Malgré les menaces proférées par les instances du CIO (Comité international olympique), contrôlées par l’occident otanien, à l’égard des athlètes qui participeraient à ces Jeux, perçus par les occidentaux comme concurrents des Jeux olympiques, dont la Russie est temporairement exclue, une centaine d’États représentant l’énorme majorité de la population mondiale ont annoncé leur participation.
• https://tass.com/sports/1796659
Pour une première édition, ce sera un succès incontestable de la Russie en pleine guerre d’Ukraine.
Si le CIO mettait ses menaces à exécution, l’occident otanien, qui déroule toujours le tapis rouge à la délégation d’un État génocidaire, poursuivi en Justice par les deux grandes institutions judiciaires internationales, finirait par se retrouver isolé avec des JO qui ne représenteraient plus la planète entière, mais le seul occident collectif. À méditer.
Dominique Delawarde
Fauci doit témoigner lundi pour répondre d’avoir trompé le Congrès sur l’implication des NIH dans la recherche sur le gain de fonction, les origines du COVID, et d’avoir ensuite dissimulé cette recherche risquée menée à l’Institut de virologie de Wuhan en Chine.
Le Dr Anthony Fauci a avoué, dans un témoignage retentissant devant le Congrès, qu’il avait « inventé » les règles gouvernementales du COVID, notamment la mesure de distance sociale de 2 mètres et le port du masque pour les enfants.
Dans son témoignage de janvier, publié la semaine dernière par la sous-commission de la Chambre des représentants sur la pandémie de coronavirus, Fauci a admis que la règle de la distance sociale d’un mètre était « apparue comme ça » et qu’il ne se souvenait pas de la manière dont elle avait été élaborée.
« Vous savez, je ne m’en souviens pas. C’est en quelque sorte apparu tout seul », a déclaré Fauci, selon les transcriptions de la commission.
En outre, Fauci a admis qu’il ne se souvenait pas d’avoir lu quoi que ce soit prouvant que le masquage des enfants permettrait de lutter contre le COVID.
« Vous souvenez-vous d’avoir examiné des études ou des données en faveur du masquage des enfants ? », lui a-t-on demandé.
« Il se peut que je l’aie fait », a répondu Fauci avant d’ajouter : « mais je ne me souviens pas de l’avoir fait spécifiquement ».
« On lui a demandé s’il avait suivi l’une ou l’autre de ces études.
« Non », a-t-il répondu. « Mais je crois qu’il y a aussi beaucoup d’études contradictoires, qu’il y a celles qui disent, oui, qu’il y a un impact, et celles qui disent qu’il n’y en a pas. »
« Je ne sais pas encore si le fait de masquer les enfants est un moyen prouvé de prévenir la transmission », a-t-il ajouté.
Une étude des National Institutes of Health (NIH) a conclu que l’impact du port du masque sur l’alphabétisation et l’apprentissage des élèves était « très négatif ».
Une autre étude des NIH a montré que les effets de la distanciation sociale provoquaient « dépression, anxiété généralisée, stress aigu et pensées intrusives ».
Fauci doit témoigner lundi devant le Congrès pour la première fois depuis qu’il a démissionné de son poste de directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID). Il devrait y répondre d’avoir induit le Congrès en erreur au sujet de l’implication des NIH dans la recherche sur le gain de fonction, des origines du COVID et de la dissimulation de cette recherche risquée menée à Wuhan, en Chine.
« Notre enquête a confirmé que [Fauci] a effectivement menti, qu’il a commis un crime en affirmant que les NIH ne finançaient pas la recherche sur le gain de fonction, la recherche dangereuse en Chine. Nous savons maintenant que c’est faux. Nous savons qu’il a commis un crime », a déclaré dimanche le sénateur Rand Paul (R-Ky.) à Maria Bartiromo, animatrice de Fox News.
Xavier-Louis de Izarra nous dévoile la technique pour mettre un président à quatre pattes (ou un dirigeant quelconque, ça peut être aussi un journaliste, un média, un intellectuel, un philosophe, peu importe), pour qu'il soit docile, obéissant, pour qu'il soit un bon petit soldat, une belle marionnette, un pantin, un soumis qui lèche les bottes de ses supérieurs avec délectation.
« Il faut prendre un petit voyou, à col blanc, qui vendrait père et mère et même ses enfants. Ce voyou, on le choisit jeune, beau, intelligent, instruit. Il a fait l’E.N.A ou une grande école de cet ordre. Il sait parler et embrouiller les gens, il les ensorcelle, parce que son cerveau est fait pour ça. C’est son métier.
Ce voyou doit avoir commis un délit grave dont tu as les preuves : trafic d’enfants, pédophilie, escroquerie à grande échelle dans la haute finance, etc. Et là, tu lui proposes un marché : soit je t’envoie dans les ténèbres, en taule, soit je t’envoie en politique en pleine lumière et tu seras bien payé avec tous les honneurs, une belle situation sociale et une belle cravate. Mais attention, si on te place au pouvoir, il faudra nous obéir au doigt et à l’œil. Par exemple, tu iras te baigner dans l’eau polluée de la Seine avec les crottes de poisson, les déchets humains, les boites de sardine périmées.
Forcément, le voyou vendra son âme pour sauver sa peau de misérable. »
Psychologue clinicienne, docteure en psychopathologie et écrivain, Ariane Bilheran est une spécialiste reconnue des dérives sectaires et des mécanismes de manipulation mentale.
Dans son dernier livre, « Psycho-pathologie du Totalitarisme. Sommes-nous dans une dérive totalitaire ?« , paru aux éditions Guy Trédaniel, elle s’intéresse aux ressorts psychologiques et sociaux qui conduisent à l’émergence de régimes totalitaires et à la soumission des individus à ces systèmes de domination.
Au cours de cet entretien, elle revient sur les principales thèses de son livre et sur les signes avant-coureurs qui doivent nous alerter sur les risques de dérive totalitaire. Elle nous parle également de son expérience de conférencière et de formatrice, et de la nécessité de développer une culture de la résistance et de la liberté pour faire face aux défis de notre temps.
Une interview passionnante à découvrir dès maintenant sur Le Média en 4-4-2.
00:00– Ukraine : pourquoi la Russie a gagné :
• Géopolitique profonde
• Françoise Thom, histoire d’un échec
• Ukraine.ru : que faire de l’Ukraine ?
15:00– Économie :
• Micro-électronique : le grand remplacement
• Le retour des machines à laver
19:10 – Politico-diplomatique :
• V. Poutine en Ouzbékistan
• V. Poutine vs Genève
• Rencontre Séoul-Tokyo-Pékin
• Talibans : normalisation
25:30 – Terrorisme :
• Kiev : prise d’otages de masse
28:50 – Armement :
• Pologne : missiles US
• OSINT : escroquerie
• Aide militaire suédoise
• Médias anglosaxons vs dictature du réel
37:18 – Considérations militaires générales
• Pertes russes vs pertes ukrainiennes
• La sale guerre de Macron
• Houthis vs OTAN
46:00 – Carte des opérations militaires
The Verge rapporte que les documents qui ont fait l'objet de la fuite, soit 2 500 pages, donnent un aperçu sans précédent de la manière dont l'algorithme de recherche de Google classe les sites web, un processus qui a longtemps été entouré de mystère. La fuite a été communiquée à Rand Fishkin, un expert en référencement ayant plus de dix ans d'expérience, par une source qui espérait contrer ce qu'elle croyait être des « mensonges » répandus par les employés de Google sur la fonctionnalité de l'algorithme de recherche.
Bien que les informations divulguées soient très techniques et plus accessibles aux développeurs et aux professionnels du référencement, elles offrent des indications précieuses sur les données que Google recueille sur les pages web, les sites et les internautes. Bien que les documents ne prouvent pas définitivement que Google utilise les données et les signaux mentionnés pour le classement des recherches, ils fournissent des indices indirects sur ce que l'entreprise juge important, selon l'expert en référencement Mike King.
La fuite concerne divers aspects de l'algorithme de recherche de Google, notamment le traitement de sujets sensibles tels que les élections, le traitement des petits sites web et les types de données collectées et utilisées. Notamment, certaines informations semblent contredire les déclarations publiques faites par les représentants de Google, comme le soulignent Fishkin et King.
"Le terme « mensonge » est un peu fort, mais c'est le seul mot exact à utiliser ici", a écrit M. King dans son analyse des documents.
Google n'a pas contesté publiquement la légitimité des documents divulgués, malgré les nombreuses demandes de commentaires de The Verge. Toutefois, un employé de Google a contacté Fishkin pour lui demander de modifier certains termes de son article concernant la caractérisation d'un événement.
L'algorithme secret du géant de la recherche a donné naissance à toute une industrie de spécialistes du marketing qui suivent de près les conseils publics de Google pour optimiser les sites web de millions d'entreprises dans le monde. L'utilisation généralisée de ces tactiques a donné l'impression que les résultats de recherche de Google se détériorent, encombrés de contenus de mauvaise qualité que les exploitants de sites web se sentent obligés de produire pour maintenir leur visibilité.
Les documents ayant fait l'objet d'une fuite soulèvent des questions quant à l'exactitude des déclarations publiques de Google concernant le fonctionnement du moteur de recherche. Par exemple, alors que les représentants de Google ont indiqué à plusieurs reprises que les données de Chrome ne sont pas utilisées pour le classement des pages, les documents mentionnent spécifiquement Chrome dans les sections traitant de la manière dont les sites web apparaissent dans les résultats de recherche.
Un autre point de désaccord concerne le rôle de E-E-A-T (expérience, expertise, autorité et fiabilité) dans le classement. Bien que les représentants de Google aient précédemment déclaré que l'E-E-A-T n'était pas un facteur de classement, les documents suggèrent que Google recueille des données sur les auteurs des pages et dispose d'un champ indiquant si une entité figurant sur la page en est l'auteur.
« Si je ne reproche pas nécessairement aux représentants publics de Google d'avoir protégé leurs informations confidentielles, je m'insurge contre leurs efforts visant à discréditer activement les personnes du monde du marketing, de la technologie et du journalisme qui ont présenté des découvertes reproductibles »
Ce qui est une réalité en revanche, c’est le test qui a été mené.
Vers une limitation temporaire de puissance chez les particuliers pour faire baisser la consommation ?
En effet la puissance électrique de 115 000 foyers a été limitée dans le cadre d’une expérimentation, le 15 février dernier. Un test mené pour juger de la viabilité, ou non, du dispositif afin d’éviter de potentiels délestages en hiver.
« Limiter la puissance électrique des compteurs Linky. Telle est l’expérimentation menée par Enedis le 15 février dernier, et qui a concerné 115 000 foyers du Puy-de-Dôme. Ce mardi 27 mai, TF1 a publié les résultats de ce test grandeur nature où l’électricité des particuliers a été limitée à 3 000 watts pendant deux heures.
D’après les chiffres de la filiale d’EDF, la mesure a permis une baisse de 20 % de la consommation sur la tranche horaire de 7 heures à 9 heures. Les clients ont également été répartis sur deux autres plages (9 heures-11 heures ; 18 heures-20 heures). Trois créneaux qui représentent les pics de consommation électrique habituelle.
Toujours accès au télécran d’Orwell et à la bonne parole de la télé… mais pas au linge propre !
« Cette réduction de puissance permet, pour chaque habitation, de préserver l’essentiel des besoins du quotidien. À savoir l’utilisation de la lumière, du congélateur, d’internet, de l’ordinateur et de la télévision. Mais impossible, en revanche, de faire fonctionner les lave-linge, lave-vaisselle ou bien d’importants dispositifs de chauffage gourmands en électricité. »
Vers la généralisation… inéluctable.
« Ce dispositif, s’il était généralisé par les pouvoirs publics et étendu à l’ensemble du territoire, en cas de pénurie d’électricité, permettrait de faire baisser le risque des délestages qui restent l’ultime dispositif pour éviter une panne généralisée, précise la société. Si 10 millions de clients par tranche de 2 heures (matin ou soir, au moment des pics de consommation) participaient à ce dispositif, cela permettrait d’économiser une consommation équivalente à la production de 2 réacteurs nucléaires. » Soit l’équivalent de l’alimentation en électricité des villes de Marseille, Lyon et Toulouse (2 millions d’habitants).
C’est toujours ainsi que se matérialisent les effondrements.
Par des pénuries.
Par des rationnements.
Et ce qui est terrible, par une réduction des libertés.
Charles SANNAT
Elle a amené le petit voisin balte de la Russie à adopter une position anti-Moscou résolument faucon. Le pays a fait partie de la vague de pays d’Europe de l’Est qui ont adhéré à l’OTAN au milieu des années 2000, sous l’ère Bush.
Elle appelle à l’éclatement de la Fédération de Russie. Lors d’un débat à Tallinn, capitale du pays, la semaine dernière, Kallas a proposé que la Russie devienne beaucoup plus « petite » comme résultat souhaité de la guerre en Ukraine.
« La défaite de la Russie n’est pas une mauvaise chose, car on sait alors qu’il pourrait y avoir un véritable changement dans la société », a déclaré la première ministre lors de la 17e conférence Lennart Meri, comme l’a traduit la chaîne russe RT.
Elle a ajouté qu’à l’heure actuelle, la Fédération de Russie peut être considérée comme composée de « nombreuses nations différentes » et qu’elles pourraient naturellement être divisées en États distincts.
« Je pense que si vous aviez plus de petites nations… ce n’est pas une mauvaise chose si la grande puissance est en fait beaucoup plus petite », a affirmé Kallas.
Malgré sa petite taille, l’Estonie s’est exprimée ouvertement au cours des derniers mois à propos de la guerre. Par exemple, elle a récemment semblé soutenir l’appel du président français Macron pour que l’OTAN envisage d’envoyer des troupes occidentales en Ukraine.
Il s’agit de la collaboration entre les entreprises pharmaceutiques, les autorités de régulation et l’industrie médicale. Le problème est si vaste qu’il est difficilement descriptible dans un court article.
Il s’avère que les inefficaces injections anti COVID n’étaient qu’un début. D’après ce que nous savons et ce que nous avons découvert au cours des enquêtes, la piqûre a été mise au point rapidement comme contre-mesure pour détourner l’attention du problème de la fuite d’un laboratoire. La population mondiale a été prise en otage pendant un an et plus, le temps que l’inoculation soit mise en place. Mais une fois le vaccin déployé, il est devenu évident qu’il ne pouvait pas réellement bloquer l’infection ou arrêter la propagation. Tout le monde a donc contracté le virus malgré tout, et nous nous retrouvons avec d’énormes dégâts causés par les vaccins eux-mêmes.
J’ai raconté cette brève histoire au Dr Drew Pinsky, le célèbre médecin spécialiste de la toxicomanie qui tient aujourd’hui un podcast vidéo très populaire. Il n’a rien trouvé à redire au scénario décrit ci-dessus. Il a immédiatement ajouté qu’il y avait de nombreux parallèles avec la crise des opioïdes qui l’a conduit à se lancer dans la défense des intérêts publics. Les sociétés pharmaceutiques ont fait de la publicité pour des médicaments miracles capables de soulager la douleur sans risque d’accoutumance.
La frénésie de prescription était si intense que certains médecins craignaient même des sanctions s’ils ne prescrivaient pas. Il en est résulté, bien entendu, une crise de dépendance désastreuse qui perdure encore aujourd’hui. Contrairement aux fabricants de vaccins, les producteurs n’ont pas été indemnisés pour les préjudices subis, et pas moins de 50 milliards de dollars ont été versés aux victimes rien que l’année dernière. Les chiffres sont ahurissants.
Juste au moment où l’on pense avoir atteint le fond du problème, de nouvelles informations arrivent. Hier soir, j’ai eu le privilège d’assister à une conférence de Sheila Matthews-Gallo, fondatrice d’AbleChild, une organisation qui défend les droits de l’enfant contre la médicalisation forcée. Pourquoi une telle chose serait-elle nécessaire ? Il s’avère que de nombreux enfants, si ce n’est la plupart, sont aujourd’hui confrontés quotidiennement à cette menace dans les écoles publiques. Ils peuvent être identifiés comme souffrant de TDAH ou de trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité.
Il s’avère qu’il n’y a rien de prouvé chimiquement pour constituer le TDAH. Il s’agit d’un diagnostic entièrement basé sur le comportement identifié à l’aide d’une liste de contrôle. La liste de contrôle porte sur l’agitation, l’oubli, l’ennui, l’achèvement des tâches, les différents comportements, l’expression de frustrations, etc. En d’autres termes, il s’agit d’une liste de tous les signes auxquels on peut s’attendre lorsqu’on demande à des garçons en particulier de rester assis sans bouger à un bureau pendant des mois et des années et d’accomplir des tâches qui leur sont assignées par une figure d’autorité.
Avec ce type de diagnostic, vous risquez d’embarquer un grand nombre d’enfants, en particulier les enfants exceptionnels et ceux qui étaient autrefois considérés comme « doués et talentueux ». Il s’avère qu’il existe aujourd’hui une vaste industrie visant à pathologiser des comportements tout à fait normaux. Les garçons sont particulièrement touchés car, en général, ils mûrissent plus lentement que les filles et ont tendance à opposer une résistance comportementale à l’adaptation à l’environnement par rapport aux filles.
Pour en savoir plus sur cette réalité étonnante, voir « La fraude du TDAH« , un livre qui ouvre les yeux.
À quoi peut bien servir un tel diagnostic ? Vous l’avez deviné : il existe des médicaments pour ce prétendu problème. Ils portent différents noms : Ritaline (méthylphénidate), Adderall (amphétamine), Dexméthylphénidate, Lisdexamfétamine, Clonidine et Atomoxétine. Il n’a pas été prouvé qu’un seul d’entre eux soit un remède chimique à une quelconque anomalie biologique. Ce sont tous des médicaments d’adaptation comportementale, c’est-à-dire des psychotropes, c’est-à-dire des narcotiques pour enfants.
Des millions d’enfants en prennent, jusqu’à 13 % des adolescents. Le taux augmente dans la population universitaire. Environ un adulte sur trois prend des médicaments psychiatriques. La situation s’aggrave. Cela commence à l’école.
En écoutant tout cela, j’ai été stupéfait. Et pourtant, d’une certaine manière, cela correspond à tout ce que nous savons. Nous avons ici une industrie qui travaille en étroite collaboration avec des institutions gouvernementales telles que les écoles publiques, les autorités de régulation et les autorités médicales, qui administrent des médicaments aux gens en leur promettant des miracles, mais avec des résultats qui ruinent en fait des vies.
Imaginez à quel point vos années d’école auraient été différentes si vous aviez développé une dépendance à la drogue et vécu de médicaments psychotropes dès l’âge de 7 ans. J’ai heureusement été épargné par un tel destin. Mais des millions d’enfants aujourd’hui ne peuvent pas en dire autant. C’est tout à fait étonnant. Il me semble qu’il s’agit d’un scandale qui ne demande qu’à éclater au grand jour.
Parmi les facteurs connexes, comme RFK Jr. l’a souligné en public récemment, il y a l’étrange relation entre les fusillades dans les écoles et la distribution à grande échelle de ces drogues. Nous connaissons déjà de nombreux cas, mais les dossiers médicaux d’autres personnes ne sont pas divulgués, même si le public comprend de plus en plus que le véritable problème n’est pas celui des armes à feu, mais celui des produits pharmacologiques. Et pourtant, les activistes eux-mêmes se concentrent entièrement sur la suppression des armes à feu plutôt que d’approfondir la question.
J’ai fait l’expérience personnelle de jeunes adultes qui sont dépendants de l’Adderall. À bien des égards, lorsque l’on est étudiant, l’Adderall semble être un médicament miracle. À l’université, la discipline concernant l’utilisation du temps n’est plus une priorité. Au lieu de cela, on exige de rendre de longs travaux dans les délais, de mémoriser de vastes connaissances que l’on peut recracher lors d’un examen et oublier le lendemain, et de rester intensément concentré de manière sporadique. Pour de nombreux étudiants, cette drogue est exactement ce que le médecin a prescrit : elle permet de passer des nuits blanches hyperconcentrées suivies d’un jour ou deux où l’on se sent comme un zombie, sans que personne ne le remarque.
J’ai connu de nombreuses personnes qui développent des dépendances, non seulement physiques mais aussi psychologiques : la vie sans la drogue semble ennuyeuse en comparaison, et qui veut cela ? Ces étudiants transposent ce phénomène dans leur vie professionnelle et tentent de reproduire le même schéma. Ils peuvent travailler toute la journée et rester éveillés toute la nuit pour obtenir quelque chose qui semble époustouflant mais qui n’est pas tout à fait ce que vous aviez demandé. Vous demandez des solutions, mais elles n’arrivent pas. En fait, vous n’entendez plus parler d’eux pendant des jours, jusqu’à ce qu’ils réapparaissent sans aucun souvenir du travail qu’ils ont accompli. Ce schéma se répète.
Peu à peu, j’ai compris que le vrai problème était la drogue. J’en ai conclu que je préférais avoir un employé modérément productif qui avait au moins un rythme de travail régulier et un léger souvenir des compétences qui pouvaient être développées au fil du temps. Le problème, c’est que lorsqu’on embauche quelqu’un, il n’est pas très correct de poser des questions telles que : quelles sont les drogues que vous prenez ? On finit par deviner, et parfois par se tromper.
Ma longue expérience me permet de vous dire que ces médicaments sont une catastrophe pour la vie professionnelle. Personne ne devrait jamais en prendre. C’est en tout cas mon opinion réfléchie, et je mets souvent en garde les étudiants contre ces médicaments. Et ce qui est vrai pour les collégiens l’est des milliers de fois plus pour les lycéens et les écoliers. Il est tout à fait scandaleux que ces drogues soient distribuées comme des bonbons aux écoliers. Les parents ont le droit et l’obligation de résister.
Il est d’autant plus étonnant d’apprendre, comme je l’ai fait hier soir, que le diagnostic de TDAH n’a jamais eu de fondement scientifique, pas plus que la distanciation sociale. Tout a été inventé pour servir l’État et les acteurs adjacents du secteur privé qui bénéficient de divers mandats qui, d’une manière ou d’une autre, aboutissent toujours à droguer la population. Tout cela me stupéfie.
Pensez à la situation dans son ensemble. Nous avons créé ces écoles publiques, forcé les enfants à les fréquenter, leur avons interdit tout travail rémunérateur, avons mis les garçons et les filles ensemble, avons imposé des programmes uniformes comme si tous les élèves apprenaient au même rythme, avons retiré leur pouvoir discrétionnaire aux enseignants et avons truffé les institutions de bureaucraties massives. Lorsque les enfants ne s’adaptent pas bien à l’environnement, nous les qualifions de malades mentaux et nous les droguons de manière à ce que les entreprises pharmaceutiques liées à l’État puissent en tirer profit.
Ce niveau de cruauté est réellement intégré au système. Il est étonnant qu’une société civilisée puisse l’accepter. Et une fois que l’on découvre l’ampleur du scandale, il faut commencer à poser d’autres questions sur les médicaments amaigrissants, d’autres vaccins et remèdes miracles, ainsi que sur l’ensemble des rouages de la médecine allopathique elle-même. Oui, le terrier est très profond.
Ce projet, qui vise "à renforcer la préparation et la réponse aux pandémies", a été critiqué par certains pays du Sud, qui craignent qu'il ne rogne leur souveraineté nationale.
Le projet de traité pandémie a été lancé par l’OMS en 2021, après la pandémie de Covid-19. Il vise à établir un cadre juridique contraignant pour les États membres de l’OMS, afin de renforcer leur préparation et leur réponse aux pandémies. Le traité prévoit notamment la création d’un mécanisme de surveillance et de vérification des alertes sanitaires, ainsi que la mise en place de mesures de contrôle aux frontières et de restrictions de voyage en cas de pandémie.
Si le projet de traité pandémie a été salué par certains comme une avancée majeure dans la lutte contre les pandémies, il a également suscité des critiques de la part de certains pays du Sud. Ces derniers craignent que le traité ne leur impose des mesures sanitaires coûteuses et inadaptées à leur contexte local, et ne rogne leur souveraineté nationale en matière de santé publique. Ils ont également dénoncé le manque de transparence et de consultation dans le processus d’élaboration du traité.
Face à ces critiques, l’OMS a annoncé que le projet de traité pandémie ne serait pas adopté lors de l’Assemblée mondiale de la santé qui se tient actuellement à Genève. Tedros Adhanom Ghebreyesus a déclaré que l’organisation allait « prendre le temps nécessaire pour écouter, apprendre et répondre aux préoccupations et aux besoins de tous les États membres ». Il a également appelé à « renforcer la coopération et la solidarité internationales » dans la lutte contre les pandémies.
L’OMS recule donc sur son traité pandémie, mais risque de revenir à la charge prochainement…
Monsieur Arthur BOIX-NEVEU qui a pris ses fonctions à la mairie de Barberaz le 06 juillet 2020 est un maire plein de courage, et a déjà reçu 14 médecins qui ont prêté le “serment d’Asclépios”.
Comment est né le Serment d’Asclépios ? :
Beaucoup trop de médecins et de pharmaciens ont trahit le serment qu’ils avaient pourtant solennellement prêté.
L’honneur et la probité médicale ont été gravement corrompus, par les conflits d’intérêts cachés, les consentements éclairés bafoués, l’autonomie des personnes non respectée.
En prêtant le Serment d’Asclépios, les professionnels de santé s’engagent à respecter des valeurs telles que l’intégrité, la bienveillance, la dignité des personnes, la confidentialité, l’humilité, et à exercer leur métier avec compétence et conscience professionnelle. Il s’agit ainsi de renforcer la confiance entre les professionnels de santé et les patients, et de contribuer à l’amélioration de la qualité des soins.
Le Serment d’Asclépios vise également à sensibiliser le grand public sur l’importance de l’éthique dans le domaine de la santé, et à encourager les patients à être des acteurs pleinement informés et impliqués dans leur prise en charge.
Qui peut prêter le Serment d’Asclépios ?
Le Serment d’Asclépios peut être librement prêté par toutes les personnes exerçant déjà ou désirant exercer une profession de santé quelle qu’elle soit, afin de les aider à se relier entre elles autour de valeurs éthiques communes :
Tout professionnel de santé diplômé (en possession d’un diplôme d’Etat) y compris les professionnels retraités.
Tout étudiant dans l’une des professions de santé (reconnues par un diplôme d’Etat), même s’il n’est pas encore diplômé (Le futur professionnel peut prêter serment une première fois « en tant qu’étudiant en ….. », puis plus tard, une seconde fois, en tant que diplômé « dans la profession de …. ». Rappel : « Au moment d’être admis(e) à exercer mon art dans la profession d’(e)…………..…………………… je promets de rester fidèle aux lois de l’honneur et de la probité »).
Tout professionnel exerçant un métier au contact direct de personnes malades et dont l’activité, ou l’une des activités, relève de soins aux personnes malades.
Toute personne exerçant régulièrement une activité reconnue de secourisme (exemple de prérequis en France : formation intitulée « Premiers Secours en Equipe de niveau 1 et 2 »)auprès de personnes malades.
Pour qu’un professionnel puisse prétendre prêter le Serment d’Asclépios, les actes qu’il réalise auprès de personnes malades doivent être curatifs et/ou préventifs.
Sont donc inclus les praticiens exerçant des soins holistiques énergétiques et/ou traditionnels dont la finalité est de maintenir ou d’améliorer la santé des personnes malades.
Pour toute personne exerçant une profession « non soignante » qui souhaiterait tout de même prêter le Serment d’Asclépios, il suffit :
Que l’une de ses activités fasse partie de la chaine du soin et lui permette d’être au contact direct des personnes malades, comme par exemple : pompier, assistante sociale, secrétaire médicale, diététicienne, etc.
Ou bien, à minima, si ses actes s’avèrent bénéfiques pour les personnes malades, qu’ils soient impérativement réalisés dans un cadre dédié ou adapté à l’accueil de ces personnes, comme par exemple : socio-esthéticienne, coiffeur, clowns (intervenant en établissement de soin et de santé, type hôpitaux, cliniques, Ehpad, Centres Médico-Psychologiques, Foyers d’Accueil Médicalisé, etc.), professeur d’éducation physique (sport sur ordonnance), etc.
[...]
Ce sombre pronostic de la part de la personne la plus riche du monde a été formulé lors de l’événement VivaTech 2024 à Paris, dans le cadre d’un discours sinueux dans lequel Musk a affirmé avec ferveur que l’IA fournirait tous nos biens et services à l’avenir.
« Ma plus grande crainte est l’IA », a déclaré le magnat.
Il a également affirmé que l’IA serait meilleure que les humains dans tous les domaines, reléguant ainsi notre espèce à faire de son mieux pour soutenir les machines.
Musk, père d’au moins dix enfants, a déclaré que les humains pourraient être en mesure de travailler « comme un passe-temps », s’ils le souhaitent, mais il a finalement brossé un tableau sombre de l’avenir où, selon ses prédictions antérieures, l’IA nous supplantera dans tous les domaines.
Dans le même ordre d’idées, la société d’IA de Musk, surnommée simplement « xAI », aurait obtenu un financement de 6 milliards de dollars de la part de Lightspeed Venture Partners, Andreessen Horowitz, Sequoia Capital et Tribe Capital, pour une valorisation totale de 18 milliards de dollars.
Comme l’a récemment rapporté Cointelegraph, Musk affirme que xAI est à la traîne par rapport aux leaders du secteur que sont OpenAI et DeepMind, mais qu’elle pourrait les rattraper d’ici la fin de l’année 2024.
Ce sentiment, associé à sa prédiction selon laquelle l’IA dépassera les humains d’ici 2025, indique qu’il pense que son entreprise fera partie de celles qui pourront potentiellement créer une IA capable d’une cognition de niveau humain.
Il convient de mentionner que les prédictions de Musk en matière d’IA n’ont pas toujours été aussi bonnes. En 2019, il a promis que Tesla mettrait en circulation un million de taxis-robots entièrement autonomes d’ici 2020.
Plus récemment, il a affirmé que Tesla dévoilerait son premier robotaxi en août 2024.
« Si l’ordinateur et les robots peuvent tout faire mieux que vous, votre vie a-t-elle un sens ? Je pense que l’homme a peut-être encore un rôle à jouer dans ce domaine, en ce sens que nous pouvons donner un sens à l’IA »