Entre les robots non humanoïdes et les nouveaux robots bipèdes, il n’y a presque plus d’intervention humaine dans les entrepôts d’Amazon et cela préfigure parfaitement le fonctionnement sans emploi du géant du commerce en ligne.
La technicité de la logistique et son efficacité atteignent un summum de raffinement et de productivité.
Sans préparateur de commande, puis demain sans livreur, mais également sans ouvrier dans les usines pour produire, puis sans infirmière ou garde malades puisque nous aurons des humanoïdes pour tous les usages ou presque, se posera inévitablement la question du partage de la valeur et de la richesse dans un monde où le travail aura presque disparu pour le plus grand nombre en tous les cas.
Au sommaire de ce SAPTR #26
00:27 – Suite de l’affaire « Grosse lesbienne »
02:34 – Plainte de la « Jeunesse française juive »
07:08 – Macron ou l’effacement de la France
15:47 – La destruction d’un pays par sa langue (1)
18:48 – La destruction d’un pays par sa langue (2)
20:24 – Rachida Dati ou la négation de la culture française
24:08 – Attal ou l’alliance de l’étoile et de la rondelle
28:40 – Attal vs Bardella : jeunisme contre jeunisme
37:14– BHL et Yakovleff : le déni pathologique de la victoire russe en Ukraine
42:50 – Terroir et mondialisme : le monde paysan en lutte pour sa survie
54:00 – Hautement symbolique : une famille de paysans écrasée par des OQTF
56:44 – Quand Todd dit (presque tout) comme Soral
01h03:34 – Gaza ou le grand révélateur
01h07:59 – La fin de la rente Shoah ?
01h17:33 – Le discrédit de la communication sioniste
01h25:38 – Jeunisme : les identitaires sont des gauchistes mentaux
01h29:57 – Quand Julien Dray se redécouvre hébreu
01h33:12 – Ni pardon ni oubli : la religion de la haine
01h37:26 – La purification ethnique a toujours été le projet sioniste
01h46:29 – L’avenir d’Israël ne peut être que l’Afrique du Sud
01h51:26 – Le retour aux fondamentaux de la gauche et de la droite
01h56:40 – L’honneur retrouvé de Jean-Luc Mélenchon
02h04:51 – L’incohérence utile des LGBT
02h07:34 – L’abjection sioniste d’une certaine droite catholique
02h12:26 – Les conséquences pour la France de demain ?
02h16:29 – Les solutions pour la France de demain ?
02h18:31 – La communauté juive dans la France de demain ?
02h23:12 – À l’aube d’une troisième guerre mondiale ?
02h29:29 – De la conscience malheureuse du Français d’extrême droite
02h35:02 – Élections américaines : comment voler encore Trump en 2024 ?
02h41:49 – Ne pas se tromper de choc de civilisations
Une forte hausse suite à l’assouplissement du contrôle anticoncurrentiel d’Apple.
Suite aux récentes modifications induites par la loi sur les marchés numériques (DMA) de l’Union européenne, les utilisateurs d’iPhone ont considérablement augmenté l’installation de l’application de navigation Brave, respectueuse de la vie privée. Initié par Apple dans sa version iOS 17.4, le DMA a obligé le géant de la technologie à permettre aux utilisateurs européens de choisir leur navigateur par défaut. Safari, le navigateur propriétaire d’Apple, n’était qu’une option parmi d’autres.
Depuis le lancement d’iOS 14, les détenteurs d’un iPhone pouvaient théoriquement choisir leur navigateur web préféré, mais cette liberté n’était qu’une illusion.
Apple a imposé une norme obligeant tous les navigateurs web tiers à s’appuyer sur son API WebKit et limitant les fonctionnalités qu’ils étaient autorisés à mettre en œuvre. À la suite du mandat de la DMA, Apple a supprimé la condition préalable de WebKit dans l’UE et a commencé à proposer activement aux utilisateurs une configuration initiale de l’appareil avec une sélection de navigateur.
Les premières indications de la stratégie d’Apple visant à s’aligner sur la DMA se sont matérialisées en janvier. En modifiant la dynamique opérationnelle des navigateurs web sur les iPhones dans l’UE, iOS 17.4 permet aux clients d’indiquer leur préférence de navigateur internet par défaut au point d’activation initial de Safari. Surtout, les créateurs de navigateurs concurrents peuvent désormais utiliser différents moteurs de navigation.
Les utilisateurs d’iPhone ont le choix entre Chrome, DuckDuckGo, Edge, Firefox et Brave.
Haaaaaa…. dans la série Tintin chez les Popovs (ceux qui ont connu la guerre froide et les expressions de l’époque comprendront), notre professeur Trouposol nous a doctement expliqué que pour notre sécurité il fallait penser à faire la guerre… sinon nous pourrions avoir la guerre.
En tant que membre émérite de la 7ème compagnie, avec le chef Chaudard, sur le terrain, nous avons une autre perception de la situation.
Vous êtes assis j’espère… non parce que l’intro du grand chef est en mesure de vous faire tomber par terre !
« Vous êtes assis » dit-il aux journalistes. « Vous n’excluez pas de vous lever à la fin de l’émission » ? Donc les troupes au sol, c’est pareil. Voilà.
C’est simple la guerre.
Simple comme une bonne vanne.
Simple comme un « bon mot ».
Les manuels (pas les Emmanuels hein) retiendront donc, que la troisième guerre mondiale a eu lieu parce que Trouposol, ce jour-là n’excluait pas de se lever. Vous écouterez. C’est lunaire.
Un Mozart de l’ambiguïté stratégique.
Mais ce n’est pas tout…
Ensuite le Professeur Trouposol nous a expliqué qu’il produit 100 obus par jour et 75 canons César par an, et je suis heureux de même que nos ennemis les Russes de l’apprendre. Voilà des statistiques utiles pour gagner un guerre d’attrition. Y a personne à l’état-major pour expliquer au Tintin de l’Elysée qu’il ne faut pas donner certains éléments chiffrés ? Ou alors on intoxique et il fallait qu’il dise le professeur Trouposol que nous allions sortir dès 2025 750 canons César. Là le Kremlin aurait tremblé.
Bref.
Selon Trouposol il ne faut pas être lâche et il faut empêcher la Russie à tout prix de gagner en Ukraine, ce qui revient à dire qu’il faut faire perdre la Russie.
Si personne n’accepte au moins de perdre un peu alors il n’y a par définition aucune paix ou négociation possible, il n’y a que plus de guerre.
Macron n’a pas les moyens de cet adage. D’abord avec nos 3 100 milliards de dettes et nous y reviendrons, le professeur Trouposol du Palais, n’est pas fort. Notre armée peut potentiellement tenir un front de 80 à 200km en haute intensité pendant une semaine. Un peu court pour défier la Russie. Evidemment l’idée de génie de Trouposol c’est d’y aller « en Européens » avec les autres « copains ».
Nous n’avons donc pas la sagesse d’être fort.
Enfin l’enfant gâté du Palais n’est pas sage du tout parce qu’engager l’armée contre la Russie, nécessitera de passer par le Parlement. Et non, Macron, ne peut pas s’arroger le droit de décider seul d’emmener la France vers la guerre contre la Russie, de la même manière qu’il ne peut pas avoir la bêtise de tenter de nous faire croire que les intérêts vitaux « existentiels » de l’Europe sont menacés en Ukraine. C’est faux. Les frontières de l’Union Européenne sont connues, par les Russes également. Attaquer un pays membre de l’Union Européenne serait un casus belli. Nous sommes bien d’accord là-dessus.
L’Ukraine n’est pas dans l’Union Européenne. C’est peut-être très triste pour les Ukrainiens, mais ils ne sont en aucun cas dans nos intérêts vitaux et il est important de dire ce que signifie un affrontement potentiel avec la Russie. Nous ne perdrons pas 50 ou 80 soldats sur 8 ans comme en Afrique. Nous perdrons 50 à 60 % d’un corps expéditionnaire de 10 000 hommes. Voilà la réalité. Nous aurons des morts par milliers, pour terminer par la signature d’un traité de paix. Absurde. Sans sagesse.
“Les mèmes font partie des messages anti-vaccins depuis des siècles et leur pouvoir de diffusion d’une désinformation sanitaire néfaste ne cesse de croître”, selon le texte de l’article.
L’article avertit que si les mèmes sont souvent associés à des “chats mignons et à des célébrités aux légendes amusantes”, ils ont “une fonction plus sinistre”, car ils “font partie d’une stratégie très sophistiquée de diffusion et de monétisation de la désinformation en matière de santé”.
Citant la “longue histoire” des mèmes anti-vaccination, l’article présente une image de 1802 montrant un monstre vaccinal nourri d’un panier de nourrissons et “les excrétant avec des cornes”, et une autre de 1892 montrant un serpent vaccinal et un squelette dansant menaçant une mère et son nourrisson.
Cependant, “le plus célèbre mème anti-vaccination “, indique l’article, “est né d’une étude de 1998, aujourd’hui discréditée, qui établissait un lien erroné entre le vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole (ROR) et l’autisme”.
L’article renvoie à un article paru en 2010 dans le Journal de l’Association médicale canadienne sur la rétractation par The Lancet de l’article du Dr Andrew Wakefield et à un éditorial du BMJ de 2011 qualifiant l’étude de Wakefield de frauduleuse.
Selon l’article, l’étude de Wakefield est à l’origine du mème “les vaccins causent l’autisme”, qui apparaît sur les panneaux d’affichage et circule “largement dans les médias”.
Vera Sharav, survivante de l’Holocauste, a analysé la controverse Wakefield dans un article en plusieurs parties, notant que la Haute Cour du Royaume-Uni n’a trouvé par la suite “aucune preuve permettant d’étayer l’accusation de faute professionnelle, et encore moins l’accusation de fraude”.
Citant le Media Manipulation Casebook, l’article définit la “guerre des mèmes” comme la propagation de mèmes à des fins de “persuasion politique ou de renforcement de la communauté, ou pour diffuser stratégiquement des récits et d’autres messages essentiels à une campagne de manipulation des médias”.
Les auteurs ont identifié “trois thèmes récurrents” dans les mèmes encourageant le refus des vaccins :
Le gouvernement et les institutions sociales sont corrompus, politiquement compromis et tyranniques et utilisent des vaccins dangereux et inefficaces à des fins de surveillance, de contrôle et de profit.
Les personnes non vaccinées sont injustement stigmatisées et persécutées, “soumises à des sanctions de type nazi et à l’exclusion sociale”.
Les vaccinés sont moralement et physiquement inférieurs aux non-vaccinés, par exemple, ils souffrent d’une fertilité et d’une capacité de réflexion critique réduites.
Mais l’élément le plus “sinistre” des campagnes de mèmes, selon l’article, était de “profiter financièrement des angoisses liées à la pandémie”, notamment en promouvant des traitements médicaux “potentiellement dangereux” et “non approuvés” tels que l’hydroxychloroquine et l’ivermectine.
Les auteurs n’ont pas expliqué comment une personne pouvait gagner sa vie en vendant des médicaments non brevetés peu coûteux, et n’ont pas non plus comparé cette affirmation aux bénéfices réalisés par les entreprises qui vendent le remdesivir ou les vaccins Covid-19.
En conclusion, “sous le couvert de l’humour et de la satire” qui “peuvent échapper aux vérificateurs de faits et aux modérateurs de contenu”, les propagateurs de mèmes “développent leur audience en ligne, sèment la méfiance à l’égard des autorités sanitaires et tirent profit de la promotion de médicaments non approuvés”.
Les gens n’achètent pas ce qu’ils vendent
Laura Bono, vice-présidente de Children’s Health Defense (CHD), a déclaré à The Defender: “Manifestement, Gavi ne voit pas l’ironie de publier un article sur la propagation de la “désinformation” sur les vaccins, alors que Gavi est l’un des pourvoyeurs les plus prolifiques de propagande pro-vaccins dans le monde”.
Gavi, financé à hauteur de 4,1 milliards de dollars depuis 2000 par son partenaire fondateur, la Fondation Bill & Melinda Gates, a une longue histoire d’introduction de vaccins dans les pays en développement d’ Afrique sans consentement éclairé adéquat sur les risques.
Gavi a récemment lancé une campagne de vaccination antipaludique pour les bébés dans toute l’Afrique et vise des millions de jeunes filles dans les pays à revenu faible et intermédiaire du monde entier avec un vaccin contre le papillomavirus humain (HPV).
Mme Bono a déclaré que Gavi et d’autres organisations soutenues par l’industrie pharmaceutique sont “aux prises avec le fait que les parents du monde entier s’éveillent aux risques graves posés par les vaccins, y compris l’autisme, et qu’un nombre croissant de personnes n’achètent pas ce qu’ils vendent”.
“Il est ironique que Gavi soit contraint de s’engager dans cette voie, car il se sent clairement menacé”, a déclaré C. H. Klotz, rédacteur en chef de “Canary In a Covid World: How Propaganda and Censorship Changed Our (My) World” (Le canari dans un monde covide: comment la propagande et la censure ont changé notre (mon) monde). Et de poursuivre: “Ils sont loin de se douter que les gens ne sont pas stupides, malgré la propagande.”
Selon M. Klotz, de plus en plus de personnes ont pris conscience de la propagande grâce à leur expérience avec le Covid-19, “où l’on nous a dit une chose et où le contraire s’est produit”. Par exemple, “Faites-vous vacciner pour arrêter la transmission et vous protéger contre une nouvelle contamination”.
“Tout cela s’est avéré être un gros mensonge”, a-t-il déclaré.
[...]
Xavier-Louis de Izarra nous partage son rêve hallucinant dans un pays gouverné par un président pervers habillé de rose au comportement irresponsable, engagé dans une confrontation risquée avec une superpuissance nucléaire, ignorant les conséquences catastrophiques pour son propre peuple.
Le cauchemar se dévoile alors dans toute son horreur lorsque Xavier-Louis nous plonge au cœur de la population, une masse apathique et anesthésiée par un produit toxique qu’on avait dû leur injecter quelques mois auparavant. Dans cette vision dystopique, les citoyens semblent figés dans une inertie mortelle, indifférents à leur sort imminent, telles des marionnettes manipulées par une main invisible.
Dans un régime corrompu et décadent, entre tricheries électorales, relations extraconjugales et intrigues politiques, le portrait qui se dessine est celui d’un despote dénué de toute éthique, prêt à sacrifier son peuple pour assouvir ses propres désirs.
Yoann - Le Media en 4-4-2
C’est la guerre, l’empereur Palpoutine menace la France et grâce à la législation sur les réquisitions (piège à cons) on voit bien poindre la légère tentation de saisir l’épargne, pardon de drainer comme dirait Bruno Le Maire ces sommes considérables que les Européens ont sur leurs comptes bancaires. Cette épargne colossale qu’il lorgne pour financer nos déficits considérables.
Mais rassurez-vous, nous sommes en démocratie et en démocratie nous avons les valeurs de la République qui nous protègent.
On prend donc votre Livret A pour financer la guerre en Ukraine sans vous demander si cela convient à votre « morale », et à votre responsabilité sociale.
C’est vrai quoi…
Financer Total et les stations services c’est mââââl.
Mais que le Livret A finance la guerre et les marchands de canons… c’est bien !
Tout cela va foirer, en plus c’est une très mauvaise idée en termes de risques.
Y a quelqu’un pour prévenir Bruno ? Faites-lui passer cette note il doit pas être au courant à Bercy !
Allez je m’explique.
Faut financer la guerre, très bien tintin. Mais si Bruno file des sous aux usines d’obus comme ce qu’il a fait aux usines de masques durant la dernière guerre contre un vi-russe, alors que là c’est contre les Russes tout court, les usines ont fait des masques puis elles ont fait faillite aussitôt.
Il va se passer la même chose avec la guerre. La guerre c’est un truc pour abrutis crétins. Donc on produit des armes, on se met sur la figure, puis on fait la paix. Toujours. Quand on se met dessus on produit beaucoup. Une fois qu’on fait la paix on produit plus rien ou si peu. Les marchands de canon feront faillite.
Le problème c’est que l’artiste de Bercy, le Bruno, il garantit le livret A …. ou le livret hahahahahahahahahahha.
Donc il va financer un truc qui va se planter à terme en utilisant des sous qu’il doit garantir le tout en réduisant la dette… hahahahahahahahaha.
Haaa, la vedette de Bercy faut tout lui dire.
Mon Bruno, laisse tomber le livret A, il faut faire le LDG. Oui le livret de guerre. LDG. J’ai viré le coté deuxième D pour durable… côté écologie la guerre c’est moyen.
Donc mon Bruno, tu lances un LDG non garanti (tu le dis pas trop, mais c’est pas garanti). Ensuite tu demandes à LCI et BFM de faire tourner en boucle l’importance de soutenir l’Ukraine, envoyer des sous c’est mieux qu’envoyer nos fils, tu joues sur la culpabilité des masses et les plus vieux qui ont les sous votent Macron et écoutent BFM. Facile. Tu proposes à Cnews de leur lâcher la grappe à condition qu’ils fassent de la retape pour ton LDG. Tu vas lever au moins 10 milliards, facile. Tu les dépenses, comme d’habitude. Tu les crames comme à chaque fois… puis après la guerre, tu diras… oups y a plus sous…. mais c’était pour la bonne cause.
Ainsi mon bon Bruno tu n’auras pas déstabilisé le financement du logement social à partir du Livret A, tu ne te seras pas tiré un balle dans le pieds de la dette et tu auras pris des sous à ceux qui pouvaient en perdre sans forcer personne. N’oublies pas. Valeurs de la République, démocratie machin toussa.
Allez je continue dans le cynisme économique et patrimonial.
Un petit air de Rihanna, un positionnement blacko-trumpiste, un podcast qui cartonne, un dossier bien potassé (merci F&D), et voilà une magnifique rampe de lancement au cœur de la politique US. L’affaire Brigitte vient de traverser l’Atlantique, thanks to Candace Owens.
Son podcast sur YouTube totalise 3M d’abonnés, et son compte X monte à 4,8M. Candace, plus honnête que les journalistes français mainstream, qui pompent et ne citent jamais F&D, a cité et relayé sa source.
En tant qu’étranger, sujet de Sa Britannique Majesté, Mendelssohn n’a pas les clefs pour comprendre le chevauchement des différents Codes et Lois en France.
Puisqu’en droit, un mot sera placé pour en cacher un autre.
Ainsi, Mendelssohn invite les juristes dotés de qualifications que lui ne possède pas, à nous décortiquer l’imbrication des textes législatifs dont il est question ci-dessous.
(Dans le cas où des personnes sans enfants seraient tentés de se voiler les yeux – Papa Mendelssohn en a cinq, tous en âge ou presque d’être mobilisés, sans en venir même à la réquisition…)
En ouverture des festivités, quelques lignes de rappel historique figurant sur un site officiel :
Les réquisitions et le Service de travail obligatoire – 1943
Le tournant du STO
Alors que les exigences allemandes ne cessent de s’accentuer, le gouvernement de Vichy adopte un nouveau dispositif de réquisitions avec la loi du 16 février 1943 qui institue le «service du travail obligatoire» (STO). Tous les jeunes Français nés en 1920, 1921 et 1922 déclarés aptes après une visite médicale doivent partir travailler en Allemagne pour deux ans. D’importantes mises en garde sont immédiatement adressées à ceux qui n’obéiraient pas. Les sanctions auxquelles ils s’exposent sont des amendes allant de 200 à 100 000 francs et des peines d’emprisonnement allant de 3 mois à 5 ans, susceptibles, en cas de récidive, d’être portées au double.
La France est le seul pays occupé d’Europe où les réquisitions ne sont pas la conséquence d’ordonnances allemandes mais d’une loi adoptée par l’État français.
https://www.cheminsdememoire.gouv.fr/1943-les-consequences-du-sto-dans-la-creation-des-maquis
Si Mendelssohn a bien compris, la Loi de Programmation militaire votée en août 2023 modifie entre autres, le Code de défense. Ce sont donc les nouveaux articles du Code de défense dont il est question ici.
• https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/article_jo/JORFARTI000047915043
Titre Ier
Réquisitions pour les besoins de la défense et de la sécurité nationale
Chapitre II
Principes généraux
«Art. L. 2212-1.-En cas de menace, actuelle ou prévisible, pesant sur les activités essentielles à la vie de la Nation, à la protection de la population, à l’intégrité du territoire ou à la permanence des institutions de la République ou de nature à justifier la mise en œuvre des engagements internationaux de l’État en matière de défense, la réquisition de toute personne, physique ou morale, et de tous les biens et les services nécessaires pour y parer peut être décidée par décret en Conseil des ministres. (…)
Mendelssohn s’interroge :
1) En droit, la sécurité juridique exige que le citoyen comprenne de quoi on parle. Il faut donc que chaque terme utilisé soit défini sans ambiguïté.
Dans le cadre de cet article, que veut dire
– menace
– actuelle
– prévisible (d’ici six semaines ? six ans ? six décennies ?)
– activités essentielles à la vie de la Nation (supermarchés Leclerc ? Officines pratiquant des tests PCR ?)
– «menace de nature à justifier la mise en œuvre des engagements internationaux de l’État en matière de défense»
Il existe de multiples niveaux hiérarchiques d’«engagements» internationaux d’un état. Par ailleurs, le terme «engagement» n’est pas, sauf erreur, un terme juridique dans ce contexte précis.
Parle-t-on de traités ? D’engagements écrits ? Non-écrits ? Tenus secrets (présence de «mercenaires» en Ukraine) ? Sous le radar (activités militaires de la France en Afrique) ?
Ou encore, d’accords uni-personnels entre le Micronien et X, tel celui du 16 février avec l’actuel président ukrainien1 accord dont la légalité est plus qu’incertaine ?
(Nous reviendrons prochainement sur ledit accord bilatéral de sécurité du 16 février : à part engager des milliards ayant l’impôt comme source, des milliers de militaires et spécialistes Français devraient partir instamment vers l’Ukraine, à supposer que la France veuille et puisse s’y conformer).
[...]
Le 29 novembre 2023, le Conseil fédéral a ouvert la procédure de consultation relative à la révision partielle de la loi sur les épidémies. Peu débattu, le projet introduit pourtant des changements fondamentaux en faisant passer les mesures d’exception de la loi Covid dans le droit ordinaire. Avec les certificats de vaccination, le dépistage, le traçage et d’autres interventions controversées, la loi confirme le passage de la surveillance des maladies à la surveillance des personnes.
Elle opère aussi un transfert d’autorité à l’OMS dans le cadre du «traité» sur les pandémies et des amendements au Règlement sanitaire international, dont les textes ne seront communiqués qu’à la veille du vote lors de la prochaine Assemblée mondiale de la santé, le 27 mai 2024. «La santé mondiale» évoquée dans la loi viendrait discrètement supplanter les politiques nationales et les droits constitutionnels, qui garantissent la liberté du choix des patients et la pluralité des approches thérapeutiques. C’est pourquoi de nombreux citoyens lancent l’alerte en invitant la population et les parties concernées à réagir avant qu’il ne soit trop tard.
Nouvelles atteintes aux libertés
La nouvelle version de la loi sur les épidémies semble bétonner dans la loi les mesures prises lors de la crise du Covid, sans se soucier des droits et libertés inscrits dans la Constitution. Le texte énumère une série de menaces potentielles sur la santé publique auxquelles seul un lourd régime de centralisation, de numérisation, de surveillance, et d’obligations semble pouvoir répondre.
Plusieurs dispositions vont plus loin que les contraintes imposées lors de la période Covid. L’on voit par exemple se profiler discrètement les obligations vaccinales, alors qu’elles constituent une violation de l’intégrité physique, un droit fondamental pourtant considéré comme inviolable en Suisse.
Un autre renforcement des mesures concerne la liberté de se réunir (article 22 de la Constitution). L’article 40 de la nouvelle loi entend à présent réglementer de manière plus systématique et restreinte la collecte des coordonnées des personnes, les activités de travail à domicile ou les manifestations dans l’espace public.
Le retour du certificat sanitaire
Sans trop de surprise, le certificat sanitaire fait son retour, malgré l’opposition de près de la moitié des Suisses à son utilisation et le rejet par la population de l’identité numérique. La loi confère au Conseil fédéral la possibilité de définir un document pour entrer et sortir d’un autre pays, et il pourra bien entendu être relié à des systèmes étrangers correspondants. De plus, elle compte y ajouter d’autres données de santé que les médecins, hôpitaux et institutions sanitaires publiques et privées seraient obligées de déclarer.
L’on bascule ainsi de l’actuelle logique de déclaration des maladies à une obligation de déclarer des personnes. L’article 12 prévoit la déclaration «d’informations permettant d’identifier les personnes malades, présumées malades, infectées, présumées infectées ou qui excrètent des agents pathogènes» (lit. a), ainsi que «notamment les données sociodémographiques et relatives aux comportements, y compris les données sur la sphère intime» (lit. c).
Pour le Dr Philippe Vallat, expert indépendant en santé publique, il s’agit d’un véritable changement de paradigme :
«Nous ne serons plus considérés comme malades parce que nous le ressentons ainsi, ou parce qu’un médecin l’aura déterminé, mais administrativement par défaut. Cela établirait un nouveau paradigme médical basé sur une suspicion généralisée, tout un chacun étant a priori «présumé» malade ou infecté. Cela conduirait à la nécessité de devoir prouver qu’on n’est pas contagieux, et donc pas dangereux pour les autres. Comment ? Le projet n’en dit rien, mais l’expérience covidienne du certificat a montré comment un dispositif administratif se basant sur des mesures scientifiquement inadéquates ouvrait la porte à l’arbitraire et à la discrimination».
Dans sa proposition de motion sur le projet de loi, le journaliste Guy Mettan estime lui aussi qu’il s’agit plus d’une mesure de contrôle que d’une intervention de santé :
«L’article 49b prévoit le maintien du certificat sanitaire, établi à l’origine comme moyen d’éviter la propagation du virus, alors que la réalité de la crise Covid a montré qu’il s’agissait d’un document administratif inopérant en matière de santé publique, la vaccination ne prévenant pas la transmission.
L’identité numérique remise sur le métier par le CF, le certificat sanitaire intronisé dans le projet de révision de la loi sur les épidémies et le dossier électronique du patient concourent à l’abolition de la sphère privée et à l’instauration d’un contrôle mondialisé de nos vies».
L’exemple de la Belgique confirme ces hypothèses : les pouvoirs locaux et le fédéral y ont voté le retour du certificat sanitaire en date du 8 février. Ils ont autorisé la remise de ses clés de vérification à l’OMS et prolongé la validité des anciens documents avec effet rétroactif. Officiellement, le certificat sanitaire (Covid Safety Ticket) est à nouveau opérationnel depuis le 1er juillet 2023, date à laquelle l’Union européenne a cédé son système à l’OMS en vue de la constitution d’un certificat numérique mondial.
Le certificat s’inscrira bientôt dans le portefeuille numérique européen qui contiendra d’autres données de santé et sera lié à l’identité numérique européenne et aux données biométriques. D’autres documents administratifs devraient s’y ajouter, par exemples les assurances, le permis de conduire, et fort probablement les données bancaires.
Transferts de pouvoirs
Bien que les principes d’autonomie soient réaffirmés dans les textes, dans la pratique on assiste à une centralisation des pouvoirs autour de la santé. Ainsi, la loi sur les épidémies définit 32 «compétences déléguées» au fédéral, ce qui réduira le pouvoir des cantons à une coquille vide, tout en continuant à payer la moitié de la facture.
Mais c’est surtout, l’atteinte à la souveraineté nationale qui inquiète. On trouve dans la loi une clause de déclenchement par l’OMS de «la situation particulière en Suisse» (art. 6b). Et, selon l’article 12 modifié du RSI, le directeur général de l’OMS, après consultation d’un comité d’urgence, aurait le pouvoir d’annoncer seul et sans possibilité de contestation l’apparition potentielle ou actuelle d’une urgence de santé publique de portée internationale (USPPI), notamment une pandémie, et d’en déclarer la fin.
Par ailleurs, la loi semble reprendre des contenus du Traité pandémique CA+ de l’OMS et de la révision du règlement sanitaire international, alors que ceux-ci ne seront connus qu’à l’issue des négociations en cours.
Pour les détracteurs de la loi, la volonté de l’OMS est claire : avec la modification des articles 1, 13a, 42, 53a, 54bis du RSI, toutes les recommandations de l’OMS (par ex : les certificats obligatoires, la quarantaine, les attestations de vaccination ou la constitution de stocks de médicaments) deviendraient contraignantes pour les Etats signataires.
L’OMS étendrait aussi son champ de compétences, en particulier avec des concepts fourre-tout comme «One Health», la notion «une seule santé» grâce à laquelle elle pourrait s’occuper aussi du climat, des animaux, de l’agriculture, de l’éducation ou des transports pour ne citer que quelques domaines concernés.
C’est pareil avec la notion d’«infodémies» et de sa stratégie de «la lutte contre la désinformation». L’organisation semble vouloir se transformer en «ministère de la vérité scientifique», avec ses campagnes de censure et de propagande. Elle compte obliger les États à combattre les sources de «désinformation» et leurs auteurs dans les divers médias et sur les réseaux sociaux.
« L’Occident continue de mentir et de terroriser le monde. Aujourd’hui, l’Occident prétend sans vergogne que la Russie aurait l’intention d’attaquer l’Europe. Mais vous et moi savons qu’ils racontent n’importe quoi ».
Pour venir faire ses courses ici, au moins trois heures de bénévolat par mois sont nécessaires. Samedi 9 mars 2024, Mathilde est heureuse de participer à l’ouverture du supermarché participatif Graoucoop à Metz en Moselle. « On a commencé en distribution en groupement d’achat en 2020. On a fait une épicerie test rue du 20ᵉ corps à Metz en 2021 pour voir si le concept fonctionnait, si on arrivait à regrouper les personnes autour de ce concept et puis là, on relance, ce qui était l’objectif depuis le départ, le supermarché coopératif. Aujourd’hui effectivement, on est passé, de 600 références à à peu près 2000 et en termes de surface de vente, on passe de 50 à peu près à 300 m². Donc maintenant, on est un vrai supermarché », explique Mathilde Heckel, coordinatrice générale, à France 3 Lorraine.
Désormais, c’est un supermarché en autogestion qui vient d’ouvrir dans le quartier du Sablon. Six fois plus grand.