Une récente étude publiée dans la revue Science of the Total Environment révèle pour la première fois la présence de microplastiques dans les tissus pulmonaires de personnes « vivantes ». Ces données analysées par des chercheurs de l’Université de Hull ont été obtenues auprès de treize patients ayant ont subi une chirurgie de réduction pulmonaire ou un traitement contre le cancer du poumon à l’hôpital de Castle Hill dans l’est du Yorkshire, en Angleterre.
Ces caillots sont souvent appelés « caillots de sang », mais ils ne ressemblent en rien aux caillots normaux et sont constitués de bien plus que de simples cellules sanguines. Contrairement aux caillots normaux, qui sont gélatineux, presque semblables à de la gelée, ces soi-disant « caillots » contiennent des éléments structurels extrêmement grands, complexes et répétitifs (tous illustrés ci-dessous), qui sont clairement en cours de construction dans le sang des victimes qui sont mortes de ces caillots.
« Je crains fort que chaque personne à qui l’on a injecté des instructions d’ARNm, soit en train de construire ces structures fibreuses dans son corps en ce moment même, et que ce ne soit qu’une question de temps avant qu’elles ne bloquent les artères principales ou ne provoquent des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux ou d’autres causes aiguës du « syndrome de mort subite de l’adulte » (SMA). »
Sous la direction d’Orban, la Hongrie a été l’un des gouvernements nationalistes les plus rationnels sur la scène mondiale. Orban a mis un point d’honneur à protéger les valeurs traditionnelles et à défendre le caractère national du pays face à la vague de migration massive qui a déferlé sur l’Europe au cours de la dernière décennie.
« Le problème est qu’à part nous, les Hongrois, personne ne parle le langage de la paix. Nous devrions parler le langage de la paix »
Le plan est limpide. En 30 min ce documentaire vidéo explosif reprend toutes les preuves prouvant l’existence de la « plandémie » qui ont été collectées depuis le début du Covid (Sauf peut-être pour les frenchies, le fait que la loi d’urgence sanitaire a été déposé le 6 décembre 2019 par un sénateur pro-Agenda 2030), un covidiste qui ne renierait pas son culte après cela est tout bonnement irrécupérable.
Après quelques modifications mineures du Règlement sanitaire international approuvées lors de la réunion du mois dernier, l’OMS et les gouvernements membres travaillent sur de nouveaux amendements de grande portée aux règles mondiales. Celles‑ci seront présentées en septembre.
Dans le même temps, les dirigeants de l’OMS et les gouvernements membres élaborent un nouveau traité international sur les pandémies. Cet accord international imminent, qui est encore en cours de rédaction, devrait conférer de nouveaux pouvoirs étendus à l’OMS s’il est approuvé.
« Il s’agit d’une nouvelle prise de pouvoir totalitaire de la part des CDC [centres de contrôle et de prévention des maladies], de l’OMS, de Bill Gates, de Big Pharma, de l’industrie de la guerre biologique, de la République populaire de Chine et d’autres, qui veulent imposer leur tyrannie médicale à la race humaine »
00:45 Cagnotte pour Christelle Néant
01:15 Journée de la Russie dans les territoires libérés
03:33 Le Gamelin du jour
04:55 La Pologne en roue libre
06:01 La stratégie kiévienne de la prise d'otages de masse
11:33 L'armée la plus morale du monde
13:17 Humilier la Russie
14:27 Vladimir le Grand et la modernisation de la Russie
17:15 Baisse du taux d'intérêt, le rouble trop fort
19:25 Généraux et sous-officiers russes au combat
24:41 Carte militaire
En même temps, comme dirait le petit prince de la Banque R, ça peut servir de purge totale pour que le peu de moral déprimant qui vous reste soit éradiqué et qu’un moral nouveau en béton russe se reforme. C’est le principe de l’homéopathie, ou du vaccin : on envoie une petite dose de mal pour stimuler les défenses de l’organisme, pour réveiller le bien.
On vous aura prévenus...
La réunion a eu lieu au complexe d’innovation et d’éducation de Tekhnograd à VDNKh (le Centre panrusse des expositions à Moscou).
« Je ne vais pas donner d’exemples pour n’offenser personne, mais si un pays ou un groupe de pays n’est pas en mesure de prendre des décisions souveraines, alors c’est déjà une colonie dans une certaine mesure. Mais une colonie n’a aucune perspective historique, aucune chance de survie dans cette dure lutte géopolitique. »
Pour l’émission La Vérité prend l’Ascenseur, notre équipe est allée à la rencontre de Pierre Jovanovic pour qu’il nous donne son point de vue sur l’ouvrage de Philippe Aimar, « Covid-19, enquête sur un virus ». Pierre Jovanovic nous a plongés dans des vérités cachées et pourtant flagrantes.
En bon journaliste, Philippe Aimar a mené son enquête : la découverte d’une accumulation de « suicides » et de morts prématurées, la mise au jour de preuves de malversation l’ont tout d’abord étonné. Lui, qui voulait prouver à Pierre Jovanovic qu’il n’y avait pas de complot, va se heurter à la dure réalité.
La lutte des travailleurs de la santé soulève directement la subordination des soins de santé au profit privé. La domination du système mondial de soins de santé par des monopoles hospitaliers géants, des sociétés pharmaceutiques, d’équipement médical et d’assurance rend impossible la fourniture de soins de santé de haute qualité à tous, indépendamment des revenus.
Le 28 mai, jour de clôture de la 75e Assemblée mondiale de la santé, grand-messe annuelle qui a rassemblé à partir du 22 mai les 194 États membres de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) à Genève en vue de décider de sa politique, l'Alliance internationale pour la justice et la démocratie a organisé au Club de la presse de Genève une conférence de presse intitulée "La centralisation du pouvoir dans les mains de l'OMS menace la démocratie".
Retransmise sur le site Internet de l’association Children’s Health Defense, fondée par l’avocat Robert Kennedy Jr., l’objectif de l’évènement visait à sonner l’alerte sur les amendements au règlement sanitaire international (RSI) de l’OMS proposés par Washington, pour l’instant rejetés, et sur le "traité sur les pandémies" en cours d’élaboration par l’institution.