Plus de 100 anciens dirigeants mondiaux et personnalités publiques exhortent les États membres de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) à finaliser un nouvel “accord sur les pandémies” à temps pour la 77e Assemblée mondiale de la santé, qui se tiendra à Genève, en Suisse, du 27 mai au 1er juin.
Dans une lettre ouverte datée du 20 mars, les dirigeants ont écrit :
“Un accord sur la pandémie est essentiel pour préserver notre avenir collectif. Seul un pacte mondial solide sur les pandémies peut protéger les générations futures d’une répétition de la crise du Covid-19, qui a fait des millions de morts et causé une dévastation sociale et économique généralisée”.
Les détracteurs du projet d’accord sur la pandémie ont déclaré au Défenseur que la lettre est trompeuse car elle traite du projet d’accord, ou “traité sur la pandémie”, mais ne fait pas référence aux amendements au Règlement sanitaire international (2005 ) (RSI).
Les modifications du RSI, proposées en 2023, sont négociées en même temps que l’accord. Les détracteurs de la lettre ont déclaré qu’elle visait à détourner l’attention de ce qu’ils considèrent comme les propositions les plus onéreuses contenues dans les amendements au RSI.
Le Dr David Bell, médecin de santé publique, consultant en biotechnologie et ancien directeur des technologies de santé mondiale chez Intellectual Ventures Global Good Fund, a déclaré au Défenseur que la lettre était “tout à fait honteuse” et “trompeuse”.
M. Bell a déclaré :
“La lettre suit l’exemple du directeur général qui trompe le public en affirmant, à juste titre, que l’accord sur la pandémie ne comprend pas de dispositions qui transfèrent l’autorité des pays à l’OMS, alors que ces dispositions figurent dans les amendements proposés au RSI qui accompagnent l’accord sur la pandémie.
“Les amendements proposés au RSI mentionnent spécifiquement la fermeture des frontières, la vaccination obligatoire et d’autres mesures aujourd’hui associées à l’enfermement. Ils mentionnent expressément que des documents sont nécessaires pour franchir les frontières et citent les passeports numériques comme l’une des solutions possibles.
L’avocate néerlandaise Meike Terhorst a déclaré au Defender que la lettre ouverte “ne fait référence à l’accord sur la pandémie que pour semer la confusion”.
“Le véritable enjeu se trouve dans les amendements au RSI, car sur la base de ces amendements, le directeur général de l’OMS devrait obtenir des pouvoirs législatifs et exécutifs indépendants, alors que tout contrôle juridique est rendu impossible”, a déclaré Mme Terhorst. “Le secret qui entoure les projets laisse penser qu’il s’agit d’un coup d’État.
Les négociations sont-elles en difficulté ?
Certains critiques ont suggéré que la lettre ouverte pourrait être un signe que les négociations pour l’accord sur la pandémie sont en train d’échouer.
“Aucun des deux documents ne fait l’objet d’un consensus entre les États membres”, a déclaré Shabnam Palesa Mohamed, directrice exécutive de Children’s Health Defense (CHD) Africa et fondatrice de Transformative Health Justice. “À huit semaines de l’Assemblée mondiale de la santé, l’OMS craint manifestement que l’accord ne déraille.
Le BMJ rapporte que “peu de progrès” ont été réalisés sur le projet d’accord sur la pandémie, et que la renonciation à la propriété intellectuelle “reste un point d’achoppement pour les nations membres qui sont à couteaux tirés dans les discussions”.
“Les partisans de l’accord craignent que le projet final ne soit édulcoré lors des négociations et qu’une formulation plus faible n’aboutisse à recommander aux pays de prendre certaines mesures plutôt qu’à les y contraindre en vertu du droit international”, selon The BMJ.
D’autres ont fait état d’une opposition mondiale croissante à l’accord proposé et aux modifications du RSI. L’Iran, la Nouvelle-Zélande, la Slovaquie et les Pays-Bas ont récemment rejeté les amendements au RSI proposés en 2022, tandis qu’en Afrique du Sud, un “projet de loi de retrait de l’OMS” a été proposé.
Aux États-Unis, le Sénat de Louisiane a voté à l’unanimité, le 26 mars, contre l’idée de permettre à l’OMS, aux Nations unies et au Forum économique mondial d’exercer une quelconque influence sur l’État de Louisiane.
“Le fait que tous les démocrates aient voté en sa faveur montre à quel point ce sentiment est populaire auprès de leurs électeurs”, a déclaré le président de la Commission européenne. Le Dr Meryl Nass, interniste et fondatrice de l’association Door to Freedom, “je pense que cela envoie un message aux politiciens du monde entier : favoriser l’OMS s’accompagnera d’un coût politique important”.
L’accord sur les pandémies ne menace pas la souveraineté, mais les amendements au RSI la menacent
Le journaliste indépendant James Roguski a déclaré à The Defender que la lettre des dirigeants mondiaux à l’OMS est “en grande partie correcte”, car l’accord proposé sur la pandémie n’est pas une “attaque contre la souveraineté nationale”.
Cependant, M. Roguski et le Dr Kat Lindley, présidente du Global Health Project et directrice du Global COVID Summit, ont souligné que les amendements au RSI constituent une menace pour la souveraineté des nations.
Selon Mme Lindley, les amendements au RSI feront de l’OMS “l’autorité mondiale en matière de santé dans l’éventualité de nouvelles pandémies, dont ils pensent clairement qu’elles se produiront encore et encore” et pourraient ouvrir la voie à “de futurs mandats de vaccination et à l’imposition de laissez-passer numériques pour la santé“.
Cela fait plus de 50 ans que le budget de la France n’est plus à l’équilibre :
À la fin du dernier trimestre 2023, la dette publique de notre pays se montait à 3.088,2 milliards d’euros selon l’INSEE, soit une augmentation de 41,3 milliards d’euros (après une augmentation de 34,5 milliards d’euros au trimestre précédent).
La loi de finances 2024 passée grâce au 49.3 et donc sous la seule responsabilité de la majorité actuelle prévoyait que le besoin prévisionnel de financement de l’État atteindrait 295,8 milliards d’euros, du fait principalement d’un déficit budgétaire de 144,4 milliards d’euros et de 156,4 milliards d’euros d’amortissement de dette à moyen et long terme venant à échéance en 2024.
Et l’UE dans tout cela
La France est également bien au-dessus de la moyenne des déficits des vingt-sept (82,6%) de l’UE, avec une dette qui atteint 111,9% de son PIB, soit plus de 3 000 milliards d’euros. À l’inverse, l’Estonie (18,2%) et la Bulgarie (21%) présentent actuellement les taux d’endettement les plus faibles au sein de l’UE.
Pourtant certains me diront que tout cela est lié à une gestion de la droite ou de la gauche. En êtes-vous bien sûr ? ce diagramme montre le contraire :
Aujourd’hui, fin mars 2024, Bercy avoue que pour 2024 le déficit sera à 5,6% du PIB au lieu de 4,9%, donc alourdi de quelques 20 milliards d’euros, remettant en cause sa trajectoire de réduction.
Comparer des choux à des carottes
Alors si la dette de la France est égale à la différence cumulée des budgets de l’État et donc une différence entre les dépenses et les recettes perçues grâce aux impôts et taxes, pourquoi alors comparer notre déficit ou notre dette au PIB de la nation.
N’est-il pas stupide d’ainsi mettre dans l’équation des choux face à des carottes ?
En effet, le PIB, soit le produit intérieur brut aux prix du marché, vise à mesurer la richesse créée par tous les agents, privés et publics, sur un territoire national pendant une période donnée. Il représente le résultat final de l’activité de production des unités productrices résidentes. En deux mots l’état français n’en dispose pas à son gré. Soyons donc plus rigoureux et comparons le déficit et la dette à nos recettes fiscales.
Les recettes fiscales
Voici les chiffres des recettes de l’État par type d’impôts en France pour l’année 2023 :
Recettes fiscales brutes : 470,6 milliards d’euros
Taxe sur la valeur ajoutée (TVA) : 176,3 milliards d’euros
Impôt sur le revenu : 113,4 milliards d’euros
Impôt sur les sociétés : 86,8 milliards d’euros
Enregistrements, timbres, autres contributions et taxes indirectes : 40,2 milliards d’euros
Autres impôts directs et taxes assimilées : 31,4 milliards d’euros
Taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques : 18,3 milliards d’euros
Autres impôts directs perçus par voie d’émission de rôles : 2,4 milliards d’euros
Contribution sociale sur les bénéfices : 1,6 milliard d’euros
En somme, les recettes totales nettes du budget général (après déduction des remboursements et dégrèvements) sont projetées à 349,4 milliards d’euros en 2023, avec une augmentation de 5,2% par rapport à l’année précédente.
Il est important de noter que ces chiffres sont des évaluations révisées pour l’année 2023 (source : https://www.insee.fr/fr/statistiques/2381416)
Tout ceci signifie donc que si nous consacrions la totalité de nos recettes fiscales au remboursement de la dette il nous faudrait : 3088,2 milliards € / 349,4 milliards € = 8 ans et 10 mois pour la rembourser en nous privant de tous les services de l’état.
01:00 – Économie
Le lent déclin du charbon (Bloomberg)
Micro-électronique russe
Mark Rutte en Chine
Alliance Framatom – Rusatom
Social ou militaire (Wall Street Journal) ?
06:45 – Politico-diplomatique
Il y a 25 ans, victoire de la Serbie contre l’OTAN
08:45 – Terrorisme
Ukraine : repaire de terroristes
Attentat du Crocus City Hall
18:10 – Empire du mensonge
Jubilation gaucho-terroriste
Guerre de religions
20:05 – Armement
Patriot pour tous
Challenger II
12 000 FAB/mois
22:07 – Considérations militaires générales
Pas de guerre contre l’OTAN
La chute de Kiev
Offensive d’été russe
Conscription générale
29:09 – Carte des opérations militaires
Le problème est que si les juifs veulent être craints, ils doivent aussi accepter d’être haïs. La «peur des juifs» peut être traduite littéralement par «judéophobie» (du grec phobos, craindre). Pour être craint, il faut avoir le pouvoir de nuire, et il faut le prouver. Donc, si les juifs veulent être craints afin de combattre l’antisémitisme, alors l’antisémitisme a un brillant avenir devant lui.
Tout cela n’a pas beaucoup de sens. Mais c’est très biblique. À ma connaissance, la Bible hébraïque ne recommande pas aux juifs de s’efforcer d’être aimés des non-juifs. Au contraire, Yahvé dit à son peuple dans Deutéronome 2 :25 :
«Aujourd’hui et désormais, je remplirai les peuples sous tous les cieux de crainte et de terreur à votre égard ; quiconque entendra parler de ton approche tremblera et se tordra d’angoisse à cause de toi».
Si Yahweh veut semer la terreur parmi les non-juifs, cela ne fait-il pas de lui un terroriste, ou le dieu des terroristes ?
C’est le cas, et cela fait des sionistes de bons Yahvistes. Dans ses mémoires de 1951, «La Révolte», Menachem Begin se vantait de «la victoire militaire à Deir Yassin», car la nouvelle de ce massacre de 254 villageois (pour la plupart des hommes, des femmes et des enfants non armés) a immédiatement conduit à la «bousculade folle et incontrôlable de 635 000 Arabes. (…) L’importance politique et économique de cette évolution ne peut guère être surestimée»1. Begin n’était-il pas un digne serviteur de son dieu national ?
Ce que Netanyahou fait aujourd’hui, c’est plus de 130 fois Deir Yassin. Et l’objectif, encore une fois, n’est pas seulement de tuer sans discernement, mais, ce faisant, de terroriser des millions de Palestiniens pour qu’ils partent «volontairement». Cela explique pourquoi ils laissent filtrer tant d’images du martyre de Gaza : c’est une crucifixion publique, destinée à tous. (Andrew Anglin a suggéré une autre raison, non contradictoire avec celle-ci).
L’une des histoires bibliques préférées de Netanyahou est le Livre d’Esther. Il l’a mentionné en 2015 devant le Congrès américain, comme argument pour justifier que l’Amérique devrait bombarder l’Iran2. Le livre d’Esther est important pour comprendre comment les juifs veulent être craints. Sous l’influence de son ministre Haman, le roi perse Assuérus publia un décret de solution définitive concernant les juifs de son royaume, car «ce peuple, et lui seul, s’oppose constamment à toute nation, suivant perversement une manière de vivre étrange et lois, et est mal disposé à l’égard de notre gouvernement, faisant tout le mal qu’il peut pour que notre royaume ne parvienne pas à la stabilité» (3 : 13). Mais grâce à Esther, l’épouse secrètement juive d’Assuérus, les juifs renversent la situation et obtiennent du roi qu’Haman soit pendu avec ces dix fils, et qu’un nouveau décret royal soit promulgué, qui donne aux juifs «la permission de détruire, massacrer et anéantir toute force armée de tout peuple ou province qui pourrait les attaquer, ainsi que leurs femmes et leurs enfants, et piller leurs biens» (8.11). C’est ainsi que les juifs massacrèrent soixante-quinze mille personnes. Dans tout le pays, conclut le livre, «il y avait de la joie et de l’allégresse parmi les juifs, avec des festins et des fêtes. Beaucoup de la population du pays est devenue juive, car désormais les juifs étaient craints» (8.17).
Cette histoire est très importante pour les juifs, car chaque année, à Pourim, ils célèbrent la pendaison d’Haman avec ses douze fils, et le massacre de 75 000 personnes, dont des femmes et des enfants.
Selon la conclusion de cette histoire, la peur des juifs produit de nouveaux juifs, c’est-à-dire des Gentils qui deviennent juifs par peur des juifs : «beaucoup sont devenus juifs, puisque maintenant les juifs étaient craints». Ou, dans une traduction plus littérale : «beaucoup de gens sont devenus juifs parce que la peur des juifs a fondu sur eux». Comme je l’ai dit, la peur des juifs est plus susceptible de produire des antisémites que de nouveaux juifs. Pourtant, il existe de nombreux exemples de personnes qui se font juives par peur des juifs : tout homme politique non juif qui s’est un jour coiffé d’une kippa sur la tête et a juré fidélité éternelle à Israël correspond à ce profil.
Il y a une autre histoire dans le livre de Josué qui va dans le même sens. Au début du chapitre 2, Josué, qui reçoit ses ordres directement de Yahvé dans le Tabernacle, envoie deux espions dans la ville de Jéricho. Ayant été repérés, ils se cachent chez une prostituée nommée Rahab. Elle les aide à s’échapper en échange d’être épargnés avec sa famille lorsqu’Israël attaque la ville, car, dit-elle, «nous avons peur de vous et tous les habitants de ce pays ont été saisis de terreur à votre approche» (2 :9).. Parce qu’Israël est si terrifiant, elle suppose que «Yahweh, votre Dieu, est Dieu».
La Bible catholique française de Jérusalem ajoute une note en bas de page disant que «la profession de foi de Rahab au dieu d’Israël a fait d’elle, aux yeux de plus d’un Père de l’Église, une figure de l’Église des Gentils, sauvée par sa foi». Je trouve perplexe l’idée de faire de la putain de Jéricho un symbole de l’Église car, par peur d’Israël, elle s’est convertie au dieu d’Israël et a aidé Israël à commettre le génocide dans sa propre ville («hommes et femmes, jeunes et vieux, y compris les bœufs, les moutons et les ânes, tous ont été égorgés», Josué 6 :21).
En revanche, c’est une bonne métaphore de la complicité du monde chrétien dans le génocide israélien des Gazaouis. Il ne fait aucun doute que chez la plupart des chrétiens d’aujourd’hui, la peur des juifs est bien plus forte que la pitié pour les habitants de Gaza. Et les chefs d’État de la plupart des nations chrétiennes préféreraient déclencher une Troisième Guerre mondiale avec la Russie plutôt que de critiquer Israël. La Russie est, après tout, un ennemi rationnel, alors que personne ne sait de quoi un Israël psychopathe est capable.
Israël est le seul pays qui menace ouvertement de faire exploser la planète. Ils appellent cela l’option Samson. L’option Samson est la combinaison de la capacité nucléaire d’Israël et de la réputation d’Israël de dangereux paranoïaque. Tout le monde sait qu’Israël possède une centaine de têtes nucléaires (80 selon l’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm). Et tout le monde sait qu’Israël est biblique, désireux d’accomplir des prophéties, comme Zacharie 14 : 12 :
«Et voici le fléau dont Yahweh frappera toutes les nations qui auront combattu contre Jérusalem ; leur chair pourrira alors qu’ils seront encore debout ; leurs yeux pourriront dans leurs orbites ; leur langue pourrira dans leur bouche».
Martin van Creveld, professeur d’histoire militaire à l’Université de Jérusalem, expliquait au journal britannique The Gardian en 2003 que les Intifadas palestiniennes récurrentes ne trouveraient qu’une seule solution : le «transfert» de tous les Palestiniens hors de Palestine. Sur le risque d’une opposition de la communauté internationale à un tel projet, il a ajouté :
«Nous possédons plusieurs centaines d’ogives et de roquettes atomiques et pouvons les lancer sur des cibles dans toutes les directions… Nous avons la capacité d’emporter le monde avec nous. Et je peux vous assurer que cela se produira avant qu’Israël ne sombre».3
C’est en un mot l’option Samson. Son essence est le terrorisme nucléaire.
La France connaît une hausse significative des baptêmes chez les jeunes, avec une augmentation de 31% des catéchumènes par rapport à l'an dernier. Découvrez comment l'Église catholique répond à cette soif spirituelle chez les jeunes français.
L’Église catholique en France connaît une hausse significative des baptêmes chez les adultes et les adolescents. Selon une enquête de la Conférence des évêques de France (CEF), le nombre de catéchumènes a augmenté de 31 % par rapport à l’an dernier, avec 7 135 postulants au baptême. Cette tendance n’est pas un simple effet rebond après le Covid, mais plutôt une soif spirituelle chez les jeunes.
Les jeunes de 18 à 25 ans représentent désormais 36 % des nouveaux baptisés, tandis que chez les adolescents entre 11 et 17 ans, l’enquête a recensé 5 025 baptêmes dans 68 diocèses, soit une hausse de 50 % en moyenne. Cette vitalité est illustrée par la présence de 45 000 jeunes Français aux dernières Journées mondiales de la jeunesse (JMJ) de Lisbonne.
Le président de la CEF, Éric de Moulins-Beaufort, souligne que dans son diocèse de Reims, les catéchumènes sont passés de 20 à 73 en cinq ans. Cependant, il s’interroge sur la capacité de l’Église à accompagner tous ces nouveaux venus dans une société où 80 % des jeunes n’ont pas reçu d’éducation religieuse.
La CEF observe également une hausse significative des baptisés issus de familles sans religion, soit un quart du total. Cette tendance montre que la France s’éloigne de la laïcité où l’Église est malmenée pour rejoindre la croix du Christ.
Le Covid a été déterminant pour pousser les citoyens vers l’Église. La démocratie occidentale ne fait plus rêver la jeunesse et le manque de repères dans une société dominée par le wokisme reste trop déstabilisant. Comme ce fut le cas avec la Russie qui a retrouvé la foi après l’URSS, la jeunesse française revient à ses racines chrétiennes pour trouver des réponses à leurs questions existentielles. L’esprit saint est à l’œuvre !
[...]
Le même jour, on apprenait que l’école primaire hors contrat Saint-Pierre-Julien-Eymard, tout près de Grenoble, était menacée de fermeture par le préfet de l’Isère à la suite d’un rapport vipérin du rectorat qui a inspecté l’établissement catholique traditionaliste, proche de la Fraternité Saint-Pie X, en janvier dernier. Selon le Dauphiné libéré, les services de l’État ont donné trois mois à la direction de l’école pour se mettre en conformité avec la loi avant de prononcer une fermeture temporaire voire définitive de l’établissement. Mais qu’a donc fait de si abominable la direction de cette modeste école primaire pour qu’on la menace ainsi de disparition pure et simple, alors même que le maire, très hostile, l’avait déjà provisoirement fermée 24 heures en février en arguant de manière erronée d’une grave insuffisance en matière de sécurité des locaux ?
Le rapport du rectorat relève, manifestement effrayé, « des activités physiques et sportives non mixtes et genrées, avec du football pour les garçons et de la corde à sauter pour les filles » !
[...]
Autrement dit, les écoles où des transsexuels viennent exhorter les enfants et adolescents à se grimer, à se travestir, à changer de sexe, à réaliser leur transition de genre, bref à se mutiler, souvent de manière irréversible et ô combien douloureuse et dangereuse pour leur santé physique et mentale, pour leur salut de leur âme et pour leur vie ici-bas sont parfaitement conformes aux valeurs de la République, à l’ordre républicain mais pas les rares établissements privés qui dispensent encore un enseignement et une morale traditionnels.
Voilà où l’on est dans un pays qui fut appelée la fille aînée de l’Église, qui compte tant de saints, de héros et de martyrs dans son histoire, où tant d’églises et de chapelles se dressent encore dans nos villes et nos villages, où les oratoires, les calvaires, les statues des saints et de la Vierge dominent les carrefours de nos rues, de nos chemins et de nos sentiers ou sont placés au sommet de nos collines et de nos montagnes.
Toujours ce 20 mars, mercredi de la Passion, votre serviteur comparaissait devant la XVIIe chambre du tribunal correctionnel de Paris (chambre de la presse) pour trois dossiers distincts : un article mordant de Jean-Philippe Robiquet paru dans Rivarol du 6 septembre 2023 et évoquant l’homosexualité de Gabriel Attal qui venait alors d’être nommé ministre de l’Éducation nationale et qui nous vaut une accusation d’homophobie (un an de prison ferme encouru), un éditorial du 15 février 2023 consacré au discours d’Élisabeth Borne, alors Premier ministre de Macron, au dîner annuel du CRIF pour contestation publique de crimes contre l’humanité (un an également de prison ferme encouru) et enfin une vidéo rivarolienne postée sur notre chaîne YouTube le 19 février 2023 pour « provocation publique à la discrimination, à la haine et à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée » et également pour contestation de l’existence d’un ou plusieurs crimes contre l’humanité (encore deux ans de prison ferme encourus).
Au terme d’une audience se déroulant dans une ambiance très hostile et devant un tribunal totalement féminin (la greffière et le procureur étaient également ce qu’on appelait autrefois des personnes du sexe), Madame le procureur de la République a requis contre le directeur de Rivarol 18 mois de prison ferme (dont la révocation de neuf mois de prison avec sursis) et 15 000 euros d’amende. Elle a explicitement refusé tout aménagement de peine (bracelet électronique, travail d’intérêt général ou semi-liberté), malgré les six enfants mineurs (dont un bébé de quinze mois), expliquant que puisque votre serviteur ne comprenait toujours pas, il fallait frapper très fort, la haine envers les homosexuels et les juifs étant parfaitement intolérable.
Pourtant, la seule haine que l’on voyait dégouliner lors de cette audience, c’était la sienne pendant son réquisitoire totalement glaçant. En tout, l’on réclame bien plus de 50 000 euros au directeur de Rivarol puisque les deux parties civiles, l’Observatoire juif de France (OJF) et le Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme (BNVCA) exigent à eux deux près de 30 000 euros de dommages et intérêts, plus trois publications judiciaires aux frais du condamné dans Le Figaro, Le Monde et Le Parisien, ce qui ajoute, au moins sur le papier, quelque 15 000 euros supplémentaires. Enfin, cerise sur le gâteau, Sébastien Chenu, vice-président du RN et de l’Assemblée nationale, a réclamé via son avocat, Me Alexandre Varaut, 15 000 euros de dommages et intérêts car Jean-Philippe Robiquet aurait moqué son homosexualité dans son article daté du 6 septembre 2023. Voilà où en est aujourd’hui le RN mariniste mais cela n’étonnera que les naïfs.
Troubles de l’attention et du comportement, manque d’autonomie, angoisse, apathie, perte de la dextérité et du goût pour les travaux manuels, la liste des dommages collatéraux s’allonge à mesure que grandissent la permissivité des parents et la faillite d’un système éducatif soumis à l’idéologie globaliste, où le numérique occupe une place toujours plus importante. Un système où l’enfant n’est plus «instruit» mais «accompagné» – c’est-à-dire assisté pour les uns et abandonné pour les autres, suivant la bonne foi et les compétences de l’enseignant…
Tout n’est pas à jeter dans les nouvelles pédagogies en vigueur qui entendent faire de l’élève «l’acteur de ses apprentissages», mais à minimiser le rôle de transmission de l’enseignant, en faveur d’une présumée dynamique collaborative des enfants – qui reste, de fait, très inégale et relative -, on sacrifie la connaissance pour quelques illusions idéologiques et les lubies de communicants irresponsables.
L’enseignement à distance pendant la période du Covid l’a bien montré : hormis une minorité d’élèves particulièrement vifs, les résultats de l’expérimentation ont été désastreux, tant du point de vue de l’acquisition des savoirs que de celui de l’épanouissement personnel. Aujourd’hui encore, les professeurs tentent de combler les lacunes et gérer les troubles liés aux confinements abusifs, devant composer de façon acrobatique avec le retard des uns et des autres. Il est certain que cet épisode aura marqué un tournant dans le rapport de l’élève à son besoin de comprendre et d’apprendre, rompant en quelque sorte le lien avec son tuteur au profit de la machine et des nouveaux lobbies de l’éducation.
Comme le parent, le professeur est, plus qu’une figure d’autorité, un modèle. Un modèle certes imparfait mais doté de caractère, et surtout porteur de savoir et du sens de la justice. Dépersonnaliser le savoir n’est peut-être pas un drame – après tout, à partir d’un certain âge n’importe qui peut librement s’instruire grâce aux ressources infinies qu’offre Internet – mais il me semble que cela participe dangereusement à la déshumanisation généralisée de nos sociétés, où les nouveaux outils de communication ont bouleversé les enjeux interactifs et la temporalité des relations, au point d’amener toutes sortes de névroses liées au culte de l’immédiat et de la consommation.
Dans des sociétés où l’on est assailli d’images et de représentations, où l’information – souvent des plus futiles – est systématiquement illustrée, manipulée, mise en scène, suivant les lois sacrées de la publicité, l’être en construction se retrouve littéralement perdu entre un univers virtuel et le monde réel.
Le capitalisme numérique a fait de l’enfant un consommateur précoce, livré à la dictature des images et à la prédation d’un ultralibéralisme pervers. Si l’on observe dans les salles de classe de plus en plus d’élèves présentant des difficultés et toutes sortes de troubles «dys-», c’est aussi que le cerveau sursollicité d’images violentes et insensées, cherche désespérément une issue à la pathologie du monde ainsi exposée, n’étant plus disponible pour un apprentissage sain.
À constater au quotidien l’impact cognitif et comportemental de la violence subie en images sur les jeunes, nous pouvons résolument nous estimer chanceux de faire partie de générations qui n’ont connu l’usage privé et la généralisation des outils numériques qu’à l’âge adulte. La dépendance des jeunes aux écrans, encouragée par la tendance et le besoin d’intégration, étant un moyen d’asservir les plus vulnérables en les privant de leurs facultés créatives, d’initiative et de réflexion.
On le sait, la lecture est fondamentale dans le développement de l’imaginaire, la formation à l’esprit critique et l’affirmation de soi, autant que dans la maîtrise de la langue et l’acquisition des facultés d’expression. Et lorsqu’elle n’est pas possible ou qu’elle ne présente pas d’intérêt particulier pour l’enfant, ses bienfaits peuvent être en partie compensés par différents jeux de construction et de projection, faisant appel à l’imaginaire et la créativité. Mais lorsqu’il n’y a ni livres ni jeux, et que l’enfant se retrouve sous l’emprise d’un écran qui l’asservit, le traumatise et le rabaisse systématiquement au niveau zéro de la culture, lorsqu’on le coupe du monde et de la nature, alors rien d’étonnant à ce que l’humanité renoue avec ses fâcheuses dispositions à la guerre et au totalitarisme.
Selon le leitmotiv de notre cher président, voici venue la «fin de l’insouciance». Mais la question qui devrait se poser, de façon urgente, est la suivante : si l’on nous annonce une fin, à quoi l’insouciance doit-elle précisément laisser place ? À la terreur et au règne de la perversité ? Ou bien à une connaissance supérieure, qui nous permettrait de nous passer de nos dirigeants ?il
Il importe peu de savoir si l’attentat contre le public du concert du Crocus City Hall de Moscou a été préparé par Daesh avec ou sans les Ukrainiens : ces gens ont l’habitude de travailler ensemble.
Cela dure depuis trois quart de siècle, mais n’est toujours pas intégré dans la conscience collective : les « nationalistes intégraux » aujourd’hui au pouvoir à Kiev travaillent de concert avec la Confrérie des Frères musulmans et leurs milices, sous la supervision des services secrets anglo-saxons. Leur fonction fondamentale est de lutter contre les Russes.
Le 22 mars 2024, un commando de quatre combattants a attaqué le public d’un concert de rock au Crocus City Hall de Krasnogorsk (banlieue du nord-est de Moscou), tuant 140 personnes et en blessant 115 autres. Puis, il a incendié le bâtiment.
Le commando terroriste a été arrêté par les Russes alors qu’il tentait de franchir la frontière ukrainienne et que, de l’autre côté, on les attendait. Ils ont été identifiés comme tadjiks. Ils ont avoué avoir été recrutés via internet afin de tuer pour de l’argent. Ils ont assuré ne pas avoir eu de contact avec leur employeur. Pourtant une carte de visite au nom de Dmytro Yarosh a été trouvée sur eux. Yarosh ayant été fondateur de la milice Pravy Sektor, numéro 2 du Conseil de sécurité ukrainien, puis conseiller du chef des armées, les autorités russes ont immédiatement accusé l’Ukraine. Yarosh a démenti l’implication de son pays. Sept complices ont également été arrêtés.
La police antiterroriste russe a torturé les terroristes et a filmé sa brutalité. La télévision publique a montré ces images et les a commentées. La culture russe est à la fois européenne et asiatique. Le peuple russe ne ressent aucune empathie pour des criminels.
Daesh a revendiqué l’attentat coupant court aux accusations d’opération russe sous faux drapeau. Ces terroristes n’étaient pas des fanatiques, mais des professionnels. Ils ne se sont pas immolés en public, mais ont fui, comme ceux qui ont attaqué Paris et Saint-Denis, faisant 130 morts, en 2015, notamment au concert de rock du Bataclan. Ils n’ont donc pas agi par haine de la Russie, mais dans le cadre d’une opération militaire dont les implications stratégiques ont été pensées à l’avance.
Selon la porte-parole du Conseil national de sécurité états-unien, Adrienne Watson, les terroristes de l’État islamique sont les seuls responsables de cette attaque. De nombreux commentateurs ont dénoncé a priori tout amalgame entre l’organisation islamique et les soutiens du gouvernement de Kiev. Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a accusé la Russie de s’en prendre à l’Ukraine par réflexe. Pourtant le président russe, Vladimir Poutine, a maintenu ses accusations exclusivement contre Kiev, ignorant Daesh.
Dès 2014 et le renversement du président ukrainien élu, nous avons régulièrement souligné les liens entre les nationalistes intégraux et les islamistes, et particulièrement le rôle de Dmytro Yarosh. Les faits parlent d’eux-mêmes. Nous ne savons pas si les Ukrainiens ont ou non organisé cet attentat, mais il est clair qu’ils connaissaient fort bien les assaillants : les nationalistes intégraux ukrainiens et les jihadistes combattent ensemble depuis trois quarts de siècle.
• Avant la Seconde Guerre mondiale, la Confrérie des Frères musulmans noua des liens avec les nazis contre les Britanniques. À cela rien d’étonnant, tous les mouvements anti-colonialistes de l’époque (y compris l’Indien M.K. Gandhi) se tournèrent naturellement du côté de l’Axe à la recherche d’un allié. En général, ils s’en démarquèrent dès qu’ils eurent vérifié sur place leur racisme. Cependant, la Confrérie bénéficia des subventions du III° Reich durant les années et conserva ces liens durant toute la guerre. Lorsque, à la Libération, les services secrets britanniques et les états-uniens récupérèrent de nombreux dirigeants nazis et les recyclèrent dans leur « guerre froide » contre les Soviétiques, ils récupèrent aussi la gouvernance de la Confrérie des Frères musulmans. C’est donc tout naturellement que la CIA fit travailler ensemble Gerhard von Mende, le spécialiste nazi de l’islam en Union soviétique, avec Saïd Ramadan, le gendre du fondateur de la confrérie. Ce dernier ayant été responsable d’une émission à la radio publique pakistanaise, la CIA le plaça à Munich à Radio Free Europe/Radio Liberty. Il y anima une émission pour les musulmans soviétiques et rencontra dans ces locaux Stepan Bandera, leader de l’Organisation des nationalistes ukrainiens (OUN), et son bras droit, Iaroslav Stetsko, l’ancien Premier ministre ukrainien nazi. Ce sont précisément les « bandéristes » (qualifiés d’« ukrainonazis » par le Kremlin, mais se dénommant eux-mêmes « nationalistes intégraux ») qui réalisèrent le coup d’État (« EuroMaïdan ») de 2014 contre le président ukrainien élu Viktor Ianoukovytch.
• Dans les années 1970, le milliardaire saoudien Oussama Ben laden participa aux réunions de la Ligue anti-communiste mondiale de Tchang Kaï-Chek etde … Iaroslav Stetsko [5]. Oussama ben Laden était membre de la Confrérie et avait été formé par le frère de Sayyid Qutb, le stratège de la Confrérie et le théoricien du jihad. C’est dans ce cadre qu’il fut choisi par les Etats-Unis pour devenir le chef des moudjahidines en Afghanistan contre les Soviétiques.
Les législateurs du grand État du Tennessee ont adopté cette semaine un projet de loi visant à interdire la pulvérisation de produits chimiques dans l’atmosphère, une technique gouvernementale de manipulation du temps connue sous le nom de « géo-ingénierie ».
Le projet de loi poursuit : « L’injection, la libération ou la dispersion intentionnelle, par quelque moyen que ce soit, de produits chimiques, de composés chimiques, de substances ou d’appareils à l’intérieur des frontières de cet État dans l’atmosphère dans le but exprès d’affecter la température, le temps ou l’intensité de la lumière du soleil sont interdites ».
Depuis des années, nombreux sont ceux qui soupçonnent le gouvernement de pulvériser des particules en aérosol dans l’atmosphère – sous forme de traînées de nuages blancs qui ne se dissipent pas – non seulement de manipuler le temps, mais aussi de détruire l’écosystème de la Terre.
Ce projet de loi intervient alors que d’éminents géoscientifiques ont récemment accusé les Nations unies de conspirer pour détruire l’environnement de la Terre.
Dans leur article, publié dans le « Advances In Social Sciences Research Journal » en septembre 2022, James Marvin Herndon et Mark Whiteside ont averti que « le temps est compté pour mettre un terme définitif à toutes les activités de géo-ingénierie », en particulier « les cendres volantes de charbon aérosolisées qui, selon eux, sont pulvérisées par des avions à réaction » et « dans la troposphère », où elles « détruisent systématiquement les systèmes de soutien de la Terre et empoisonnent la vie sur cette planète ».
Le gouvernement fédéral américain a également admis tacitement qu’il se livrait à cette pratique, appelée injection d’aérosols dans la stratosphère (SAI). L’ancien directeur de la CIA, John Brennan, l’a décrite comme « une méthode d’ensemencement de la stratosphère avec des particules qui peuvent aider à refléter la chaleur du soleil, de la même manière que le font les éruptions volcaniques ».
Par exemple, des centaines de soldats de la Garde nationale sont utilisés pour vérifier les sacs des passagers du métro de New York. C’est un précédent très inquiétant, et je ne comprends pas pourquoi il n’y a pas plus de gens qui s’en émeuvent. Nous venons d’apprendre que des troupes de la Garde nationale seront déployées lors de la grande éclipse américaine du 8 avril. Qu’est-ce qu’ils espèrent qu’il se passera pendant cette éclipse ?
Il s’agira sans aucun doute d’un événement historique.
Comme je l’ai dit précédemment, on prévoit qu’il s’agira de l’événement astronomique le plus regardé de toute l’histoire de notre pays.
Le 8 avril, des millions d’Américains se rendront dans des endroits où ils se trouveront sur la trajectoire de l’éclipse solaire totale. L’Oklahoma est présenté comme l’un des meilleurs États pour cela, et il est rapporté que la Garde nationale de l’Oklahoma « fournira des premiers intervenants ainsi que des unités ayant des capacités d’intervention en cas de matières dangereuses »…
Un nouvel outil puissant d’intelligence artificielle est capable de prédire si une personne est prête à se faire vacciner contre le COVID-19. Le système intègre les mathématiques du jugement humain à l’apprentissage automatique pour prédire l’hésitation à la vaccination. Le système prédictif utilise un petit ensemble de données issues de données démographiques et de jugements personnels tels que l’aversion au risque ou à la perte.
Les résultats encadrent une nouvelle technologie qui pourrait avoir de vastes applications pour prédire la santé mentale et donner lieu à des campagnes de santé publique plus efficaces.
Une équipe dirigée par des chercheurs de l’Université de Cincinnati et de l’Université Northwestern a créé un modèle prédictif utilisant un système intégré d’équations mathématiques décrivant les modèles légaux de jugement de récompense et d’aversion grâce à l’apprentissage automatique.
« Nous avons utilisé un petit nombre de variables et des ressources informatiques minimales pour faire des prédictions », a déclaré l’auteur principal Nicole Vike, associée de recherche principale au Collège d’ingénierie et de sciences appliquées de l’UC.
« Il est peu probable que la COVID-19 soit la dernière pandémie que nous verrons au cours des prochaines décennies. Disposer d’une nouvelle forme d’’intelligence artificielle pour la prédiction en santé publique constitue un outil précieux qui pourrait aider à préparer les hôpitaux à prédire les taux de vaccination et les taux d’infection qui en découlent. »
L’étude a été publiée dans le Journal of Medical Internet Research Public Health and Surveillance.
Les chercheurs ont interrogé 3 476 adultes à travers les États-Unis en 2021 pendant la pandémie de COVID-19. Au moment de l’enquête, les premiers vaccins étaient disponibles depuis plus d’un an.
Les personnes interrogées ont fourni des informations telles que leur lieu de résidence, leurs revenus, leur niveau d’éducation le plus élevé atteint, leur appartenance ethnique et leur accès à Internet. Les données démographiques des personnes interrogées reflétaient celles des États-Unis, d’après les chiffres du US Census Bureau. Il a été demandé aux participants s’ils avaient reçu l’un ou l’autre des vaccins disponibles contre la COVID-19. Environ 73 % des personnes interrogées ont déclaré avoir été vaccinées, soit un peu plus que les 70 % de la population nationale qui avaient été vaccinées en 2021.
En outre, il leur a été demandé s’ils suivaient systématiquement quatre recommandations destinées à prévenir la propagation du virus : porter un masque, respecter la distance sociale, se laver les mains et ne pas se rassembler en grands groupes.
Il a été demandé aux participants d’évaluer dans quelle mesure ils aimaient ou n’aimaient pas un ensemble de 48 images séquencées au hasard sur une échelle de sept points de 3 à -3. Les images provenaient de l’International Affective Picture Set, un vaste ensemble de photographies couleur émotionnellement évocatrices, réparties en six catégories : sports, catastrophes, animaux mignons, animaux agressifs, nature et nourriture.
Vike a déclaré que le but de cet exercice est de quantifier les caractéristiques mathématiques des jugements des gens lorsqu’ils observent des stimuli légèrement émotionnels. Les mesures de cette tâche incluent des concepts familiers aux économistes comportementaux — ou même aux joueurs — tels que l’aversion au risque (le point auquel quelqu’un est prêt à accepter une perte potentielle pour une récompense potentielle) et l’aversion à la perte. Il s’agit de la volonté d’éviter les risques, par exemple en souscrivant une assurance.
« Cela peut fonctionner très simplement. Il ne nécessite pas de super calcul, est peu coûteux et peut être appliqué à toute personne possédant un smartphone. Nous l’appelons IA cognitive computationnelle. Il est probable que vous verrez d’autres demandes concernant des modifications de jugement dans un avenir très proche. »
Pour les lecteurs du Réseau Voltaire, il appelle à sauver dans l’urgence le peuple palestinien et à résoudre enfin le problème israélo-arabe. À le résoudre sur le fond, en proclamant l’égalité de chaque homme, qu’il soit juif ou arabe.
Il est des vérités encore plus assassines que tous les complots qui visent la vérité , surtout dans cette terrible époque où règnent le mensonge , la terreur et l’injustice . Désormais tout un chacun parmi vous pourrait oser, s’il le voudrait, dire la vérité sans crainte aucune de subir la redoutable correction « guillotinaire » qui n’est autre que l’accusation d’antisémitisme et ses conséquences douloureuses que se soit sur sa vie professionnelle ou sur sa vie familiale et sociale ; accusation dont on use et on abuse.
Cette fois-ci la vérité est sortie d’où on ne l’attendait pas et d’une personne censée ne jamais l’avouer : le général israélien Yitztshak Barik. Fidèle aux pratiques inhérentes à ses fonctions à la tête du service de sécurité intérieure, le général Barik représentait, aux yeux des Palestiniens, la cruauté personnifiée. C’est la poignée de fer de l’entité étatique sioniste en Cisjordanie et dans la bande de Gaza. Et pourtant c’est bien lui, l’homme par qui la surprise arrive.
Barik ose justifier l’attaque palestinienne du 7 octobre 2023, ose reconnaître, implicitement et par ricochet, la vocation résistante du mouvement Hamas tout en attaquant le duo chef de file de l’extrémisme sioniste gouvernementale en la personne du ministre de la Sécurité, Itamar Ben-Gvir, et de son collègue des Finances, Bezalel Smotrich, dont l’influence sur les décisions officielles est prépondérante et décisive.
Ce sont bien ces deux ministres qui ont imposés comme principale priorité dans l’action de l’Exécutif israélien l’accélération de l’éradication de la présence palestinienne, sur la terre de Palestine — d’abord les zones occupées en 1967, suivies de celle occupées en 1948, c’est à dire la purification ethnique de l’ensemble du territoire de la Palestine historique, entre la rivière du Jourdain et le littoral de la Méditerranée ; « From the river to the sea », selon la fameuse chanson devenu mondialement célèbre grâce aux manifestations gigantesques contre le génocide perpétré au vu et au su de tous les habitants de la planète Terre —
Fort de ses performances guerrières de 1973, dont témoignent ses blessures au visage et au corps, lors des batailles du Sinaï, ce général connu pour son franc-parler se considère en plein droit de se porter donneur de leçons pour les jeunes générations de son peuple guidées tout droit vers l’abime par leurs dirigeants actuels qu’ils qualifié de ... « menteurs ».
Dans une récente interview accordée, il y a quelques jours, à la chaine AI-Jazira d’expression anglaise, le général Barik résume l’état des lieux de la population palestinienne en général et gazaouie en particulier en des termes on ne peut plus clairs :
— Barik : « Ils rêvent de la liberté, mais ils n’arrivent pas à la saisir. Qu’on le veuille ou non, nous contrôlons la vie de millions [d’entre eux ] ».
— Al-Jazeera :« Si vous étiez Palestinien et si vous viviez en Cisjordanie ou à Gaza comment jugeriez-vous Israël ? »
— Barik : « Je combattrais Israël pour obtenir ma liberté ».
— Al-Jazeera : « Jusqu’où vous iriez dans votre combat ? ».
— Barik :« Je ferais tout pour obtenir ma liberté ».
Voilà.
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