Troubles de l’attention et du comportement, manque d’autonomie, angoisse, apathie, perte de la dextérité et du goût pour les travaux manuels, la liste des dommages collatéraux s’allonge à mesure que grandissent la permissivité des parents et la faillite d’un système éducatif soumis à l’idéologie globaliste, où le numérique occupe une place toujours plus importante. Un système où l’enfant n’est plus «instruit» mais «accompagné» – c’est-à-dire assisté pour les uns et abandonné pour les autres, suivant la bonne foi et les compétences de l’enseignant…
Tout n’est pas à jeter dans les nouvelles pédagogies en vigueur qui entendent faire de l’élève «l’acteur de ses apprentissages», mais à minimiser le rôle de transmission de l’enseignant, en faveur d’une présumée dynamique collaborative des enfants – qui reste, de fait, très inégale et relative -, on sacrifie la connaissance pour quelques illusions idéologiques et les lubies de communicants irresponsables.
L’enseignement à distance pendant la période du Covid l’a bien montré : hormis une minorité d’élèves particulièrement vifs, les résultats de l’expérimentation ont été désastreux, tant du point de vue de l’acquisition des savoirs que de celui de l’épanouissement personnel. Aujourd’hui encore, les professeurs tentent de combler les lacunes et gérer les troubles liés aux confinements abusifs, devant composer de façon acrobatique avec le retard des uns et des autres. Il est certain que cet épisode aura marqué un tournant dans le rapport de l’élève à son besoin de comprendre et d’apprendre, rompant en quelque sorte le lien avec son tuteur au profit de la machine et des nouveaux lobbies de l’éducation.
Comme le parent, le professeur est, plus qu’une figure d’autorité, un modèle. Un modèle certes imparfait mais doté de caractère, et surtout porteur de savoir et du sens de la justice. Dépersonnaliser le savoir n’est peut-être pas un drame – après tout, à partir d’un certain âge n’importe qui peut librement s’instruire grâce aux ressources infinies qu’offre Internet – mais il me semble que cela participe dangereusement à la déshumanisation généralisée de nos sociétés, où les nouveaux outils de communication ont bouleversé les enjeux interactifs et la temporalité des relations, au point d’amener toutes sortes de névroses liées au culte de l’immédiat et de la consommation.
Dans des sociétés où l’on est assailli d’images et de représentations, où l’information – souvent des plus futiles – est systématiquement illustrée, manipulée, mise en scène, suivant les lois sacrées de la publicité, l’être en construction se retrouve littéralement perdu entre un univers virtuel et le monde réel.
Le capitalisme numérique a fait de l’enfant un consommateur précoce, livré à la dictature des images et à la prédation d’un ultralibéralisme pervers. Si l’on observe dans les salles de classe de plus en plus d’élèves présentant des difficultés et toutes sortes de troubles «dys-», c’est aussi que le cerveau sursollicité d’images violentes et insensées, cherche désespérément une issue à la pathologie du monde ainsi exposée, n’étant plus disponible pour un apprentissage sain.
À constater au quotidien l’impact cognitif et comportemental de la violence subie en images sur les jeunes, nous pouvons résolument nous estimer chanceux de faire partie de générations qui n’ont connu l’usage privé et la généralisation des outils numériques qu’à l’âge adulte. La dépendance des jeunes aux écrans, encouragée par la tendance et le besoin d’intégration, étant un moyen d’asservir les plus vulnérables en les privant de leurs facultés créatives, d’initiative et de réflexion.
On le sait, la lecture est fondamentale dans le développement de l’imaginaire, la formation à l’esprit critique et l’affirmation de soi, autant que dans la maîtrise de la langue et l’acquisition des facultés d’expression. Et lorsqu’elle n’est pas possible ou qu’elle ne présente pas d’intérêt particulier pour l’enfant, ses bienfaits peuvent être en partie compensés par différents jeux de construction et de projection, faisant appel à l’imaginaire et la créativité. Mais lorsqu’il n’y a ni livres ni jeux, et que l’enfant se retrouve sous l’emprise d’un écran qui l’asservit, le traumatise et le rabaisse systématiquement au niveau zéro de la culture, lorsqu’on le coupe du monde et de la nature, alors rien d’étonnant à ce que l’humanité renoue avec ses fâcheuses dispositions à la guerre et au totalitarisme.
Selon le leitmotiv de notre cher président, voici venue la «fin de l’insouciance». Mais la question qui devrait se poser, de façon urgente, est la suivante : si l’on nous annonce une fin, à quoi l’insouciance doit-elle précisément laisser place ? À la terreur et au règne de la perversité ? Ou bien à une connaissance supérieure, qui nous permettrait de nous passer de nos dirigeants ?il
Il importe peu de savoir si l’attentat contre le public du concert du Crocus City Hall de Moscou a été préparé par Daesh avec ou sans les Ukrainiens : ces gens ont l’habitude de travailler ensemble.
Cela dure depuis trois quart de siècle, mais n’est toujours pas intégré dans la conscience collective : les « nationalistes intégraux » aujourd’hui au pouvoir à Kiev travaillent de concert avec la Confrérie des Frères musulmans et leurs milices, sous la supervision des services secrets anglo-saxons. Leur fonction fondamentale est de lutter contre les Russes.
Le 22 mars 2024, un commando de quatre combattants a attaqué le public d’un concert de rock au Crocus City Hall de Krasnogorsk (banlieue du nord-est de Moscou), tuant 140 personnes et en blessant 115 autres. Puis, il a incendié le bâtiment.
Le commando terroriste a été arrêté par les Russes alors qu’il tentait de franchir la frontière ukrainienne et que, de l’autre côté, on les attendait. Ils ont été identifiés comme tadjiks. Ils ont avoué avoir été recrutés via internet afin de tuer pour de l’argent. Ils ont assuré ne pas avoir eu de contact avec leur employeur. Pourtant une carte de visite au nom de Dmytro Yarosh a été trouvée sur eux. Yarosh ayant été fondateur de la milice Pravy Sektor, numéro 2 du Conseil de sécurité ukrainien, puis conseiller du chef des armées, les autorités russes ont immédiatement accusé l’Ukraine. Yarosh a démenti l’implication de son pays. Sept complices ont également été arrêtés.
La police antiterroriste russe a torturé les terroristes et a filmé sa brutalité. La télévision publique a montré ces images et les a commentées. La culture russe est à la fois européenne et asiatique. Le peuple russe ne ressent aucune empathie pour des criminels.
Daesh a revendiqué l’attentat coupant court aux accusations d’opération russe sous faux drapeau. Ces terroristes n’étaient pas des fanatiques, mais des professionnels. Ils ne se sont pas immolés en public, mais ont fui, comme ceux qui ont attaqué Paris et Saint-Denis, faisant 130 morts, en 2015, notamment au concert de rock du Bataclan. Ils n’ont donc pas agi par haine de la Russie, mais dans le cadre d’une opération militaire dont les implications stratégiques ont été pensées à l’avance.
Selon la porte-parole du Conseil national de sécurité états-unien, Adrienne Watson, les terroristes de l’État islamique sont les seuls responsables de cette attaque. De nombreux commentateurs ont dénoncé a priori tout amalgame entre l’organisation islamique et les soutiens du gouvernement de Kiev. Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a accusé la Russie de s’en prendre à l’Ukraine par réflexe. Pourtant le président russe, Vladimir Poutine, a maintenu ses accusations exclusivement contre Kiev, ignorant Daesh.
Dès 2014 et le renversement du président ukrainien élu, nous avons régulièrement souligné les liens entre les nationalistes intégraux et les islamistes, et particulièrement le rôle de Dmytro Yarosh. Les faits parlent d’eux-mêmes. Nous ne savons pas si les Ukrainiens ont ou non organisé cet attentat, mais il est clair qu’ils connaissaient fort bien les assaillants : les nationalistes intégraux ukrainiens et les jihadistes combattent ensemble depuis trois quarts de siècle.
• Avant la Seconde Guerre mondiale, la Confrérie des Frères musulmans noua des liens avec les nazis contre les Britanniques. À cela rien d’étonnant, tous les mouvements anti-colonialistes de l’époque (y compris l’Indien M.K. Gandhi) se tournèrent naturellement du côté de l’Axe à la recherche d’un allié. En général, ils s’en démarquèrent dès qu’ils eurent vérifié sur place leur racisme. Cependant, la Confrérie bénéficia des subventions du III° Reich durant les années et conserva ces liens durant toute la guerre. Lorsque, à la Libération, les services secrets britanniques et les états-uniens récupérèrent de nombreux dirigeants nazis et les recyclèrent dans leur « guerre froide » contre les Soviétiques, ils récupèrent aussi la gouvernance de la Confrérie des Frères musulmans. C’est donc tout naturellement que la CIA fit travailler ensemble Gerhard von Mende, le spécialiste nazi de l’islam en Union soviétique, avec Saïd Ramadan, le gendre du fondateur de la confrérie. Ce dernier ayant été responsable d’une émission à la radio publique pakistanaise, la CIA le plaça à Munich à Radio Free Europe/Radio Liberty. Il y anima une émission pour les musulmans soviétiques et rencontra dans ces locaux Stepan Bandera, leader de l’Organisation des nationalistes ukrainiens (OUN), et son bras droit, Iaroslav Stetsko, l’ancien Premier ministre ukrainien nazi. Ce sont précisément les « bandéristes » (qualifiés d’« ukrainonazis » par le Kremlin, mais se dénommant eux-mêmes « nationalistes intégraux ») qui réalisèrent le coup d’État (« EuroMaïdan ») de 2014 contre le président ukrainien élu Viktor Ianoukovytch.
• Dans les années 1970, le milliardaire saoudien Oussama Ben laden participa aux réunions de la Ligue anti-communiste mondiale de Tchang Kaï-Chek etde … Iaroslav Stetsko [5]. Oussama ben Laden était membre de la Confrérie et avait été formé par le frère de Sayyid Qutb, le stratège de la Confrérie et le théoricien du jihad. C’est dans ce cadre qu’il fut choisi par les Etats-Unis pour devenir le chef des moudjahidines en Afghanistan contre les Soviétiques.
Les législateurs du grand État du Tennessee ont adopté cette semaine un projet de loi visant à interdire la pulvérisation de produits chimiques dans l’atmosphère, une technique gouvernementale de manipulation du temps connue sous le nom de « géo-ingénierie ».
Le projet de loi poursuit : « L’injection, la libération ou la dispersion intentionnelle, par quelque moyen que ce soit, de produits chimiques, de composés chimiques, de substances ou d’appareils à l’intérieur des frontières de cet État dans l’atmosphère dans le but exprès d’affecter la température, le temps ou l’intensité de la lumière du soleil sont interdites ».
Depuis des années, nombreux sont ceux qui soupçonnent le gouvernement de pulvériser des particules en aérosol dans l’atmosphère – sous forme de traînées de nuages blancs qui ne se dissipent pas – non seulement de manipuler le temps, mais aussi de détruire l’écosystème de la Terre.
Ce projet de loi intervient alors que d’éminents géoscientifiques ont récemment accusé les Nations unies de conspirer pour détruire l’environnement de la Terre.
Dans leur article, publié dans le « Advances In Social Sciences Research Journal » en septembre 2022, James Marvin Herndon et Mark Whiteside ont averti que « le temps est compté pour mettre un terme définitif à toutes les activités de géo-ingénierie », en particulier « les cendres volantes de charbon aérosolisées qui, selon eux, sont pulvérisées par des avions à réaction » et « dans la troposphère », où elles « détruisent systématiquement les systèmes de soutien de la Terre et empoisonnent la vie sur cette planète ».
Le gouvernement fédéral américain a également admis tacitement qu’il se livrait à cette pratique, appelée injection d’aérosols dans la stratosphère (SAI). L’ancien directeur de la CIA, John Brennan, l’a décrite comme « une méthode d’ensemencement de la stratosphère avec des particules qui peuvent aider à refléter la chaleur du soleil, de la même manière que le font les éruptions volcaniques ».
Par exemple, des centaines de soldats de la Garde nationale sont utilisés pour vérifier les sacs des passagers du métro de New York. C’est un précédent très inquiétant, et je ne comprends pas pourquoi il n’y a pas plus de gens qui s’en émeuvent. Nous venons d’apprendre que des troupes de la Garde nationale seront déployées lors de la grande éclipse américaine du 8 avril. Qu’est-ce qu’ils espèrent qu’il se passera pendant cette éclipse ?
Il s’agira sans aucun doute d’un événement historique.
Comme je l’ai dit précédemment, on prévoit qu’il s’agira de l’événement astronomique le plus regardé de toute l’histoire de notre pays.
Le 8 avril, des millions d’Américains se rendront dans des endroits où ils se trouveront sur la trajectoire de l’éclipse solaire totale. L’Oklahoma est présenté comme l’un des meilleurs États pour cela, et il est rapporté que la Garde nationale de l’Oklahoma « fournira des premiers intervenants ainsi que des unités ayant des capacités d’intervention en cas de matières dangereuses »…
Un nouvel outil puissant d’intelligence artificielle est capable de prédire si une personne est prête à se faire vacciner contre le COVID-19. Le système intègre les mathématiques du jugement humain à l’apprentissage automatique pour prédire l’hésitation à la vaccination. Le système prédictif utilise un petit ensemble de données issues de données démographiques et de jugements personnels tels que l’aversion au risque ou à la perte.
Les résultats encadrent une nouvelle technologie qui pourrait avoir de vastes applications pour prédire la santé mentale et donner lieu à des campagnes de santé publique plus efficaces.
Une équipe dirigée par des chercheurs de l’Université de Cincinnati et de l’Université Northwestern a créé un modèle prédictif utilisant un système intégré d’équations mathématiques décrivant les modèles légaux de jugement de récompense et d’aversion grâce à l’apprentissage automatique.
« Nous avons utilisé un petit nombre de variables et des ressources informatiques minimales pour faire des prédictions », a déclaré l’auteur principal Nicole Vike, associée de recherche principale au Collège d’ingénierie et de sciences appliquées de l’UC.
« Il est peu probable que la COVID-19 soit la dernière pandémie que nous verrons au cours des prochaines décennies. Disposer d’une nouvelle forme d’’intelligence artificielle pour la prédiction en santé publique constitue un outil précieux qui pourrait aider à préparer les hôpitaux à prédire les taux de vaccination et les taux d’infection qui en découlent. »
L’étude a été publiée dans le Journal of Medical Internet Research Public Health and Surveillance.
Les chercheurs ont interrogé 3 476 adultes à travers les États-Unis en 2021 pendant la pandémie de COVID-19. Au moment de l’enquête, les premiers vaccins étaient disponibles depuis plus d’un an.
Les personnes interrogées ont fourni des informations telles que leur lieu de résidence, leurs revenus, leur niveau d’éducation le plus élevé atteint, leur appartenance ethnique et leur accès à Internet. Les données démographiques des personnes interrogées reflétaient celles des États-Unis, d’après les chiffres du US Census Bureau. Il a été demandé aux participants s’ils avaient reçu l’un ou l’autre des vaccins disponibles contre la COVID-19. Environ 73 % des personnes interrogées ont déclaré avoir été vaccinées, soit un peu plus que les 70 % de la population nationale qui avaient été vaccinées en 2021.
En outre, il leur a été demandé s’ils suivaient systématiquement quatre recommandations destinées à prévenir la propagation du virus : porter un masque, respecter la distance sociale, se laver les mains et ne pas se rassembler en grands groupes.
Il a été demandé aux participants d’évaluer dans quelle mesure ils aimaient ou n’aimaient pas un ensemble de 48 images séquencées au hasard sur une échelle de sept points de 3 à -3. Les images provenaient de l’International Affective Picture Set, un vaste ensemble de photographies couleur émotionnellement évocatrices, réparties en six catégories : sports, catastrophes, animaux mignons, animaux agressifs, nature et nourriture.
Vike a déclaré que le but de cet exercice est de quantifier les caractéristiques mathématiques des jugements des gens lorsqu’ils observent des stimuli légèrement émotionnels. Les mesures de cette tâche incluent des concepts familiers aux économistes comportementaux — ou même aux joueurs — tels que l’aversion au risque (le point auquel quelqu’un est prêt à accepter une perte potentielle pour une récompense potentielle) et l’aversion à la perte. Il s’agit de la volonté d’éviter les risques, par exemple en souscrivant une assurance.
« Cela peut fonctionner très simplement. Il ne nécessite pas de super calcul, est peu coûteux et peut être appliqué à toute personne possédant un smartphone. Nous l’appelons IA cognitive computationnelle. Il est probable que vous verrez d’autres demandes concernant des modifications de jugement dans un avenir très proche. »
Pour les lecteurs du Réseau Voltaire, il appelle à sauver dans l’urgence le peuple palestinien et à résoudre enfin le problème israélo-arabe. À le résoudre sur le fond, en proclamant l’égalité de chaque homme, qu’il soit juif ou arabe.
Il est des vérités encore plus assassines que tous les complots qui visent la vérité , surtout dans cette terrible époque où règnent le mensonge , la terreur et l’injustice . Désormais tout un chacun parmi vous pourrait oser, s’il le voudrait, dire la vérité sans crainte aucune de subir la redoutable correction « guillotinaire » qui n’est autre que l’accusation d’antisémitisme et ses conséquences douloureuses que se soit sur sa vie professionnelle ou sur sa vie familiale et sociale ; accusation dont on use et on abuse.
Cette fois-ci la vérité est sortie d’où on ne l’attendait pas et d’une personne censée ne jamais l’avouer : le général israélien Yitztshak Barik. Fidèle aux pratiques inhérentes à ses fonctions à la tête du service de sécurité intérieure, le général Barik représentait, aux yeux des Palestiniens, la cruauté personnifiée. C’est la poignée de fer de l’entité étatique sioniste en Cisjordanie et dans la bande de Gaza. Et pourtant c’est bien lui, l’homme par qui la surprise arrive.
Barik ose justifier l’attaque palestinienne du 7 octobre 2023, ose reconnaître, implicitement et par ricochet, la vocation résistante du mouvement Hamas tout en attaquant le duo chef de file de l’extrémisme sioniste gouvernementale en la personne du ministre de la Sécurité, Itamar Ben-Gvir, et de son collègue des Finances, Bezalel Smotrich, dont l’influence sur les décisions officielles est prépondérante et décisive.
Ce sont bien ces deux ministres qui ont imposés comme principale priorité dans l’action de l’Exécutif israélien l’accélération de l’éradication de la présence palestinienne, sur la terre de Palestine — d’abord les zones occupées en 1967, suivies de celle occupées en 1948, c’est à dire la purification ethnique de l’ensemble du territoire de la Palestine historique, entre la rivière du Jourdain et le littoral de la Méditerranée ; « From the river to the sea », selon la fameuse chanson devenu mondialement célèbre grâce aux manifestations gigantesques contre le génocide perpétré au vu et au su de tous les habitants de la planète Terre —
Fort de ses performances guerrières de 1973, dont témoignent ses blessures au visage et au corps, lors des batailles du Sinaï, ce général connu pour son franc-parler se considère en plein droit de se porter donneur de leçons pour les jeunes générations de son peuple guidées tout droit vers l’abime par leurs dirigeants actuels qu’ils qualifié de ... « menteurs ».
Dans une récente interview accordée, il y a quelques jours, à la chaine AI-Jazira d’expression anglaise, le général Barik résume l’état des lieux de la population palestinienne en général et gazaouie en particulier en des termes on ne peut plus clairs :
— Barik : « Ils rêvent de la liberté, mais ils n’arrivent pas à la saisir. Qu’on le veuille ou non, nous contrôlons la vie de millions [d’entre eux ] ».
— Al-Jazeera :« Si vous étiez Palestinien et si vous viviez en Cisjordanie ou à Gaza comment jugeriez-vous Israël ? »
— Barik : « Je combattrais Israël pour obtenir ma liberté ».
— Al-Jazeera : « Jusqu’où vous iriez dans votre combat ? ».
— Barik :« Je ferais tout pour obtenir ma liberté ».
Voilà.
[...]
Vladimir Poutine, conscient des forces externes qui cherchent à diviser le pays, y compris certains acteurs occidentaux et Israël qui cherchent à blâmer les musulmans, exprime sa détermination à maintenir l’unité et la cohésion de la société russe. Il affirme que nul ne pourra semer les graines de la discorde, de la panique et de la division au sein de la population russe, qui est composée de différentes ethnies et cultures. Il souhaite ainsi rassurer les citoyens russes et les encourager à rester unis face à l’adversité.
« Chers citoyens russes !
Je vous écris à propos d’un acte terroriste sanglant et barbare, dont les victimes ont été des dizaines de personnes pacifiques et innocentes – nos compatriotes, parmi lesquels des enfants, des adolescents et des femmes. Les médecins se battent désormais pour la vie des victimes, celles qui se trouvent dans un état grave. Je suis sûr qu’ils feront tout ce qui est possible, voire impossible, pour préserver la vie et la santé de tous les blessés. Des mots particuliers de gratitude aux ambulanciers, aux soldats des forces spéciales, aux pompiers, aux sauveteurs qui ont tout fait pour sauver la vie des gens, les sortir du feu, de l’épicentre du feu et de la fumée et éviter des pertes encore plus importantes.
Je ne peux ignorer l’aide des citoyens ordinaires qui, dans les premières minutes qui ont suivi la tragédie, ne sont pas restés indifférents et, avec les médecins et les agents de sécurité, ont prodigué les premiers soins et transporté les victimes dans les hôpitaux.
Nous apporterons l’assistance nécessaire à toutes les familles dont la vie a été affectée par un terrible malheur, aux blessés J’exprime mes profondes et sincères condoléances à tous ceux qui ont perdu un être cher. Le pays tout entier, tout notre peuple, pleure avec vous. Je déclare le 24 mars jour de deuil national.
À Moscou et dans sa région, ainsi que dans toutes les régions du pays, des mesures antiterroristes et anti-sabotage supplémentaires ont été introduites. L’essentiel est désormais d’empêcher ceux qui sont à l’origine de ce bain de sang de commettre un nouveau crime.
Quant à l’enquête sur ce crime et aux résultats des actions d’enquête opérationnelles, on peut actuellement dire ce qui suit. Les quatre auteurs directs de l’attaque terroriste, tous ceux qui ont tiré et tué des personnes, ont été retrouvés et détenus. Ils ont tenté de se cacher et se sont dirigés vers l’Ukraine, où, selon des données préliminaires, une fenêtre leur était ouverte du côté ukrainien pour franchir la frontière de l’État. Au total, 11 personnes ont été arrêtées. Le Service fédéral de sécurité de Russie et d’autres organismes chargés de l’application des lois s’efforcent d’identifier et de découvrir l’ensemble de la base complice des terroristes : ceux qui leur ont fourni le transport, tracé les voies d’évacuation de la scène du crime, préparé des caches, des caches d’armes et de munitions.
Je le répète : les organismes d’enquête et d’application de la loi feront tout pour établir tous les détails du crime. Mais il est déjà évident que nous sommes confrontés non seulement à une attaque terroriste soigneusement et cyniquement planifiée, mais à un massacre préparé et organisé de personnes pacifiques et sans défense. Les criminels ont décidé calmement et délibérément de tuer, de tirer à bout portant sur nos citoyens, nos enfants. Tout comme les nazis ont commis autrefois des massacres dans les territoires occupés, ils ont décidé de mettre en scène une exécution spectaculaire, un acte d’intimidation sanglant.
Tous les auteurs, organisateurs et clients de ce crime subiront une punition juste et inévitable. Quels qu’ils soient, quel que soit celui qui les guide. Je le répète : nous identifierons et punirons tous ceux qui se tiennent derrière les terroristes, qui ont préparé cette atrocité, cette attaque contre la Russie, contre notre peuple.
Nous savons quelle est la menace du terrorisme. Ici, nous comptons sur l’interaction avec tous les États qui partagent sincèrement notre douleur et sont prêts à unir réellement leurs forces dans la lutte contre l’ennemi commun, le terrorisme international, sous toutes ses manifestations.
Les terroristes, les meurtriers et les non-humains qui n’ont pas et ne peuvent pas avoir de nationalité sont confrontés à un sort peu enviable : le châtiment et l’oubli. Ils n’ont pas d’avenir. Notre devoir commun désormais, à nos camarades du front, à tous les citoyens du pays, est d’être ensemble en une seule formation. Je crois qu’il en sera ainsi, car personne ni rien ne pourra ébranler notre unité et notre volonté, notre détermination et notre courage, la force du peuple russe uni. Personne ne pourra semer des graines empoisonnées de discorde, de panique et de discorde dans notre société multiethnique.
La Russie a traversé à plusieurs reprises des épreuves difficiles, parfois insupportables, mais est devenue encore plus forte. Il en sera ainsi désormais. »
Une journée pour évoquer le traité de l’Organisation mondiale de la Santé qui prévoit de nouvelles dispositions pour les prochaines crises pandémiques. A la fin de la conférence, et à l’initiative de Martin Loizillon, par petit groupes, les participants ont échangé sur les divers sujets de société liés au projet politique de l’OMS.
À une époque où l'information est abondante mais souvent manipulée, où les médias semblent dicter la réalité, un concept émerge, celui du "Médiavers", développé par le philosophe Alexis Haupt. Dans cette ère de l'hyper-connectivité où tout un chacun peut accéder à une pléthore d'informations en quelques clics, se pose une question cruciale : qu'est-ce qui empêche les individus de se libérer du Médiavers ?
Au cœur du Médiavers réside un manque fondamental : celui de la volonté de savoir. Les médias, contrôlés par des intérêts particuliers, déforment la réalité et manipulent les masses. Dans cet univers parallèle, les véritables enjeux sont occultés, reléguant des sujets essentiels au second plan.
Dans le Médiavers, les déclarations sensationnalistes de certaines organisations, telles que l’OMS, sont amplifiées, détournant l’attention du véritable enjeu. Par exemple, une alarmante augmentation des cas de cancer va être attribuée à des causes superficielles telles que la pollution, l’alcool et la cigarette, alors que des facteurs plus profonds et systémiques sont négligés.
Mais le Médiavers va au-delà de la simple manipulation de l’information. Il façonne la perception de la réalité chez les individus, créant une dichotomie entre ce qui est présenté par les médias et ce qui est vécu dans le monde réel. Les personnes piégées dans le Médiavers nient les réalités évidentes sous leurs yeux, préférant croire ce qui leur est présenté par les médias.
La psychologie des individus en proie au Médiavers est intrigante. Leur perception de la réalité est déformée, et ils peuvent nier les faits les plus flagrants pour adhérer à un récit prédéfini. Même lorsque des preuves tangibles contredisent les récits médiatiques, ils choisissent de les ignorer, préférant vivre dans une illusion confortable.
Il est crucial de reconnaître les dangers du Médiavers. En concentrant l’attention sur des problèmes superficiels ou en déformant la réalité, il détourne l’attention des véritables enjeux. Par exemple, les préoccupations concernant des figures politiques éloignées peuvent occulter les menaces plus proches et plus pressantes qui affectent les individus au quotidien.
Conférenciers
M. Olivier Bodenmann Ingénieur EPFL, spécialiste en électrosmog
Problématique générale des ondes de hautes fréquences pulsées, différences entre la 3G, 4G, 5G, Wi-Fi, télépones sans fil digitaux (DECT), pourquoi elles affectent davantage que la radio FM. Exemples d’effets biologiques des ondes. La 5G, réduction ou augmentation du rayonnement? Comment réduire son exposition, des solutions pratiques.
www.electrosmogtech.ch
M. Pierre Dubochet Ingénieur radio, toxicologie des RNI (rayonnements non-ionisants)
Toxicologie et dose de rayonnements, commentaires sur des mesures chez des particuliers, risques de l’exposition à des nouvelles technologies (onduleurs solaires, chargeurs de véhicules électriques, cuisson à induction, etc. ) et à la haute tension. www.pierredubochet.ch
Pr Dominique Belpomme Cancérologue - Université Paris V - Fondateur de l’ARTAC - Directeur de l’European Cancer and Environment Research Institute ECERI
Qu’est-ce que l’électrohypersensibilité? Définition, tableau clinique, prévalence et liens avec l’exposition à des champs électromagnétiques.
www.artac.info
Dr Philippe Irigaray Docteur ès sciences en biochimie - Coordonnateur des recherches de l’ARTAC
Quels sont les moyens de faire le diagnostic clinique et biologique en pratique de l’électrohypersensibilité? Éléments de traitement et surtout de prévention.
www.artac.info
Les fils [invisibles] de la nature qui nous surplombent d’un horizon à l’autre et qui transportent l’électricité qui alimente nos corps et les informations qui guident notre croissance, notre guérison et notre vie quotidienne, transportent maintenant de l’électricité sale — des millions de fréquences et de pulsations qui troublent nos cellules et nos organes et assombrissent nos systèmes nerveux, que nous soyons humains, éléphants, oiseaux, insectes, poissons ou plantes à fleurs.
Les pulsations polluent la Terre sous nos pieds, nous entourent dans l’air où nous volons, traversent les océans où nous nageons, coulent dans nos veines et nos méridiens, et nous pénètrent par nos feuilles et nos racines. Le transformateur planétaire qui ménageait le vent solaire s’agite, s’enflamme.
Le lac illustré ci-dessus est le plus grand du Royaume-Uni. Situé en Irlande du Nord, le Lough Neagh est tellement envahi par les mouches au printemps et en été que les habitants ferment leurs fenêtres pour se protéger de cette fumée vivante. Les vêtements laissés sur une corde sont couverts de mouches. Il en allait de même pour le pare-brise de tout véhicule circulant sur les 90 miles du littoral du Lough Neagh. Jusqu’en 2023.
L’année dernière, incroyablement, on n’a pas vu de mouches. Les pare-brise et les vêtements suspendus en étaient dépourvus. Aucune ne passait par les fenêtres ouvertes. Les autres espèces qui les mangeaient ont également disparu : canards, grenouilles, poissons, anguilles et insectes prédateurs. Les larves de mouches ne sont plus là pour maintenir le fond du lac propre. Il n’y a plus grand-chose de vivant dans le lac, si ce n’est une prolifération d’algues. « L’écosystème du plus grand lac du Royaume-Uni s’est-il effondré ? » s’interroge le Guardian dans un article paru le 19 février 2024.
L’écosystème de la Terre entière s’est-il effondré, demandons-nous, car la même chose se produit partout, selon les rapports que je reçois depuis un an d’un peu partout sur tous les continents ?
56 ans de vandalisme mondial
Le 13 juin 1968, les États-Unis ont achevé le lancement de la première constellation mondiale de satellites militaires. Vingt-huit d’entre eux, soit plus du double des satellites en orbite autour de la Terre jusqu’alors, ont été lancés à une altitude de 18 000 pieds, au cœur de la ceinture de radiation extérieure de Van Allen. La pandémie de grippe « Hong Kong » a débuté deux semaines plus tard et a duré près de deux ans.
Au cours des trois décennies suivantes, le ciel s’est lentement rempli de centaines de satellites, principalement à des fins militaires. Puis, à la fin des années 1990, les téléphones portables sont devenus populaires.
Le 17 mai 1998, une société du nom d’Iridium a achevé le lancement d’une flotte de 66 satellites dans l’ionosphère, à une altitude de 485 miles seulement, et a commencé à les tester. Ces satellites devaient fournir un service de téléphonie cellulaire au grand public à partir de n’importe quel point du globe. Chaque satellite a dirigé 48 faisceaux distincts vers la surface de la Terre, divisant ainsi la planète en 3 168 cellules. Des cas d’insomnie ont été signalés dans le monde entier.
Les satellites Iridium sont entrés en service commercial le 23 septembre 1998. L’effet a été dévastateur. J’ai contacté 57 personnes de mon réseau dans 6 pays, ainsi que deux infirmières, un médecin et un groupe de soutien pour les patients. 86 % des personnes que j’ai interrogées, et la majorité des patients et des membres des groupes de soutien sont tombés malades le mercredi 23 septembre exactement, avec des maux de tête, des vertiges, des nausées, des insomnies, des saignements de nez, des palpitations cardiaques, des crises d’asthme, des bourdonnements d’oreilles, etc. Une personne a déclaré avoir eu l’impression qu’un couteau lui avait traversé l’arrière de la tête tôt mercredi matin. Une autre a ressenti des douleurs lancinantes dans la poitrine. Certains, dont moi, étaient tellement malades qu’ils n’étaient pas sûrs de vivre. Nous avons tous été gravement malades pendant trois semaines. Le 23 septembre, j’ai soudainement perdu mon odorat, que je n’ai pas retrouvé pendant six ans. Les statistiques de mortalité des centres américains de contrôle des maladies ont révélé une augmentation de 4 à 5 % du taux de mortalité national à partir de la dernière semaine de septembre et pendant deux semaines. Certaines personnes ont signalé un ciel rougeâtre la nuit du 23 septembre.
Au début du mois de décembre 1998, j’ai de nouveau reçu des appels téléphoniques de toutes parts me demandant ce qui avait changé. Orbcomm, qui fournit des services de données aux industries, était devenu commercial le 30 novembre avec 28 satellites en orbite à 500 miles d’altitude.
Le 25 juillet 1999, une autre société, Globalstar, a atteint une couverture mondiale en téléphonie cellulaire avec 32 satellites, à 876 miles d’altitude, et a commencé à faire des essais. J’ai de nouveau reçu des appels de personnes qui étaient certaines que la Terre était de nouveau différente.
Le 28 février 2000, Globalstar a complété sa constellation de 48 satellites et est devenue une entreprise commerciale. Nausées, maux de tête, douleurs dans les jambes et problèmes respiratoires se sont généralisés, tant chez les personnes qui se disaient électrosensibles que chez celles qui ne l’étaient pas. Les effets ont été ressentis dès le vendredi 25 février, le jour ouvrable précédent.
Iridium, qui avait fait faillite en août 1999, a repris son service commercial de téléphonie cellulaire dans le monde entier le 30 mars 2001, après avoir signé un contrat avec l’armée américaine. La nuit du 30 mars a été accompagnée d’un ciel rouge encore plus intense et étendu que celui qui avait accompagné le lancement initial du service deux ans et demi auparavant. Une aurore rouge a été observée dans l’hémisphère nord, jusqu’au Mexique, ainsi que dans l’hémisphère sud. Une perte catastrophique de poulains de chevaux de course du Kentucky a été enregistrée à la fin du mois d’avril et au début du mois de mai, et comme les juments avortent plusieurs semaines à un mois après une infection virale ou un autre événement déclencheur, l’événement déclencheur se situe aux alentours de la fin du mois de mars. Des problèmes de poulinage similaires ont été signalés à la même époque dans l’Ohio, le Tennessee, la Pennsylvanie, l’Illinois, le Maryland, le Texas, le nord du Michigan et le Pérou. Les éleveurs ont également signalé des chevaux nouveau-nés et plus âgés présentant des problèmes oculaires inhabituels, ainsi que des chevaux adultes atteints de péricardite.
Le 5 juin 2001, Iridium a ajouté des données à son service vocal, y compris la connexion à l’Internet. L’enrouement a été l’une des principales plaintes des personnes qui m’ont contacté au cours des semaines suivantes.
Pendant les deux décennies suivantes, Iridium et Globalstar ont été les seuls fournisseurs de téléphones par satellite. En 2019, SpaceX entre en scène.
En novembre 2019, SpaceX a commencé à lancer régulièrement 60 satellites à la fois sur une orbite encore plus basse, à seulement 326 à 350 miles d’altitude, et j’ai commencé à recevoir des rapports de personnes du monde entier faisant état de maux de tête, de vertiges, d’insomnies, d’épuisement, de problèmes de peau, de sentiments d’oppression et de problèmes cardiaques. Près de 200 personnes de mon réseau ont signalé des palpitations cardiaques, des arythmies cardiaques ou des crises cardiaques.
En mars 2021, la densité des signaux polluant l’ionosphère a augmenté de manière significative. SpaceX, qui avait déjà lancé plus de 1 000 satellites Starlink et les testait sur un nombre limité de clients, a lancé 60 satellites le 4 mars, 60 autres le 11 mars, 60 autres le 14 mars et 60 autres le 24 mars. Un concurrent, OneWeb, a également lancé 36 satellites dans la nuit du 24 mars. Le nombre de satellites lancés dans l’espace au cours de ce mois et de cette journée n’a jamais été aussi élevé. Et le 24 mars, SpaceX a considérablement augmenté la vitesse de ses connexions Internet par satellite, la faisant passer à plus de 400 Mb/s.
Le 24 mars 2021, un seuil a été franchi et la détérioration de la vie sur Terre s’est considérablement accélérée. Certaines personnes ont déclaré ne pas se sentir bien à partir du 4 ou du 11 mars, mais 1 000 personnes dans 50 pays m’ont envoyé des courriels ou m’ont appelé le 24 mars ou après, confirmant ma propre prise de conscience que quelque chose de terrible était en train d’arriver à notre planète. Les rapports provenaient d’habitants de New York, de Paris et de Londres, ainsi que de personnes vivant dans des endroits reculés, à des kilomètres de l’antenne relais la plus proche. Ils provenaient de personnes qui n’utilisaient aucune technologie sans fil et d’autres qui avaient des compteurs intelligents chez eux et des antennes 5G à l’extérieur et qui m’envoyaient des courriels depuis leur téléphone portable. Ils venaient de personnes jeunes et âgées. Peu importe, ils ont tous vécu des expériences similaires. Tous, qu’ils aient été malades auparavant ou non, sont devenus soudainement et profondément malades le 24 ou le 25 mars, selon le fuseau horaire dans lequel ils vivaient, et la plupart ont peu dormi ou pas du tout la nuit du 24 mars.
Les gens ont déclaré que non seulement eux, mais aussi leur conjoint, leurs enfants, leurs parents, leurs voisins, leurs amis, leurs collègues, leurs clients et toutes les personnes qu’ils connaissaient étaient malades, épuisés et irritables le 24 ou le 25 mars et qu’ils avaient du mal à dormir. Certains ont déclaré que leurs animaux de compagnie ou de ferme étaient malades au même moment : chats, chiens, poulets, chèvres, vaches.
Les détails sont cohérents. Ils n’ont pas pu dormir pendant une, deux, trois nuits ou plus, à partir du 24 ou 25 mars. Certains ont pris de la mélatonine ou d’autres somnifères, mais n’ont toujours pas trouvé le sommeil. Ils souffraient de douleurs et de démangeaisons, soit sur tout le corps, soit sur des parties spécifiques du corps, généralement les pieds et les jambes. Ils avaient des maux de tête. Ils avaient des spasmes musculaires. Ils étaient faibles et épuisés et pouvaient à peine se tenir debout ou marcher, et certains ont trébuché ou sont tombés. Ils présentaient des éruptions cutanées. Ils avaient des vertiges et des nausées, des maux d’estomac et de la diarrhée. Le bourdonnement d’oreilles s’est soudainement intensifié. Leurs yeux étaient rouges ou enflammés, ou leur vision s’est soudainement détériorée. Ils ont eu des palpitations cardiaques, des battements de cœur rapides ou irréguliers, ou une tension artérielle soudainement élevée ou très basse. Quelques-uns ont saigné du nez ou craché du sang, ou un vaisseau sanguin a éclaté dans leurs yeux. Ils étaient anxieux, déprimés, suicidaires et irritables.
Depuis lors, SpaceX a lancé des fusées transportant des dizaines de satellites à la fois sur une base hebdomadaire ou bihebdomadaire, remplissant le ciel d’objets lumineux qui interfèrent avec l’astronomie, crachant des produits chimiques qui détruisent la couche d’ozone protectrice de notre planète, remplissant les couches supérieures de l’atmosphère avec de la vapeur d’eau qui ne devrait pas s’y trouver et qui augmente le courant dans le circuit électrique mondial et la violence des orages, et en encombrant l’espace de satellites qui ne sont rien d’autre que des panneaux solaires et des ordinateurs qui tombent en panne, s’usent et doivent être remplacés en permanence, et qui sont désorbités pour brûler dans la basse atmosphère, la remplissant de métaux et de produits chimiques toxiques que tout le monde peut respirer — et en modifiant l’environnement électromagnétique de la Terre qui n’a pas changé depuis trois milliards d’années et dont la vie en bas dépend pour sa vitalité et sa survie.
Jeudi matin dernier, depuis Boca Chica, au Texas, SpaceX a lancé avec succès dans l’espace, pour la première fois, son vaisseau spatial, la plus grande fusée jamais construite, celle avec laquelle il veut transporter des hommes et des femmes sur Mars. Vendredi, il a lancé 23 autres satellites Starlink, ce qui porte à plus de 6 000 le nombre total de satellites qui polluent l’ionosphère, non seulement pour la communication Internet avec les antennes paraboliques, mais aussi pour la communication directe avec les téléphones portables. Les 6 000 satellites communiquent également directement entre eux, enveloppant la Terre de lasers pulsés transportant 42 millions de gigaoctets de données chaque jour.
Toutes les personnes que je connais ont du mal à dormir et souffrent depuis mercredi dernier, la nuit où Starship a été lancé.
Depuis le 24 mars 2021, non seulement la santé humaine s’est dégradée, mais la biodiversité de la Terre, partout, s’est effondrée. Les gens n’ont pas tellement remarqué le déclin des grands animaux sauvages comme les loups, les ours, les lions et les tigres, qui étaient déjà rares, mais ils sont choqués par la disparition totale des plus petits animaux qui étaient encore récemment si communs que vous ne pouviez pas ouvrir vos fenêtres sans qu’ils volent à l’intérieur. Ils sont choqués par la disparition de toutes les grenouilles qui nageaient dans leurs étangs, des oiseaux qui nichaient dans leurs arbres, des vers qui glissaient sur le sol, des insectes qui passaient par leurs fenêtres et recouvraient leurs vêtements suspendus sur le fil. Mes bulletins d’information du 29 mars, du 21 juin, du 20 septembre, du 17 octobre et du 28 novembre 2023 contenaient des articles importants à ce sujet provenant de diverses parties du monde. Mes bulletins d’information des 5 et 26 décembre 2023, et des 9 janvier et 6 février 2024 ont cité des personnes du monde entier qui m’ont envoyé des courriels ou appelé, et j’ai un énorme arriéré d’autres rapports de ce type que vous pourrez lire lorsque je les publierai à l’avenir.
Si nous voulons avoir une planète sur laquelle vivre, non seulement pour nos enfants, mais aussi pour nous-mêmes, les radiations doivent cesser. Il faut non seulement démanteler les tours de téléphonie mobile, qui sont si laides à regarder, mais aussi les téléphones portables que nous tenons dans nos mains et dont nous sommes devenus si dépendants, ainsi que les satellites qui écrasent toute la vie qui subsiste sous leurs pieds. Le temps presse.