Les voitures modernes produites depuis le milieu des années 2010 sont équipées de technologies « cheval de Troie » dont les propriétaires commencent à prendre conscience. Ces technologies peuvent contrôler où et quand les conducteurs sont autorisés à conduire, suivre les yeux des conducteurs , enregistrer les conversations des occupants, collecter des informations génétiques et de santé, des données biométriques et le poids des conducteurs et des passagers, entraîner une augmentation des primes d’assurance automobile et même surveiller l’activité sexuelle des conducteurs .
Dans une vidéo récente, le journaliste automobile britannique Geoff Buys Cars explique comment une Hyundai Kona ayant fait l’objet d’une mise à jour logicielle est désormais soumise au géorepérage et au geotiming, en d’autres termes, la voiture peut désormais avoir des limites de distance et de temps fixées à distance par le fabricant. Les conditions d’utilisation de la mise à jour logicielle précisent que ces restrictions de conduite ne seront activées que si la loi l’exige.
« Cela signifie que vous ne pourrez pas conduire votre voiture au-delà des limites décidées par le gouvernement, donc toutes ces conspirations sur les villes de 15 minutes, les zones et les fermetures climatiques, comment vont-ils les mettre en œuvre ? Eh bien, probablement avec les capacités de géorepérage qui sont intégrées dans ces voitures, en utilisant l’infrastructure qu’ils installent déjà sur les routes avec toutes les caméras et tous les capteurs et toute la nouvelle technologie qui se met en place », a déclaré Geoff.
Hyundai a refusé d’annuler la mise à jour, faisant des contrôles une « fonctionnalité » permanente. Le journaliste automobile a précisé que toutes les voitures modernes ont la capacité de le faire, de sorte que même si le logiciel d’une voiture ne permet pas actuellement de restreindre la distance de conduite, l’emplacement des trajets, les temps de déplacement autorisés et même la conduite autonome, ce contrôle peut être ajouté à une date ultérieure.
« Certaines voitures de tous les jours sont déjà entièrement autonomes, la technologie est déjà présente dans les voitures, elles n’ont simplement pas encore été mises en marche », a déclaré Geoff.
Le journaliste automobile poursuit en expliquant comment cette technologie peut être utilisée pour empêcher les gens de conduire leur voiture le dimanche, éventuellement pour les empêcher d’aller à l’église, sous prétexte de « sauver la planète » dans le cadre d’un futur blocage climatique, avant de terminer la vidéo en pointant la caméra vers une traînée d’aérosol atmosphérique (chemtrail) et en disant ironiquement « elle est bien bonne, n’est-ce pas ».
Cette nouvelle technologie de surveillance et de contrôle est également exploitée par les assureurs automobiles. WSB-TV a récemment fait état d’une Américaine qui a vu sa prime d’assurance augmenter de 80 % après que sa Chevrolet Camero de la génération actuelle a commencé à télécharger des centaines de pages d’informations sur ses habitudes de conduite à Chevrolet, qui les a ensuite vendues à des courtiers en données, qui les ont ensuite achetées à de grandes compagnies d’assurance.
Téhéran n’a pas cherché à attaquer la population civile israélienne, mais à tester les défenses des FDI. Pour la première fois, il a utilisé des missiles hypersoniques que ni les alliés d’Israël, ni son armée, n’ont pu intercepter.
es représailles iraniennes attendues avaient été largement télégraphiées 72 heures à l’avance et même calibrées, selon le Financial Times, par crainte de la flambée des prix du pétrole.
Larry Johnson, ancien agent de la CIA, a fait remarquer que malgré l’insistance de l’Occident sur l’échec de l’Iran - le chant des « palefreniers » occidentaux, dont les multimédias sont largement contrôlés par le "lobby israélien" - l’Iran a opéré ce qu’il prévoyait de faire en Israël et a démontré une capacité remarquablement sophistiquée, avec des ogives manœuvrables.
Le journal le plus populaire d’Israël, Yediot Aharonot, a critiqué l’échec stratégique d’Israël, tandis que le Washington Times a dénoncé « L’échec de la dissuasion » de l’administration Biden dans la prévention d’un conflit entre l’Iran et Israël.
Hayman Tamir, directeur du groupe de réflexion israélien Institute for National Security Studies (INSS), a déclaré que l’Iran était en mesure de causer des dommages à Israël sans que les États-Unis ne s’engagent dans une contre-attaque - ce qu’aurait vivement souhaité le Premier ministre Netanyahou.
Ilya Tsukanov de Sputnik – média de Russie, l’une des deux superpuissances en matière de missiles hypersoniques, à l’unisson avec la Chine - rapporte que les multimédias iraniens confirment l’utilisation de missiles hypersoniques indétectables.
Quant à la chaîne iranienne PressTV, elle a montré, vidéo à l’appui, que tous les missiles hypersoniques utilisés ont réussi à atteindre leurs cibles : les bases aériennes très importantes de Nevatim, où sont installés les F-35, et de Ramon, tout près de la centrale nucléaire clandestine de Dimona.
PressTV affirme que l’Iran fait partie des quelques pays qui possèdent la technologie nécessaire pour produire des missiles hypersoniques capables de se déplacer à des vitesses stupéfiantes et d’atteindre leurs cibles avec une grande précision.
D’autres sources iraniennes affirment que ses missiles hypersoniques (Fattah 2) ont touché une base militaire secrète du Mossad sur le plateau du Golan syrien, qui appartient à la Syrie et a été annexé par Israël - ce qui aurait coûté la vie à 44 (sic) espions - et ont même touché un bâtiment du Mossad à Tel-Aviv.
Au-delà de la guerre de propagande dominée par le "lobby israélien" en Occident, qui vante l’exploit d’Israël, aidé par les États-Unis, le Royaume-Uni, la France et même la Jordanie, d’avoir abattu 99 % (sic) de la panoplie de drones/missiles de croisière/missiles balistiques de l’Iran, l’ancien officier d’espionnage des Marines américains Scott Ritter - qui s’était illustré en démystifiant les balivernes de Baby Bush et des armes de destruction massive de Saddam Hussein qui n’ont jamais existé - affirme que « L’Iran a rétabli la dissuasion » (du latin deterrere, dissuader par la terreur) de façon à tenir désormais Israël et les États-Unis en échec, alors qu’Israël pensait pouvoir lancer une attaque contre l’Iran sans avoir à en subir les conséquences. C’est désormais chose faite, même si l’Iran n’a délibérément pas infligé à Israël une action excessivement meurtrière. Il s’agissait d’un message de dissuasion, et non pas d’une attaque !
La capitale et ses habitants se réjouissent très manifestement des festivités et jamais le mot “épreuves olympiques” n’aura trouvé une aussi belle résonance avec ce que traversent actuellement les Parisiens qui goûtent maintenant chaque minute d’anticipation de ces futurs grands moments.
Futurs grands moments qu’il faut minutieusement préparer et qui ont déjà été l’occasion, notamment pour la maire de Paris, d’aller visiter les lieux des différentes épreuves dans lesquels on trouve – assez commodément – Papeete, cette petite localité qui jouxte Paris et qui accueillera notamment les épreuves de surf.
Moyennant un petit déplacement en avion (cela jouxte à 15.000 kilomètres près) dont la compensation carbone n’a pas été évoquée – mais dont on peut être sûr qu’elle a été réalisée tant Anne Hidalgo est forcément éco-consciente – et une petite facture pour le contribuable parisien de l’ordre de 60.000 euros, les installations ont pu être vérif…ah non, finalement, le voyage déclenchant des démangeaisons pour l’opposition, les contribuables parisiens, une partie de la presse et pas mal de Français en général, la maire n’aura pas poussé jusqu’au site de l’épreuve de surf.
Tout ceci nous amènera quelques mois plus tard à une petite enquête et des perquisitions pour ramasser les éléments de preuve d’une éventuelle prise illégale d’intérêts et détournement de fonds publics (oh, ça alors) dont on ne doute pas qu’elles permettront de totalement laver l’honneur de l’équipe municipale.
La préparation ne s’arrête pas là puisque, rappelons-le, elle comporte aussi le déménagement furtif des encombrants étudiants qui prennent le pain le logement des athlètes : les expulsions ont commencé. Ouf, la place est libérée, les sportifs sont soulagés, l’Olympisme respire.
De même, la déportation le déplacement discret des centaines de migrants et autres vagabonds en dehors de la ville et leur relocalisation, toujours aux frais du contribuable, un peu partout dans le reste du pays, se passe plutôt bien même si certains maires (celui d’Orléans par exemple) s’en offusquent de façon un peu verte. Ouf, la place est nettoyée, les organisateurs se détendent, l’Olympisme retrouve le sourire.
Mais que serait cette belle cérémonie sans une belle organisation et surtout une solide sécurité garantissant à tous de profiter d’un spectacle à nul autre pareil ?
Et justement, en la matière, on sait déjà que tout sera mis en oeuvre pour obtenir un niveau de sécurisation des individus. Comme jamais auparavant… ou presque, puisqu’on va finalement remettre en place ce qui fut une véritable réussite en 2021 et 2022, à savoir affubler les Parisiens et les spectateurs d’un solide petit QR code lors de leurs déplacements (l’auto-attestation ne devrait plus tarder, maintenant).
On se réjouit déjà de savoir qu’une plateforme internet sera bientôt disponible, qui laissera à tous les Parisiens concernés l’opportunité de saisir tout un tas de petites informations pertinentes sur leurs allées et venues, et on souhaite un courage olympique à tous nos seniors dont la maîtrise des outils numériques est largement suffisante pour garantir que ces petits QR codes seront correctement distribués.
Et franchement, qui ne se réjouit pas déjà d’un retour des contrôles et des patrouilles policières dans une partie de la capitale ? Voilà qui permettra d’assurer la légendaire sécurité des rues parisiennes au moins pendant la période des jeux. Les habitants concernés vont a-do-rer !
Enfin, toutes ces considérations ne seraient pas complètes sans mentionner que tout ceci se déroulera avec une maîtrise presque totale des coûts et des dépenses.
En effet, lorsqu’on lit l’article consacré aux coûts de ces Jeux Olympiques, il apparaît que le calcul du total est particulièrement pointu : entre le budget initial, le budget courant, les dépassements, les cautions de l’État, les différents postes de dépenses et de recettes, on est tout à fait rassuré sur ce qui sera inévitablement du ressort final du contribuable.
Mais si.
Il apparaît cependant que le total devrait osciller autour de 11 milliards d’euros selon différentes estimations, dont 3, 4 ou 5 milliards resteraient à la charge des moutontribuables pardon de l’État selon Moscovici, l’actuel président de la Cour des Comptes, le tout pour un budget initial de 3,8 milliards d’euros, déjà supérieur au 3,2 milliards du dossier de candidature. On ne pourra qu’admirer la précision véritablement diabolique de ces chiffres et de l’organe officiel chargé des Comptes : pour un total à 11 milliards, cela nous fait 7 milliards de petits dépassements dodus, et de 3 à 5 milliards d’euros d’argent public, ça nous fait une enveloppe qui varie allègrement de plus de 60% sur des dépassements de plus de 100%. C’est coquet.
Rassurez-vous cependant : les équipes de propag journalistiques sont déjà sur le pont pour bien nous rappeler que même avec une facture de 11 milliards d’euros (que la Nation Française tout entière peut très bien se permettre en ces temps de croissance et d’opulence macronienne), ces jeux seront probablement parmi les moins coûteux de l’histoire récente.
Mais si.
En fait, on se demande même, devant ces chiffres si modestes, pourquoi on mégote tant, à tel point même que la région Île-De-France a par exemple refusé de prendre à sa charge les déplacements de 200.000 accrédités (athlètes, officiels, journalistes…) alors qu’elle avait été courtoisement sollicitée par le comité officiel des Jeux et que ce budget ne représente qu’un peu moins de 10 petits millions d’euros.
Il n’y a pas à dire, cet événement fleure bon la précision millimétrique et la maîtrise des coûts jusqu’au plus petit poste de dépense ! Voilà qui met dans les meilleures dispositions pour imaginer ce que pourrait donner l’organisation des épreuves elles-mêmes, de la cérémonie d’ouverture et celle de clôture, et qui laisse présager d’un niveau de qualité exceptionnel pour la sécurité et l’accompagnement des joueurs, des spectateurs et de l’ensemble des corps de métiers autour de cet événement. Les supporters anglais vont a-do-rer !
Pas de doute, cela va très très bien se passer. Tout va même être olympique, pour sûr.
Au sommaire de ce cent quatre-vingt-deuxième bulletin :
03:32– Économie :
• Stratpolisation du FMI
• Restauration des raffineries russes
• Sanctions US vs tankers russes
• Sanctions US vs LNG russe
• Sanctions US vs Japon
• Sanctions US vs métaux russes
• Sanctions US vs nucléaire français
• Pillage polonais
12:30 – Politico-diplomatique :
• Scholz à Pékin
• Capitulation sans condition
13:33 – Empire du mensonge :
• Foreign Policy veut négocier
15:43 – Terrorisme :
• Maïdan à Tbilissi
18:19 – Armement :
• Stoltenberg vide les stocks
• Obus tchèques ?
• F-35 d’occasion en Suisse
• Pas de F-16 grecs pour Kiev
20:30 – Considérations militaires générales
• Richoux : Gamelin humilié
• Canal Donbass-Donetsk
• Pravy Sektor en fuite
• Désertions en masse ?
• Légion étrangère à Slaviansk
27:15 – Carte des opérations militaires
L’héritage de 700 ans du Japon en matière de production durable de bois est un exemple d’harmonie avec la nature. Grâce à des techniques telles que le Daisugi, mis au point au XIVe siècle, les Japonais préservent les forêts tout en récoltant le bois. Cette tradition garantit un approvisionnement continu en bois de haute qualité, préservant les écosystèmes pour les générations futures et témoignant de l’engagement du Japon en faveur de la gestion de l’environnement.
Le Daisugi, une ancienne méthode de sylviculture japonaise, est apparu au XIVe siècle à Kitayama en raison de la pénurie de jeunes arbres. L’élagage sélectif des cèdres permettait d’obtenir des bois de charpente droits et sans nœuds. Née d’une nécessité, cette méthode a évolué pour devenir une pratique durable, incarnant la tradition japonaise d’innovation en matière de gestion des ressources depuis plus de sept siècles. Dans le Daisugi, les cèdres sont plantés et taillés d’une manière particulière afin d’encourager la croissance de bois droits et sans nœuds. Cette taille sélective consiste à couper à la main les pousses tous les deux ans, en ne laissant que les branches supérieures intactes.
[...]
La loi anti-sectaire va faire du mal aux utilisateurs de Google, c'est-à-dire à peu près tout le monde. Google se réserve le droit de modifier et supprimer votre compte. Ne pas obéir aux fameuses « règles de la communauté » pourra même vous mener en Justice. Le naufrage de la liberté d'expression et d'information est annoncé. Pile pour la campagne aux élections européennes.
Google détient 93,18 % de la recherche en ligne. Ses nouvelles conditions de censure — pardon, ses nouvelles conditions d’utilisation — impliquent donc d’énormes répercussions dans toute l’Europe. À partir du 22 mai 2024, juste pendant la campagne des élections européennes — comme c’est bizarre ! — Google vous prévient : « […] si vous enfreignez nos conditions d’utilisation, nos recours ne se limitent pas à la suspension ou à la résiliation de votre accès aux services, mais peuvent inclure d’autres réparations en vertu de la loi applicable […] ».
Google sait ce qui est bon pour vous
« Nous poursuivons un programme d’études rigoureux sur les produits. Par conséquent, avant de modifier un service ou de ne plus le proposer, nous examinons attentivement vos centres d’intérêt en tant qu’utilisateur, vos attentes raisonnables, ainsi que leur impact potentiel sur vous et autrui. Nous ne modifions des services ou cessons de les proposer que pour de bonnes raisons. »
D’ailleurs c’est ça ou rien : « Si vous n’acceptez pas ces nouvelles conditions, supprimez vos contenus et cessez toute utilisation de nos services. Vous pouvez également mettre un terme à votre relation avec nous à tout moment en clôturant votre compte Google. » Et la menace se termine par : « Merci d’utiliser les services Google ! » Rompez !
Les sectes, c’est vous, les haineux
La loi « contre les dérives sectaires » vise à « imposer aux fournisseurs d’accès à internet (FAI) et aux hébergeurs de contenus en ligne de concourir à la lutte contre les abus de faiblesse et au délit de sujétion, à l’instar de ce qu’il leur est déjà imposé pour lutter contre le harcèlement scolaire ou moral ou encore la provocation à la haine. » Google se plie donc à la nouvelle législation.
Qualifié de charlatan par Olivier Véran, le Pr Didier Raoult est une des premières cibles de la loi anti-dérives sectaires qui vise, entre autres, les professionnels de santé « déviants ». Les députés n’étaient pas nombreux le jour du vote de la loi. Alors, qui s’y est vraiment intéressé ? qui l’a rédigée et finalement qui a édicté les nouvelles conditions de Google ? Peut-être McKinsey, mais sans aucun doute la secte Pfizer, Rockefeller, JPMorgan, Rothschild, Vanguard, BlackRock & Cie. Alors Google serait victime d’une conspiration sectaire ? Non, car Google appartient à ceux qui sont à l’origine de cette loi. Il en est donc un des responsables. Très officiellement, Google vous prévient : à partir du 22 mai 2024, désormais, la secte, c’est vous ! Et votez bien !
Dans cet exposé, qui pourrait paraitre technique de prime abord, l’argile y est clairement présentée en détails et avec méthodologie pour comprendre son action, et pour l’utiliser de manière éclairée : définition, fabrication et granulométrie, propriétés et couleurs, variétés ou familles d’argile, bienfaits et cadres d’utilisation.
Ce guide complet conclut par la description d’une famille d’argile particulière, les Bentonites, de par leur composition minérale remarquable (montmorillonite + illite + kaolinite, en proportions spécifiques), leur conférant des capacités d’adsorption et d’absorption bien plus élevées que toutes les autres ; les carrières du Périgord dont elles sont naturellement extraites jouant un rôle particulier à l’expression de ces propriétés exceptionnelles.
Au Bon Sens a choisi, et ce depuis plusieurs années, de proposer l’argile bentonite du Périgord, de qualité surfine, avec en complément l’ouvrage de référence L’Argile qui guérit de Raymond Dextreit.
Le docteur Jade Allègre, spécialiste incontestable de l’usage thérapeutique de l’argile, attaquée pour son travail ! L’argile, un remède bon marché qui peut coûter cher à Big Pharma…
« L’argile a une affinité extraordinaire pour tout ce qui est étranger à l’organisme et/ou toxique : elle ne peut littéralement pas supporter la présence de la moindre impureté et n’aura de cesse que tout soit nettoyé. »
Cette information est essentielle pour vous… enfin pour vos impôts !
Au cas où vous ne l’auriez pas compris, la France ne fera pas faillite.
La France est solide grâce à vous, grâce à nous, et pour être plus précis grâce à votre argent, à votre épargne.
Le HCFP juge peu crédible le plan de réduction du déficit du gouvernement
Le HCFP c’est le Haut Conseil des finances publiques l’organe de la Cour des comptes et qui a estimé dans un avis que l’objectif du gouvernement d’un retour à un déficit public sous 3 % du produit intérieur brut (PIB) en 2027 « manque de crédibilité » au regard de la dégradation actuelle des finances publiques et des prévisions de croissance économique!
Sans blague. Le HCFP ne va pas jusqu’à dire que nous sommes dirigés par des Mozart de la finance qui jouent des fausses notes et une mauvaise partition mais presque.
L’institution alerte sur le manque de cohérence de cette nouvelle trajectoire. Son premier président, Pierre Moscovici, dans un entretien exclusif au Figaro, juge que les promesses de l’exécutif manquent de crédibilité, notamment sur la réduction des dépenses…
Moscovici. Il est défavorablement connu de mes services de police avicoles (des poulets quoi).
Depuis des années mes poules de cristal accumulent un dossier épais comme le bras sur Pierre Moscovici. Ministre de l’économie qui défaille et des finances qui dérapent, camarade commissaire européen, puis président de la basse-cour des comptes qui tombent pas ronds. N’oublions non pas plus son amour pour la belle Marie-Charline et son chat à qui Moscovici faisait prendre son bain. Vous remarquez que cette dernière avait eu le goût exquis d’avoir un chat nommé Hamlet et pas une chatte ce qui évitera de nombreux propos grivois. Bref, ce n’est pas les mentions au casier de ce mamamouchi qui manquent !
Alors écoutons ces derniers propos au sujet justement de cette gestion ciselée à la Mozart.
« On ne réduit pas aussi massivement les dépenses publiques sans effet sur la croissance économique. Un scénario cohérent supposerait donc de changer soit la prévision macroéconomique, soit celle des finances publiques. »
Là nous sommes d’accord. D’un point de vue technique, il y a une grosse coquille dans le potage.
Mais le mieux c’est quand le Figaro l’interroge sur ce qu’il faudrait faire… et là on sent les années d’expérience dans le rien qui remontent à la surface
« Nous devons retrouver des marges de manœuvre. Pour cela, il faut de la volonté politique, du courage, car c’est sans doute impopulaire, de l’intelligence pour définir les économies qui ne nuisent pas à la croissance indispensable, et de la pédagogie. »…
Nous y voilà.
L’effort indispensable de pédagogie.
Quand on nous parle de pédagogie c’est que nous allons avoir des problèmes !
Vous avez compris je suppose, depuis le temps que nous vivons en Macronie.
En Macronie, qui est une grande démocratie, celle de la Corée de l’Ouest, on fait toujours preuve de pédagogie avant de vous envoyer les Brav-M et les CRS si vous n’avez pas compris la pédagogie. Phase 1, la pédagogie qui explique pourquoi il faut que vous obéissiez. Gilets Jaunes ? Pédagogie puis flashballs. Mouvement sur les retraites ? D’abord de la pédagogie bien évidemment, puis flashballs. Les vaccins ? D’abord de la pédagogie (tous vaccinés, tous protégés) puis…passe sanitaire.
Ici nous parlons de sous. De dettes. De déficits.
Donc la pédagogie c’est vous expliquer pourquoi vous allez devoir faire plein d’efforts. Travailler plus, gagner moins, travailler plus longtemps, retraite plus petite. Moins d’hôpital et évidemment payer plus d’impôts. Pour vous faire payer plus d’impôts… de la pédagogie. Puis après la taxation d’office puisque vous serez d’accord.
Ici vous ne risquez pas d’être éborgné par un flashball, rassurez-vous, c’est juste votre épargne qui va se faire amputer, vos revenus qui seront éborgnés, et vous qui souffrirez d’une belle hernie fiscale au niveau L1,L2, L3, L4, L5 mais aussi L6, 7, 8, 9, 10… c’est fou le nombre de vertèbres que nous avons !
La hernie fiscale inévitable…
« Compte tenu de la dégradation du solde public enregistrée en 2023 par rapport à la prévision de la LPFP [loi de programmation des finances publics] et d’hypothèses de croissance moins élevées, le retour du déficit public sous trois points de PIB en 2027 supposerait un ajustement structurel massif entre 2023 et 2027 », pointe le HCFP.
« Le Haut Conseil considère que cette prévision manque de crédibilité: alors qu’un tel effort en dépenses n’a jamais été réalisé par le passé, sa documentation reste à ce stade lacunaire et sa réalisation suppose la mise en place d’une gouvernance rigoureuse », ajoute-t-il.
Et quand un effort de réduction de dépenses de cette ampleur n’a jamais été fait, sachez qu’il n’a aucune raison de l’être cette fois.
Donc, et c’est une résolution logique, d’un problème logique. Si nous ne sommes pas capable de faire cet effort de réduction des dépenses, nous ferons, enfin, nous subirons la seule chose facile qu’ils sachent faire depuis que je suis né dans ce pays… augmenter les impôts.
Poursuivons le raisonnement logique et rationnel.
Ils vont donc tondre un peu plus les épargnants.
Faisons une analogie avec les moutons. Espèce animale bien connue de tous les contribuables français.
Pour tondre un mouton, il faut qu’il ne bouge pas !
Si vous appliquez ce principe aux contribuables français, vous pouvez en déduire assez facilement ce qui ne bouge pas ou difficilement. L’immobilier par exemple évidemment. Donc nous pouvons déjà avoir une bonne idée de ce qui va être taxé plus.
C’est la première bonne nouvelle.
Anticiper la future tonte, avec quelle tondeuse, et qui sera le tondeur…
Le graphène est contagieux et se transmet des vaccinés aux non-vaccinés. Jean-Michel Jacquemin-Raffestin confirme que le vaccin Covid-19 est une arme issue de la DARPA. Ils préparent une pandémie pour 2024. En terrorisant les gens, vs en faites ce que vs voulez, ils ont peur de mourir.
Le plan connu sous le nom de « Protocoles des Sages de Sion » est un sujet tabou. Le Prix Nobel de littérature Alexandre Soljenitsyne a rédigé en 1966 une pertinente étude des Protocoles. Israël Shamir écrit :
« Soljenitsyne a bravé le régime soviétique, il a osé écrire et publier son mammouth, l’Archipel du Goulag, implacable condamnation de la répression soviétique, et pourtant, même lui, il a calé : il n’a pas publié sa recherche sur les Protocoles. Il a demandé que cette étude ne soit publiée qu’après sa mort. C’est contre sa volonté qu’elle fut imprimée en un nombre très réduit d’exemplaires, en 2001 ».
Le livre interdit
On a beaucoup fantasmé sur l’origine de cet écrit, attribué à une loge « d’initiés israélites » recevant les instructions de « supérieurs inconnus ». Il fut donc utilisé par les antisémites comme preuve manifeste d’un « complot judéo-maçonnique ». Or, les illuminati ne sont ni juifs ni Aryens, mais peuvent être de tous les bords, exacerbant les conflits pour faire avancer leur stratégie selon l’adage « diviser pour régner ».
Quels que soient les auteurs de ces « protocoles », ils étaient dotés d’une ruse politique et psychologiques qui dépasse les capacités de l’intelligence normale.
Le problème n’est pas de savoir qui a rédigé ce programme d’hégémonie mondiale, mais comment il est possible que des hommes du 19e siècle aient anticipé l’instauration de l’ordre mondial dans les moindres détails ?
Les détracteurs disent qu’il s’agit d’un « faux » — ce qui ne veut rien dire, car tout écrit anonyme peut être un « faux ». La Bible est-elle un faux ? On voit l’absurdité de ce raisonnement. Les universitaires ne lisent pas les Protocoles, car cela est jugé politiquement incorrect. On craint même de les ouvrir au cas où cela se saurait ! Il ne s’agit plus de prudence, mais de terreur envers un écrit interdit par le système. Cela évite de savoir ce qu’il contient et de se poser la bonne question : comment expliquer que ce programme soit au détail près le même que le plan mis en application depuis la Révolution française par les illuminati ?
A-t-on voulu faire endosser la responsabilité de ce manifeste à des juifs en spéculant sur les réactions d’antisémitisme qu’il ne manquerait pas de générer ? En mettant de côté les connotations racistes envers les goïm — les non-juifs selon le Talmud — qu’il recèle, force est de constater que ce texte nous éclaire tout spécialement sur les financiers du nouvel ordre mondial — dont l’éminente famille Rothschild qui exerce un chantage sur les juifs.
Révolutions, internationalisme, socialisme, disparition de l’initiative individuelle, contrôle des médias, argent-roi, culture mondiale, parodie de démocratie, puissance de la technocratie, déstabilisation des religions et des traditions, pensée unique, matérialisme, scientisme, et jusqu’au messianisme du New Age… Toutes les idées du gouvernement de l’ombre sont présentes dans ces « Protocoles », et ces idées s’imposeront tout au long du 20e siècle. Qui peut le nier ?
Sachant qu’en politique rien n’est improvisé, nous devons admettre que nous sommes en présence d’un document révélant une stratégie de conquête visant à établir une théocratie totalitaire sous le masque du messianisme d’Israël. Or, ici, ce n’est plus de religion dont il s’agit, ni de l’attente d’un royaume spirituel, mais de l’établissement d’une tyrannie au profit d’une caste « d’élus » — les fameux illuminati de « l’élite noire ».
La perfidie de ce document est troublante, d’abord à cause de sa forme provocatrice qui a généré une polémique faisant oublier le fond. Perfide par la ruse inouïe de ceux qui ont pensé ce programme politique, mais aussi à cause de l’inévitable réaction antisémite qu’il a déclenchée et par laquelle il est devenu un document tabou, une sorte de littérature honteuse qu’on se passe sous le manteau.
On a prétendu que les agents du tsar avaient inventé ces « Protocoles des Frères Aînés de Sion » à des fins contre-révolutionnaires, mais les policiers sont rarement des génies politiques doublés de visionnaires. Aussi la fabrication artificielle des « protocoles » est injustifiable pour qui connaît un tant soit peu les arcanes de la politique occulte, car l’idéologie qu’ils véhiculent est trop étroitement liée aux loges mondialistes.
Ce programme des dirigeants de l’ordre mondial n’est pas le fruit de cerveaux malades, comme on a voulu le faire croire, car les idées politiques qu’il expose se sont réalisées dans les faits, et ceci bien après sa rédaction, ce qui ne peut pas être fortuit. Seuls les naïfs préfèrent croire que la politique planétaire suit les aléas de circonstances hasardeuses.
Un lecteur attentif, libre de préjugés, découvrira dans ces Protocoles la matrice de toutes les menaces contre la conscience — au plan politique, social, économique, scientifique et religieux. Tout y est annoncé explicitement. Ce plan réussira-t-il ? Question vaine, puisqu’il a déjà amplement abouti sur la plupart des points de son agenda, sauf en ce qui concerne l’apparition du « messie », ce souverain international, dont la tradition chrétienne a prédit la venue sous le nom de l’Antéchrist.
Nous pensons que cette mystification suprême ne saurait tarder, tant les cercles qui veulent réaliser ce dessein sont actifs depuis plusieurs décennies.
Indéniablement, les Protocoles émanent de l’élite luciférienne, laquelle manipule les nations, les races et les religions — et le peuple d’Israël comme les autres — pour instaurer son ordre à travers le chaos.
Le peuple juif est sans doute la première victime de cette manipulation — le « peuple élu » prend ici son sens dramatique.
Les juifs ont été soumis à une culture de la terreur par des chefs occultes qui sont responsables des cruelles persécutions cycliques. C’est pourquoi les juifs qui s’émancipent de ce conditionnement séculaire sont souvent les premiers à dénoncer l’oppression de la culture rabbinique et talmudique. Il en est des anciens prophètes condamnant avec véhémence les « péchés d’Israël » — comme des révisionnistes, dont les idées historiques subversives émanent souvent de chercheurs juifs écœurés par la récupération commerciale de la Shoah.
Il faut beaucoup de recul et d’intelligence pour comprendre la véritable mission d’Israël, et les manœuvres dont le peuple juif fut victime — depuis l’époque archaïque de l’Atlantide.
L’étymologie d’Israël peut s’interpréter comme « l’homme élevé jusqu’à Dieu », ou encore « la vision céleste ». Chaque âme noble peut donc s’identifier à cet idéal et prétendre à l’élection divine, qu’elle soit née en milieu juif, chrétien, papou, ou dans n’importe quel « peuple élu », sachant que chaque civilisation ancienne a prétendu détenir une légitimité divine.
Y aurait-il autre chose dans l’univers que des races élues, appelées à un destin spécial ? C’est pourquoi, nous ne condamnons pas les illuminait, car ils sont dans l’illusion de se croire élus au-dessus de tous, et ils luttent misérablement pour survivre comme toutes les créatures qui rampent sous le soleil.
À l’endroit des nazis ou des sionistes, nous pourrions dire : même combat ! Musulmans, juifs, chrétiens ou hindous, chez tous, l’instinct de survie domine. Pour les fanatiques, Dieu n’est qu’un prétexte à l’affirmation partisane. Pourquoi prendre parti dans cette folie ? Celui qui cherche Dieu ou l’Absolu, ne veut détruire personne, excepté ses propres chaînes intérieures. Toute autre approche de la religion est de la démence.
Enfin, ces Protocoles n’auraient-ils pas pour effet de rendre les gens encore plus fatalistes devant la tyrannie mondialiste ? Pourquoi sont-ils en circulation lorsqu’on sait que les illuminati ne laissent rien traîner de compromettant et qu’il est interdit de les lire ?
Joël Labruyère, « Le livre interdit », Undercover n° 5.
Ainsi commence l’offre d’emploi – non rémunéré – de balance pour l’Arcom. L’Arcom est le régulateur de la communication audiovisuelle et numérique. C’est le nouveau nom de l’officine gouvernementale de surveillance et de punition des pensées non conformes à la ligne officielle.
Le DSA, Digital Service Act, c’est le nouveau projet anti-liberté d’expression de la maison mère, pondu par le couple diabolique Breton-Leyen, à la tête de l’Union soviétique européiste, qui peut s’enorgueillir de trois grandes réalisations :
- la paupérisation de dizaines de millions de travailleurs européens ;
- une invasion migratoire délirante et dénaturante ;
- l’entrée dans une guerre apocalyptique contre la Russie.
L’Arcom cherche donc des individus à l’âme sordide pour dénoncer ceux qui seraient taxés de complotisme, par exemple les Français qui ne croient pas que
- Armstrong a marché sur la Lune
- BHL est un philosophe humaniste
- Haziza est un grand journaliste odieusement blacklisté sur une radio communautaire sans audience
- Israël a raison de riposter jour après jours contre tous ses voisins antisémites
- la fonte vertigineuse de notre caddy moyen correspond à l’inflation de l’INSEE
- Macron est un président sain de corps et d’esprit
- Brigitte est une femme dont on tombe automatiquement amoureux
- le gouvernement est sexuellement neutre
- Séjourné a obtenu son poste grâce à ses compétences intellectuelles
- Karine Lacombe a énormément souffert du harcèlement sexuel
- l’UE c’est la paix, la croissance et la démocratie
- la pédocratie n’existe que dans l’imagination des paranoïaques
- la presse mainstream est l’amie du peuple
- il faut mourir pour l’Ukraine
- Breton ne s’est jamais fait changer le sang en Italie
- Leyen a sauvé 450 millions d’Européens d’une mort certaine grâce à Bourla et son injection Pfizer miracle
N’est pas balance qui veut
Les signaleurs de confiance auront priorité sur les particuliers en matière de signalement. Par exemple, si un BHL ou un Enthoven vous insulte ou insulte votre communauté, votre religion, sur Twitter (X), vous aurez peu de chance de voir votre signalement accepté si un signaleur de confiance décide de ne pas le faire. Les balances sont donc choisies par le pouvoir.
La liste des balances autorisées à dénoncer les mal-pensants nous a bien fait rire, on a vu se dessiner les visages de nos quatre cavaliers de l’apocalypse communautaire !
Entités publiques, organisations non-gouvernementales, organismes privés ou semi-publics tels que (liste non exhaustive) :
- fédérations industrielles et des associations commerciales
- ONG
- membres de réseaux établis de vérificateurs de faits
- syndicats
- entités publiques non réglementaires (ex : Europol) ou de réglementation
- organismes semi-publics
- réseaux ou alliances d’entités, aux niveaux national et européen.
Pour devenir une sale balance-Système, une qualité principale est requise :
Disposer d’une expertise et de compétences particulières aux fins de détecter, d’identifier et de notifier des contenus illicites
Il faut avoir un flair de chien policier ! Ensuite, une fois que la balance aura détecté le résistant, il faudra monter un petit dossier clair et net pour la maison mère :
- Soumettre des signalements respectant certaines conditions : explication étayée, indication claire de l’emplacement du contenu, nom et adresse du signalant, déclaration de bonne foi.
- Publier un rapport annuel détaillé avec des informations sur le nombre de signalements effectués (classés par plateforme, type de contenu illicite et action prise)
On imagine que nos 4 balances déjà stipendiées par le Système, Tristan Mendès, Rudy Rends l’argent Reichstadt, Julien Pain et Thomas Huchon se sont bousculés pour obtenir leur étoile de shérif, leur droit de dénoncer les résistants.
« Le ministère de la Paix fait la guerre,
le ministère de la Vérité produit des mensonges,
le ministère de l’Amour pratique la torture,
et le ministère de l’Abondance crée la famine »
J'ai fait part à maintes reprises des dangers du Traité de l'OMS sur les pandémies et ceci dès le 7 octobre 2021, alors que je partageais l’article du Dr Urmie Ray. J’ai continué ces avertissements à quelques reprises, soit le 30 mai 2022, le 26 mai 2023, le 9 juillet 2023, le 19 janvier 2024, le 8 février 2024 et le 7 avril 2024. Il ne faut pas oublier non plus que plusieurs projets de loi à travers le monde s'alignent parfaitement avec ce Traité sur les pandémies de l'OMS, dont le Projet de loi Nº 50 du gouvernement Legault qui constitue un réel danger pour l'ensemble des Québécois. Par ce traité, les chefs d’État s’apprêtent à remettre la souveraineté de leurs nations entre les mains d’un gouvernement mondial et à signer un traité international qui soumettra tous les peuples à une dictature sans précédent, incluant les fermetures de frontières, les restrictions de voyage, le confinement (quarantaine), les examens médicaux et la médication des individus (englobant les exigences relatives à l’injection de vaccins ou d’autres produits pharmaceutiques).
Je partage maintenant avec vous une vidéo et un texte du réseau Kla.TV. Comme l'écrit si bien cette plateforme : « Des documents de l'OMS qui ont fuité révèlent le plus grand coup de tous les temps : noir sur blanc, ce document révèle les textes secrets des traités de l'OMS ! Comme avec un scalpel, l'OMS supprime la souveraineté des États membres et se donne elle-même le pouvoir ! L’appel au réveil international vous montre comment démasquer les plans dès maintenant ! »
Kla.TV lance donc un Appel au réveil international !
L’OMS prépare un coup sournois dans 194 pays !
Des documents de l’OMS qui ont fuité révèlent le plus grand coup de tous les temps : noir sur blanc, ce document révèle les textes secrets des traités de l’OMS ! Comme avec un scalpel, l’OMS supprime la souveraineté des États membres et se donne elle-même le pouvoir ! L’appel au réveil international vous montre comment démasquer les plans dès maintenant ! Tedros ne respecte pas les règles et n’est donc pas digne de confiance !
Vérification des faits 1 : La souveraineté des États membres
« Les mesures sanitaires prises en vertu des présents règlements, […] doivent être engagées et menées à bien sans délai par tous les États Parties à l’accord. » (RSI, art. 42)
Jamais un homme ne doit obtenir un tel pouvoir sur le corps et la vie de milliards de personnes dans les 194 États membres de l’OMS !
Le « modèle commercial » de l’OMS
Des transactions financières gigantesques, à débourser par les contribuables, affluent vers des pays plus pauvres et finissent en fait dans les poches de « Big Pharma » et d’investisseurs privés.
C’est ici que l’on découvre avec quelle perfidie l’OMS et ses puissants profiteurs ont mis en place, dans l’ombre, un « coup d’État » dans 194 pays !
Lors de l’assemblée générale de l’OMS qui se tiendra à Genève du 27 mai au 1er juin 2024, les délégués de 194 pays membres devront se prononcer sur un nouveau traité sur les pandémies et une réforme fondamentale du Règlement sanitaire international (RSI) déjà en vigueur. Etant donné qu’ils doivent voter sur une extension importante des pouvoirs de l’OMS et de son directeur général Tedros Adhanom Ghebreyesus, un débat houleux a déjà éclaté dans presque tous les pays plusieurs mois avant l’assemblée. Dans l’article 55 du RSI, Tedros s’engage à transmettre à tous les Etats membres le texte de chaque amendement proposé au moins quatre mois avant le vote.
Le mot anglais « shall » doit être traduit ici comme un ordre impératif. La communication est donc obligatoire, contraignante. Tedros aurait donc dû présenter un projet de texte final le 27 janvier 2024 afin de permettre un vote statutaire. Cela n’a pas été fait avant mars 2024, Tedros ne respecte pas les règles et n’est donc pas digne de confiance !
La recherche Kla.tv d’aujourd’hui, soutenue par des experts internationaux, ne peut donc qu’examiner à la loupe les projets actuels des deux documents qui font encore l’objet de discussions. Pour cette recherche, nous jetons un coup d’œil à l’Allemagne — l’un des 194 États membres :
Le jeudi 22 février 2024, une motion du groupe parlementaire CDU/CSU a été présentée au Bundestag allemand. Elle s’intitule : « Pour des négociations transparentes sur l’accord de l’OMS sur la pandémie – contre la désinformation et les théories du complot ».
La CDU/CSU est le plus grand groupe d’opposition et y a formulé différentes exigences concernant le contrat de pandémie de l’OMS. Ces exigences sont comparées ci-après, dans le cadre d’une vérification des faits, au texte des projets de contrats pour les deux accords. Cette vérification des faits met en lumière – quasiment noir sur blanc – ce que l’OMS négocie actuellement à huis clos.
Vérification de faits n°1 : La souveraineté des États membres
Exigence de la CDU/CSU : « En outre, il faut s’assurer que la mise en œuvre de l’accord se fasse en accord avec les politiques nationales de santé des États membres et que les droits de souveraineté nationaux soient pleinement préservés. »
Fait 1 : Le passage « en tenant compte des vues de l’État Partie concerné » est supprimé à l’article 10.4 du nouveau RSI !
Fait 2 : Le terme « non contraignant » est supprimé à plusieurs reprises dans l’article 1.1 du nouveau RSI !
Texte de l’actuel projet de l’OMS : « Les États Parties reconnaissent l’OMS comme autorité directrice et coordinatrice de l’action internationale en matière de santé publique en cas d’urgence de santé publique de portée internationale et s’engagent à suivre les recommandations de l’OMS dans leur action internationale en matière de santé publique. » (RSI, 13A-1)
Fait 3 : Par le nouvel article 13A-1, les 194 États membres s’engagent à suivre les recommandations de l’OMS ! Ces projets de traités dictatoriaux sont scandaleux et dévoilent les véritables intentions de l’OMS ! L’OMS n’est pas une organisation digne de confiance — même si, en raison de la pression internationale de plus en plus forte, elle devait encore édulcorer les projets à la dernière minute !
Analyse : Comme avec un scalpel, l’OMS « castre » les États membres ! En supprimant ou en ajoutant quelques mots, elle supprime leur souveraineté et s’habilite elle-même ! Les recommandations non contraignantes qui existaient jusqu’à présent deviennent ainsi des directives d’action obligatoires en droit international !
Vérification de faits n°2: La déclaration de l’état de pandémie
[...]