Le FEM s’est donné la peine de créer une vidéo pour illustrer un article sur son site qui parle de ce que l’organisation appelle les effets à long terme de la pandémie de COVID, les divise en cinq catégories et souligne le rôle central de la « transformation numérique » qui affecte les économies, les personnes et les gouvernements.
Bien que le régime terroriste soit interdit par toutes les autres plateformes Big Tech, Twitter a décidé de lui donner une voix tant qu’il ne « glorifie pas la violence » ou ne viole pas les règles de spam.
Des vidéos de ce type sont diffusées quotidiennement en Australie, où les autorités poursuivent une politique ridicule de « zéro COVID » qui nécessite le confinement répété de régions entières pour quelques cas de coronavirus.
« Se met en place une architecture qui rendra possible le “crédit social” à la chinoise : le wallet contiendra des marqueurs indiquant qui n’a pas payé ses impôts, ou ses dettes, qui a roulé trop vite, qui a tardivement réglé sa pension alimentaire. Et si le marquer apparaît, l’individu sera interdit d’accès à certains services, ou à certains achats. »
Plusieurs internautes ont établi un lien entre les adorateurs du diable et les membres du Noosa Temple of Satan, qui poursuit actuellement le ministère de l'Éducation du Queensland pour que des cours d'instruction religieuse soient dispensés dans les écoles.