Depuis plusieurs décennies, les pullulations de méduses se multiplient à travers le monde. Lors de « blooms », des invasions, il arrive qu’elles dévorent les larves d’autres espèces, réduisant leur population à peau de chagrin.
L’un des exemples le plus illustres est celui du courant de Benguela, au large de la Namibie. La biomasse de méduses y a explosé depuis les années 1990. En 2006, elle était estimée à 13 millions de tonnes, soit trois fois celle des poissons de la région.
Cette zone autrefois productive est aujourd’hui une « ville fantôme », les méduses y ont supplanté la grande majorité des autres organismes vivants.
« Les méduses sont comme des germes dans une blessure ouverte, qui provoquent une infection. Elles ne sont qu’un symptôme. Un drapeau rouge, le signal d’alarme montrant que les océans sont en détresse. »
L’ancienne nageuse olympique Sharon Davies a révélé qu’elle avait du mal à poursuivre sa carrière de commentatrice et d’ambassadrice sportive parce qu’elle a été attaquée sans relâche par des « militants » transgenres pour avoir défendu les droits des femmes dans le sport.
Davies a longtemps été franche dans son opposition aux hommes biologiques concourant contre les femmes en natation et dans d’autres sports.
« La raison pour laquelle je m’exprime autant sur la question des trans est que vous demandez maintenant à la prochaine génération de femmes de vivre ce que j’ai vécu : prendre le départ d’une course avec quelqu’un à côté de vous qui, vous le savez, a un avantage injuste. »
Après plusieurs mois d'attaques virulentes contre les "complotistes", la classe politique officielle admet-elle progressivement son erreur d'appréciation ? Se met-elle à craindre les conséquences juridiques (et notamment pénales) d'un engouement sans réserve et sans précaution pour un vaccin dont les conditions d'arrivée sur le marché sont encore mystérieuses ? La question semble ouverte.
« Tous les jours, des personnes meurent encore en France de cette maladie, dont une grande partie est d’ailleurs vaccinée, mais vulnérable au virus. »
Elle y présente notamment le cadre juridique actuellement applicable et souligne les risques pour les droits et libertés des personnes.
Depuis 2017, la CNIL appelle à la vigilance concernant les évolutions des outils de vidéoprotection et l’inadéquation du cadre légal avec certaines technologies parfois déployées. Pour autant, depuis plusieurs années, de nouveaux types de caméras équipées de logiciels d’intelligence artificielle se développent. Il s’agit par exemple de dispositifs qui filment la voie publique et peuvent comptabiliser en temps réel les différents usages (piétons, voitures, vélos) afin de les répertorier, ou encore qui comptabilisent et catégorisent (genre, âge, etc.) les personnes fréquentant un centre commercial afin d’adapter les contenus publicitaires ou l’agencement des enseignes ou des produits.
Politiciens, hauts fonctionnaires, et autres experts qui nous dirigent, décident de tout pour nous, tant à l’échelle de la vie publique du pays qu'au sein des foyers et des entreprises. Pour eux, c’est certain : le doute ne subsiste pas. Ces messieurs et dames de Science Po, l’ENA, Normal Sup, Polytechnique et Cie - que Coluche regroupait sous l’appellation unique commune de « technocrates » - nos « élites », ont la science infuse.
« Les technocrates, si on leur donnait le Sahara, dans cinq ans, faudrait qu’ils achètent du sable ailleurs. »
Par téléphone ou par mail, ils se font passer pour des fonctionnaires en demandant le statut vaccinal de leur victime, ou bien en promettant des indemnités. Leur objectif : vos données personnelles.
Faciliter l'accès en ligne à plusieurs plateformes de l’administration publique (impôts, santé, caisse d’allocations…) avec un seul identifiant et mot de passe à retenir, tel était le projet de la Direction interministérielle du numérique de l’État français, qui a mis en place depuis quelques années déjà le service France Connect. Il a d'abord été critiqué pour son caractère invasif et monopolistique ; il l'est désormais pour ses brèches de sécurité, qui ouvrent la porte vers nos données personnelles aux peu scrupuleux.
La carte présente plus de 1000 lieux recensés dans une base de donnée interopérable qui est le fruit d'une collaboration entre la Coopérative Oasis et Habitat Participatif France.
Sobriété heureuse. Moins de biens, plus de liens. Comment vivre de manière plus éco-responsable, dans le respect de soi, de l'autre et de la nature ?
Autonomie, éco-construction, école alternative, maraichage en permaculture et/ou agro-écologie, gouvernance partagée, monnaie locale, communication non violente... des initiatives de vie en communauté privilégiant convivialité, entraide et décroissance existent déjà un peu partout en France et dans le monde.
Voici un tour d'horizon des initiatives et terrains d'expérimentation les plus inspirant·e·s.
La jeune réalisatrice Alizée Dubois, accompagnée de quelques ami·e·s, est l’une des premières à essayer de vulgariser le concept juridique pas si simple qu’est l’écocide, dans un voyage studieux et engagé à travers l’Europe. Nous avons vu le documentaire : retour sur un voyage au cœur de l’injustice environnementale.
« Maintenant que le film est terminé, j’ai hâte de le montrer pour connaître les réactions et les réflexions du public. J’espère que les gens vont se saisir de la colère que suscitent ces injustices pour la transformer en action collective ! »
Les décès aux États-Unis dus à la résistance aux antimicrobiens ont augmenté de 15 % en 2020, en raison de l'utilisation de médicaments pour traiter la COVID-19, selon un rapport publié le 12 juillet par les Centers for Disease Control and Prevention. Le 12 juillet également, l'Organisation mondiale de la santé a lancé un appel « urgent » à développer plus de 150 vaccins pour faire face à la menace sanitaire mondiale.
Joanne Walsh, 71 ans, s’est rendue aux chutes du Niagara, dans l’État de New York, avec une amie, le 19 juillet 2022, pour quelques heures avant de rentrer en Ontario.
Mme Walsh dit qu’elle s’est présentée à la frontière terrestre canadienne à Niagara Falls avec son passeport et une preuve de vaccination Covid-19. Cependant, elle n’a pas utilisé l’application ArriveCAN.