L'Iran a répondu avec force à l'agression israélienne contre son ambassade à Damas en menant une opération militaire historique. Cette riposte a pris Israël au dépourvu et a placé l'Iran dans le livre d'histoire.
Dans la nuit du 13 au 14 avril, l’Iran a lancé une offensive d’envergure sur le sol israélien qui a durée au moins cinq heures, démontrant ainsi sa capacité à déployer des drones de haute technologie Shahed et des missiles Kheibar capables de parcourir plus de 1 300 km. Cette démonstration de force a pris l’État hébreu au dépourvu et semé la panique parmi la population.
Cette attaque survient en réponse à une agression israélienne contre la section consulaire de l’ambassade iranienne à Damas, considérée comme une violation du territoire souverain iranien. Selon l’article 51 de la Charte des Nations Unies, cette riposte iranienne est légitime et conforme au droit international.
Selon le journal chinois « Global Times », en réponse à l’échec des organisations internationales, en particulier du Conseil de sécurité de l’ONU, à condamner les attaques israéliennes contre les installations diplomatiques iraniennes, l’Iran a riposté en utilisant des renseignements stratégiques, des missiles et des drones pour détruire avec succès des cibles militaires majeures en Israël.
Les pays occidentaux ont condamné l’attaque iranienne. Les États-Unis avaient demandé à l’Iran de cesser immédiatement son attaque, mais Téhéran avait non seulement ignoré cette demande, mais également menacé de bombarder les bases américaines en cas d’intervention de la Maison Blanche.
Et gros coup dur pour l’entité sioniste, selon CNN, le Président des États-Unis, Joe Biden a informé le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu par téléphone que les États-Unis ne participeraient pas aux opérations offensives contre l’Iran.
De son côté, le vice-président de la Douma d’État russe, Piotr Olegovitch Tolstoï, a exprimé son soutien à l’Iran sur Twitter en publiant un poème faisant l’éloge de l’amitié entre les deux pays et de leur lutte commune pour une cause noble.
Selon des sources de la chaîne de télévision américaine ABC, l’attaque iranienne a impliqué 400 à 500 drones et environ 150 missiles. Les drones ont été lancés depuis les provinces occidentales de l’Iran, tandis que les Houthis ont lancé des drones depuis le Yémen et des frappes de missiles depuis des unités du Hezbollah basées au Liban. La coordination parfaite entre ces pays a démontré une capacité incroyable à répondre efficacement à l’entité sioniste, qui n’a pas réussi à arrêter tous les missiles avec son système de défense antimissile, connu sous le nom de Dôme de fer.
Résumons : la dette française est aujourd’hui de 3200 milliards d’euros, soit 3425 milliards de $.
Certaines sources parlent même de 3690 milliards de $
La dette russe n’était que de 358 milliards de $ au 1er avril 2023. Un an de guerre après, au 1er avril 2024, cette dette russe a été réduite à 304 milliards de $.2
La Russie a donc encore une capacité d’endettement que n’a plus notre pays, au bord de l’effondrement et de la faillite.
Pour les Mozarts français de la politique et de la finance qui prétendaient effondrer l’économie russe (Lemaire) ou la mettre en état de cessation de paiement (Macron), la gifle est gigantesque et l’on attend avec impatience le verdict du FMI et celui des agences de notation qui devraient tomber dans quelques jours. Mais pas de panique, les médias grand public sont là pour occulter le problème et calmer nos douleurs par anesthésie avant les élections européennes, afin de limiter la casse électorale. Ils nous parleront JO Paris 2024, inondations, dérèglement climatique et le moins possible d’économie…
Ce qui est appelé banques centrales : la Banque Centrale Européenne ( BCE ) , la Bundesbank , la Banque de France, la Banque de la Réserve Fédérale des Etats-Unis ( FED ) etc… sont en fait contrôlées par des BANQUES COMMERCIALES, elles-même propriétés de quelques familles d’actionnaires anonymes ( Mayer Bauer Rothschild , Rockfeller, Morgan, Warburg, Lazard etc... ). Elles sont gérées par des hommes de paille, des marionnettes, de « hauts » fonctionnaires d’état, payés grassement des deniers publics. Ces gens s’enferment tous les deux mois dans des réunions secrètes à Bâle donc pour y décider en privé du sort économique du monde, le tout pour le profit d’intérêts banquiers égoïstes, obscurs, secrets et PLOUTOCRATIQUES…
Ceux qui sont à la BRI et dans ses succursales dans le monde ne paient pas d’impôts, ont des salaires énormes et des avantages multiples. Ni la justice, ni la police suisse ne peuvent y pénétrer. Toute personne y entrant y est scannée, et pesée à l’entrée et à la sortie, pour des raisons de sécurité, sic...
A lire impérativement en complément de cet article : une traduction du livre de l’historien Antony Sutton : « Wall Street et la montée d’Hitler », qui parle dès le premier chapitre de la collusion de Wall Street, de Schacht et de la BRI/BIS comme étant le cœur même avec JP Morgan et Rockefeller du financement de l’Allemagne nazie sous couvert des plans Dawes et Young de l’après première guerre mondiale…
Voici la feuille officielle du 26 février 1930 avec la prorogation de la convention de la BRI...
Dans la vidéo qui suit, Astrid révèle le développement fulgurant des installations publiques d’émetteurs et de relais 5G dissimulés dans les villes. Ces émetteurs 5G rayonnent des programmes psychiques de contrôle des individus. Ceci est véhiculé sur des bandes de fréquences en giga hertz accordées à celles du cerveau et relayées par l’oxyde de graphène qui a été instillé par les vaccins ARNm. Les gens touchés ne se rendent donc pas compte qu’ils sont manipulés à distance et croient qu’ils sont les créateurs de leurs opinions.
Écoutez attentivement le message d’Astrid Stuckberger (9 min50)
https://vk.com/video-209702645_456242926?t=20s
Astrid Stuckelberger est une des rares ténors parmi les chercheurs de vérités à oser parler de l’oxyde de graphène et de la protéine spike, éléments meurtriers majeurs des faux vaccins ARNm. Elle a en outre participé au film « Hold-up ».
Je me proposais de présenter son remarquable cursus et j’y ai renoncé en découvrant Conspiracy watch (observatoire du conspirationnisme), un site sataniste 100% anti vérités qui à défaut d’un assassinat physique, a édité à son encontre une véritable exécution médiatique affublée du mot récurrent qui tue :« complotiste ».
Oui j’y ai renoncé parce qu’il suffit de lire la rafale d’accusations sur Astrid assénées par Conspiracy watch (voir sur Google) pour découvrir fidèlement en inversant simplement son narratif, les grandes lignes de ses démarches et courageuses positions (avec lesquelles mes conclusions personnelles sont totalement en adéquation).
CONSEILS DE LA QUINTA COLUMNA
et rappels importants
Savez-vous que le radis noir contient de la peroxydase qui est une enzyme capable de neutraliser directement l’oxyde de graphène dans le sang. Il s’ajoute à la liste déjà passée plusieurs fois dont le L-glutathion, la NAC, le Zinc (surtout colloïdal), la vitamine D3+K2.
Rappel : L’oxyde de graphène épaissit gravement le sang créant des obstructions fatales possibles au niveau cardiaque, cérébral et pulmonaire – Vous pouvez faire contrôler la viscosité de votre sang par un D-Dimer dans n’importe quel laboratoire médical
J’en profite pour rappeler l’efficacité de la nattokinase, enzyme du natto, fromage japonais massivement contenue dans le Serracor NK, capable de détruire la terrible protéine spike auto-disséminée dans toutes les cellules du corps… et transmissible par voie aérienne.
Rappel : La protéine spike sabote les défenses immunitaires, et met l’organisme en réaction auto immune voire carrément en terrain SIDA. C’est aussi elle qui endommage le cœur des ados de 12 à 25 ans.
Autre rappel important au sujet de la cohérence cardiaque simplifiée à effet immédiat et préventif concernant les poussées hypertensives, palpitations, tachycardies et troubles rythmiques du cœur ; il suffit d’exécuter 21 fois :
- INSPIR COMPLET 2 secondes
- EXPIR COMPLET 6 secondes (ou plus)
Nota : peut s’effectuer discrètement en urgence n’importe où – recommencez une fois si nécessaire – l’annonce de la sédation se fait par des séries de bâillements et des rots. Vous pouvez contrôler le résultat au tensiomètre.
La guerre de la souveraineté nationale aura lieu
Union Européenne
La feuille de route présentée officiellement par l’Allemagne et la France, mardi 19 septembre, pour simplifier l’Union européenne, est le point d’aboutissement d’un travail mené par le « Groupe des 12 », six experts français et six experts allemands. C’est une feuille de déroute, une véritable trahison pour les intérêts nationaux de la France. Elle accélérerait, si elle était mise en place, l’effondrement politique en cours de l’Union européenne. En effet, au lieu de tirer lucidement les leçons de l’échec de la méthode suivie depuis Maastricht – élargissement, fédéralisation, violation de la subsidiarité –, le Groupe des 12 en arrive à la conclusion que pour « simplifier », il faut continuer comme avant, et même accélérer.
Sur la forme, le fait que le rapport ne soit présenté qu’en anglais, et ne soit disponible ni en français ni en allemand, démontre que cette proposition ne s’adresse pas aux opinions publiques des deux pays concernés. C’est déjà un mauvais point, lorsque l’on prétend réconcilier l’UE et les peuples. Elle démontre, au choix, soit une forme de masochisme – car communiquer dans une seule langue, celle du pays qui a quitté et fragilisé l’UE, est quand même intéressant d’un point de vue freudien –, soit une démonstration de l’assujettissement linguistique et politique d’un ensemble qui persiste à nier la pluralité qui est la sienne pour adopter la langue de sa puissance suzeraine, les États-Unis d’Amérique. Quelle tristesse…
La vision américaine de l’Europe : un grand espace commercial de débouchés pour sa propre économie
Sur le rapport de forces politiques, le texte des experts est le décalque absolu de ce qu’a proposé le chancelier Scholz, à Prague, le 29 août 2022, et démontre au mieux que la France est dans une attitude de suivisme à l’égard de Berlin, au pire qu’elle est incapable d’avoir sa propre vision de l’Europe. À Prague, Scholz avait brossé le tableau d’une « Europe géopolitique » destinée à s’élargir, une grande Europe, ouverte aux Balkans occidentaux, à l’Ukraine, à la Moldavie, et même à la Géorgie. Laurence Boone, secrétaire d’État chargée des Affaires européennes, s’est empressée de déclarer que la question n’était plus de savoir si elle devait s’élargir, mais quand. Cela rejoint évidemment la vision américaine qui est de faire de l’UE un grand espace commercial de débouchés pour sa propre économie, dont les frontières coïncideraient avec celles de l’Otan qui en assurerait la sécurisation. Un enclos, une chasse gardée.
Sur le fond, enfin, le rapport et la proposition franco-allemande sont d’une indigence frappante, car ils reviennent à fédéraliser encore un peu plus l’UE, dans la droite lignée des propositions de Scholz : extension de la majorité qualifiée, à laquelle le général de Gaulle s’était opposé ; conditionnalité des aides fédérales, ce qui revient à traiter la Hongrie et la Pologne comme des parias ; réduction du nombre de commissaires, ce qui de facto supprime le principe d’un commissaire par État ; harmonisation des lois électorales nationales, ce qui revient à soumettre les nations au fonctionnement européen, comme si elles en étaient des subdivisions ; chambre mixte de cours et de tribunaux suprêmes de l’UE, ce qui revient à entamer la fusion des ordres de juridiction ; augmentation du budget fédéral ; mise en place d’une dette commune, c’est-à-dire la fin de toute souveraineté financière.
Au lieu de simplifier – ce qui était l’objectif affiché –, on voit apparaître une nouvelle couche de complexité avec des « quintettes » de présidences du Conseil, des processus participatifs citoyens intégrés aux procédures composés… de gens extérieurs à l’UE, de nouvelles institutions (comme un bureau de la transparence et de la probité).
Il s’agit de dissiper les dernières bribes de souveraineté nationale. Il faut être aveugle pour ne pas comprendre que chaque fois qu’on a couplé plus de fédéralisme avec plus d’élargissement, les opinions publiques se sont dressées avec violence. La dernière fois, cela nous a coûté la Grande-Bretagne.
Il faut arrêter cette folie au plus vite. Cela commence par ne pas renouveler madame von der Leyen, dont le mandat qui s’achève a été catastrophique pour la France et l’UE. Cela signifie aussi infliger à la liste Renaissance, qui soutient ces propositions, le désaveu le plus grand aux prochaines élections européennes.
Ensuite, la méchante sorcière de Kiev, Vic(Toria) “Cookies” Nuland, a été évincée du département d’État après avoir torturé le monde pendant des décennies avec sa psychopathie.
Ensuite, Donald Trump a pratiquement renvoyé Nikki Haley à son Waffle House près de Greenville.
Enfin, le président français Emmanuel Macron a tenté de convaincre le monde entier que l’OTAN était prête à envoyer des troupes en Ukraine. Lesquelles ? Clairement pas des troupes françaises, qui ne sont bonnes à ce stade que pour “faire un safari en Afrique du Nord” , selon le colonel Doug MacGregor.
Et pas non plus les navires britanniques, qui ne semblent pas pouvoir quitter le port. Je pense qu’il y a une sorte de compétition entre les échecs des compagnies aériennes Boeing et les échecs des navires britanniques… mais je peux aussi être conspirationniste.
*bong*
Non, la réponse a toujours été que ce seraient des troupes américaines en Europe qui mèneraient la guerre de l’Europe dont tout le monde – le Royaume-Uni, Davos et ses apparatchiks de l’UE, et les néoconservateurs américains – pensait qu’elle serait un succès retentissant pour saigner la Russie.
Et je suis sûr que c’est exactement la façon dont ils l’ont planifié dans leur fichier Microsoft Project au Globalist Central.
Cela n’a manifestement pas eu lieu et c’est l’Ukraine qui est aujourd’hui en grande difficulté. La vérité, qui se fait rare depuis le début de la guerre il y a deux ans, c’est que l’Ukraine a toujours été en grande difficulté.
Et cela a conduit, comme on pouvait s’y attendre, à la situation que nous connaissons aujourd’hui. Le soutien des États-Unis au projet Ukraine touche à sa fin, si ce n’est déjà fait. Et la panique en Europe est palpable.
Tout cela était très prévisible si l’on acceptait le cadre d’une scission au sommet de la hiérarchie américaine. Une faction attachée à la vision de l’avenir de Davos, qui impliquait des États-Unis dociles, voire battus, et une autre faction qui levait les yeux de son écran et disait : “Euh… non” .
Tout était évident il y a environ huit mois, lorsque le grand sommet de l’OTAN à Vilnius s’est terminé par les gémissements du ministre britannique de la Défense de l’époque, Ben Wallace. Wallace était censé remplacer Jens Stoltenberg au poste de secrétaire général de l’OTAN, mais il a été écarté par Joe Biden (JOAH Bii-Den !).
Après cela, il n’a plus été question de l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN. Zelensky est retourné à Kiev avec les larmes aux yeux après que Biden ne lui a rien donné non plus. Puis, en octobre, le président de la Chambre des représentants Kevin McCarthy a été évincé lors d’un putsch par Matt Gaetz et une poignée de partisans de la ligne dure du GOP en matière de fiscalité.
Ils ont immédiatement obtenu du nouveau président de la Chambre, Mike Johnson (Républicain de Louisiane), qu’il lie tout nouveau financement de l’aide étrangère à des réductions de dépenses et à l’affectation de fonds à la sécurité des frontières, dans la mesure où la faible majorité du Congrès le permettrait.
Depuis lors, Joe Biden a été contraint de chercher sous les canapés du Pentagone quelques millions de dollars à envoyer à l’Ukraine. Il en a trouvé 300 l’autre jour. Aussi mauvaise que soit la situation, le fait que ce soit des millions plutôt que des milliards doit être considéré comme une victoire.
Le Sénat a tenté de faire chanter Johnson avec son ridicule projet de loi d’aide de 95 milliards de dollars et Johnson a simplement fait pression sur le patron Chuck Schumer en demandant une suspension de séance de deux semaines. Aujourd’hui, le mieux qu’ils puissent espérer, c’est un projet de loi plus modeste, avec une clause de prêt/location, sans que l’argent ne soit affecté à l’“aide humanitaire” – un euphémisme pour se remplir les poches.
Et malgré son rapprochement avec les faucons du Sénat, Johnson continue d’utiliser l’aide à l’Ukraine comme un moyen de faire passer en premier les réformes de financement national. Chaque jour où l’on marchande sur ces questions est un jour de plus qui annonce la fin du Projet Ukraine, alors que les forces russes prennent chaque jour des villes et des villages dans le Donbass occidental.
Encore une fois, ce n’est pas une solution idéale, loin s’en faut, mais c’est une victoire à la Pyrrhus.
Mais telle est la situation après la semaine dernière et elle est bien meilleure qu’au début de l’année, puisque cet argent était déjà attendu il y a six mois.
L’Europe est désormais en mesure d’ôter complètement le masque. En effet, à mesure que les États-Unis se retirent lentement de l’Ukraine, les appels de l’UE pour que l’Amérique maintienne le cap se font de plus en plus forts et stridents.
Rappelez-vous qu’en 2022-23, lorsqu’il semblait que les États-Unis étaient déterminés à aller de l’avant en Ukraine, les dirigeants européens comme Macron et d’autres étaient plus circonspects. Ils voulaient donner un avertissement sur les dangers d’une escalade en Ukraine. Ils ont pu passer pour des modérés dans la salle de crise, tout en continuant à envoyer des milliards d’euros d’aide et d’armes, en obligeant tout le monde à se plier à leurs exigences.
Le véritable événement révélant la position réelle de l’Europe sur cette guerre a été la menace vis-à-vis de Viktor Orban, de la Hongrie, d’une dévastation économique complète s’il ne permettait pas à leur programme d’aide de 50 milliards de dollars de passer au Conseil européen.
Maintenant que tous les plans militaires de Nuland ont échoué, que l’armée ukrainienne a été détruite pour la troisième fois et que toutes leurs tentatives de saper les États-Unis juridiquement et économiquement (Powell doit Pivoter !) ont capoté, l’Europe se retrouve dans une panique aveugle.
“Le gouvernement Démocrate américain et les dirigeants de l’UE, ainsi que les dirigeants des plus grands États membres de l’UE, sont des gouvernements favorables à la guerre. Donald Trump est pour la paix, la Hongrie est pour la paix. Cette différence est à la base de tout”
En effet, et depuis le début de ma carrière, j’essaye de comprendre pourquoi elle a de la valeur, alors qu’elle ne coûte rien à produire, comment et par qui elle est créée, ce qui se passe quand celui qui a la charge de la création en crée trop ou pas assez… et sur toutes ces questions, je n’ai qu’une chose à dire, merci Milton Friedman…
Et donc, comme ceux qui ont la charge de cette création en ont vraiment créé beaucoup depuis que Draghi a détruit la Bundesbank (2012), je suis arrivé à quelques conclusions d’investissement sur ce qu’il ne fallait PAS avoir dans son portefeuille.
En fidèle disciple de Jacques Rueff, j’ai remarqué que les pouvoirs publics en Europe ou aux USA avaient renoué avec leur fâcheuse habitude de créer de l’argent « ex nihilo » pour subventionner des dépenses qui ne rapportaient rien (L’inflation consiste à subventionner des investissements qui ne rapportent rien avec de l’argent qui n’existe pas. Jacques Rueff). Comme l’inflation n’est en rien une hausse des prix mais simplement une baisse de la valeur du billet dans votre poche, cela revient à dire que détenir une obligation de l’Etat Français à qui vous auriez prêté 100 e d’aujourd’hui pour être remboursé 100 e dans 10 ans était vraiment une opération idiote puisque le pouvoir d’achat de mon capital aura baissé de 50 % sur la période.
Et je suis arrivé à cette conclusion comme un grand, sans l’aide d’aucune boîte noire, ordinateur ou tableau Excel.
Depuis que je suis arrivé à cette conclusion remarquable d’originalité, un portefeuille d’obligations à 10 ans émises par le Trésor[1] Français a baissé de 25 % tandis que des obligations de même duration émises par le gouvernement Chinois sont montées de 25 % en euro.
J’ai certes honte d’être un mauvais Français, mais cette honte est tempérée par la certitude que ceux qui devraient aller se cacher sont messieurs Sarkozy, Hollande, Lemaire, Tricher Draghi et autres madame Lagarde, et pas moi, qui n’ait fait qu’essayer de protéger mes chers lecteurs de l’IDL contre l’incompétence abyssale des sus mentionnés.
Le but était bien sûr de procéder à l’euthanasie du rentier.
Et si j’en juge par les récentes lois qui sont passées au Parlement, on va passer de l’euthanasie financière à l’euthanasie réelle
Apparemment, d’abord il faut ruiner les vieux, (ce qui est en bonne voie) pour ensuite leur faire une piqûre miséricordieuse de façon à leur éviter une vieillesse dans la pauvreté. En espérant bien entendu qu’ils seront les premiers à réclamer, avec une dignité de bon aloi, la fin de leur misère. C’est en tout cas ce que préconise monsieur Attali.
De façon à s’assurer de l’extinction des inutiles, les caisses de retraites existantes ne seront pas nationalisées mais régulées.
Ainsi, tout versement sera réparti entre trois investissements (c’est déjà quasiment le cas) :
La moitié ira aux obligations d’état, officiellement placement sans risques et dans la réalité un certificat de confiscation.
Quarante pour cent ira à des investissements dans les sociétés produisant des moulins à vent et des miroirs magiques.
Et dix pour cent à des logements sociaux destinés à des travailleurs immigrés en situation irrégulière bien incapables de payer quoique ce soit, mais il s’agit de faire œuvre humanitaire et non pas de gagner de l’argent sur le dos de la misère du monde. Curieusement, ceux qui bâtissent ces logements sont souvent proches des hommes politiques au pouvoir, et eux gagnent de l’argent.
La valeur des retraites versées va donc s’écrouler, ce qui favorise la disparition des inutiles.
La première étape était donc de se débarrasser de ceux qui ne produisent plus rien en les empêchant de se constituer une épargne qui leur permettrait de vivre dignement pendant leur vieillesse, entourés de l’affection des leurs.
Ce but est en voie d’accomplissement.
Il est temps de passer au deuxième stade vers un monde meilleur.
Apres avoir empêché les anciens de se constituer une épargne, il faut ensuite aider ceux qui contribuent au PIB à dépenser leur argent de façon socialement utile.
Pour cela, il faut créer une monnaie numérique.
Voici le projet...
Qui a dit que le calcul mental était rébarbatif pour les élèves?
Démonstration de différentes techniques de C.M.R. (Calcul Mental Rapide) utilisées à l'école Sainte-Bernadette de Tarbes en C.M.1-C.M.2. La gestuelle nous est propre. Elle est librement adaptée de la gestuelle indienne "abacus finger". Les techniques d'additions et la graphie des chiffres sont inspirées de celles de Scott Flansburg, la plupart des autres techniques sont personnelles à notre école: nous les avons adaptées aux enfants à partir de techniques de Trachtenberg ou de techniques védiques.
Ces enfants ne sont pas des surdoués mais des enfants ordinaires. Et surtout, tous y arrivent, y compris des enfants encore en difficulté il y a 6 mois. Ce résultat est obtenu grâce à une équipe pédagogique professionnelle et passionnée.
Bien évidemment que c’est grave et cela ne peut pas durer éternellement. Mais parfois, même si ce n’est pas éternel, c’est long !
Et cela peut durer plus longtemps que ce que l’on pense tous ou que ce que l’on peut anticiper.
La France risque-t-elle la faillite ?
Bien évidemment qu’elle risque la faillite.
En réalité la France est déjà en faillite.
Nous dépensons depuis 1974 c’est-à-dire depuis 50 ans, largement plus que ce que « nous gagnons ». Et pourtant la dette continue de tourner !
Les marchés continuent à nous financer.
Alors… la question est pourquoi les marchés continuent à prêter à la France alors que nous gérons comme des pieds ? Enfin pas nous, nos « Mozart » de la finance.
La réponse est simple et tient essentiellement à deux raisons.
La première, si les choses devenaient vraiment sérieuses, la BCE interviendrait en dernier recours, achèterait la dette française pour éviter la faillite et l’explosion de la zone euro. C’est la « doctrine Draghi » du président de la BCE qui en 2011 avait déclaré que l’euro était irréversible, qu’il ferait tout ce qu’il faudrait et que ce serait assez.
La seconde raison, c’est que les Français sont riches ! Très riches. Nous couinons, nous nous plaignons et beaucoup sont effectivement pauvres. Mais malgré les taxes et le niveau d’impôts dans ce pays, les Français sont très très économes. Enfin ceux qui ne sont pas des paniers percés et en réalité, il y a une immense manne taxable potentiellement. En 2023 le taux d’épargne en France est de 17.3 % ! Oui, vous avez bien lu. 17.3 % ! C’est colossal, c’est considérable. Pour comparaison, aux Etats-Unis le taux d’épargne est de seulement 4.3 % ! Je ne sais pas si vous vous rendez compte de ce que cela veut dire. En moyenne les Français qui n’y connaissent rien en économie fonctionnent avec des budgets créditeurs et à la fin de l’année ils dépensent 17,3 % de moins que ce qu’ils ont gagné. Les « Mozart » de la finance qui nous gouvernent, tous ces grands diplômés prétentieux et bien doctes qui nous prennent pour des imbéciles, des « gens qui ne sont rien » et bien ces types « brillants », eux, terminent chaque année budgétaire en ayant dépensé plus 40 % de plus que ce qu’ils ont gagné et eenchaînent déficits sur déficits.
Le patrimoine des Français ? 20 000 milliards d’euros !
Tandis que les Mozarts plongent à 20 000 pieds de déficit sous les mers, les simples Français, eux matelassent et détiennent 20.052 milliards d’euros d’actifs au dernier pointage en 2022.
« Après une forte progression en 2021 (+9,1 %), le patrimoine net de la France a augmenté de 5,6 % en 2022, à 20.052 milliards d’euros, selon une étude de l’Insee parue ce mercredi. Celui-ci correspond à la différence entre la valeur des actifs financiers et non financiers (58.977 milliards d’euros) et celle des passifs des agents économiques (ménages, entreprises et administrations publiques). »
Et oui, moins les passifs des Mozart, nous avons quand même encore plus de 20 000 milliards d’euros ! Hahahahahahahahaha. Virez-les tous et mettez mes poules à Bercy, même une chèvre ferait mieux que tous ceux qui se succèdent depuis 5 décennies.
Quant au patrimoine financier net des ménages en 2022, il était de… 4 356 milliards d’euros !!
Et oui, mes amis la France est riche ! Très riche.
Alors la France fera faillite… quand les Français auront été ruinés !Définir l’image mise en avant
Vous devez comprendre qu’avant la faillite du pays, la solvabilité du pays sera considérée par les fous, les incompétents et les Mozart qui tirent les manettes, comme stratégique. Comme l’intérêt supérieur de la nation.
Vos actifs sont la garantie de notre solvabilité.
Finalement, je pourrais presque dire que l’Etat français a nanti auprès des marchés votre argent, votre épargne, votre patrimoine.
Il n’y aura faillite de la France que lorsque l’épargne des ménages aura été également consumée par nos apprentis sorciers des Palais.
La France va-t-elle faire faillite est donc la mauvaise question…
A ce stade du raisonnement, il doit normalement vous apparaître clairement, que contrairement à ce que l’on entend, la question n’est pas de savoir si la France fera à faillite.
Ce n’est un secret pour personne que les mannequins créés par l’IA font un tabac en ligne ces jours-ci. Le modèle de fitness Aitana Lopez a plus de 300 000 followers sur Instagram et elle n’est même pas une personne réelle, Emilly Pelegrini, une autre influenceuse numérique, a été surnommée le modèle le plus sexy du monde, et la “petite amie parfaite” Lexi Love gagne plus de 30 000 dollars par mois en jouant le rôle d’un intérêt romantique pour des personnes seules.
Aujourd’hui, une autre influenceuse virtuelle fait la une des journaux en raison de sa popularité en tant que modèle de voyage. Le profil de Lily Rain sur la plateforme sociale Fanvue, accessible par abonnement, montre la jeune femme séduisante dans divers endroits du monde qui attirent l’attention, mais le fait que ces photos soient entièrement l’œuvre d’une intelligence artificielle ne semble pas déranger ses légions de fans.
“Lily est l’exemple même d’une créatrice qui comble une lacune dans l’espace des influenceurs de voyage”, a déclaré la créatrice de Lily au Daily Star. “Elle peut créer des photos idylliques et pittoresques sans les longues durées de voyage et les frais de déplacement supplémentaires, et tirer parti des différentes saisons pour attirer son public. L’utilisation des saisons et des voyages à la mode pour adapter le contenu et le monétiser est une affaire importante. Lily peut apparaître comme une Kardashian profitant de son séjour annuel au ski dans les meilleures stations de montagne que l’on puisse acheter.”
De nombreux modèles de voyage humains sont encore plus populaires que des concurrents numériques comme Lily Rain, mais ils doivent en fait travailler beaucoup pour leur base de fans. Elles doivent investir des ressources considérables dans les frais de voyage, le maquillage approprié et la garde-robe pour chaque saison et chaque lieu, elles doivent établir des plans de voyage et respecter un emploi du temps serré. Les mannequins IA comme Lily peuvent apparaître sur de superbes photos dans des lieux exotiques en quelques clics de leurs créateurs.
Selon Fanvue, Lily Rain génère environ 20 000 dollars de revenus par mois, et on s’attend à ce qu’elle devienne beaucoup plus rentable à mesure que l’IA se généralise. Et elle n’est pas la seule à être à l’origine de la poussée de l’IA. Will Monange, PDG et fondateur de Fanvue, affirme que les créateurs d’IA ont contribué à hauteur de 15 % au chiffre d’affaires de Fanvue, soit une augmentation de 100 % par rapport au mois précédent, et que cette contribution devrait augmenter de manière significative à l’avenir.
Apparemment, les influenceurs numériques dotés d’IA sont devenus si populaires que certains aspirants mannequins humains se plaignent de devoir rivaliser avec ces avatars à l’apparence parfaite.
Nous sommes avec « The Voice Kids Russia », Edith Piaf – ‘L’hymne à l’amour’ et la France a récemment annoncé que la chanteuse Aya Nakamura serait pressentie pour interpréter l’Hymne à l’amour d’Édith Piaf lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris en 2024. Cependant, une jeune russe avait donné une véritable leçon de chant à la France avec sa propre interprétation de cette chanson emblématique.
Dans une vidéo devenue virale sur les réseaux sociaux, la jeune fille, chante l’Hymne à l’amour d’Édith Piaf avec une voix puissante et émouvante. Sa prestation est d’autant plus impressionnante qu’elle parle le français parfaitement, ce qui ajoute une dimension supplémentaire à sa performance.
En comparaison, la prestation d’Aya Nakamura, qui a été critiquée pour son manque d’émotion et sa prononciation approximative, semble bien pâle. La jeune russe, quant à elle, a su transmettre toute l’émotion et la passion de la chanson, laissant les spectateurs bouche bée et pour certain en larmes.
Cette vidéo soulève également des questions sur le choix de la France de sélectionner Aya Nakamura pour interpréter cette chanson emblématique. Bien que la chanteuse soit populaire auprès des jeunes, sa prestation ne semble pas à la hauteur de l’événement. La jeune russe, quant à elle, montre que le talent et la passion peuvent venir de n’importe où dans le monde.