Le diable est le confusionniste par excellence, celui qui lance de la confusion en permanence. Le mot grec «diabolos» ne signifie rien d’autre. Le mensonge est donc ce qui est particulièrement diabolique. Il sème la discorde, dresse les hommes les uns contre les autres, bouleverse l’ordre naturel. Dans l’évangile de Jean 8, 44, le diable est à juste titre qualifié de «père du mensonge».
En Allemagne, le mensonge est devenu encore un peu plus loi depuis ces dernières semaines. Plus précisément, il est devenu une religion d’État qui exige la soumission. En effet, depuis vendredi, date à laquelle le Bundestag a adopté la loi dite «d’autodétermination», toutes les personnes vivant en Allemagne sont désormais tenues par la loi de croire les mensonges flagrants, de les tenir pour vrais, ou du moins de se taire à leur sujet.
Celui qui ouvre néanmoins la bouche et fait remarquer, à juste titre, que Gabriele s’appelle en réalité Hans-Günther, risque de payer une amende pouvant aller jusqu’à 10 000 euros s’il appelle désormais une personne par son sexe biologique alors qu’il/elle souhaite être «perçu(e)» différemment. Grâce à la loi, il ne sera plus nécessaire de subir une opération pour changer de sexe et de faire certifier officiellement le changement. Les offices sont contraints par la loi d’apporter leur aide à la falsification de documents. Et tous les autres sont contraints de vivre dans et avec le mensonge et de s’y dérober.
C’est satanique. Depuis un vendredi d’avril, nous avons fait un bon pas en avant dans la construction d’un monde diabolique et contre nature, dont le fondement est la fausseté. La criminalisation de la vérité a maintenant été intronisée publiquement et frappe à la porte de tout le monde. Et comme le mal, pour se maintenir, ne peut pas s’arrêter, mais doit toujours aller plus loin, se soumettre à des domaines toujours plus larges, ce n’est qu’un début.
Il n’est pas nécessaire d’être un théoricien de la conspiration pour cela : il est maintenant explicite que ce qui est «normal», naturel, juste pour la vie, soit officiellement déclaré criminel et poursuivi en tant que tel, c’est-à-dire : l’hétérosexualité, la famille, la progéniture, le peuple. Le mal devient totalitaire. L’image biblique en est le règne de l’Antéchrist, qui doit nécessairement précéder la victoire finale du bien. Nous allons nous étonner de ce qui va suivre, à une fréquence de plus en plus rapprochée. La dictature coronaviresque était la répétition générale. Il y aura bientôt des martyrs.
Ce n’est certainement pas un hasard si le Parlement européen a demandé ces jours-ci, dans une résolution adoptée à une large majorité, que le droit à l’avortement soit déclaré droit fondamental (!). La législation ouvertement totalitaire sur le «discours de haine» dans de nombreux pays occidentaux, qui prévoit parfois des peines de prison de plusieurs années pour les crimes d’opinion (au nom de la «tolérance» !), relève également de ce domaine ; tout comme le fait que la Cour constitutionnelle fédérale, la plus haute instance juridique de la République fédérale, tente de définir la notion de peuple naturel, c’est-à-dire ethnique, comme «contraire à la Loi fondamentale», tant dans la procédure d’interdiction de la NPD que maintenant vis-à-vis de l’AfD – le tout librement inspiré d’Orwell la guerre, c’est la paix, la liberté, c’est l’esclavage, la mort, c’est la vie. C’est pervers. C’est la dictature du mensonge.
Il faut prendre acte de la dynamique interne de l’évolution, qui n’est pas humaine, mais finalement spirituelle : le mal contre le bien. C’est pourquoi ce n’est pas l’expression d’une croyance personnelle, mais la description adéquate de ce qui se passe, que d’introduire le diable dans le jeu, comme l’adversaire cosmique fondamental. Il laisse tomber son masque. Cela se voit dans tous les domaines de la vie. Apocalypse – la période que nous vivons actuellement – ne signifie rien d’autre que révélation.
La bonne nouvelle dans tout cela est que Satan n’a pas le dernier mot. Le mensonge, qui se fait une fausse idée du monde, n’est pas plus viable que le cancer. La République fédérale d’Allemagne a été fondée sur le mensonge dès le début, et le mensonge devient maintenant essentiel pour le simulacre qu’est l’État fédéral allemand. C’est pourquoi cette république-là arrive bientôt à sa fin. La «loi sur l’autodétermination» et toutes les aberrations à venir en sont les indispensables stigmates.
En décembre de l’année dernière, les États-Unis ont annoncé qu’ils voulaient déployer des «armes de type Skynet» contre leurs adversaires géopolitiques. Les rapports pertinents ont révélé que le Pentagone utilise même une nouvelle nomenclature militaire pour un tel système, l’appelant ADA2 ou armes autonomes attritables dans tous les domaines (ADA2 or all-domain attritable autonomous weapons ; à ne pas confondre avec le même nom A2/AD ou armes anti-accès/déni de zone). À l’époque, j’avais soutenu que lorsque de tels programmes avaient une nomenclature avancée, cela impliquait clairement que lesdits systèmes d’armes étaient déjà profondément ancrés dans la stratégie américaine émergente. Les dernières révélations du tristement célèbre porte-parole néolibéral, le New York Times, viennent de confirmer mon hypothèse en révélant que le Pentagone utilise une IA avancée (intelligence artificielle) pour «tuer les troupes russes». Précisément en ces termes.
Dans un article intitulé «En Ukraine, la nouvelle technologie américaine a gagné, jusqu’à ce qu’il soit dépassé», David E. Sanger, journaliste à la Maison-Blanche et chargé de la sécurité nationale, révèle les détails troublants du projet Maven qui était «destiné à révolutionner la guerre moderne». Sanger a remis en question la capacité du programme à «inverser la tendance», mais a tout de même expliqué comment il fonctionne. En effet, en 2018, Google a lancé un projet de 9 millions de dollars visant à développer un système d’IA avancé qui aiderait l’armée américaine à mener des guerres en utilisant des images de drones pour déterminer facilement les positions ennemies. Sanger poursuit ensuite en lançant un discours risible sur les «hauteurs morales» selon lequel cette idée aurait «déclenché une révolte à grande échelle» et un «tollé» sur le campus de Google, alors que «les ingénieurs et autres employés de Google affirmaient que l’entreprise ne devrait rien avoir à faire» avec le projet Maven.
Pourtant, selon l’aveu de Sanger, «le projet Maven n’est pas mort, il a simplement été confié à d’autres entrepreneurs». De toute évidence, les États-Unis n’abandonneront jamais l’idée de trouver de nouvelles façons «brillantes» de tuer des gens dans le monde. Le programme a connu depuis lors une croissance exponentielle et est activement testé en Ukraine, où le Pentagone partage des données sur le champ de bataille directement avec les forces de la junte néonazie. Sanger a en outre admis que les «résultats sont mitigés», car le projet Maven a donné «aux généraux et aux commandants une nouvelle façon de présenter une image complète des mouvements et des communications de la Russie dans une image globale et conviviale, en utilisant des algorithmes pour prédire où les troupes se déplacent et où les attaques pourraient avoir lieu», mais qu’il est douteux que cela «contribue à inverser le cours de la guerre à un moment où les Russes ont repris de l’élan».
Il est intéressant de noter que Sanger admet également que le conflit orchestré par l’OTAN en Ukraine est devenu un «terrain d’essai pour le projet Maven et d’autres technologies en évolution rapide». Il a déclaré que les drones américains ont été «facilement soufflés du ciel», mais que cela a aidé le Pentagone à comprendre qu’il devait construire un réseau massif de satellites militaires identiques à ceux du Starlink d’Elon Musk. Il convient de noter que, malgré l’apparence de milliardaire de «génie pacifiste» de Musk, il n’est qu’un autre entrepreneur militaire américain qui aide Washington DC à poursuivre son agression incessante contre le monde. SpaceX est impliqué depuis longtemps aux côtés du Pentagone, pratiquement depuis sa création, on ne peut donc que s’attendre à ce que ses technologies soient utilisées à des fins militaires. Après tout, Musk s’est vanté d’avoir «empêché le mini-Pearl Harbor de Crimée» en niant son utilisation auprès du régime de Kiev.
Pendant ce temps, le personnel militaire de l’OTAN, en particulier américain et britannique, a été déployé en Ukraine pour aider leurs mandataires néo-nazis à utiliser le nouveau système avancé d’IA pour «explorer de nouvelles façons de trouver et d’exploiter les vulnérabilités russes, même si les responsables américains tentent de naviguer dans les procédures juridiques des restrictions quant à la mesure dans laquelle ils peuvent s’impliquer dans le ciblage et le meurtre des troupes russes». C’est une nouvelle confirmation des nombreuses affirmations de mes collègues et de moi-même selon lesquelles l’OTAN est directement impliquée dans le ciblage des soldats de Moscou, car il n’existe pas de «moyen à plusieurs niveaux de tuer quelqu’un». Soit vous le faites, soit vous ne le faites pas. Cela n’est guère surprenant, étant donné que certains officiers supérieurs occidentaux se vantent ouvertement de leur participation directe à l’attaque des forces russes. Cet aveu à lui seul pourrait facilement servir de casus belli légitime pour le Kremlin.
Et sans parler des attaques terroristes de l’OTAN contre des civils russes, orchestrées par les marionnettes du régime de Kiev dans le but non seulement de provoquer des troubles religieux et ethniques en Russie, mais aussi d’inciter Moscou à lancer des frappes de représailles contre l’alliance belligérante elle-même, afin que les politiques de l’Occident poussentt alors présenter leur confrontation directe avec le géant eurasien comme une prétendue «défense». Sachant tout cela, on se demande sûrement si la véritable signification du tristement célèbre acronyme «OTAN» est réellement «Organisation Terroriste Américaine Nazie», car cela englobe parfaitement tout ce qu’il représente véritablement. En tant qu’excroissance géopolitique (et, à bien des égards, littérale) du Troisième Reich et des puissances de l’Axe, elle pourrait aussi bien se renommer ainsi, car rien ne changerait vraiment, sauf qu’elle serait honnête sur au moins une chose à son sujet.
Les autres révélations de Sanger ne font que renforcer cette notion, bien qu’il ait continué à tenter en vain de masquer ce programme d’IA militaire essentiellement illégal avec des euphémismes risibles, comme celui-ci : «Le projet Maven est rapidement devenu le succès le plus remarquable parmi les nombreux efforts du Pentagone pour se lancer sur la pointe des pieds dans la guerre algorithmique». Et en effet, utiliser des expressions telles que «se lancer sur la pointe des pieds dans la guerre algorithmique» n’est pas un très bon moyen de dissimuler ce qui ne peut être décrit que comme un terrorisme à la Skynet. Le Pentagone lui-même s’est également vanté que le projet Maven est un moyen pour les États-Unis «d’exploiter leur avantage concurrentiel technologique pour maintenir leur supériorité sur la Russie et la Chine dans une ère de rivalités renouvelées entre superpuissances». C’est une nouvelle confirmation que Washington DC ne reculera devant rien pour rester pertinent sur la scène géopolitique, quels que soient les moyens.
Quant à la «non-implication de Google pour des raisons morales», cela s’est également révélé être un mensonge flagrant, puisque Sanger lui-même a déclaré qu’Eric Schmidt, l’un des plus hauts responsables de l’entreprise, «tirait désormais les leçons de l’Ukraine pour développer une nouvelle génération de drones autonomes qui pourraient révolutionner la guerre». Voilà pour la «révolte à grande échelle» et le «tumulte» suscités par l’utilisation de l’IA avancée comme arme. Et pourtant, même si Sanger a essentiellement présenté le projet Maven comme une sorte de «wunderwaffe silencieuse et invisible», la réalité sur le terrain est tout à fait différente. En effet, le Pentagone est frustré par la capacité de la Russie à s’adapter rapidement à ces nouveaux systèmes d’armes, perturbant ou annulant complètement sa capacité à changer la situation sur le champ de bataille. Sanger a désigné les capacités de guerre électronique (GE) de classe mondiale de Moscou comme le principal problème.
Selon son propre aveu, les systèmes de guerre électronique russes ont effectivement transformé les drones américains en déchets plastiques. Pire encore pour le Pentagone, le HIMARS, largement surfait, est souvent bloqué, ses roquettes et ses missiles rendus inutiles. L’armée américaine et l’OTAN tentent de comprendre comment Moscou y parvient, afin qu’ils puissent «un jour l’utiliser directement contre l’armée russe», mais ce que leurs planificateurs ont réussi à comprendre jusqu’à présent, c’est que l’avantage de la guerre électronique de la Russie force l’Ouest à revenir à «la brutalité de la guerre de tranchées à l’ancienne, dont les résultats sont rarement ceux auxquels s’attendent les planificateurs du Pentagone». Sanger a également déclaré que «Starlink est souvent la seule chose qui relie les soldats ukrainiens aux quartiers généraux ou entre eux», impliquant une fois de plus clairement Elon Musk et montrant qu’il n’est guère plus qu’un marchand d’armes.
Sanger a également cité l’ancien président des chefs d’état-major interarmées, le général Mark Milley, qui a déclaré que «pendant un certain temps, nous avons pensé qu’il s’agirait d’une cyberguerre, puis nous avons pensé que cela ressemblait à une guerre de chars à l’ancienne de la Seconde Guerre mondiale, mais ensuite il y avait des jours où on avait l’impression qu’ils combattaient la Première Guerre mondiale». Cela démontre la capacité du Kremlin non seulement à s’adapter rapidement à la situation sur le terrain, mais aussi à façonner le champ de bataille comme bon lui semble, laissant des équipes entières de planificateurs des États-Unis et de l’OTAN perplexes quant à la doctrine à utiliser dans une situation donnée. Occupé par son agression contre le monde qui comprend principalement l’intimidation d’opposants largement impuissants, l’Occident politique a complètement ignoré des aspects entiers de la guerre conventionnelle, pensant bêtement qu’une grande partie de celle-ci est censée être «dépassée».
L’armée américaine utilise l’une de ses bases «à plus de mille kilomètres à l’ouest de l’Ukraine, au plus profond d’une base américaine au cœur de l’Europe» (ce qui suggère qu’elle se trouve très probablement en Allemagne) comme centre de collecte de renseignements «qui est devenu le point focal» le point central de l’effort visant à rassembler les alliés et la nouvelle technologie pour cibler les forces russes. Une fois de plus, c’est un aveu clair de l’implication directe de l’OTAN dans le conflit ukrainien. Cependant, Sanger a concédé que «les visiteurs sont déconseillés dans «The Pit», comme on appelle le centre». Il admet également que les responsables américains «discutent rarement de son existence», en partie pour des raisons de sécurité, mais «surtout parce que l’opération soulève des questions sur l’implication profonde de l’Amérique dans les activités quotidiennes consistant à trouver et à tuer les troupes russes». Et le voilà à nouveau, Washington DC jouant avec désinvolture avec la Troisième Guerre Mondiale.
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Dans son ouvrage "Libre réponse à Michel Onfray "Non, le Christ n'est pas un mythe", le jeune philosophe Matthieu Lavagna réfute la théorie de l'auteur athée Michel Onfray selon laquelle Jésus de Nazareth n'aurait jamais existé. Matthieu Lavagna s'appuie sur de nombreuses sources historiques pour prouver l'existence du Christ et répond aux arguments les plus courants contre le christianisme.
Michel Onfray défend depuis plus de 25 ans l’idée que Jésus de Nazareth n’aurait pas eu d’existence historique et que le christianisme serait un mythe. Cependant, Matthieu Lavagna explique que cette théorie n’est pas fondée et qu’il existe de nombreuses sources, à la fois chrétiennes et non chrétiennes, qui mentionnent l’existence du Christ dans les deux premiers siècles.
Parmi les sources non chrétiennes, le jeune philosophe cite Flavius Josèphe, Tacite, Suétone, Lucien de Samosate, Pline le Jeune, Galien, le Talmud de Babylone, Celse et Mara bar Serapion. En plus de ces sources, il existe également des sources chrétiennes, telles que les évangiles, les épîtres de Paul, les Actes des Apôtres et les épîtres de Pierre et de Jacques, qui mentionnent l’existence de Jésus.
Matthieu Lavagna souligne que même les Juifs, qui étaient les ennemis des chrétiens, n’ont pas remis en question l’existence du Christ. Il explique également que les sources historiques mentionnant Jésus sont beaucoup plus nombreuses que celles mentionnant d’autres figures historiques de l’époque, telles que Jules César.
Yoann
L’un de sujet qui arrivera rapidement est celui du travail. Tout le monde imagine facilement le fait que l’IA en automatisant de nombreuses tâches va réduire nombre d’empois. C’est vrai et prévisible. Mais ce n’est pas le problème principal.
Le problème principal des effets négatifs sur l’emploi de l’IA va en réalité concerner les jeunes. Ceux qui démarrent.
Traditionnellement, lorsqu’un jeune commence, quels que soient ses « diplômes » et autres parchemins plus ou moins démonétisés par un niveau scolaire affligeant, il ne sait rien faire ou si peu. Evidemment, pour avoir été jeune moi aussi, la vieillesse étant une maladie qui arrive si rapidement, je vous aurais soutenu « mordicus » que je savais tout faire ou presque ! Avec l’âge et l’expérience on sait que quand on était jeune on ne savait pas grand-chose finalement, mais c’est le chemin classique de vie de tout être humain, notre courbe « d’apprentissage ».
Les jeunes démarrent donc par des tâches simples, un peu répétitives souvent, et pas trop techniques. Et puis progressivement ils acquièrent cette expérience et cette maturité indispensable qui leur permettent d’aller de plus en plus loin, de faire des choses de plus en plus complexes. En automatisant toutes les tâches simples, il n’y aura plus de place, plus de tâches à réaliser et permettant de former les plus jeunes progressivement. Cela peut sembler anodin, pourtant c’est LE principal problème que va nous poser l’IA. En empêchant la formation des jeunes, cela va empêcher leur progression. L’IA va donc probablement accélérer la destruction des capacités intellectuelles humaines à une vitesse jamais vue. Ajoutez à cela les réseaux débiles comme Tik-Tok et les vidéos « short » et vous obtenez des armes de destruction massive de l’intelligence humaine et de notre créativité.
Cela me conduit à ma dernière expérience IA que je voulais partager avec vous.
Satan vu par les hommes et vu par l’IA Chat GPT.
J’ai été volontairement court dans le « prompt » (le script ou la demande) posé à Chat-GPT. Ma demande était la suivante.
« Peux-tu me générer deux images. La première serait celle de Satan le mal vu par les hommes selon ce qu’ils imaginent en moyenne et la seconde comment toi dall-e tu verrais Satan. »
Normalement, les deux images devraient sensiblement coïncider si le même système de valeurs a été intégré dans le système de l’IA qui reste une « machine » programmée par les hommes.
Or, factuellement, l’image de Satan selon les hommes et celle selon l’IA ne correspondent pas.
Dans un cas nous avons Satan qui est « diabolique ».
Dans la seconde image, Satan vu par l’IA… les choses sont nettement moins négatives. Satan est presque « sympathique ».
J’aimerai bien savoir comment la notion de bien et de mal a été intégrée dans l’IA.
Vous voyez, l’IA est une chose bien trop importante pour être laissée entre les mains de quelques apprentis sorciers qui disposent tous de leur propre idéologie, mystique ou rapport au bien ou au mal.
Les questionnements qui devraient être les nôtres sont en réalité vertigineux, et notre représentation nationale n’a aucune conscience de la nécessité de faire de la philosophie pour faire de la politique. N’hésitez pas à partager cet article avec vos députés, là encore pour stimuler et alimenter leurs réflexions.
Extrait :
… Cela signifie concrètement que si l’on s’en tient à l’exigence maximale de la norme Euro 7, c’est-à-dire que chaque véhicule devant être immatriculé à partir du milieu de l’année 2025 devra être conforme à la norme Euro 7 et non uniquement les nouvelles séries produites. Cela conduira inévitablement à l’effondrement d’une grande partie de la production automobile en 2025.
Il me vient à l’esprit qu’en 2025 nous avons des élections et je suppose que beaucoup d’entre vous ne seront plus ici après cette échéance. De ce fait, cette situation est plutôt positive. Il faut en particulier bien comprendre une chose, à savoir que les durcissements de plus en plus absurdes des valeurs limites ne concernent ni le climat ni la protection de la santé (mort due soi-disant aux particules fines).
Il ne s’agit pas non plus de remplacer 50 millions de voitures à moteur à combustion par 50 millions de véhicules électriques. Non, il s’agit de rendre, à moyen terme, la mobilité privée si chère qu’elle ne sera plus disponible que pour une élite triée sur le volet. Cela signifie donc que la plupart des citoyens devant leur écran d’ordinateur n’en feront malheureusement plus partie.
Il est important de le comprendre. Car dans les plans d’avenir des Verts, socialistes et communistes, qui donnent actuellement le ton ici, il n’est prévu ni de maison privée ni de voiture privée. Le vieil homme blanc, qui crée de la richesse par son travail et son éducation, qui accumule de la propriété privée et qui, peut-être, roule à 180 km/h dans un SUV, c’est un véritable cauchemar et il est détesté.
C’est le portrait de l’ennemi de l’idéologie de gauche. Nationaliser, exproprier, redistribuer, ce sont les objectifs de tous ceux qui gouvernent ce pays en le détruisant sous nos yeux. Et quand les citoyens l’auront compris, mesdames et messieurs du gouvernement, vous aurez un sérieux problème. Merci beaucoup.
Traduction : Christine
https://twitter.com/silvano_trotta/status/1783206340619379095
Mike Adams, chercheur et militant, avec le Dr Alphonzo Monzo, médecin naturopathe américain spécialisé dans la biophysique et la nanotechnologie en tant qu’arme, et son interaction avec la biologie : Par nanotechnologie, nous entendons de petites machines générées naturellement ou en présence d’un champ électromagnétique.
Elles s’auto-assemblent et peuvent se répliquer à l’intérieur du corps.
Il s’agit d’une arme.
Le danger est que nous ne la connaissons pas.
L’information est en train de sortir, il y a donc de l’espoir.
La nanotechnologie crée des maladies et modifie le comportement.
Elle interagit avec les ondes électromagnétiques !
Source : Changera4
L’intelligence artificielle (IA) – il n’y a guère de mot-clé qui revienne plus souvent lorsqu’il est question de visions d’une société hautement technologique et progressiste. Elle n’est pas seulement censée nous simplifier la vie et nous décharger de certaines tâches : les visionnaires les plus audacieux du développement technologique de la Silicon Valley, comme Raymond Kurzweil et Elon Musk, espèrent même qu’elle permettra de réaliser le vieux rêve faustien de dépasser les limites du corps humain.
Grâce à la technologie, l’homme devrait pouvoir devenir un surhomme et augmenter ses capacités cognitives de manière exponentielle, selon Elon Musk, le patron de Tesla, de la plate-forme X et aussi de Neuralink. Sa puce «Neuralink», directement implantée dans le cerveau humain – selon les propres dires de Musk, un essai sur l’homme est déjà en cours – devrait dans un premier temps aider à traiter les maladies graves du cerveau.
Et si l’on en croit le directeur du développement technique de Google (qui fait partie du géant américain de la technologie Alphabet), Raymond Kurzweil, le progrès technique ne devrait pas seulement nous donner la vie éternelle, mais aussi, dans le cadre de «l’Internet de tous les objets», nous conduire à des connaissances insoupçonnées dans le cadre d’un décollage soudain du progrès, ce que l’on appelle la singularité.
Cette avant-garde du transhumanisme veut atteindre la vie éternelle avant la fin du monde en transformant peu à peu l’homme lui-même en machine ou en téléchargeant son esprit dans un cloud. Parallèlement, de plus en plus de scientifiques comme Geoffrey Hinton et de philosophes comme Alexander Douguine et Alain de Beonist mettent en garde contre les dangers de l’IA – il est donc temps de me pencher sur les possibilités et les dangers de l’IA.
La Grande Transformation
Ces idées trouvent un soutien enthousiaste non seulement aux États-Unis, mais aussi parmi les élites occidentales, qui se sont regroupées autour du Forum économique mondial de Klaus Schwab. Dans le cadre de leur «grand redémarrage» (Great Reset), proclamé dans le sillage des mesures COVID-19 en juillet 2020, les sociétés occidentales – et, selon leur volonté, le monde entier – doivent être transformées dans le sens du nouveau libéralisme 2.0, que certains observateurs qualifient de «socialisme des milliardaires».
Schwab et son co-auteur Thierry Malleret parlent ouvertement de la nécessité de capter la conscience des gens, car c’est la seule façon d’impulser un changement social majeur. Une transformation verte massive de l’économie, une réduction de la population et une alimentation «respectueuse du climat» avec des insectes au lieu de la viande. «Vous ne posséderez rien et vous serez heureux !» est le slogan moqueur des gens de Davos. C’est précisément là qu’interviennent les derniers développements technologiques, qui s’imbriquent avec des stratégies de censure telles que le politiquement correct et la «cancel culture».
L’algorithme, clé de la domination totale des mondialistes
Aux yeux des transhumanistes, l’homme n’a pas d’âme divine ou de libre arbitre, mais n’est qu’un ensemble d’algorithmes – des règles d’action pour résoudre un problème ou une classe entière de problèmes – et peut donc non seulement être compris comme un ordinateur, mais aussi programmé (c’est-à-dire manipulé). Le politiquement correct prend alors la fonction d’un tel algorithme pour limiter la pensée autonome des gens et les transformer eux-mêmes en machines obéissant à la volonté des élites libérales.
Cybernétique : comment les gens deviennent volontairement esclaves de la technologie
Dans la tradition de la cybernétique, des entreprises comme Google/Alphabet, mais aussi les gouvernements européens, sont donc intéressés par la collecte d’un maximum de données sur leurs citoyens, non seulement pour mieux les surveiller dans le sens de «l’homme transparent» et ainsi étouffer dans l’œuf les mouvements dissidents, mais aussi pour mieux les contrôler.
Des entreprises mondialistes comme Google/Alphabet – dont le nom est devenu synonyme de recherche sur Internet – obtiennent ces données avec une facilité déconcertante et sans pression : des milliards d’utilisateurs alimentent chaque jour le moteur de recherche du groupe avec leurs données, utilisent leurs programmes de messagerie, etc. que Google transforme à son tour en monnaie sonnante et trébuchante, comme les médias sociaux tels que Facebook et Instagram, qui en savent parfois plus sur leurs utilisateurs que ces derniers eux-mêmes. Le sacrifice volontaire de la vie privée et de l’anonymat fait du simple citoyen un gibier potentiel pour les entreprises internationales.
Aujourd’hui je vais faire mon « coming-out ».
Je suis de gauche.
Je suis totalement, viscéralement de gauche. Vous allez me dire quel est le rapport avec la pénurie de médicaments et la « gauchitude » de Charles ?
Vous savez pourquoi ? Parce que je suis très sensible à la souffrance des autres. On appelle cela empathie. Je pense que lorsque l’un d’ente nous chute, nous devons lui tendre la main. Je pense sincèrement, viscéralement, que ce qui définit fondamentalement une société et son degré d’avancement de « civilisation » diraient certain, c’est sa manière de prendre soin des plus faibles, des plus fragiles, des « sans défense ». Alors, oui, je suis de gauche.
Pour autant, je ne suis pas socialiste.
« Le problème avec le socialisme est que vous finissez un jour par avoir dépensé tout l’argent des autres ».
Mais encore plus grave…
« Il n’existe pas de socialisme sans danger. Si c’est sans danger ce n’est pas du socialisme. Et si c’est du socialisme ce n’est pas sans danger. Le chemin du socialisme nous entraîne vers le bas, vers moins de liberté, moins de prospérité, nous abaisse vers plus de confusion, plus d’échec. Si nous le suivons à destination, nous mènerons ce pays à la ruine. »
C’est ainsi que nous n’avons plus de médicaments, que nous, en France, dans cette France « développée » de l’an 2024, cette France qui fait la guerre à la Russie avec un professeur Trouposol à sa tête et un « Mozart » de la finance à Bercy qui veut mettre l’économie russe à genou, nous n’avons plus de médicament dans nos officines.
C’est la pénurie.
Le socialisme c’est toujours la pénurie.
Il se termine toujours dans un drame.
Toujours.
L’égalitarisme mène toujours à la ruine et à la dictature.
« Nous croyons qu’ils devraient être des personnes. Nous sommes tous inégaux. Personne, grâce au ciel, n’est pareil à un autre, contrairement à ce que peuvent prétendre la plupart des socialistes. Nous croyons que chacun a le droit d’être différent mais pour nous chaque être humain est d’une importance égale. »
Je suis de gauche parce que je crois sincèrement que chaque être humain à une importance égale, mais je ne suis pas socialiste parce que je crois à la nécessité des inégalités pour maintenir la liberté et la diversité !
L’égalité est une dictature qui écrase toute diversité et toute liberté. Si nous sommes tous égaux alors… nous sommes tous pareil, et quand on est tous pareil, il n’y a plus aucune liberté, plus aucune différence.
Je suis donc de gauche mais pas socialiste.
Je ne suis pas socialiste, parce que cet ersatz de doctrine politique est faisandée.
Je ne suis pas socialiste, parce qu’ils confondent égalitarisme et égalité des droits et des devoirs.
Je ne suis pas socialiste, parce qu’ils confondent assistanat et juste solidarité et nécessaire entraide.
Je ne suis pas socialiste, parce qu’ils nient la différence et la liberté au nom de la dictature de l’égalitarisme et d’une fausse justice sociale.
Je ne suis pas socialiste, parce qu’ils pensent que l’Etat « magique », avec une pensée » magique » et de l’argent « magique » peut fantasmer un monde et s’abstraire du réel.
Je ne suis pas socialiste, parce que le réel revient toujours au galop et que quand le réel revient ce ne sont pas les riches socialistes du portefeuille à droite et qui habitent la rive gauche qui souffrent. Non ce sont les petits, les sans-grade, les fragiles.
Je ne suis pas socialiste, parce qu’ils font la générosité avec l’argent des autres sans vergogne et jamais avec le leur refusant la vraie générosité pour eux et l’imposant aux autres.
Je ne suis pas socialiste, parce qu’ils pensent qu’ils peuvent, dans un monde ouvert à tous, dans un monde où il y a la libre circulation des biens et des marchandises, encadrer et fixer les prix des médicaments.
Ils pensent ces imbéciles, parce qu’ils sont « l’Etat » qu’ils peuvent dire aux laboratoires pharmaceutiques, « votre boîte je l’achète à 1 euro » et le Labo répond, pas de problème, je vais la vendre aux Hongrois, parce que là-bas, à 10 euros, « hongrois que c’est pas cher quand même »… ou aux Tchèques avec provisions et pas aux chèques sans provision de l’Etat français.
Alors nous n’avons plus de médicaments.
Nous avons une pénurie de médicaments.
Pas parce que les usines à médicaments ne produisent plus.
Il n’y a aucune pénurie de médicaments en Hongrie ou en Tchéquie, des anciens pays camarades des républiques bien socialistes. Ils y ont passé 70 ans dans la félicité socialiste.
Il y a une pénurie de médicaments en France.
La France, ce pays si brillant, si merveilleux, qui est devenu la… Corée de l’Ouest.
En Corée de l’Ouest on ne peut plus se soigner et pourtant, tout cela coûte un pognon de dingue.
Alors après 40 ans de socialisme et d’économie administrée socialiste nous sommes dans le mur.
Nous sommes ruinés.
Dans ce nouveau bulletin des nouvelles de la vérité brutale, Amélie Paul plonge dans les ténèbres pour nous parler des molochs du monde contemporain. Pour cela, elle nous donne un cours d'histoire en remontant aux anciens Grecs, précurseurs du mouvement LGBT et champions olympique des mauvaises décisions parentales, qui sont souvent dépeints comme ayant consacré la pédophilie. Amélie nous révèle les secrets les plus sombres de notre monde : préparez-vous à être secoués et peut-être même effrayés...
« Est-ce vraiment étonnant qu’il y ait maintenant un agenda mondial pour que les enfants soient initiés aux complexités du genre, de l’orientation sexuelle ou de la masturbation avant même de comprendre les mathématiques ? La culture populaire a été totalement pervertie pour infiltrer l’âme de la jeunesse et les offrir en sacrifice dans les anales de l’histoire musicale. »
La ville de Dubaï est paralysée après les pluies torrentielles qui ont touché la région en 24 heures, soit la totalité des précipitations de l’année.
Les écoles ont été fermées et les employés ont été invités à travailler chez eux après l’inondation des parkings souterrains. Les services de métro ont également été interrompus après deux jours d’averses. L’aéroport international de Dubaï, l’un des plus fréquentés au monde, est confronté à d’importantes perturbations, les vols étant détournés ou retardés de plusieurs heures.
Les dégâts ne se limitent pas à la ville. Les routes de la capitale, Abu Dhabi, ont également été inondées, tandis qu’un homme de 70 ans a perdu la vie lorsque son véhicule a été pris dans les crues soudaines à Ras Al Khaimah.
Dans le pays voisin d’Oman, 19 personnes, dont des écoliers, sont mortes après des jours de pluies consécutives qui ont inondé des communautés, ont rapporté les médias locaux.
Déclenchées par l’ensemencement des nuages ?
De nombreux médias ont attribué les inondations aux activités d’ensemencement des nuages auxquelles Dubaï se livre régulièrement pour répondre à ses besoins en eau douce.
Dans le cadre de cette approche, des avions sont utilisés pour introduire des produits chimiques et de petites particules, telles que des sels de chlorure de potassium, dans les nuages de pluie afin d’augmenter les précipitations.
Selon Ahmed Habib, météorologue spécialisé au Centre national de météorologie (NCM), l’État a procédé à l’ensemencement des nuages les jours précédant les pluies. Des avions ont été envoyés de l’aéroport d’Al Ain lundi et mardi pour ensemencer les nuages convectifs qui s’étaient formés au-dessus de la région, a rapporté Bloomberg.
Depuis la publication de cette nouvelle, les utilisateurs se sont rendus sur les médias sociaux pour partager des images et des vidéos des inondations et ont attribué la responsabilité de ces inondations aux exercices d’ensemencement.
Faut-il incriminer l’ensemencement des nuages ?
S’il est facile d’établir une corrélation entre les deux incidents et d’imputer les inondations aux exercices d’ensemencement, un examen plus approfondi de la réalité révèle une autre histoire.
L’ensemencement des nuages n’est pas nouveau à Dubaï. Le rapport de Bloomberg indique que cette technique est utilisée depuis 2002 et qu’elle n’a jamais eu de résultats aussi désastreux au cours des deux décennies précédentes. On peut être certain que les expériences d’ensemencement n’ont pas mal tourné cette fois-ci puisque Dubaï mène environ 300 opérations de ce type chaque année. Le NCM a également précisé qu’il n’avait pas procédé à l’ensemencement des nuages le jour de la tempête.