Le meilleur indice de la crédibilité des déclarations militaristes de Macron est encore de faire un point sur l’état de l’armée française.
Malgré un budget de la Défense de 50,5 milliards d’euros en 2025 (+7% par rapport à 2024), l’inventaire à la Prévert des difficultés de l’armée française est impressionnant. Une grande partie du matériel est en voie d’obsolescence, y compris les chars Leclerc. La flotte de la Marine nationale est insuffisante, avec des retards dans le programme des frégates de nouvelle génération FDI. L'armée de l’Air voit ses chasseurs Rafale et hélicoptères Tigre souvent cloués au sol faute de pièces détachées ou de budgets de maintenance. Les programmes de modernisation (MGCS, SCAF) sont tous en retard faute de financement.
En plus de manquer de moyens, l’armée manque d’hommes et de compétences. D’après les chiffres du ministère de la Défense, ce sont environs 10 000 personnes qui manqueraient par rapport aux objectifs. Un personnel difficile à fidéliser, avec un taux de départ en hausse constante de 6%. En cause, d’après plusieurs «Rapports annuels sur l'état de la condition militaire» de ces dernières années, la qualité des recrues. Beaucoup s’engagent faute de trouver un emploi ailleurs dans un pays en crise. Cela amène un manque de motivation, mais aussi des problèmes de plus en plus fréquents de discipline, voire de drogue et d’alcool dans certaines unités. S’ajoute encore un niveau d'éducation des recrues en baisse, en particulier dans les unités non spécialisées, rendant parfois compliquée l’utilisation du matériel de plus en plus sophistiqué ou la simple compréhension des tâches à accomplir.
Il y a bien entendu chez Macron le côté pathologique, l’homme qui aime se déguiser en militaire, se mettre en scène en chef suprême des armées, se fantasmer en leader de l’Europe… mais cette réalité, qu’il ne peut ignorer tant elle est rapportée officiellement, nous amène à chercher d’autres explications.
On le sait, la situation économique de la France est catastrophique : 3 300 milliards d’euros de dette et l’agence Standard & Poor’s qui fait passer de «stable» à «négative» la note de la France, l’étape suivante étant la perte du AA, et donc une augmentation drastique du taux d’emprunt, vital pour un pays qui vit à crédit. Il y a donc un besoin urgent d’injecter de l’argent frais pour créer de la croissance, notamment via le secteur économique de la Défense, et pour cela de toucher au dernier trésor intact disponible : les 6 000 milliards d'euros (chiffres 2025 de la Banque de France) de l’épargne des Français.
La piste de François Bayrou d’un emprunt national pour la Défense est peu crédible. Avec un rendement plus faible qu’un placement classique, on voit mal les masses s’y précipiter.
Autre solution envisagée, la création d’un livret d’épargne spécifique, affecté à la Défense, voire d’une réorientation de l’utilisation des fonds des livrets réglementés. La propagande médiatique est déjà subtilement en marche pour faire accepter cette évolution aux Français.
Mais qui peut croire que ces solutions seront suffisantes, au vu de l’état actuel de l’armée française et des sommes nécessaires, ne serait-ce que pour la remettre à flot ? Sans parler d’un engagement dans un conflit de haute intensité. La mise sous stress de la population par une menace de guerre imaginaire vise davantage à lui faire accepter cette première étape de l’utilisation de son épargne par l’État, et surtout à façonner l’opinion publique pour aller éventuellement plus loin. C’est ce que l’on appelle le déplacement de la fenêtre d’Overton.
Il faut alors se souvenir que pour répondre à la crise financière, à Chypre en 2013, les dépôts excédant 100 000 € ont subi une ponction allant jusqu’à 60% pour sauver le système bancaire. Un mécanisme ensuite transcrit dans la directive européenne BRRD de 2014 et dans le droit français en 2016. Cela a donc déjà existé.
Il est alors parfaitement possible d’envisager, une fois l’opinion bien préparée, la mise en place de mécanismes similaires, à destination de l’épargne, sous prétexte d’une guerre fantasmée, pour essayer de remettre à flot une barque européenne et française en train de couler. Ce n’est pas vraiment la guerre qu’ils veulent, ils n’en ont pas les moyens, c’est de l’utiliser comme prétexte pour se servir dans l’argent des épargnants. Mieux vaut être prévenu et prendre des dispositions dès maintenant pour faire échouer leurs plans.
Les dirigeants européens assument un air stupide en assurant persister à soutenir les nationalistes intégraux ukrainiens alors que Washington et Moscou sont déjà convenus d’un accord de paix. Cependant, il est possible que les sommets diplomatiques cachent un autre enjeu : la prévention d’une crise économique majeure en Occident. Dans ce cas, Washington doit terroriser ses alliés pour les contraindre à éponger ses dettes.
a dédollarisation, c’est-à-dire le fait de n’utiliser le dollar qu’au plan national états-unien et non plus dans les échanges internationaux, est le serpent de mer de la finance. Cependant suite aux mesures coercitives unilatérales que les États-Unis ont imposées à leurs alliés, d’abord contre l’Iran, puis contre la Russie (mesures abusivement qualifiées de « sanctions » par la propagande atlantique), la Russie a créé un Système de transfert de messages financiers (SPFS), la Chine le système de paiement interbancaire (CIPS) et l’Union européenne l’Instrument européen d’appui aux échanges commerciaux (INSTEX). Il s’ensuit que l’usage du dollar a reculé d’environ un quart dans les échanges internationaux.
Or, la dette publique des USA atteint aujourd’hui la somme astronomique de 34 000 milliards de dollars, dont seulement un tiers est détenu par des investisseurs étrangers, selon Forbes [1]. Si certains créanciers des États-Unis, principalement la Chine et l’Arabie saoudite, demandaient à être remboursés, une gigantesque crise économique surviendrait comme en 1929.
De nombreux économistes mettent régulièrement en garde face à cette perspective. Cependant, selon Jon Hartley de la Hoover Institution, les banques centrales n’ont pas réduit la part du dollar dans leurs réserves de devises depuis la guerre en Ukraine. Pourtant, le 20 février, une visioconférence de l’analyste Jim Bianco, reprise par l’agence Bloomberg [2], a relancé les inquiétudes. Selon cet analyste, l’administration Trump suit un plan, « l’Accord Mar-a-Lago ». Elle entend restructurer radicalement la charge de la dette des USA en réorganisant le commerce mondial via les droits de douane, en dévaluant le dollar et, en fin de compte, en réduisant le coût des emprunts, le tout dans le but de placer l’industrie états-unienne sur un pied d’égalité avec celle de ses concurrents dans le reste du monde.
L’idée de « l’accord de Mar-a-Lago » renvoie à un article de Stephen Miran du Manhattan Institute [3] ; or Miran a été désigné par le président Trump pour présider le Conseil des conseillers économiques (CEA) de la Maison-Blanche et lui-même, Donald Trump, a prononcé, le 22 janvier à Davos, un discours lors du Forum économique mondial qui semble aller en ce sens.
L’expression « accord de Mar-a-Lago » fait référence à « l’accord du Plaza » lorsque, en 1985, les États-Unis mirent en œuvre une politique d’affaiblissement de leur monnaie afin de relancer leurs exportations. Dans la pratique, les mécanismes financiers ayant mal été maîtrisés, l’économie des États-Unis redémarra en provoquant une très grave récession au Japon.
Les 21 et 22 janvier, Donald Trump avait réuni les banquiers centraux et ministres des Finances du G7 dans sa résidence de Mar-a-Lago. Il les aurait accueillis en leur disant : « Personne ne sortira de cette pièce tant que nous n’aurons pas trouvé d’accord sur le dollar. » [4]. L’accord en question aurait donc été approuvé par les alliés.
L’idée principale serait que le Trésor US émette des obligations d’État qui ne paient pas d’intérêts (ce que l’on appelle des « coupons zéro ») et qui n’arriveraient pas à maturité avant un siècle (c’est-à-dire qui ne pourraient pas être échangés contre de l’argent liquide avant 100 ans). Washington devrait donc forcer ses alliés à convertir leurs créances en « coupons zéro ».
Si nous acceptons cette analyse, nous devons réinterpréter diverses actions du président Trump, en matière de droits de douane ou lors de la création d’un fond souverain. Elles ne paraissent plus aussi erratiques que le décrit la presse internationale, mais au contraire très logiques.
Nous devons donc envisager que Donald Trump tente de gérer le possible effondrement économique de « l’empire américain » de Joe Biden comme Iouri Andropov, Konstantin Tchernenko et Mikhaïl Gorbatchev ont tenté de gérer celui de « l’empire soviétique » de Léonid Brejnev.
Je suis d’autant attentif à cette hypothèse que, selon moi, le coup d’État du 11 septembre 2001 n’avait d’autre but que de repousser l’effondrement prévisible de « l’empire américain ». Les deux dernières décennies n’ont été qu’un sursis qui, loin de résoudre le problème, ne l’ont rendu que beaucoup plus complexe.
Souvenons-nous : en 1989, le Russe Mikhaïl Gorbatchev, premier secrétaire du parti communiste de l’Union soviétique, décide de réduire les dépenses de l’État. Il arrête brutalement l’aide aux alliés de l’URSS et rend à chacun sa liberté. Simultanément, les Allemands de l’Est renversent le Mur de Berlin, tandis que les Polonais élisent des membres de Solidarność à la diète et au sénat. C’est la fin de l’impérialisme de l’Ukrainien Léonid Brejnev qui, en 1968, avait imposé à tous les alliés de l’URSS d’adopter, de défendre et de préserver le modèle économique de Moscou.
C’est probablement ce à quoi nous assistons aujourd’hui : Donald Trump, président des États-Unis, dissout « l’empire américain » comme il avait tenté de le défaire en 2017 [5]. Le 28 juillet 2017, il avait réorganisé le Conseil national de sécurité en liquidant les sièges permanents du directeur de la CIA et du président du Comité des chefs d’états-majors. Il s’ensuivit trois semaines de guerre à Washington et, en définitive, la démission du Conseiller national de sécurité, le général Michael T. Flynn. Ce dernier, qui a disparu des radars, est en réalité aujourd’hui toujours actif et organise des réunions à Mar-a-Lago pour les opposants des pays alliés.
Cette fois, prudemment, le président Trump endort son opinion publique en évoquant l’annexion de tout le plateau continental nord-américain, du Groenland au canal de Panama, tout en liquidant la guerre en Ukraine et l’Union européenne.
Si mon hypothèse est juste, nous ne devons pas croire un mot des menaces d’annexion de nouveaux territoires, comme le Canada, et ne pas imaginer que les États-Unis se retirent militairement d’Europe pour se confronter avec la Chine, mais admettre qu’ils abandonnent militairement leurs alliés européens. Nous constatons qu’ils lâchent l’Allemagne et s’en remettent à la Pologne pour organiser l’Europe centrale, fusse en laissant Varsovie annexer la Galicie orientale (actuellement ukrainienne). Identiquement, nous devons nous préparer à voir les États-Unis abandonner leurs alliés moyen-orientaux, à l’exception d’Israël. Effectivement, ils viennent de reprendre les livraisons d’armes à Tel-Aviv et de débuter des pourparlers secrets avec l’Iran via Moscou. Ils laissent l’Arabie saoudite et la Türkiye se partager le monde arabe.
La concurrence que se livrent Paris et Londres pour prendre la tête de la défense européenne ne doit donc pas être comprise comme une opposition à la paix en Ukraine. Ni les armées françaises, ni les britanniques, n’ont d’ailleurs la possibilité de se substituer au soutien militaire de Washington. Il s’agit plutôt de déterminer le rôle que les deux capitales joueront par la suite dans le continent. Emmanuel Macron, président français, espère développer son concept de défense autour de la force de frappe française, tandis que Keir Starmer, Premier ministre britannique, entend tirer la situation à son profit. Le premier est conscient que l’Union européenne, autour de l’Allemagne, se délite et que le président Trump lui préfère « l’Initiative des trois mers », autour de la Pologne. Il pourrait donc réveiller le Triangle de Weimar (Allemagne/France/Pologne) pour conserver une marge de manœuvre. Tandis, qu’à partir de la même analyse et compte-tenu de l’effacement de l’OTAN, le second veillera à maintenir l’Allemagne le plus éloigné possible de la Russie, poursuivant ainsi la politique étrangère de son pays depuis un siècle et demi.
Notez bien que si les alliés européens, les Chinois et les Saoudiens devraient considérer comme une escroquerie d’échanger leurs créances contre des « coupons zéro », la Russie devrait au contraire soutenir les États-Unis dans cette manœuvre. En effet, lors du démantèlement de l’Union soviétique, la Russie traversa une décennie de récession et de troubles, or, aujourd’hui, elle a besoin des États-Unis pour ne pas se trouver en tête-à-tête avec la Chine.
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Poutine a officiellement averti l’Occident à quoi ressemblerait une guerre avec la Russie.
Vous trouverez ci-dessous le texte traduit automatiquement du discours du président Poutine.
«Chers collègues, médias, journalistes et invités.
Bonjour !
Aujourd’hui, de nouveau, dans l’Union européenne et les États membres de l’OTAN, des appels à une «guerre contre la Russie» se font entendre.
Aujourd’hui, malheureusement ou non, nous pouvons dire à nouveau que l’histoire se répète toujours. Toujours !
Les opinions de nos collègues de l’Europe et de l’OTAN sur la Russie ne changent jamais ; ils sont toujours prêts à détruire la Russie, tout ce qui est russe, et prêts à occuper la Russie ; leur objectif ne change jamais.
La haine contre la Russie est toujours restée dans les veines de certains de nos collègues et des pays qui dirigent l’UE et l’OTAN.
Chers collègues, Aujourd’hui, nous entendons à nouveau que la Russie est un agresseur, et la vérité est que la Russie n’a jamais été un agresseur et s’est toujours défendue tout au long de l’histoire.
C’est un fait !
Chers collègues de l’Europe et de l’OTAN, la Russie ne commence jamais de guerre ; la Russie arrête toujours les guerres. Vous commencez des guerres, et le but est toujours de détruire la Russie.
La Russie n’a jamais menacé les pays, n’a jamais menacé la sécurité du monde, mais nous aimons dire : «Le serpent mord le plus quand il meurt».
Vous avez créé le fascisme, toujours partout, et en Ukraine, les guerres sont votre travail, et la Russie défendra toujours son pays et son peuple. Peu importe ce que cela coûte, peu importe les pertes que nous subissons, nous avons toujours défendu notre pays et son peuple, nous continuerons toujours à le faire.
Comme vous le savez, nous avons prouvé à maintes reprises dans notre histoire que nous sommes un pays courageux.
Et aujourd’hui, vous criez à nouveau : «Victoire sur la Russie».
Chers collègues, je vous assure que la Russie ne tombera pas, elle peut être déchirée, mais jamais détruite.
Si un pays de l’OTAN ou de l’UE déclare la guerre à la Russie, tout le monde doit savoir que notre réaction sera rapide comme l’éclair, et si nous sentons une menace pour nous, notre réaction sera destructrice.
Aujourd’hui, la Russie dispose de toutes sortes d’armes dans l’histoire actuelle du monde, je le souligne. (J’ajoute : vous n’en avez aucune idée.)
Vous n’avez rien vu de la Russie et de ses possibilités en Ukraine, car l’Ukraine est notre pays historique, et il y a des Russes en Ukraine, et nous les sauvons, et ce n’est pas une guerre mais une opération militaire. (C’est vrai)
D’un autre côté, ce ne sera pas comme en Ukraine ; Voilà ce que vous devez savoir.
Quant à savoir si nous sommes prêts à négocier la paix, nous l’avons toujours été, mais personne ne voulait négocier avec nous.
Bien sûr, la Russie n’a pas d’amis parmi les dirigeants de l’OTAN et de l’Europe, car la Russie est un pays puissant et immense, ce que vos collègues de l’OTAN et de l’Europe ne veulent pas.
Mais acceptez-le !
Peu importe combien vous répétez qu’un jour la Russie sera vaincue… Je crois en Dieu, et Dieu est avec nous. Le monde peut finir plus tôt, mais la Russie ne tombera pas.
Nous n’avons pas besoin d’un monde sans Russie.
Contrairement à vous, je sais très bien ce que sont un pays et un peuple, et c’est pourquoi je me battrai toujours pour mon pays et mon peuple.
Êtes-vous prêt à accepter cela, comme vous le souhaitez ? Êtes-vous prêt à déclencher une nouvelle guerre contre la Russie ? Mais nous sommes également prêts.
Et la guerre d’aujourd’hui contre la Russie serait une apocalypse absolue.
Je conseille à nos collègues d’Europe et de l’OTAN d’œuvrer pour le bien du monde, et non pour sa destruction.
Merci !»
Vladimir Poutine
Elle met en lumière les défis psychologiques actuels et offre des pistes pour naviguer dans cette période tumultueuse.
Marie Estelle Dupont souligne l’importance de reconnaître les dynamiques familiales toxiques qui se reflètent à l’échelle sociétale. Elle met en garde contre les mécanismes pervers tels que l’isolement, la culpabilisation et les injonctions paradoxales qui affectent particulièrement les enfants. En s’appuyant sur son expérience personnelle et professionnelle, elle insiste sur la nécessité de créer des espaces de sécurité émotionnelle et de cultiver des relations authentiques pour contrer les effets délétères de notre environnement actuel.
par le Dr Vernon Coleman
L’électricité est certainement plus dangereuse que vous ne le pensez. Si vous passez la plupart de votre temps à travailler avec ou à proximité d’un appareil électrique, si vous vivez ou travaillez à proximité d’une ligne d’alimentation électrique ou si vous passez vos journées à travailler avec des équipements électriques, les risques que vous développiez un cancer d’une sorte ou d’une autre augmentent considérablement.
En Amérique, où les gens ne votent avec leur portefeuille que lorsqu’ils croient vraiment à quelque chose, les prix des maisons situées à proximité des lignes de distribution d’électricité ont chuté d’un quart. Le doyen d’une école de santé publique a déclaré à propos de l’électricité que : «La situation actuelle est comparable à la corrélation entre le tabagisme et le cancer du poumon il y a 30 ans». Il a ajouté que, selon une estimation prudente, un tiers de tous les cancers infantiles sont causés par les champs électriques.
Une étude portant sur près de 500 enfants a montré que les enfants dont les mères utilisaient des couvertures électriques pendant leur grossesse avaient deux fois et demie plus de risques de développer des tumeurs cérébrales. Une étude portant sur près de 700 enfants a montré que les enfants qui vivaient dans des maisons situées à proximité de lignes de distribution d’électricité avaient deux ou trois fois plus de risques de mourir d’une leucémie ou d’une tumeur cérébrale. Des recherches menées dans une université américaine ont montré que les hommes qui travaillent comme électriciens ou ingénieurs en électricité sont dix fois plus susceptibles de développer certains types de tumeurs cérébrales. Des experts ont constaté que les employés d’une compagnie de téléphone qui travaillaient à proximité de lignes électriques avaient sept fois plus de risques de développer une leucémie. Et ainsi de suite.
En attendant, que pouvez-vous faire pour réduire vos risques – et ceux des membres de votre famille – d’être tué par des champs électriques ?
Voici quelques conseils simples.
N’installez pas de radios, répondeurs, horloges ou autres appareils électriques alimentés par le secteur à proximité de vous – sur votre bureau, dans la cuisine ou près de votre lit. Les appareils à piles sont probablement plus sûrs.
Ne vous asseyez pas à moins de deux pieds et demi ou trois pieds des côtés avant ou arrière d’un terminal d’affichage visuel d’un ordinateur ou d’un traitement de texte. Si vous êtes enceinte, essayez de vous tenir complètement à l’écart des terminaux à écran de visualisation. Une étude portant sur plus de 1500 femmes a montré que les femmes enceintes qui passent plus de 20 heures par semaine à travailler sur de tels terminaux ont beaucoup plus de chances de faire une fausse couche. Si l’école de votre enfant se trouve à moins de 150 mètres d’une ligne électrique importante, demandez aux autorités de tester les champs électriques dans les salles de classe, les cours de récréation et les terrains de sport.
Ne vous asseyez pas (et ne laissez pas vos enfants s’asseoir) à moins d’un mètre de votre téléviseur lorsqu’il est allumé. Les téléviseurs produisent des champs électriques potentiellement dangereux qui sont d’autant plus forts que l’on s’en rapproche.
Débranchez les couvertures électriques avant de vous mettre au lit.
Ne vous asseyez pas ou ne restez pas debout devant les appareils ménagers tels que les fours à micro-ondes lorsqu’ils sont allumés.
Essayez de ne pas vivre dans une maison située à moins de 150 mètres d’une grande ligne de distribution d’électricité. Je pense que cela est particulièrement important si vous avez des enfants en bas âge ou si vous êtes enceinte.
Ce qui précède est extrait du livre « What doctors won’t tell you about chemotherapy » (Ce que les médecins ne vous diront pas au sujet de la chimiothérapie) de Vernon Coleman.
Nous avons suggéré qu’une grande partie de ce programme était financée par nos propres impôts, tout en utilisant les institutions gouvernementales et les ONG comme vecteurs d’ingénierie sociale.
Au cours des 20 années qui se sont écoulées depuis que j’ai commencé à travailler dans le mouvement pour la liberté (ou mouvement patriote), j’ai été témoin d’une corruption inimaginable, qui a culminé en 2020-2023, lorsque nombre d’entre nous se sont battus contre l’imposition d’une tyrannie médicale totale et d’un endoctrinement de masse wokiste. Même après cette période orwellienne saisissante, on nous traitait encore de conspirationnistes, mais la prise de conscience du public évolue rapidement.
J’en ai vu assez pour savoir que ce qui se passe aujourd’hui est vraiment sans précédent. Nous sommes à la croisée des chemins, à une époque où la réalité n’est plus rejetée au nom du confort collectif et où la « conspiration » devient un fait historique. C’est une période passionnante, mais aussi potentiellement dangereuse.
J’ai toujours pensé qu’une fois que le château de cartes s’écroulerait et que la vérité serait révélée au grand public, un grand nombre de sceptiques qui nous traitaient de « fous marginaux » et de « chapeliers en fer-blanc » prétendraient soudain qu’ils « l’avaient vu venir depuis le début ». Oui, les théoriciens du complot avaient raison, à propos de TOUT. La vérité éclate au grand jour, mais qu’est-ce que cela signifie pour l’avenir ?
L’Amérique peut-elle supporter la vérité ?
Le récent démantèlement de l’USAID et les enquêtes ouvertes sur de nombreuses agences fédérales ont ouvert une boîte de Pandore ; les financements occultes dans lesquels ces institutions sont impliquées (y compris des millions de dollars versés à divers médias et plateformes de propagande) ne sont, à mon avis, que la partie émergée d’un énorme iceberg qui pourrait très bien faire couler le système américain plus vite que le Titanic.
Le DOGE d’Elon Musk commence à peine à s’aventurer dans les eaux sombres du Trésor, de Medicaid, de la sécurité sociale et du département de la défense. Nous savons tous que des monstres horribles se cachent dans ces profondeurs. Cela ne prend même pas en compte les activités cachées des contrôleurs de la Réserve fédérale.
Les médias de l’establishment affirment que l’USAID ne représente que 1 % du budget fédéral total, comme si cela rendait le gaspillage budgétaire acceptable. Mais s’il y a autant de mauvaise gestion et d’abus dans une petite organisation comme l’USAID, imaginez l’ampleur de la fraude dans le reste du gouvernement fédéral ? .
Au fil des ans, nombre d’entre nous, spécialistes de l’économie alternative, se sont demandé si notre pays serait capable de faire face à la révélation que presque tout dans notre système est faux. La moitié du pays s’en doutait, mais que se passerait-il si nous avions des preuves tangibles – un pistolet fumant ?
L’USAID est ce pistolet fumant, la preuve de la mort, mais ce n’est qu’un des nombreux cadavres enterrés qui sont sur le point d’être découverts. Les vraies révélations viendront lorsque le DOGE découvrira à quel point la politique américaine est dirigée et contrôlée par des entités situées à l’EXTÉRIEUR de notre propre pays.
Que se passera-t-il lorsqu’elle enquêtera sur les nombreux réseaux financiers et politiques liés au FEM, au DAVOS, à la Banque mondiale, au FMI, à la BRI et aux groupes de réflexion internationaux tels que le CFR, Tavistock, l’Atlantic Council, la Fondation Ford, la Fondation Rockefeller et l’Open Society Foundations ? Qu’en est-il de l’influence des investissements de Black Rock, Vanguard, Goldman Sachs, JP Morgan, etc.
Lorsque la main des mondialistes derrière la porte tournante de l’argent sera révélée, lorsque le gouvernement de l’ombre deviendra un fait concret et indéniable, le public va-t-il s’affoler ?
La gauche politique est un ennemi de la liberté et de la moralité, oui, mais le plus grand problème est qu’elle est un outil utile pour des intérêts élitistes plus puissants. Il s’agit d’un cartel, d’une oligarchie qui travaille ensemble pour faire tomber l’Occident de l’intérieur et le remplacer par quelque chose de nouveau. Une nouvelle idéologie et une nouvelle économie qui transformeraient effectivement la majorité de la population en serfs involontaires.
Il y a seulement quatre ans, le FEM se vantait de l’avènement de la « 4e révolution industrielle », de la montée de la « société sans argent liquide », de la « ville du quart d’heure » et de l' »économie du partage« . Et, comme nous le savons maintenant, nombre de ces projets ont été financés avec l’argent de nos impôts. Les mondialistes étaient tellement convaincus qu’ils tenaient la population à bout de bras. Ils pensaient avoir gagné.
Ce n’est que grâce aux efforts inlassables des militants du mouvement pour la liberté et des conservateurs du monde entier que le plan a été perturbé et que les mondialistes ont dû battre en retraite. Cependant, le combat est loin d’être terminé. Certains problèmes importants doivent être résolus alors que nous entrons dans l’ère de la transparence. Voici ce qui va probablement se passer ensuite…
Sabotage enragé de la part de la gauche politique
Le gouvernement fait effectivement l’objet d’un audit par l’administration Trump, et les démocrates sont enragés. Pourquoi ? Parce qu’ils (et une poignée de Néo-Cons) savent très bien ce que cet audit va trouver. Les juges activistes et les politiciens progressistes vont faire obstruction et interférer avec le processus autant qu’ils le peuvent. L’ensemble de leur structure de pouvoir dépend du détournement régulier de l’argent des contribuables et de l’utilisation constante de la presse à billets.
Pour ceux qui ne comprennent pas ce qui se passe avec l’USAID, je suggère qu’ils fassent des recherches sur les programmes ESG et ce qu’ils font. L’USAID était essentiellement un véhicule pour l’ESG mondial (Environnement, Social, Gouvernance ; un acronyme vide de sens conçu pour cacher un programme de socialisme mondial) et elle dépensait des sommes incroyables pour répandre la propagande wokiste dans toutes les facettes de notre société.
Les actions en justice des gauchistes ne changeront pas grand-chose à long terme, mais ils essaieront tout de même de retarder les choses. Ces retards serviront à gagner du temps pour les médias. Ils s’efforcent de présenter le DOGE comme une sorte d’entité totalitaire « détruisant la démocratie », alors que les autoritaires n’ont jamais recherché et ne rechercheront jamais la transparence gouvernementale ; ce n’est pas le cas. Les autoritaires recherchent TOUJOURS l’obscurité et le secret occulte autour de leurs activités. Les gauchistes, par leurs propres actions, se révèlent être les véritables totalitaires.
Les démocrates et les ONG de l’establishment continueront d’essayer de fomenter des troubles civils et utiliseront les wokistes comme chair à canon dans ce combat. Tout est bon pour détourner l’attention du public des preuves de leur criminalité. Il faut s’attendre à des actes de violence et de terrorisme.
Le ralentissement économique est inévitable – Trump sera blâmé
Les grandes coupes budgétaires sont essentielles pour sauver l’économie à long terme, mais elles sont aussi une arme à double tranchant à court terme. Par exemple, les statistiques du PIB américain reposent en grande partie sur les dépenses publiques dans leurs calculs (elles ne devraient pas, mais elles le font). Les dépenses publiques représentent environ 36 % du PIB de notre pays. Il s’agit d’une méthodologie utilisée au cours des dernières décennies pour donner l’impression que notre santé économique est plus solide qu’elle ne l’est en réalité.
Lorsque Trump procédera à des coupes sombres dans les dépenses publiques, il donnera l’impression que le PIB est en train de chuter. Les gauchistes prétendront que les politiques de Trump font s’effondrer le système financier.
En outre, je préviens depuis un certain temps que l’administration Biden s’est livrée à une manipulation complexe des données. Maintenant que Biden est parti, les vraies données sortent déjà et elles ne sont pas bonnes. Les chiffres de l’inflation et de l’emploi de l’ère Biden sont « ajustés », comme je l’avais prédit, et révèlent une économie bien plus faible que ce qui avait été initialement annoncé. Les statistiques du commerce de détail et le PIB suivront.
Le public américain aura besoin d’un cours accéléré sur le fonctionnement de l’économie et sur les responsables de la récession, sinon les médias gauchistes s’en donneront à cœur joie avec les statistiques révisées.
Le monde de l’investissement peut-il supporter la vérité ?
Lorsque le niveau de fraude au sein du système américain sera pleinement révélé, le monde de l’investissement paniquera-t-il ? Retireront-ils leur argent des marchés américains qui ont longtemps été soutenus artificiellement par des fonds publics et l’intervention des banques centrales ? Ce sont des questions valables que nous devons examiner. Quoi qu’il en soit, la vérité doit éclater au grand jour ; rien ne peut être réparé tant que la source de la pourriture n’est pas découverte. Cela dit, l’Amérique vit depuis longtemps selon le mantra « l’ignorance est une bénédiction ».
[...]
N’écoutez plus les médisances, même en mal et en colère, leur unique but reste de monopoliser l’attention du maximum d’humains à… n’importe quel prix. Ainsi, ne dites plus «élites ou zélites», avec un léger rictus de dénégation qui signifie «ils ne sont surtout pas une élite» – dites-le directement qu’ils ne sont que la lie de la société. Celle qui ne la mérite surtout pas. Des imposteurs très anti-élites. Société qui «a même le droit de se défendre» (oui contre eux, eux qui le réclamaient frauduleusement partout). Défendons-nous à fond tout de suite !
N‘en avez-vous pas assez que trop d’infos (sic) ne concernent que cette nuisible association de malfaiteurs ? Et pas les milliards d’humains (rendus silencieux, sans cesse on leur coupe le micro !), que vous ne voudriez donc jamais rencontrez alors ? Pourquoi n’en parlez- vous jamais de ces milliards d’humains rendus silencieux ? Vu qu’ils restent l’immense majorité ? C’est trahison déjà de quoi de les «passer sous silence» ? Pensez-vous qu’ils n’ont pas le droit à la parole ? Et au nom de quoi alors ? Rien ne vous oblige à persister dans ces trop dénis du réel !
Vous paraissez ne transmettre qu’aucune information pour tous nous libérer de cette caste si malfaisante et qui hait au plus haut point l’Humanité. Alors que rien ne vous y oblige ! Voilà. Ne les relayez jamais. Que tous leurs mensonges tombent à l’eau. Parlez d’eux le moins possible. Leurs mots ne sont symptômes que de leurs graves maladies : ils ne nous servent en rien. Transmettez – à la place – surtout les messages de libérations. Transmettez surtout ces milliards d’humains qui furent rendus silencieux.
1. Il y a tant d’autres manières de présenter… les faits et d’avancer de vraies explications
• Bernard Arnault aux U.S.A. aurait 1,1 milliard d’impôts sur le revenu à payer, pour 3 milliards de reçus.
Vous ne le saviez pas ?
Oui si nos trop milliardaires partaient vivre aux États-Unis, pays pourtant peu réputé aujourd’hui pour leur fiscalité excessive, ils paieraient bien… davantage d’impôts (alors que sur les plateaux télés ils vantent le système états-unien ! Mais surtout sans vouloir y vivre !!!).
Voici pourquoi :
En 2024, Bernard Arnault a touché environ 3 milliards d’euros de dividendes de LVMH. Ceux-ci n’ont pas été soumis à la Flat Tax (30% de taxation) car ils vont à sa «holding familiale» = pas d’impôts payés en France.
Mais si Bernard Arnault habitait à New-York, ces 3 milliards d’euros auraient été taxés selon le barème états-unien (23,8% fédéral+14,8% à New York) soit… 1.1 milliard d’impôts sur le revenu à payer. Et zéro en France, pays prétendu surimposé. Cela dépend pour qui en tout cas ? Rien ne vous oblige à persister dans ces encore dénis du réel ! Ainsi tant d’infos essentielles ne passent pas, pendant que les inexcusables conformistes OBLIGENT tous les autres qu’eux à se faire tant avoir. Et toujours plus fiers de leurs bêtises inexcusables (inexcusables pourquoi ? allons, allons suffit de chercher par soi-même, pour savoir !) ils font continuer les… envahissements d’injustices.
2. Autre : que rien ne vous oblige à croire ! Ukraine : Poutine et Trump ne veulent pas, unis là-dessus, que les européens participent aux négociations de paix. En effet, leurs acharnements tellement maladifs à agresser sans cesse la Russie prouvent qu’ls ont perdu toute raison. Mais là n’est pas le thème de ces paragraphes ! Oui ? Alors que Zelensky, en Ukraine est d’accord de signer la paix, Poutine aussi (mais à ses conditions bien plus rationnelles), et Trump «d’America Great Again», donc qui ne veut plus trainer aucune guerre «qui coûte» – que voyons-nous… atterrir ? Les Mirages de Macron. Très anachronique atterrissage, complètement hors du temps, se trompant absolument d’époque (oui très, très «dépassé» lorsqu’il ne s’agit plus de guerre et d’armes mais de paix !)… Si totalement déconnecté des réalités – ces Mirages sont-ce, sérieusement, des éloges extasiés qu’il s’agit d’effeuiller ? Puisque les Français sont en austérités très lourdes, est-ce bien le moment de jeter tout l’argent par les fenêtres ? Savoir poser les questions et savoir y répondre c’est encore plus essentiel qu’en 2017… l’année où un pays est tombé et même retombé en infantilismes.
3. Enfin, d’entrer dans une forme de psychose collective à répéter en boucle «Trump veut installer les villégiatures Côte d’azur à Gaza». Au lieu de poser les questions qui… enfin réveillent dur : ceci fait dangereusement régresser vers la barbarie complète «lorsque les pays les plus puissants s’emparaient des moins puissants, une forme d’anachronique et barbare colonisation sauvage». D’antiques arriérés. Et encore… «Mais c’est un crime de guerre contre l’humanité que de chasser par la violence un peuple de son pays» (Palestine ici clairement reconnue par l’ONU). Donc Trump agirait en tant que criminel de guerre contre l’humanité ?
Les avocats William Bourdon et Vincent Brengarth estiment que Donald Trump «revendique, ni plus ni moins la commission d’un crime contre l’humanité qui serait d’une magnitude hors norme». «Ce positionnement, qui piétine tout le droit international, ne peut pas être analysé uniquement comme une facétie pouvant être associée à la personnalité de Trump...
«Tout projet visant à expulser de force des Palestiniens hors du territoire occupé est un crime de guerre. Et s’il est commis dans le cadre d’une attaque généralisée ou systématique contre la population civile, il constituerait un clair crime contre l’humanité», rappelait ainsi la semaine dernière auprès de l’AFP Agnès Callamard, la secrétaire générale d’Amnesty international.
Rien ne vous oblige à «croire» dans les dangereux délires de Trump. Ces personnages sont clairement «hallucinés» et si incapables de «répondre de leurs actes». Rien ne vous oblige à suivre ces dangereux spécimens !
Remettre les infos à l’endroit
Celles que rien ne vous oblige à admettre –
et tant d’autres innovations que vous allez découvrir très bientôt !
Grave faute de frappes et il faut s’en excuser. Donc surtout ne pas lire «Délinquance des mineurs : les Français veulent en finir avec la culture de l’excuse»
… mais bien…
«Très grande délinquance des adultes : les Français veulent en finir avec leur sinistre culture de l’excuse !» Ces immenses vandales majeurs sont la honte du pays. Menteurs, parjures, truqueurs et voleurs entre autres. Qu’ils laissent les jeunes en paix vu qu’ils ne sont les pires modèles qui soient. Qu’un certain nombre d’irresponsables adultes corrompus soit – enfin – en prison, et la France revivra, pas trop tôt, en paix. Laissez donc les jeunes tranquilles – ou prenez exemple sur eux, escrocs majeurs !
Oui corrompus, vous n’êtes ni prototypes ni exemples : les corrompus n’ont rien à «transmettre», il faudra bien qu’ils passent en procès s’ils s’entêtent de vouloir continuer à… tout corrompre !
Rien ne vous oblige à «suivre» ces notoires détraqués
Clair, que lorsqu’ils ne pourront plus dévaliser nos attentions, leur règne maudit sera fini. Leur règne maudit n’aura reposé que sur ceci : «tu ne les écoutes plus, tu ne les regardes plus, tu détournes ton attention définitivement d’eux», et… ils tombent». Rien ne vous aura obligé à prolonger d’un seul jour leurs forfaitures illégales. Oui, ils nous «doivent» des siècles de prisons. De quoi les expulser enfin de la société. Nul ne les regrettera. Plutôt l’inverse.
Ne leur prêtez plus rien, surtout vos attentions. Reprenez-les !!!
Rien ne vous oblige à faire durer un seul jour de plus ces hideuses infamies…
Tout commence aujourd’hui.
Tout commence aujourd’hui. Et continuera demain.
… et s’amplifiera après-demain.
Etc.
Rien ne vous oblige à faire durer un seul jour de plus toutes ces épouvantables abjections…
Propagande et opposition contrôlée : l'attrape complotiste Donald Trump, l'opération psychologique QAnon...
«Quand il y a une propagande, il y a des gens qui résistent à la propagande dominante et pour les rameuter comme le reste du troupeau, on va utiliser une autre propagande cette fois à destination des dissidents».
Deux semaines après l’investiture de Donald Trump on commence à voir le sens de ce que signifie « tenir ses promesses ». Le mouvement de libération de l’humanité enchaine les victoires, c’est le moment d’être enthousiaste. Nous recevons Fred Boussard pour y voir plus clair et partager une vision optimiste. On fait un point de situation, on parle stratégie, on confirme l’opération militaire en cours pour relier les évidences qui nous amènent à percevoir le scénario qui ne se déroule plus en coulisse mais devient visible aux yeux de tous.