La conclusion de l’étude est sans appel : "Contrairement à l'idée reçue selon laquelle le nombre de morts diminuerait grâce aux masques puisqu’ils permettent de réduire les taux d’infection, les résultats de cette étude démontrent que ce n’est pas le cas". Et pour cause : le nombre de morts aurait augmenté en raison de l’obligation du port du masque, peut-on lire : "Les résultats de cette étude suggèrent fortement que le port du masque a en réalité augmenté le nombre de décès de 50% par comparaison avec les comtés qui n’ont pas adopté cette mesure".
L’erreur consisterait à penser que la surveillance numérique se limite à votre smartphone. Certes, cet outil est un redoutable espion qui permet à l’Etat de tout savoir sur vous pour peu que les fournisseurs de données transmettent les informations qui vont bien. Mais il faut avoir conscience que l’épidémie de coronavirus a donné aux pouvoirs policiers l’opportunité d’avancer grandement dans leurs projets de mise sous surveillance.
En France, par exemple, en décembre 2020, des décrets sont passés autorisant le fichage de tous les citoyens selon leurs opinions philosophiques. L’année suivante, le Parlement a adopté une loi autorisant la reconnaissance faciale en temps réel des personnes participant à une manifestation.
Judith Reisman a étudié les graphiques de ce médecin qui fournissait des données sur des bébés qui avaient eu des orgasmes. Comment ces bébés avaient-ils pu avoir des orgasmes et comment cela a-t-il pu être observé ? Un enfant de 4 ans aurait eu 26 orgasmes en 24 heures.
Christelle Néant est une journaliste indépendante basée à Donetsk dans l’est de l’Ukraine depuis 2016, elle est la fondatrice de Donbass Insider.
Voici l'article initial, ou il réfute ladite hypothèse ainsi qu'un autre intitulé « Parades à l'empoisonnement ».
L’ONS a publié les données sur les décès par statut vaccinal le 16 mai. Le rapport comprenait un graphique intitulé “Nombre de décès dans les 28 jours suivant la vaccination contre le COVID-19 en Angleterre”.
« Il était clair dès le départ que la plupart des données publiées par les gouvernements – pas seulement le gouvernement britannique, mais la plupart des gouvernements dans le monde – étaient trompeuses parce qu’elles étaient basées sur des statistiques très facilement manipulables »