« Les militaires qui expriment ou diffusent une opposition aux dispositions réglementaires relatives à la vaccination contre la COVID-19 ou une opposition à la politique gouvernementale conduite pour gérer la crise sanitaire, soit oralement, soit par écrit, dans la sphère professionnelle ou sur Internet, y compris par messagerie privée, contreviennent au devoir de neutralité et au devoir de réserve que le statut militaire leur impose (article L. 4121-2 du Code de la défense). Les intéressés encourent une sanction disciplinaire et, le cas échéant, une suspension de fonction. »
La mesure prend effet immédiatement. Il n’est donc plus nécessaire pour le moment de présenter son pass sanitaire pour faire ses courses. Toutefois, le préfet peut faire un appel devant le Conseil d’Etat. En début de semaine, le tribunal administratif de Versailles a déjà suspendu l’arrêté préfectoral instaurant l’obligation du pass sanitaire dans les centres commerciaux du département des Yvelines. Cette décision inédite a ouvert la voie à d’autres départements.
Les instances de santé s'étaient déjà fait remarquer en avril dernier lorsque le Centre régional de pharmacovigilance de Tours avait demandé aux patients vaccinés de ne pas faire remonter leurs effets secondaires. L’établissement prétextait que pour chaque effet signalé il y avait trop de travail administratif nécessaire, compte tenu du nombre d’employés disponibles, et réclamait qu'on ne signale que « les plus graves ».
Les élites ont proposé des villes intelligentes et l’utilisation de ces types de despotismes « hydrauliques », comme concentrations de pouvoir et de société. Elles contrôleront la source d’énergie et pourront contrôler l’accès des citoyens aux commodités et aux objets à louer dans leur appartement intelligent, sur la base du crédit social.
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