Or, il s’avère que les immigrés ne constituent guère une charge financière pour leurs pays d’accueil. Bien au contraire. Une étude de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) vient de le démontrer en affirmant que la contribution des immigrés sous la forme d’impôts et de cotisations était supérieure aux dépenses publiques consacrées à leur protection sociale, leur santé et leur éducation.
Rassurez-vous, la bourse quant à elle ne se formalise pas de la hausse des prix : le CAC 40 vient d’atteindre 7 000 points pour la première fois de son histoire. Cela signifie que 1 000 € investis dans les 40 principales entreprises cotées à la bourse de Paris en 1987 (année de la création du CAC 40) valent 7 000 € aujourd’hui. Bref, la population subit durement les hausses de prix, mais les grands groupes s’en sortent très très bien.
Le rapport de forces a commencé lundi 15 novembre, comme annoncé lors de la conférence de presse au Palais de la mutualité de Pointe-à-Pitre. Les leaders syndicaux avaient prévenu par la voix de Maïté Hubert M’Toumo, secrétaire générale de l’UGTG : « Le président français a dit que les vaccins c’est la liberté, la liberté est donc conditionnée à un vaccin, un vaccin qui n’est pas maîtrisé, un vaccin qui génère de plus en plus d’effets secondaires graves. C’est ça la liberté ? C’est pas possible. Donc à partir de lundi, la guerre est déclarée ! »