sociétés produisant des moulins à vent et des miroirs magiques.
Et dix pour cent à des logements sociaux destinés à des travailleurs immigrés en situation irrégulière bien incapables de payer quoique ce soit, mais il s’agit de faire œuvre humanitaire et non pas de gagner de l’argent sur le dos de la misère du monde. Curieusement, ceux qui bâtissent ces logements sont souvent proches des hommes politiques au pouvoir, et eux gagnent de l’argent.
La valeur des retraites versées va donc s’écrouler, ce qui favorise la disparition des inutiles.
La première étape était donc de se débarrasser de ceux qui ne produisent plus rien en les empêchant de se constituer une épargne qui leur permettrait de vivre dignement pendant leur vieillesse, entourés de l’affection des leurs.
Ce but est en voie d’accomplissement.
Il est temps de passer au deuxième stade vers un monde meilleur.
Apres avoir empêché les anciens de se constituer une épargne, il faut ensuite aider ceux qui contribuent au PIB à dépenser leur argent de façon socialement utile.
Pour cela, il faut créer une monnaie numérique.
Voici le projet...
Qui a dit que le calcul mental était rébarbatif pour les élèves?
Démonstration de différentes techniques de C.M.R. (Calcul Mental Rapide) utilisées à l'école Sainte-Bernadette de Tarbes en C.M.1-C.M.2. La gestuelle nous est propre. Elle est librement adaptée de la gestuelle indienne "abacus finger". Les techniques d'additions et la graphie des chiffres sont inspirées de celles de Scott Flansburg, la plupart des autres techniques sont personnelles à notre école: nous les avons adaptées aux enfants à partir de techniques de Trachtenberg ou de techniques védiques.
Ces enfants ne sont pas des surdoués mais des enfants ordinaires. Et surtout, tous y arrivent, y compris des enfants encore en difficulté il y a 6 mois. Ce résultat est obtenu grâce à une équipe pédagogique professionnelle et passionnée.
Bien évidemment que c’est grave et cela ne peut pas durer éternellement. Mais parfois, même si ce n’est pas éternel, c’est long !
Et cela peut durer plus longtemps que ce que l’on pense tous ou que ce que l’on peut anticiper.
La France risque-t-elle la faillite ?
Bien évidemment qu’elle risque la faillite.
En réalité la France est déjà en faillite.
Nous dépensons depuis 1974 c’est-à-dire depuis 50 ans, largement plus que ce que « nous gagnons ». Et pourtant la dette continue de tourner !
Les marchés continuent à nous financer.
Alors… la question est pourquoi les marchés continuent à prêter à la France alors que nous gérons comme des pieds ? Enfin pas nous, nos « Mozart » de la finance.
La réponse est simple et tient essentiellement à deux raisons.
La première, si les choses devenaient vraiment sérieuses, la BCE interviendrait en dernier recours, achèterait la dette française pour éviter la faillite et l’explosion de la zone euro. C’est la « doctrine Draghi » du président de la BCE qui en 2011 avait déclaré que l’euro était irréversible, qu’il ferait tout ce qu’il faudrait et que ce serait assez.
La seconde raison, c’est que les Français sont riches ! Très riches. Nous couinons, nous nous plaignons et beaucoup sont effectivement pauvres. Mais malgré les taxes et le niveau d’impôts dans ce pays, les Français sont très très économes. Enfin ceux qui ne sont pas des paniers percés et en réalité, il y a une immense manne taxable potentiellement. En 2023 le taux d’épargne en France est de 17.3 % ! Oui, vous avez bien lu. 17.3 % ! C’est colossal, c’est considérable. Pour comparaison, aux Etats-Unis le taux d’épargne est de seulement 4.3 % ! Je ne sais pas si vous vous rendez compte de ce que cela veut dire. En moyenne les Français qui n’y connaissent rien en économie fonctionnent avec des budgets créditeurs et à la fin de l’année ils dépensent 17,3 % de moins que ce qu’ils ont gagné. Les « Mozart » de la finance qui nous gouvernent, tous ces grands diplômés prétentieux et bien doctes qui nous prennent pour des imbéciles, des « gens qui ne sont rien » et bien ces types « brillants », eux, terminent chaque année budgétaire en ayant dépensé plus 40 % de plus que ce qu’ils ont gagné et eenchaînent déficits sur déficits.
Le patrimoine des Français ? 20 000 milliards d’euros !
Tandis que les Mozarts plongent à 20 000 pieds de déficit sous les mers, les simples Français, eux matelassent et détiennent 20.052 milliards d’euros d’actifs au dernier pointage en 2022.
« Après une forte progression en 2021 (+9,1 %), le patrimoine net de la France a augmenté de 5,6 % en 2022, à 20.052 milliards d’euros, selon une étude de l’Insee parue ce mercredi. Celui-ci correspond à la différence entre la valeur des actifs financiers et non financiers (58.977 milliards d’euros) et celle des passifs des agents économiques (ménages, entreprises et administrations publiques). »
Et oui, moins les passifs des Mozart, nous avons quand même encore plus de 20 000 milliards d’euros ! Hahahahahahahahaha. Virez-les tous et mettez mes poules à Bercy, même une chèvre ferait mieux que tous ceux qui se succèdent depuis 5 décennies.
Quant au patrimoine financier net des ménages en 2022, il était de… 4 356 milliards d’euros !!
Et oui, mes amis la France est riche ! Très riche.
Alors la France fera faillite… quand les Français auront été ruinés !Définir l’image mise en avant
Vous devez comprendre qu’avant la faillite du pays, la solvabilité du pays sera considérée par les fous, les incompétents et les Mozart qui tirent les manettes, comme stratégique. Comme l’intérêt supérieur de la nation.
Vos actifs sont la garantie de notre solvabilité.
Finalement, je pourrais presque dire que l’Etat français a nanti auprès des marchés votre argent, votre épargne, votre patrimoine.
Il n’y aura faillite de la France que lorsque l’épargne des ménages aura été également consumée par nos apprentis sorciers des Palais.
La France va-t-elle faire faillite est donc la mauvaise question…
A ce stade du raisonnement, il doit normalement vous apparaître clairement, que contrairement à ce que l’on entend, la question n’est pas de savoir si la France fera à faillite.
Ce n’est un secret pour personne que les mannequins créés par l’IA font un tabac en ligne ces jours-ci. Le modèle de fitness Aitana Lopez a plus de 300 000 followers sur Instagram et elle n’est même pas une personne réelle, Emilly Pelegrini, une autre influenceuse numérique, a été surnommée le modèle le plus sexy du monde, et la “petite amie parfaite” Lexi Love gagne plus de 30 000 dollars par mois en jouant le rôle d’un intérêt romantique pour des personnes seules.
Aujourd’hui, une autre influenceuse virtuelle fait la une des journaux en raison de sa popularité en tant que modèle de voyage. Le profil de Lily Rain sur la plateforme sociale Fanvue, accessible par abonnement, montre la jeune femme séduisante dans divers endroits du monde qui attirent l’attention, mais le fait que ces photos soient entièrement l’œuvre d’une intelligence artificielle ne semble pas déranger ses légions de fans.
“Lily est l’exemple même d’une créatrice qui comble une lacune dans l’espace des influenceurs de voyage”, a déclaré la créatrice de Lily au Daily Star. “Elle peut créer des photos idylliques et pittoresques sans les longues durées de voyage et les frais de déplacement supplémentaires, et tirer parti des différentes saisons pour attirer son public. L’utilisation des saisons et des voyages à la mode pour adapter le contenu et le monétiser est une affaire importante. Lily peut apparaître comme une Kardashian profitant de son séjour annuel au ski dans les meilleures stations de montagne que l’on puisse acheter.”
De nombreux modèles de voyage humains sont encore plus populaires que des concurrents numériques comme Lily Rain, mais ils doivent en fait travailler beaucoup pour leur base de fans. Elles doivent investir des ressources considérables dans les frais de voyage, le maquillage approprié et la garde-robe pour chaque saison et chaque lieu, elles doivent établir des plans de voyage et respecter un emploi du temps serré. Les mannequins IA comme Lily peuvent apparaître sur de superbes photos dans des lieux exotiques en quelques clics de leurs créateurs.
Selon Fanvue, Lily Rain génère environ 20 000 dollars de revenus par mois, et on s’attend à ce qu’elle devienne beaucoup plus rentable à mesure que l’IA se généralise. Et elle n’est pas la seule à être à l’origine de la poussée de l’IA. Will Monange, PDG et fondateur de Fanvue, affirme que les créateurs d’IA ont contribué à hauteur de 15 % au chiffre d’affaires de Fanvue, soit une augmentation de 100 % par rapport au mois précédent, et que cette contribution devrait augmenter de manière significative à l’avenir.
Apparemment, les influenceurs numériques dotés d’IA sont devenus si populaires que certains aspirants mannequins humains se plaignent de devoir rivaliser avec ces avatars à l’apparence parfaite.
Nous sommes avec « The Voice Kids Russia », Edith Piaf – ‘L’hymne à l’amour’ et la France a récemment annoncé que la chanteuse Aya Nakamura serait pressentie pour interpréter l’Hymne à l’amour d’Édith Piaf lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris en 2024. Cependant, une jeune russe avait donné une véritable leçon de chant à la France avec sa propre interprétation de cette chanson emblématique.
Dans une vidéo devenue virale sur les réseaux sociaux, la jeune fille, chante l’Hymne à l’amour d’Édith Piaf avec une voix puissante et émouvante. Sa prestation est d’autant plus impressionnante qu’elle parle le français parfaitement, ce qui ajoute une dimension supplémentaire à sa performance.
En comparaison, la prestation d’Aya Nakamura, qui a été critiquée pour son manque d’émotion et sa prononciation approximative, semble bien pâle. La jeune russe, quant à elle, a su transmettre toute l’émotion et la passion de la chanson, laissant les spectateurs bouche bée et pour certain en larmes.
Cette vidéo soulève également des questions sur le choix de la France de sélectionner Aya Nakamura pour interpréter cette chanson emblématique. Bien que la chanteuse soit populaire auprès des jeunes, sa prestation ne semble pas à la hauteur de l’événement. La jeune russe, quant à elle, montre que le talent et la passion peuvent venir de n’importe où dans le monde.
C’est la confirmation par des scientifiques du sérail de Bigpharma de ce que les complotistes, résistants des O.E.M., souvent anciens militaires disent depuis des années avant même l’attaque toxinale covidiste.
On comprend désormais mieux pourquoi l’UE est si accros aux toxins elle qui a encouragé les recherches sur l’oxyde de graphène et même créé un prix pour récompenser les chercheurs.
Le Dr Sladjana Velkov, ancienne médecin de l’ONU, explique que le Dr Nagase, médecin canadien originaire du Japon, a publié une étude dans laquelle il a analysé des flacons de vaccins dans un laboratoire officiel.
Il n’y a pas de matière organique, donc pas de virus, pas d’ARNm, pas de cultures cellulaires, rien !
Il n’y a que des métaux lourds et la concentration la plus élevée est celle du carbone, c’est-à-dire du graphène.
Il explique ensuite comment ce graphène peut être manipulé à l’aide d’ondes radio.
Ils le manipulent avec des ondes radio.
En fait, cela devient une puce liquide qui peut vous “anéantir”.
C’est tout ce qu’il y a à dire.
D’autre part, Melissa McAtee, ancienne auditrice qualité travaillant chez Pfizer, signale une lueur dans les composés des vaccins et indique qu’elle ne connaît que deux éléments capables d’émettre de la lumière : l’oxyde de graphène et la luciférase.
Mais aujourd’hui, le soleil est plus haut dans le ciel. La sève monte dans les forêts du nord. La terre se soulève. Les bourgeons gonflent et rougissent. Il y a quelque chose dans l’air. Les animaux sortent de leur long sommeil hivernal. Les autochtones s’agitent.
Les deux divisions politiques traditionnelles, libérale et conservatrice, sont mortes avec l’opération Covid. Désormais, il n’y a plus que les sains d’esprit contre les fous. Les sains d’esprit en ont assez d’être bousculés par les fous. Les fous n’enregistrent pas grand-chose de ce que la réalité essaie de leur dire. Ils disposent d’un corpus d’idées insensées pour les réconforter et les protéger des rigueurs de la réalité. Appeler ce corpus d’idées une “idéologie” est beaucoup trop poli.
Le fait que les fous se qualifient eux-mêmes de “progressistes” est la signature de leur folie. Progrès vers quel meilleur état des choses ? Vers une suprématie de monstres, de sadiques, de dégénérés et de crétins s’emparant des richesses et du pouvoir par tous les moyens malhonnêtes possibles, en dehors de l’État de droit et de la décence commune ? Il n’est même pas convenable de les appeler “communistes”. Ils n’ont pas l’idéalisme nécessaire pour cela. Ils n’espèrent pas mettre l’épaule à la roue avec leurs semblables. Ils veulent juste s’emparer de vos affaires et vous tuer pour ne plus avoir à vous entendre vous plaindre.
Les fous ne croient à aucune des conneries théoriques qu’ils veulent vous faire avaler. Ils se moquent du changement climatique. C’est juste une matraque qu’ils utilisent pour frapper tout le monde sur la tête afin de pouvoir voler vos affaires. Ils se moquent de la “démocratie”. Ce n’est qu’un tissu de conneries pour couvrir leur vol d’élections. Pensez-vous que des personnes saines d’esprit continueraient à utiliser des machines à voter électroniques manifestement connectées à Internet, et donc piratables, si elles se souciaient de l’intégrité des élections ? Bien sûr que non. Ils s’arrangeraient pour les mettre au rebut et utiliseraient des bulletins de vote en papier, et uniquement par des gens venant en personne dans les bureaux de vote, avec des exceptions pour les “absents” uniquement pour les personnes à l’étranger.
Les fous ne se soucient pas de la santé publique. Tout ce que l’on sait sur les vaccins Covid-19 montre qu’ils ne sont pas sûrs et qu’ils n’empêchent pas l’infection ou la transmission d’une maladie de type grippal qui n’est peut-être même pas celle qui a été officiellement étiquetée comme telle. Nos responsables de la santé publique au sein de la FDA, du CDC et d’autres services du ministère de la santé et des services sociaux mentent sur tout ce dont ils sont responsables. Cette semaine, le CDC (sous la direction de Mandy Cohen) a publié une étude de 148 pages sur les réactions de myocardite aux injections d’ARNm. Chaque mot de chaque page du document a été expurgé. Le CDC a imprimé d’innombrables copies du rapport avec 148 pages totalement vierges, et les a ensuite proposées aux médias. En quoi cela n’est-il pas insensé ?
Les fous ne se soucient pas de l’État de droit. La “guerre du droit” consiste à subvertir la loi par des moyens malhonnêtes. Il s’agit d’une sorte de racket. Et c’est pourquoi les voyous de Lawfare tels que Marc Elias, Norm Eisen, Andrew Weissmann, Mary McCord, Lisa Monaco, Matthew Graves et Merrick Garland devraient être inculpés en vertu des lois fédérales RICO pour avoir conspiré en vue de priver des citoyens sains d’esprit de leurs droits et de leurs biens dans les nombreuses affaires liées à l’émeute du 21 juin au Capitole des États-Unis.
Jusqu’à présent, le mystère de l’histoire contemporaine reste entier : comment le procureur général de New York, Letitia James, a-t-il pu s’en tirer en poursuivant Donald Trump dans une affaire immobilière qui n’était rien d’autre qu’une affaire banale entre un emprunteur et ses prêteurs ? Mme James s’est présentée à ce poste électif en promettant de “coincer” M. Trump sur quelque chose, n’importe quoi. Ce n’est pas ainsi que fonctionne l’État de droit. Dans un État de droit, on détermine d’abord s’il y a un crime et on cherche ensuite qui l’a commis.
Letitia James doit être folle et/ou très stupide. Le gain à court terme que représente le vol de la propriété de M. Trump sous une fausse couleur de loi et la création d’obstacles à sa campagne électorale lui reviendra tôt ou tard sous la forme d’une poursuite malveillante et, de manière plausible, d’un racket également. Elle finira par être déshonorée publiquement, comme l’a déjà été sa coéquipière Fani Willis dans le comté de Fulton, en Géorgie. Je vais vous dire une chose que toutes les personnes saines d’esprit savent maintenant mais dont elles ne parlent pas de peur d’être écrasées par les leviers du Lawfare : cela ressemble à un effort concerté de la part de personnes de couleur pour mettre au pas des personnes qui ne sont pas de couleur. Si vous pensez que c’est une bonne chose pour les relations interraciales dans notre pays, vous êtes fou.
Voici un tas d’autres choses qui sont insensées : Il est insensé de remettre en question le premier amendement. Il signifie ce qu’il dit et l’énonce clairement. L’ouverture des frontières est insensée. Aucun État souverain crédible ne l’autoriserait. Il faudrait s’y opposer par la force, si nécessaire. Transformer des enfants en transsexuels à grande échelle est insensé et diabolique. Tout le monde sait que ce n’est pas bon pour les enfants ou pour notre société dans son ensemble. Mais les monstres doivent être monstres, et si vous essayez de les empêcher d’être des monstres, vous vous rendez coupable de “haine”.
La guerre en Ukraine est insensée. Nous ne l’avons certainement pas déclenchée au service de la “démocratie”. Notre pion, Zelensky, a annulé les élections nationales l’année dernière. La guerre était sans doute une tentative de notre CIA de priver la Russie de son marché pour le gaz naturel en Europe, et donc de priver la Russie d’une grande quantité d’argent, c’est-à-dire de la prospérité. Le projet a échoué. La Russie a surmonté l’armée supplétive de l’OTAN et a trouvé d’autres marchés pour son gaz. Faire sauter les gazoducs Nord Stream n’a servi qu’à appauvrir et à affaiblir nos alliés de l’OTAN, qui n’ont plus de gaz abordable pour faire fonctionner leurs industries. Les dirigeants de ces alliés étaient trop fous pour reconnaître que l’opération Nord Stream était un acte de guerre contre eux. Ils sont également occupés à se détruire eux-mêmes, comme les États-Unis, avec des frontières ouvertes. Ils finiront dans un nouveau médiévalisme, gouverné par des sauvages. Il faut être fou pour s’organiser de la sorte.
Ce qui est le plus manifestement fou dans notre pays, c’est que le parti fou fait semblant de nommer le gardien de la Maison Blanche mentalement inapte, “Joe Biden”, pour sa réélection. On pourrait penser que si ce parti voulait conserver le pouvoir, il présenterait un candidat qui, bien que fou, ne serait pas aussi visiblement sénile. Mais la base de ce parti est trop folle pour voir que cette esquive ne fonctionne pas. Ils prétendent de toutes leurs forces que tout va bien, que la faction croissante des sains d’esprit ne s’en aperçoit pas.
Sentant l’impatience croissante des électeurs à l’égard de leur folie, le parti des fous a atteint son point de désespoir terminal. Quelle sera leur prochaine tentative ? Le meurtre ? Pourquoi pas ? Rien d’autre ne semble fonctionner. Ils sont trop loin dans leur folie pour comprendre que l’hiver est terminé. Nous sommes entrés dans la saison de la renaissance et du renouveau, en commençant par une appréciation renouvelée de la raison et de cet ingrédient indispensable qui rend possible la liberté dans une société libre : la bonne foi. En réalité, la seule question qui reste est la suivante : Jusqu’où ont-ils l’intention d’aller pour empêcher le retour de la raison et de la bonne foi ?
James Howard Kunstler
“Ceux qui ont organisé le désastre profiteront de l’inévitable mécontentement résultant des efforts pour le surmonter, car s’il y a une chose qu’ils savent faire, c’est la démagogie.”
Récemment, on a appris que des tribunaux américains ordonnaient à YouTube (Google) de fournir des informations sur les utilisateurs – une forme d’enquête draconienne qui n’avait jamais été signalée auparavant. Des détails supplémentaires sur cette pratique apparaissent aujourd’hui.
Forbes a révélé l’affaire le mois dernier après avoir pris connaissance de documents montrant qu’une décision de justice concernait tous les utilisateurs de YouTube ayant regardé certaines vidéos au cours d’une période donnée. Les données personnelles requises par les services répressifs dans ces affaires étaient très détaillées.
En ce qui concerne les utilisateurs de Google, il s’agit d’informations provenant de leurs comptes Google (nom, adresse, numéro et relevé de téléphone, historique des paiements en ligne, adresse IP, etc…), tandis que toutes les autres personnes visitant les URL énumérées dans l’ordonnance ont vu leur adresse IP restituée.
Une ordonnance de non-publication d’une durée d’un an a permis à Google de s’assurer que rien de tout cela n’était rendu public, et nous en entendons maintenant parler parce que ce délai a expiré.
Toutefois, les documents sur lesquels se basait l’article original n’ont pas été publiés à l’époque ; aujourd’hui, des rapports indiquent qu’ils ont été mis à disposition sur la plateforme Bluesky.
L’ordonnance couvre les huit premiers jours de l’année 2023 et trois vidéos YouTube apparemment obscures et inoffensives en soi (la cible de l’enquête était une personne soupçonnée d’activité illégale, tandis que les URL des vidéos ont été « échangées » au cours d’une communication entre des enquêteurs infiltrés et leur cible).
[...]
Vous savez tout le bien que je pense de la volonté de notre professeur Trouposol d’envoyer nos soldats se faire trouer la peau aux Dardanelles.
Vous savez aussi, que dans le monde qui est le nôtre, tout se simule. Tout se compte, tout se préparer et tout se modélise.
Nous savons avec une relative précision combien coûtera une pandémie en pourcentage de PIB et l’exercice « Event 201 » qui avait simulé une pandémie mondiale sur base de coronavirus, avait donné des résultats très proches de la réalité.
Alors, il faut fouiller un peu dans les exercices de haute intensité pour avoir une petite idée des dégâts, de nos moyens et de ce que cela pourrait être.
Exercice Warfighter avril 2021
« Une force d’intervention française composée de deux brigades interarmes, soit 15 000 soldats, est engagée. Au bout de 10 jours d’âpres combats, 1 700 ont été tués, 11 000 blessés, soit 1 100 par jour. C’est le bilan de l’exercice Warfighter conduit aux États-Unis en avril 2021. Outre le retour d’expérience sur l’interopérabilité avec l’allié américain et britannique, la séquence a permis de pointer le nombre conséquent de blessés à traiter en cas de conflit de haute intensité » (source Le Point ici).
Voilà donc à quoi pourrait ressembler un engagement massif français de troupes au sol en Ukraine. Nous aurions d’abord du mal à dépasser les 15 000 hommes et donc effectivement deux brigades modernes format OTAN.
Ces deux brigades tiendraient 10 jours et puis… plus rien. Tous morts (ou blessés).
Dans cette simulation on arrive à 1 700 morts et 11 000 blessés (et c’est pas juste un ongle retourné). Cela fait 12 700 soldats perdus ou hors de combat, soit 85 % des effectifs de départ en… 10 jours.
Vous comprenez pourquoi l’armée ukrainienne a du mal à tenir dans la durée sa guerre.
Comme vous le savez, il est impossible de parler des pertes ukrainiennes sans être accusé de faire de la propagande pro-russe…
Tout commence pour Elizaveta et sa mère Anastasia, par une longue attente angoissante. Après un appel du père d’Elizaveta (qui sert dans l’armée russe) le 8 mars, elle et sa mère se retrouvent sans nouvelles de lui, malgré les mots rassurants du commandant, qui assure que tout va bien. Puis le 26 mars 2024 c’est l’horreur. Elizaveta est appelée par un inconnu, dénommé Andreï, qui dit faire partie des Forces Armées Ukrainiennes.
L’homme explique à la jeune fille que son père a été fait prisonnier, qu’il est vivant et en bonne santé, en tout cas pour l’instant… Car si la jeune fille veut que la situation de son père ne s’aggrave pas, elle doit fournir au soldat ukrainien un certain nombre d’informations : une photo de son passeport, son adresse, les lieux qu’elle fréquente, les organisations dont elle fait partie, la liste des activistes qui en font partie, etc.
Au départ totalement paniquée par la situation, et paralysée par la peur la jeune fille comprend que les informations que les Ukrainiens lui demandent serviront ensuite à pouvoir la menacer, ainsi que ses proches, pour qu’elle travaille dans l’intérêt de Kiev et trahisse sa patrie et les siens.
Les activistes de l’organisation dont elle fait partie pourraient devenir des cibles d’assassinat comme ceux qui ont frappé Daria Douguina, ou Vladlen Tatarski si les Ukrainiens en obtenaient la liste. Ils demandent aussi si elle a d’autres proches que son père qui servent dans l’armée. Il n’est pas difficile de comprendre que ses proches pourraient devenir des cibles pour Kiev, ou Elizaveta pourrait être poussée à les espionner, ou les questionner pour obtenir des informations militaires secrètes qu’elle transmettra à l’Ukraine. Ce qui pourrait mener à des bombardements d’installation militaires, et la mort de soldats russes.
Et l’horreur nous gagne lorsque Elizaveta révèle qu’à un moment son interlocuteur lui a demandé où elle va travailler l’été dans des camps de vacances pour enfants. Une semaine après l’attentat terroriste du Crocus City Hall (lors duquel 144 personnes ont trouvé la mort, dont cinq enfants), organisé avec l’aide de l’Ukraine (le comité d’enquête a trouvé les preuves des liens entre les terroristes et les nationalistes ukrainiens), on ne peut que frissonner d’effroi à l’idée de ce que les services secrets ukrainiens prévoyaient de faire dans les camps de pionniers où Elizaveta prévoit de travailler l’été, une fois qu’ils l’auraient prise sous leur contrôle.
Mais heureusement, Elizaveta, une fois la panique initiale passée va prendre, avec l’aide de sa mère, la bonne décision : ne surtout pas leur donner d’informations qui leur permettrait de la faire chanter et de lui faire commettre des crimes, et contacter les autorités, en espérant que la médiatisation de son histoire permettra de protéger son père et accélérer son retour à la maison.
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Dans un précédent article intitulé « A quoi servent les gesticulations bellicistes et élucubrations guerrières de Macron ?« , après avoir souligné que l’armée française ne disposait pas de moyens humains et militaires pour mener une offensive militaire de haute intensité contre la Russie, encore moins de légitimité juridique internationale, j’avais conclu mon analyse par ces mots : «En réalité, Poutine est devenu le meilleur allié de Macron. Il lui sert de rempart pour mener sa guerre de classes contre le prolétariat français, d’épouvantail pour justifier et légitimer le durcissement autoritaire de la gouvernance. Pour assurer la transition militariste et fasciste de la France.»
Pendant que Macron fanfaronne en menaçant d’envoyer des troupes en Ukraine pour combattre le grand capital Russe, la France continue d’ouvrir grandement les frontières françaises aux entreprises russes, de faire du business avec la Russie. On se souvient que le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire, avait déclaré : «Nous allons provoquer l’effondrement de l’économie russe», à travers les sanctions économiques occidentales. Si effondrement économique il y a eu, c’est celui de l’économie française.
Pour un ministre déterminé à torpiller l’économie de la Russie, il est étonnant d’apprendre de sources sûres qu’il autorise plusieurs entreprises à poursuivre leurs échanges commerciaux avec les entreprises russes. La bourgeoisie française n’en est pas à une hypocrisie près. N’en est pas à une imposture près.
Il en est ainsi des usines agrochimiques du groupe Boréalis, qui possède des sites de production en Autriche et en Allemagne, mais surtout trois usines en France : près de Rouen, près de Melun et en Alsace. Des milliers de tonnes d’ammoniac russe continuent de débarquer dans les usines françaises de Boréalis, notamment celle de Rouen. Pour rappel, la Russie est le premier exportateur mondial d’ammoniac, qui, curieusement, ne semble pas être soumis aux paquets de sanctions européennes. Car, selon les spécialistes, cette matière première constitue un enjeu important pour l’Europe, donc pour la France.
Dans un récent rapport, Greenpeace a révélé comment l’entreprise française Framatome, filiale d’EDF, et l’entreprise allemande Siemens Energy continuent leur business avec l’entreprise publique nucléaire russe Rosatom. «La France mène un lobby acharné au niveau européen afin de protéger les intérêts de la filière nucléaire et continuer son commerce nucléaire avec Rosatom», souligne Greenpeace.
Pendant que, sur le front diplomatique, Macron agite théâtralement la menace de la guerre contre la Russie, sur le front économique, le vrai nerf de la guerre, c’est-à-dire de la valorisation du capital, l’entreprise française Framatome, signe pacifiquement une joint-venture avec le géant russe Rosatom pour fabriquer, en Allemagne, du combustible nucléaire. Cette coopération entre les deux géants soulève indignation et protestation en Allemagne. En effet, l’accord conclu entre le français Framatome et le russe Rosatom alimente la controverse en Allemagne, où est installée l’usine dans laquelle Framatome assemblera, sous licence russe, le combustible destiné à alimenter les réacteurs nucléaires. Des milliers d’opposants allemands ont manifesté leur colère contre cette coopération franco-russe, vécue comme une trahison, voire un poignard planté dans le dos de l’Allemagne par la France.
Outre les secteurs agrochimiques et nucléaires, la France et la Russie poursuivent leur idylle économique dans le domaine du vin, en particulier celui des grands crus. D’après des documents douaniers exclusifs publiés par le site économique Challenges, le 16 mars 2024, de grands crus de Bourgogne ont été livrés au cours des années 2022 et 2023 à Moscou, en contournant l’embargo européen. En matière économique, le credo du régime de Macron est : qu’importe le flacon (l’État, pseudo-démocratique ou dictatorial), pourvu qu’on ait l’ivresse (de l’argent) !