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Linky - électricité moins chère

Le ParisienVotre électricité 70% moins chère

Le Parisien - 03 nov 2024

Le business de la fraude des compteurs Linky.

   

Sur les réseaux sociaux, de nombreux comptes proposent des interventions sur des compteurs Linky pour faire baisser la consommation de « 50% à 70% », grâce à une manipulation très risquée et illégale. Pour voir ce que cachait ce juteux business, nous avons fait appel à l’un de ces fraudeurs via les réseaux sociaux pour une intervention dans un appartement parisien que nous avons équipé de caméras cachées.

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Kamala - honte et culpabilité

Égalité et RéconciliationHonte et culpabilité : l’étrange campagne marketing de Kamala Harris

Égalité et Réconciliation - 02 nov 2024

Les démocrates prennent-ils leurs électeurs pour des cons ou des connes ? En tout cas ils prennent les électeurs de Trump pour des crétins.

   

Vous pouvez en dire beaucoup sur un candidat politique et son parti grâce à ses campagnes marketing. Plus important encore, expliquent-ils les opinions de leur candidat et leurs politiques ? Ou cherchent-ils simplement à manipuler les électeurs pour leur faire croire quelque chose qui n’est pas vrai ?

La campagne de Kamala Harris est en fait allée encore plus loin au cours du mois dernier avec une étrange série de publicités qui, examinées dans leur ensemble, mettent en valeur une dégénérescence idéologique qui fait appel au pire de l’humanité. Même si Donald Trump et les conservateurs sont souvent accusés d’être « méchants » ou directs dans leur rhétorique, au moins celui-ci est sincère et parle de problèmes réels plutôt que de désirs inconscients. D’un autre côté, si vous recherchez une sorte de classe chez un candidat, il n’y en a pas parmi les démocrates.

S’inspirant de l’école de publicité d’Edward Bernays qui exploite les recoins crasseux et le narcissisme de la lie de la société, le marketing de Harris a été étrange – il encourage la malhonnêteté au sein des familles, s’appuie sur des techniques de honte au lieu de la pensée critique et il est souvent sexuellement abusif de la manière la plus laide.

Certaines de ces publicités ne sont pas directement créées par les agents de Harris, mais d’une manière générale, la plupart des publicités sont approuvées par le candidat ou les responsables du parti politique avant d’être publiées.

Dans sa dernière campagne, les publicités de Harris tentent de semer la discorde parmi les couples mariés, suggérant que les femmes devraient cacher leurs opinions politiques à leur mari et voter pour Harris à leur insu. Ou encore, le but est de suggérer que les hommes américains contrôlent d’une manière ou d’une autre leurs femmes et les contraignent à voter pour Trump.

Dans le monde imaginaire des démocrates, la seule raison pour laquelle une femme voterait pour Trump est parce que son mari l’y oblige. C’est une représentation plutôt insultante des femmes, mais elle s’appuie également sur l’hypothèse de gauche selon laquelle toutes les minorités et les femmes sont leur propriété politique. Si une femme ou une minorité vote conservateur, les démocrates affirment que c’est parce qu’elles ont subi un lavage de cerveau.

Au-delà de cela, tout homme marié, même depuis peu de temps, connaît parfaitement les idéaux politiques de sa femme et ne sera pas surpris de la façon dont elle vote. Il est étrange que le camp Harris tente de présenter le vote comme s’il devait être traité comme une affaire extra-conjugale. Bien sûr, c’est le genre de comportement que les progressistes encouragent généralement les femmes à adopter, c’est tout simplement bizarre de le voir de manière aussi flagrante dans une publicité de campagne.

Ensuite, il y a les efforts visant à faire honte aux hommes pour qu’ils votent pour Harris, qui n’ont clairement pas été aussi bien accueillis. Son soutien parmi les hommes est lamentable, même parmi la génération Z, et cela peut être directement attribué à la guerre de propagande contre la masculinité perpétrée par les gauchistes pendant une décennie. Les hommes s’en souviennent, et ils ne voteront certainement pas pour les mêmes personnes qui les traitent d’« incels », de « violeurs » ou de « toxiques » depuis des années.

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automne - le jardin

ReporterreUn jardin est beau lorsqu’on dialogue avec lui

Reporterre - 01 nov 2024

L’automne est arrivé dans le jardin. Les plantes perdent leur vitalité estivale et Marie s’interroge sur l’esthétique du jardin, entre pelouse bien coupée et débordements de vie potagère.

   

L’automne et ses pluies sont passés par là. Les tomates ne sont plus que des tiges dégarnies tentant de supporter quelques fruits rongés par le mildiou. Les aubergines commencent à tourner de l’œil. Les haricots fanent et paraissent fatigués, bien qu’ils profitent de quelques jours d’éclaircie pour brandir une dernière série de fleurs. Salades et choux sont en train de capituler face à une armée de limaces. Les courges, elles, qui ont encore leurs feuilles et quelques fruits imposants, donnent un air fouillis au potager tellement elles se sont émancipées de leur carré.

Le potager n’a plus la fière allure de la belle saison. Il donne encore. Les derniers haricots, les premiers poireaux… Mais à l’heure de faire quelques photos pour illustrer cette chronique, me voici bien embêtée, rien ne me paraît montrable. Un potager, c’est comme un bon plat. Pour éveiller l’appétit, mieux vaut que l’assiette soit agréable à l’œil, non ?

Plantes compagnes ou désherbage ?

C’est l’un des plaisirs du jardin, de soigner son esthétique. C’est aussi un langage, l’expression d’un rapport au vivant. Le jardin à la française, avec ses lignes droites, a célébré la domination de l’humain sur la nature. Le jardin à l’anglaise a plutôt voulu imiter celle-ci et a promu une vision plus romantique et pittoresque. Côté potager, certains trouveront que la beauté est du côté des allées bien droites et désherbées, d’autres préféreront laisser prospérer toutes sortes de plantes compagnes au risque qu’elles prennent le pas sur les légumes plantés.

Mon jardin se situe entre les deux. Du côté de l’esthétique jardinière, je suis victime de notre conditionnement sociétal. Je trouve mes pommiers plus beaux quand l’herbe dessous est bien tondue et que leurs formes se détachent nettement. J’ai peur pour mes aromatiques quand les herbes folles les encerclent. Je préfère mon potager quand il a les couleurs vives de l’été plutôt que l’air abandonné de la fin de l’automne.

Bref, j’aime que mon jardin ait l’air entretenu. Il y a des considérations pratiques : faciliter le passage du tracteur, favoriser une productivité raisonnable chez nos plantations nourricières. En revanche, je ne vois pas l’intérêt de couper l’enthousiasme de ma sauge épanouie bien au-delà des limites qui lui avaient été attribuées, et je ne suis pas contre un buisson de ronces ou un tas de cailloux par-ci par-là, me réjouissant de rencontrer leurs hôtes.

Déborder de vie en toute saison

Mais alors, comment juger de l’esthétique d’un jardin ? Comment ne pas rougir quand je montre mon potager brunissant avec l’automne ? Je me souviens soudain que le modèle du beau jardin est pour moi celui de ma grand-mère paternelle. Je précise qu’il n’est pas nourricier, sauf pour les nombreux fruits rouges que cette gourmande sait faire prospérer à merveille, et sa collection d’aromatiques rappelant ses origines provençales.

Il est beau, car il paraît en toute saison débordant de vie. Les plantes y sont très nombreuses et diversifiées, elles grignotent avec enthousiasme le passage dans les allées, il y a des fleurs en quasi toute saison. On pourrait croire que c’est le résultat d’une sorte de laisser-faire tellement toutes ces habitantes ont l’air épanouies.

En réalité, c’est le fruit d’un travail incessant et d’une curiosité insatiable. Cela commence par des lectures et des recherches lui permettant de dégoter les meilleurs pépiniéristes, produisant telle variété de ciste ou de figuier qui conviendrait au climat francilien. Il faut ensuite trouver l’exposition, le sol, les conditions d’humidité convenant à chaque nouvelle hébergée. Si l’une fait grise mine, elle est déplacée.

L’observation est continue. Les petits gestes d’attention presque quotidiens. Je la revois, tel un coiffeur ajustant sa coupe, sécateur à la main, repérer les branches malades, ajuster une taille. Je me souviens d’années de recherches et d’expérimentations continues pour soigner un fruitier malade. Chaque plante a une histoire, elle est leur mémoire. Et leur futur : il suffit que l’on mette un pied dehors pour qu’elle vous explique quel plan elle a en tête pour l’une ou l’autre.

Ainsi, si son jardin est si agréable, ce n’est pas parce qu’elle laisse faire, ce n’est pas parce qu’elle contraint. C’est parce qu’elle dialogue sans cesse avec ses habitantes, les écoute, les soigne et les laisse s’exprimer. Voici ce que m’a appris ma grand-mère : un beau jardin est le fruit d’une belle relation avec les plantes.

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Chlorure de magnésium - un remède vital

Jérémie MercierLes vertus insoupçonnées du chlorure de magnésium

Jérémie Mercier - 31 oct 2024

C’est le conseil d’un personnage connu à cette femme, conseillère municipale de Nice qui a voulu soulager la misère humaine à l’époque du chikungunya à la Réunion et s’est heurté aux élites qui veulent surtout les profits pour les labos.

   

Menacée personnellement au téléphone par le ministre de la santé de l’époque et même par le centre anti-poison de Marseille qui ferait mieux de s’intéresser à l’analyse des poisons des flacons de toxins covid, s’ils veulent vraiment notre bien.

Tout ça pour dire qu’il faut faire et pas dire publiquement et il faut contourner la malfaisance des élites.

« Passe par le bas » injonction à retenir pour sauver notre peau. C’est un peu ce que font les sites de réinformation comme PG.

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Koweit - biométrie

NexusL’enregistrement des données biométriques à marche forcée

Nexus - 30 oct 2024

Officiellement pour des raisons de sécurité et de contrôle d’identité, le Koweït a mis en place une procédure d’enregistrement des empreintes digitales biométriques pour tous ses citoyens et les expatriés présents sur son sol.

   

Tout retardataire s’expose à voir son compte bancaire gelé et sa carte d’identité suspendue. En d’autres termes, à être socialement désactivé.

Le gouvernement koweïtien a une façon très spéciale d’inciter les individus présents sur son sol à se conformer à certaines de ses décisions. S’il en est une avec laquelle il ne rigole visiblement pas, c’est la procédure d’enregistrement des empreintes digitales biométriques. Tous les Koweïtiens devaient s’y soumettre avant le 1er octobre dernier et tous les expatriés devront le faire avant le 31 décembre 2024. À défaut, les uns et les autres s’exposent à des sanctions bancaires et administratives.

Le système d’enregistrement biométrique a commencé à être mis en place au Koweït en mai 2023. Dans un premier temps, comme en témoigne un article d’Arab Times Kuwait de cette époque, il n’a concerné que les personnes arrivant dans le pays (citoyens et résidents de retour de voyage ou visiteurs étrangers). Puis il s’est étendu à toute la population adulte à partir du 1er mars 2024, avec une date butoir d’abord fixée au 1er juin, et finalement repoussée aux deux dates distinctes citées plus haut.

◆ Lutte contre la fraude et renforcement des contrôles d’identité

Biometric Update explique que « l’État a entrepris de recueillir des données biométriques pour s’attaquer aux problèmes liés à la double nationalité et renforcer les mesures de sécurité. En outre, cela permettra de détecter automatiquement les personnes utilisant des passeports frauduleux pour entrer dans le pays. »

D’après Gulf News, le gouvernement koweïtien aurait l’intention de collaborer avec d’autres pays, y compris Interpol et les pays du Conseil de coopération du Golfe (dont le Koweït fait partie avec l’Arabie saoudite, Oman, le Qatar, les Émirats arabes unis et Bahreïn), pour établir un réseau de sécurité solide.

◆ Augmentation des menaces envers les récalcitrants

Dès le mois de mars, des sanctions étaient prévues pour ceux qui manqueraient à cette obligation : « Le non-respect de cette mesure de sûreté entraînera des restrictions sur certains services ministériels, y compris le renouvellement des permis de séjour et le renouvellement du permis de conduire », indiquait Biometric Update dans son article du 25 mars 2024.

Mais début septembre, encore 175 000 citoyens et 800 000 expatriés n’avaient toujours pas procédé à l’enregistrement de leurs empreintes digitales biométriques, toujours selon Biometric Update. La date limite fixée pour les citoyens approchant, le gouvernement a décidé de brandir des menaces supplémentaires pour accélérer le processus et inciter les retardataires (ou les récalcitrants) à s’y conformer.

« Ceux qui ne respectent pas les délais d’enregistrement biométrique seront suspendus des services publics. La Banque centrale du pays prévoit également de mettre en place des restrictions échelonnées sur les comptes bancaires des personnes qui ne se conforment pas aux prescriptions en matière d’enregistrement des données biométriques »

Biometric Update

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L'UE embêtée par le Bitcoin

Revolution 2030 : autre sourceL'Europe Capitule Face à Bitcoin !

Revolution 2030 : autre source - 28 oct 2024

Analyse explosive du dernier article de la BCE par Alexandre Stachtchenko où deux hauts responsables admettent enfin que Bitcoin pourrait survivre.

   

Un aveu historique qui révèle leurs véritables craintes : la redistribution des richesses des élites vers les plus jeunes et les exclus du système financier. Découvrez comment ce document officiel trahit la panique grandissante de la BCE face à une cryptomonnaie qu'ils ne peuvent plus ignorer. Une analyse sans concession des contradictions et des biais d'une institution qui sort de sa neutralité pour déclarer la guerre à Bitcoin.

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Mesures de contrôle

Le Saker FrancophoneMesures de contrôle

Le Saker Francophone - 26 oct 2024

Quelle est la plus grande crainte des archontes qui contrôlent notre monde ?

   

La réponse est la suivante : que la plèbe découvre à quel point le substrat de leur contrôle, la machinerie de tout cela, est fragile. Les élites ont travaillé sans relâche pour créer l’illusion d’un grand monolithe imperméable – ce panopticon irréductiblement oppressif de « règles » tacites et de limites sociales, de fenêtres d’Overton et de lignes de lois statutaires connues d’elles seules et destinées à nous obscurcir délibérément – un obélisque imposant qui emblématise la totalité de leur contrôle. Pour ce faire, ils recourent à la peur, à la programmation sociale et à l’hypnose des médias de masse pour déclencher des traumatismes dans nos esprits agrippés, en proie à une détresse perpétuelle et enveloppés d’une tension angoissante. Ils érigent des labyrinthes de codes juridiques pour nous soumettre au poids inépuisable de leur jurisprudence ésotérique. Tout cela a pour but de transmettre un sentiment de poids écrasant, de nous doter d’un but futile face à des structures aussi colossales ; le Système, l’Ordre, leur entrelacs de suprématie socio-politico-économique.

Mais c’est leur ultime tour de passe-passe, la carapace inexpugnable qui dissimule la chair tendre du crabe aux yeux de poire, enfermé dans l’obscurité, terrifié à l’idée que sa carapace devienne cassante sous l’effet des vents salés qui l’écorchent depuis des années. Ce concept est l’un des plus ésotériques de notre vie quotidienne, non pas en raison de restrictions ou de garde-fous en soi, mais plutôt en raison de son incommensurabilité patente ; en d’autres termes, peu de gens savent comment définir, décrire ou discuter sémantiquement ce « voile de l’invisible » sous lequel notre société s’agite comme un troupeau de pigeons stochastiques.

En raison de cette impénétrabilité, nous restons aveugles aux fils conducteurs de notre monde, qui s’enroulent dans l’obscurité au-dessus de nos têtes. Peu de gens ont la virilité intellectuelle et l’esprit d’analyse nécessaires pour discuter de cette question d’une manière véritablement révélatrice, au lieu de jouer au sophisme et à la subversion comme un agent double.

L’un des rares à posséder la perspicacité morale et psychologique que j’ai vu s’engager sur ce sujet est Eric Weinstein, connu pour ses travaux sur le « dark web intellectuel », il y a quelques jours sur le podcast de Chris Williamson. Ceux qui souhaitent avoir un rare aperçu de ce qui se passe derrière le rideau devraient écouter la séquence ci-dessous, que j’ai coupée pour des raisons de longueur.

Ce à quoi il fait allusion de manière inquiétante est une série d’accords fondamentaux secrets qui sous-tendent notre monde, dont la fragilité en filigrane dément l’étendue, de sorte qu’ils nécessitent un mécanisme d’application à toute épreuve pour empêcher de jeunes parvenus présomptueux de les réinitialiser, volontairement ou involontairement. Dans le cas présent, comme le souligne Eric, ce parvenu se trouve être Trump. Ce qu’il révèle par inadvertance est bien plus profond que cela et lève le voile sur la hiérarchie ésotérique vieille de plusieurs siècles qui régit nos vies.

Selon lui, il existe une série d’accords anciens qui, dans certains cas, peuvent être réduits à de simples « poignées de main » entre des parties qui n’existent plus, et qui sous-tendent la stabilité des marchés mondiaux et agissent comme des digues contre l’éclatement d’une guerre mondiale – c’est du moins ce que l’on dit. Nombre de ces accords explicites et implicites ont été conclus dans l’après-guerre et ne peuvent perdurer que s’ils ne sont pas remis en question tous les quatre ans par un nouveau venu aux « idées neuves ». En effet, le caprice des masses ne peut être autorisé à mettre en péril les structures fondamentales de la société ; leur maintien nécessite donc une sorte d’« autorité silencieuse » chargée de préserver la stabilité institutionnelle du monde afin de « nous garder tous en sécurité ».

Mais c’est là que réside le nœud de cette tyrannie invisible : elle est réconciliée avec la caractérisation d’une grande force katéchonique, qui maintient à distance l’effondrement toujours menaçant de la civilisation pour notre bien. Un examen plus approfondi révèle cependant qu’elle n’est rien d’autre que le grand mensonge de l’élite générationnelle pour la continuité de son pouvoir.

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EU - CS3D

HashtableVous avez aimé les dernières lois européennes ? Vous adorerez la “CS3D” !

Hashtable - 24 oct 2024

L’Union européenne, c’est très bientôt une solide protection des “minorités”, du climat, des petits oiseaux, de l’environnement et de tout ce qui passe. Et ça devrait assez mal se passer.

   

Vous n’êtes probablement pas au courant (la presse sait se faire discrète quand certains sujets sont abordés), mais les institutions européennes ont approuvé en mai dernier une législation radicale dont les effets se feront sentir bien au-delà du continent européen, qui va essentiellement contraindre des milliers d’entreprises à adopter des valeurs contraires aux leurs.

Il s’agit de la CSDDD, ou “Corporate Sustainability Due Diligence Directive” – une directive sur le devoir de diligence des entreprises en matière de développement durable – qui tente en pratique de transformer les pratiques commerciales à l’échelle mondiale en imposant des exigences environnementales, sociales et de gouvernance aux grandes entreprises opérant dans l’Union européenne. La loi s’applique indépendamment du fait qu’une entreprise ait son siège ou non dans un pays de l’Union.

Avec cette directive, les entreprises concernées seront tenues d’adopter une longue liste de pratiques de “diligence raisonnable”… Notez le “raisonnable” : un peu à l’instar des bières dont l’étiquette indique “de luxe” en toute lettre et qui ne sont qu’assez rarement d’exception, ou des “Républiques Démocratiques” dont les pratiques en matière de démocratie sont toujours très alternatives, on peut donc déjà conclure que ces contraintes seront donc modérément “raisonnables”.

Ainsi, cette CSDDD (ou parfois abrégée en CS3D) exigera des entreprises qu’elles atténuent l’impact négatif de leurs activités sur les droits de l’homme et les bébés phoques et les petits oiseaux l’environnement en s’attaquant au travail forcé et au réchauffement climatique. Pour ce faire, elles devront mettre en place un “plan de transition” pour rendre leur modèle économique compatible avec la limite de réchauffement climatique de 1,5 °C, dans le cadre de l’Accord de Paris (eh oui, ce truc existe encore). Ce plan devra inclure des objectifs de lutte contre le changement climatique assortis d’échéances et des actions clés sur la manière de les atteindre.

Les entreprises qui avaient déjà beaucoup de temps à consacrer à tout un tas de sujets autres que leur activité commerciale principale verront donc s’ajouter ces nouvelles contraintes, ce nouveau plan, ces nouveaux objectifs aux précédents plans, objectifs et contraintes que les précédentes règlementations leur imposaient déjà. Leur productivité va encore augmenter.

Et non seulement les entreprises concernées devront donc modifier leurs process industriels, commerciaux et marketing pour épouser cette succulente directive, mais en plus devront elles contraindre leurs partenaires commerciaux à faire de même, où qu’ils se trouvent (Union européenne ou non).

Pour le moment, la directive va (d’abord) concerner certaines grandes entreprises : il faut qu’elles soient implantées sur le sol de l’Union, qu’elles emploient au moins 1 000 personnes et que leur chiffre d’affaires net mondial soit supérieur à 450 millions d’euros. Pour les entreprises non européennes qui ont des succursales dans l’Union, elles sont concernées si leur chiffre d’affaires dépasse ce montant dans l’Union.

Parmi les nombreuses exigences de la loi figurent des limites à l’utilisation des terres arables, à la consommation d’eau et à la perte de biodiversité par exemple. La directive exige également que les entreprises transforment leurs activités de manière à ce qu’elles dépendent des “énergies vertes”, alors même que cette transition est désastreuse sur le plan économique. Les syndicats bénéficient dans cette directive de protections juridiques importantes et de nombreux accords contraignants de l’UE et de l’ONU sont imposés aux entreprises privées, y compris donc celles qui ne sont pas dans l’Union, par effet de bord.

Comme il s’agit d’une directive, elle doit être transposée ce qui donnera au passage l’occasion pour certains pays membres de passer des lois encore plus strictes que celles proposées par l’Union. Réjouissez-vous, oui, c’est bien de la France dont il est question ici. Bien évidemment, une fois le processus de transposition mis en place et entré en force, les entreprises qui auraient l’impudence de ne pas respecter ces nouvelles lois s’exposeront à des amendes gargantuesques pouvant atteindre 5% de leur chiffre d’affaires net mondial (oui, leur CA, pas leurs bénéfices).

Bien évidemment, cette directive permettra aussi aux particuliers ou aux organisations militantes de poursuivre les contrevenants en vue d’obtenir des dommages et intérêts, ce qui ouvre les vannes à des actions juridiques tous azimuts. Certaines hordes d’associations lucratives sans but et d’organisations non gouvernables gouvernementales trouveront là un gisement quasi-inépuisable d’actions en justice et de sources de profits bien dodus.

La loi devrait être introduite progressivement sur plusieurs années, à partir de 2027.

Il va de soi que cette directive a été bâti assez clairement pour pouvoir saigner quelques multinationales, notamment américaine.

Par exemple, un hypothétique fabricant d’acier américain au Texas qui vend ses produits à Ford sera tenu d’adopter les règles ESG de l’Union européenne parce que les revenus de Ford dans l’Union européenne le soumettent aux exigences de la directive CS3D. Il en ira de même pour les entrepôts et les entreprises de transport qui travaillent avec ou pour Ford, ainsi que pour des dizaines d’autres entreprises faisant partie des sous-traitants ou partenaires de la firme…

En somme, toutes les entreprises étrangères d’importance seront directement concernées.

À terme, soit elles s’adapteront autant qu’elles le pourront, soit elles quitteront le territoire européen.

Dans le premier cas, il semble évident que les surcoûts engendrés seront directement reportés sur le consommateur. Ceci est d’ailleurs tout aussi vrai pour les entreprises européennes, ce qui veut dire que le premier impact sensible de cette directive sera un renchérissement de la plupart des produits et services vendus en Europe. Le consommateur pourra-t-il suivre ? Rien n’est moins sûr au moment où une crise boursière et économique semble s’approcher de l’Occident…

Dans le second cas, ne pouvant s’adapter (ou pas assez vite, ou ne pouvant plus dégager de marges opérationnelles suffisantes), les entreprises s’en iront. Avec elles, les produits et les services précédemment vendus, bien sûr, mais aussi les emplois et les chaînes de valeurs (avec les sous-traitants et les partenaires, typiquement) qu’elles alimentaient. Là encore, on voit mal comment l’Européen moyen va réellement y gagner.

Le délire régulatoire bat son plein. Comme souvent, les bonnes intentions (sauver les petits oiseaux, verdir les plaines, rafraîchir les températures ou limiter l’exploitation humaine) vont paver un nouvel enfer légal qui ne résoudra en rien les problèmes ciblés et vont même en créer de nouveaux.

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La guerre des deux mondes

Echelle de JacobLa guerre des deux mondes

Echelle de Jacob - 23 oct 2024

Les gens lucides, c’est-à-dire ceux qui ont échappé à l’endoctrinement général et qui ont donc gardé un minimum de bon sens, ont toujours une longueur d’avance.

   

ils ont toujours, pour leur malheur, raison trop tôt ; ceux qu’on appelle complotistes sont ceux qui devinent à l’avance les projets des comploteurs.
La lobotomisation des populations par l’Ordre mondial qui fut particulièrement efficace en Europe et surtout en France, n’a pas débuté en 2020 avec la pseudo-pandémie et le pseudo-vaccin, qui étaient tous les deux des instruments destinés à réduire les populations et à initier l’hybridation homme-robot voulue par les transhumanistes. Cette date indique juste le moment où « l’élite » mondialiste actuelle, héritière des sectes satanistes qui l’ont précédée, a jugé qu’il était temps de donner le coup de grâce final, les peuples ayant été suffisamment désinformés depuis des décennies, des siècles et des millénaires.

54 secondes de lecture, 90% de lecteurs en moins

A partir de cet instant, c’est-à-dire 54 secondes de lecture, j’ai déjà perdu 90% de mes lecteurs potentiels.

C’était exactement mon but ; si ces 90% n’ont toujours rien compris à l’énorme manipulation dont ils sont les victimes, il n’y a plus grand-chose à tenter pour qu’ils ouvrent enfin les yeux. D’autant plus que les mondialo-satanistes ne cachent plus rien de leurs projets !

A la vérité, ce n’est pas tant qu’ils sont stupides ou non-éduqués puisqu’on trouve parmi eux, et même en majorité, des gens ayant reçu une instruction supérieure, mais c’est parce qu’ils refusent absolument de se remettre en question et de sortir de leur « zone de confort » (comprenez: de leur fauteuil et de leur télé installée au beau milieu de leur salon), ce qui ferait d’eux des révolutionnaires éventuels.

Je ne m’adresse donc qu’aux 10% restants (soyons optimistes, à l’échelle planétaire, ça fait quand même 800 millions d’individus et, à l’échelle française 7 millions !)

Où sont passés les Gaulois ?

Il est vraisemblable que ce qui les a le plus choqué (je parle des 90% qui ont renoncé à poursuivre la lecture de cet article au-delà de ces 54 secondes), c’est que je fais remonter à des millénaires le début de leur endoctrinement que je situe au début de l’Âge de fer, le kali-yuga, le début de notre fin de cycle indo-européen, qui correspond, est-ce un hasard ?, aux débuts de l’écriture, vers 4500 avant notre ère.

Les historiens ne remontent guère leurs recherches au-delà de 800 ans avant J.-C., tout ce qui précède étant considéré, à peu de choses près, comme de la préhistoire, quelque chose de très flou, en gros, l’âge des cavernes, où les hommes ont seulement appris, en plusieurs millions d’années, à lever un gourdin pour pouvoir se nourrir et à dessiner quelques animaux sur la paroi de leurs grottes ; les historiens officiels laissent donc alors la place aux élucubrations de leurs collègues tout aussi officiels que sont les archéologues et anthropologues qui sont censés remonter le temps indéfiniment grâce aux vestiges qu’ils vont analyser pour trouver l’origine du monde, de la Terre et de ses habitants ; ainsi, les « historiens » ne connaissent de l’Histoire du monde que le dernier moment de notre cycle final, celui où tout est déjà en décomposition depuis longtemps et leurs collègues archéologues et anthropologues tournent en rond, butant sur les mêmes vestiges, la plupart des grandes civilisations passées ne laissant aucune trace de leur passage, comme ce sera le cas de la nôtre.

Les études historiques s’apparentent à la rédaction d’un journal, un quotidien, qui recense les faits divers et les vies et actes des hommes responsables de ces faits divers quand ils n’ont pas leur source dans des phénomènes naturels.

L’Histoire officielle, ou profane, que certains considèrent comme une science, n’est donc que la relation de péripéties et d’anecdotes plus ou moins superficielles qui engagent les hommes et la nature, mais qui ont quand même un intérêt, celui de permettre de comprendre, comme les symptômes d’une maladie à venir – une éruption de boutons, par exemple - les mouvements de fond invisibles qui vont surgir à la surface comme paliers de la grande Histoire cyclique ; ces alertes constituent, pour un individu, l’avertissement qui lui est donné de procéder à des changements quelquefois radicaux dans ses habitudes de vie, et, sur le plan civilisationnel, pour une société tout entière, d’avoir à changer de cap au risque d’un écroulement, lent ou soudain.

La majorité des humains ne prend comme étalon du temps que la durée de leur propre vie, à l’heure actuelle approximativement 85 ans, les historiens profanes remontent à 10 fois plus loin en arrière. Les primordialistes – tenants de la Tradition primordiale -, eux, s’appuyant sur la durée des cycles naturels, ceux des civilisations, l’observation des mouvements stellaires et les connaissances transmises par les sociétés traditionnelles, élargissent considérablement leur vision du monde en estimant qu’il est plus sage de se référer à un autre étalon temporel qui est la durée de notre grand cycle, le Manvantara, qui a commencé il y a 64.800 ans.

Les analyses et découvertes des historiens, des archéologues et autres anthropologues profanes n’ont qu’une crédibilité limitée du fait que leur démarche est fondamentalement faussée, et va même à l’inverse de la réalité; elle se base sur les découvertes techniques qui se sont succédé en avalanche à la fin du 19e siècle en même temps qu’est apparue la théorie évolutionniste de Darwin sur l’origine simiesque de l’Homme. Ces pseudo-scientifiques se sont alors convertis à la religion scientiste du progrès qui a remplacé le christianisme à bout de souffle, fondant leurs théories sur une évolution qui va du pire au meilleur alors que l’on constate exactement le contraire lorsqu’on observe les lois naturelles et que le cycle qui s’achève procède, comme tout ce qui existe sur Terre, d’un déroulement involutif du temps et de la grande Histoire cyclique qui va du meilleur au pire, de la spiritualité à la matérialité, de la connaissance à l’ignorance, du bien au mal, de l’ Âge d’or à l’Âge de fer avant de recommencer un nouveau cycle.

L’instruction qui a été donnée à nos enfants procède de cette involution, puisqu’on peut dater l’organisation de l’école telle qu’on la connaît aujourd’hui à cette fin du 19e siècle avec les lois instaurées par Jules Ferry (photo); même si la qualité de l’instruction française, hors cette anomalie fondamentale, s’est maintenue à un très bon niveau – inévitablement superficiel cependant - jusqu’au milieu du 20ème siècle, exactement jusqu’à mai 68. Elle n’a cessé de se dégrader depuis au fil de l’inaction des ministres de l’Education nationale qui se sont succédé jusqu’à nos jours dans l’unique but de la faire disparaître.

Et c’est ainsi que Marion Maréchal, fondatrice d’une grande école, a pu déclarer le 8 octobre 2024 sur Cnews : « Nous affirmons notre droit à la continuité historique et notre attachement à notre héritage grec, romain et chrétien », oubliant que notre héritage direct n’est ni grec, ni romain, ni chrétien, mais venant de nos ancêtres les Gaulois, la plus grande composante du peuple celte établie sur un territoire supérieur à celui de la France actuelle, dont cette jeune femme d’origine bretonne ne devrait pas avoir à rougir. Car, même si nos ancêtres n’ont pas construit d’aqueduc ni d’amphithéâtre, même s’ils n’ont pas laissé des ouvrages d’histoire ou des recueils de poèmes, les Romains ont pu les envahir grâce aux routes construites par les Gaulois, et ont pu apprendre à cultiver la terre avec la charrue inventée par nos ancêtres; si les Gaulois n’ont pas laissé d’œuvre écrite, ce n’est pas parce qu’ils ne connaissaient pas l’écriture, c’est parce qu’ils privilégiaient l’enseignement par l’effort de la mémoire, et aussi, parce qu’ils étaient de grands orateurs. De même, s’ils n’ont pas laissé d’œuvre architecturale ni de statue, c’est parce qu’ils confectionnaient leurs maisons et leurs icônes en bois.

La sagesse et la spiritualité de nos druides était universellement respectée et leurs connaissances saluées jusqu’en Inde; Pythagore y a puisé l’essentiel de son enseignement. Mais le pays de Descartes, ce philosophe qui assimilait les animaux à des machines (ça n’était déjà pas de très bon augure !), a toujours préféré le rationalisme grec et la force romaine comme fondements de sa société.

En fait, les Français ont toujours privilégié ce qui vient d’ailleurs, même si ces apports extérieurs constituent certaines composantes de l’esprit de notre peuple, je pense, là, surtout au christianisme -heureusement- européanisé. Et, pour être un peu plus critique, je pense aussi à la propension peu louable, qui nous vient également des Gaulois, à la collaboration, oui, comme celle que les Français ont pratiquée sans vergogne pendant la deuxième guerre mondiale, penchant peu glorieux qui a vu le jour avec les « Gallo-Romains », c’est-à-dire la soumission à l’envahisseur, qui consiste à pratiquer une xénophilie teintée d’admiration béate pour l’étranger qui ne vient pas toujours avec les meilleures intentions du monde ; dans ce contexte, l’islam qui, justement, signifie « soumission », a de belles perspectives d’avenir en France.

Ceci pour montrer que même une Marion Maréchal, a priori opposée à l’invasion étrangère, a été suffisamment bernée par l’éducation reçue jusqu’à en oublier ce qui constitue – qu’on le veuille ou non - la colonne vertébrale du peuple français, sa marque de fabrique : son origine gauloise.

Cette origine n’est pourtant pas si lointaine et s’inscrit même dans le laps de temps auquel ont accès les historiens profanes puisque les premiers Celtes font leur apparition en Gaule au 6e siècle avant notre ère. Pourquoi cet ostracisme ? Pour nous couper de nos véritables racines.

Cette anecdote sur Marion Maréchal n’est que l’un des aspects négatifs de l’action, ou de la pensée, de cette jeune femme qui a déjà vendu son âme au diable puisqu’elle est, comme sa tante, réceptive à toutes les consignes édictées par l’Ordre mondial (voir nos articles : Voyage en Absurdie, les députés européens votent pour la guerre contre la Russie et aussi : Traditionalistes contre globalistes : le grand chambardement planétaire.)

Il est vraisemblable que le prochain but de cette ambitieuse politicienne sera de remplacer Marine Le Pen dans ses mêmes fonctions et de continuer son œuvre de détournement du vote de plus de 10 millions de Français qui croient encore naïvement que l’une comme l’autre vont accéder au pouvoir afin d’exaucer leurs vœux. Elles ont bien d’autres chats à fouetter (ou à caresser).

On se rendra compte que, par ce biais, ce ne sont pas seulement les Gaulois qui seront passés à la trappe mais leurs descendants lobotomisés de l’après-2020, à savoir les Français eux-mêmes.

Cette présentation nous permet également de montrer que Macron n’a pas grand mérite à revendiquer la destruction de la France, dans son corps et dans son esprit: le gros du travail a été fait bien avant son arrivée au pouvoir; il n’a eu qu’à pousser ce qui allait tomber. Il est une sorte d’exécutant des basses œuvres, en clair, on appelle ça un bourreau.

Le règne du démon

J’ai souvent démontré que Titan et Satan ont la même origine sémantique et même fonctionnelle, les deux faces d’une même médaille, tous les deux rêvant de remplacer Dieu sur Terre, le premier travaillant dans le cadre de la société traditionnelle afin de la corrompre dans le déchaînement technologique et robotique qui est l’apanage de la matérialité, du « progrès », et le second, créature maléfique issue des religions du Livre, attendant l’heure de se manifester au grand jour et de se proclamer roi de ce monde, en tout cas roi du monde cauchemardesque pour les humains qui se met en place.

Satan a déjà commencé à activer ses réseaux d’adeptes de par le monde; les cérémonies ouvrant et fermant les J.O. sont là pour le prouver ainsi que les divers spectacles offerts par les saltimbanques satanistes qui rassemblent, chacun, des dizaines de milliers de fans (fanatiques). Actuellement, ce sont les scandales à connotation pédophile, impliquant certains membres de « l’élite », qui sont révélés de plus en plus nombreux comme l’éclosion de fleurs vénéneuses qui surgissent brusquement de la pourriture des profondeurs [1].

C’est l’action de ces frères jumeaux, Satan-Titan, et celle de leurs suppôts au travers de diverses sectes pendant de nombreux siècles qui a produit cette dégénérescence, voire cette disparition à court terme, dont nous sommes victimes.

Ce qui se passe réellement, en ce moment même, est hors de portée de compréhension de nos concitoyens patelins.

Il me faut encore recourir à l’aide de nos ancêtres les Gaulois qui pensaient qu’il existait trois mondes : celui d’en bas, celui d’en haut et le leur, celui qu’ils co-naissaient et dont ils s’appropriaient le sol pour l’enrichir de leurs labours et de leurs moissons: la surface de la Terre.

Celui d’en bas est le royaume de Satan, tapi jusqu’à présent dans les profondeurs de la planète, secondé d’une manière plus voyante par son compère Titan qui ne cesse de ravager, par ses constructions et implantations artificielles tapageuses et polluantes, la terre de nos ancêtres qui étaient essentiellement des artisans et des paysans jusqu’à une période encore récente.

Il y eut un tournant décisif lorsque le diable est sorti de sa boîte en 2020, accompagné de sa cohorte de zombies.

J’ai dit et répété maintes fois que de l’inférieur ne peut naître le supérieur, que le monde spirituel est supérieur au monde matériel, que le grand privilège du monde d’en haut, le monde spirituel, est d’avoir la capacité de descendre s’il en est besoin alors qu’il est strictement impossible au monde d’en bas, le monde matériel, de monter sans autorisation du monde spirituel; c’est pour cette raison qu’il est utopique pour les titano-satanistes de penser gagner la guerre des deux mondes qu’ils ont bien imprudemment déclenchée.

C’est vrai qu’ils auront quand même un avantage: la guerre, du fait de l’impossibilité du monde d’en bas de monter, se fera sur le terrain qui est le leur, qu’ils partagent avec l’Humanité dont ils ne rêvent que de se débarrasser.

Diable ! Le moment est arrivé où je viens de perdre encore 90% des 10% de lecteurs qu’il me restait à convaincre. Nous en sommes donc désormais à 1% de lecteurs capables de nous suivre. C’est amplement suffisant pour continuer.

Une nouvelle génération d’éveilleurs

Le monde des étoiles appartient au monde d’en haut. C’est une lapalissade.

Nos ancêtres ont observé le ciel pendant des millénaires (ils ne se contentaient pas de gribouiller au fond de leurs cavernes) ; leurs connaissances en astronomie étaient même quelquefois supérieures à celles de nos savants contemporains, et ils disposaient de bien d’autres pouvoirs inaccessibles aux petits hommes d’aujourd’hui obligés d’inventer des prothèses, comme tout ce qui a trait au domaine de la technologie, pour remplacer ces pouvoirs perdus.

Même l’intelligence devient artificielle ; ces petits hommes en sont fiers [2], qui considèrent cette I.A. comme l’aboutissement de leurs recherches et leur ultime espoir de pouvoir transformer les hommes en robots.

L’I.A. ne pourra pourtant jamais remplacer cette petite flamme qui brille en chaque être humain depuis la nuit des temps et qui le relie, comme un héritage précieux et permanent, aux origines de la vie, aux origines de l’Homme, aux origines du monde, mais aussi aux origines de lui-même, cette petite flamme transmise, concrètement et symboliquement, de génération en génération pendant plus d’un millier d’années par les vestales romaines, qu’ont évoquée quelques grands penseurs, dans des registres bien différents, comme Jean Giono, ou René Guénon [3].

Une amie m’a conseillé de regarder les vidéos d’un jeune astrologue qui reprend cette idée dans une vidéo qu’il intitule : Message pour la Résistance de 2050 ; il assimile cette petite flamme à ce qui constitue la partie immortelle de l’être humain, l’âme, à travers la succession des vies passées et à venir, sans pour autant prononcer le mot de « réincarnation », peut-être pour ne pas effaroucher ses auditeurs. Il rejoint nos propos sur le sujet en prédisant que cette petite flamme sera la seule issue de secours contre les projets funestes que nous a concocté l’Ordre mondial.

C’est encore dans cette vidéo qu’il explique que la séquence « vaccin », ou plutôt « pseudo-vaccin », de 2020 était surtout destinée à inaugurer le cycle d’intrusion du projet totalitariste dans ce que l’être humain a de plus intime : l’intérieur de son corps et il démontre de façon magistrale que l’Intelligence artificielle n’aboutira qu’à nier le statut même de l’être humain qui, passant par l’hybridation, sera progressivement transformé en robot [4].

Le titre de cette vidéo suggère que la partie de l’espèce humaine qui ne s’est pas soumise aux injonctions du Système finira par se révolter et casser le processus de robotisation dans les années 2050. Il nous paraît que cette échéance est bien lointaine et que l’auteur de cette vidéo ne tient pas compte de l’accélération qui se produit en fin de cycle, si tant est que son analyse astrologique intègre le principe même d’un temps cyclique, une notion naturelle issue de l’observation des cycles des végétaux, des animaux, des saisons et des astres qui était commune à toutes les anciennes civilisations traditionnelles dont se réclament les primordialistes, avant que cette notion ne soit abandonnée pour celle, toute artificielle, d’un temps linéaire (un début-une fin) avec l’arrivée des religions du Livre.

Cet astrologue nouvelle génération s’appelle François Barthomeuf (photo), il anime un site consacré à l’astrologie [5] où il propose notamment des cycles de formation à cette discipline qui constitue l’une des plus anciennes sciences sacrées (avec l’astronomie ou l’alchimie, entre autres).

Les Chaldéens mésopotamiens sont les plus anciens sages connus ayant exercé cette discipline et l’ayant transmise de par le monde.

Diodore de Sicile écrit ceci, à leur propos, dans son ouvrage Bibliothèque historique :

« Les Chaldéens enseignent que le monde est éternel de sa nature, qu'il n'a jamais eu de commencement et qu'il n'aura pas de fin. Selon leur philosophie, l'ordre et l'arrangement de la matière sont dus à une providence divine ; rien de ce qui s'observe au ciel n'est l'effet du hasard ; tout s'accomplit par la volonté immuable et souveraine des dieux. Ayant observé les astres depuis les temps les plus reculés, ils en connaissent exactement le cours et l'influence sur les hommes, et prédisent à tout le monde l'avenir. »

Lorsqu’on s’aventure sur Wikipedia, désormais totalement sous la tutelle du Système, on s’aperçoit que l’article consacré à l’astrologie a été parasité par ce qu’on appelle les officines de « vérification », en fait, la nouvelle Inquisition qui frappe d’excommunion (ou d’excommunication) toute idée ou propos qui ne s’insère pas dans le politiquement correct établi par l’Ordre mondial et nos nouveaux maîtres titano-satanistes. Mais leur intervention est tellement caricaturale qu’elle enlève toute crédibilité à leurs propos, jugez-en vous-mêmes : « L'astrologie est considérée comme une pseudoscience relevant du charlatanisme, une croyance indûment présentée comme scientifique, ou comme une superstition. L'astrologie se place, par sa méthode même, en dehors du domaine rationnel ou scientifique. Ses prétendues capacités prédictives ont été réfutées par diverses études scientifiques. »

En quatre lignes, tous les mots-clés propres à effrayer le « progressiste » moyen y sont: pseudoscience, charlatanisme, croyance, superstition.

Nous pouvons en déduire que le Système sait parfaitement où sont ses ennemis. Cela nous conforte dans l’idée que nous sommes sur la bonne voie.

François Barthomeuf consacre trois autres vidéos au thème astral d’Emmanuel Macron qui nous apportent de surprenantes révélations :

Episode 1 : Pluton et le thème d’Emmanuel Macron [6]

Macron est arrivé au pouvoir en se cachant sous un masque, ce qui est l’une des caractéristiques de ceux qui sont marqués par la planète Pluton. Mais François Barthomeuf avait détecté, dès son accession à la Présidence, sa véritable personnalité qui est celle d’un dictateur en potentialité.

Le pouvoir va mater férocement les premières révoltes (Gilets jaunes, paysans).

C’est le règne du mensonge et de la dissimulation qui atteindra son apogée avec les premières mesures vexatoires envers le peuple sous couvert de pseudo-pandémie en 2020 ; les macronistes en profitent pour démanteler les structures financières et économiques de la France et vendre à l’encan nos pépites industrielles.

Episode 2 : Le Monarc [7]

L’anagramme de Macron dévoile sa véritable ambition : Monarc ; Macron se dénommera lui-même Jupiter, le roi des dieux, ce qui est conforme à sa mégalomanie.

Dans cette phase, où les citoyens commencent à montrer les dents, Macron va s’ingénier à fragmenter les revendications et à dresser les différentes fractions sociales les unes contre les autres pour gagner du temps avant que le peuple, dans son ensemble, ne s’aperçoive qu’il a affaire à un pouvoir totalitaire et que les élites ne sont pas du tout bienveillantes envers lui mais, bien au contraire, qu’elles ne visent qu’à le détruire.

Episode 3 : Révolution de 1789 et Révolution de 2026 [8] :

François Barthomeuf évoque une configuration exceptionnelle en mars-avril 2026 qui annonce des bouleversements décisifs en France : c’est Pluton dans le signe du Verseau opposé à Jupiter dans le signe du Lion ; quand on remonte le temps, la seule conjonction identique se situe en… juillet 1789 !

François Barthomeuf évoque aussi à la même époque l’éventualité d’un procès de Macron, suite à ce qui paraît s’annoncer comme une Révolution, mais il nous fait remarquer qu’il faut aussi, pour que cette Révolution réussisse, qu’elle soit menée, d’en haut, par un personnage qui disposerait « d’une légitimité morale, par rapport à la France, un nom qui résonne à l’oreille des Français, qui dépasse les clivages des partis, qui réunisse toute la population française fragmentée au travers d’une vision philosophique (spirituelle ?) pour la France. »

J’ai pensé, en lisant ce portrait, à Pierre De Gaulle, petit-fils du Général, personnage de caractère mais discret, aux idées pleines de bon sens et de sagesse, suffisamment jeune (61 ans) pour exercer de hautes fonctions. Encore une fois, c’est en lisant sa biographie éditée par Wikipedia que je me rallie, par contrecoup, à l’éventualité de sa candidature.

En effet, les rédacteurs de Wikipedia, anonymes, bien sûr, ont montré, en rédigeant cette biographie, leurs aspects les plus répugnants, car elle ne peut pas être plus infâme pour cet homme qui, me semble-t-il, mérite le respect. Le Système fera tout pour qu’il ne puisse pas constituer un recours le moment venu.

Je me suis aussi intéressé à François Barthomeuf parce qu’il pourrait représenter l’un de ces nouveaux éveilleurs de conscience que nous appelons de nos vœux. L’un de ceux que Julius Evola appelait les « êtres différenciés », susceptibles de préparer le nouveau cycle qui s’annonce.

Préparer les germes du cycle futur

Pour expliquer pourquoi j’ai accepté, sans trop de chagrin, que certains de mes lecteurs ne me suivent plus à tel moment de cet article, je voudrais rappeler que René Guénon disait, dans Le Règne de la quantité que les événements qui vont inévitablement advenir « ne pourront pas être compris par la généralité, mais seulement par le petit nombre de ceux qui seront destinés à préparer, dans une mesure ou dans une autre, les germes du cycle futur. Il est à peine besoin de dire que, dans tout ce que nous exposons, c’est à ces derniers que nous avons toujours entendu nous adresser exclusivement, sans nous préoccuper de l’inévitable incompréhension des autres ».

D’autre part, le présent article est constitué de plusieurs strates ; son titre évoque la guerre que se livre depuis bien longtemps les forces d’en haut et les forces d’en bas, pour simplifier, celles du bien et celles du mal. Les propos de François Barthomeuf évoquent plutôt celles du milieu, qui sont à la surface de la Terre qui est le domaine des hommes et que veulent conquérir celles du bas, en éliminant tout simplement ses habitants ou en les transformant en esclaves ou en robots.

Les cyclologues savent qu’une fin de cycle voit toujours le déchaînement à la fois des forces surnaturelles, celles des hommes et celles de la nature.

Les fins de cycle décrites par Mircéa Eliade sont souvent liées à des déluges ou à des catastrophes naturelles, mais bien souvent aussi couplées à des guerres entre les peuples ou entre des forces invisibles, selon les traditions du monde. Il semble bien que, pour la première fois, il pourrait s’agir aussi - en plus - d’une guerre entre les élites au pouvoir et leurs propres peuples à un niveau planétaire, ces élites ayant fait alliance avec les forces d’en bas, que nous appelons titano-satanistes.

François Barthomeuf situe en 2026 une possible révolution en France, un auteur primordialiste chrétien, Jean Phaure (1928-2002), également astrologue, situe la fin de notre cycle en 2030 [9], de même que Nicolas de Cuse (1401-1464). Ces deux dates sont fort proches ; s’agirait-il du même événement, celui de 2026 à l’échelon local, amplifié quatre ans plus tard à l’échelon planétaire ?

L’avenir nous le dira.

Pierre-Emile Blairon

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les globalistes 2

Le Saker FrancophoneLes globalistes enlèvent le masque et c’est mauvais signe…

Le Saker Francophone - 23 oct 2024

Vous souvenez-vous de la dernière fois où les globalistes ont enlevé le masque ? Il n’y a pas si longtemps, mais certains ont peut-être déjà oublié comment le monde occidental a failli perdre toute liberté individuelle sous prétexte d’une urgence sanitaire exagérée.

   

Lorsque les globalistes sont honnêtes sur ce qu’ils veulent vraiment, cela coïncide généralement avec une calamité artificielle.

Au cours des deux années qui ont suivi l’échec de la pandémie de Covid, j’ai affirmé que les organisations globalistes tentaient de se regrouper autour d’un nouveau plan. Les faits suggèrent que ces personnes ont subi une révélation choquante après leur tentative d’instaurer une tyrannie médicale perpétuelle. Ils ont réalisé qu’ils n’avaient pas autant de contrôle sur le flux d’informations et le discours public qu’ils le pensaient à l’origine.

Même avec une censure à spectre complet utilisant des algorithmes pour enterrer les données contraires, même avec la force totale du gouvernement s’associant aux médias sociaux pour faire taire la dissidence, même avec la menace d’un exil économique pour quiconque refuserait de prendre une série régulière de piqûres d’ARNm, ils ont encore échoué. La vérité sur le taux de mortalité par infection (TMI) minimal de Covid s’est encore répandue, de même que les données prouvant l’inutilité des obligations et des confinements. Ils ne pouvaient rien y faire.

Leur ticket d’or pour un contrôle total était de pousser le concept de passeport vaccinal ; les médias alternatifs ont écrasé cet agenda comme un cafard pestilentiel. Si le passeport avait été un succès, nous n’aurions pas cette conversation aujourd’hui. Tout le monde aurait peur de voir son passeport annulé. Tout le monde aurait peur de perdre son accès à l’économie pour avoir dit la mauvaise chose. Tout le monde aurait peur d’être forcé à aller dans des camps Covid (qui étaient en fait un véritable agenda). Ou encore, nous serions au cœur d’une guerre civile sanglante.

Les événements de 2020 avaient pour but d’initier le coup d’État ultime contre l’humanité. Les globalistes ont admis leurs plans à maintes reprises. Klaus Schwab et le Forum économique mondial ont fièrement déclaré que la crise Covid était le catalyseur de la « grande remise à zéro » et de la « quatrième révolution industrielle ». Ils ont affirmé que les confinements n’étaient qu’un début et que la restriction radicale de nos libertés s’étendrait également au changement climatique.

Ils pensaient avoir gagné sans tirer un seul coup de feu, mais ce n’est pas si facile. Bien plus de gens sont éveillés et conscients de leurs motivations qu’ils ne le pensaient, et, du moins en Amérique, plus de 50 millions d’entre eux sont armés. Les bouclages sont maintenant terminés, presque personne n’a pris les rappels de vaccin, beaucoup moins de personnes ont pris le vaccin que ce qu’affirme le CDC, et les passeports vaccinaux ont été mis en échec. Cette victoire a été rendue possible grâce aux efforts des plateformes de médias alternatifs qui ont contourné la censure des grandes entreprises. C’est aussi simple que cela.

C’est pourquoi le prochain événement sera probablement bien pire en termes d’ampleur et de conséquences, et les globalistes tentent déjà de rectifier leur erreur précédente de sous-estimer le journalisme citoyen. Ils essaieront de nous faire taire s’ils le peuvent et ils l’admettent ouvertement dans les conférences récentes et les articles grand public. Le masque tombe une fois de plus et cela me laisse penser que quelque chose de très grave est sur le point de se produire.

Comme je l’ai noté en 2023 dans mon article « De la Covid-19 au changement climatique : Les véhicules de l’autoritarisme global », les globalistes semblent avoir déplacé leurs efforts les plus tyranniques de la pandémie vers le discours sur le climat. Si vous voulez vraiment savoir ce qu’ils font ces jours-ci, vous devez regarder les conférences sur le climat.

À la fin du mois de septembre, une multitude de sommets sur le changement climatique ont eu lieu, dont un organisé par le WEF à New York, appelé « Sustainable Development Impact Meeting » (réunion sur l’impact du développement durable). Cette réunion a été organisée par le WEF en même temps que l’Assemblée générale des Nations unies. Comme on pouvait s’y attendre, les discussions ont souvent dévié du climat vers les « menaces pour la démocratie » et les plaintes amères sur la « propagation de la désinformation ».

John Kerry, ancien candidat démocrate à l’élection présidentielle, ancien tsar du climat sous Joe Biden et participant de longue date au WEF, a dit tout haut ce qu’il y avait de plus silencieux lors du sommet. Il a affirmé que le premier amendement constituait un « obstacle » à une bonne gouvernance et empêchait les élites de contrôler le consensus public.

Tout d’abord, le consensus est très surestimé et souvent empoisonné. Le fondement même de la science est qu’elle est toujours sujette à débat en fonction des preuves. Une fois que vous avez imposé un « consensus », vous avez renoncé à toute diligence raisonnable dans le cadre de la méthode scientifique.

C’est ce qui est apparu clairement lors de la crise Covid, où le « consensus » a été révélé comme étant totalement fabriqué et où la plupart des affirmations faites par les gouvernements et les « experts médicaux » fantoches se sont avérées fausses. N’oubliez pas que ce sont les mêmes personnes qui ont essayé de vous interdire d’aller dans les parcs et de faire du waterboarding à la plage au nom de « l’aplatissement de la courbe ».

Je veux dire, à quel point faut-il être attardé pour croire que les activités de plein air entraînent une transmission virale ? Ce n’est pas de la science, c’est de l’hystérie promue par des gens qui prétendent représenter la science. Il en va de même pour les masques obligatoires, la distanciation sociale, le confinement, etc. Aucune des mesures qu’ils ont appliquées n’était légitime.

Si nous parlons du concept de changement climatique d’origine humaine, l’affirmation d’un consensus scientifique est un mensonge. Les données suggèrent que le changement climatique d’origine humaine n’existe tout simplement pas. Il n’existe aucune preuve de causalité entre les émissions de carbone et le réchauffement climatique. Rien ne prouve que le réchauffement climatique soit à l’origine de phénomènes météorologiques extrêmes. Rien ne prouve que notre cycle de réchauffement actuel soit significatif ou unique par rapport aux autres cycles de réchauffement de l’histoire.

En fait, le Washington Post a récemment et accidentellement prouvé le point de vue des médias alternatifs sur le changement climatique en essayant de cartographier l’historique des températures de la Terre sur 450 millions d’années, pour découvrir ce que je dis depuis longtemps : les températures actuelles sont bien plus basses qu’elles ne l’ont été au cours de la majeure partie de l’histoire de la Terre.

Mais la question la plus importante ici est l’affirmation de John Kerry selon laquelle la gouvernance nécessite un contrôle de l’information publique. Le problème fondamental de Kerry est qu’il considère qu’il appartient aux élites et au gouvernement de modérer l’information pour le plus grand bien de tous. Personne ne leur a donné la permission de le faire. Le gouvernement n’existe pas pour créer un consensus.

C’est le peuple qui est aux commandes, John. En tant qu’homme politique, vous n’êtes qu’un fonctionnaire, rien de plus. Vos opinions sur la liberté d’expression n’ont pas d’importance.

Certaines des désinformations les plus flagrantes sont souvent diffusées au public par le gouvernement et ses sources médiatiques approuvées au nom de la « sauvegarde de la démocratie ». Ils mentent constamment. John Kerry est simplement en colère parce que le public a maintenant les moyens de l’exposer, lui et ses acolytes. Si une « démocratie » a besoin de censure pour survivre, alors elle ne vaut pas la peine d’être sauvée.

Enfin et hypocritement, Kerry suggère que la démocratie est « trop lente » pour mettre en œuvre les changements de société qu’il considère comme nécessaires pour créer un consensus et une « unité ». Si le 1er amendement est un « obstacle » à un contrôle de l’information et à une gouvernance plus efficaces, alors lui et ses frères visqueux doivent avoir l’intention de le supprimer. En d’autres termes, il pense que la tyrannie fonctionnerait mieux parce qu’elle est beaucoup plus rapide que d’essayer de manipuler le public avec de la propagande.

Il ne le dit pas explicitement, mais c’est exactement ce qu’il laisse entendre.

À l’exception de certains discours prononcés par Klaus Schwab au plus fort de la pandémie, les déclarations de Kerry sont peut-être la déclaration la plus ouverte d’intentions autoritaires globalistes que j’aie jamais entendue. Il fait tomber le masque et cela m’inquiète.

Ses arguments s’inscrivent dans la lignée d’un certain nombre d’articles publiés ces deux derniers mois par les médias de l’establishment. Le New Yorker vient de publier un article intitulé « Est-il temps de brûler la Constitution ? “ Le New York Times a publié un traité intitulé « La Constitution est sacrée. Est-elle aussi dangereuse ? “ Il a également rédigé un article soulignant les avantages potentiels de gouvernements despotiques dans des pays comme le Brésil, qui menacent de fermer l’accès public à X (Twitter) d’Elon Musk afin de forcer le site à censurer les comptes des citoyens. Ces personnes sont sur le pied de guerre pour convaincre le public que la liberté d’expression est une menace.

Lorsque les élitistes politiques et leurs laquais commencent à s’attaquer à la liberté d’expression, c’est généralement en préparation d’une crise majeure qu’ils espèrent utiliser comme moyen d’éliminer les libertés publiques. La liberté d’expression est la liberté la plus importante parce qu’elle permet à la population de discerner la vérité par le débat et de savoir ce qu’il faut faire.

Les globalistes pensaient avoir la mainmise sur l’information pendant la guerre froide, mais ils se sont trompés. Ils ne referont pas la même erreur. Quelle que soit la prochaine crise, ils chercheront certainement à réduire au silence les médias alternatifs et toutes les plateformes de médias sociaux rebelles avant d’aller de l’avant.

Brandon Smith

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coupures Linky

InsolentiaeLes fraudes au Linky, 100 000 compteurs suspects

Insolentiae - 22 oct 2024

Ce reportage est symptomatique de ce qu’il se passe dans notre pays.

   

Mon Linky personnel a grillé en janvier dernier. Totalement grillé. Boum… d’un coup plus de jus dans la maison… Linky kaput !

Enedis a mis 7 mois pour venir le remplacer… en fait le technicien d’Enedis est venu le jour même nous remettre le courant, mais le nouveau compteur a mis 7 mois à être posé.

Alors je ne sais pas combien ils sont à la brigade de contrôle mais ça va mettre du temps d’aller vérifier à la main les 100 000 compteurs “suspects”.

Vous pouvez considérer que c’est du vol, mais quand on vous vend l’électricité en aucun cas au prix où elle devrait l’être, et où tous les citoyens de ce pays se font escroquer par un système inique, nous pouvons dire qu’il est compréhensible que certains, de plus en plus nombreux, fassent la distinction philosophique entre légalité et moralité. Ce n’est peut-être pas légal de tricher sur son Linky, mais cela n’étouffe plus la moralité des gens.

Vous avez donc sous les yeux, une amplification du rejet de l’ensemble du système par les gens.

C’est à bas bruit, mais c’est réel.

Et ce n’est pas la hausse de la fiscalité qui va arranger les choses.

En fait, il faudrait juste que les dirigeants fichent la paix au peuple et se souviennent qu’ils sont là pour nous servir, pas pour se servir.

« Chaque année, le groupe Enedis doit faire une croix sur 250 millions d’euros en raison de la fraude Linky, qui consiste à tromper le boîtier en y apposant par exemple un câble. Une pratique frauduleuse qui peut exposer à de la prison et une lourde amende. »

Le 20h - France Télévisions

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Trump - Poutine

Égalité et RéconciliationTrump, le retour ? avec Xavier Moreau et Alain Soral

Égalité et Réconciliation - 21 oct 2024

ERTV vous propose une nouvelle émission dédiée à l’élection présidentielle américaine ! Paul Verbeke reçoit Xavier Moreau pour analyser la relation Trump-Poutine avec la participation spéciale d'Alain Soral.

   

C’est la série spéciale d’ERTV qui vous plonge chaque semaine dans les coulisses de l’élection présidentielle américaine, un enjeu majeur qui se jouera le 5 novembre prochain.

Paul Verbeke accueillera Xavier Moreau pour décrypter en profondeur la relation Trump-Poutine, un sujet qui a nourri tant de spéculations et de controverses dans les médias internationaux. À cette occasion, Alain Soral se joindra également à la discussion pour enrichir le débat.