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Pesticides :les fleuristes Bio montrent une autre voie

BastamagPesticides : des productrices bio montrent une autre voie

Bastamag - 06 déc 2024

À l’heure où l’opinion découvre que les fleuristes aussi souffrent des pesticides, cette alternative intéresse de plus en plus de clients.

   

C’est ce 4 décembre que la famille d’Emmy saura si la justice reconnaît les souffrances de cette enfant décédée à 11 ans des suites d’une longue leucémie. Pour le moment, la maladie d’Emmy a été reconnue par le Fonds d’indemnisation des victimes de pesticides comme directement liée à l’exposition aux pesticides de sa mère fleuriste, quand celle-ci était enceinte.

Cette affaire, qui a mis en lumière les risques professionnels du métier de fleuriste, invite à réfléchir aux alternatives à l’importation de fleurs cultivées à l’autre bout du monde avec des produits parfois interdits en Europe. Basta! est ainsi allé à la rencontre de floricultrices qui explorent et pratiquent des modes de cultures sans pesticides.

« Certains clients étaient en plein désarroi et inquiets en découvrant l’histoire de Emmy », évoque Isabelle Leroux, floricultrice installée depuis quelques mois à une cinquantaine de kilomètres de Saint-Brieuc, dans les Côtes-d’Armor. Les floricultrices rencontrées sont régulièrement interpellées par leurs clients fleuristes sur le sujet. Celles et ceux qui cultivent des fleurs en bio peuvent les rassurer sur leur façon de travailler.

Alors que la saison des fleurs se termine en cette fin de mois de novembre, sous la serre d’Isabelle installée au milieu de sa petite parcelle de 6000 m², seuls les alstrœmères – ou lys des Incas – sont encore fleuris. Ils colorent le tunnel de rouge, orange, blanc et rose et côtoient les semis de ce qui fera les bouquets du prochain printemps. « Cela fait trois semaines que je suis au champ à broyer les cultures annuelles, poser des bâches, nettoyer et faire du tri », détaille la productrice, qui a longtemps travaillé avec des personnes en situation de handicap.

Même scénario chez Emeline Declerck, installée près de Morlaix, dans le Finistère, depuis 2018, après avoir travaillé dans le secteur audiovisuel : « Je finis la vente cette semaine avec ce qu’il reste de fleurs séchées, puis je fais une pause côté commercialisation. » Outre le marché hebdomadaire de Morlaix, Emeline Declerck (qui travaille avec une salariée) vend ses fleurs à des fleuristes et épiceries. Elle a aussi un grossiste qui vient de Rennes.

De son côté, Isabelle fait pour le moment deux marchés par semaine. La veille, elle récolte et confectionne les bouquets. Cela ne laisse pas beaucoup de temps pour nettoyer, arroser et prendre soin de ce qui pousse. « Les semaines estivales, je fais bien mes 45 heures, même si j’ai un peu d’aide de ma famille. Je m’en sors parce que j’ai une petite surface. »

De petites fermes de fleurs

« Au sein de l’association des Fermes florales bios (FFB), nous avons toutes des structures de petite taille avec des cultures très diversifiées, remarque Emeline Declerck qui préside cette organisation et qui cultive 8000 m², dont 6000 en plein champ. Cela permet une certaine résilience. Si on se plante d’un côté, cela va marcher de l’autre. Cela fait sept ans que je suis installée et j’ai toujours eu des fleurs à vendre ; et elles sont aussi belles et souvent plus solides et vigoureuses que celles qui arrivent de l’autre bout du monde, ou de l’Europe. »

La petitesse des fermes laisse aussi la possibilité d’intervenir manuellement, ce qui est tout à fait inenvisageable dans de plus grosses exploitations. « Je suis passée enlever les chenilles à la main, c’est possible pour moi de prendre ce temps », rapporte ainsi Isabelle.

Mais en fleurs comme ailleurs, le secret quand on n’utilise pas de pesticides, c’est d’anticiper. « On n’a quasiment pas de solutions curatives pour faire face aux animaux, champignons et bactéries, explique Emeline Declerck. Cela oblige à plus penser en amont à ce qu’on fait et à observer ce qui se passe pour ne pas répéter nos erreurs d’une année sur l’autre. Mais en même temps, c’est tout l’intérêt de notre métier. »
Penser la rotation des fleurs

Choix des variétés les mieux adaptées au milieu, rotation des cultures, enrichissement de l’environnement : elle liste quelques méthodes pour éviter les galères. « Ne pas les replanter au même endroit chaque année permet de casser le cycle des ravageurs et d’en diminuer la pression, détaille Emeline. Comme un maraîcher se casse la tête à ne pas faire revenir trop souvent ses tomates au même endroit, le ou la floricultrice doit également penser la rotation de ses fleurs. L’idéal est souvent un minimum de quatre ans par famille botanique, mais il faut l’avouer c’est souvent compliqué. »

« Produire de la fleur bio en plein champ, cela augmente les difficultés, intervient Sophie Vairon, installée depuis 2019 non loin de Quimper (Finistère). Je dois gérer la pression des lièvres, chevreuils, sangliers et rongeurs sans avoir recours à aucun produit. J’ai de grosses ponctions sur ma production qui m’obligent à surestimer le nombre de plants pour qu’il m’en reste suffisamment à vendre. » Les floricultrices doivent également composer avec les aléas de la météo, a fortiori quand elles font le choix de ne pas cultiver sous serre, comme Sophie. « De ce côté-là, aucune prévision n’est possible et ça peut être dur psychologiquement », juge cette ancienne sportive de haut niveau, également passée par l’animation à l’environnement avant de s’installer, vers 40 ans.

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réquisition de l'épargne et des biens

Le Media en 4-4-2L’État peut-il réquisitionner notre épargne ? Une question d’actualité !

Le Media en 4-4-2 - 05 déc 2024

La question de savoir si l'État peut réquisitionner notre épargne suscite à la fois crainte et scepticisme. Pourtant, cette interrogation est plus pertinente que jamais.

   

Des politiques de tous bords évoquent la nécessité pour les citoyens de participer au redressement de la France, y compris par le biais de leur épargne. Mais qu'en est-il réellement ? Réponses avec Romain Gougeon.

Une dette abyssale

La France n’a plus de budget à l’équilibre depuis les années 70. Cela signifie que pour financer ses besoins annuels, l’État doit emprunter sur les marchés. Ces emprunts servent non seulement à payer les fonctionnaires, entretenir les infrastructures et les hôpitaux, mais aussi à rembourser la dette existante. Cette situation crée un cercle vicieux où chaque année, la dette s’accroît. Aujourd’hui, la dette de l’État s’élève à 3200 milliards d’euros, un montant colossal qui représente neuf fois la dette totale du continent africain.

Les outils juridiques à disposition de l’État

L’État dispose de plusieurs outils juridiques pour ponctionner l’épargne des Français. Parmi eux, l’Avis à Tiers Détenteur (ATD) et le SATD permettent de saisir directement sur les livrets ou les contrats d’assurance vie en cas de non-paiement d’impôts ou d’amendes. La loi Sapin 2, via son article 21 bis, autorise le Haut Conseil de Stabilité Financière (HCSF) à contrôler les retraits et les mouvements des particuliers en cas de perturbation bancaire. Enfin, en situation de crise ou de guerre, l’État peut réquisitionner des biens mobiliers ou immobiliers, comme ce fut le cas durant la Seconde Guerre mondiale.

Une question de transparence et de droit de propriété

La question de la réquisition de l’épargne soulève des interrogations sur la transparence de l’État et le respect du droit de propriété. Bien que certains outils aient été initialement conçus pour régler des dettes fiscales, leur utilisation pour ponctionner l’épargne des citoyens pose des problèmes éthiques et juridiques. L’État doit faire preuve de transparence et garantir que toute réquisition serait accompagnée de contreparties claires, telles que des rendements ou des remboursements à terme. La résilience des citoyens face à des mesures exceptionnelles, comme le confinement de 2020, montre que des scénarios jugés improbables peuvent devenir réalité.

par Yoann

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Zionisme

VoltairenetCe qui change au Moyen-Orient

Voltairenet - 04 déc 2024

La première conséquence des massacres israéliens à Gaza, en Cisjordanie, au Liban, en Syrie, en Iraq et au Yémen n’est pas celle que nous attendions. À ce jour les criminels au pouvoir à Tel-Aviv continuent leur conquête avec les armes qu’on leur donne.

   

La transformation a d’abord été en Israël même et dans la diaspora juive, contraignant les FDI à accepter un cessez-le-feu non-écrit au Liban, tout en bénéficiant de l’aide de Washington pour déplacer les combats en Syrie. Les fronts ukrainiens et libanais ont fusionné et se sont déplacés en Syrie.

Au cours des dernières années, le mouvement israélien pour la paix a été démantelé, une confusion a été entretenue entre antisémitisme et antisionisme, et enfin le narratif du clash des civilisations a été répandu. Ces trois erreurs nous empêchent de voir et de comprendre ce qui se passe au Moyen-Orient.

Le mouvement pour la paix de Nahum Goldmann, président de l’Organisation sioniste mondiale, n’existe plus. Il avait pour objectif de faire d’Israël le centre spirituel et moral de tous les juifs, un État neutre sur le modèle de la Suisse, avec des garanties internationales de sécurité, et une présence internationale symbolique permanente. Goldmann, qui avait dénoncé le procès d’Adolf Eichmann à Jérusalem et non pas par un tribunal international (ce qui a permis aux sionistes révisionnistes de masquer leurs relations avec lui), négocié une coexistence pacifique juste et durable avec le président égyptien Gamal Abdel Nasser et avec celui de l’Organisation de libération de la Palestine, Yasser Arafat, a même été arrêté en Israël.

L’historien Bernard Lewis, qui fut conseiller de Benyamin Netanyahou lorsqu’il était ambassadeur d’Israël à l’ONU, a inventé, en 1957, pour le Conseil de sécurité nationale des États-Unis dont il fut membre, la stratégie du « Choc des civilisations ». Il s’agissait de présenter comme inévitable l’affrontement entre les civilisations occidentale et islamiques, puis chinoise et ainsi de suite afin de justifier les guerres occidentales successives. Son assistant, Samuel Huntington, un ancien collaborateur des services secrets sud-africains de l’apartheid, popularisa cette stratégie, en 1993, en lui donnant l’apparence d’un constat universitaire. Il fut rétribué par la CIA pour ce travail de propagande. Bien que son travail soit un fourre-tout intellectuel qui ne résiste pas à l’analyse, il a pénétré nos esprits. Cette théorie stupide est employée aujourd’hui par Benyamin Netanyahou pour justifier ses guerres sur « sept fronts » à Gaza, en Cisjordanie, au Liban, en Syrie, en Iraq, en Iran et au Yémen. Pourtant le même Netanyahou se faisait photographier, en septembre 2014, au Ziv Medical Center de Zefat en train de rendre visite à 500 officiers d’Al-Qaïda soignés en Israël. Ainsi, il est possible de s’entendre avec des jihadistes lorsqu’ils massacrent des civils en Syrie, mais pas de s’entendre avec des Palestiniens lorsqu’ils réclament un État.

Natan Sharansky, qui fut vice-Premier ministre du général Ariel Sharon, a conçu le narratif selon lequel ce sont les Palestiniens dans leur ensemble et non pas certains dirigeants israéliens qui refusent la paix. Puis, il a inventé que les révolutionnaires iraniens voulaient jeter à la mer tous les juifs israéliens (alors que les juifs vivent paisiblement en Iran et sont représentés au Parlement). Enfin, il a organisé des campagnes médiatiques internationales pour créer une confusion entre « nationalisme », « sionisme » et « sionisme révisionniste », puis pour assimiler « antisémitisme » et « antisionisme » (à ce jeux-là le quotidien israélien Haaretz serait antisémite).
En 2004, Sharansky a écrit avec Ron Dermer, un livre binaire, La cause de la démocratie, pour nous assurer qu’Israël est la seule démocratie du Moyen-Orient. Dermer est devenu ambassadeur d’Israël aux États-Unis (2013-2021), puis ministre des Affaires stratégiques (de 2023 à aujourd’hui), fonction où il organise la lutte contre le mouvement BDS (Boycott, Désinvestissement, Sanctions) dans le monde.
Natan Sharansky poursuit discrètement son travail aujourd’hui, à la fois aux États-Unis et en Ukraine où il est né, via l’Institute for the study of global antisemitism and policy (ISGASP) (Institut pour l’étude de l’antisémitisme et de la politique mondiales). Cette association états-unienne est abondamment financée par le ministère de Ron Dermer. C’est elle, par exemple, qui a organisé les auditions au Congrès des rectrices des grandes universités pour les contraindre à réprimer pour antisémitisme les manifestations contre les massacres à Gaza.

Il va de soi que Bernard Lewis, Samuel Huntington, Natan Sharansky et Ron Dermer ne sont pas des « sionistes », mais des « sionistes révisionnistes ».

Redistribution des cartes au Moyen-Orient
Dans cette ambiance de mensonges généralisés, l’ensemble des positions de chaque communauté au Moyen-Orient est en train de changer. C’est une conséquence de la tentative de conquête par Benyamin Netanyahou du nord de la bande de Gaza et du sud du Liban. Progressivement, tous les acteurs politiques, y compris les juifs israéliens, se sont rendus compte que les opérations militaires israéliennes n’avaient aucun rapport avec les buts annoncés : la libération des otages du Hamas et le retour des Israéliens du nord du pays dans leurs foyers. La coalition Netanyahou poursuit le projet colonial de Vladimir Jabotinsky (1880-1940) : la création d’un empire au Levant, du Nil à l’Euphrate.
Ce projet n’a aucun rapport avec l’antique royaume de Jérusalem, qui ne comprenait que la ville sainte et sa proche banlieue, mais vise à restaurer l’ancien empire assyrien comme le protecteur de Jabotinsky, Benito Mussolini, voulait rétablir l’ancien empire romain.

Répondre au défi d’une nouvelle vague fasciste de conquête du Levant a été le sens aussi bien des paroles du président syrien Bachar el-Assad, lors du sommet conjoint de la Ligue arabe et de l’Organisation de coopération islamique, le 11 novembre à Ryad, que de celles du directeur du quotidien israélien Haaretz, Amos Schocken, à la conférence Israel After October 7th : Allied or Alone ? (Israël après le 7 octobre : avec des alliés ou seul ?), le 27 novembre à Londres.

La totalité des protagonistes s’accorde sur le constat, même si la plupart évitent de faire référence aux liens de Jabotinsky et de ses disciples avec les fascistes et les nazis. Cependant, les Occidentaux refusent encore d’ouvrir les yeux et traitent ce conflit comme s’il n’était pas politique, mais ethnique, comme s’il opposait des juifs à des arabes, voire les juifs aux arabes.

Trois éléments jouent un rôle particulier dans le changement en cours :
• La victoire du jacksonien Donald Trump aux États-Unis sur la coalition straussienne de Kamala Harris. Les premiers entendent substituer les guerres commerciales aux guerres militaires, tandis que les seconds souhaitent provoquer l’Armageddon.
• Les Forces de défense israéliennes (FDI), qui disposent d’une maîtrise incontestable de l’espace aérien de leurs voisins, s’avèrent incapables de la moindre victoire au sol. Elles n’ont pas de discipline et nombreux sont ses hommes qui se comportent comme des voyous. Dans le contexte de la défaite des straussiens aux États-Unis, elles ne disposent plus d’autant d’armes et sont probablement à court de nombre d’entre elles. Enfin, plusieurs de ses unités, qui ont assisté aux crimes de certaines autres, sont désormais au bord de la rébellion.
• La diaspora juive, qui jusqu’à présent soutenait Benyamin Netanyahou sans broncher, parvient enfin à distinguer son soutien aux juifs israéliens des crimes de leur gouvernement. Depuis l’inculpation de Netanyahou par la Cour pénale internationale, le 21 novembre, la solidarité entre juifs, acquise lors des siècles de persécution par les goyim, ne joue plus. Beaucoup de personnalités juives, jusqu’ici taiseuses, se démarquent publiquement des crimes commis sur les « sept fronts » et contre l’ONU.

L’Iran a abandonné la stratégie du général Qassem Soleimani de « l’Axe de la Résistance », selon laquelle Téhéran aide et coordonne l’ensemble des groupes armés indépendants qui luttent contre la colonisation de la région. Il a refusé d’aider le Liban lors de l’invasion israélienne, puis une faction au Pouvoir a transmis à Israël les coordonnées des principaux chefs militaires du Hezbollah afin qu’ils soient assassinés.
Simultanément, Téhéran et Tel-Aviv ont mis en scène leur antagonisme, prétendant l’un et l’autre se tenir prêt pour un combat décisif. Pourtant les deux attaques iraniennes (opération « promesse honnête » du 13 avril et 1° octobre) et les deux israéliennes (des 19 avril et 26 octobre) n’ont presque pas causé de dégâts humains, même si les militaires des deux parties en ont profité pour tester les défenses de l’adversaire. Un accord secret entre Washington, Téhéran et Tel-Aviv est devenu évident.
D’autre part, Téhéran a renoué avec les Kurdes iraquiens. Le président Masoud Pezeshkian s’est rendu, en septembre, en Iraq pour y rencontrer non seulement la tribu Talabani, mais aussi les Barzani (pro-israéliens).

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Thierry Meyssan

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Kaizen - Inoxtag

Revolution 2030 : autre sourceKAIZEN: 1 an pour gravir l'Everest !

Revolution 2030 : autre source - 02 déc 2024

Devenir alpiniste et gravir l’Everest en 1 an, jour pour jour ? C’est mon rêve !

   

Moi, un jeune YouTuber de 21 ans qui ne pratique pas de sport.

Pendant 1 an, vous allez me suivre dans ce documentaire pour découvrir tout mon changement de vie afin d'atteindre ce rêve.

J'espère sincèrement que ce documentaire vous impactera autant qu'il a impacté ma vie.

Kaizen" est une philosophie de progression continue, consistant à s'améliorer chaque jour, pas à pas. Gravir l'Everest, un idéal qui semblait hors de portée mais qu'il a rendu possible en suivant plusieurs étapes. Le premier pas est de rêver, le deuxième est de partager ce rêve avec ses proches, car cela crée une responsabilité et un engagement. Ensuite, il faut se plier à une discipline rigoureuse, essentielle pour surmonter les obstacles et se renforcer mentalement. L'importance de l'entourage est soulignée : on ne réalise pas un grand rêve seul, mais en équipe, en s'entourant de personnes qui apportent des perspectives et des énergies complémentaires. Enfin, Kaizen c'est combattre ses peurs et agir malgré le doute. Chaque rêve est un chemin de progrès constant, où l’important est de devenir meilleur que soi-même, chaque jour.

« J'étais tout le temps dans le speed, dans les tournages, les vidéos, les écrans, et moi je me rends compte. Ca fait trois mois que je suis ici, on est matrixé, on est fou par nos téléphones. Là je suis déconnecté total et le téléphone c'est un poison, c'est une drogue. Alors bien sûr que tu peux être sur ton téléphone, il y a plein de truc cool à faire sur ton téléphone, mais il y a trop de moment où on est passif, à rien faire, à scroller dans le vide, à se rendre bête. Et je me compte dedans parce que je suis comme ça aussi. Imagine si tu prends tout ce temps pour poser ton téléphone et te dire moi aussi je vais faire ! Moi aussi je vais me mettre en mouvement, moi aussi je vais faire des choses... »

Inès - alias Inoxtag

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pour achever d'asservir l'humanité

Prune de PruneL'eau primaire - L'ultime mensonge pour achever d'asservir l'humanité

Prune de Prune - 01 déc 2024

Une e-mission proposée par Prune.

   

Oulàlà, ça en fait des mensonges, hein? Vous croyez qu'on arrivera enfin au bout ?

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Soleil G1 G2

Echelle de JacobAlerte à la tempête solaire G1 pour le sol

Echelle de Jacob - 29 nov 2024

La surveillance G1 a été émise le 28 novembre et une surveillance (modérée) G2 pour le 29 novembre.

   

Et cela en raison de l'arrivée d'une CME associée à une éruption qui a quitté le Soleil fin 25 novembre, a déclaré le Centre de prévision météorologique spatiale de la NOAA lors d'une veille de tempête géomagnétique.

Les prévisions géomagnétiques de la NOAA montrent que les conditions G1 sont attendues demain soir, avec des conditions G2 d'une durée allant jusqu'aux premières heures du vendredi matin.

Les MCC sont d'énormes nuages de plasma solaire expulsés des zones magnétiquement actives de la surface du Soleil, généralement des taches solaires.

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Vladimir Poutine - discours du 21 nov 2024

VoltairenetLa Russie se prépare à répondre à l’Armageddon souhaité par Biden

Voltairenet - 28 nov 2024

La Russie a déployé des milliers de soldats nord-coréens pour défendre sa région de Koursk, attaquée en août par les nationalistes intégraux ukrainiens.

   

Washington considère ce fait comme un développement de la guerre qu’il conduit depuis 1950, malgré un cessez-le-feu, contre les communistes coréens et chinois, plus encore que comme un développement de celle qu’il conduit par Ukrainiens interposés contre la Russie depuis 2022. Il a donc répondu, le 19 novembre, en guidant contre la Russie six missiles ATACMS (Army TACtical Missile System) qu’il avait donné à Kiev. Ils étaient dirigés non seulement contre l’oblast de Koursk, mais aussi contre celui de Briansk où ils ne sont pas parvenus à toucher un dépôt de munitions. Londres a, de son côté, décidé le 21 novembre de guider identiquement les missiles Storm Shadow qu’il a donné à Kiev. La totalité des missiles alliés a été détruite en vol par la défense anti-aérienne russe.

Au contraire, Moscou considère l’attaque de Koursk comme la continuation de la guerre secrète de la CIA en Ukraine et comme celle organisée dans les années 50 contre l’URSS, toutes deux avec l’appui des nationalistes intégraux ukrainiens de Stepan Bandera.

Les Occidentaux ne comprennent pas ces évènements car ils ont
oublié le soutien de Beijing à Pyongyang,
pensent —à tort— que Koursk et Briansk sont en Ukraine
et ignorent la guerre secrète durant laquelle les Anglo-Saxons s’allièrent aux derniers nazis (ce qui a comme conséquence qu’ils n’ont pas compris non plus l’objectif de l’opération militaire spéciale russe en Ukraine).

Les missiles ATACMS peuvent être tirés depuis des lanceurs mobiles HIMARS. Les derniers
modèles ont une portée de 300 kilomètres et volent à une altitude de 50 000 mètres. Les dernières versions des missiles Storm Shadow, quant à eux, ont une portée d’environ 400
kilomètres. Aucun ne peut donc atteindre la Russie en profondeur.

La Russie dispose d’une large gamme de réponses aux attaques alliées
Elle peut, en représailles, soutenir des adversaires des Anglo-Saxons sur un autre théâtre de combat. C’est ce qu’elle avait fait, lors du bombardement d’un de ses gazoducs par Kiev, auquel elle avait répondu en guidant un missile yéménite, le 15 septembre, qui détruisit un oléoduc israélien ; un évènement capital qui a été couvert par la censure militaire israélienne et ignoré par la presse occidentale.
Elle a modifié, le 19 novembre, sa doctrine nucléaire, laissant ouverte l’option d’une réplique nucléaire.
Enfin, elle peut faire usage de sa dominance militaire. L’Ukraine a annoncé que, le 20 novembre, Moscou avait tiré un missile balistique à longue portée (c’est-à-dire pouvant atteindre les États-Unis depuis la Russie), RS-26 Rubezh. Nous savons aujourd’hui qu’il s’agissait d’autre chose.

Sans que nous en ayons conscience, les champs de bataille d’Ukraine et du Moyen-Orient se sont déjà réunis, tandis que les néo-conservateurs états-uniens (les straussiens), les « sionistes révisionnistes » israéliens et les « nationalistes intégraux » ukrainiens se sont à nouveau alliés, comme lors de la Seconde Guerre mondiale. Ces trois groupes, historiquement liés à l’Axe tripatite, sont partisans d’une confrontation finale. Il ne maque à l’appel que les militaristes japonais du nouveau Premier ministre, Shigeru Ishiba.

Immédiatement après le tir de missiles états-uniens ATACMS et avant même celui des Storm Shadow britanniques, le président russe, Vladimir Poutine, a signé un décret promulguant la nouvelle doctrine nucléaire de son pays qu’il avait annoncé le 24 septembre dernier. Elle autorise l’usage des armes atomiques dans cinq nouveaux cas :
1) si des informations fiables sont reçues sur le lancement de missiles balistiques ciblant le territoire de la Russie ou ses alliés.
2) si des armes nucléaires ou d’autres armes de destruction massive frappent le territoire de la
Russie ou de ses alliés, ou sont utilisées pour frapper des unités ou des installations militaires russes à l’étranger.
3) si l’impact d’un ennemi sur le gouvernement ou sur les installations militaires russes sont d’une importance critique susceptible de saper la capacité de frappe nucléaire en représailles.
4) si l’agression contre la Russie ou la Biélorussie avec des armes classiques fait peser une grave menace sur leur souveraineté et leur intégrité territoriale.
5) si des informations fiables sont reçues sur le décollage ou le lancement d’avions stratégiques et tactiques, de missiles de croisière, de drones, de véhicules hypersoniques ou d’autres véhicules volants et de leur franchissement de la frontière russe.

Le 21 novembre, c’est-à-dire après les tirs britanniques, le président russe, Vladimir Poutine, a délivré une allocution télévisée au cours de laquelle, il a révélé que les armées russes avaient détruit un centre militaro-industriel ukrainien, mais n’avaient pas utilisé de missile balistique classique RS-26 Rubezh comme l’avaient annoncé les Ukrainiens. Elles avaient par contre testé une nouvelle génération d’armes hypersoniques, en l’occurrence un missile balistique Oreshnik à portée nucléaire mais chargé conventionnellement. Celui-ci a été lancé depuis Astrakhan (mer Caspienne) sur une usine de satellites à Dnipro. Sa vitesse, supérieure à mach 10, ne permet actuellement à aucune armée au monde de l’intercepter. Il cumule les capacités des anciens missiles Iskander et des nouveaux missiles Kinjal avec encore plus de vitesse et de maniabilité.

Le président Poutine a rappelé que la Russie, sans en avoir l’obligation, continue à respecter le traité FNI dont les États-Unis se sont retirés en 2019. Le Pentagone très en retard d’un point de vue technique, a redéployé déployé des missiles à portée intermédiaire en Europe et en Asie-Pacifique, comme à l’époque de la crise des euromissiles, tandis que la Russie en produit, mais ne les déploie pas. Vladimir Poutine a alors mis en garde les Occidentaux en suggérant aux civils de quitter les zones dangereuses que la Russie pourrait frapper avec des missiles Oreshnik chargés nucléairement.

Il se peut que ce discours ne soit pas suivi d’attaques et que son seul objectif soit de montrer la supériorité militaire russe sur l’Occident, déjà reconnue en juillet par la Commission nationale états-unienne sur la Stratégie de Défense, établie par le Congrès lors de l’adoption de la loi de programmation militaire de 2022. Son seul effet sera alors de booster les ventes d’armes russes.

Quoi qu’il en soit, jamais le monde n’a été aussi proche d’une guerre nucléaire car jamais il n’y a eu plusieurs puissances nucléaires, dont une en net avance technique sur toutes les autres.

Le 22 novembre, le président Poutine a réuni les développeurs des systèmes de missiles et les responsables industriels de l’armement. Il les a félicité pour le succès d’Oreshnik et leur a demandé de le produire en série.

Thierry Meyssan

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5G - mortel !

Profession GendarmeLes animaux meurent à cause de la 5G

Profession Gendarme - 26 nov 2024

D’après cet éleveur le carnage de la 5 G est masqué sous le fallacieux prétexte de FCO (Fièvre catarrhale ovine) qui d’après lui n’a pas cours dans sa région et par dessus le marché d’autres animaux d’élevage mais aussi domestiques (chiens et chats) meurent brusquement depuis août 2024.

   

Il semblerait que le président de la FNSEA l’ai reconnu et que cette fois-ci il a été filmé. Affaire à suivre.

On vous interdit d’enterrer un gros chien mais là on va faire des trous immenses pour cacher le massacre. Là, la nappe phréatique ne risque rien ! Pourquoi n’entend-t-on pas les escrologistes ?

Décidément on veut éliminer les paysans !

vidéo : https://vk.com/video623355650_456240448

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Notre Dame de Paris

GéopolintelLa vérité sur l'attentat de Notre Dame

Géopolintel - 25 nov 2024

L’incendie de Notre-Dame dépasse la simple hypothèse d’un accident fortuit.

   

La société Aubriat, impliquée dans le traitement des poutres de la cathédrale, a appliqué un gel anti-champignons. Le choix de faire intervenir cette société interroge d’autant plus que le logo de l’entreprise présente des similitudes troublantes avec des symboles ésotériques, renforçant les spéculations sur une conspiration. Cette intervention soulève des doutes sur la sécurité des travaux réalisés sur ce patrimoine emblématique, écho aux controverses historiques liées à la restauration des monuments en France.

Le phénomène de la fumée jaune durant l’incendie, attribué par certains au plomb fondu, a nourri des interprétations plus mystiques. Cette couleur inhabituelle a conduit certains à y voir des signes d’influences occultes, évoquant la symbolique associée à la fumée dans des rituels magiques. Notre-Dame, chargée d’histoire et de spiritualité, est souvent associée à des événements au-delà du rationnel, et son aura a longtemps captivé l’imaginaire collectif. Ces éléments renforcent l'idée que des forces symboliques ou culturelles pourraient être à l'œuvre autour de cet événement.

Enfin, les prophéties de Nostradamus, qui auraient annoncé cet incendie avec une étonnante précision, ajoutent une dimension intrigante. Des interprétations lient même certains passages de ses écrits à Emmanuel Macron et son rôle dans la reconstruction de la cathédrale. L’utilisation supposée d’un langage codé dans ses discours évoque des pratiques ésotériques. Ce drame dépasse donc sa réalité matérielle pour devenir un carrefour d’interprétations mêlant histoire, politique et mysticisme, un sujet qui continue de fasciner et d’alimenter les débats.

On analyse ce sujet important avec Ludovic Malot, Marc Daoud, Frigide Barjot, Andrzej Linowiecki et Mike Borowski sur GPTV.

Ludovic Malot, franco-suisse, est économiste et entrepreneur. Il est un expert sur les fondamentaux d’une monnaie saine adossée à l’or et l’argent métal et détaille dans son ouvrage "Le suicide monétaire", le système actuel frauduleux avec ses nombreuses implications notamment politiques, économiques, financières, sociales et environnementales.

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Kennedy sur le fluor

Réseau InternationalKennedy et la fluoration des eaux de boisson

Réseau International - 24 nov 2024

La nomination (envisagée) de Robert Kennedy Junior à un poste élevé de l’administration sanitaire américaine et ses premières déclarations ont suscité des réactions variées mais extraordinairement profitables à la santé des populations concernées, et même ailleurs.

   

Deux déclarations de Kennedy retiennent l’attention : 1) je n’interdirai pas les vaccins ; 2) je vais faire en sorte qu’on cesse de mettre du fluor dans l’eau de boisson.

Sur le premier point – alors qu’il a été présenté comme un antivax hystérique – c’est filou.

Il nous fait comprendre que ce qu’il veut c’est : 1) rétablir la liberté de se vacciner (ou pas) ; 2) injecter un peu de science dans la médecine des vaccins.

Dit autrement, les citoyens doivent être correctement informés et ensuite pouvoir décider eux-mêmes (Vive la Liberté !) s’ils veulent se vacciner (ou vacciner leurs bébés) ou pas.

Qui peut être contre ?

Bien sûr, les bureaucrates de ministères et des sociétés (supposées) savantes vont hurler qu’il faut vacciner tout le monde pour protéger les plus faibles.

C’est une idée stupide et Kennedy permet d’ouvrir le débat, enfin ! On pourra enfin discuter des concepts de «couverture vaccinale» et autres slogans tels «protège-toi pour protéger les autres» dont on a vu l’efficacité pendant la Covid.

Tout cela est un acquis fantastique pour quiconque aime les réalités et veut échapper à la censure.

C’est un gain important pour la santé publique et celle de chaque personne. On peut clarifier. Il était temps !

Sur le deuxième point, c’est magnifique : on analyse enfin les données existantes concernant la toxicité du fluor dans l’eau distribuée aux citoyens américains.

D’abord, je dois me confesser : je n’ai jamais travaillé sur la toxicité du fluor et j’ignorais que du fluor était administré aux américains (y compris les bébés) via les eaux de boisson.

Plus précisément, je savais que nos vallées alpines avaient été massivement polluées par le fluor utilisé dans l’industrie de l’aluminium mais je pensais l’affaire «classée».

À la suite de Kennedy déclarant la guerre aux eaux fluorées – fluoration supposément destinée à protéger contre les caries dentaires de nos chérubins – j’ai entrepris un travail d’analyse des données existantes sur le sujet ; c’est mon sport favori !

Quelle ne fut pas ma surprise !

Première constatation : si la fréquence des caries chez les enfants s’est effondrée au cours des dernières décennies, il est peu probable que ce soit dû à la fluoration des eaux.

Pourquoi suis-je affirmatif ? Parce que la même chute des caries a été observée dans les pays qui fluorent leurs eaux et ceux qui ne fluorent pas. Facile à vérifier, je copie deux graphiques extraits d’une publication de l’Université Harvard à Boston : https://www.hsph.harvard.edu/fluoridated-drinking-water

Les anglophones disent «cavitiy rates» pour fréquence des caries dentaires.

[...]

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Stratpol : bulletin n°213

StratpolMoscou ne répond plus, frappe balistique noisette, Bunker Barrot

Stratpol - 23 nov 2024

STRATPOL : Bulletin n° 213 de Xavier Moreau

   

00:00 – Géopolitique profonde numéro spécial Trump :
• Mariani blanchi
• Soutien aux paysans
• Anniversaire du Maïdan

04:29– Économie :
• Raffinage russe
• Russie : exportateur de gaz numéro 1 en Europe
• Tupolev 214 : premier vol

10:08 – Politico-diplomatique :
• ATACMS & STORMSHADOW vs NOISETTE balistique
• Scholz appelle Poutine. Macron cherche des amis
• Sommet du G20 sans Zelensky. La poignée de main. Lavrov : recherche de contacts.
• Visite de Xi à Lima au Pérou
• Venezuela : Gonzalez reconnu par Blinken
• Attaque en mer Baltique
• Sénégal : victoire du Pastef

31:33 – Empire du mensonge :
• Moment bunker : Jean-Noël Barrot

34:00 – Armement :
• Mines anti-personnelles US vs civils ukrainiens

34:52 – Carte des opérations militaires

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industrie de la musique

Revolution 2030 : autre sourceLes Pratiques inavouables de l'industrie musicale

Revolution 2030 : autre source - 22 nov 2024

Taylor Swift cristallise les pratiques de l'industrie du live aujourd'hui.

   

Spectacle sous contrôle. Shows millimétrés et mélodies nivelées.