Cet article est constitué principalement de témoignage d’artisans de la lavande, il met en évidence l'absurdité de la situation. Mais quelle est la véritable intention de l'Union européenne ?
« Dans la lavande, il y a un allergène potentiel qui s'appelle le linalol. Mais en 13 ans d'existence, dans notre registre des réclamations, nous n'avons jamais eu une seule requête concernant une allergie à partir de nos produits. »
Aucun retour possible, dans aucune circonstance, un contrat prévalent sur les lois locales, etc.
« L'acheteur reconnaît que les effets à long terme et l'efficacité du vaccin ne sont actuellement pas connus et qu'il peut y avoir des effets indésirables du vaccin qui ne sont actuellement pas connus ».
Cet article est basé sur une publication du Figaro, étayé par des déclarations publiques comme celle du CDC ou de Jean-Michel Blanquer.
« Quand vous êtes vacciné, vous ne risquez pas de contaminer les autres »
Mais les Russes continuent de refuser d'obtempérer ; ils ont désormais trouvé de nombreux moyens de déjouer le système, la solution la plus simple étant d'éviter (et donc de mettre en faillite) les restaurants collabos. Pendant ce temps, Poutine a fait en sorte que le maire de Moscou revienne sur ces mesures.
« Ce n’est pas du travail parlementaire, il nous aurait fallu un mois pour étudier les enjeux de ce texte qui touche aux libertés fondamentales. Là, on a l’impression de légiférer avec un pistolet sur la tempe »
La mission du groupe est de promouvoir un environnement « sans préjugés » dans lequel les journalistes peuvent exprimer leurs préoccupations et sensibiliser le public à des questions moins connues. Interviewés, certains membres de ce groupe dénonce les biais médiatiques, tels que « le manque de contexte pour les statistiques, la couverture adéquate des traitements alternatifs, l’examen minutieux des tests PCR, l’attention portée aux effets indésirables des vaccins ou l’examen équilibré des coûts du confinement ».
« Ce sont les propriétaires et les rédacteurs en chef qui ont le dernier mot. Nous sommes donc tous d’accord pour dire que nous aimerions voir plus de journalistes devenir rédacteurs en chef et avoir leur propre journal, leur propre chaîne de télévision ou de radio, mais c’est très, très rare. Il y a toujours un rédacteur en chef quelque part qui dit non, je ne veux pas de ça, et c’est ce qui s’est passé, en particulier pendant cette pandémie. »